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II) 1
ii) Calcul de I=
On a :
On pose: t= , d’où : = et .
On a : I= = =
En revenant à la variable , il vient :
I or d’où I=
D’où:
Remarque
On peut utiliser une autre méthode pour calculer I. D’après les propriétés des
fonctions hyperboliques, on sait que:
. On pose alors : .
On a : .
D’où : et , il vient :
. D’où :
i) Calcul de I= dx
I= =4 .
D’où : I 4 4 4
ii) Calcul J=
=6
=6
=6
=6
=2
En revenant à la variable x, il vient :
J=
i) Calcul de I=
D’où : I 2 ; d’où
( )+c +c
En revenant à , on a :
I= +2 +c
ii) Calcul de I=
i) Calcul de I=
D’où : ; = et
= =
D’où : =
= .
En revenant à la variable x, on obtient :
ii) Calcul de I=
On est dans le cas (1) car entier. On pose (8 dénominateur
commun de et ). D’où :
et .
Par suite : I
. D’où :
I .
En revenant à la variable et en simplifiant les fractions, il vient :
I= +
Remarque
Cette intégrale peut être calculée par l’application directe de la règle des puissances.
On a, en effet :
= = .
iii) Calcul de I=
D’où : ; (1) ; ;
; (2)
D’où : (4)
En portant (4) dans (3), il vient :
I +c
Remarque
L’intégrale I peut aussi être calculée par une autre méthode (se ramener
à par une complétion du carré).
On a : ; d’où
D’où: I ; d’où
On pose , d’où
d’où : ; d’où : .
Remarque
On pose : = où et racines de
l’équation .
D’où : , d’où : ; d’où : .
Exemples
i) Calcul de I= ( )
I . D’où I
ii) Calcul de I=
On a : , on pose :
,
d’où d’où . On a : et
et par suite :
I . D’où I= .
= = et de même on trouve :
. D’où : .
d’où :
Remarque
D’autres changements de variable peuvent aussi être efficaces comme on peut le
constater dans l’exercice 3 du TD 3.
ii) Calcul de
On pose d’où
I= = . On pose : , =
I= = = +
I= + +c or Arcsin d’où
I= + +c
= + +c
= + = +
= . Il vient :
= = =
En posant, , il vient :
= d’où ]
c) Intégrale de la forme
On fait le changement : . D’où:
= = = =
Exemple
Calcul de
On a : =
Pour . On a : , d’où:
d’où (2).
Il résulte alors :
Deux remarques terminent ce chapitre
a) Ce chapitre a présenté beaucoup de techniques permettant de trouver des
primitives d’un grand nombre de fonctions. Toutefois, il ne prétend pas épuiser
tous les cas qui peuvent se présenter en pratique. C’est par l’étude de nombreux
exercices que l’on peut acquérir une bonne maitrise du calcul intégral, et trouver
rapidement la méthode d’intégration la mieux adaptée à chaque cas.
b) Il arrive que des fonctions intégrables n’admettent pas de primitives sous forme
de fonctions usuelles. Lorsque cela arrive à une fonction , comme par exemple les
fonction et , on ne peut représenter ses primitives que par le
symbole . Toutefois, on peut étudier beaucoup de propriétés de telles
primitives (cf.TD)