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1. Justifier que ∈ (ℝ ).
2. Déterminer le noyau et l’image de f. L’application f est-elle injective ? surjective ?
1.. Montrer que rg(f + g) 6 rg(f ) + rg(g) puis que |rg(f ) − rg(g)| 6 rg(f − g)
2. Supposons que f + g bijectif et g ◦ f = 0.Montrer que rg(f ) + rg(g) = dim E.(on pourra montrer que Im(f)=ker(g)).
1
Exercice 9 : Soient p et q deux projecteurs d’un e v E.
1. Montrer que : p q est un projecteur p q q p 0 Dans ce cas, montrer que :
Im( p q ) Im( p ) Im( q ) et ker( p q ) ker( p ) ker( q ) .
2.Montrer que : q p p Im( p ) Im( q ) et p q p ker( q ) ker( p ) .
Exercice 14 : Soit ∈ ( ) une matrice triangulaire supérieure à diagonal nul. la base canonique de , ( ):
,..
1 0
= 0 ,.., = ⋮ .
⋮ 0
0 1
1. Pour ∈ ( ), calculer en fonction des colonnes de B.
2.Montrer par récurrence que : = 0, puis déduire que = 0. (A est nilpotente)
3. En calculant − , montrer que − est inversible, puis calculer ( − ) en fonction des puissances de A.
4. On considère la matrice : = 0 où , , ∈ .
0 0
a. A quelle condition sera inversible, dans le cas d’existence calculer .
b.Calculer les puissances de .
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Exercice 16 : On pose = ℝ , on note ℯ sa base canonique. On considère l’endomorphisme canoniquement associé à
2 1 0
la matrice = 1 2 0 , on pose = ker( − ) = ker( − 3 ).
0 0 3
1. Pour ∈ ℕ , déterminer le reste de la division euclidien de par ( − 1)( − 3).
2. Vérifier que : ( − )( − 3 ) = 0, puis déduire que ( − 3 ) ⊆ ( − ) ⊆ . Puis calculer pour
tout ∈ ℕ.
=2 +
3.En déduire toutes les suites réelles vérifiant : , , ∈ ℝ et ∀ ∈ ℕ, = + 2 . (On pourra considérer = .
=3
4. Déterminer les dimensions des sous espaces vectoriels .
5. Montrer que ∩ = {0} , puis déduire que = ⨁ .
6.Déterminer deux polynômes tel que ( − 1) + ( − 3) = 1.
7. Notons ( ) la projection sur ∥ (resp ∥ ). Déduire en fonction de .
8. Calculer ℯ la matrice dans de la symétrie par rapport à ∥ .
9. Montrer que : = + 3 , puis déduire que = +3 .
Exercice 17 :
Calculer la matrice de passage de la base B1 = ((1, 2, 1), (2, 3, 3), (3, 7, 1)) à la base B2 = ((3, 1, 4), (5, 3, 2), (1, −1, 7)).
Exercice 1 8 : Déterminer la matrice relative aux bases canoniques des applications linéaires, puis calculer le rang
f 1 : R3 → R2 ; f2 : R3 [X] → R3 [X] ; f3 :R3 [X] → R4
(x, y, z) 7→ (x + y, y − 2x + z) P →
7 P (X + 1) P 7→ (P (1), P (2), P (3), P (4))
2 1 −1
Exercice 1 9 : Soit f ∈ L(R3 ) représenté dans la base canonique B par : 0 1 0 .
1 1 0
a) Soit C = (ε1 , ε2 , ε3 ) avec ε1 = (1, 0, 1), ε2 = (−1, 1, 0), ε3 = (1, 1, 1). Montrer que C est une base.
b) Déterminer la matrice de f dans C.
c) Calculer la matrice de f n dans B pour tout n ∈ N.
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Dans toute la suite on note pour E un -e-v ( quelconque) , E* = L(E, ) le -e-v des formes linéaires sur E.
2. Soient 1 et 2
deux formes linéaires sur un -e-v . Montrer que ker 2 ⊆ ker 1
si et seulement si
2
∈ vect( 1)
Exercice 27 :
1. Soit n ≥ 2 et M ∈ Mn (K). Démontrer que : M +t M = 2tr(M )In ⇔ tM = −M
2.On fixe (A, B) ∈ Mn (K)2 et on cherche les matrices M telles que : (E) : M + tr(M )A = B
a) On suppose que tr(A) 6= −1, exprimer tr(M ) en fonction que tr(A) et tr(B). En déduire les solutions de (E).
b) On suppose que tr(A) = −1, montrer que l’ensemble des solutions de (E) est {B + xA, x ∈ K}.ou le vide .
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Exercice 31 : calculer l'inverse s'il existe des matrices:
1 1 1 1 ... 1
0 2 1 1 ... 1
1
0 0 3 1 ... 1
1 2 3
; (0) . . . (−1) ∈ Mn (K) ; ..
2 3 4
.. ; D = (min(i, j))1≤i,j≤n
0 0 0 4 . .
3 4 5 1
. .. .. .. ..
..
. . . . 1
0 0 0 ... 0 n