Vous êtes sur la page 1sur 11

Electromagnétisme et optique géométrique

Exercice 1

1. La valeur du champ magnétique créé par une spire circulaire , de rayon


R de centre O parcourue par une intensité I en un point M de l’axe situé
à une distance x de O est :
µ0 I R2
B=
2 (x + R2 )1/2
2

Calculer la circulation de ce champ le long de l’axe . Interpréter ce résultat


par le théorème d’Ampère.
2. On se propose d’étudier quantitativement la répartition des charges in-
duites sur une sphère métallique neutre placée dans un champ uniforme
E~0 . Pour cela on utilise la méthode indirecte .
(a) On considère d’abord le champ uniforme E~0 .Calculer le potentiel en
un point M ,repéré par son abscisse x sur un axe (Ox) parallèle à E~0
et de même sens . On prendra V = 0 pour x = 0 .
(b) On place en O un dipôle formé de deux charges (−q) et (q) séparées
par une longueur l . Il s’oriente suivant l’axe (Ox) . Calculer le po-
tentiel total en M en fonction de r et de θ .
(c) Montrer qu’il existe une sphère , de centre O et de rayon R , sur
laquelle ce potentiel est nul et calculer R
Exercice 2
La face arrière d’une lame à faces parallèles , d’épaisseur e et d’indice n , est
rendue réfléchissante . C’est ce dispositif qui est utilisé pour les miroirs usuels
(miroirs de salle de bain , etc ) . A une distance h de la première face se trouve
un objet plan AB , parallèle à la lame.
On désire déterminer les positions des images successives de cet objet à
travers les différents dioptres , A0 B 0 étant l’image définitive . On note A1 l’image
de A à travers le dioptre air/lame , A2 l’image de A1 par le miroir et A0 l’image
de A2 à travers le dioptre lame/air . Les points O1 et O2 se trouvent sur la
normale au système passant par A . O1 est sur la première face et O2 sur la
seconde . Toutes les expressions littérales sont données en fonction de n, e et h
1. . Donner les expressions littérales de O1 A1 , O2 A2 et O1 A0 en se plaçant
dans l’approximation de Gauss
2. Faire l’application numérique pour h = 50cm; e = 3cm et n = 1, 5.
3. Montrer que quelques soit h le système se comporte comme un miroir
dont on déterminera la position . On notera O3 le point de ce miroir
appartenant a la droite (O1 O2 ) et on exprimera O1 O3
Algèbre linéaire

Exercice 1

1
Soit u une application linéaire d’un espace vectoriel E vers un espace vectoriel
F . Montrer que u est injective si et seulement si Ker(u) = 0E
Exercice 2
Soit β = (e1 ; e2 ; e3 ) la base canonique de R3 Soit f un endomorphisme de R3
tel que :
f (e1 ) = −3e1 + 2e2 − 4e3
f (e2 ) = e1 − e2 + 2e3
f (e3 ) = 4e1 − 2e2 + 5e3

1. Déterminer la matrice de f dans la base canonique .


2. Montrer que E = {x ∈ R3 , f (x) = x} est un sous espace vectoriel de R3
de dimension 1 et donner un vecteur non nul a de E
3. Montrer que F = {(x1 ; x2 ; x3 ) ∈ R3 , −2x1 + 2x2 + 3x3 = 0} est un sous
espace vectoriel de R3 donne une base (b; c) de F .
4. Montrer que β 0 = (a; b; f (b)) est une base de R3
5. Montrer que E ⊕ F = R3
6. Déterminer la matrice R de f dans la base β 0
Exercice 3
Soit E un espace vectoriel sur R de dimension n ∈ N et B une base de E . Soit
g un endomorphisme tel que g 2 = −idE . On désigne par A la matrice de g dans
la base B
1. Calculer det(A2 )
2. En déduire que n est un nombre pair . Dans la suite on suppose que
n = dim(E) = 2
3. Soit v ∈ E un vecteur non nul . Montrer que la famille C = (v; g(v)) est
une base de E .
4. Donner la matrice de g dans la base C
2
5. En déduire que pour toute matrice M ∈ M2 (R) telle  que M = I2 , il
0 −1
existe une matrice inversible P telle que P −1 M P =
1 1
Exercice 4

Soit n un entier naturel supérieur ou égal à 2 et K = R ou C


1. Montrer que l’ensemble H = {M ∈ Mn (K), tr(M ) = 0} est un sous-
espace vectoriel de Mn (K) et déterminer sa dimension
2. Donner une base de H
3. Soit φ l’application , qui à toute matrice M de Mn (K) associe

φ(M ) = tr(M )In − M

est un endomorphisme puis déterminer sa trace


4. Etablir que φ ◦ φ = (n − 2)φ + (n − 1)Id.En déduire que pour n ≥ 2
l’application φ est inversible et déterminer son inverse
Analyse 2

2
Exercice 1 :Résoudre sur R les équations suivantes :
1.y 0 + y = x − ex + cos(x).
2.2.y 00 − 3y 0 + 2y = x(ex + e−2x )
Exercice 2 :Règle de Bioche
Calculer l’intégrale suivante
Z
1
J= dt
sin(t) + tan(t)
On pourra vérifier que J présente un invariant et faire le changement de
variable u = f (t) approprié . On vérifiera alors que
Z
u
J= 2
du
(u − 1)(1 + u)
et on achèvera la résolution .

Exercice 3
Le but de cet exercice est d’effectuer un calcul approché de la somme

X 1
S=
k3
k=1

(a) Pour quels entiers naturels l’inégalité


1 1 1
≤ 2−
k3 k (k + 1)2
est-elle vraie ?
P 1 1

(b) La série k2 − (k+1)2 est-elle convergente ?
(c) . Calculer la somme de la série.
+∞  
X 1 1

k2 (k + 1)2
k=1

(d) Démontrer alors que


8 10
≤S≤
8 8
Probabilité

Question de cours
1. Quand dit-on qu’une variable aléatoire réelle X suit une loi hypergéométrique
de paramètre (N, n, p) . Donner la formule de E(X) et celle de V ar(X)
2. Peut-on approcher la loi de X par une loi binomiale ? Si oui , préciser les
conditions d’approximations et spécifier cette loi binomiale .
Exercice 1
On dispose d’une pièce de monnaie amenant ”Pile” avec la probabilité p ∈
]0, 1[.On lance cette pièce jusqu’à obtenir deux fois ”Pile” .Soit X le nombre de
”Face” obtenus au cours de cette expérience .

3
1. (a) Déterminer la loi de X.
(b) Montrer que X admet une espérance ,puis la calculer
2. On procède à l’expérience suivante : si X prend la valeur n ,on place n+1
numérotées de 0 à n dans une urne ,et on tire ensuite une boule de cette
urne. Soit Y le numéro de la de la boule tirée
(a) Déterminer la loi de Y puis calculer E(Y )
(b) Donner la loi de Z = X−Y puis vérifier que Y et Z sont indépendantes.
Exercice 2
Une usine fabrique des objets sur deux chaı̂nes de production indépendantes
A et B .Les fabrications des objets sur une même chaı̂ne sont indépendantes.
A produit 60% des objets et B , 40% . 10% des objets produits par A sont
défectueux et 20% de ceux produits par B le sont .
1. Un objet choisi au hasard à la sortie de l’usine est défectueux . Quelle
est la probabilité que cet objet provienne de la chaı̂ne A ?
2. Le nombre d’objets produits par en une heure par A est une variable
aléatoire U qui suit une loi de Poisson de paramètre λ = 20 . Soit V la
variable aléatoire égale au nombre défectueux produits par la chaı̂ne A .
(a) Calculer l’espérance et la variance de U .
(b) Soient k et n deux entiers naturels . Déterminer P [V = k/(U = n)].
On distinguera les cas k ≤ n et k > n)
(c) En déduire ,en utilisant le système complet d’événement (U = n)n∈N
que V suiRt une loi de Poisson de paramètre 2
Anglais

1.Read the text below In Euclid’s Elements ,the Pythagorean theorem is


proved by an argument along the following lines .Let A, B, Cbe the vertices of
a right triangle, with a right angle at A. Drop a perpendicular from A to the
side opposite the hypotenuse in the square on the hypotenuse. That line divides
the square on the hypotenuse into two rectangles, each having the same area as
one of the two squares on the legs.

For the formal proof, we require four elementary lemmata :


If two triangles have two sides of the one equal to two sides of the other , each
to each, and the angles included by those sides equal, then the triangles are
congruent . The area of a triangle is half the area of any parallelogram on the
same base and having the same altitude. The area of a rectangle is equal to the
product of two adjacent sides.
The area of a square is equal to the product of two of its sides (follows from
lemma 3).

The intuitive idea behind this proof ,which can make it easier to follow ,is
that the top squares are morphed into parallelograms with the same size ,then
turned and morphed into the left and right rectangles in the lower square again
at constant area

4
The proof is as follows
Let ACB be a right-angled triangle with right angle CAB
On each of the sides BC, AB, and CA, squares are drawn, CBDE, BAGF ,
and ACIH, in that order. From A, draw a line parallel to BD and CE. It will
perpendicularly intersect BC and DE at K and L, respectively.

Join CF and AD, to form the triangles BCF and BDA.


Angles CAB and BAG are both right angles ; therefore C, A, and G are collinear
. Similarly for B, A, and H.
Angles CBD and FBA are both right angles ; therefore angle ABD equals angle
FBC, since both are the sum of a right angle and angle ABC.
Since AB is equal to FB and BD is equal to BC, triangle ABD must be congruent
to triangle FBC.
Since A is collinear with K and L, square BDLK must be twice in area to triangle
ABD.
Since C is collinear with A and G, square BAGF must be twice in area to
triangle FBC.
Therefore, rectangle BDLK must have the same area as square BAGF = AB 2
Similarly, it can be shown that rectangle CKLE must have the same area as
square ACIH = AC 2
Adding these two results, AB 2 + AC 2 = BD × BK + KL × KC
Since BD = KL, BD × BK + KL × KC = BD(BK + KC) = BD × BC
Therefore, AB 2 + AC 2 = BC 2 -, since CBDE is a square.
This proof is mentionned in Euclid’s Element as proposition 1.47

2.Answers these questions


a. What is a vertsx ?(1 line)
b. What is a lemma ?(1 line)
c. What does adjective ”colinear” mean ?(1line)
d. What are congruent triangles (1line)
e. Follow the instructions in this part of the text ”Let ABC be a right-
angled triangle · · · ’to’ · · · to form the triangles BCF and BDA ” to
draw the figure being described
f. Find out two liink words in the text .
g. Explain Euler’s intuitive idea to prove Pythagorean theorem
h. Translate into french the last demonstration in the text.

Analyse 1

Question de cours

1. Quand dit-on qu’une partie A de R est dense dans R ?


2. Quand dit-on qu’une partie V de R est au voisinage de +∞ ?
3. Énonce clairement le théorème des valeurs intermédiaires .
Exercice 1

5
1. Soit (Un )n∈N et (Vn )n∈N deux suites de nombres réels strictement positifs
telles que :
Un+1 Vn+1
∃n1 ∈ N/∀n ≥ n1 ≤λ avec λ ∈ [0, 1[
Un Vn
Montrer que (Un ) = o(Vn )
2. Application
Soient les suites réelles (Un )n≥2 , (Vn )n≥1 et (Wn )n∈N définies respective-
ment par :
Un = (ln n)α , Vn = nβ , Wn = an et Zn = n! où α, β et a sont des réels
tels que α > 0, β > 0 et a > 1.
(a) Montrer que Wn = o(Zn )
(b) Calcule
Vn+1
lim
x→+∞ Vn
(c) Montrer que :∃ n2 ∈ N/∀n ≥ n2 , VVn+1
n
≤ 1+a
2a × Wn+1
Wn . Que peut-on
conclure ?
(d) Démontrer que Un = o(Vn )
 √ 
n!
3. Justifie que 10n = o (4/3)n

Exercice 2

1. Soit A1 une partie non vide et bornée de R et A2 = {|x − y| /(x; y) ∈


(A1 )2 }
(a) Justifie que A2 est majorée
(b) Prouve que sup(A2 ) = sup(A1 ) − inf(A1 )
2. Soit α et β deux réels positifs .On considère l’ensemble A3 défini par
 
αm + βn ∗ 2
A3 = , (m, n) ∈ (N )
αβmn

(a) Prouve que A3 est minoré et possède un plus grand élément


(b) En utilisant le théorème d’Archimède prouve que inf(A3 ) = 0

logique et théorie des ensembles

Exercice 1
Quatre amies Adrienne ,Béatrice ,Charlotte et Delphine exercent quatre pro-
fession différentes :avocate, médecin ,pharmacienne et professeur .On sait que :
-Ni Béatrice ,ni Charlotte n’exerce une profession de santé .
-Celle des quatre amies qui est médecin soigne Adrienne et Charlotte .
-Adrienne et Charlotte n’enseignent pas .
Répondre par vrai ou faux
1. Adrienne est pharmacienne et Charlotte avocate .

6
2. Charlotte est professeur ou Adrienne est médecin.
3. Adrienne est médecin et Béatrice avocate .
4. Béatrice est professeur ou Charlotte médecin .
5. Delphine est médecin et Béatrice professeur .
Exercice 2
Soient P, Q, R et S des propositions
1. On pose A = (P ∧Q)∨(Q∧R)∨(R∧P ) et B = (P ∨Q)∧(Q∨R)∧(R∨P ).
(a) Justifier que les propositions (P ∨ R) ∨ (P ∧ R) et (P ∨ R) sont
équivalentes.
(b) En utilisant la distributivité de ∧ par rapport à ∨ déduire que les
propositions A et B sont équivalentes .
2. Écrire la contraposée de de chacune des propositions suivantes P ∨ Q et
(P ∧ Q) ∨ (R ∧ S)
3. Soit (x, y, z) ∈ R3 ,écrire la négation puis la contraposée des propositions
suivantes
(a) x ≤ −2 ou 3 < x
(b) 3 ≤ x ≤ 7 ou y < z ≤ 25
Exercice 3

1. Soient a et b deux réels non nuls de même signe . Prouver que :


a2 b2
= ⇒a=b
a2 + b a + b2

2. (a) Prouver directement l’implication n ≥ 10 ⇒ 2 ≥ (1 + n1 )3 .


(b) Déduire par récurrence que pour tout entier n ≥ 10, 2n ≥ n3
3. Soit n ∈ Z . Prouver par contraposée l’implication

”n4 + 4 premier ⇒ n ∈ {−1; 1}”,

(On pourra utiliser l’égalité x2 + y 2 = (x + y)2 − 2xy)


Electrocinétique
Exercice 1 :Circuit RL en régime transitoire

On considère le circuit ci contre comportant trois résistances R1 , R2 , et R3 ,une


bobine parfaite d’inductance L ,un générateur de f.é.m E et un interrupteur K
1. Initialement ,la bobine n’est parcourue par aucun courant .A l’instant
t = 0s , on ferme l’interrupteur K . Etablir la loi d’évolution de i(t) et
déterminer le courant I en régime permanent .On pose τ = R1 R2L(R 2 +R3 )
+R2 R3 +R1 R3
2. Le courant d’intensité I est établi , on ouvre à t = 0s (réinitialisation du
temps . Déterminer la nouvelle loi donnant i(t) et l’énergie dissipée par
effet Joule dans les résistances .

Exercice 2 :Circuit RLC série


On considère un circuit RLC série alimenté par une tension sinusoı̈dale e(t) =
E0 cos(ωt)

7
1. Etablir l’équation différentielle qui régit la tension u aux bornes de la
capacité C
2. Donner l’expression de cette équation différentielle en fonction du facteur
de qualité Q et de la pulsation propre ω0
3. Donner l’expression intrinsèque de cette équation différentielle en fonc-
tion du cœfficient d’amortissement et de la pulsation propre ω0
4. Pour résoudre l’équation différentielle précédente les tension uc est obtenu
sous les quatre conditions suivantes :
i. Le condensateur est initialement déchargé
ii. l’intensité est nulle avant la fermeture de l’interrupteur
iii. La pulsation du générateur est ω = ω0
iv. Le cœfficient d’amortissement vaut α = 1/2
Montrer que la variation temporelle de uc est de la forme
" √   √ !#
2 3 1 3
uc (t) = E0 sin(ω0 t) − exp − ω0 t sin ω0 t
3 2 2

Problème :Puissance en régime sinusoı̈dal


Les parties A et B sont indépendantes

Partie A

Un générateur de tension de force électromotrice e(t) = E0 2 sin(ωt) et de
résistance interne R0 alimente une impédance Z de résistance R et de réactance
X
1. Exprimer l’intensité efficace I0 qui traverse cette inpédance en fonction
de E0 , R0 , R et X.
2. Exprimer la puissance moyenne P reçue par l’impédance en fonction de
R et I0 . Déduire que P dépend aussi de X
3. On suppose que l’impédance est une résistor de résistance R (X = 0) .
Montrer que P = P(R) passe par un maximum . Calculer la valeur de
Rm correspondante ainsi que la puissance dissipée correspondante .On
donne :E0 = 220V, R = 10Ω et ω = 314rad/s
4. Dans le circuit précédent on insère une bobine idéale d’inductance L =
0.1H
(a) Calculer la puissance moyenne P 0 (R) dissipée dans le résistor .
P 0 (R)
(b) Montrer que quelque soit R le rapport P(R) <1
0
(c) Calculer la valeur Rm pour laquelle P 0 (R) est maximale
Partie B

On considère le circuit oscillant de la figure ci-contre qui dissipe en moyenne


une puissance de P = 40kW .La tension efficace à ses bornes est U = 12kW et
sa fréquence est f = 480kHz .
1. Calculer numériquement la résistance équivalente Re qui dissiperait la
même puissance.
2. Exprimer l’admittance complexe Y du dipôle AB

8
3. Comment doit être la partie imaginaire de Y lorsque la dipôle a un com-
portement purement résistif ?
Exprimer Re en fonction de R, L et C lorsque la fréquence est telle que
l’admittance complexe Y est purement résistive.

4. Le cœfficient de surtension du circuit oscillant est Q = R.
(a) Exprimer C et L en fonction de Re , Q et f
(b) Calculer L et C pour Q = 16
Structure algébrique
Exercice 1

On définit sur ]−1, 1[ la loi par :


x+y
∀x, y ∈ ]−1, 1[ , x y =
1 + xy

1. Montrer que est une loi de composition interne sur ]−1, 1[


2. Montrer que (]−1, 1[ , ) est un groupe commutatif .
Exercice 2

1. Soit A un anneau non nul tel que ∀x ∈ A, x2 = x


(a) Montrer que pour x, y ∈ A, 2x = 0A et yx = −xy. En déduire que A
est un anneau commutatif
(b) Déterminer A dans le cas où A est intègre
(c) On définit sur A une relation binaire ≤ en posant

∀x, y ∈ Ax ≤ y ⇔ yx = x

Montrer que ≤ est une relation d’ordre .


2. On considère les permutations σ et σ 0 définies par
 
1 2 3 ··· n
σ=
n n − 1 n − 2 ··· 1
 
1 2 3 ··· n n + 1 n + 2 ··· 2n
σ0 =
2 4 6 · · · 2n 1 3 ··· 2n − 1
(a) Déterminer suivant la classe de n modulo 4 la signature de σ
(b) Déterminer la signature de σ 0
Exercice 3
Résous dans C3 les systèmes suivants :

x + y + z = 0

1. xy + xz + yz = −13

xyz = −12


x + y + z = −2

2. x2 + y 2 + z 2 = 0

 3
x + y3 + z3 = 1

9
Exercice 4
2iπk
On considère dans C[X] le polynôme P (X) = X n − 1 et on pose ωk = e n où
n est un entier naturel non nul et k ∈ {0, · · · n − 1} Soit j ∈ {0, · · · n − 1}
1. Démontrer que
n−1
Y
P (X) = (X − ωk ) + (X + ωj )Q(X)
k=0,k6=j

Où Q(X) est un polynôme de degré n − 2


2. En déduire que
n−1
Y n
(wj − wk ) =
ωj
k=0,k6=j

3. Démontre que l’on a


n−1
1 1 X ωk
=
Xn − 1 n X − ωk
k=0

4. En dérivant l’équation ci-dessus ,établir la relation :


n−1 n−1
1 1 − n X ωk 1 X ωk2
2 = 2
+ 2
(X n − 1) n X − ωk n (X − ωk )2
k=0 k=0

Langage C

Exercice 1
Donner la valeur des variables aléatoires suivantes :
1. int var=sizeof(float);
2. int var=sizeof(int);
3. int a=10 ,float var=4 ,var/=a;
4. float var=1/(float)2;
5. int var=10;var>>=2;
6. int var ;var=10;var^=var;
Exercice 2
Qu’affichent les codes suivants :
1. int t[]={7,8,9,1},i,s;
for(i=0,s=1;i<4;i++);
if(t[i]%7)
s+=t[i];
printf("%d",s);
2. int t[]={7,8,9,1,2,2},i;
for(i=0;i<5;i++)
if(t[i]<t[i+1]
printf("%d",t[i]);

10
3. char t[]={’f’,’o’,’o,’\0’},i
for(i=0;i<t[i]!=’\0’;i++)
if((t[i]-’a’))
t[i]++;
else
t[i]--;
printf("%s",t);
Architecture et théorie des ordinateurs

Exercice

On souhaite réaliser un compteur décrivant la séquence suivante 1,3,5,7,0,2,4,6


à bases de bascules D .
1. Combien de bascules D sont nécessaires pour la réalisation de ce comp-
teur ?
2. Proposer la table de transition ou table de vérité permettant de décrire
le comportement du compteur .
3. Proposer le logigramme du compteur
Mécanique du point

Voir 2eme devoir

11

Vous aimerez peut-être aussi