d*rs rrra iii:r-ers I

I ;t h iril
;

.'l

LISTE DES A BREVIA TtoNS...

........4

Avarur-pRopos.,..........
.6
lNTRoDrJcTloru GeruEnaLE ..............
7
OaJrcrtF- DU pLAN DË DEVELoppËMËNT. LocAL : .........,................
7
1,1 OBJEGÏFS spEctFteuEs :..........
..,,7
1.1.1 MersoDoLoctE : ..........
....8
1.2. GeruennltrEs DU cANToN......,..... o
1.2.1 CInncTERISTIQUEs PHYsIQUEs.
..........................9
1 .2.2 Loc aUSATIoN G EoGRAPHIQUE
9
1,2,3. Reuep .
.9
1.2.3,1 Lrs sols ....., o
1.2.3.2 LE cL|MAT..
11
1.2,3.3 LES TEIVIPERATUREs......
1,3. VEcE]'AT1CIN...."..
1.3.1 Veoe'rATroN NATURELLES.........
1.3.2 VeoerATtoNs ExoleuEs : .................
...................12
1.3.3 L'nyoRocRApHtE
13
1'4 Les INTERVENTtot'ts : Pnolers ET pRocRAMMEs eur TNTERVTENNENT DANS LE cANToN 13
1,4. 1 LES STRUcTUREs LocALES DEcENTRALIsEEs.........,.,.,,.
t4
1.4.2 l-es sEcrEURs soctAUX..... t4
L4
15
1.4.2.3. FlynnaulrouE ET AccEs A L'EArJ porABLE.... !6
'1.5 LEs INFRASTRUcTUREs DE coMMUNtcATtoN,,.....
.............,...:. 15
1.5"1 l-Es RourES ET LA votE NAVIGABIE j!
.,.........16
1.5.2 Ln TELEpHoNtE MoBtLE,......
1.5.3 LEs rNFRAsrRUcruREs MAR-:HANDEs : LEs MARcHES HE8DoMADAIREs,..................,...........17
1.7 MLreu HUMATN ........19
1.7.1 lltsroRteue DrJ cANToN,....
1.7.2 CanacrERtsneuËs DËMoGRApHteuEs ....,......,...... ...............19
1.7.3 Oncat{tsATtoN soctALE, poLtleuE ET cuLTURELLE.,........
1.7.4 OncaruISATIoNs socIALE, PoLITIQUE ET cULTURELLE..,,.,. .,.,21
1.7.5 AclvtrEs EcoNoMtEs
1.7 "5.1 AcRrculruRE .........,........"... ........23
1.7 .5.2 Éurvnce.......,, 23

'l.7.5.4 Connuence 24
1.7.5.5 ARTISANAT. 25
ll' Dtacruosrtc PARTIctpATrF DU cANToN ET oproNs DE DEVELoppEMENT pAR DoMArNE.,.....,.....,25
2.1 ENVtRoNNEMEtlT ËT GESTIoN DE REssouRcES NI\TURE1L8s........... ......................26
 I

I'
a.
:{

!
,l

2.1.1 REsULTAT DU DIAGNosTIc !.

2,1.2 Axrs pRloRtrAlRES DE ...................26 I
DEVELOPPEMENT ....,,.....,.......
2.2 AcnlculTURE ELEVAGE ET PECHE 28
2,2.1 RESULTAT DIAGNos .,....,..'...........29 I

I
2.2.2 Axes pRtoRtrA tRES I
I
! i!{
2.3 EcoNoM|E...,,.....,.. ,,,,32
2,3, Resur_TAT DU DIAGNosnc .....
1

2.3.2 Axes PRIoRITAIRE DE DEVELOPPEMENT..........

2,5 EoucarIoN ETALPHA BETISATION ..........35
FONCTIONNELLE...,.........
2.5.1 ResulrAT Du Dt AGNOSTIC ............37
.i.......,... i ,,.. ...
2.5.2 Axrs PRIoRITAIRES DE DEVELoPP
2.6 Sarure-EAU porABLE-Assnrrurss
EM ENT .................
2.6.1 RESULTAT DU DIAGNosTIc
2.6.2 Axes pRtoRtrAlREs DU DEVELOPPEMENT
2.6 ArralRes soctAlEs/cENRE ...
2.6,1 ResulrAr DU DtAcNoslc
2.6.2 Axes pRtoRtrAtRES DE DEVELoppEMENT
2.7,1,2AXES PRIoRITAIREs DE D EVELOPPEMENT
2.8 SYNTHESE DU DIAGNosTIc...
III. PRoJET DE DEVELoPPEMENT DANS
LA DUREE D U PLAN
3.1 Eruvrnoruruemerur GRN
3.2 AcnlcuI.TURE ELËVAGE ET PECHE
3.3 ËcoNoMtE,,. 2

3.4 EDUGATIoN
3.,5 SaHre.,
3.6 Arrnlne soctALE 7

3.7 CuITunE JEUNEsSE ET SPoRT

ANNFXFç I\IGI IEI E^ 1

r!€
 i

i
i
LISTE DES ABREVIATIONS
ADC
Association de Développement du Canton
ALV
Animateur Local Volontaire
APE
Association des parents d'Élèves
ARV
Anti-Rétro, Viraux
CCD
Comité Ca,rtonal de Développement ,r{
CDA
Comité Départemental d,Action
CIVD
Comité lnter Villageois de Développement
COSAN
Comité de Centre de Santé
L/,)
Centre de Santé
CPON
Consultation Post-natale
CPN
Consultation Prénatale
CT Commission Thématique
Analyse Ce la Vulnérabilité et de la
CVCA
Capacité r 'adaptation aux Changements
climatiques ''rI
DF
Diagnostic Participatif
FED
Fonds Européen de Développement
FIT
Front lnter'l'ropical
FONAJ
Fonds National d'Appui à la Jeunesse
GRN
Gestion des Ressources Naturelles
IDË
lnfirmier Diplômé d'État
IMC
lnternational Medical Corps
MPCI
Ministère du Plan et de la Coopération
lnternatior lle
OMD
Objectifs du Millénaire pour le
Développement
ONG
Organisation Non Gouvernementale
OP
Organisation de Producteurs

osc Organisation de la Société Civile

 I
;
{

il:
tir;
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.t
I

I
.t

PADL.GRN lrogFmle d'Appui eu Développement

Local et à la
t'

Gestion de Ressources ,
;

Naturelles I
I
PAM
Programm. ; Alimentaire Mondial I
I
PDL
Plan de Développement Local i

PNSA
Programme National de Sécurité
,i
i

Alimentaire I
PMH
Pompe à Motricité Humaine ,I
SODELAC
Société de Développement du Lac '.':
I

ST i
Services Techniques - - .; ".
UE
Union Européenne
VRA
Vulnerqbility Reduction Assessment
I

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I'
I
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Avant-propos .tl
; .':
.:l I li
Le présent document est le couronnemglt
entrepris avec et au profit des communautés !'un
long processus *planification locate
oe oasà"ou canton Ngursa 1. Le processus
|"
I

a démarré avec les diagnostics participatirs

oes virËg; iu canton. c,est à partir de ces i
grilles qu'un effort collectif oe'reflàxion
et d'analyle a été par.rainé par l,équipe de
facilitateursde l'oNG AcoRD i.r,ào
quadriennale de son développement
en vus à;biùn]"', re canton vers une vision :
(2020 _ZOZqji.
ce PDL ne constitu! Ras uné pite Jà'recettes, ll
ést au ,:ontraire un outil dynamique au i
moyen duquel le comité cantonal de Dévelop6;;i
investissements aussi bien avec l'Etat qu'avec
(ccD) pourra négocier les 1

les'o'rirr"ùrc de fonds locaux ou extérieurs. 'l 't

Ainsi certaines erreurs ou insuffisances qui r '11
seront .onrtrte. pourront êirô corrigées ou
amandées par tous les partehaires du CCD.
I

't .

I
.i :
;
I

,
!

I
I
 lntroduction Générale
Le Tchad s'est engagé dans le processus de la décent"alisation et de la gouvernance
locale à travers la création du ministère chargé de la dé,_entralisation
eile iedécoupage
des entités administratives en provinc;, départcments, sous-préfectures et
commune/canton. Dans la province du Lac, le canton Ngueléa 1 fait partie
des cantons
lPPuyés par RESILAC (Redressemenf Economique ef-Socra t tnctuLif au Lac Tchad).
Ce projet est au carrefour des enjeux humanitaires liés à la crise sécuritaire régionale qui
y sévit, des enjeux socio-économiques qui en résultent, des enjeux climatiques et de
développement pour ce bassin historiquement foisonnant. Un caâre passionnant alliant
l'urgence' le relèvemerrt et le développement durable autour de trois pili"ts opérationnels
(de cohésion sociale entre les ûommunautés, de redressement éconômique progressif
et
de renforcement institutionnel des acteurs clés de la région) et d'un gàstion de
[iti"i
connaissances permettant une extrême adaptabilité ei compréhension- aiguisée du
il

contexte régional et de ses évolutions.

La planification locale est un processus par lequel une communauté donnée dégage ses
problématiques de développement, identifie de manière concertée, ses priorités et
les
traduit qu'elle exécute et gère suivant un planning défini,
C'est dans ce cadre. q1e le comité de gestion Ou ÔCO du canton NGUELEA 1, élargi aux
représentants des ACD ont été appuyé pour mettre au point le plan de développàment
du canton. L'équipe d'appui est composée des facilitateurs et d'un cadre de I'ONG
ACORD, chargé de l'animation dans la province du lac au département Mamdi, des
services techniques locaux et des ONG partenaires.
Objectif du plan de développement local :

L'objectif principal visé à travers l'élaboration du PDL est de doter le canton NGUELEA 1
d'un instrument de négociation des financements conformément aux principes de la
décentralisation et de la bonne gouvernance.

Son but est de définir une vision de développement cantonal à moyen et à court terme
sur la base d'un diagnostic et des propositions de ,.olutions ei d'actions qui sont
programmées de manière participative.

Les préoccupations auxquelles répond le pDL sont :

n Assurer une réflexion commune et un consensus pour une vision comnlune ;

r Assurer un développement harmonieux et durable du canton ;

. Veiller à la gestion transparente des ressources du territoire.

1 .1 Objectifs spécifiques:

Le guide d'élaboration de Plan de Développement Local vise à :

. Donner des informations de base sur l'élaboration d'un pDL ;

. Expliquer la démarche d'élaboration d'un pDL de qualité ;

. Fournir les outils nécessaires pour son élaboratior et sa révision ;
 'I

I
tl
i
i
a Fédérer tous res intervenants en
matière de déveroppement rocar autour i,:
guide d'élaboration de pDL d,un
uniqu. Ëi nurronisé sr,r'ra bÀse oe prusieurs ,f
expériences, I,i
I, ..i

i;
Après les considérations méthodologiques, i
le présent dôcument est présenté en
parties : une première partie
fait le Ëiàr à'.r ;'rgrd,ôes et une seconde partiedeux
ressortir la planification proprement fait
dite.
1.1.1 Méthodotogie ;
La démarche méthodologique qui a été
adapté pour l'é aboration du pDL est articulée
autour des étapes suivanies :

' L'Assetnblée Générale d'information, de

l'Association de Développement canional (Aôôt;r
sensibilisation et de structuration de
cours de laQuelle le oomité
cantonar de Déveroppement (ccD), bureau
&Jériir de |ACD a été éru ;
" L'atelier cantonal de diagnostic pariicipatif qui prlnà
l'élaboration du schémà ou territoire ou àr,iion
en compte l,étude du milieu,
thématiques pour l'identification des prooigÀàr par
et la formation JÀ, grorp",
localite ou canton ; l,analyse
des causes et conséquences, l'identificatiil d; potentialités existantes et la
proposition des pistes de solutions aux problèmes
vécus pàr ràr ôrprlations du
canton pour améliorer leurs conditions de vie. Les
thématiques qui'sJnt à la base
de l'identification des problèmes sont les suivantes
: L'Environnement et Gestion
des Ressorrgg?.Naturelles (GRN) ; Agriculture,-Ei"urg"
et pêche ; l,Economie ;
l'Education et L'Alphabétisaiion ronctiànnerràjl'rièanté,
Eau et Assainissement
du mirieu ; Affaire sociare, Genre VrH sida ciritrl
; -l"rn"r." et sport.
' L'atelier de planification a permis à partir des
établis de définir les axes et aôtions prioriirii". à
résu'itats du diagnostic participatif
insc-rire au ptan de
développement local Les projets sont d'abord repartis
projets infrastru.ctures et les projets environnemunirr*.
en deux categories: tes
Ensuite à l,intérieur de
chaque catégorie, les projets sont classés par ordre
de priorité. c,est désormais
le temps de la formulation de la vision et des objectifs stratégiques
hiérarchisation et de la programmation des action* pow de la
valoriser les potentialités
et,cpportunités locales.
o Et enfin, juste après I'organisation de l'atelier
à la rédaction et ensuite à la validationdedula planification,
'document l,équipe a procédé
auprès du Comité
Départemental d'Action (CDA)

| ...
 1.2. Généralités du canton
1 .2.1 Caractéristiq
ues physiques
Par caractéristiques pnysiqles,
il faudra entendre la pré, entation du
sert de base à ra survie et aux activités milieu naturel qui
productive. 0., popurations Ltut
implantées. t s'agit de de décrire vvvLrr€rr'rtJrrù qui sy
s,y sont
res caractéristiques.
. La localisation géographique du
milieu
. Du relief
:
;

o Des sols ;

o Du crimat et de ra végétation, de ra faune

et de ra frore etc,
1 .2.2 Localisation géograph
iq ue
Le canton Ngueléa 1 se trouve dans
la sous-préfecture de Baga sola, département
KAYA' province du Lac. ll est localisé de
dans la partie noro-est de la proviÈcedu Lac
est limité: et
- Au Nord par les cantons Liwa et Kiskra
- A I'Ouest par le canton Boudouma Dallah
;

- Au Sud par les cantons Madji Wadjia et Bol

;

- A I'Est par le sultanat du Kanem,OjigOaOa

;

et Ngarangou.
Le chef-lieu du canton est Ngueléa
et distant d'enviroi 36 km de Bagasola, chef-lieu
département' on y accède par piste et par du
voix lacustre drr côté ouest. Le canton
compte 418 villages.

1.2.3. Retief
l-e relief du canton est caractérisé par la présence
des dunes de sable et des zones de
dépression qui conduisent à la formation des
orroir,-L"s
orientées du nord-est au sud-ouest et en perpétu"iroru"rent dunes sont généralement
provoqué par les vents
dominants.
1.2.3.1 Les sols
Les types de sols observés dans le canton
sont de cr.:actère pédologique divers. Le
terme général d'alluvions lacustre ne rend pr.
sols' ll en résulte d'un relief en flots émergés
.orpi. àn eret de l,hétérogénéité de ces
et dépressions inter dunaire inondées. ce
qui prouve qu'il existe :

- Des terres de dune

- Les polders,
;

- Des faux polders et des ouadis salés.

Les caractéristiques des terres de dune
sont les suivantes :
l-es sablo-limoneux se trouvent sur les dunes
de sables et favorables à la culture du
pénicillaire, du sorgho, et de niébé.
Alors que oans res polders, les sols sont argileux-
limoneux et propice à l'agriculture de de mai's,
du blé, d-,haricot, de maraichage, etc. les
faux polders sont salés et peu favorable à l,agriculture
1.2.3.2 La carte du canton

/'' '+

{ 10, I
\.-
 !

1.2.3.2 Le climat
Un climat subaride, subdésertique caractérisé par
une courte saison de pluie de
septembre) et longue saison sèche (d'octobre â $ulllet à
précipitations est de 300mm. Au cours lri;j.
La moyenne annuelle des
des dernièrér JJô.nnies une baisse importante
doit est notée : les données météorologiques
o.s iùisïernières années donnent une
moyenne de 15 mm en juin ; Tomm 345 mm eii août et enfin de 46 mm (Voir
"n iuittet,
i
figure ci-dessous).
I
t.

i
IVIMI
400
, ji0 345

300

250

200

r.50

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##
50

0 li

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"tgt \n(' ,.r-" -.r- .gf o*
u..'t't ',tuu' ,r"* .".."*
$d r*r

1.2.3.3 Les températures

Les températures ne dépassent que rarement 40"c et sont assez
fortement contrastées
avec des amplitudes de 20"c en saison sèche et de 'l(. à 1S'c en saison
de pluie. La
ternpérature moyenne est de 2g.C.
1.3. Végétation
1,3.1 Végétation naturelles
Deux types végétation identifiées dans le canton : la formation végétale
des dunes de
sables et celles rencontrées dans les polders. Les dunes de sables
sont les domaines
des arbustes dont les noms sont inscrits dans le tableau ci-dessous.
Tableau N'1 : nom des espèces de plante sauvage

Le no m des a rbre s d u canto n N G U E L EA

N" Nom scientifique Nom en français Nom en Kanembou
ou arabe
1 Balanitess ae aca SAVONNIER KONGUE
1 acacta Kindil
J Acacia senegal Gomme arabi que Koroul
4 Acacia nilotica Proso Ka ar

/' -\,

irr
 I

;
I

t.
i
:

Â
C u.q l
6 Eorassus Dômier
I

Kourtchoum
7 A cacia albida
Karaou
I A ca ctà atAX acantha
Kolo akiné
o Ta ma ri nd o u s nd ca tamarinier ïamichou
10 H aene thébaï caéeo ik
Dleb ou Dileou
11 z hus J ubier Soulou
12
kan r

Par contre dans les polders et les ouadis ont y

rencontre les espèces suivantes : Ies
phragmites sp, le typha australis, les
cypéru, prpyrus, ie ptygont)m sp, les herminiera
melanoxylon etc.
ces différentes espèces sont utilisées par les populationrs
comme bois de chauffe, bois
de service, comme prantes médicares pour |ariméntation
du bétair I

1.3.2 Végétations exotiques : l

La végétation exotique se- limite aux plantes cultivées
dans les jardins devant les maisons
qui servent quelque fois d'ombre elle est complsee des plantes fruitières
comme présentées dans le tableau ci-dessous :

N N om scien rifi ue Nom en fran is Nom local

Citrus aura ta citronnier lemoun
2 Man ifera indica Man uler
? olo
Psidium u ava G avter
4 Pa canca Pa r
5 Phoenix da ifera Palmier dattier wolè
6 Azadiirachta india nimier and
7 Musa aradisiaca bananier banana

Les fruits de ces plantes sont vendus au marché les plus proches
et rapportent un revenu
aux propriétaires des vergers ou soit des champs de polders,
Le paysage forestier de Ngueléa 1 n'est pas constitué que
des espèces végétales, il est
constitué des espèces animales suivantes :
Elephant (Maoun), Ngorto, Bortou (Hyène), Dra (chacar), Nguéré (Gazeile),
singe(dohole), Kouloulou (antilope), Koumassou, Ngac >u (phacochère),
Djita (Lapin),
ndorno (lapin )Ndéri (écureuil), Louzou (chat sauvage;, Ngassi,
Koumari (ligoine),
Koudou (tortue), Kinguila (Porc-épic),etc, certains de cei
animaux tels que l,éléphant, le
singe malgré qu'ils constituent les éléments de la biocénose locale, ils
détruisent les
cultures de la population du canton, tout comme d'autres
animaux tels que l,hyène, le
chacal s'attaquent aux ovins, caprins et aux veaux des
éreveurs.

\
L2J
 ',tI
i
;

1.3.3 L'hydrographie t
:

I
Le canton Ngueléa 1 est desservi par
un bras du lac Tchad, surtout le côté I

ouest' En ce qui concerne l'eau dè surface, ouest et sud- :,

il exisi; ausri des ouadis qui accueillent les t

eaux de ruissellement en saison de pluie. I

Aussi convientir de rappeler que la nappe

phréatique est peu profonde
et estde
localités' sinon il importe de noter que
l'ordre-;";;'i ror de profondeur seton les
:

les nrpp"r prli"atr:ques de certaines localités

patronnées et donc ne sont pas sont
utilisées pour'ra .ôn'ro.rution humaine.
Avec les caprices du climat au Tchad, le.lac
ne reçoit pas assez d,eau des fleuves du sud
ceci s'ajoute à la.mauvaise gestion des ressolrces'rratieutiques,
pâturages, on assiste au tariùement du foncier et des
du Lac et aussi le tarissement des mares non
permanents du territoire du canton,

1'4 Les interventions : Projets et programmes qui

interviennent dans le canton

Jadis, ce sont les dispositifs de vulgarisation

de l'Etat comme l,oNDR, la soDELAC, le
secteur vétérinaire, le secteur d'élevage et
aussi les agents des services sociaux qui
interviennent pour le développement du canton.
Aulouà'hui avec la crise humanitaire
causée par la nébuleuse < Boko l'laram >, le
nombre r]es intervenants a augmenté.
Plusieurs projets et programmes interviennent
dans le cadre humanitaire et pour le
développement auprès des populations déplacées
et les réfugiés et de plus donnent un
appui efficace à la communar-:té. t-e RESILAC,
un projet intégré de développement se
propose d'æuvrer pour assurer le redressement
socioéconomique et culturel de la région
du Lac et particulièrement le déparlement Kaya.
Le document fournis par ocHA fait
ressortir res noms des intervenants dans
re tabreau ci-dessous
Tableau récapitulatif des projets et programmes qui interviennent dans
humanitaire et pour le développement, le cadre
Tableau N'2 liste des ONGs
,o anrsmes et ets intervenants dans le canton
NO Nom de projet et programme
Domaine
1 A C F A (- H D E R, A C H U D E AC TE D BC d'intervention
CA R E C H o RA
C C R coo P C R ù c R T D IA K o N E
FAO H E L P ÏCHA D Sécurité
H D L, N ÏE RS OS OH D o X F A M P
AM S E CAD EV SOS- alimentaire
S E H E L S OS S F U N HC R H RC
2 AC F AC H U D E A c T E D A L N ADJA, A L
MA-AS AS RA D D
CA R E C E L IA F C\AA/V, FA o H E L P T
c HAD M c NTE R
SoS R o M S P A M C E CA DE V U N F PA U N H c R
U N C EF
nutrition
J ACF, AFR COMPETENC E, ALIMA -AS, CRT,
CWW, I MC, santé
INTERSOS IRC ORS IRFPA UNHC
UNICEF

i.i

lra I

,''
 4 A C F A D RA A D S CA R E c L, R c J E R
CAB C R T CWW Eau hygiène et
H E L P TC HA D H D L, N T E R SOS
R C o H D OX F A M S R assainissement
UN UN CEF \rut
5 co CRT HI UNHCR UNIC F
Education
6 AC F AD RA, A F JT A P SE L PA, CA R E c c R
c o OP CR T
H E L P T c HA D H H D L R c OH D o M OX FA M U N
F PA, protection
U N H CR N CE F \ru I
7 ACF ASD CICR CRT HELP TCHAD OIM UNHCR UNI
CEF abris
B OCHA UNDSS U NHCR
La coordination
Source OCHA prése nce opéraiionnelle des parte
naires (3w) février 2019

1.4.1 Les structures Iocales décentralisées

Les structures qui sont mise en place dans le cadre
de l'élaboration du-pr*ocessus de la
planification locale sont le Comités Cantonal a

.!
de Développement (ccD), l,Equipe des
Animateurs Locaux cantonaux (EACL) et le comité de Rédaction
du pDL.. (cRpDL). ces I

structures mise en place sont reconnues par les populations.

Néanmoins ils n,ont pas
encore les capacités de jouer pleinement leurs rôles proprement
dit, L,existence et le
fonctionnement de ces structures permettra d'expérimenter le niveau de la
décentralisation et de la démocratie à la base. ces
structures doivent fournir beaucoup
d'efforts en étroite collaboration avec le CDA, le comité
de pilotage et d,autres
organisations de société civiles pour faire la mobilisati>n
sociale des membres de la
communauté locale et de la diaspora en vue de le motiver afin de donner leur
participation pour la réalisation des micro-projets
retenus,
1.4.2 Les secteurs sociaux
Les secteurs sociaux concernent les services des établissements
l'éducation, de l'hydraulique pastorale et villageoise
de santé, de
et;., qui traitent les problèmes
sociaux des populations.
1.4.2.1 La santé :
En ce qui concerne la situation sanitaire, un certain
nombre d'infrastructures sanitaires a
été implantées dans le canton pour résoudre les problèmes
socio-sanitaires. c,est ainsi
que le diagnostic a permis d'identifiés que
dans le chef-lieu du département, il y a un
hÔpital de district et un centre de santé. Dans
les villages du canton, il est identifié en
plus de ces infrastructures d'autres
centres de santé oo] t tes noms sont inscrits dans le
tahrleau ci-dessous :

Tableau N'3 : répartition des établissements de

santé dans le canton

NO No m des loca lités nombre

DARSALAM t hôpital
I 1 centre de santé
2 NGOLIO 1 centre de santé
3 KALIA 1 centre de santé
4 KOULKIME 1 centre de santé
5 TC INGAM 1 centre de santé

x.4
 ,t
'|

i.

6 MAYA
1 centre de san té
7 N DJO U D o U KO U RA 't
I cen tre de sa nté
1
GALLY
1 ce ntre d ô san té
I NGU ELEA
1 centre de sa nté
10 ÏR OÏROY E 1 cg,1 tre de SA nté
s ources : Résultat du d tag nostic juillet 201
En ce qui concerne le personnel de I
santé exerçant dan S ces établissements
52 a gents de toutes q ualifications de santé, t:
confondues ont été iden tifiés et qui doivent prendre
charge les problèmes de santé de la population en
du ca nton sur une population sanitaire
de 18392 personne S
Les maladies enregistrées dans la localité
sont : la diarrhée, le paludisme, le VIH sida,
les infections respiratoires aigÛes, les infections
urinaires, la fièvre typhoi'de, la fièvre
jaunes etc.,
Les normes médicales imposées parl'oMS prévoient
lrrrédecin pour 1oo ôoo habitants
et un infirmier pour 1o 000 habitants. il convient
de signater que le gros problème de
santé dans cette localité, c'est qu'il existe
le poids de ia culture sur les femmes, une
femme ne peut aller se faire consulter par
un personnel méclical de sexe masculin. ce
qui fait le taux de consultation des fernmes
dans les centrus hospitalier est en baisse. La
raison avancée est que dans la plupart des
centres de santé ce sont les femmes qui
consultent et par conséquent la plupart des femmes
se font consulter par les matrones
ou sage femmes mais pas par les infirmiers, Cette
situation fait penser à la formation des
matrones de la localité qui relaient les infirmiers et autres
agents comme solution face à
la réticence des femmes de se faire consulter par les
agents de sexe opposé.

1.4.2.2 L'éducation
Le système éducatif dans le canton a connu une évo rtion par
rapport aux nombres
d'écoliers et élèves depuis que les hostilités de Boko Haram
a obligé ies populations des
îles à se déplacer en plus des réfugiés venus de Nigeria
et autré tocatite pour trouver
refuge dans le territoire du canton, Ces roru.r.nlts
de populations ont fait que le
nombre des enfants scolarisés et à l'Age scolaire a augmenté
considérablement.
A propos de l'éducation des enfants au primaire, I'inslection départementale
distingue
deux types d'écoles : école urbaine et l'école rurale. pour les écoles
urbaines, les
quartiers qui disposent des établissements sont les
suivant : école urbdine de Kousseri,
de Ngoumansserom, Maa, lia, Nguelea, Kertcha soit six (6) établissements
scolaires et
aussi l'école rurale dans 33 villages, avec un nombre de 13157
écoliers et élèves soit
7376 garçons et 6781 filles sans tenir compte du nombre
d'enfants scolarisables. Ces
écoles sont tenues par 81 enseignants au total toute qualification
confondr".tè" qri
donne le ratio maitre/élève de 248 élèves pour un ensei'ynant si
l'on oompare ce ratio à
la norme nationale qui est 53 élèves par classe.
De plus, il convient de noter que les écoles secondaires sont
comptées à bout de doigts,
on y dénombre un rycée et quatre cEG qui sont localisées
à :

. Boga-sola centre avec un lycée, un collège évangélique et un collège

. Le chef-lieu de Ngueléa 1 est doté d,un CËG
;
;

15
 .. :

. Ef enfin un ôEG de Gari ; i .l

ces établissements parmi lesquels il n'existe aucun établissement

'I ',
secondaire technique
êt professionnel. Le nombre total de classe et 12 classes pour
10 enseignants qualifiés.
En somme compte tenu de l'étendue du territoire
du canton et sa position géographique
et stratégique, il convient de de fournir les efforts pour
créer d'autres écoles dans les
villages reculés et construire les bâtiments scolaires dans
les écoles fonctionnelles, car
trouver les matériaux pour construire un hangar pose pr(
blème aux parents d,élèves.
1.4.2.3. Hydraulique et accès à I'eau potable

ll s'agit pour ce sous chapitre de faire la description des possibilités

de l,accès aux eaux
souterraines, de faire un trilan des infrastructures hydrauiique
dans le canton et aussi de
I'accès à l'eau pour bétail. Evidemment si l'on tienicompte
; du topo séquence du milieu,
les nappes souterraines sont d'une profondeur de 5 à 10m. En ce qui
concerne
l'implantation des fontaines/forages, il se pose un problème compte
tenu de l,étendue de
I'espace du canton.
Avec l'arrivée cles réfugiés le nombre des infrastructures hydrauliques
à augmenter, Cela
ne signifie pas pour autant dire que le problème de l'eau potable
est traité dans le canton.
Certes, dans les villages où les forages sont implantés, :rn grand
nombre de forages ne
donnent pas de l'eau potable pour la consommation ht maine. Dans
la plupart de cas
I'eau de ces forages est natronnée et dégage une odeur, de telle sorte que
jusqu'aujourd'hui certaines personnes notamrnent les
éleveurs cle certaine zone
consomment de l'eau de mares et des puits destinés pour la consommation
des animaux.
Le nombre de forages identifiés est de 300 forages à motricité humaine.
ll existe aussi des puits pastoraux mais qui sont peu utilisés à cause de manque de
pâturage autour de ces points d,eau.

1.5 Les infrastructures de communication

1.5.1 Les routes et la voie navigable
Darrs le canton, il existe trop de prob.'lème en ce qui concerne les
axes routiers. Le
territoire est accidenté par les dunes de sables, si bien que le déplacement
dans le canton
d'un lieu à un autre coute cher. Les axes routiers ne so rt accessibles qu'aux
véhicules
4x 4 et aux gros camions de transport et non n'importe qr el véhicule. Le prix
de transport
des marchandises et de personnes coute cher. Ce qui fait que I'on consiate
la cherté de
vie dans le canton. Désenclaver le canton veut clire que l'on utilise de gros
moyen pour
le bitumage de la piste.
En ce qui concerne la voie navigable, il persiste aussi des difficultés compte
tenu la
réduction des eaux du lac et l'apparition des iles mouvantes qui
obstruent le passage des
pirogues. !.i

1.5.2 La téléphonie mohile

L6
Le eanton est desser,ri par l. réseau de tétéphonie . ,ôëi,e. Ma,s,, exr€rr
endroits qui ne so'''t p"" i"rÀt.
localités suivantes.
Ëur lu ,,gu"uu, Les untennec *r"o"ronËËil-;
Tableau N'4 les antennes de la télé ie mobile identifiées dans le canton
o
N _Nom du village nombre Dénomination
1 Nguelea 1
2 !(aya 1 airtel
a.
éldja 1 Tigo
4 l{gqio 1 Tiqo
Total 4
Sources résultat d u diagnostic juiilet 2019
1.5.3 Les infrastructures marchandes : les marchés
lrebdomadaires
c'est à travers les marchés hebdomadaires que les pop .rlations du canton
écoulent les
produits de récolte, d'artisanat, les produits et sous-produits
d'élevage. L,argent que leur
rapportent les produits vendus leur permet de s'acquitter les prooùits
maÀufacturés et
autres produits utilisés pour la consommation clu ménage.
c'est aussi dans ces marchés
que les membres de la population se procurent les
rôy"ns de production en échange
des moyens qu'ils ont utilisé en termes de renouvellernent de ces moyens.
Dans le
canton, les journées de mardi vendredi samedi et dimanche sont
retenues pour les
marchés dans les villages indiqués ci-dessous dans un tableau,

TableauNos:les urs de marché hebdomadaires

NO Nom des vill Jour du marché
1 NGUELEA vendredi
.)
\J NGOLIO mardi
4 TROTROYE dimanche
S ource: données du diagnost.c

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1.6 Schéma du territoire du canton

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1

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1.7 Milieu humain .rli'

'1.7.{ Historique du canton ':$;il

Le canton Ngueléa est une entité administrative créée par
I'administration coloniale sur ,
la demande des dignitaires représentants les trois'compnunautés i'a
sæurs à savoir les
Ngala, les Gairaou et les Souroumou. ll est situé tout
le long de la bordure du Lac-Tchad. i4

La population de Ngueléa intégral a migré de YEMENE pour s,installer yEGUIL .iii

à une :',i
localité du nord de la provincè du KaÀem où elle tuiétantie par
progression vers le Lac-Tcl'rad à cause de razzias
le passé avant sa
et autres agressions durant le 1ge
siècle, Arrivée au Lac, cette communauté se distingua de la communauté
autochtone
la chefferie Boudouma de BOUGOURMI établie-avant elle dans cette région par de
sa
pratique de la religion musulmane. Cette pratique qui
n'est pas Celle de la chetferie
traditionnelle autochtone est d'ailleurs la source' d.r la dissension
d'allégeances de la communauté Kanembou au chef loroormà.
et de refus
C"it. communauté
sous la direction de MAINA ABDOUMI s'installa à Kindjiria en 1g03-
Àpù. plusieurs
années des mauvaises cohabitations avec les Boudouma, commença alors
une lutte
d'émancipation de la communauté Kanembou vis-à-vis de la communauté
Boudouma
llrigée par KALLAH KoRoMl. Dans cette lutte pour l'émancipation de sa communauté,
MAINA ABDoUMI a été déporté à Fort Archambault (actuel Sârh) pour l.i
son insoumission
au chef de canton Boudouma. Son fils TCHARI MAINAMI coniinua à revendiquer
les
droits à la reconnaissance et sa lutte se solda par la création du canton Kanembou
de
Ngueléa dont il fut le premier chef de canton. it y regna de 1g03 à 1gs0,
date de son
décès. lL fut succédé par son fils AFFONO fCHÂnfù't qui régna de 1950 à
19gg. A sa
mort la succession est dévolue à son fils MAMADoU AFF-oNo qui régna au trône
jusqu'en 2000' Après le décès de ce dernier, une guerre
de succession s'eJt déclenchée
entre son fils ainé YoussouF MAMADOU AFFONO et MOUSSA AFFONO, petit frère
du défunt. Commence alors une dissension interne au sr rin de la famille sur la personne
qui devra présider au destiné du canton, L'équipe de rné Jiation
mise en place à cet effet
a tenté en vain d'amener les parties à un consensus, Devant le statu quo, l.
médiation a
obtenu l'accord de deux parties pour procéder à une élection, Les électeurs sont
les chefs
de villages du canton. En attendant l'élection cantonale, le cousin du défunt MAI
MAHAMAT TCHARI fut désigné pour assurer la transition pendant neuf (09)
mois et ce,
de décembre 2000 à septembre 2001, A l'issu de cete élection, c'est VOUSSOUF
MAMADOU AFFONO, fils ainé du défunt qui a été élu à 92 voix contre 79 pour 'l
son
adversaire.
1.7 .2 Caractéristiq ues dérnog raph iques
La population du canton Ngueléa est estimée à g1g60 habitants. Elle est composée
majoritairement des Ngala, Karaoul et Souroumbou, Ces 3 groupes forment ce qu,on
appelle la communauté DALLA YAKOU. A cela il faut ajouter la présence de la
communauté KADJIDI dans la parlie Est du canton, 'l y a aussi d'autres minorités
d'éleveurs telles que les Gorane, Arabes et peuls et d ,s pêcheurs telles qu,Haoussa,
Kanouri venus du Nigeria, Niger, Mali, etc, i
'ii:
Cette population est concentrée vers la partie ouest (Baga-sola) du fait non seulement
de la présence des polders qui permettent la production àgricole, du développement
de
la pêche ainsi que de l'élevage mais aussi pour son statut du chef-lieu de la sous-
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pféfOetUre, donc du granâ centre administrat.r, du centre çemmerçiar par exçettene9, ]

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cela, il faut ajouter la présence d'un Gamp de refugié Nigérians fuyant les exactions de la I
secte BOKO HARAM dénommé ( campde DARSALAM > installé à12Km au nord de :

Baga-sola. En plus des réfugiés Nigérians, il y a également plusieurs retournés et I

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déplacés des Îles du Lac Tchad augmentant la densité je la population de cette zone.
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De même dans la zone de Sud-ouest, la présence des grcrnds polders productifs a permis .l

la concentration des populations, Dans ces deux zones Nord-ouest et sud-ouest, les I
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éleveurs sont concentrés avec leurs bétails du fait de vaste zone de pâturages ; la
présence des bras du Lac et de leur proximité avec le Nigeria.

Les mouvements migratoires se font d'abord à l'intérieur du canton pour faire du I

I
commerce dans les marchés hebdomadaires. ll y a également des mouvements vers les
cantons voisins comme canton Bol, Liwa, Canton Dallah, etc. et dans les lles du Lac
Tchad à la recherche des terres cultivables, du pâturage, pratiquer la pêche et pôur faire
du commerce. Ce mouvement est périodique et respecte les saisons de pluies et donc la
campagne agricole.
L'exode rural se fait vers les pays voisins à savoir le Nigeria, Le Niger, la Libye et à
l'intérieur du pays. Ces mouvements des bras valides r u canton se font presque toute
I'airnée à la recherche de l'emploi et de bien être des fanrilles restées aux villages.

1.7.3 Organisation sociale, politique et culturelle

Le canton Ngueléa est peuplé majoritairement des clans qui sont :

(Ngala, Kairaou et Souroumbou). Ce sont ces trois groupes ethniques qui sont appelés
sous le nom de communauté DALLA YAKOU qui veut dire (trois groupes ethnique) a
cette communauté DALLA YAKOU s'ajoute d'autres groupes ethnique comme les
éleveurs Gourane, Arabe, peuls et aussi les Haoussa, les Kanouris venus du Nigeria, du
Niger et du Cameroun pour la pêche. Cette population est concentrée vers la partie Ouest
(Baga-sola) du fait non seulement de la présence des polders qui permettent la
production agricole, du développement de la pêche ainsi que de l'élevage mais aussi
pour son statut du chef-lieu de département, donc du grand centre administratif, du centre
commercial par excellence. A cela, il faut ajouter la p'ésence d'un camp de refugié
Nigérians fuyant les exactions de la secte BOKO I-TARAM dénommé < camp de
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DARSALAM > installé à 12 Km au nord de Baga-sola. En plus des réfugiés Nigérians, il
y a également plusieurs retournés et déplacés des îles du Lac Tchad augmentant la
densité de la population de cette zone. De même dans Ia zone de Sud-ouest, la présence
des grands polders productifs a permis la concentration dcs populations. Dans ces deux
zones Nord-ouest et sud-ouest, les éleveurs sont concentrés avec leurs bétails du fait de
vaste zone de pâturages ; la présence des bras du Lac et de leur proximité avec le
\igeria.
Les mouvements migratoires se font d'abord à I'intérieur du canton pour îaire du
commerce dans les marchés hebdomadaires. ll y a également des mouvements vers les
cantons voisins comme canton Bol, Liwa, Canton Dallah, kiskra etc et dans les lles du

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L'exode rural se fait vers les pays voisins à savoir le Nigeria, le Niger, la Libye et à lr
l'intérteur du pays. Ces mouvements des bras valides du canton se fônt presque
toute ,

l'année à la recherche de l'emploi et de bien être des familles restées aux villages.
1.7.4 Organisations sociale, politique et culturelle
Comme toute société africaine au sud du Sahara, la société Dallah yangou est composée
d'au rnoins trois strates : la première strate est composé: du clan supérieuret regroupe
les ménages appartenant la lignée de la chefferie cou ;mière
1te inef de cantàn) ; la
deuxième strate est composée des hadads qui ont conrme activité principale la forge,
I'extraction de natron, et d'autre activités liées à I'agriculture et la boucherie la derniére
;
strate est celle des groupes de famille qui ont intégré les famille des ménages du clan
supérieur et qui constituent la main d'æuvre et qui sont pris en charge,
Politiquement le canton est dirigé par un chef de canton appelé MAl1, assisté d'un adjoint
appelé < Yerima >. Ce dernier est issu,de la famille cantonale. Un appui est donné par
quelques notables qui siègent au palais. Le chef de canton est chargé de prévenir et
régler les conflits, maintenir l'unité et la fraternité entre les populations de son canton et
des cantons voisins. Dans son administration il existe un service chargé de la collecte
des recettes relatives aux taxes civiques qui sont versées au trésor public,
Le chef de canton représente urre autorité morale dans sa circonscription, Les jugements
se passent au palais en présence des notables et des gr umiers. Ces derniers sont sous
la i'esponsabilité du chef de canton ou de Yerima2. Les goumiers sont des soldats qui se
déplacent à dos de cheval et chargés de faire exécuter les décisions prises au palais :{
cantonal.

Sur le plan de l'administration territoire, le chef de canton est représenté dans les grands
centres par des personnes appelées
Wokil, 3

Chargées de jouer les mêmes rôles que le chef de canton dans leurs zones d'exercice.
ll faut préciser que ces Wokil sont majoritairement issus de la famille cantonale. lls ont
sot-ts leurs responsabilités un certain nombre de villages auxquels ils peuvent gérer
certaines affaires administratives et en rendre compte au chef canton. Le canton est
organisé en village ou les mêmes types d'organisation se 'etrouvent: les chefs de villages
sont appelés MARA qui travaillent en collaboration avec es Wokil et avec I'appui de ses
notables. lls sont nommés par le chef de canton à travers une décision cantonale ; il

t Le terme ( MAI )) est utilisé

pour désigner le chef de canton
2 rt
Yermaappellation du représentant du chef de canton
))
3<
Wokil > est l'appellation cju représentant chef de canton dans un village ou une localité

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gxiste des personnes qui gèrent la terre :,ans eha,que vi,rase : eeux_-'à soô€ aFFe.és I

MARA KATIE4.
L'organisation judiciaire du canton Nguéléa se présente de la manière suivante : au I

I
niveau du village le jugement est rendu par le chef de ' illage ou Mara. Les Wokil eux, ,

sont compétents pour connaitre des litiges relevant de leurs zones de responsabilités ou
lç
ceux qui sont présentés devant eux en appel de iugement rendu par les chefs de villages.
i
Quant au chef de canton, il est compétent pour connaitre les litiges en appel de jugement
rendu par les Wokil ou toute autre affaire de haute importance. ll faut ajouter que dans la
plupart des litiges, c'est le règlement à I'amiable quri est privilégié. Dans la majeure partie
de la gestion des conflits le coran est utilisé comme instrument intermédiaire à la prise
de décision, Dans le cas où ily a contestation de la décision rendue, I'atfaire est renvoyée
devant les juridictions compétentes du pays.
Sur le plan culturel le canton dispose d'une organisation de la jeunesse dirigée par un
chef de jeune appelé Mallahs. Ce dernier est assisté d'une femme appelée Goumsouo
dont le rÔle est I'organisation de la junte féminine. Les deux sont nommés par le chef de
canton suivant plusieurs critères notamment la sagesse la capacité de mobilisation, la
notoriété, une bonne connaissance de la Çulture d.r canton entre autres. Cette
organisation de la jeunesse est souvent sollicitée pour agrémenter les mariages, diverses
fêtes, et autres manifestations culturelles dans le.canton et ailleurs.

La majeure partie de la population de ce canton confesision musulmane, Toutefois,

"rt'd. religions qui séjournent dans le
il faut signaler la présence des personnes d'autres
canton. En ce qui concerne les cérémonies religieuses, elles s'effectuent sous la
responsabilité des chefs religieux qui sont des imams. lls ont aussi la responsabilité
d'organiser des grandes prières pour implorer Dieu en cas de catastrophes naturelles.
Les fêtes les plus importantes dans le canton sont ;
.'.1. La fête marquant la fin du ramadan et
;
'+La fête de la tabaski ou fête de mouton
,l- La fête marquant la naissance du Prophèt r Mohamed (sws).
;

Ces fêtes sont des véritables occasions de réjouissance populaires et des retrouvailles.
Plusieurs ressortissants du canton viennent d'ailleurs pour fêter en famille.
Le mariage se fait selon la coutume musulmane. ll consiste en une demande de main de
la fille par la famille du prétendant. Les parents de la jeune fille la consulte et cette
dernière donne son agrément ou son refus à cette demande de main. Cependant dans
la pratique locale ce sont les parents de la jeune fille qui décide à sa place. Le mariage
n'est pas seulement l'union entre l'homme et la femme mais un rapprochement entre
deux familles. D'o[t l'implication des parents dans la gestion de cette union. Le montant

acwara Katie> est utilisé pour

désigner le chef de terre ou celui qui perçois les redevances de terre
s< Mallah>
est le chef d'organisation des jeunes
6<
Goumousou > est la cheftaine de l'organisation des filles ce terme est rrtilisé pour désigner aussi la première
dame du chef de canton
 tt

de la dot est fixé par la larnille de la f)Ite. Le protctè.-e <{ur se r>ose dans ta eommunaqze,
est celui du mariage précoce et forcé qui a pour conséquences l'abandon du foyer par la .i

vJ
femme, les difficultés d'accouchement dues à la non matr,rrité des organes génitaux des
I
jeunes filles, les mortalités maternelles et néo natales, le-s fistules obstétricales, etc, ,,i'

En ce qui concerne la gestion du foncier, dans les faits, la terre appartient la, à I

communauté villageoise ou clan qui s'est installé en premier sur le terroir. C'est ainsi que
les chefs de village et les chefs de terre restent les principaux responsables de la terre ;

ou Mara-Katié. lls sont chargés à ce titre par le chef de canton de : !

't Procéder à la répartition de lâ terre entre les villageois ;

,d- Attribué des parcelles à toute personne qui en fa': la demande ;

'{r, Veuillez aux cérémonies rituelles pour garantir la paix dans le village ou le canton.
1.7.5 Activités économies
Les activités économiques pratiquées dans le canton par les membres de la communauté
sont: l'agricurlture est une activité principale suivie de l'élevage et de la pêche, le
commerce et I'artisanat.
1.7.5.1 Agriculture
La population du canton pratique une agriculture qui selon le relief du canton se fait sur
les polders, les dunes de sable et à côté des ouadis. Les plantes le plus cultivée sont : la
culture du pénicillaire, du niébé et aussi les activités de maraichage dans les polders. Les
plantes cultivées contre saison se composent des tubercules comme la patate, le melon,
les laitues, la carotte, I'oseille etc.
ll convient de noter que n'eut été les interventions de S )DELAC aujourd'hui dénommé
ANIADER dans le cadre d'aménagent des polders, le .;anton subirait les caprices du
climat avec une courte durée de saison de pluie qui commence tard au mois juillet aout
et se termine en septembre soit trois mois de saison de pluie. Cette situation relative aux
aléas climatiques qui a un impact considéralole sur les itinéraires techniques et le
rendement des produits de cultures souvent estimé à 300kg l'hectare.
1.7.5.2 Élevage
L'élevage est l'un des secteurs importants après I'agriculture dans le canton. La
population autochtone pratique l'élevage des bovins, des camelins, des caprins, des
ovins et de la volaille. ll importe de signaler que la population Kanembou n'élève que les
bovins, ovins et caprins et aussi la volaille, Les camelins sont élevés par les éleveurs
Arabes, les Gourane etc.
Cet élevage constitue une source importante dans les revenus des ménages qui le
pratiquent. L'élevage des équidés est pratiqué essentiell :ment pour assurer le transport
des personnes. L'élevage de bovin et de camelin consrituent un élevage contemplatif
alors que les besoins de premières nécessités sont énormes et pouvaient être résolus
par la vente de quelques têtes de bétails. L'élevage pratiqué est de type extensif et les
troupeaux de bovins et des camelins parcourent des grandes distances à la recherche
de pâturage. Compte tenu de l'insuffisance des pâturages en saison sèche et du manque
d'eau, certains éleveurs sont dans I'obligation de pratiquer la transhumance vers les îles
du lac Tchad. Cette pratique entraîne des Fertes d'anamaqx et etes çenfrÈe entre
agriculteurs-éleveurs eVou éleveurs-éleveurs qui se soldent par morts d'hommes.

On note par ailleurs, de façon périodique, la présence des éleveurs nomades et deg
transhumants arabes qui viennent séjourner autour de certains villages du canton entre
les mois de juillet à octobre. Ces arabes éleveurs et transhumants sont d'origine des
régions voisines ou venants du Niger,

Sur les 28 026 ménages recensés dans le canton, il ressort les statistiques suivantes :

- 21562 ménages possèdent des bovines;

- 2744 ménages possèdent des camelins;
8711 mênages possèdent des asins;
- 4180 ménages possèdent des équidés
-7977 ménages possèdent des ovins
- 33248 ménages possèdent des capris'
Ce qui veut dire que le canton fait partie des zones de dt'rveloppement pastoral.
Le canton dépend du poste vétérinaire de Baga-sola p ru opérationnel car I'accès aux
produits reste très limité à cause de I'insuffisance, voire I'inexistence des produits de
qualité. En cas de besoin, les éleveurs font recours aux < docteurs choukou > quivendent
et administrent des produits d'origine douteuse qui font de ravage dans certains élevages
du canton. Le secteur vétérinaire situé à Bol à travers des campagnes périodiques de
vaccination contribue à la prévention de certaines épizooties mais uniquement orientées
vers le gros bétail.
Outre les problèmes cités ci-dessus, il faut souligner que l'insuffisance de l'eneadrement
et le peu d'esprit d'ouverture des éleveurs constituent une des contraintes au
développement d u secteur.
1.7.5.3 Pêche
La pèche fournit des quantités importantes des poisons aux marché, soit de la région
même, soit les marchés des pays limitrophes. Elle est pr rtiquée dans la partie sud-ouest
du canton suivant les bras du lac-Tchad. La pêche est pratiquée principalement par les
populations riveraines. Les matériels utilisés sont principalement le filet, la sagaie, la
senne, l'épervier et I'hameçon. La commercialisation des poissons pêchés dans le
canton est plus exportée vers le Nigeria que vers l'intérieur du pays.

Les dures années de sécheresses répétées ont eu certainement des impacts sur la
production halieutique du canton. ll y a également les problèmes de la gestion non
durable dû à l'utilisation du filet à mailles prohibées. A cela s'ajoute le faible niveau
d'organisation des pêcheurs.
Commerce
1.7 .5.4
La population du canton Ngueléa possède un sens développé pour le petit commerce.
Les activités commerciales reposent en grande par ie sur la vente des produits
âftisânâLjx, I
l)aehat eL Ia revenre des produite asrieote- issus dés po,ders
ri
canton, les animaux sur pied, les produits manufacturés, ,ntc, '.t
"t
Les quatre (04) marchés hebdomadaires du canton constituent les lieux par excellence
l
des échanges économiques de la population. Ces marchés se tiennent régulièrement
chaque vendredi à Nguelea, dimanche à Trotroye et mardi à Ngolio.

Cependant, la population du canton rencontre d'énormes difficultés liées au mauvais état

des pistes rendant difficile les échanges, l'insuffisance des moyens de transport
appropriés.
Les hangars et les étals du marché sont construits en m ltériaux sommaires. Le marché
ne dispose pas de point d'eau potable ni de latrines.

En plus des marchés du canton, les commerçants du canton Nguelea-_fréquentent

également à rythme régulier, d'autres marchés (Ngouboua, Tchoukoutalia, Liwa, Bol,
cru./ :,i
'tl
l.t
1.7.5.5 Artisanat .:!
't'.i
Le secteur de I'artisanat est oratiqué dans le canton mais cette activité est très peu
développée. ll est composé de I'artisanat d'aÉ (vannerie, tissage etc.), où les artisans
exposent le jour de marché hebdomadaire pour avoir de l'argent qui leur permettra de
s'occuper des besoins récurrents, L'artisanat de production (menuiserie, forge, couture)
et I'artisanat de service (maçonnerie, mécanique),
ll. Diagnostic participatif du canton et options de clér etoppement par domaine
Dtr point de vue méthodologique, le crucial du procesr;us d'élaboration du PDL, c'est
l'étape de I'organisation du diagnostic participatif. Elle a consisté à partir de I'explication
des thématiques par domaine (sept domaines sont retenus), et des débats qui en
résultent, à organiser les focus groupes autour 7 domaines thématiques. Les
informations sont collectées au fur et à mesure dans '"tn papier conférence par les
animateurs. Ces informations sont traitées dans un tableau à sept colonnes ? Voir
ta[rleau ci- dessous
 ,ri
i;t
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2.1 Ënvironnement et gestion de ressources naturelles I

2,1.1'Résultat du d nostic
'tll
Coupe abusive de bois le r' Défrichage de / Sècheresse; r' Existences de r' Sensibilisation des
canton champs r' Vent violent; quelques membres de la
r' Utilisation de r' Ensablement espèces communauté sur
bois pour la des ouadis et floristiques et la notion de la
construction polder fauniques ; gestion des
des cases et / Baisse de / Existence des ressources
hangars et fertilité des postes r' lnitier le projet de
autres usages sols Forestiers; plantation et
/
;

domestiques; / Rareté des Existence de d'entretien des

r' Coupe de bois pluies; la loi 14 arbres dans les
d'ceuvre / Disparition de sites choisis par
certaines les critères de
espèces menaces
floristiques et
fauniques
'I"arissement
de des Tout le / Manque de / Rareté de I'eau / Existence des r' Plantation des
mares et ouadis canton couverture de mare ; mares et arbres pour
végétale ; / Profondeur des ouadis empêcher
r' Changement nappes exploitables à I'ensablement du
climatique phréatiques deux niveaux bas fond des
/ /
; ;

Ensablement Transhumance des ouadis à ouadis et mares

des bas-fonds des éleveurs usage exploitables
agricole, et / SensibiliSer les
d'autres pour populations sur les.
l'extraction du conditions d'une
natron bonne gestion de
ces ressources
Consommation de I'eau Bera ; Kale, / Masque de r' Existence des Existence de r' Sensibilisation des
de mares par les Ban, Tcheni, forages maladies quelques habitants des
établissements villaoes sur les
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habitants des villages Malla, , de I'amibiase, socio- méfaits de la

reculés Koyogo choléra, fièvre sanitaires consommation de
typholde I'eau de mares
La mort r' Construire les
forages dans les
villages reculés ;
r' Former les
populations sur la
notion de gestion
des équipements
communautaires
Feu de brousse ïout le r' lgnorance des r' Destruction de / Existence des r' Sensibilisation sur
canton populations la faune et flore règles la nécessité
r' Manque de r' Destruction du traditionnelles préserver la
prise de pâturage ; de protection brousse
conscience de / Disparition de des
conscience la certaines ressources
population sur espèces naturelle;
la gestion des animales et / Existence de
ressourcês végétales laloi 14
naturelles
Rareté de pluies Tout le r' Degradation r' Aridité des r' Existence / Sensibilisation de
canton de sols ; d'une courte la population
l'écosystème; / Déforestation saison de / Plantation des
r' Masque de / Avancée du
;
pluie; arbres
couvert vegetal désert ; / Existence de r' Mettre en place
r' lnfiitration des / Vent violent nappes une convention de
eaux phréatiques gestion des
souterraines d'une ressources
sous-sol profondeur de naturelles
5à10mselon
les localités

2.1.2 Axes rioritaires de dével
Coupe abusive de / Existence des espèces r'
fauniques et
floristiques
/ Existence des postes
forestiers et de la loi
14
Tarisseme des eaux de mares r' Existence des ouadis / promouvoir les
et mares à usage
agropastoral et pour
l'extraction du natron
Feu de brousse r' Existence des règles r'
traditionnelles de
protection des
ressources naturelle
/ ;
Existence de la loi 14
Rareté de pluie Existence d'une courte r'
saison de pluie ;
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I
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I
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Planifier actions de Planiati-gn des arbres dans les
sensibilisation des endroits à risque d'ensablement
membres de la
communauté sur la
notion de ttestion des
ressource naturelles
en vue de es amener à
la prise de conscience
sur I'impact des action
de l'homme sur les
ressources naturelles
conduisant à la
dégradatiorr de
I'environnement pour
une gestion concerté
des ressources
les durable
/ Protéger les mares contre les
actions mauvais usages et les aléas
d'aménagement des climatiques qui occasionnent
mares et ouadis pour sa dégradation
une utilisation durable
Promouvo'r les règles r' Protéger les ressources
communa taires de végétales et animales pour
gestion de ; ressources une utilisation règles de geston
pour une utilisation concertée
durable
lnitier les actions de / Lutter contre la variation
reboisement et climatique qui est à I'origine
d'entretien des plans
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/ Existence de nappes puur une du manque de pluie dans le

phréatiques d'une
profondeur de 5 à '10 m
selon les localités
Consommation de I'eau de mares r' Degradation de
l'écosystème;
/ Masque de couvert
vegetal
/ lnfiltration des eaux
souterraines sous-sol r'
réhabilitation de canton
l'écosystème ;
r' Construire les points
d'eau pour l'arrosage
des plan d'arbre
m
iser les r' Lutter contre les ma
populations et les d'ordre hydrique
former sur les
méthodes simples de
traitement de I'eau
lmplanter les forages
dans les villes qui
utilisent les eaux de
mares

2.2 Agilculture élevage et pêche

2.2,1 Résultat d

Faible rendement ïout le canton / Coupe abusive { Lafaim Existence des r' Construction des
agricole de bois r' La maladie ; ouadis et polder forages
/ ;

Dégradation des r' La mort fertiles r' Disponibiliser les

sols; r' Perte de revenu outils de travail ;
/ lnfertilité des du ménage r' Disponibiliser les
sols produits
/ Rareté des phytosanitaires et
pluies ; les produits pour
r' Les ennemies le traitement des
de cultures plantes ;
r' Mettre en place
les structures
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r' Promouvoir des
actions de
protection des
plantes en
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champs contre les
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animaux
r' Construlre des :!ii
canaux de
canalisation dans
les ouadis fertiles
r' Disponibiliser les
variétés de
semences
améliorées pouç
une bonne

Persistance de Echelle du / Manque de r' Maladie des r' Existence du r' Sensibilisation des
maladies des animaux canton traitement des animaux; cheptel éleveurs de
animaux r' Amaigrissement bétail; manière à
r' La mort r' Existence conduire leurs
des espèces bêtes pour la
de bæufs vaccination;
kouri r' Construire les
pharmacies :

vétérinaircs dans ..rfl

les villages ;
r' lnitier la
construction de-' -.t
parc de
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animaux dans les

villages;
r' Mettre en placê un
dispositif de
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sécurité pour
I
protéger les
I
animaux des
menaces des
animaux
sauvages (hyène
et chacal)
Baisse de produit de la A l'échelle du r' Tarissement des Appauvrissement r' Existence de r' Appui
pêche canton eaux i des pêcheurs et poisson l'organisation et la
/ Disparition de les marchands dans les sensibilisation des
certaines de poissons ; eaux du lac pêcheurs pour
espèces lncapacité d l et les mares une prise de
r' Utilisation de satisfaire la conscience des
filet à mailles demande dt, méfaits de
"
prohlbés ; poisson I'utilisaticin des
r' Manque
;

Accroissement filets prohibés ;

d'organisation de la demande / Mettre en place
dans la cadre de par les vendeurs une structure
la gestion des pouvant permettre
ressources de dispatcher les
halieutiques produits de pêche
vers les marchés .
des pays voisins';
r' Promouvoir des
actions de
formation sur les
techniques de
conservatio4 et de
transformation des

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produits de la
oêche

2.2.2 Axes res

Faible rendement ag
Persistance de maladie des
animaux
/ Existence des Promouvorr des actions / Parvenir à une situation de
fertiles d'aménagement des sécurité alimentaire ;
/ Existence des ouadis polders et ouadis en r' Résoudre le problème de la
fertiles implantant des forages malnutrition par
et motopompe pour l'approvisionnement
I'arrosage cles plantes ; alimentaire varié ;
r' Disponibiliser les / Augmenter le revenu du
semences améliorer ménage;
pour un rendement r' Lutter contre la pauvreté.
meilleur par surface
cultivée ;
r' Disponibiliser les
moyen de travail et les
produits
phytosanitaires aux
membres de la
communa rté pour
traitemenl les
ennemies Je culture
r'lnitier les actions de
formation des
groupements dans les
bonnes pratiques
culturales
r' Existence du cheptel Construire les / Parvenir à mettre améliorer la
bétail santé animale,

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Baisse de produits de pèche
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et doter des Augmenter le revenu des
bceufs kouri médicaments de familles des éleveurs ;
première néc:ssité ;
r' Former les auxiliaires
vétérinaires dans les
qrapnes de villaoes
r' Existence de poisson / Promouvoir des actions / Les pêcheurs ont la capacité de
dans les eaux du lac et d'appui aux satisfaire la demande de
les mares organisations des poisson
pêchers en créant une / Le revenu de ménages des
structure de crédit pêcheurs a augmenté
épargne
/ Former les rrganisations
des pêchers dans le
cadre de la ;estion des
ressources nalieutiques
et les modalités de
dispatcher ces oroduits
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I

2.3 Economie
2.3.1Résultat du d nostic
loôallté:
Mauvaise état de A l'échelle Manque r' Difficulté de Existence de r r' lnitié les projets
route du canton d"aménagement de déplacement des I'espace dégagé d'aménagement
route individus et de de axes
circulation de biens principales pour
r' Enclavent du canton faciliter la
circulation

A l'échelle r' Les marchés à r' Perte de revenus / Existence des r' Meffe en place
lnsuffisance de du canton bétail ne sont des éleveurs marchés dans les marchés à
marché à bétail pas aménagés / Difficulté pour les les villages bétail pour
r' Manque de bouchers d'acheter importants permettre aux
sensibilisation les bétails r' Existence du membres de la
des membres cheptelbétail communauté de
de la dans le canton vendre leurs
communauté bétails
lnsuffisance de A l'échelle / Manque de r' Pénurie alimentaire r' Existence de r' Sensibiliser les '
magasins du canton prise de dans le canton quelques rares membres de la
communautaires conscience de r' Difficulté magasins communauté sur
la d'approvisionnemr rt communautaires le bien fait d'avoir
communauté en produit un magasin
alimentaire communautaire
r' La famine r' lnitier la
r' La mort construction des
magasins
communautaire
dans les gros
villaqes du canton
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Difficulté de transport A l'échelle r' La mauvaise r' Difficulté de r' Existence de des
fluvial du canton gestion des circulation des I'eau du lac usagers dans le
ressources pirogues r' ly a possibilité cadre de la
halieutiques r' Perte de revenu des de navigue_r gestion des
{Le usagers de la voie ressourcgs
I
I

tarisiement fluviale halieutiques ; I

du lac r' lnsécurité
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/ Existence persistante i

des herbes
mouvantes

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2.3.2 Axes de déve nt

Mauvaise état de route / Existence des bras du Mettre sur un Rendre praticable les tronçons les
lac comité d'e nénagement axes roirliel pour la circulation de I

de rural Dersonne et des bien 'J:

lnsuffisance de marché à bétail r' Existence des marchés r' Construire les marchés / Permettre aux de la
I

dans les villages à bétail dans chaque communauté de i

importants marché hebdomadaire s'approvisionnement en

r' Existence du cheptel produit et sous-produit de
bétail dans le canton bétail
/ Existence des postes / Augmenter le pouvoir d'achat
!
i

vétérinaires des éleveurs

lnsuffisance de magasins Existence de quelques r' lnitier les projets de r' Améliorer les conditions de
communautaires rares magasins construction des stockage et
t
communautaires magasins dans les d'approvisionnement en
grappes de village du denrée alimentaire
canton
communautaires
l'iifficulté de transport fluvial / Existence de I'eau du r' Plaidoyer pour r' CEuvrer de manière trouver les
lac résoudre le problème moyens et la technique pour
r' lly a possibilité de de I'insécr rité et de faciliter les conditions transport
naviguer stabiliser l.rs herbes 'fluvial .

mouvante qui bloque la *

circulation des
pirogues
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2.5 Education et alphabétisation fonctionnelle

2.5.1 Résultat du d nostic

Abandon A l'échelle du r' lgnorance des r' Analphabétismes r' Existence des r' Mener les actions
canton écoliers et des jeunes ; organisations . de sensibilisation.
élèves r' Déperdition des jeunes ; relative à l'éducation
r' Manque de prise scolaire r' È,xistence de la des enfants et en
de conscience plateforme particulier la
/
;

Manque de r' Existtnce d'une scolarisation des

sensibilisation forte pôpulation jeunes filles
/
;

des écoliers et des enfanis à Sensibiliser les

élèves sur le l'âge scolaire parents des enfants
bien fait de sur la nécessité
l'éducation d'inscrire les enfants
r' Mariage précoce à l'école pour leur
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i
I avenir
Manque de manuels A l'échelle du / Les enseignants Baisse de niveau r' Existence des Plaidoyer pour la
scolaires r:anton éprouvent des des enfants ; jeunes qui nnstruction des
difficultés pour r' Manque de s'adonnent à la bil,i!othèques
préparer les motivation : lecture dotèçs des
leçons aux / Abandon fournif{res scolaires
enfants précoce et initie,' les enfants
r' Difficulié aux à la lectus ;
enfants de faire r' Doter à chaque
la lecture à la école des mr.rruels
maison
lnsuffisance de salle A l'échelle du r' Manque de r' Baisse de niveau Existence des ,/P des
de classe canton motivation des des enfants inspections de actions de
r'
;

parents d'élèves Manque de I'enseignement ; construction des

/ Difficulté de motivation des / Existence de salles de classe
trouver les élèves I'organisation dotée des tables
matériaux de / Difficulté de des parents bancs et armoires
retenir les lecons d'élève dans les écoles des
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construction do pour les classes vlllages qui

salle de classe désuètes manquent de salles
r' Rentrées tardives de classe ;
*/ Construire des
hangars dans les
villages en.
complément des
salles de classe
lnsuffisance de A l'échelle du Manque de r' Baisse de niveau r' Existence des r' Mener les actions'
personnel qualifié canton formation des des enfants ; jeunes diplômés de plaidoyer pour la
enseignants / Manque de r' Existence des formation des
motivation des inspections maitres
r' Existence des
;

élèves communautaires €t
/ Difficulté de maltres de leur prise en
retenir les leçons communautaires charge;
pour les classes r' Plqidoyer pour
désuètes l'affectation des
enseignants
qualifiés

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2.5.2 Axes rioritaires de dével ment

Abandon / Exister,ce d'une forte / Mener l'action de senslbiliser les parents d'élèves et
population à l'âge sensibilisation dans les élèvès èux-mêmes de
scolaire dans les tous les villages du l'importance d'envoyer les enfants
villages du canton canton à l'école et de faire le suivi pour
/ Existence d'une r' Plaidoyer pour résoudre le problème d'abandon
organisation des l'instauration de
parents d'élève cantine scolaire
/
,

Existence de
l'inspection
départementale de
l'éducation
Manque de manuels scolaires / Existence des élèves r'
qui sont motivés dans
la lecture et I'exercice
pratiques
lnsuffisance de salle de classe / Existence des classes
organisées sous les
arbres
/ Création des écoles
lnitier le projet de r' Améliorer les conditions d'une
construction de bonne éducation des enfants
bibliothèque pour
permettre aux
membres de la
communauté de se
cultiver
n / Constru re les salles de classe
de classe et des points pour les enfants
d'eau dans les écoles
des villages
communautaires dans
les villages reculés

I nsuffisance de personnel qualifié r' Existence des jeunes r' lnilier un I 'ojet de r' Résoudre le problème par la
diplômés formation.ies maitres demande d'affectation, la
/ Existence des communautaire et de formation des maitres | ,i|l'
inspections : leur en cha communautaires tous en

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/ Existence des maltres demandant leur prise en

communautaires charoe réqulière

2.6 Santé.Eau potable-Assalnissement

2.6.1 Résultat du
Problème localité uences
Faible taux de A l'échelle du / lgnorance r' Persistance des r' Existence / Sensibiliser les
fréquentation des canton / Manque de maladies, des centres populations sur le
centres sanitaires et prise de / Amaigrissement; de santé bien fait de la
sociaux conscience / Mort r' Existence du consultation des
des personnel centres de santé ;
membres de médical / lnitier les projets de
la création des
communauté centres de santé
dans les villages se
trouvant loin des
centres de santé
Faible consultation des A l'échelle du r' lgnorance / Avortement; r' Existence r' lnitier les actions de
femrnes en ceinte à la canton / Manque de / Fort.taux de des centres sensibilisation des
consultation prénaiale prise de mortalité de santé femmes en ceinte
conscience infantiles r' Existence du sur l'importance de .T
/
;

des femmes Décès des personnel la consultation ti

des bienfaits femmes médical prénatale
de la CPN / Existence de
la plateforme
des femmes
Faible taux A l'échelle du r' lgnorance / Avortement; r' Avortement; / lnitier des actions
d'accouchement dans canton r' Manque de / Forl. taux de / Forttaux de de sensibilisation et
les centres de santé prise de mortalité mortalité de formation des
conscience infantiles ; infantiles ; aides
des femmes accoucheuses qui
 , lili

r' Refus des r' Décès des r' Décès des auront comme
femmes femmes femmes taches de servir de .
d'être relâi entre les
consultée femmes et le cenire
par les de santé ;
hommes / Plaidoyer pour la
prise en charge des
matonnes ou aide
accoucheuse

2,6,2 Axes rioritaires du nt

!'
,1

li
Faible taux de fréquentation des
centres sanitaires et sociaux
Faible co on des femmes en
ceinte à la consultation prénatale
Faible taux d'accouchement dans
les centres de santé
Existence des centres r' Promouvoir des actions / Les membres de la
de santé de sensibilisation sur la communauté ont pris
Existence du personnel nécessité de conduire conscience de la nécessité de
médical les malades dans les se rendre dans les centres de
Existence des centres de santé santé pour se soigner
médicaments
r' Existence des centres r' Sensibiliser les Les femmes en ceinte ont pris
de sanlé femmes en ceinte sur conscience de la nécessité
/ Existence du personnel le bien fait de la d'aller se faire consulter dans
médical consultation prénatale ; les centres de santé
/ Existence de la / Former les matrones
plateforme des femmes pour faire le relai entre
les femmes en ceinte
et les centre de santé
/ Avortement; / Promouve r des actions r' Les femmes ont pris
r' Foft. taux de mortalité de sensib sation conscience de la nécessité de
infantiles auprès deu femmes se faire appuyer par les sages-
/ Décès des femmes
;

femmes

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2.6 Affaires sociales/gen re

2.6,1 Résultat du di nostic ,t
't

Manque d'un centre pour A l'échelle r' Manque de r' Prolifération r' Existence de r' Mettre en place un
la prlse en charge et de canton prise de des I'hôpitalde centre d'accueil, de
dépistage des maladies conscience maladies Baga-sola; sensibilisation et
telle que : MST/VIH SIDA / lgnorance r' La morti
;

/ Existence dépistage des

d'un centre maladies
de santé de transmissible
Nouelea'l MSTA/IH/SID
Manque de moulin A l'échelle du r' Manque de r' Les femmes r' Existence des r' lnitier un projet de
communautaire canton prise de ont de la peine moulins le jour mise en place des
conscience à moudre la des marchés moulins
r' lgnorance farine ; hebdomadaires communautaires par
/ Le temps de grappes de villages
travail pour alléger le temps
journalier est de travail des
surchargé femmes;
r' Formation des
femmes sur la notion
de gestion des
équipements collectifs
Manque de salle de A l'échelle du r' Manque r' Les femmes r' Existence des r' lnitier un projet de
réunion et de formation canton d'initiative des éprouvent la organisations, construction d'une
des femmes membres de ditficulté à groupement et salle de réunion et de
la s'exprimer en association des formation des
communauté public devant femmes; femmes
/ Manque de les hommes / Existence des
r'
,

sensibilisation Les femmes organisations

de la ont de la des jeunes
communauté honte de se
faire former
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dans un lieu à
découvert
Manque de structure de A l'échelle du r' Manque r' Les femmes / Existence des r' Plaidoyer pour la
crédit pour les femmes canton d'initiative éprouvent des organisations, mise en place d'une
difficultés groupement eT structure de crédit
monétaires association des épargne pour appuyei
pour exercer femmes; les organisations des
les activités / Existence des femmes
génératrices organisations
de revenu ; des jeunes
r' Les femmes
ont des
difficultés à se
procurer de
leurs besoins
récurrents
Manque de matériaux A l'échelle du r' Difficulté de r' Les membres r' Existence des r' Construction des
pour la construction de canton trouver les de la lieux de hangars dans les
hangars dans les matériaux communauté marché sans marchés pour
marchés pour exposent leurs hangars permettre aux
construire des marchandises membres de la
hangars au sous le soleil communauté
marché; ardent ; d'exposer leurs
r' Les tentatives marchandises
de
construction
de hanoar

I
 I
I
,

I
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2.6.2 Axes prioritaires de développement

2.7.1.2 Axes oritaires de
:trPdg6lènre 'l r':l
l;ij|,$ ;

Manque d'un centre / Existence des nitier un projet de Réduire le chômage et

d'apprentissage et de formation organisations des construction d'un rural et la délinquance des
professionnelle jeunes centre de formation et jeunes
r' ;

Existence d'une forte d'apprentissage équipé r' Création de la promotion des

;

proportion des jeunes de moyens de travail jeunes entrepreneurs

trlour l'appur des jeunes r' Rendre accessible les jeunes
;

Manque de terrain de sport / Existence des pour r' Création d'une cohésion
aménagé organisations des I'ilménagement d'un sociale entre les jeunes
Jeunes terrsln 6" sport dans
r' Existence d'une forte les villages
proportion des ieunes
Manque de bibliothèque / Existence des ln un projet de r' Donner l'occasion aux jeunes
organisations des construction de de s'exercer et de s'ouvrir à '
jeunes :r bikiiiothèque dans les l'exterieur
/ Existence d'une forte écoles
proportion des ieunes

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2-a Synthèse I
cfs cfiagnostic :

:
I

"Doma:ine rê
m e mênt'
Coupe abusive de Planifier les actions r e ,/ Sensibilisation des
bois sensibilisation des membres de la
membres de la communauté
communauté sur la ,/ Plantation des
notion de gestion des arbres dans les
Ënvironnement Feu de brousse ressources naturelles endroits à risque I
I
GRN d'ensablement I

Promouvoir les règles ,/ Sensibilisation des

I
!

communautaires de populations sur

gestion des ressources l'impact de feu de
pour une utilisation brousse sur
durable l'environnement ;
,/ organiser des
journées
d'information et de
discussion avec les
chefs coutumiers
pour faciliter la
compréhension de
la loi 14
Faible rendement ,/ Promouvoir des ,/ Mettre en place des
projets infrastructures
d'aménagement hydrauliques dans
des polders et les polders et
ouadis en ouadis pour une
implantant des agriculture durable.
forages et ,/ mettre à la
motopompe pot r disposition des
Agriculture I'arrosage des membres de la
Elevage et Pêche plantes communauté les
,/ ;

Disponibiliser les semences

semences améliorées et les
améliorer pour un produits
rendement meilleur phytosanitaires
par surface pour le traitement
cultivée des plantes
,/
;

Disponibiliser les organiser la

moyen de travail et formation des
les produits groupements sur
phytosanitaires aux les nouvelles
membres de la techniques
communauté oJr agricoles
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ennemies de ,,'
culture ',t
,/
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lnitier les actions ''!

de formation des
;
groupements dans
les bonnes
rati ues culturales
Persistance de Planification des actions ,/ Organiser la
maladie des consistant à améliorer campagne de
animaux la santé et l'alimenta'ion vaccination ;
des bétails dans le ,/ Construire les
canton pharmacies !

I
vétérihaires et i

banque de
compléments
alimentaires pour
bétail ;
,/ Construction une
banque de
compléments
alimentaires
./ Former les auxiliaires
vétérinaires dans les
grappes de villages

Difficulté d'accès Promouvoir des actions ,/ Organiser un forum

dans les îles de règlementation sur la sur la question de
thématique de gestion gestion de pâturage
des couloirs de dans les îles
transhumance et du
ra dans les îles
Baisse de produits Promouvoir des actions r' Accorder aux
de pêche d'appui aux groupements de
organisations des pêcheurs du crédit
pêchers en créant une pour se ravitailler en
structure de crédit moyens de pêche
épargne '/ Organiser la
formation des
membres de
groupement des ili
pêcheurs dans le
cadre de la gestion
des ressources
halieutiques et les
modalités de
 roduits
Economie Mauvais état de Plaidoyer pour Projet d'aménagement
piste l'aménagement des des
pistes pour faciliter lr. Axes routiers pour la
circulation et circulation de personne
désenclaver les villages et des biens
du canton
lnsuffisance de Mettre en place les Construire les marchés
marché à bétail infrastructures à bétail dans chaque
pastorales pour marché hebdomadaire
faciliter la vente des pour faciliter l'échange
produits et sous- et satisfaire les besoins
duits de bétail en roduit de bétail
lnsuffisance de lnitier les projets de Construire les magasins
magasins construction des communautaires dans
communautaires magasins les villages
cornmunautaires pcur
stocker les denrées
alimentaires
Difficulté de ,/ Plaidoyer pour ,/ Organiser un forum
transport fluvial résoudre le de sécurité
problème de regroupant les
l'insécurité et de autorités locales,
stabiliser les administratifs, les
herbes mouvante personnes
qui bloque la ressources sur la
circulation des thématique de la
pirogues paix et cohésion
sociale pour
garantir la sécurité
des pêcheurs et
leurs clients
,/ Mettre en place un .
'l 'it
conlité de gestion et
d'étude des
modalités de
stabiliser les herbes
mouvantes
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u 0n ÂDan00n { Mener I'action de v Senstoiltser les I

sensibilisation dans parents d'élèves et rl

tous les villages clu les élèves eux- I

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canton mêmes de
,/ Mettre en place l'importance
'')
I
une stratégie pour d'envoyer les
attirer les enfants à enfants à l'école et
s'intéresser et de faire le suivi pour
prendre le gout résoudre le
d'aller à l'école problème
d'abandon
,/ Plaidoyer pour
l'instauration de lil

cantine scolaire

lnsuffisance de / créer les conditions \/ lnitier le projet de

manuels scolaires d'une bonne construction de
éducation des bibliothèque pour
enfants permettre aux
membres de la
communauté de se
cultiver
lnsuffisance de ,/ Construction des ,/ Construire les
salles de classe salles de classe et salles de classe
des points d'ear pour dans les
dans les écoles écoles
des villages fonctionnelles des
,/ Mener des actions villages du canton
pour faciliter la ,/ Création des écoles
création des écoles communautaires
dans les villages dans les villages
qui manquent de reculés
structure scolaire

lnsuffisance de ./ Mettre en place ,/ Mettre sur pied un

personnel qualifié une stratégie pour comité en charge
résoudre la de rédiger la
question demande
d'affectation, la d'affectation et de
formation des son suivi
maitres ,/ lnitier un projet de
communautaires et formation des
de leur prise en maitres
charge régulière communautaire et
de leur prise en
charqe
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1

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I

Faible taux de / P(oma uvair des

fréquentation des actions de communauté pour
centres sanitaires et sensibilisation sur une prise de
sociaux la nécessité de conscience de la
conduire les nécessité de se ' tr
malades dans les rendre dans les
centres de santé centres de santé
r se soi er
Santé Faible taux Organiser les actions de ,/ Sensibiliser les
consultation des sensibilisation sur femmes en ceinte
femmes en ceinte à l'approche de santé sur le bien fait de la
la consultation communautaire afin consultation
prénatale d'amener les membres prénatal-e ;
de la communauté à
prendre conscience la ,/ Former les
nécessité de se faire matrones pour
soigner dans les assurer le relai
centres de santé entre les femmes
en ceinte et les
centre de santé
Faible taux ./ Promouvoir des ,/ Organiser une
d'accouchement actions de lnformation
:t
dans les centres de sensibilisation Education
santé auprès de la Communication ,
communauté (lEC) pour la prise
de conscience des
biens faits de soins
de santé
manque de centre ,/ Mener des actions ,/ lnitier les projets de
de santé dans le pour réduire les construction des
quartier SODELAC problèmes socie ux centres de santé et
sanitaires vécus. la construction des
par les membres latrines dans les
de la communauté ménaqes
Affaire Malnutrition ,/ Promouvoir des ,/ Sensibiliser les
sociales/genre actions tendant à populations sur des I

éradiquer la questions de
malnutrition dans variations
les villages du alimentaires;
,/
canton '/ Organiser la
Mettre en place les formation des
straiégies de femmes sur les
renforcement des méthodes culinaires
capacités des de préparation des
membres de la

t'
 99mmunautÉ qanD alrmçntD çt pguill19
la connaissance ,et enrichie
la composition des
aliments nutritifs
Manque de '/ Plaidoyer pour la ,/ lnitier un projet de
structure de crédit mise en place d'une création d'une
et épargne pour les structure de crédit- structure de crédit
AGR des femmes épargne pour les pouvant appuyer les
activités organisations de
génératrices des femmes à exercer
femmes et d'autrr s leur AGR
qroupes intéresse s
Manque de Promouvoir des actions ,/ Projet construction
rnatériaux pour la pour faciliter la des hangars en
construction de construction des matériaux durables
hangars dans les hangars dans les dans les marchés
marchés marchés pour les pour les
organisations des organisations des
femmes artisans et les AGR
des femmes
Culture, jeunesse Manque d'un centre { Promouvoir de ,/ ; lnitier un projet de
et sport d'apprentissage et réduction du construction d'un
de formation chômage, de centre de formation
professionnelle I'exode et de la et d'apprentissage
délinquance des équipé de moyens
jeunes en metta rt de travail pour
sur pied une l'appui des jeunes
structure de Créer un centre de
formation et formation en
d'apprentissage entreprenariat,
professionnelle
Manque de terrain ,/ Plaidoyer pour ,/ Aménagement de
de sport aménagé I'aménagement terraine de sport
d'un terrain de équipé pour les
sport dans les jeunes
villaoes
Manqué de lnitier un projet de ,/ Construire une
bibliothèque construction de bibliothèque pour
bibliothèque dar s faciliter et initier les
les écoles membres de la
communauté à la
lecture
 I

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lll. Projet de développement et la durée d'éxécution 'I

I
3.1 Environnement GRN
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I

Plantation des Andja

1
11 370 Partenaire Mai-juin 2021
arbres dans les
s
zones à risque
intervenant
au
1 Dikilya 1 1 370 000 10% I
1 Watani, 1 1 370 000 10% Mai-juin 2021
Senslbllisation pour 3 Axes CCD 3 495 0000 Partenaire
:
10% Juillet août 2021
une gestion Ngueléa- s
corrcertée des Dabatchalli intervenant
ressources Ngueléa-Midikoura au Lac,
partagées à travers Ngueléa-Samya
des conventions Ngueléa-Bibi
locales et balisage
des couloirs de
transhumance
lmplantation de 1 Oura ccD 7 000 000 RESILAC 10%
, Année 2021
forage,
1 village Alhadji- ccD 000 Partenaire 10% Année 2021
Koukou, s
intervenant
au Lac.
1 Boudou-yirom, ccD 7 000 RESILAC
1 Tcheni, ccD 7 000 000 Partenaire 100/o Année 2021
S
intervenant
au Lac.

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1 Ngoutou-koumba CCD 7 RESILAC 10o/o Année 2021

Sous total 11 104 105 00r Partenaire 10%
s
intervenant
au Lac,

3.2 Iture é eet e

Aménagement de 1 Nguelea 100ha ccD 9'1 000 000 Partenaires 10% Mars - dec2021
polders intervenant
au l-ac,
1 Nguelea-Yalaye CCD 47 000 000 Partenaires 10% Mars - dec2Q21
intervenant
au
1 Mala-kouto 60ha ccD 54 000 000 10% Mars - dec2021
intervenant
au
1 Kalia 90ha ccD 81 000 000 Partenaires 10% Mars - dec2021
intervenant
au Lac,
Construction d'une 1 Nguelea centre CCD 1 35 000 000 Partenaires 10o/o Mars - Mai2021
banque d'aliment intervenant
pour bétail au Lac.
1 Ngolio ccD 135 000 000 Partenaires 10% Mars - Mai2021
intervenant
au Lac,
1 Margom CCD I 35 000 000 Partenaires 10o/o Mars - 2021
intervenant
au Lac.
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1 Kalia ccD 1 35 000 000 Partenaires 10% Mars - Mai2021

intervenant
au Lac,
1. Construction d'une 1 Mya ccD 31 875 000 Partenaires .-1Q_% Aoùt -nov 2021
structure de intervenant
conseryation et au Lac,
transformation de 1 Wolerom ccD 31 875 000 Partenaires 10o/o Août -nov'2021
produits de pêche ; intervenant
AU
1 Talia ccD 31 875 000 Partenaires 10o/o Aott -nov 2021
intervenant

1 Broum-tcheloum CCD 31 875 000 Partenaires 10o/o Août -nov 2021

intervenant
au Lac.
2. octroi de crédit aux 1 Mya ccD 5 000 000 Partenaires 100 Aott -nov 2021
pêcheurs pour les intervenant
outils de pôche au Lac.
1 Wolerom ccD 5 000 000 Partenaires 1jYo Aott -nov 2021
intervenant
au Lac.
I Talia CCD 5 000 000 Partenaires 1Qo/o Aott -nov 2021
intervenant
au Lac,
1 Broum-tcheloum CCD 5 000 000 Partenaires 10o/o Août -nov 2021
intervenant

Sous total 16 687 500 000 10o/o

 3.3 Economie
li
lii[l,lT'Jilfr li

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l, I. i:
Aménager des axes routiers Nguelea-bol CCD 36 000 000 Partenaires 10% Année 2021
intervenant
au Lac,
1 Nguelea baga-sola ccD 36 000 000 Partenaires 10o/o Année 2021 i

intervenant
au Lac.
1 Nguelea Ngolio CCD 36 000 000 Partenaires 10o/o Annêe 2021
intervenant
au Lac,
1 Nguelea koulkime CCD 36 000 000 Partenaires 10% Annëe.2021
intervenant
au Lac,
Construction de magasins 1 Nguelea ccD 25 )00 000 Partenaires 10o/o Sep oct 2021
communautaires intervenant
au Lac.
1 Ngolio ccD 25 000 000 Partenaires 1Oo/o Sep oct 2021
intervenant
au Lac,
1 Trotoye ccD 25 000 000 Partenaires 1Oo/o Sep oct 2021
intervenant
au Lac.
Gali ccD 25 000 000 Partenaires 10o/o Sep oct 2021
intervenant
au Lac.
1 KoulKime ccD 25 000 000 Partenaires 10% Sep oct 2021
intervenant
au Lac,
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Construction de pharmacie 1 Nguelea centre ccD 23 000 000 Partenaires 1Oo/o Mai et juin
vétérinaire et équipement intervenant 2021
au Lac,
1 Ngolio ccD 23 000 000 Partenail-es 10o/o Mai et jur!
intervenant 2021
au Lac.
Eclairage de la ville par les I Nguelea centre ccD 100 000 000 Partenaires 10% Mai et
oanneaux solaires intervenant 2021
au Lac.
Sous total 12 41. 000 000

3.4 Education

Sensibilisation des parents d'élèves 1 Tout le canton CCD 3 420 000 RESILAC 10% Août sept
sur l'importance de l'éducation des 202'l
enfants
Faire de plaidoyer auprès des 1 Nguelea CCD 5 100 000 Partenaires 10o/o 2021
partenaires pour la dotation des intervenant
écoles en cantines scolaires (PAM) au Lac,
1 Ngolio CCD 5 100 Partenaires 1Qo/o 2021
intervenant
au Lac,
1 Tchingam ccD i 100 000 Partenaires 10% 2021
intervenant
au Lac,
1 Broum-Tchouloum CCD 5 100 000 Partenaires 1Qo/o 2021
intervenant
au Lac,
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1 Maya CCD tJ 100 Partenaires 10% 2021

intervenant
au Lac.
Construction de salle 1 Tchingam CCD 5 100 000 Paltenaires 10o/o Juillet aout
intervenant
au Lac.
1 Nguelea ccD 35 000 000 Partenaires 10o/o Juillet aout
intervenant
au Lac,
1 Ngolio CCD 35 000 000 Partenaires 10% Juillet aput ..

intervenant
au Lac.
1 Tchingam CCD 35 000 000 Partenaires 1jVo Juillet aout i

intervenant
au Lac.
I Broum-Tchouloum CCD 35 000 Partenaires 100/o Juillet aout
intervenant
au Lac,
1 Maya ccD lis 000 000 Padenaires 10% Juillet aout !'
intervenant
au Lac.
Plaidoyer pour la formation
et la 1 Nguelea CCD 41 Partenaires 10% Annêe2021'
prise en charge des maitres intervenant
communautaires au Lac.
1 Ngolio ccD 4 100 000 Partenaires 10% Année 202:1,
intervenant
au Lac.
1 Tchrngam ccD 4 100 000 Partenaires 10% Année 2021.
intervenant
au Lac.
1 Broum-Tchouloum ccD 4 100 000 Partenaires 1Oo/o Annêe2O21'
intervenant
au Lac,
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I CCD 4 100 000 Partenaires 1Qo/o Année 2021i

intervenant
au Lac.
Sous total 16 221 000 000 100/o

3.5 Santé

Sensibilisation des I Nguelea centre ccD 3 000 000 Partenair 10% Fev et mars
communautés sur ES
I'importance de soins de intervena
santé (surtout les femmes) nt au Lac.
1 trotroye ccD 3 Paftenair 1Oo/o Fev et mars 2021
ES
intervena
nt âu Lac.
1 Ndjoudou ccD 3 000 00( Paftenair 10o/o Fev et mars 2021
es
intervena
nt au Lac.
1 Ngolio ccD 3 000 000 Partenair 10o/o Fev et mars 2021
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1 Koulkime ccD 3 000 000 Partenair mars 1

es
intervena
nt au Lac.
1 Tchinam ccD 3 000 000 Partenair 10% Fev et mais 202{
es
intervena
nt au Lac.
1 Maya ccD 3 000 000 Partenair 1Oo/o Fev mars 2021
es
intervena
nt au Lac.
1 Gali ccD 3 000 000 Paftenair 10o/o Fev et mars 2021
es
intervena
nt au Lac.
1 Kalia ccD 3 000 00( Partenair 10% Fev et mars 2021
ES
intervena
nt au Lac,
1 Doula ccD 3 000 000 Partenair 10o/o Fev et mars 2021
es
intervena
nt au Lac,
Projet de formation des 1 Nguelea centre ccD 15 000 000 Partenair 10% Fev et mars
aides accoucheuses ou ES
matrones et leurs prise en intervena
charge nt au Lac.
1 Gali ccD 15 000 000 Partenair 10% Fev et mars 2021
ES
intervena
nt au Lac.
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I Ngolio ccD 15 000 000 Partenair 1Oo/o Fev et mars 2021

es
intervena
nt au Lac,
1 Kalia ccD 000 Partenair 10o/o Fev et mârs 202{
ES
intervena
nt au Lac.
Construction de centres de Nguélea centre ccD 54 000 000 Partenair 10o/o
santé es/Etat
Gali ccD 54 000 000 Paftenair 10%
es/Etat
Ngolio ccD 54 000 000 Paftenair 1Oo/o
es/Etat
Koulkimé ccD 54 000 000 Partenair 10o/o
es/Etat
Sous total 14 ccD 306 000 000 Partenair 10%
es
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I intervena
I nt au Lac.

3.6 Affaire sociale

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centre 1 Nguelea centre ccD 36 000 000 Partenaires 10o/o !

dépistage des maladies intervenant

au Lac,
lrrojet moulins communautaire I Nguelea centre ccD 5 000 000 Partenàires 10o/o 2021 -2025,
intervenant
au Lac.
1 Ngoyake ccD 5 000 000 Partenaires 10o/o 2021 -2025
intervenant
au Lac.
1 Koulkime ccD 5 000 000 Partenaires 10o/o 2021-2025 ',

intervenant
au Lac.
1 Betra ccD 5 000 000 Partenaires 1Oo/o 2021 -2025
intervenant
au Lac.
I Ngolio ccD 5 00c 000 Partenaires 10% 2021 -2025
intervenant
au Lac.
1 Machi ccD 5 000 000 Partenaires 10o/o 2021 -2025
intervenant
au Lac,
I Kalia CCD 5 000 000 Partenaires 10% 2021 2025
intervenant
au Lac,
I watani ccD 5 000 000 Paftenaires 1Oo/o 2021 -2025 r

intervenant
au Lac,
1 Mindeou CCD 5 000 000 Partenaires 1Oo/o 2021 -2025
intervenant
au Lac.
1 Ngoumacherom CCD 5 000 000 Partenaires 10o/o 2021 2025
intervenant
au Lac,
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Construction d'une salle de 1 Nguelea centre ccD 15 000 000 Partenaires 10% 2021
réunion et formation des femmes intervenant
au Lac.
Octroi de crédit pour les activités I lsiefaKna CCD 3 000 000 Partenâires 10o/o 2021 -?025
génératrices de revenu des intervenant
groupements des femmes au Lac.
1 Zanga-zanga ccD 3 00c 000 Partenaires 10o/o 2021-2025 {

intervenant
au Lac.
I Fotine ccD 2 500 000 Partenaires 100/o 2021-2025
intervenant
au Lac.
I Al hak ccD 1 500 000 Partenaires 0o/o 2021-2025
intervenant
au Lac,
1 Almiskin ccD 2 000 000 Partenaires 10o/o 2021-2025
intervenant
au Lac,
1 Shabab al hai ccD 1 200 000 Partenaires 10% 2021-2025
intervenant
au Lac,
Construction de hangars dans les 1 Bagasloa ccD Â 000 Partenaires 10o/o 2021
rnarchés pour les femmes intervenant
au Lac,
I Nguelea centre ccD 1 0c.) 000 Partenaires 10% 2021
intervenant
au Lac.
1 Ngolio ccD 15 000 000 Partenaires 10o/o 2021 !

intervenant
au Lac,
1 Trotroye ccD 't5 000 000 Partenaires 10o/o 2021
intervenant
au Lac,
1

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Sous total 22 138 200 000 10o/o

3.7 Culture eunesse et s

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Construction d'un centre 1 Nguelea ccD 49 000 000 Partenaire 10o/o 2021
d'apprentissage et de la formation s
professionnelle professionnelles intervenant
au Lac.
Aménagement d'un terrain de 1 Nguelea ccD 2 Cl0 000 Partenaire 10o/o 2021- 2025
football pour les jeunes s
intervenant
au Lac,
Construction d'une bibliothèque 1 Nguelea ccD 25 000 000 Partenaire 10o/o 2021
S
intervenant
au Lac.
Sous-total 3 76 000 000 1Oo/o
IV, Meaaniame Ce Ia miag en çxiuyre çIe PIIV@g9 9t ctç suîvl ç19 Prggrammç s-açcten
Pcur réussir les actions inscrites dans le Plan de Déveioppement Local au profit de la,
communauté locale, il convient de mettre en place une stratégie. Elle sera calquée sur la
participation effective de toute la communauté, la mobilisation des potentialités locales et
aussi une large diffusion de PDL qui constitue un document de référence et de
négociation de partenariat auprès des bailleurs des organ,ismes internationaux etc. Ainsi
toutes les parties prenantes doivent se mobiliser et mettre ensemble la main sur la patte,
Ce dans ces conditions que I'on p:urra parvenir à conjuguer les efforts mettre en æuvre
les actions insorites dans le PDL.
3.1 Mécanisme de rnise en ceuvre
Aussitôt après avoir fini avec les travaux de réalisation du plan de développement local
commence la mise en oeuvre. L'ACD à travers le CCD sera à pied d'ceuvre en
commençant par la mobilisation des ressources locales, à adresser des conespondances
à RESILAC et aussi d'autres ONGs confornnément à le ur domaine d'intervention pour
demander un appui pour la réalisation de ces activités.
3.1 .1 Stratégie de pilotage et suivi de programme
Le renforcement de structures.,mises en place telles que le CCD et le CRPDL est
important pour leur permettre au5 membres de jouer.oleinement leur rôle, Les modules
de formation porteront sur les aspêcts techniques qu'orgarrisationnelles afin de permettre
au CCD de mieux piloter la mise eh æuvre des actions. ùl s'agit de :
r Montage de microprojets
o La programmation de suivi évaluation des actions
. La maitrise d'æuvre ;

n Et la comptabilité simplifiée.
Ces connaissances permettront au CCD d'élaborer un planning annuel sur la base du
plan d'action du PDL. Le planning doit indiquer clairement les priorités sur la durée du
plan ainsi que les coûts estimatifs et aussi déterm.iner les échéanciers tJe mobilisation de
ressources financières pour entreprendre les actiôns programmées. Le ÔCD va se munir
des outils simplifiés de suivi et d'évaluation. Ce sera'calquer sur le plan arirrttel de travail
pour suivre les actions du PDL et apprécier le nivêau de réalisation des actions, les
difficultés rencontrées ainsi que les dispositions pour les consultations futures.
4.1 Stratégie de pilotage :
4.1,1 Mobilisation des ressources locales
La procédure cle mobilisation des ressources financières avait été définie par le
participant à l'atelier de diagnostic. lls avaient accepté par consensus que la collecte de
l'argent se fait par village, Pour un début, ils conviennent que les chefs de village doivent
se concerter avec leurs sujets pour verser 5000F CFA pour soutenir,la caisse avant de
penser autrement Et ensuite les jeunes s'accordent à dire qu'ils vcrnt se mobiliser pour
participer aux actions de réalisation (les actions de construction des écUles des greniers
communautaires etc.).
4."1.2. Mobilisation des ressources additionnelles externes
Pour avoir la chance de mobiliser les ressoLrrces financières atlditionnelles, le CCD doit
adopter une stratégie qui permettra de faire une large diffusion du PDL. ll peut soit

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DynthÉtioer lo rDL at le oçpgDer oanr les Dureaux oes oNgs, les organlsmes, i
projets/programme qui interviennent dans les domaines septiques et par domaines pour I
!
négocier le partenariat. Aussi convient-il de publié par internet la synthèse du PDL. I

Toutes ces démarches peuvent réussir si les membres de CCD prennent contact avec le I
I

CRA, les députés de la localité et aussi les filles et fils de la localité de la diaspora pour
demander conseil en ce qui concerne les voies et moyens pour parvenir à une large
diffusion des projets inscrits dans le PDL.
4.2 Stratégie de suivi
4.2.1 Stratégie interne
En interne, le comité de pilotage et L'ADC/CCD procède à l'auto évaluation en utilisant
les outils précédemment élaborés pour collecter les informations auprès des i

bénéficiaires. Ces informations seront traitées et analysées et ensuite -produiront un

rapport. Les bénéficiaires seront associés au travail pour leur permettre de mesurer les I

indicateurs de réalisations des actions. !

4.2.2 Str atég ie exte rne

De manière externe, les padenaires techniques et financiers procèderont également au
suivi périodique pour se rassurer de la bonne marche des actions et de s'assurer si les
actions mises en ceuvre permettront d'atteindre les objectifs fixés. La présence des
partenaires parmi acteurs locaux dans le cadre de suivi sera I'occasion de renforcer leurs
capacités en matière de suivi-évaluation des projets
4.3 Reportage
Les actions de suivi interne et externe seront consignées dans un rapport et
communiquer à tous les parties prenantes.
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V. Planning annuel de programm e de 202'l

Année 2021 -2022

X
Sensitrilisation des usagers des ressources sur la
coupe abusive de bois et les mauvais usages de
mares
X X
Plantation des arbres dans les endroits à risque
lil il

Aménagement de polders X x X X X X X X

lmplantation de forage pour l'irrigation et X X X X X X X X X x X

la
consommation humaine
Construction d'une banque d'aliment pour bétail x X

X X
Construction d'une structure de conservation et de
transformation des produits de pêche
X X ( X X
Appui aux organisations de pêcheurs en crédit pour
améliorer ler; moyens de pêche et autres outils
(piroques motorisées, filets, hameeons etc.)

X X
Sensibilisation des communautés sur I'importance
des soins de santé surtout l'accès aux centre de
santé par les femmes
X X
Appui à la fonrration des aides accoucheuses ou
matrones et leur prise en charoe
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Sensibilisation des parents sur l'importance de x X

l'éducation des enfanis
Appui à I'amélioration des conditions d'éducation des X X X X X X x x
enfants (dotation des écoles de cantine scolaire)
Création etconstruction de salles de classe X X X X

Plaidoyer pour la formation et la prise en charge des x X X X

maîtres comnrunautaires
r,l ijl ijl,':i !i
X X X
Construction d'un centre de dépistage des maladles
nsmissibles VIH sida
X (
Achat et mise en place de moulins communautaires
X X
Construction d'une salle de réunion et de formation
des femmes
X X X X X X X X X X X X
Appui à l'organisation des femmes en crédit pour
l'amélioration de leurs activités génératrlces de
revenu
X
Construction des hangars dans les marchés pour
abriter les membres des oroanisations de
i ll, li,i
Do
X X X X
Aménaqement des axes routiers
X X
Construction des marchés à bétails
X
Construction de pharmacie vétérinaire
1l
 X X
Création et construction d'un centre d'apprentissage
et de formation onnelles
X X
Aménaqement de terrain de sport pour les ieunes
X X X
Construction des bibliothèques dans les écoles

Année 2021 -2022

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X X
Sensibilisation des usagers des ressources sur la
coupe abusive de bois et les mauvais usages de
mares
X
Plantation des arbres dans les endroits à risque
li,':, ilt

Aménaqement de polders
X X X X \ X X X

X X x X X
lmplantation de forage pour l'irrigation et la
X X X X

consommation humaine
X X X
Construction et approvisionnement d'une banque
d'aliment pour bétail
X x X x
Construction d'une structure de conservation et de
transformation des produits de pèche
X X X X
Appui aux organisations de pècheurs en crédit pour
améliorer les moyens de pêche et autres outils
s motorisées fir ham etc
 X
Sensibilisation des communautés sur l'importance des
soins de santé surtout I'accès aux centre de santé par
les femmes
X X
Appui à la formation dos aides accoucheuses ou
matrones et leur prise en charge
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Sensibilisation des parents sur l'importance de
l'éducation des enfants
Appui à l'amélioration des conditions d'éducation des X X X X \ X X X X X

enfants (dotation des écoles de cantine scolaire)

X X
Création et construction de salles de classe
l

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Construction d'un centre de dépistage des maladies
transmissibles VIH sida
X
Achat et mise en place de moulins communautaires
X X X X X x X X X X X x
Appui à l'organisation des femmes en crédit pour
l'amélioration de leurs activités génératrices de revenu

X X X X X X X x x x x
Aménaoement des axes routiers

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Construction des bibliothèques dans les écoles
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Année 2022-2023

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Plantation des arbres dans les endroits à risque X X

Sensibilisation des usagers des ressources sur la X x

coupe abusive de bois et les mauvais usages de
mares

Aménaqement de polders X X X X X X t
X x X
Construction d'une structure de conservation et de
transformation des produits de pêche
Appui aux organisations de pêcheurs en crédit pour X X X X X X X X X x X X

améliorer les moyens de pêche et autres outils

(piroques motorisées. filets. hamecons etc.)
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Sensibilisation des communautés sur I'impoftance des
soins de santé surtout I'accès aux centre de santé par
les femmes

Sensibilisation des parents sur l'importance de

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l'éducation des enfants

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Appui à l'amélioration des conditions d'éducation des
enfants (dotation des écoles de cantine scolaire)
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Création et construction de salles de classe

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Appui à I'organisation des femmes en crédit pour X X X X x X.

I'amélioration de leurs activités 0énératrices de revenu

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Aménagement des axes routiers X X X X X X X X x x

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Construction des bibliothèoues dans les écoles x

Année 2023 -2024

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Sensibilisation des usagers des ressources sur la
coupe abusive de bois et les mauvais usages de
mares
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Plantation des arbres dans les endroits à risque
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Aménaqement de oolders x x X X X X X X X X X

X X X X X X X X X X X
Appui aux organisations de pêcheurs en crédit pour
améliorer les moyens de pêche et autres outils
(piroques motorisées, filets. hamecons etc.)
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Sensibilisation des communautés sur l'importance des
soins de santé surtout l'accès aux centre de santé par
les femmes

Sensibilisation des parents sur l'importance de X X

l'éducation des enfants

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Appui à l'amélioration des conditions d'éducation des
enfants (dotation des écoles de cantine scolaire)
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Appui à I'organisation des femmes en crédit pour X X x X X X X X X X X

I'amélioratipn de leurs activités qénératrices de revenu

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Aménagement des axes routiers x X X X x X X x X X X X

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Construction des n
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Yl. Recapitulatif clo çoÛto i

Domaines d'intervention coÛts :

N'
1
Environnement et gestion de ressources 104 105 000
,

naturelles
i
Agriculture, Elevage et pêche 687 500 000 !
2
Economie 415 000 000 i
3
Education et Alphabétisation fonctionnelle 221 000 000 ;
)
4
Santé eau potable et assainissement 306 000 000 l

5 I

Affaires sociales et Genre 1 38 200 000 i

o
Culture jeunesse et sPort 101 000 000
7
1 972 805 000

6.1 Coût de projets et financement demandé

Domaines Cout global Apport Apport

N' RESI{,AC et communauté
d'intervention
autres
bailleurs
Environnement et gestion 104 105 000 93 594 500 10 510 500
1
de ressources naturelles
Agriculture, Elevage et 687 500 000 61 B 750 000 68 750 000
ô
z
pêche
Economie 415 000 000 373 500 000 41 500 000
J
Education et 221 000 000 1;8 900 000 22 100 000
4
Alphabétisation
fonctionnelle
Santé eau potable et 306 000 000 275 400 000 30 600 000
5
assainissement
Affaires sociales et Genre 138 200 000 12,4 380 000 13 820 000
6
Culture jeunesse et sPort 101 000 000 90 900 000 10 100 000
7
Total 1972 805 000 1 775 524 500 I 97 280 500

Conclusion générale
populations du
Les activités de RESILAC consistant à donner un appui conséquent aux
de la
canton et la poputatioÀ des déplacées, retournées et les réfugiés des exactions
nébuleuse Boko-Hàram.ceci a pernris ai consortium d'rrppuyei le canton
à amorcer le
qui prend
processus d'élaboration du Plan de Développemént Loct.l (PDL)' Ce document
çn çomptc lçù plgplËmeD 9t IED pGOOinD ggD mempIEF ge le ggmmunqute leenle l-qnel)ree
des problèmes vécus par les communautés et la recherche des solutions â ces
problèmes tient lieu d'un outil de négociation et de recherchc de partenariat auprès des
ONGs, organismes et bailleurs de fonds pour l'appui à la rÉeolution des problèmes de
développement du canton, Après avoir terminé avec les actions d'appui au processus de
la planification locale et sa valitjation, le consortium RESILAC prendra le lead pour mener
sês activités d'appui au redressement économique et social inclusif. Entre temps les
actions de reportage du CCD et autres parties prenantes permettront à d'autres ONGs,
projets/programmes, et organismes de marquer leurs accords pour l'appui des
cormunarlér par rapport aux domaines spécifiques relevant de leur domaines
d'intervention
La démarche entreprise pour collecter les informatior's et les données est de type
participatif. ll est question de prendre contact avec les chefs traditionnels q! leurs sujets,
ies personnes ressources, les administrations territoriales, les services déconcentrés de
l'Etat etc., pour discuter avec eux des difficultés que les populations rencontrent sur le
plan économie, sociale et culture et qui constituent un goulot d'étranglement pour le
développement des communautés. Ce qui veut dire que tous les . acteurs de
pour
développement (les parties prenantes) sont conviés à mettre les mains sur la patte
une réussite totale de la démarche.
C'est dans ce cadre que des séances d'activités ont été programmées en étroite
collaborations avec les autorités administratives et traditionnelles et d'autres acteurs
poLlr :

. Le lancement officiel du processus d'élaboration du PDL ;

. Organiser les communautés en Association de Dé reloppement du Canton
(ACD) ;
. L'ACD a élu un bureau exécutif dénommé Com,té cantonal de développement
(CCD) et aussi le Comité de rédaction du PDL (CRPDL) et les Animateurs locaux
du canton (ACL).
De plus, les atelieis oniete programméS pour permettre aux membres de la communauté
de faire l,étude diagnostic'etênfin de'procéder à pafti'des résultats du diagnostic,
planifier les actions àe développement dans l'ensemble du territoire du canton en tenant
cas'
compte des priorités par village, groupes de villages ou zone de couverture selon le
Le diagnostic s'était réalisé par domaine suivants :

1. Domaine de L'Environnement et GRN ;

2. Domaine de L'Agriculture, Elevage, Pêche ;

3. Domaine de l'économie ;
4, Domaine de I'Education et Alphabétisation fonctiornelle
5. Domaine de La Santé, Eau potable et de l'Assain isement ;
6. Domaine des Affaires sociales et Genre ;

7, Domaine de Culture Jeunesse et Sport' qui

Ces domaines ont permis aux participants de faire le tour des problèmesjours' les
populations du canton rencontrent dans'l'exercice de leurs activités de tous les
pose un
En ce qui concerne les problèmes ressortis par les participants à I'atelier, il se
problème crucial d'envlronnement comme il relève des zones, arides : I'accès aux
 !
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ress0urGes naturelles pour une pgpulatign qui çonnait une çreietançç semegraPniqus i

qui s'est aggravée avec les hostilités de Boko-haram dans toute la région du lac Tchad, I

on observJla (coupe abusive de bois, difficulté d'accès à l'eau potable, défécation à I'aire
libre, conflit éleveurs/éleveurs ; éleveurs/agriculteurs aut:ur des ressources). I

Dans les secteurs sociaux, au niveau de la santé, les pesanteurs socio-culturelles pèsent
i

lourdement sur la vie des femmes et leurs activités (la non responsabilisation des
femmes, les femmes sont reléguées au dernier rang, les interdits des maris aux femmes
de se faire consulter par les agents des établissements sanitaires de sexe masculin, le
problème d'accès aux ressources pour les femmes -accès aux terres de cultures- etc'),
Au niveau de l'éducation, les problèmes dénoncés sont : un fort taux d'enfants non
scolarisés qui s'ajoute au taux d'abandon des enfants à l'école. Peu d'enfants entre à
l'école au primaire et ne peuvent finissent à I'enseignement moyen. C9 9u.i signifie que
les parents ne suivent pas leurs enfants qui sont inscrits à l'école ou coÈstatent que c'est
,n i"*p. perdu. Ce temps pourrait permettre de faire autres choses qui rapportent de
I'argeni. ll convient de notei que le problème d'éducation des filles se pose avec acuité
puiàse qu'elles sont associées à bas âge aux travaux de ménage et au petit commerce.
Les us et coutumes des localités ne peimettent pas aux nembres de la comnrunauté de
ne pas garder leurs filles longtemps dans les ménag ;s par conséquent le mariage
précoce est de mise.
Du point de vue de la formation, on constate aucune structure de formation
professionnelle ni encore un centre d'apprentissage aux petits métiers pour les jeunes
désceuvrés.
En dehors cle ces problèmes existent d'autres problèmes secondaires liés à la
sensibilisation des mémbres cle la communauté pour une prise de conscience sur les
aspects relatifs au poids de la tradition qui ionstitue un élément de blocage sur les actions
de réalisations des activités de développement du canton'
 1

I
I
I

Annexes Ngueléa 1 'i

I

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Bureau de I'ACD de Ngueléa 1
I
N poste
o
Nom et prénom Numéro de contact I

I
1 Président ALI MAMADOU AFFONO 99637266
i
2 Vice-président ADOUM ABAKAR 99154532
secrétaire MAHAMAT OUSMAN WAYIMI 99259407
4 Secrétaire adioint HAOUA MAI MAHAMAÏ 91 686890
5 Trésorier ELHADJ MAHAMAT ADJI 99540056
6 Trésorier adioint FATME ZARA MAM,\DOU 99169292
7 Charqé de materiels ALHADI ISSA MBO' O 90852065
I Charqé de materiels adioint HADJË MANI YOUSSOUF 99476994
I 1er conseiller MODOU SOUKOU KOUSSAR 93736920
10 2e conseiller MARA SIDIKI KACHIM 99706581
À^ 92707351
tt 3e conseiller WAZIRI BOUKAR
12 1er commissaire aux MAHAMAT SINY GAIJA 90820435
comptes
13 2e commissaire aux FALMATA KOROM
comptes

Jqflilr: 'r I l*

Les membres de CIRPDL

NO Nom et nom N" tété hone
1 MAHAMOUD YOUSSOUF 99705784
AFFONO :

2 BRAHIM MOUSSA MAMADOU 9370071 6

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.\'14'HAI\AAT MEOUCOU 954e5574 !
I
MAINAN I

4 ALI ABDOU BOUKAR 91 591 1 l9 I

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i,'
I

\i

NO Nom et prénom N" téléphone

1 MAHAMAT TAHER ADOUM 9538481 4
2 YOUSSOUF SOUMAILA 95521293
3 MARA MAHAMAÏ ALI 91 503657
4 MARA BRAHIM MBODOU 991 69454

Les photos d'ateliers

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