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BACCALAUREAT SESSION DE JUIN 2023

EPREUVE DE MATHEMATIQUES : SERIE C


GRILLE ET NORMES DE CORRECTION
Total
Capacité Capacité Capacité
N° Eléments de réponse « Analyser » « Mathématiser » « Opérer »
1 Ca → 0,5 pt 1 C m → 0,5 pt Co → 0,5 pt
Le candidat Le candidat : Le candidat
identifie : trouve :
Problème 1
1) Justifions que la répartition est possible lorsque 𝒑 = 𝟓. 𝑃=5. exprime que 𝑝 − 1 est la répartition
Pour 𝑝 = 5 le nombre de graines disponibles est 25. Or le chef de 𝐈 un multiple de 24 est possible
famille sème une seule graine ; donc il reste 24 graines à partager à le nombre p² de 𝐈 avec 1 graine
part égale aux 24 jeunes, à raison d’une graine par jeune. graines par jeune
Ainsi la répartition est possible si p prend la valeur 5. 𝐈 𝐈𝐈
𝟏 𝐩𝐭 𝟎, 𝟓 𝐩𝐭 𝟏 𝐩𝐭 𝟐, 𝟓 𝐩𝐭𝐬
2)a- Démontrons que 𝒑𝟐 − 𝟏 est divisible par 8. 𝑝 est un nombre utilise : p est impair
𝑝 est un nombre premier plus grand que 5 ; donc 𝑝 est impair car le premier plus 𝐈 𝑝 − 1 est di-
seul entier naturel premier et pair est 2. grand que 5. utilise une méthode pour visible par 8.
Ainsi, il existe un entier naturel 𝑘 plus grand que 2 tel que 𝑝 = 2𝑘 + 𝐈 justifier que 𝑝 − 1 est 𝐈𝐈
1, d’où 𝑝 = 4𝑘 + 4𝑘 + 1 et 𝑝 − 1 = 4𝑘(𝑘 + 1). divisible par 8.
𝑘 et 𝑘 + 1 étant deux entiers consécutifs, 𝑘(𝑘 + 1) est un multiple de
2. Ainsi il existe un entier naturel non nul 𝑞 tel que 𝑝 − 1 = 8𝑞. On 𝐈
conclut que 𝑝 − 1 est divisible par 8. 𝟎, 𝟓 𝐩𝐭 𝟏 𝐩𝐭 𝟏 𝐩𝐭 𝟐, 𝟓 𝐩𝐭𝐬
2)b- 𝟐
Justifions que 𝒑(𝒑 − 𝟏) est un multiple de 3. 𝑝(𝑝 − 1) et 3 . utilise une méthode pour 𝑝(𝑝 − 1) est
Pour tout entier naturel 𝑝, on a : 𝑝 ≡ 0[3] ou 𝑝 ≡ 1[3] ou 𝑝 ≡ 2[3] 𝐈 montrer que 𝑝(𝑝 − 1) un multiple de
Si 𝑝 ≡ 0[3] alors 𝑝 − 1 ≡ 2[3] d’où 𝑝(𝑝 − 1) ≡ 0[3] est un multiple de 3. 3. 𝐈
Si 𝑝 ≡ 1[3] alors 𝑝 − 1 ≡ 0[3] d’où 𝑝(𝑝 − 1) ≡ 0[3] 𝐈 𝑝 et 3 sont
Si 𝑝 ≡ 2[3] alors 𝑝 − 1 ≡ 3[3] d’où 𝑝(𝑝 − 1) ≡ 0[3] utilise la propriété si 𝑎 premiers entre
D’où 𝑝(𝑝 − 1) est un multiple de 3. divise 𝑏𝑐 et 𝑎 et b sont eux. 𝐈
Déduisons que 𝒑𝟐 − 𝟏 est divisible par 3 3 divise premiers entre eux alors 𝑝 −1 est
On sait que 3 divise 𝑝(𝑝 − 1). 𝑝(𝑝 − 1) 𝑎 divise c. divisible par 3.
𝑝 étant un nombre premier supérieur à 3, alors 𝑝𝑔𝑐𝑑(𝑝; 3) = 1; d’où 𝐈 𝐈𝐈 𝐈
𝑝 et 3 sont premiers entre eux.
Par conséquent 𝑝 − 1 est divisible par 3.
𝟏 𝐩𝐭 𝟏, 𝟓 𝐩𝐭𝐬 𝟏, 𝟓 𝐩𝐭𝐬 𝟒 𝐩𝐭𝐬

1
2)c- Déduisons de a- et b- que 𝒑𝟐 − 𝟏 est divisible par 24. 8 et 3 sont des utilise la propriété si a et 𝑝 −1 est
8 et 3 sont des diviseurs de 𝑝 − 1 ; or 8 et 3 sont premiers entre eux et diviseurs de 𝑝 − b divisent c et a et b sont divisible par
8 × 3 = 24. D’où 𝑝 − 1 est divisible par 24. 1 I premiers entre eux alors 24.
ab divise c. 𝐈 𝐈𝐈
𝟎, 𝟓 𝐩𝐭 𝟎, 𝟓 𝐩𝐭 𝟏 𝐩𝐭 𝟐 𝐩𝐭𝐬
2)d- Précisions les nombres premiers 𝒑 qui permettent la répartition 𝑝² est le nombre utilise le résultat : 𝑝 − tout nombre
des graines dans les récipients. de graines à 1 est un multiple de 24 premier 𝑝
𝑝² est le nombre de graines à semer, où 𝑝 est un nombre premier. semer et 𝑝 est un 𝐈 supérieur ou
Or le chef de famille sème une seule graine. Donc il reste 𝑝 − 1 nombre premier. égal à 5
graines à repartir dans les 24 récipients à part égale. 𝐈 permet la
D’après les consignes 1 et 2c), pour tout nombre premier 𝑝 supérieur répartition des
ou égal à 5, 𝑝 − 1 est divisible par 24. graines dans
De plus, la répartition dans les récipients n’est pas possible lorsque 𝑝 les récipients.
est un nombre premier inférieur à 5. II
Par conséquent, tout nombre premier 𝑝 supérieur ou égal à 5 permet la
répartition des graines dans les récipients. 𝟎, 𝟓 𝐩𝐭 𝟎, 𝟓 𝐩𝐭 𝟏 𝐩𝐭 𝟐 𝐩𝐭𝐬
3) Déterminons le nombre de graines semées à l’occasion de la 3500 ≤ 𝑝 ≤ utilise une propriété 60 ≤ 𝑝 ≤ 63
cérémonie. 4000. pour encadrer p 𝐈
A l’occasion de la cérémonie le nombre de graines semées est 𝑝², avec 𝐈 𝐈 𝑝 = 61 𝐈𝐈
𝑝 est un nombre premier et 3500 ≤ 𝑝 ≤ 4000. 3721 graines
De la relation 3500 ≤ 𝑝 ≤ 4000, il vient : 60 ≤ 𝑝 ≤ 63 utilise une méthode de ont été semées.
61 est le seul nombre premier compris entre 60 et 63. Donc 𝑝 = 61. On recherche de nombres 𝐈𝐈
a 61 > 5 et 61 = 3721. On conclut que 3721 graines ont été semées premiers 𝐈
à l’occasion de la cérémonie. 𝟎, 𝟓 𝐩𝐭 𝟏 𝐩𝐭 𝟐, 𝟓 𝐩𝐭𝐬 𝟒 𝐩𝐭𝐬

8 Ca 10 Cm, 16 Co
Récapitulatif problème 1 𝟏𝟕 𝒑𝒕𝒔
(4 pts) (5 pts) (8 pts)

Problème 2
4) Justifions que 𝒇𝟎 est dérivable sur ℝ et déterminons sa fonction 𝑓 (𝑥) utilise les propriétés de 𝑓 est
dérivée 𝒇𝟎 . = 2𝑥𝑒 ² + 𝑒 dérivabilité : dérivable sur
𝑓 est la fonction de ℝ vers ℝ définie par : 𝑓 (𝑥) = 2𝑥𝑒 ²
+𝑒 .  de la somme et du ℝ.
Les fonctions 𝑥 ⟼ −𝑥² et 𝑥 ⟼ −𝑥 étant des fonctions polynômes, 𝐈 produit de fonctions 𝐈𝐈
elles sont dérivables sur ℝ . Les fonctions 𝑥 ⟼ 𝑒 et 𝑥 ⟼ 𝑒 sont  des fonctions du type
alors dérivables sur ℝ . Puisque les fonctions 𝑥 ⟼ 2𝑥 et 𝑥 ⟼ 𝑒 𝑒
sont dérivables sur ℝ, alors la fonction 𝑥 ⟼ 2𝑥𝑒 ² est aussi dérivable
𝐈I

2
sur ℝ ; or la fonction 𝑥 ⟼ 𝑒 est dérivable sur ℝ, 𝑓 est donc utilise les formules de
dérivable sur ℝ, comme somme de deux fonctions dérivables sur ℝ. dérivation :
Soit 𝑥 ∈ ℝ .  de la somme et du 𝑓 (𝑥) .
𝑓 (𝑥) = 2𝑒 ² + 2𝑥(−2𝑥)𝑒 ² + (−𝑒 ) . produit de fonctions 𝐈𝐈
𝑓 (𝑥) = 2𝑒 ² − 4𝑥 + (−𝑒 ) . Donc pour tout 𝑥 ∈ ℝ ,  des fonctions du type
²
𝟎, 𝟓 𝐩𝐭 𝑒
𝑓 (𝑥) = 2(1 − 2𝑥²)𝑒 −𝑒 . 𝟐 𝐩𝐭𝐬 𝟒, 𝟓 𝐩𝐭𝐬
𝐈𝐈
𝟐 𝐩𝐭𝐬
5) Justifions que pour tout élément 𝒙 de −∞ ; − 𝟐 ∪ 𝟐 ; +∞ , 𝑓 (𝑥) .
√𝟐 √𝟐 utilise une démarche pour tout
𝐈 appropriée pour étudier élément 𝑥 de
𝒇𝟎 (𝒙) < 𝟎. le signe de 𝑓 (𝑥) pour √
−∞ ; − ∪
On sait que pour tout 𝑥 ∈ ℝ , 𝑓 (𝑥) = 2(1 − 2𝑥²)𝑒 ² − 𝑒 . tout élément 𝑥 de

Pour tout 𝑥 ∈ ℝ , 2𝑒 ² > 0 , 𝑒 > 0 , −𝑒 < 0. −∞ ; −

∪ ; +∞ ,
√ √
Par ailleurs on a, pour tout élément 𝑥 de −∞ ; − ∪ ; +∞ , √ 𝑓 (𝑥) < 0.
²
; +∞ . 𝐈𝐈
(1 − 2𝑥²) ≤ 0; donc 2(1 − 2𝑥²)𝑒 ≤ 0.
√ √
𝐈𝐈
Par conséquent, pour tout élément 𝑥 de −∞ ; − ∪ ; +∞ , 𝟏 𝐩𝐭 𝟏 𝐩𝐭
𝟎, 𝟓 𝐩𝐭 𝟐, 𝟓 𝐩𝐭𝐬
𝑓 (𝑥) < 0.

6)a) Calculons 𝒇𝟎 −
√𝟐
, 𝒇𝟎
√𝟐
et 𝒇𝟎 (𝟎). 𝑓 (𝑥) . respective-
𝟐 𝟐 √

Pour tout 𝑥 ∈ ℝ , 𝑓 (𝑥) = 2(1 − 2𝑥²)𝑒 ²


−𝑒 . ment − 𝑒 ,
𝐈 √
On a : −𝑒 et 1.
√ √
√ √ 𝐈𝐈𝐈
𝑓 − =−𝑒 ; 𝑓 =−𝑒 et 𝑓 (0) = 1.
𝟎, 𝟓 𝐩𝐭 𝟏, 𝟓 𝐩𝐭𝐬 𝟐 𝐩𝐭𝐬
6)b) Justifions que l’équation 𝒇𝟎 (𝒙) = 𝟎 admet au moins deux solutions 𝑓 utilise le théorème des l’équation
√𝟐 √𝟐 𝐈 valeurs intermédiaires 𝑓 (𝑥) = 0
dans −𝟐 ;𝟐 .
𝑓 −

; 𝐈𝐈 admet au
Pour tout 𝑥 ∈ ℝ , 𝑓 (𝑥) = 2(1 − 2𝑥²)𝑒 ² − 𝑒 . moins une
Les fonctions 𝑥 ⟼ 2(1 − 2𝑥²) , 𝑥 ⟼ −𝑥² et 𝑥 ⟼ −𝑥 étant des 𝑓

et 𝑓 (0) solution dans :
fonctions polynômes, elles sont continues sur ℝ . Par conséquent, 𝑓 √

𝐈 *− ;0 𝐈
est continue sur ℝ. 𝑓 est en particulier continue sur − ; 0 et sur √

* 0; 𝐈
0; . En application du théorème des valeurs intermédiaires, l’équation
puisque : 𝑓 (𝑥) = 0
admet au
moins deux
3
𝑓 −

et 𝑓 (0) sont de signes contraires, l’équation 𝑓 (𝑥) = 0 solutions dans
√ √
√ − ; .
admet au moins une solution dans − ;0 ;
𝐈

𝑓 (0) et 𝑓 sont de signes contraires, l’équation 𝑓 (𝑥) = 0 admet

au moins une solution dans 0; .
En somme, l’équation 𝑓 (𝑥) = 0 admet au moins deux solutions dans 𝟏 𝐩𝐭 𝟏 𝐩𝐭 𝟏, 𝟓 𝐩𝐭𝐬 𝟑, 𝟓 𝐩𝐭𝐬
√ √
− ; .

7)a) Déterminons le signe de 𝒇𝟎 (𝒙) pour tout élément 𝒙 de ℝ . *𝛼 et 𝛽 utilise une démarche le signe de 𝑓
D’après 6-b), l’équation 𝑓 (𝑥) = 0 admet au moins deux solutions 𝐈 appropriée pour sur chacun des
√ √ *les déterminer le signe de intervalles
dans − ; . De plus, par hypothèse, l’équation 𝑓 (𝑥) = 0 admet
encadrements de 𝑓 sur chacun des √
− ;𝛼 ,
exactement deux solutions 𝛼 et 𝛽. Alors l’équation 𝑓 (𝑥) = 0 admet 𝛼 et 𝛽. √
√ √ intervalles − ;𝛼 , ]𝛼 ; 𝛽 [ ,
exactement deux solutions 𝛼 et 𝛽 dans − ; . 𝐈
√ √
On a −0,34 < 𝛼 < −0,33 et 0,55 < 𝛽 < 0,56, ]𝛼 ; 𝛽 [ , 𝛽 ; . 𝛽; .
√ √ 𝐈𝐈𝐈 𝐈𝐈𝐈
alors − < 𝛼 < 0 < 𝛽 < .
La fonction 𝑓 est continue et ne s’annule sur aucun des intervalles le signe de
√ √
− ; 𝛼 , ]𝛼 ; 𝛽 [ et 𝛽 ; . Elle garde alors un signe constant sur 𝑓 (𝑥) pour
chacun d’eux. De plus : tout élément 𝑥
√ √ √ de ℝ .
− ∈ − ; 𝛼 et 𝑓 − <0; 0 ∈ ]𝛼 ; 𝛽 [ et 𝑓 (0) > 0 ; 𝐈𝐈𝐈
√ √ √
∈ 𝛽; et 𝑓 <0.

⎧∀𝑥 ∈ − ; 𝛼 , 𝑓 (𝑥) < 0

Alors ∀𝑥 ∈ ]𝛼 ; 𝛽 [ , 𝑓 (𝑥) > 0 .

⎪ ∀𝑥 ∈ 𝛽 ; √ , 𝑓 (𝑥) < 0

Par ailleurs, on sait que pour tout élément 𝑥 de
√ √
−∞ ; −∪ ; +∞ , 𝑓 (𝑥) < 0.
∀𝑥 ∈ ([−∞ ; 𝛼[ ∪ ]𝛽 ; +∞[) , 𝑓 (𝑥) < 0
En somme, ∀𝑥 ∈ ]𝛼 ; 𝛽 [ , 𝑓 (𝑥) > 0 .
𝑓 (𝛼) = 𝑓 (𝛽) = 0 𝟏 𝐩𝐭 𝟓, 𝟓 𝐩𝐭𝐬
𝟏, 𝟓 𝐩𝐭𝐬 𝟑 𝐩𝐭𝐬

4
7)b) Achevons l’étude des variations de 𝒇𝟎 . utilise une démarche le sens de
Sens de variation de 𝑓 appropriée pour variation de 𝑓
D’après 7)a) , déterminer le sens de 𝐈𝐈
∀𝑥 ∈ ([−∞ ; 𝛼[ ∪ ]𝛽 ; +∞[) , 𝑓 (𝑥) < 0 le signe de 𝑓 ′(𝑥) variation de 𝑓
∀𝑥 ∈ ]𝛼 ; 𝛽 [ , 𝑓 (𝑥) > 0 , or 𝑓 est continue alors : 𝐈𝐈
𝑓 (𝛼) = 𝑓 (𝛽) = 0 𝐈 lim 𝑓 (𝑥) =

𝑓 est strictement décroissante sur ]−∞ ; 𝛼] et sur [𝛽 ; +∞[ ; utilise lim 𝑡𝑒 = 0 +∞

𝑓 est strictement croissante sur [𝛼 ; 𝛽] . les bornes de utilise lim 𝑒 = +∞ 𝐈
Limites de 𝑓 aux bornes de son ensemble de définition l’ensemble de →
définition de 𝑓 utilise lim 𝑒 = 0
𝑓 est la fonction de ℝ vers ℝ définie par 𝑓 (𝑥) = 2𝑥𝑒 ² + 𝑒 . →
𝐈 𝐈𝐈𝐈 lim 𝑓 (𝑥) =
Son ensemble de définition est ℝ. Pour tout nombre réel non nul 𝑥 , →
𝑓 (𝑥) = − (−𝑥 )𝑒 + 𝑒 . On a : 0
𝐈
lim = 0 et lim (−𝑥 )𝑒 = lim 𝑡𝑒 = 0 , donc
→ → →
réalise un tableau de
lim − (−𝑥 )𝑒 =0. variation. Le tableau de

lim 𝑒 = lim 𝑒 = +∞. Alors, 𝐥𝐢𝐦 𝒇𝟎 (𝒙) = +∞. 𝐈 variation de 𝑓
→ → 𝒙→ .
La même démarche conduit à 𝐥𝐢𝐦 𝒇𝟎 (𝒙) = 𝟎 . 𝐈
𝒙→
Tableau des variations de 𝑓 .

𝟏 𝐩𝐭 𝟑 𝐩𝐭𝐬 𝟐, 𝟓 𝐩𝐭𝐬 𝟔, 𝟓 𝐩𝐭𝐬

8) Etudions les branches infinies de la courbe 𝑪𝟎 . les limites de 𝑓 utilise une démarche l’asymptote à
Comme lim 𝑓 (𝑥) = 0, alors la droite d’équation 𝑦 = 0 est en −∞ et en +∞ appropriée pour étudier 𝐶 au

asymptote à 𝐶 au voisinage de +∞. . chacune des branches voisinage de
( ) 𝐈 infinies +∞. 𝐈
On a lim 𝑓 (𝑥) = +∞ . Calculons lim . 𝑓 (𝑥)
→ → lim
Pour tout nombre réel non nul 𝑥 , on a : 𝐈𝐈 → 𝑥
= −∞
( ) ( )
= ; = 2𝑒 − . 𝐈𝐈
utilise lim = +∞ la branche
On a : lim 𝑒 = lim 𝑒 = 0 ; →
→ → parabolique de
lim = lim = +∞ ; lim − = −∞ . 𝐈 𝐶 au
→ → →
5
Alors, lim
( )
= −∞ . Par conséquent, 𝐶 admet au voisinage de voisinage de
→ −∞. 𝐈
−∞ une branche parabolique de direction celle de l’axe des ordonnées. 𝟎, 𝟓 𝐩𝐭 𝟏, 𝟓 𝐩𝐭𝐬 𝟐 𝐩𝐭𝐬 𝟒 𝐩𝐭𝐬
9) a) Justifions que 𝑪𝒎 est l’image de 𝑪𝟎 par une transformation plane 𝑓 (𝑥) et 𝑓 (𝑥) utilise une démarche 𝐶 est l’image
que nous préciserons. 𝐈 appropriée pour justifier de 𝐶 par la
Pour tout nombre réel 𝑥 , 𝑓 (𝑥) = 2𝑥𝑒 ² + 𝑒 + 𝑚 . que 𝐶 est l’image de translation de
Pour tout nombre réel 𝑥 , 𝑓 (𝑥) = 𝑓 (𝑥) + 𝑚 . 𝐶 par une translation . vecteur de 𝟐, 𝟓 𝐩𝐭𝐬
Pour tout nombre réel 𝑥 , 𝑓 (𝑥) = 𝑓 (𝑥 − 0) + 𝑚 . Alors 𝐶 est 𝐈𝐈 coordonnées
l’image de 𝐶 par la translation de vecteur de coordonnées (0 ; 𝑚). (0 ; 𝑚). 𝐈𝐈
𝟎, 𝟓 𝐩𝐭 𝟏 𝐩𝐭 𝟏 𝐩𝐭
9)b) Représentons sur le même graphique 𝑪𝟎 , 𝑪𝟏 et 𝑪𝟐 les variations de *utilise un repère 𝐶 , 𝐶 et 𝐶
Comme −0,34 < 𝛼 < −0,33 , on peut prendre : 𝛼 ≈
, ,
. 𝑓 orthonormé 𝐈𝐈𝐈
𝐈 𝐈
𝛼 ≈ −0,335. Ainsi, 𝑓 (𝛼) ≈ 0,8.
, , *utilise le tableau des
Comme 0,55 < 𝛽 < 0,56 , on peut prendre : 𝛽 ≈ . 𝐶 et 𝐶 variations de 𝑓
𝛽 ≈ 0,555 . Ainsi, 𝑓 (𝛽) ≈ 1,39. 𝐈 𝐈
𝐶 est l’image de 𝐶 par la translation de vecteur de coordonnées * utilise les résultats de
(0 ; 1) et 𝐶 est l’image de 𝐶 par la translation de vecteur de l’étude des branches
coordonnées (0 ; 2). infinies de 𝐶
𝐈
* utilise la procédure de
construction de l’image
d’une figure par une
translation
𝐈

𝟏 𝐩𝐭 𝟐 𝐩𝐭𝐬 𝟏, 𝟓 𝐩𝐭𝐬 𝟒, 𝟓 𝐩𝐭𝐬


13 Ca 26 Cm 32 Co
Récapitulatif problème 2 𝟑𝟓, 𝟓 𝐩𝐭𝐬
(6,5pts) (13 pts) (16pts)

Problème 3

6
10)a- Justifions que 𝒈 est un antidéplacement le carré 𝐴𝐵𝐶𝐷 utilise une méthode =1
𝑔(𝐵) = 𝐾 𝐈 pour démontrer que le
𝑔 est une similitude plane indirecte et 𝐈𝐈
𝑔(𝐾) = 𝐴 la nature de 𝑔 rapport de g est 1. 𝐈𝐈
𝑔 est un
𝐾 𝑒𝑡 𝐼 sont les milieux respectifs des côtés opposés [𝐶𝐷] et [𝐴𝐵] du 𝐈 utilise la propriété
antidéplace-
carré 𝐴𝐵𝐶𝐷, alors la droite (𝐾𝐼) est la médiatrice du segment [𝐴𝐵]; 𝑔(𝐵) = 𝐾 relative à une similitude
ment
donc 𝐾𝐵 = 𝐾𝐴. Ainsi, 𝑔 est une similitude plane indirecte de rapport 𝑔(𝐾) = 𝐴 plane indirecte de
𝐈
1. D’où 𝑔 est un antidéplacement. 𝐈 rapport 1. 𝐈
𝟏, 𝟓 𝐩𝐭𝐬 𝟏, 𝟓 𝐩𝐭𝐬 𝟒, 𝟓 𝐩𝐭𝐬
𝟏, 𝟓 𝐩𝐭𝐬
10)b- Démontrons que 𝒈 est une symétrie glissée la nature de 𝑔 utilise une méthode pour 𝑔 une symétrie
𝑔 étant un antidéplacement, 𝑔 est soit une symétrie glissée, soit une 𝐈 démontrer que g est une glissée
symétrie orthogonale. symétrie glissée. 𝐈
Supposons que 𝑔 est une symétrie orthogonale. Alors 𝑔𝑜𝑔(𝐵) = 𝐵. Or 𝐈 (𝐿𝐽) est l’axe
𝑔𝑜𝑔(𝐵) = 𝑔(𝐾) = 𝐴. Donc 𝐴 = 𝐵. Ce qui contredit le fait que 𝐴𝐵𝐶𝐷 l’axe et le vecteur de 𝑔.
est un carré. de 𝑔. utilise 𝐈𝐈
Par conséquent 𝑔 est une symétrie glissée. 𝑔 = 𝑆( ) 𝑜𝑡 ⃗ = 𝑡 ⃗ 𝑜𝑆( )
Eléments caractéristiques de 𝑔. 𝐈 𝐈I 𝐵𝐼⃗ est le
Soit 𝑤⃗ le vecteur de 𝑔 et (𝐷) son axe. vecteur de 𝑔
On a : 𝑔 = 𝑆( ) 𝑜𝑡 ⃗ = 𝑡 ⃗ 𝑜𝑆( ) 𝐈𝐈
𝑔𝑜𝑔 = 𝑡 ⃗ et 𝑔𝑜𝑔(𝐵) = 𝐴, donc 2𝑤⃗ = 𝐵𝐴⃗. Ainsi 𝑤⃗ = 𝐵𝐴⃗ = 𝐵𝐼⃗
𝑔(𝐵) = 𝐾 ⇔ 𝑆( ) 𝑜𝑡 ⃗ (𝐵) = 𝐾 ⇔ 𝑆( ) [𝑡 ⃗ (𝐵)] = 𝐾 ⇔ 𝑆( ) (𝐼) = 𝐾
car 𝑡 ⃗ (𝐵) = 𝐼
Donc (𝐷) est la médiatrice du segment [𝐼𝐾]. D’où (𝐷) = (𝐿𝐽)
De tout ce qui précède, 𝑔 est une symétrie glissée de vecteur 𝐵𝐼⃗ et d’axe
(𝐿𝐽). 𝟏 𝐩𝐭 𝟏, 𝟓 𝐩𝐭𝐬 𝟐, 𝟓 𝐩𝐭𝐬 𝟓 𝐩𝐭𝐬

10)c- Reproduisons la figure et construisons son image par 𝒈. la figure utilise 𝑔 = 𝑡 ⃗ 𝑜𝑆( ) la
construction
A 𝐈 𝐈 du carré
ABCD
𝑔 = 𝑡 ⃗ 𝑜𝑆( ) 𝐈
la
𝐈 construction
de l’image de
ABCD par 𝑔.
𝑔 = 𝑡 ⃗ 𝑜𝑆( ) 𝐈𝐈

7
(LJ) étant un axe de symétrie du carré 𝐴𝐵𝐶𝐷, alors 𝑆( ) transforme
le carré ABCD en lui-même. Ainsi l’image de 𝐴𝐵𝐶𝐷 par g est l’image
de ABCD par la translation de vecteur 𝐵𝐼⃗. 𝟏 𝐩𝐭 𝟑 𝐩𝐭𝐬
D’où la construction de l’image 𝐴′𝐼𝐾𝐷′. 𝟎, 𝟓 𝐩𝐭 𝟏, 𝟓 𝐩𝐭𝐬
11.a- Déterminons l’expression analytique de 𝑺∆
𝑆∆ est le demi-tour d’axe (∆): −𝑥 + 1 = 𝑦 + 1 = 𝑧 − 2 𝑆∆ est le demi- utilise l’équivalence 𝑤′⃗(−1; 1; 1)
𝑤′⃗(−1; 1; 1) est un vecteur directeur de (∆). tour d’axe 𝑀 = 𝑆∆ (𝑀) 𝐈
Soit 𝑀(𝑥, 𝑦, 𝑧) et 𝑀′(𝑥′, 𝑦′, 𝑧′) deux points de l’espace et 𝐻 le (∆): −𝑥 + 1 = ⇕ 𝑡
milieu du segment [𝑀𝑀′]. 𝑦+1=𝑧−2 𝑀𝑀′. 𝑤′⃗ = 0
⃗ 1
𝐈𝐈 = (−𝑥 + 𝑦
⃗ ⃗ 𝐻 ∈ (∆) 3
𝑀 = 𝑆∆ (𝑀) ⟺ 𝑀𝑀′. 𝑤′ = 0 𝐈𝐈 + 𝑧)
𝐻 ∈ (∆)
𝑥 = −𝑡 + 1 utilise une méthode pour 𝐈
Une représentation paramétrique de (∆) est 𝑦 = 𝑡 − 1 ; 𝑡 ∈ ℝ déterminer un vecteur
𝑧 =𝑡+2 directeur de (∆).
L’expression
⎧ = −𝑡 + 1
⎪ 𝐈 analytique de
𝐻 ∈ (∆) ⟺ ∃𝑡 ∈ ℝ tel que =𝑡−1 . 𝑆∆
⎨ 𝐈𝐈𝐈
⎪ =𝑡+2

⎧ = −𝑡 + 1
⎪ 𝑥′ = −2𝑡 + 2 − 𝑥
=𝑡−1 ⟺ 𝑦′ = 2𝑡 − 2 − 𝑦 (1)
⎨ 𝑧′ = 2𝑡 + 4 − 𝑧
⎪ =𝑡+2

𝑀𝑀′⃗. 𝑤′⃗ = 0 ⟺ −(𝑥 − 𝑥) + (𝑦 − 𝑦) + (𝑧 − 𝑧) = 0 𝟓 𝐩𝐭𝐬
𝟏 𝐩𝐭 𝟏, 𝟓 𝐩𝐭𝐬 𝟐, 𝟓 𝐩𝐭𝐬
⟺ 𝑡 = (−𝑥 + 𝑦 + 𝑧) (2)
De (1) et (2), on obtient l’expression analytique de 𝑺∆ :
1
⎧ 𝑥 = (−𝑥 − 2𝑦 − 2𝑧 + 6)
⎪ 3
1
𝑦′ = (−2𝑥 − 𝑦 + 2𝑧 − 6) .
⎨ 3
⎪ 1
𝑧′ = (−2𝑥 + 2𝑦 − 𝑧 + 12)
⎩ 3

8
11)b- Déterminons les coordonnées des points 𝑨𝟑 , 𝑨𝟏 , 𝑨𝟐 et 𝑨𝟑 . 𝐴 est utilise une méthode 𝐴 (0; −2 ; 0)
𝐴 = 𝑏𝑎𝑟 {(Ω; 1), (𝐴 ; −1), (𝐴 ; 1) } avec barycentre des permettant de calculer 𝐈
Ω(0 ; 0 ; 0) , 𝐴 (0; 1; 2) et 𝐴 (0; −1; 2) points pondérés les coordonnées d’un
× × × × × ×( ) × × × (Ω ; 1),(𝐴 ; −1), barycentre de points 𝐴 (0; −1; 4)
Donc 𝐴 ; ;
et (𝐴 ; 1) pondérés 𝐈
𝐴 (0; −2 ; 0).
𝐈 𝐈𝐈
⎧ 𝑥 = (−𝑥 − 2𝑦 − 2𝑧 + 6) L’expression 𝐴
4
; −3;3
1 8
⎪ 3
On a : 𝑆∆ : 𝑦′ = (−2𝑥 − 𝑦 + 2𝑧 − 6) analytique de 𝑆∆ utilise l’expression 𝐈
⎨ 𝐈 analytique de 𝑆∆
⎪ 𝑧 = (−2𝑥 + 2𝑦 − 𝑧 + 12). 10 4 8
⎩ 𝐴 ; − ;
3 3 3
𝐴 = 𝑆∆ (𝐴 ) et 𝐴 (0; 1; 2), donc 𝐴 (0; −1; 4). 𝐈
𝐈
4 1 8
𝐴 = 𝑆∆ (𝐴 ) et 𝐴 (0; −1; 2), donc 𝐴 3 ; − 3 ; 3 .
10 4 8
𝐴 = 𝑆∆ (𝐴 ) et 𝐴 (0; −2 ; 0), donc 𝐴 ; −3;3 𝟏, 𝟓 𝐩𝐭𝐬 𝟒, 𝟓 𝐩𝐭𝐬
3 𝟏 𝐩𝐭 𝟐 𝐩𝐭𝐬
12)a) Démontrons que l’ensemble (𝛄) des points M du plan d’affixe z (γ) à travers MF + MF = 8
tels que 𝐳 + 𝟐√𝟑 − 𝐢 + 𝐳 − 𝟐√𝟑 + 𝐢 = 𝟖 est une ellipse dont nous z + 2√ 3 − i utilise l’interprétation 𝐈
préciserons l’excentricité. + z − 2√3 + i géométrique du module FF = 4√3
Soit M un point du plan d’affixe z. =8 d’un nombre complexe
M ∈ (γ) ⟺ z + 2√3 − i + z − 2√3 + i = 8 𝐈 𝐈 𝐈
utilise |𝑧| = |𝑧̅| √3
⟺ z + 2√3 − i + z − 2√3 + i = 8 𝐈 e=
2
⟺ z + 2√3 − i + z − 2√3 − i = 8 ; 𝐈
⟺ MF + MF = 8, où F et F′ sont les points d’affixes utilise la définition (γ) est une
bifocale d’une ellipse. ellipse
respectives 2√3 + i et −2√3 + i.
𝐈 d’excentricité
FF = 2√3 + i − −2√3 + i = 4√3 et 4√3 < 8, alors FF′ < 8.

F et F′ sont deux points distincts du plan, 8 est un nombre réel 𝑒=
strictement positif et FF′ < 8. Alors, l’ensemble des points M du plan 𝐈
tels que MF + MF′ = 8 est l’ellipse de foyers F et F′ et dont la
longueur du grand axe est 8.
Autrement dit, (γ) est l’ellipse de foyers F et F′ et dont la longueur du
grand axe est 8.
Soit e l’excentricité de (γ), 𝑐 sa demi-distance focale et 𝑎 sa demi-
longueur du grand axe. On a :
e = avec 2c = FF et 2a = 8.

Alors e = = . Ce qui donne e = .

9
En conclusion, (γ) est l’ellipse de foyers les points F 2√3 ; 1 , 𝟎, 𝟓 𝐩𝐭 𝟏, 𝟓 𝐩𝐭𝐬 𝟐 𝐩𝐭𝐬 𝟒 𝐩𝐭𝐬

F′ −2√3 ; 1 [dans le repère(O ; u⃗, v⃗) ] et d’excentricité .
12)b) Représentons la portion de (𝛄) qui représente l’arc. l’ellipse (γ) et la
Soit b la demi-longueur du petit axe de (γ) . ses foyers trace le repère (O ; u⃗, v⃗) représentation
b = a − c = 4 − 2√3 . On obtient b = 4, donc b = 2. 𝐈 𝐈 de la portion
utilise une démarche de (γ) qui
Le centre de (γ) est le milieu ω du segment [FF′], on a ω(0 ; 1) dans
𝑎 et 𝑐 appropriée pour représente
le repère (O ; u⃗, v⃗).
𝐈 représenter la portion de l’arc.
𝐹𝐹⃗ = 4√3 𝑢⃗ donc 𝐹𝐹⃗ est colinéaire à 𝑢⃗. (γ) qui correspond à
Les sommets de (γ) dans le repère (𝜔; 𝑢⃗, 𝑣⃗) sont 𝑆 (−4; 0), 𝑆 (4; 0), l’arc.
𝑆 (0; −2) et 𝑆 (0; 2). 𝐈 𝐈𝐈
Pour représenter la portion de (γ) qui correspond à l’arc, il nous
suffira d’exécuter le programme de construction suivant :
 Représenter le repère orthonormé (O ; u⃗, v⃗).
 Tracer la droite d’équation y = 1 dans le repère (O ; u⃗, v⃗).
Cette droite est l’axe focal de (γ).
 Placer le point ω(0 ; 1) dans le repère (O ; u⃗, v⃗).
 Placer les points 𝑆 (−4; 0), 𝑆 (4; 0), 𝑆 (0; −2) et 𝑆 (0; 2)
dans le repère (𝜔; 𝑢⃗, 𝑣⃗).
 Tracer la partie de l’ellipse située au-dessus de l’axe focal.
On obtient la figure ci-après :

𝟏 𝐩𝐭
𝟏 𝐩𝐭 𝟏 𝐩𝐭 𝟑 𝐩𝐭𝐬
13) Calculons la probabilité pour le tireur n’atteigne la cible qu’au la probabilité utilise une démarche la probabilité
deuxième tir. appropriée pour calculer de l’échec lors
qu’un tireur
Un tir est une épreuve de Bernoulli de probabilité de succès . la probabilité pour le d’un tir
atteigne la cible
tireur n’atteigne la cible 𝐈
Donc la probabilité que le tireur n’atteigne la cible qu’au deuxième tir lors d’un tir
qu’au deuxième tir. la probabilité
est : 𝑝 = (1 − ) × . 𝐈
𝐈𝐈 pour que le
Soit 𝑝 = . tireur
n’atteigne la
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La probabilité que le tireur n’atteigne la cible qu’au deuxième tir est utilise la propriété cible qu’au
𝑝(𝐴) + 𝑝(𝐴̅) = 1, pour deuxième tir.
𝟎, 𝟓 𝐩𝐭 tout événement A 𝐈
𝐈 𝟏 𝐩𝐭 𝟑 𝐩𝐭𝐬

𝟏, 𝟓 𝐩𝐭𝐬
14)a) Calculons la probabilité 𝐩𝐧 pour que le tireur n’atteigne la cible les probabilités utilise une démarche 1 2
qu’au n-ième tir. appropriée pour calculer p =
et . 𝐈 3 3
𝐩𝐧 𝐈𝐈 𝐈𝐈
𝑝 = × ×∙∙∙× × ; 𝑝 = .
𝑛 𝐈
( )
𝟏 𝐩𝐭 𝟏 𝐩𝐭 𝟏 𝐩𝐭 𝟑 𝐩𝐭𝐬
14)b) Déterminons le nombre maximal de tirs à effectuer pour que 𝐩𝐧 l’expression de utilise une démarche le nombre
soit supérieur à 𝟎, 𝟎𝟓. p en fonction appropriée pour maximal est 5
de 𝑛 déterminer n. .
𝑝 > 0,05 ⇔ > 0,05
𝐈
⇔ > 0,15 𝐈 𝐈𝐈
le nombre 0,05
⇔ (𝑛 − 1) ln > 𝑙𝑛(0,15) 𝐈
( , )
⇔𝑛−1< , car ln <0

( , )
⇔𝑛< 1+ .

( , )
1+ ≈ 5,68 . Alors, le nombre maximal de tirs à effectuer
𝟏 𝐩𝐭 𝟎, 𝟓 𝐩𝐭 𝟏 𝐩𝐭 𝟐, 𝟓 𝐩𝐭𝐬
pour que p soit supérieur à 0,05 est 5 .
Récapitulatif problème 3 19 Ca (9,5 pts) 24 Cm (12 pts) 32 Co (16 pts) 𝟑𝟕, 𝟓 𝒑𝒕𝒔
Total relatif aux critères minimaux 40 Ca (20 pts) 60 Cm (30 pts) 80 Co (40 pts) 90 pts
Trois indicateurs à observer pour attribuer les points de CP : 10 pts
- Lisibilité de la copie
- Propreté de la copie
- L’originalité de la production.
Note relative au critère de perfectionnement Soit N le total des notes sur 90 :
 Si N < 40, alors CP = 0
 Si 40 ≤ N < 60, alors 0 ≤ CP ≤ 5 (2 points pour un
indicateur observé ; 4 points pour deux indicateurs
observés ; 5 points pour les trois indicateurs observés.)
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 Si N ≥ 60, alors 0 ≤ CP ≤ 10 (4 points pour un indicateur
observé ; 7 points pour deux indicateurs observés ;
10 points pour les trois indicateurs observés).
Total 100 pts

RECOMMANDATIONS
Recommandations d’ordre général :
Lire attentivement la production de chaque candidat.
Pour chaque consigne, présenter la note obtenue par candidat dans la marge comme suit : 𝑐𝑎 + 𝑐𝑚 + 𝑐𝑜 = 𝑡 et encercler 𝑡.
Donner le total 𝑁 relatif aux critères minimaux, la note 𝑃 relative au critère de perfectionnement puis marquer la note 𝑇 sur 100 du candidat sous la forme
𝑇= et déduire la note sur 20, arrondie à l’unité supérieure.

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