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Partie 1 : Ce qui m'a le plus étonné dans cette lecture est le fait que ce long recueil parle de la vie et de la

mort, d'amour et de nature. D'un grand lyrisme, il éveille le sentiment d'une manière décalée, à travers
le souvenir et la nostalgie. Intime certes, il ne s'adresse cependant pas qu'à Léopoldine, mais invite à
l'introspection mystique et universelle les autres hommes. Les Contemplations, c'est un recueil de
poèmes aussi énorme que son auteur, Victor Hugo. Tout y est un peu versé pêle-mêle, l'adolescence,
l'amour, l'exil, la séparation et la mort. La vie, quoi ! Y a-t-il une logique dans ce vacarme ? Sans doute
aucune à nos yeux, il faut tout prendre comme cela, en vrac, comme une vague. Faut-il questionner la
vague lorsqu'elle nous surprend au bord du rivage ou sur la pointe d'un récif ? Il y a plusieurs livres dans
ce livre. Nous sommes là à déplier ceux-ci les uns après les autres. S'il me fallait donner une définition de
la poésie, ce serait quelque chose avec les mots qui est plus grand que nous et qui nous grandit en
même temps. Victor Hugo est incontestablement plus grand que nous et il nous entraîne dans son sillage
à aimer le ciel et la terre, nous y vautrer dans une joie folle et pure, à aimer aussi d'autre poètes plus
grands que nous. Ce qui m'a le plus touché est qu'au milieu, c'est-à-dire quasiment entre les deux
grandes parties qui composent l'ouvrage, Autrefois et Aujourd'hui, il y a cette date du 4 septembre 1843,
la mort de sa fille Léopoldine et ce poème: "Demain dès l'aube", D'ailleurs cette date commémorative
du 4 septembre reviendra souvent dans le recueil. Je ne saurai dire si c'est le plus beau poème du
recueil, incontestablement c'est celui qui touche l'âme, nous fait vaciller.

Partie 2 :

poeme 28 du livre 1 page 78

Poeme 20 du livre 2 Page 108

poeme 20 du livre 3 page 165

poeme 14 du livre 4 page 235

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