CONTRÔLE DE A. La maîtrise du processus ; B. La surveillance du processus ; GESTION C. D. L’inspection su (du) processus ; La maîtrise du processus ; E. Aucune de ces réponses. 9. La méthode ABC se concentre sur : A. Les coûts des activités ; B. Les coûts des sections ; C. Les coûts des centres ; 1. La méthode (ABC), c’est : D. Les coûts des activités ; A. Méthode Acouant Based Costing (ABC) ; E. Aucune de ces réponses. B. Méthode Activity Base Costing (ABC) ; 10. La méthode de classification des C. Méthode Activity Based Cost (ABC) ; produits (en utilisant la notion de D. Méthode Activit Based Cost (ABC) ; l’activité) est : E. Aucune de ces réponses. A. La méthode ABC ; B. La méthode des coûts ; Exercice 1 : Une société de parfum avait prévu de C. La méthode de Wilson ; vendre 10 000 bouteilles avec une marge unitaire de D. La méthode hiérarchisée ; 24 dh. En fait, elle en a vendu 11 000 bouteilles E. Aucune de ces méthodes. avec une marge unitaire de 26 dh, la différence de 11. Les achats consommés de matières marge étant uniquement due à la variation du prix premières : de vente. A. Sont souvent des charges variables ; B. Sont souvent des charges fixes ; 2. L’écart sur vente : C. Sont souvent des charges fixes ; A. Est de : 46 000 dh ; D. Ne peuvent être classés des charges B. Est de : 286 000 dh ; variables ou en charges fixes ; C. Est de : 24 000 dh ; E. Aucune de ces réponses. D. Est de : 24 000 dh ; 12. Les charges de personnel : E. Aucune de ces réponses. A. Sont souvent des charges variables ; 3. L’écart sur quantité : B. Sont souvent des charges fixes ; A. Est de : 46 000 dh ; C. Ne peuvent être classés des charges B. Est de : 286 000 dh ; variables ou en charges fixes ; C. Est de : 24 000 dh ; D. Sont souvent des charges fixes ; D. Est de : 240 000 dh ; E. Aucune de ces réponses. E. Aucune de ces réponses. 13. Le calcul de la marge sur coût variable 4. L’écart sur prix : est fondé sur : A. Est de : 286 000 dh ; A. La somme des charges variables ; B. Est de : 24 000 dh ; B. La différence entre le chiffre d’affaires et C. Est de : 286 000 dh ; la somme des charges variables ; D. Est de : 22 000 dh ; C. La différence entre le chiffre d’affaire et la E. Aucune de ces réponses. somme des charges fixes ; 5. La marge prévisionnelle : D. La somme des charges variables ; A. Est de : 46 000 dh ; E. Aucune de ces réponses. B. Est de : 286 000 dh ; 14. Un produit avec une marge sur coût C. Est de : 240 000 dh ; variable négative doit être : D. Est de : 286 000 dh ; A. Abandonné à long terme ; E. Aucune de ces réponses. B. Abandonné à court terme ; 6. La marge réelle : C. Poursuivi à court terme ; (????????) A. Est de : 46 000 dh ; D. Poursuivi à court terme ; (????????) B. Est de : 286 000 dh ; E. Aucune de ces réponses ; C. Est de : 240 000 dh ; 15. La marge sur coût variable d’un D. Est de : 286 000 dh ; produit permet : E. Aucune de ces réponses. A. D’évaluer le stock du produit fini ; 7. L’inducteur est l’unité de mesure : B. De fixé le prix de vente de ce produit ; A. De l’activité ; C. De mesurer la capacité du produit à couvrir B. De la section ; les charges fixes communes ; C. Du centre d’analyse ; D. De décider de l’éventuel abandon de ce D. De la section ; produit ; E. Aucune de ces réponses. E. Aucune de ces réponses. Exercice 2 : L’évolution des ventes et des bénéfices 23. Selon « la méthode des points annuels d’une entreprise et selon le tableau suivant : extrêmes », la valeur de (b) : A. Est de : 1,2 ; Années 2010 2011 2012 2015 2016 2017 B. Est de : 1,3 ; Ventes 350 420 570 690 920 710 C. Est de : 1,4 ; (X) D. Est de : 1,5 ; Bénéfices 34 41 56 68 90 70 E. Aucune de ces réponses. (Y) La relation entre (X) et (Y) s’obtient par : Exercice 3 : Soit une chaîne de production qui Y = (a)X + (b). permet de transformer plusieurs types de tuiles. Le passage d’un type à l’autre exige des opérations 16. Selon « Mayer », la valeur de (a) : dont le coût est évalué à 1 000 dh. A. Est de : 0,12 ; Cette chaîne accepte de créer la tuile « normande » B. Est de : 0,13 ; au rythme de 1 000 unités par jour. Les ventes sont C. Est de : 0,14 ; supposées régulières dans le temps : 250 unités par D. Est de : 0,15 ; jour (soit 90 000 par ans). Chaque tuile est évaluée à E. Aucune de ces réponses. 10 dh. Le coût de possession du stock des ces tuiles 17. Selon « Mayer », la valeur de (a) : s’élève à 10% de la valeur du stock moyen. On A. Est de : 0,12 ; suppose qu’il n’y a pas de stock de sécurité. B. Est de : 0,13 ; C. Est de : 0,14 ; Si : (Q) étant la quantité produite lors de chaque D. Est de : 0,15 ; campagne, donc : E. Aucune de ces réponses. 18. Selon « Mayer », la valeur de (b) : 24. La quantité maximale en stock est de : A. Est de : 1,2 ; A. 0,70 Q ; B. Est de : 1,3 ; B. 0,71 Q ; C. Est de : 1,4 ; C. 0,72 Q ; D. Est de : 1,5 ; D. 0,73 Q ; E. Aucune de ces réponses. E. Aucune de ces réponses. 19. Selon « Mayer », la valeur de (b) : 25. Le stock moyen est de : A. Est de : 1,2 ; A. 0,370 Q ; B. Est de : 1,3 ; B. 0,371 Q ; C. Est de : 1,4 ; C. 0,372 Q ; D. Est de : 1,5 ; D. 0,373 Q ; E. Aucune de ces réponses. E. Aucune de ces réponses. 20. Selon « la méthode des points extrêmes », la valeur de (a) : Soit (N) le nombre annuel de lancement, donc : A. Est de : 0,12 ; B. Est de : 0,13 ; 26. Le coût de lancement est de : A. 1N; C. Est de : 0,14 ; B. 10 N ; D. Est de : 0,15 ; C. 100 N ; E. Aucune de ces réponses. D. 10 000 N ; 21. Selon « la méthode des points E. Aucune de ces réponses. extrêmes », la valeur de (a) : A. Est de : 0,12 ; 27. Le coût de possession est de : A. 33 700/N ; B. Est de : 0,13 ; B. 33 710/N ; C. Est de : 0,14 ; D. Est de : 0,15 ; C. 33 720/N ; E. Aucune de ces réponses. D. 33 730/N ; E. Aucune de ces réponses. 22. Selon « la méthode des points 28. Le nombre optimum de compagnes (N) extrêmes », la valeur de (b) : A. Est de : 1,2 ; est de : A. N≈1; B. Est de : 1,3 ; C. Est de : 1,4 ; B. N≈2; D. Est de : 1,5 ; C. N≈3; D. N≈4; E. Aucune de ces réponses. E. Aucune de ces réponses. 29. Le stock minimum, c’est un (e) : A. Niveau du stock correspondant au délai non normal de livraison ; B. Limite supérieure à ne pas dépasser ; B. Stock comptable déterminé d’après les C. Niveau de stock entraînant le mouvements ; déclanchement de la commande ; C. Stock réel + Commandes clients reçues ; D. Supplément au stock minimum nécessaire D. Stock disponible – Commandes en cours en cas de retard de livraison ; auprès des fournisseurs ; E. Aucune de ces réponses. E. Aucune de ces réponses. 30. Le stock de sécurité, c’est un (e) : 37. Le stock virtuel, c’est un (e) : A. Niveau du stock correspondant au délai A. Stock réel + Commandes clients reçues ; normal de livraison ; B. Stock comptable déterminé d’après les B. Limite supérieure à ne pas dépasser ; mouvements ; C. Niveau de stock entraînant le C. Stock réel + Commandes clients reçues ; déclanchement de la commande ; D. Stock disponible – Commandes en cours D. Niveau de stock entraînant le auprès des fournisseurs ; déclanchement de la commande ; E. Aucune de ces réponses. E. Aucune de ces réponses. 31. Le stock d’alerte, c’est un (e) : A. Niveau du stock correspondant au délai normal de livraison ; B. Limite supérieure à ne pas dépasser ; C. Limite supérieure à ne pas dépasser ; D. Supplément au stock minimum nécessaire en cas de retard de livraison ; E. Aucune de ces réponses. 32. Le stock maximum, c’est un (e) : A. Niveau du stock correspondant au délai normal de livraison ; B. Niveau de stock entraînant le déclanchement de la commande ; C. Niveau de stock entraînant le déclanchement de la commande ; D. Supplément au stock minimum nécessaire en cas de retard de livraison ; E. Aucune de ces réponses. 33. Le stock outil, c’est un (e) : A. Niveau du stock correspondant au délai normal de livraison ; B. Niveau de stock entraînant le déclanchement de la commande ; C. Niveau du stock correspondant au délai normal de livraison ; D. Niveau de stock entraînant le déclanchement de la commande ; E. Aucune de ces réponses. 34. Le stock théorique, c’est un (e) : A. Stock réel + Commandes clients reçues ; B. Stock physique évalué par inventaire. C. Stock réel + Commandes clients reçues ; D. Stock disponible – Commandes en cours auprès des fournisseurs ; E. Aucune de ces réponses. 35. Le stock réel, c’est un (e) : A. Stock réel + Commandes clients reçues ; B. Stock comptable déterminé d’après les mouvements ; C. Stock réel + Commandes clients reçues ; D. Stock disponible – Commandes en cours auprès des fournisseurs ; E. Aucune de ces réponses. 36. Le stock disponible, c’est un (e) : A. Stock réel + Commandes clients reçues ;