Vous êtes sur la page 1sur 3

8.

Le contrôle de gestion désigne :


CONTRÔLE DE A. La maîtrise du processus ;
B. La surveillance du processus ;
GESTION C.
D.
L’inspection su (du) processus ;
La maîtrise du processus ;
E. Aucune de ces réponses.
9. La méthode ABC se concentre sur :
A. Les coûts des activités ;
B. Les coûts des sections ;
C. Les coûts des centres ;
1. La méthode (ABC), c’est : D. Les coûts des activités ;
A. Méthode Acouant Based Costing (ABC) ; E. Aucune de ces réponses.
B. Méthode Activity Base Costing (ABC) ; 10. La méthode de classification des
C. Méthode Activity Based Cost (ABC) ; produits (en utilisant la notion de
D. Méthode Activit Based Cost (ABC) ; l’activité) est :
E. Aucune de ces réponses. A. La méthode ABC ;
B. La méthode des coûts ;
Exercice 1 : Une société de parfum avait prévu de C. La méthode de Wilson ;
vendre 10 000 bouteilles avec une marge unitaire de D. La méthode hiérarchisée ;
24 dh. En fait, elle en a vendu 11 000 bouteilles E. Aucune de ces méthodes.
avec une marge unitaire de 26 dh, la différence de 11. Les achats consommés de matières
marge étant uniquement due à la variation du prix premières :
de vente. A. Sont souvent des charges variables ;
B. Sont souvent des charges fixes ;
2. L’écart sur vente :
C. Sont souvent des charges fixes ;
A. Est de : 46 000 dh ;
D. Ne peuvent être classés des charges
B. Est de : 286 000 dh ;
variables ou en charges fixes ;
C. Est de : 24 000 dh ;
E. Aucune de ces réponses.
D. Est de : 24 000 dh ;
12. Les charges de personnel :
E. Aucune de ces réponses.
A. Sont souvent des charges variables ;
3. L’écart sur quantité :
B. Sont souvent des charges fixes ;
A. Est de : 46 000 dh ;
C. Ne peuvent être classés des charges
B. Est de : 286 000 dh ;
variables ou en charges fixes ;
C. Est de : 24 000 dh ;
D. Sont souvent des charges fixes ;
D. Est de : 240 000 dh ;
E. Aucune de ces réponses.
E. Aucune de ces réponses.
13. Le calcul de la marge sur coût variable
4. L’écart sur prix :
est fondé sur :
A. Est de : 286 000 dh ;
A. La somme des charges variables ;
B. Est de : 24 000 dh ;
B. La différence entre le chiffre d’affaires et
C. Est de : 286 000 dh ;
la somme des charges variables ;
D. Est de : 22 000 dh ;
C. La différence entre le chiffre d’affaire et la
E. Aucune de ces réponses.
somme des charges fixes ;
5. La marge prévisionnelle :
D. La somme des charges variables ;
A. Est de : 46 000 dh ;
E. Aucune de ces réponses.
B. Est de : 286 000 dh ;
14. Un produit avec une marge sur coût
C. Est de : 240 000 dh ;
variable négative doit être :
D. Est de : 286 000 dh ;
A. Abandonné à long terme ;
E. Aucune de ces réponses.
B. Abandonné à court terme ;
6. La marge réelle :
C. Poursuivi à court terme ; (????????)
A. Est de : 46 000 dh ;
D. Poursuivi à court terme ; (????????)
B. Est de : 286 000 dh ;
E. Aucune de ces réponses ;
C. Est de : 240 000 dh ;
15. La marge sur coût variable d’un
D. Est de : 286 000 dh ;
produit permet :
E. Aucune de ces réponses.
A. D’évaluer le stock du produit fini ;
7. L’inducteur est l’unité de mesure :
B. De fixé le prix de vente de ce produit ;
A. De l’activité ;
C. De mesurer la capacité du produit à couvrir
B. De la section ;
les charges fixes communes ;
C. Du centre d’analyse ;
D. De décider de l’éventuel abandon de ce
D. De la section ;
produit ;
E. Aucune de ces réponses.
E. Aucune de ces réponses.
Exercice 2 : L’évolution des ventes et des bénéfices 23. Selon « la méthode des points
annuels d’une entreprise et selon le tableau suivant : extrêmes », la valeur de (b) :
A. Est de : 1,2 ;
Années 2010 2011 2012 2015 2016 2017 B. Est de : 1,3 ;
Ventes 350 420 570 690 920 710 C. Est de : 1,4 ;
(X) D. Est de : 1,5 ;
Bénéfices 34 41 56 68 90 70 E. Aucune de ces réponses.
(Y)
La relation entre (X) et (Y) s’obtient par : Exercice 3 : Soit une chaîne de production qui
Y = (a)X + (b). permet de transformer plusieurs types de tuiles. Le
passage d’un type à l’autre exige des opérations
16. Selon « Mayer », la valeur de (a) : dont le coût est évalué à 1 000 dh.
A. Est de : 0,12 ; Cette chaîne accepte de créer la tuile « normande »
B. Est de : 0,13 ; au rythme de 1 000 unités par jour. Les ventes sont
C. Est de : 0,14 ; supposées régulières dans le temps : 250 unités par
D. Est de : 0,15 ; jour (soit 90 000 par ans). Chaque tuile est évaluée à
E. Aucune de ces réponses. 10 dh. Le coût de possession du stock des ces tuiles
17. Selon « Mayer », la valeur de (a) : s’élève à 10% de la valeur du stock moyen. On
A. Est de : 0,12 ; suppose qu’il n’y a pas de stock de sécurité.
B. Est de : 0,13 ;
C. Est de : 0,14 ; Si : (Q) étant la quantité produite lors de chaque
D. Est de : 0,15 ; campagne, donc :
E. Aucune de ces réponses.
18. Selon « Mayer », la valeur de (b) : 24. La quantité maximale en stock est de :
A. Est de : 1,2 ; A. 0,70 Q ;
B. Est de : 1,3 ; B. 0,71 Q ;
C. Est de : 1,4 ; C. 0,72 Q ;
D. Est de : 1,5 ; D. 0,73 Q ;
E. Aucune de ces réponses. E. Aucune de ces réponses.
19. Selon « Mayer », la valeur de (b) : 25. Le stock moyen est de :
A. Est de : 1,2 ; A. 0,370 Q ;
B. Est de : 1,3 ; B. 0,371 Q ;
C. Est de : 1,4 ; C. 0,372 Q ;
D. Est de : 1,5 ; D. 0,373 Q ;
E. Aucune de ces réponses. E. Aucune de ces réponses.
20. Selon « la méthode des points
extrêmes », la valeur de (a) : Soit (N) le nombre annuel de lancement, donc :
A. Est de : 0,12 ;
B. Est de : 0,13 ; 26. Le coût de lancement est de :
A. 1N;
C. Est de : 0,14 ;
B. 10 N ;
D. Est de : 0,15 ;
C. 100 N ;
E. Aucune de ces réponses.
D. 10 000 N ;
21. Selon « la méthode des points
E. Aucune de ces réponses.
extrêmes », la valeur de (a) :
A. Est de : 0,12 ; 27. Le coût de possession est de :
A. 33 700/N ;
B. Est de : 0,13 ;
B. 33 710/N ;
C. Est de : 0,14 ;
D. Est de : 0,15 ; C. 33 720/N ;
E. Aucune de ces réponses. D. 33 730/N ;
E. Aucune de ces réponses.
22. Selon « la méthode des points
28. Le nombre optimum de compagnes (N)
extrêmes », la valeur de (b) :
A. Est de : 1,2 ; est de :
A. N≈1;
B. Est de : 1,3 ;
C. Est de : 1,4 ; B. N≈2;
D. Est de : 1,5 ; C. N≈3;
D. N≈4;
E. Aucune de ces réponses.
E. Aucune de ces réponses.
29. Le stock minimum, c’est un (e) :
A. Niveau du stock correspondant au délai
non normal de livraison ;
B. Limite supérieure à ne pas dépasser ; B. Stock comptable déterminé d’après les
C. Niveau de stock entraînant le mouvements ;
déclanchement de la commande ; C. Stock réel + Commandes clients reçues ;
D. Supplément au stock minimum nécessaire D. Stock disponible – Commandes en cours
en cas de retard de livraison ; auprès des fournisseurs ;
E. Aucune de ces réponses. E. Aucune de ces réponses.
30. Le stock de sécurité, c’est un (e) : 37. Le stock virtuel, c’est un (e) :
A. Niveau du stock correspondant au délai A. Stock réel + Commandes clients reçues ;
normal de livraison ; B. Stock comptable déterminé d’après les
B. Limite supérieure à ne pas dépasser ; mouvements ;
C. Niveau de stock entraînant le C. Stock réel + Commandes clients reçues ;
déclanchement de la commande ; D. Stock disponible – Commandes en cours
D. Niveau de stock entraînant le auprès des fournisseurs ;
déclanchement de la commande ; E. Aucune de ces réponses.
E. Aucune de ces réponses.
31. Le stock d’alerte, c’est un (e) :
A. Niveau du stock correspondant au délai
normal de livraison ;
B. Limite supérieure à ne pas dépasser ;
C. Limite supérieure à ne pas dépasser ;
D. Supplément au stock minimum nécessaire
en cas de retard de livraison ;
E. Aucune de ces réponses.
32. Le stock maximum, c’est un (e) :
A. Niveau du stock correspondant au délai
normal de livraison ;
B. Niveau de stock entraînant le
déclanchement de la commande ;
C. Niveau de stock entraînant le
déclanchement de la commande ;
D. Supplément au stock minimum nécessaire
en cas de retard de livraison ;
E. Aucune de ces réponses.
33. Le stock outil, c’est un (e) :
A. Niveau du stock correspondant au délai
normal de livraison ;
B. Niveau de stock entraînant le
déclanchement de la commande ;
C. Niveau du stock correspondant au délai
normal de livraison ;
D. Niveau de stock entraînant le
déclanchement de la commande ;
E. Aucune de ces réponses.
34. Le stock théorique, c’est un (e) :
A. Stock réel + Commandes clients reçues ;
B. Stock physique évalué par inventaire.
C. Stock réel + Commandes clients reçues ;
D. Stock disponible – Commandes en cours
auprès des fournisseurs ;
E. Aucune de ces réponses.
35. Le stock réel, c’est un (e) :
A. Stock réel + Commandes clients reçues ;
B. Stock comptable déterminé d’après les
mouvements ;
C. Stock réel + Commandes clients reçues ;
D. Stock disponible – Commandes en cours
auprès des fournisseurs ;
E. Aucune de ces réponses.
36. Le stock disponible, c’est un (e) :
A. Stock réel + Commandes clients reçues ;

Vous aimerez peut-être aussi