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Index :
Sommaire
Index :.....................................................................................................................................................2
Les Nations PJ :.......................................................................................................................................3
1. Le Palatinat d’Elzaroth................................................................................................................3
2. Les Archipéliens ou la République de Nautillus..........................................................................4
3. Den Bõrgen [<Den Beurgen].......................................................................................................6
4. Frei Reichlander [La Marche libre de l‘Empire]...........................................................................7
5. La Sindhu des Djinns :.................................................................................................................9
6. L’Enclave ou le Paradis oublié :.................................................................................................11
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Les Nations PJ :
1. Le Palatinat d’Elzaroth
Orientation politique : Théocratie rédemptrice.
Titre du souverain pontife : Le Basileus [<Basiléous], élu par le
Concile de la Règle.
Archétypes de la Nation : Spiritualiste et expansionniste.
Société :
Il y a trois cents ans, le frère Saturnin Tuc, un jeune étudiant en
théologie theuts prit de puissants psychotropes pour entrer en contact avec les Divins qu’il étudiait. Quelle ne
fut pas sa surprise d’entrer en contact avec Elzaroth, un Dieu rédempteur perdu dans l’immensité du Cosmos
et cherchant des âmes impies à purifier.
Saturnin Tuc n’hésita pas à reconduire cette expérience avec d’autres étudiants et son cercle d’initiés s’élargit.
Ils finirent par quitter leur prieuré pour s’en aller et rejoindre Harapan afin d’y créer leur Basilique et d’y
prodiguer la parole d’Elzaroth.
Ainsi Tuc fut le premier Basileus et il révéla ceci à ses fidèles :
« Elzaroth m’a guidé dans les cieux de l’infini et il m’a dit qu’Il pardonnerait aux justes et qu’Il entrerait en
contact avec eux, grâce à la méditation, la danse exotique et l’enivrement des drogues, afin de leur pardonner
les acte pour lesquels ils cherchent la rédemption et le salut de l’âme en suivant ses préceptes et en respectant
ses interdits. »
Ces préceptes sont souvent liés à l’ordre monastiques, fanatiques ou de chevaleries saintes mais un est
commun à tous, chaque croyant se doit de porter son collier de perles, au plus celui-ci montera en statut, au
plus il devra chercher à purifier ses pêchers et donc obtenir par prière, rédemption, protection des plus
faibles, confession et sacrifice de soi des perles plus pures et blanches. Ceux qui ne chercheraient pas à se
purifier se verraient châtier par le Répurgateur, un croyant masqué qui peut prendre les pires des sanctions
contre les impurs !
Au fil du temps différents sanctuaires, prieurés, églises ainsi que monastères virent le jour un peu partout dans
Tanak. Il n’est donc pas incongru que les domaines du Palatinat soient morcelés aux quatre coins du monde
avec des petites et grandes propriétés mais aussi avec des cultures et des traditions différentes. Ceci étant,
certaines communautés doivent d’ailleurs voyager plus de deux semaines par route et par mer pour rejoindre
une autre localité du Palatinat.
Le Palatinat se trouve donc vassal ou ordre spirituel dans bons nombre de nations (seuls les Iliens semblent
exempts de la présence du Palatinat) mais tout y est décidé par le Basileus qui rarement accepte de se plier
aux souverains temporels ou aux directives d’un Etat où il est simple sujet.
Quant aux questions religieuses, qui sont sujettes à interprétation, elles sont réglées par le Concile de la Règle
où une demi-douzaine de courants religieux s’affronte afin de faire jaillir la sagesse d’Elzaroth.
Récemment, le dernier Basiléus est mort, les différentes factions du Concile de la Règle se sont réunies à
Harlapan, ils se doivent d’élire un nouveau Basiléus et de décider de l’étendue de ses pouvoirs. Ainsi dans le
quartier du Palatinat à Harlapan, on croise beaucoup de nordique, d’occidentaux et d’orientaux ces temps-ci,
chacun revêtu selon leur origine et défendant leurs points du vue au Concile. Pourtant ils ne sont pas les
seules, des représentants des ordres de chanoines et de chevalerie canonique sont également présents et
espèrent faire entendre leurs doléances au Concile.
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Le Palatinat semble assez obtus vis-à-vis de la technologie souvent considérée comme corruptrice des âmes
(tant qu’elles n’aident pas à purifier ces mêmes âmes lors des Questions 1) et des artisanats qui en oublient les
vraies méthodes de façonnage et de fabrication (sauf lorsqu’il s’agit de glorifier le Palatinat et sa supériorité
spirituelle).
La gestion financière ne semble pas être une des qualités des Pères Abbés, Émirs et Pasteurs, ceux-ci font
souvent appel à la charité des croyants pour éviter la banqueroute mais aussi favoriser le commerce et
l’accueil des marchands étrangers afin de remplir leurs caisses.
Rivalité :
On note cependant qu’au cours de ce dernier siècle, la religion a fortement évolué, les trois Basileus
précédents ont appelé les leurs à plus d’une vingtaine d’épuration d’âmes damnées, d’expiations sanglantes,
d’inquisitions et de croisades à l’encontre d’« hérétiques » (le plus souvent des petits nobles dérangeant, des
villageois vivant dans des coins reculés et même à l’encontre de communautés qui vivaient près de zones
riches en pleines Terres sauvages).
Ainsi bon nombre de seigneurs et souverains commencent à se méfier du Palatinat de peur de voir à leurs
portes, inquisiteurs, templiers, feydakeens et hiérophantes levant la croix rouge dentelée de la rédemption.
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Séance de torture religieuse.
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Toutefois il est bon de savoir que tout citoyen et toute cité-Etat jouit de la liberté tant que celui-ci respecte les
coutumes du Sénat (lieu où chaque citoyen pauvre ou riche a élu son représentant).
Le Sénat s’occupe principalement de ce que les cités ne gèrent pas : les taxes spéciales, les règles de
comportement auxquelles sont soumis les métèques (marchands étrangers) et les voyageurs (mercenaires,
auxiliaires et badauds), la nomination des magistrats (les prêtes y compris).
Mais le Sénat s’occupe aussi des rituels et du respect des cultes. Cependant sa plus importante tâche est
l’élection de nos deux Proconsuls (les chefs de la République, de nos Légions, de notre Marine et de nos
ambassadeurs).
Dans nos archipels, le statut et la richesse d’un simple citoyen s’estime par l’arpent de mer ou de lagon qu’il
possède pour nourrir les siens tandis que les familles philosophes (les universitaires, magistrats, juristes et
conseillers) et marchandes sont estimées par leur richesse matérielle. Toutefois nos nobles se distinguent par
la possession de moyennes ou grandes parties d’une île ou d’un îlot où ils cultivent la vigne, l’olivier et y
élèvent des sanglochons. Finalement, seuls nos esclaves et nos femmes fertiles sont en dehors de la vie
politique et économique.
Notre technologie dépend de la Guilde des explorateurs, elle se spécialise dans de nombreuses innovations
technologiques pour notre marine et nos légions (armes de siège, galères avec une longue rampe d’abordage,
armes, armures,…).
Enfin, l’exercice de la Magie est fortement contrôlé par le Conseil Arcanique, un cercle discret de mages
psyoniques.
Ne te méprend pas, étranger, sur ceux que tu appelles Nautilles car nous ne sommes pas des primitifs ! En
effet, nous sommes pieux et nous cherchons souvent à nous protéger du hasard, de la malchance mais aussi
des complots et colères divines. Ainsi pour chacun de nos actes importants ou officiels, nous consultons
l’Oracle où un devin, un astrologue ou une chiromancienne (lignes du destin dans la main) se doivent trancher
une question cruciale : « les Dieux vont-ils m’accorder leur protection dans mon entreprise ? ».
Rivalités :
La République connait plusieurs rivalités internes au sein de son Sénat entre les différentes classes sociales
représentées mais également sur le plan éthique depuis que les Femmes et les Hommes-bêtes des Lesbos se
sont révoltés pour s’affranchir de la loi les Femmes fertiles.
La menace de raids et de pillages des Iliens est devenue de plus en plus préoccupante, les Proconsuls ont donc
ordonné que les Portes du Dieu de la Guerre soient ouvertes afin que les cœurs des Marines et les
Légionnaires soient emplis de courage et de cruauté face aux adversaires de la République.
L’engagement de nombreux auxiliaires Peaux vertes dans la Légion semble déplaire à beaucoup de citoyens
malgré l’assurance des Sénateurs que ceux-ci ont reçu des formations et une éducation appropriés depuis leur
engagement sur le continent.
Par ailleurs des rumeurs font état de froid entre la Sérénissime et la République après la décision de relever les
taxes douanières face à la persistance des marchands de la Confédération à vendre à bas prix leurs denrées.
Quelques mercenaires trop curieux ont été arrêtés flânant près d’un observatoire de la Guilde des
explorateurs où l’on parle de la mise au point du prototype de la Mante, une sorte de navire sous-marin.
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3. Den Bõrgen [<Den Beurgen]
Orientation politique : Royaumes claniques.
Titre de noblesse : Le Jarl n’est autre que le Roi
d’un clan, seule sa Famille ou celle de ses cousins
proches peuvent donner du sang princier.
Archétypes de la Nation : Agricole et agressif.
Société :
Malgré le grand pouvoir du Jarl, des Dieux et du destin
qu’attend le guerrier dans le « Valhabah », nous, les
Bõrgen, ne sommes pas des sauvageons, nous avons des
lois, des coutumes et des interdits et nous cherchons toujours à nous améliorer dans nos arts et nos
techniques. Nous portons des armes hydrauliques et des armures vapeurs, nous nous pavanons de parures
précieuses et mettons des parfums.
Pourtant, étranger, même si tu nous crains, nous ne sommes pas tous tes pires cauchemars ; nous ne sommes
pas tous guerriers et pillards, certains d’entre nous sont marchands, agriculteur ou marins. Si tu nous vois
commercer chez toi étranger, c’est parce que nos karfi, skeid et knørr, (types de bateaux) sont équipés
technologiquement pour chevaucher les vents d’éthers au sein desquels nos îles flottent. Nos nain-génieurs
connaissent tout de ce qui est vapeur et hydraulique ainsi nous ne sommes pas isolé dans nos hautes
montagnes ou sur nos îles éthérées.
Au combat, rien ne nous résiste, et nos frères et sœurs Elfes et Nains te confirmeront qu’ensemble nous avons
vaincus les Géants et leurs pluies de rochers. Et sache que même les trolls préfèrent les troncs d’arbres à nos
armures !
Notre société est équilibrée, l’Homme est le guerrier, le commerçant, le pêcheur, le cultivateur des régions
froides et peu peuplées des Fjords aériens mais la Femme est l’essence même du peuple, elle possède les clés
de la maison, la terre, la richesse, l’éducation ainsi que la sagesse et elle peut aussi revêtir une armure pour se
battre.
Lorsque des questions se posent à nos esprits, nous nous réunissons et l’Althing, l’assemblée des Jarls, décide
ensemble devant leurs clans de ce qu’il sera fait. Seuls nos esclaves ne peuvent y participer !
La guerre, les rapines et les découvertes sont le devoir du Jarl qui, aidé des ses Banns (généraux), gère nos
guerriers, pilleurs et éclaireurs. Dans d’autres situations, ce sont les Maîtres de métiers et les Grand-prêtres
qui conseillent le Jarl.
L’une des particularités de nos commerçants est leur capacité à traquer dans les Fjords aériens les Grands Vers
des Airs, de les dépecer et de fabriquer à partir de leurs glandes cutanées du Skrei, sorte de drogues qui est
utile aux Devins pour augmenter leur préscience et aux guerriers pour diminuer les saignements de leurs
blessures. Etant les seuls sur le marché de Tanak à vendre cette denrée, nos marchands ont les pleins pouvoirs
mêmes si cela en rend plus d’un jaloux !
La Magie et les rituels sont pour nous source de puissance et de sagesse et grâce à elle, nos prêtres et
prêtresses nous ont appris à respecter les spectres de nos guerriers qui, poussés par la Dame des Souffrances,
cherchent à rejoindre le « Valhabah » et prendre leur place dans le Hall des Héros.
Rivalités :
La guerre et les rivalités commerciales sont partout, même nos clans voisins peuvent attaquer quand nous
avons le dos tournés, même la nature nous montre ses maléfices en tentant de corrompre nos esprits et nos
mœurs : Dragons, Nymphes, Tréants et Faeries nous menacent de leurs artifices et cabales, heureusement nos
Mages et Prêtresses veillent !
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Les peuples que certains de nos clans pillent en débarquant sur leurs côtes ou en arpentant leurs rivières nous
en veulent mais jamais ils ne savent comment passer les récifs et les glaces qui peuvent briser les quilles mais
surtout ils ne savent pas que nos bateaux sont équipés de ballons gonflables leur permettant de rejoindre nos
Îles éthérées.
Les Pirates, la Sérénissime mais surtout les Nautilles essayent depuis de éons de nous voler nos secrets de
fabrication du Skrei après le dépeçage d’un Grand Ver des Airs !
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5. La Sindhu des Djinns :
Orientation politique : Dynastie féodale.
Titre de noblesse : Maharaja est le suzerain, le Raja est le
vassal.
Archétypes de la Nation : Bâtisseur et Protectionniste.
Société :
Peu le savent mais on trouve en extrême orient une autre nation,
sur une immense presqu’île où de nombreux fleuves et lacs
s’écoulent. On y trouve de nombreuses richesses, des peuples aux mœurs exotiques et envoutants et des
races semblables à celles des autres régions. Les quelques échanges que cette péninsule a avec le reste du
monde sont le résultat d’une poignée de marchands de la Confédération, de l’Empire et d’explorateurs
archipéliens.
Cette société est dominée par les Djinns, composée en grande majorité par des serviteurs divins qui ont décidé
de prendre le pouvoir au nom de la révolution des Castes et de la Religion Pragma. Leur société est très
différente des autres et très protectrice ; pourtant il y a une mouvance économique interne qui ferait pâlir
bien des nations : l’économie n’est soumise ni aux impôts ni au contrôle de l’Etat, seules les propriétés, les
baux, l’urbanisme et les mines de métaux précieux sont du ressort de l’Etat.
Pourtant lorsqu’on parle d’Etat, on pourrait parler plutôt d’Etats car le Maharaja n’est pas le plus puissant des
Djinns puisque chaque Raja gère sa province assez indépendamment.
Si on côtoie plus en profondeur les Sindhurites, on s’aperçoit que quatre castes semblent organiser la vie des
Sindhurites, chacune étant divisée en un haut et un bas statut, Djinn, Guerrier, Producteur, Serviteur. La caste
des Guerriers est une caste que tous peuvent embrasser – malgré différents ordres spécialisés - et qui peut
donner la chance de changer de statut ou de caste si vos actes vous mènent à de nombreuses reconnaissances
ou à de grands malheurs.
Mais ce n’est pas le seul mécanisme sociétal qui existe, les comploteurs et dénonciateurs de complots contre
un haut statut peuvent changer de caste ou de statut en récompense de leurs efforts. De même ; la religion
prévoit que tout être qui tue un assassin ou tout assassin qui tue sa cible peuvent changer de caste ou de
statut si le temple de Kanli, Dieu du meurtre et de la rétribution, reconnait la sainteté de leur acte.
Quant aux maîtres de cet empire, les Djinns, ils ne sont pas tous des Serviteurs divins mais on distingue les
hauts statuts des bas : les Hauts Djinns sont les membres reconnus de la famille du Maharaja ou d’une famille
des Rajas (Vice-roi d’une des nombreuses provinces), de même, les Shoguns, appelés aussi chefs militaires,
sont également des Hauts Djinns. Tandis que les Bas Djinns sont les conseillers, mages, les aides de camps, les
Samouraïs, les Immortels (deux ordres parmi les haut-guerriers) et les grands magistrats des Hauts Djinns.
La grande folie des Djinns, surtout de la haute, est de se construire d’immenses palais, cités et édifices pour
vanter leurs mérites et leur gloire où ils sculptent leur histoire, ce qui va à l’encontre de leur Religion qui
pousse le pratiquant à se détacher des biens matériels et de son enveloppe corporelle afin de fusionner au
cours de la contemplation ou de l’extase avec les Dieux (ça s’appelle le Kama Sutra). Extase qui par ailleurs
permit à leurs ancêtres de trouver le chemin des arches vers Tanak plus rapidement que les autres peuples,
du essentiellement selon la légende au mouvement de va-et-vient des moines sur le premier bateau humain
ayant passé les arches.
La construction de ces édifices est souvent le travail de la Confrérie de tailleurs de Pierres, membre de la haute
caste des Producteurs, composée en grande majorité de Nains.
Rivalités :
Les Djinns sont nés pour être rivaux et ils complotent tout le temps !
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Dans les grandes cités labyrinthiques, d’étranges rumeurs circulent sur les pactes que des mages ou des
intrigants passent avec les Devas, d’étranges créatures qui offrent leurs services en échange d’une partie de
l’essence ou de l’âme du contractant.
Certains agriculteurs et de travailleurs pauvres espèrent un changement et seraient prêts à suivre l’élu de leur
cœur politique ou religieux qui leur apportera un affranchissement de leur Caste.
La présence de nouvelles propriétés du Palatinat d’Elzaroth a provoqué des troubles près de la ville de Belhi.
Le Raja de Belhi a rassuré son peuple, il trouvera une solution pour calmer les esprits et a rappelé aux
étrangers qu’ils sont des voyageurs et non des natifs.
Une légende parle de jungles impénétrables où vivraient Elfes, Homme-lézards, Sylvains et Orcs en symbiose.
Les autres nations apprennent avec méfiance, comme les Djinns vis-à-vis d’eux, à découvrir cette nouvelle
nation.
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6. L’Enclave ou le Paradis oublié :
« Monseigneur, je vous assure que pas plus tard qu’il y a une semaine, lors du premier jour de l’inscription des
nations participantes au rassemblement d’Harapan … eh bien, ils sont arrivés, enfin plutôt ils étaient-là à
l’instant même où l’on a ouvert les portes du temple, un Elfe et un Nain, vêtus comme les anciens, enfin, vous
voyez ce que je veux dire, Ils ressemblaient à ces dessins qu’on trouve sur les ruines, ces tas de pierres antiques
qu’on trouve ça et là dans tout l’Empire. Ils … comment vous le dire … ils ont inscrits leur nation, l’Enclave, à
Harapan.
Je sais, mon seigneur, ça paraît invraisemblable ! Mais vous auriez dû voir ça, ils avaient un escorte de soldats
d’espèces inconnues dont certaines armures étaient d’or et de rubis et ils ont payé en gemmes taillées les
droits d’inscriptions … et ils m’ont aussi remis une lettre officielle estampillé qui s’est traduite sous mes yeux …
je vous l’assure, celle-ci contenait toutes les informations et les sceaux officiels pour valider leur présence en
tant que Nation. Je suis comme vous, Monseigneur, je ne sais ce qui risque de venir à Harapan dans 4 mois. »
« Je terminerai mon livre dédié à l’Enclave par la découverte de ce texte ancestral, d’avant la fondation
d’Harapan, parlant d’un lieu, un sanctuaire qui fut Harapan avant Harapan, je cite …
Le sanctuaire fut préservé car entre toutes ces anciens peuples et civilisations (ndlr : que le temps avait poussé
à s’y réfugier), il fut décider que malgré la certitude que tout peuple perdu ou civilisation quasi-exterminée
pourra toujours trouver refuge éternel au sanctuaire et ainsi laisser une trace de son passage sur ce monde.
Ainsi, il fut décider que toute spiritualité et tout rassemblement populaire se tiendrait dans une autre cité, celle
de l’éveil et que celle du passé deviendrait une enclave de paix pour ceux que les épreuves avant poussés vers
le désespoir.
Je pense que certes, les anciens mages et les plus vieux peuples connus ont certainement oublié que nous pris
la place d’autres civilisations. Pourtant, je persiste à croire qu’un jour nous pourrons de nouveau communier
pour un futur meilleur afin de renouer entre nous. Pourtant une partie de moi me dit que certaines anciennes
haines ou superstitions risquent de nuire à ce renouveau de contact entre eux et nous. »
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