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EXERCICE 1
𝜋 𝜋 𝜋 𝜋 𝜋 𝜋
On pose a = √2 (cos 6 + 𝑖 sin 6 ) ; b = √2 (cos 4 + 𝑖 sin 4 ) ; c = √2 (cos 3 + 𝑖 sin 3 )
EXERCICE 3
Dans cet exercice, ℂ désigne l’ensemble des nombres complexes et Re(z) la partie réelle
du nombre complexe z.
On note P(z) = 𝑧 3 − (6 + 5𝑖)𝑧 2 + (3 + 20𝑖)𝑧 + 10 − 15𝑖.
1. Déterminer les racines carrées du nombre complexe W = -2i.
2. Rrésoudre dans ℂ l’équation (E) : 𝑧 2 − (3 + 3𝑖)𝑧 + 5𝑖 = 0.
3. a) Montrer que P(z) = [𝑧 2 − (3 + 3𝑖)𝑧 + 5𝑖][𝑧 − (3 + 2𝑖)].
b) Déduire dans l’ensemble ℂ des nombres complexes les solutions de l’équation :
(E) : 𝑧 3 − (6 + 5𝑖)𝑧 2 + (3 + 20𝑖)𝑧 + 10 − 15𝑖 = 0.
On notera 𝑧1 , 𝑧2 et 𝑧3 les trois solutions de (E) telles que : 𝑅𝑒(𝑧1 ) < 𝑅𝑒(𝑧2 ) < 𝑅𝑒( 𝑧3 ).
4. Le plan orienté étant rapporté à un repère orthonormé direct (O ; ⃗⃗⃗ 𝑒1 ;⃗⃗⃗⃗
𝑒2 ), unité de
longueur sur les axes : 2 cm.
a) Placer les points M, P et Q d’affixes respectives 2 + i, 1 + 2i et 3 + 2i.
b) Montrer que le triangle MPQ est rectangle isocèle de sommet principal M.
5. Soit r la rotation de centre M qui transforme P en Q.
a) Déterminer en radians la mesure principale de l’angle de r.
b) Donner une écriture complexe de r.
1
Issaka SAVADOGO Nombres Complexes
EXERCICE 4
3
Soit le polynôme P(Z) = 2Z – 4Z + λ où Z désigne un nombre complexe et où λ est un nombre réel.
On considère l’équation (E) : P(Z) = 0
EXERCICE 5
9
Soit P (z) = z 4 − 3z 3 + 2 z 2 − 3z + 1. On va chercher à calculer les racines de P.
1. Calculer P (1 + i)
̅̅̅̅̅̅
2. Comparer P (𝑧̅) et 𝑃(𝑧)
3. Montrer que si z0 est racine de P alors 𝑧̅0 est aussi racine de P.
1
4. Montrer que si z0 est racine de P alors z0 est aussi racine de P.
5. Déterminer toutes les racines de P.
EXERCICE 6
1 √3 √2 √2
On considère les nombres complexes z1 = 3 (− 2 + 𝑖 ) et z2 =3 ( 2 + 𝑖 ).
2 2
z1
1. a) Mettre sous forme trigonométrique les trois nombres complexes z1, z2 etz2.
b) Démontrer que, pour tout n deℕ, 𝑧12𝑛 est un réel.
z1
2. a) Donner la forme algébrique dez2.
5𝜋 5𝜋
b) En déduire les valeurs exactes des cos 12 et sin 12
3. On considère l’équation dans ℝ d’inconnue t : (√6 − √2) cos 𝑡+(√6 + √2) sin 𝑡 =2√2.
Résoudre cette équation dans]−𝜋𝜋; 𝜋𝜋].
EXERCICE 7
Soit à un réel quelconque. On considère dans ℂ l’équation
(E) : z3 - (ia + 2√3) z2 + (2ia√3 +4) z - 4ai = 0.
1) Déterminer le nombre réel a pour que : -2i soit une solution de (E).
2) Déterminer le polynôme complexe q de degré 2, tel que :
∀ z∈ ℂ , z3 + (2i -2√3) z2 + (4 -4i√3 ) z +8i = q(z)(z - √3 - i).
3) Résoudre dans ℂ l’équation (E) pour a = -2.
4) Dans le plan rapporté à un repère orthonormé (O, I, J), on donne les points M, N et Q
d’affixes respectives m = √3 + 𝑖 ; n = -2i et q =√3 − 𝑖.
2
Issaka SAVADOGO Nombres Complexes
EXERCICE 8
𝛼 est un réel appartenant à [-π ;π].
1. Résoudre dans ℂ l’équation : z2-4zsin 𝛼+4 = 0.
Désignons par z1 et z2 les deux solutions de cette équation. Calculer le module et un
argument de chacune d’elles.
1 1
2. Calculer S = z1 + z2 et S’ = z1 4 + 𝑧2 4 .
EXERCICE 9
1. Résoudre dans l’ensemble des nombres complexes ℂ les équations :
(E1) : 𝑧 2 + 2z√3 +4 = 0 et (E2) : 𝑧 2 - 2z√3 +4 = 0.
2. Pour tout nombre complexe Z, on pose P(z) = 𝑧 4 − 4𝑧 2 + 16 et on considère dans
ℂ l’équation (E) : P(Z) = 0.
a. Montrer qu’il existe deux valeurs du réel a tel que :
P(z) = (𝑧 2 + az +4) ( 𝑧 2 - az +4).
b. En déduire les solutions de l’équation (E).
3. Soient A, B, C, D, E et F les points d’affixes respectives : √3 + i ; 2i ; −√3 + i ; −√3 -
i ; -2i ; et √3 - i dans le plan muni du repère orthonormé direct (O ; 𝑢⃗ ;⃗⃗𝑣) .
a. Montrer que ces points appartiennent au cercle de centre O et de rayon 2.
b. Placer ces points dans le plan.
EXERCICE 10
𝑧−2𝑖
Pour tout nombre complexe z distinct de -1, on pose : f(z) = . On désigne par A, B, M
𝑧+1
et M’ les points d’affixes respectives -1, 2i, z et f(z) dans le plan complexe muni d’un
repère orthonormé (O, I, J).
1) Interpréter géométriquement le module de f(z) : d’une part à l’aide de O et M’, et
d’autre part à l’aide des points M, A et B.
En déduire l’ensemble (D) des points M lorsque M’ décrit le cercle de centre l’origine o et
de rayon 1.
2) a) calculer, pour tout z distinct de -1, :|f(z) - 1| x |z + 1| ; en déduire que
IM’ x AM = √5 .
√5
b) On suppose que M décrit le cercle de centre A et de rayon .
𝟐
Montrer que M’ appartient à un cercle (C) que l’on déterminera.
3
Issaka SAVADOGO Probabilité
EXERCICE 1
Un dé cubique pipé est tel que : Deux faces sont marquées 2 ; trois faces sont marquées 4
et une face est marquée 6. La probabilité pi d’apparition d’une face marquée i est
proportionnelle au nombre i.
1. Calculer p2, p4, p6.
1 1 1
2. On suppose dans la suite que p2 = 6 ; p4 = 3 et p6 = 2 .
On lance deux fois de suite le dé précédent, on note i le résultat du premier lancer et j le
résultat du 2ème lancer.
On définit la variable aléatoire X qui au couple (i ; j) associe le nombre i – j.
a) Déterminer l’univers image de X
b) déterminer la loi de probabilité de X.
EXERCICE 2
Un sac contient six boules numérotées de 0 à 5. On en extrait simultanément deux boules,
qui portent respectivement les numéros x et y. A chaque tirage on associe la variable
aléatoire X définie de la façon suivante :
𝑥+𝑦
- si x et y sont pairs, X prend la valeur 2
𝑥−𝑦
- si x et y sont impairs, X prend la valeur | 2 |
- si x et y sont de parités différentes, on attribue à X la valeur 0(zéro).
(On rappelle que 0 est pair)
1) a) déterminer les valeurs prises par X.
b) Etablir la loi de probabilité de X.
2) Calculer l’espérance mathématique de X.
3) On extrait dix fois de suite deux boules simultanément avec remise. Quelle est la
probabilité d’obtenir sept fois x et y de même parité. (On exprimera le résultat sous forme
de puissances de 2, 3 et 5).
EXERCICE 3
Une urne contient 12 boules numérotées de 1 à 12. On tire simultanément trois boules.
On suppose que tous les résultats possibles d’un tel tirage sont équiprobables. On
désigne par a, b et c les numéros de trois boules tirées.
Déterminer la probabilité de chacun des évènements suivants :
A : « a, b et c sont des termes consécutifs d’une suite arithmétique de raison 3 ».
B : « a, b et c sont es termes consécutifs d’une suite géométrique de raison 2 ».
C : « a, b et c sont des termes consécutifs d’une suite arithmétique de raison -2 ».
EXERCICE 4
Une urne contient 5 boules blanches et 4 boules rouges indiscernables au toucher.
On effectue n tirages successifs (n entier supérieur ou égal à 1) d'une boule en respectant
la règle suivante : si la boule tirée est rouge, on la remet dans l'urne ; si elle est blanche,
on ne la remet pas.
Les parties A et B sont indépendantes.
Partie A
4
Issaka SAVADOGO Probabilité
Dans cette partie n = 3. On donnera les résultats sous forme de fractions irréductibles.
Si k est un entier compris entre 1 et 3, on note Ek l'événement
<<seule la k ième boule tirée est blanche>>.
5
P (E1) =
36
Partie B
On effectue maintenant n tirages.
EXERCICE 5
On considère deux urnes U1 et U2.
L’urne U1 contient 17 boules blanches et 3 boules noires indiscernables au toucher.
L’urne U1 contient 1 boule blanche et 19 boules noires indiscernables au toucher.
On réalise des tirages en procédant de manière suivante :
Etape 1 : On tire au hasard une boule dans U1 , on note sa couleur et on la remet dans U1.
Etape n (n≥ 2) :
Si la boule tirée a l’étape (n – 1) est blanche, on tire au hasard une boule dans U1, on note
sa couleur et on la remet dans U1.
Si la boule tirée a l’étape (n – 1) est noire, on tire au hasard une boule dans U2, on note sa
couleur et on la remet dans U2.
On note An l’événement « le tirage a lieu dans l’urne U1 a l’étape n » et pn sa probabilité.
On a donc p1 = 1.
1. Calculer p2.
2. Montrer que pour tout entier naturel non nul, pn+1 = 0,8pn + 0,05.
On pourra s’aider d’un arbre pondéré.
3. Calculer p3.
4. a) Démontrer par récurrence que pour tout n entier naturel non nul, pn> 0,25.
b) Démontrer que la suite (pn) est décroissante.
c) En déduire que la suite (pn) est convergente vers un réel noté l.
d) Justifier que l vérifie l’équation : l = 0,8l + 0,05. En déduire la valeur de l.
5
Issaka SAVADOGO Probabilité
EXERCICE 6
Une urne A contient 2 boules rouges et 3 boules noires, une urne B contient 3 boules rouges et
deux boules noires.
On tire au hasard une boule de l'urne A :
EXERCICE 7
1) On dispose d'une urne U1 contenant trois boules rouges et sept boules noires.
On extrait simultanément deux boules de cette urne ; on considère que tous les tirages
sont équiprobables.
a. Quelle est la probabilité p1 que les deux boules tirées soient rouges ?
b. Quelle est la probabilité p2 que les deux boules tirées soient noires ?
c. Quelle est la probabilité p3 que les deux boules tirées soient de même couleur ?
d. Quelle est la probabilité p4 que les deux boules tirées soient de couleurs différentes ?
2) On dispose aussi d'une deuxième urne U2 contenant quatre boules rouges et six boules
noires.
On tire maintenant deux boules de l'urne U1 et une boule de l'urne U2 ; on suppose que
tous les tirages sont équiprobables.
On considère les événements suivants :
R : " Les boules tirées sont rouges ";
6
Issaka SAVADOGO Probabilité
D : " Les trois boules tirées ne sont pas toutes de la même couleur "
B : "La boule tirée dans l'urne U2 est rouge ".
a. Calculer la probabilité de l'événement R.
b. Quelle est la probabilité de tirer trois boules de même couleur ?
c. Calculer la probabilité conditionnelle pD(B) de l'événement B sachant que
l'événement D est réalisé.
EXERCICE 8
Pendant l’année scolaire, la cantine d’un lycée propose souvent du benga.
Le premier jour de l’année, il y a deux chances sur 5 qu’elle propose du benga.
Si elle en propose un jour, il y a une chance sur 3 qu’elle en propose le lendemain.
Si elle n’en propose pas un jour, il y a une chance sur 3 qu’elle n’en propose pas le
lendemain.
On appelle 𝐽𝑛 l’évènement « la cantine propose du benga le nième jour » et 𝐾𝑛 l’évènement
« la cantine n’en propose pas le nième jour ».
Soit 𝑝𝑛 la probabilité de l’évènement𝐽𝑛 .
1. Déterminer p (𝐽2 /𝐽1 ) et p (𝐽2 /𝐾1 ). En déduire𝑝2 .
1 2
2. Montrer que 𝑝𝑛 = 𝑝𝑛−1 +
3 3
1
3. Soit (𝑢𝑛 )𝑛𝜖ℕ∗ la suite définie par 𝑢𝑛 = 𝑝𝑛 − .
2
a) Montrer que (𝑢𝑛 )𝑛𝜖ℕ∗ est une suite géométrique dont on donnera le premier terme et la
raison.
b) Calculer 𝑢𝑛 puis 𝑝𝑛 en fonction de n.
c) Un élève de l’établissement, fin mathématicien, ne mange à la cantine que les jours
pairs.
Montrer qu’à chaque fois qu’il se rend à la cantine la probabilité qu’il a de manger du
1 8
benga est comprise entre et .
2 15
EXERCICE 9
On dispose de deux urnes U1 et U2. L’urne U1 contient 4 boules rouges et 2 boules
blanches et l’urne U2 contient 2 boules rouges et 4 boules blanches. On suppose que les
boules sont indiscernables au toucher.
1) On effectue dans l’urne U1, quatre tirages d’une boule avec remise.
a) Quelle est la probabilité d’avoir exactement une boule rouge au bout des 4 tirages ?
b) Quelle est la probabilité de n’obtenir une boule rouge qu’au 4ème tirage.
2) On lance une pièce de monnaie parfaite :
- si le résultat est « pile » on décide de tirer uniquement dans U1
- si le résultat est « face » on décide de tirer uniquement dans U2.
Une boule étant tirée dans les conditions de l’expérience décrite.
a) Calculer la probabilité qu’elle soit rouge.
b) Calculer la probabilité qu’elle provienne de U1 sachant qu’elle est rouge.
Exercice 10
Une urne contient trois boules vertes portant le numéro 0, deux boules rouges portant le
numéro 5 et une boule noire portant le numéro a (a est un entier naturel non nul, différent
de 5 et de 10).
Toutes les boules sont indiscernables au toucher.
Un joueur tire simultanément trois boules de l'urne.
1. Quelle est la probabilité pour qu'il tire :
7
Issaka SAVADOGO Probabilité
8
Issaka SAVADOGO Calcul Intégrales – Equations différentielles
Exercice 1
En admettant leur existence, calculer les intégrales suivantes:
𝜋 1 𝑥 2 +1 3 𝑥+1 2
a)∫0 𝑠𝑖𝑛𝑥𝑐𝑜𝑠 5 (𝑥)𝑑𝑥 ; b) ∫0 𝑑𝑥 ; c) ∫1 𝑑𝑥 ; d) ∫1 𝑥(𝑙𝑛𝑥)2 𝑑𝑥
(𝑥 3 +3𝑥+1)4 √𝑥 2 +2𝑥+3
4 1 𝑒2 1 2 2 −𝑥+4 1 𝑥
e) ∫1 𝑑𝑥 ; f) ∫𝑒 𝑑𝑥 ; g) ∫0 (2𝑥 − 1)𝑒 𝑥 𝑑𝑥 ; h) ∫−1 𝑒 2𝑥 𝑑𝑥
√𝑥(1+√𝑥)2 𝑥𝑙𝑛𝑥
𝜋 𝜋
1 𝑒 2𝑥 4 (𝑥)𝑑𝑥 2 𝜋 𝑒 𝑙𝑛2 𝑥
i) ∫0 1+𝑒 2𝑥 𝑑𝑥 ; j) ∫0 𝑐𝑜𝑠
2 ; k) ∫ 𝑠𝑖𝑛 (2𝑥 + 2 ) 𝑑𝑥 ; l) ∫1
−
𝜋
𝑥
𝑑𝑥
4
EXERCICE 2
1
On considère l suite (In) définie pour n ∈ ℕ par : In = ∫0 𝑡 𝑛 𝑒 −𝑡 𝑑𝑡
1. Calcul des premiers termes
a. Calculer I0
b. A l’aide d’une intégration par partie, calculer I1
2. Etude de la convergence de (In).
a. Montrer que la suite (In) est positive
b. Montrer que la suite (In) est décroissante
c. En déduire que la suite (In) converge
3. Calcul de la limite de la suite la suite (In).
1
a. Démontrer que pour tout entier naturel n : In+1 = (n+1) In -
𝑒
1 1
b. Démontrer que pour tout entier naturel non nul : ≤ In≤
(𝑛+1)𝑒 𝑛𝑒
c. En déduire la limite de la suite (In )
EXERCICE 3
1 𝑑𝑥
Soit I = ∫0
√𝑥 2 +2
1) Justifier l’existence de 𝜙.
1 𝑎 𝑏 𝑐
2) Déterminer trois réels a, b et c tels que pour tout x𝜖]0; +∞[, 𝑥(1+𝑥)2 = 𝑥 + 1+𝑥 + (1+𝑥)2
𝑥 1
3) a) Soit X ≥ 1. Calculer ∫1 𝑑𝑥
𝑥(1+𝑥)2
b) En intégrant par parties, calculer 𝜙(𝑥) en fonction de x.
𝑙𝑛𝑥 1 1
c) Montrer que lim = 0. En déduire que lim 𝜙(𝑥) = 2 (𝑙𝑛2 − 2)
𝑥⟶+∞ (1+𝑥)2 𝑥⟶+∞
EXERCICE 5
9
Issaka SAVADOGO Calcul Intégrales – Equations différentielles
2𝑙𝑛𝑥
Soit f la fonction définie sur]0; +∞[ par : f (x) =
𝑥 2 +𝑥
EXERCICE 7
EXERCICE 8
10
Issaka SAVADOGO Calcul Intégrales – Equations différentielles
EXERCICE 9
EXERCICE 10
Un bloc de métal est déposé dans un four dont la température constante est de 1000°.
La température est une fonction du temps t(en heures) qui vérifie l’équation différentielle
(E) : ’(t) = k(1000 - (t)), k∈ ℝ∗+ .
1) On pose y(t) = (t) – 1000. Ecrire une équation différentielle (F) satisfaite par y.
2) Résoudre (F), puis (E).
3) Le bloc initialement à 40°C est déposé dans le four au temps t0 = 0.Sa température est de
160°C au bout d’une heure. En déduire l’expression de (t) en fonction de t uniquement.
4) a) calculer la température au temps t = 3
b) Déterminer le temps T à partir duquel la température du bloc dépassera 500°C.
7 7 25
On donne : ( 8 )3 ≈ 0,7 ; ln8 ≈ -0,13 ; ln48 ≈ - 0,65.
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Issaka SAVADOGO Courbes paramétrées
Exercice 1
On considère dans le plan muni d’un repère orthonormée (o ; 𝑖 ;⃗j ) d’unité graphique :
2cm, la courbe (Γ) de representation paramétrique :
x (t) = esint
{ ,t∈ℝ
y (t) = cost
𝑥(𝑡) = 2𝑐𝑜𝑠2𝑡
{ (t ∈ ℝ)
𝑦(𝑡) = 𝑐𝑜𝑠𝑡 − 𝑠𝑖𝑛𝑡
1. Etudier la périodicité des fonctions x et y.
Comparer la position des points M(t) et M(t + π). En déduire une symétrie.
2. Etudier les variations conjointes des fonctions x(t) et y(t) et tracer la courbe (C).
Exercice 6
On se propose d’étudier et de construire la courbe (C) dont une représentation
paramétrique est :
𝑥(𝑡) = 3𝑐𝑜𝑠3𝑡
{ (t ∈ ℝ)
𝑦(𝑡) = 3𝑠𝑖𝑛2𝑡
1. Que se passe t-il si on change t en t + π ? Que peut-on en déduire pour la courbe
(C) ?
2. Que se passe t-il si on change t en - t ? Que peut-on en déduire pour la courbe (C) ?
3. Etudier et construire (C).
Exercice 7
On considère la courbe paramétrée (C) définie par :
𝑥(𝑡) = 𝑐𝑜𝑠 3 𝑡
{ (t ∈ ℝ)
𝑦(𝑡) = 𝑠𝑖𝑛3 𝑡
𝜋
1. Calculer la dérivée de la fonction x et étudier son signe sur l’intervalle [0 ; 2 ].
𝜋
2. Calculer la dérivée de la fonction x et étudier son signe sur l’intervalle [0 ; 2 ].
3. Donner une période commune aux fonctions x et y. Conséquence graphique ?
4. Etudier la parité des fonctions x et y. Conséquence graphique ?
5. Calculer x (π-t) et y (π-t). Conséquence graphique ?
6. Déduire de ce qui précède la courbe représentative de (C).
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Issaka SAVADOGO Courbes paramétrées
Exercice 8
Le plan P est rapporté au repère orthonormé direct (0 ; 𝑢 ⃗ ). (C) est l’ensemble des points
⃗ ;v
𝑥(𝑡) = 3sin(𝑡) + sin(3𝑡)
M(t) de coordonnées : {
𝑦(𝑡) = 2 cos(𝑡) + cos(2𝑡)
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Issaka SAVADOGO Géométrie dans l’espace
Exercice 1
L’espace est muni d’un repère orthonormé (o ; 𝑖 ;⃗j ; ⃗k ), unité graphique 2 cm.
Soient les points A (-2 ; 1 ; -4) ; B (2 ; 3 ; 1) ; C (2 ; 2 ; -1) et D (-3 ; -1 ; 3).
Soient les points E, F, G et H tel que ABFCDEGH soit un parallélépipède.
Exercice 2
Dans l’espace muni d’un repère orthonormée direct (o ; 𝑖 ;⃗j ; ⃗k ), on considère les points
A (1 ;0 ; 0) ; B (0 ; 2 ; 0) ; C (0 ; 0 ; 3).
1) Calculer les coordonnées du vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐴𝐵 ⋀ ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐶 .
Soit I le point de coordonnées (1 ; 2 ; 3).
2) Calculer la distance de I au plan (ABC). Les points A, B, C et I
sont – ils – coplanaires ?
3) a) Calculer A1 l’aie du triangle AB en unité d’aire.
b) Déterminer le volume V (en unité de volume) de la pyramide de sommet I et de base le
triangle ABC.
4) Soit D le point de coordonnées (1 ;-2 ; 3).
a) Quelle est la nature du quadrilatère ABCD ?
b) Calculer l’aire A2 du quadrilatère ABCD.
Exercice 3
Dans l’espace muni d’un repère orthonormé direct (o ; 𝑖 ;⃗j ; k ⃗ ), on considère
A (2 ; 1 ; 2) ; B (2 ; 2 ; 1) ; C (2 ; -1 ; -1) et D (1 ; 3 ; 0) ( Unité : 1cm)
1) a) Calculer les coordonnées du vecteur 𝐵𝐶 ⃗⃗⃗⃗⃗ ⋀ 𝐵𝐷
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ .
b) Les points A, B, C et D sont – ils coplanaires ?
2) a) Déterminer les coordonnées du point E tel que BDEC soit un parallélogramme.
b) Déterminer en cm2, l’aire S du parallélogramme BDEC.
3) Déterminer en cm3 le volume V de la pyramide de sommet A et de base le
parallélogramme BDEC.
Exercice 4
Dans l’espace muni d’un repère orthonormée direct (o ; 𝑖 ;⃗j ; ⃗k ). On donne les points
A (3 ; 2 ; -1) et H (1 ; -1; 3).
1) Calculer la distance AH.
2) Déterminer une équation du plan (P) passant par H et perpendiculaire à la droite (AH).
3) On donne les points B (-6 ; 1 ; 1) ; C (4 ; -3 ; 3) ; D (-1 ; -5 ; -1).
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Issaka SAVADOGO Géométrie dans l’espace
Exercice 5
L’espace orienté est rapporté à un repère orthonormé direct (o ; 𝑖 ;⃗j ; ⃗k ).
On considère les points A (1 ; 1 ; -1,5) ; B (0 ; 1 ; -1) ; C (-4 ; -3 ; -2) et D (1 ; 1 ; -1)
Exercice 7
Dans l’espace muni d’un repère orthonormé direct (o ; 𝑖 ;⃗j ; ⃗k ), on considère les points :
A (-4 ; 6; -1) ; B (1 ; 2 ; 2) ; C (-1 ; 4 ; 3).
1. a)Démontrer que les points A, B et C ne sont pas alignés.
b) Calculer l’aire du triangle ABC.
2. Ecrire une équation cartésienne du plan (ABC).
3. Soit I le milieu de [AC], et D = SI(B) où SI désigne la symétrie de centre I.
a) Démontrer que les points A, B, C et D sont coplanaires.
b) Donner la nature du quadrilatère ABCD et puis calculer son aire.
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Issaka SAVADOGO Géométrie dans l’espace
Exercice 8
Dans l’espace muni d’un repère orthonormé direct (o ; 𝑖 ;⃗j ; ⃗k ), on considère les points :
A (2 ; 1; -1) ; B (-2 ; 1 ; -1) ; C (0 ; -2 ; -1) ; A’ (2 ; 1; 3) ; B’ (-2; 1 ; 3) ; C’ (0 ; -2 ; 3).
1) Quelle est la nature du triangle ABC ? Que représente la droite (CO) pour ce triangle ?
2) Montrer que le solide déterminé par les points ABCA’B’C’ est un prisme droit.
3) Quelle est la hauteur de ce prisme ?
L’unité de longueur sur le repère étant 1 cm, calculer :
a) L’aire de la surface latérale du prisme
b) L’aire de la surface totale du prisme
c) Le volume du prisme
Exercice 9
Dans l’espace muni d’un repère orthonormé direct (o ; 𝑖 ;⃗j ; ⃗k ), on considère les points :
1 1
A (0 ;0 ; 3) ; B (0 ; 1 ; 1) ; C (1 ; 0 ; 1) ; D (2 ; 0; 0) ; E (0; 2 ; 0) ; F (0 ; 0 ; 1).
Soit ABCDEFGH un cube. L’espace est oriente par le repère orthonormé (A ; ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐵 ;⃗⃗⃗⃗⃗⃗
AD ; ⃗⃗⃗⃗⃗
AE ),
I est le milieu de [EF] et K est le centre du carre ADHE.
1) Faire une figure et y placer tous les points ci – dessus et déterminer dans le repère
donne par l’énoncé les coordonnées de tous les points.
𝐵𝐾 = ⃗⃗⃗⃗
2) Montrer que ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐼𝐺 ∧ ⃗⃗⃗⃗
𝐼𝐴. En déduire l’aire du triangle IGA.
3) Calculer le volume du tétraèdre ABIG.
Exercice 11
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Issaka SAVADOGO Statistique
Exercice 1
Soit la série statistique double
xi en FCFA 30 35 45 60 80 100
yi en milliers 12,5 13 13 15 15,5 16
On considère l’ensemble Mi des points (xi,yi), où 1≤ 𝑖 ≤ 6.
1) a) construire le nuage de points Mi.
b) Un ajustement affine de ce nuage semble t-il raisonnable ? Justifier la réponse.
2) a) construire la droite (∆) d’ajustement affine obtenue par la méthode de Mayer.
On prendra pour premier sous-nuage les trois premiers points et pour le deuxième les
trois derniers.
b) Déterminer une équation de (∆) sous forme y = ax + b, a et b étant deux réels à
préciser.
3) En utilisant l’équation de (∆), estimer :
- La quantité de produit P disponible sur le marché pour un prix de vente de 150 F.
- Le prix de vente si la quantité du produit P disponible sur le marché est 20.000 F.
Exercice 3
Dans les premiers mois de sa naissance, un nourrisson est régulièrement pesé.
Voici le tableau où la variable x représente le nombre de jours après la naissance et la
variable y le poids en kg.
X 5 7 9 13 17 19 22 24
Y 3,65 3,78 3,80 3,85 3,93 4,00 4,09 4,15
1) Représenter le nuage de points associé à cette série.
2) Calculer les coordonnées du point moyen du nuage
3) Tracer par la méthode de Mayer la doite d’ajustement du nuage de point associé à
cette série.
4) Quelle pourrait être, graphiquement une estimation du poids du nourrisson le
vingtième jour de sa naissance ?
5) Donner une équation de la droite d’ajustement tracée à la question 3.
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Issaka SAVADOGO Statistique
Exercice 4
Le tableau ci – dessous représente la population X de 6 pays et le nombre y
d’analphabètes de chacun de ces pays (tous exprimés en millions d’habitants).
Pays P1 P2 P3 P4 P5 P6
Populations 13,9 3,4 2,7 1,15 0,42 7,153
Nombre 3,9337 1,9584 1,43 0,38 0,08 3,43
d’analphabètes
a) Représenter le nuage de points associé à cette série statistique.
(On prendra en abscisss 1 cm, et en ordonnées 4 cm, pour un million d’habitants).
b) Déterminer les coordonnées du point moyen G de cette série statistique.
c) Déterminer en utilisant la méthode de Mayer une équation cartésienne de
la doite d’ajustement affine de ce nuage de points.
d) Donner une estimation du nombre d’analphabètes qu’aura le pays P6
lorsque la population de ce pays atteindra 10,2 millions d’habitants.
Exercice 5
Une Enterprise fabrique des vêtements. Dans le tableau suivant, on a indiqué pour les
sept premiers mois de l’année 2008 la production journalière moyenne de pulls.
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Issaka SAVADOGO Statistique
Exercice 6
Le tableau suivant donne le montant des prêts octroyés par une banque à des associations
féminines entre 2002 et 2007.
1) Représenter le nuage de points Mi (xi ; yi) associé à cette série statistique dans un
repère orthogonal. On prendra 1 cm pour une unité en abscisse et 1 cm pour un
million en ordonnée.
2) Soit (Δ) la droite d’ajustement de Mayer obtenue par regroupement des trois
premiers points et des trois derniers points du nuage. Soit G1 le point moyen des trois
premiers points et G2 celui des trois derniers points du nuage.
a) Calculer les coordonnées de G1et G2.
b) Construire la droite (Δ).
c) Déterminer l’équation réduite de (Δ).
On suppose que l’évolution du montant des prêts faits aux associations féminines reste la
même au cours des années à venir.
A partir de quelle année le montant des prêts sera-t-il strictement supérieur au double de
celui de 2009 ?
Exercice 7
Le tableau suivant donne le pourcentage yi de la consommation médicale des ménages a
revenu moyen dans la consommation globale des ménages pour les six années considérées.
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Issaka SAVADOGO Problèmes
Partie A
1. a) Etudier la continuité et la dérivabilité de f en 𝑥0 = 0. La fonction f est-elle continue
sur ℝ ? Sur quel intervalle de ℝ f est-elle dérivable ?
b) Montrer existence dune branche parabolique en -∞, pour la courbe représentative
de f. Quelle direction a-t-elle ?
1
2. a) Montrer que la droite d’équation y = 2x + 2 est une asymptote pour la courbe (C) de
f. Quelle est la position de (C) par rapport a cette droite, quand x→ +∞?
b) Montrer que pour 𝑥 ≥ 0 (C) ne coupe pas l’asymptote
3. a) Etudier les variations de f. Montrer l’existence de deux extrema A et B dont on
calculera les coordonnées.
−1
b) Calculer f(-e), f(-1), f( 𝑒 ), f(0), f(1).
Dresser le tableau de variations de f.
c) Dessiner la courbe (C) dans le repère (O ; 𝑖 ;⃗j ). reporter les demi-tangentes, puis la
tangente a la courbe de direction l’axe des abscisses.
Déterminer l’équation de la tangente a (C) en 𝑥0 = 1. Ne pas chercher a calculer
Partie B
1. Démontrer que la restriction de f a [1,+∞[ admet une bijection réciproque 𝑓 −1 dont
on précisera l’ensemble de définition et l’ensemble image. Ne pas chercher a
calculer 𝑓 −1 (𝑥), mais dessiner sa courbe représentative(𝐶𝑓−1 ) dans le même repère
que celui de (C).
2. Calculer en cm2, l’aire géométrique du domaine A limite par les frontières x = -1 ;
−1
x= , l’axe des abscisses et la courbe (C).
𝑒
On effectuera une intégration par parties. Ne pas chercher simplifier les résultats
obtenus à la fin du calcul.
Partie C
Un point M(x,y) est anime d’un mouvement plan, curviligne, et sa position en fonction de t est
données par :
𝑥 =𝑡+1
{ , avec 𝑡 ≥ 0
𝑦 = 𝑡 + 1 + √𝑡 2 + 3𝑡 + 2
Montrer que la trajectoire de M est une partie de (C) que l’on précisera.
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Issaka SAVADOGO Problèmes
xlnx si x > 0
f(x) = {
x − 1 + ex si x ≤ 0
On désigne par (C) la courbe représentative de f dans le plan muni d’un repère
orthonormé (O ; 𝑖 ;⃗j ) (Unité : 2 cm).
Partie B
Partie C
Soit g a restriction de f a l’intervalle J = [1; +∞[.
1. Montrer que g est une bijection de J sur un intervalle K que l’on déterminera.
2. On note 𝑔−1 la bijection réciproque de g. tracer dans le repère précédent la courbe
(Γ) représentative de 𝑔−1 .
NB : On ne demande pas d’expliciter 𝑔−1
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Issaka SAVADOGO Problèmes
Partie A
On considère es deux équations différentielles (E) et (H) suivantes dans lesquelles y est
une fonction numérique de la variable réelle x, e désignant la base du logarithme
népérien :
1. Vérifier que la fonction numérique u définie par : u(x) = -x𝑒 −3𝑥 est une solution
particulière de (E).
2. Déterminer la solution générale de (H).
3. Soit f une fonction numérique deux fois dérivable.
a) Montrer que f est une solution de (E) si et seulement si f – u est solution de (H).
b) En déduire toutes les solutions de (E) et donner la solution particulière f de (E)
vérifiant : lim 𝑓(𝑥) = 0 𝑒𝑡 𝑓 ′ (0) = 0
𝑥⟶+∞
Partie B
On considère la fonction la fonction numérique g de la variable réelle x définie par :
1
g(x) = - (𝑥 + 3) 𝑒 −3𝑥 .
Soit (C) la courbe représentative de g dans le plan rapporte au repère orthonormé (O ; 𝑖 ;⃗j )
(Unité : 3 cm).
1. Etudier les sens de variation de la fonction 𝑓𝑎,𝑏 et dresser son tableau de variation ;
discuter selon les valeurs de a et b.
2. On suppose que les réels a et b sont les résultats de deux lancers successifs d’un dé
dont les faces, numérotées de 1 a 6, ont la même probabilité d’apparition.
Calculer la probabilité de chacun des évènements suivants :
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Issaka SAVADOGO Problèmes
Partie I n étant un entier naturel non nul, on note 𝑓𝑛 la fonction de la variable réel x
𝑛
définie dans l’intervalle ]0, +∞[ par : 𝑓𝑛 (𝑥) = 𝑥 − 𝑛 + 2 ln(𝑥).
1. Calculer les limites de g lorsque x tend vers 0 et lorsque x tend vers +∞.
𝑓1 (𝑥)
2. Vérifier que g’(x)= . En déduire le tableau de variations de g.
2𝑥 √𝑥
3. Préciser les positions relatives des deux courbes (C) et (C’) et calculer la limite lorsque
x tend vers +∞ de [g(x)- h(x)].
4. Tracer les courbes (C) et (C’).
2
5. On pose : I = ∫1 𝑔(𝑥)𝑑𝑥
2 ln(𝑥)
a) Calculer J = ∫1 2 𝑥 𝑑𝑥 a l’aide dune intégration par parties.
√
b) En déduire la valeur de I.
Problème 5 : BAC D Session de Juillet 2002 Niger
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Issaka SAVADOGO Problèmes
ℎ(𝑥)
𝑓(𝑥) = 𝑠𝑖 𝑥 ∈ ]−1; +∞[
{ √𝑥 + 1
𝑓(−1) = 0
PARTIE A
Soit 𝑓𝑘 la fonction définie sur ℝ par 𝑓𝑘 (x) = (2 – x)𝑒 𝑥 − 𝑘 où k est réel fixe tel que 0<
𝑘 < 𝑒.
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Issaka SAVADOGO Problèmes
PARTIE B
k est réel fixe tel que 0< 𝑘 < 𝑒.
1) Soit u la fonction de la variable x définie par : u(x) = 𝑒 𝛼𝑘 − 𝑘.
a) Etudier le sens de variations de u.
b) justifier la propriété suivante : pour tout réel x, 𝑒 𝛼𝑘 − 𝑘 > 0.
𝑒 𝑥 −𝑘
2) Soit 𝑔𝑘 la fonction définie par : 𝑔𝑘 (𝑥) = . On note Ck la courbe
𝑒 𝑥 −𝑘𝑥
représentative de 𝑔𝑘 dans le plan rapporte a un repère orthogonal.
a) Déterminer la limite de 𝑔𝑘 en -−∞𝑒𝑡 𝑒𝑛 + ∞.
𝑘𝑓𝑘 (x)
b) Prouver que 𝑔′𝑘 (x) =
(𝑒 𝑥 −𝑘𝑥)2
.
C) En déduire le tableau de variations de 𝑔𝑘 . Calculer 𝑔𝑘 (1).
3) On note Mk et Nk les points de la courbe Ck d’abscisses respectives 𝛼𝑘 et 𝛽𝑘 .
1
a) En utilisant la question 3)b) Partie A, montrer que 𝑔𝑘 (𝛼𝑘 )= 𝛼 .
𝑘− 1
b) Donner de même 𝑔𝑘 (𝛽𝑘 ).
C) Déduire de la question précédente que lorsque k varie les points M k et Nk sont sur une
courbe fixe H dont on donnera une équation.
4) a) Déterminer la position relative des courbes C1 et C2.
b) Prouver que 𝛼2 = 0.
C) En prenant comme unité 2 cm sur l’axe des abscisses et 4 cm sur l’axe des ordonnées,
construire les courbes C1, C2 et H sur le même graphique. On prendra 𝛼1 = −1,1 ; 𝛽1 =
1,8 ; 𝛽2=1,6.
5) soit 𝜆 un nombre réel strictement supérieur a 1.
a) Calculer en cm2, l’aire A(𝜆) du domaine du plan défini par :
1≤𝑥≤𝜆
{
𝑔1 (𝑥) ≤ 𝑦 ≤ 𝑔2 (𝑥)
b) Calculer 𝐥𝐢𝐦 A(𝜆)
𝜆⟶+∞
x ↦ 𝒙(𝒙 + 𝟐)𝒆𝒙+𝟐
Soit (C) la représentation graphique de f dans le repère orthonormé (O, I, J) ; unité
graphique : 1 cm.
On rappelle que : ∀𝒏 ∈ ℕ, 𝐥𝐢𝐦 𝒙𝒏 𝒆𝒙 = 𝟎 et 𝐥𝐢𝐦 𝒙𝒏 𝒆𝒙 = +∞
𝒙→−∞ 𝒙→+∞
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Issaka SAVADOGO Problèmes
PARTIE A
On se propose de chercher les fonctions dérivables f de ℝ vers ℝ solutions de l’équation
différentielle (E) : f’(x) + 2f(x) = 2x - 1.
1. a) Déterminer la limite de f en - ∞.
𝒇(𝒙)
b) Déterminer 𝐥𝐢𝐦
𝒙→−∞ 𝒙
c) Interpréter graphiquement les résultats précédents
2. a) Déterminer la limite de f en + ∞.
b) Démontrer que la droite (D) d’équation y = x – 1 est asymptote à (C) + ∞.
c) Etudier la position relative de (D) par rapport à (C).
3. a) Pour tout réel calculer f’(x).
b) Etudier le sens de variation de f.
c) Dresser le tableau de variation de f.
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Issaka SAVADOGO Problèmes
𝒍𝒏𝟐
4. a) Démontrer que l’équation x∈[ ; + ∞[ , f(x) = 0 admet une solution unique 𝜶
𝟐
b) Démontrer que 𝜶 appartient à l’intervalle] 0,79 ; 0,8[.
c) Construire (D) et (C).
5. Soit t un nombre réel supérieur à 𝜶.
a) Calculer l’aire A(t) de la partie du plan délimitée par la courbe (C), la droite (D), et
les droites d’équations x = 1 et x = 𝜶.
b) Exprimer 𝐥𝐢𝐦 A(t) en fonction de 𝜶.
𝒙→+∞
Problème 9 : BAC D 2003 Côte d’Ivoire
PARTIE A
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Issaka SAVADOGO Problèmes
PARTIE A
On donne la fonction p définie sur ℝ par : p(x) = 𝒆𝟐𝒙 − 𝟓𝒆𝒙 + 𝟒.
1) Résoudre l’équation : x ∈ ℝ, p(x) = 0
2) Démontrer que :
∀𝒙 ∈ ]−∞; 𝟎[ ∪ ]𝒍𝒏𝟒; +∞[, p(x) > 𝟎
∀𝒙 ∈ ]𝟎; 𝒍𝒏𝟒[, P(x) < 𝟎
PARTIE B
𝟏
Soit la fonction f définie de ℝ vers ℝ 𝐩𝐚𝐫 ∶ f(x) = x – 1 + .
𝒆𝒙 −𝟐
On désigne par (C) sa courbe représentative dans le plan muni du repère orthonormé
(O, I, J). (Unité : 2cm).
1) Déterminer l’ensemble de définition de f.
2) Calculer les limites de f en+∞, en−∞, à gauche et à droite en ln2.
3) On admet que f est dérivable en tout point de son ensemble de définition et on note f ‘
sa dérivée.
𝒑(𝒙)
a) Vérifier que : ∀𝒙 ∈ ]−∞; 𝒍𝒏𝟐[ ∪ ]𝒍𝒏𝟐; +∞[, f’(x) =
(𝒆𝒙 −𝟐)𝟐
b) Etudier le signe de f’(x) suivant les valeurs de x.
c) Dresser le tableau de variation de f.
4) démontrer que la droite (D) d’équation y = x – 1 est une asymptote oblique à (C) en
+∞.
5) Etudier la position de (C) par rapport à (D) sur l’intervalle]𝒍𝒏𝟐; +∞[.
𝟑 𝒆𝒙
6) Démontrer que : ∀𝒙 ∈ ]−∞; 𝒍𝒏𝟐[ ∪ ]𝒍𝒏𝟐; +∞[, fx) = x - +
𝟐 𝟐(𝒆𝒙 −𝟐)
𝟑
7) Démontrer que la droite (∆) d’équation y = x - est une asymptote oblique à (C) en
𝟐
−∞.
8) Etudier la position de (C) par rapport à (∆) sur l’intervalle]−∞; 𝒍𝒏𝟐[.
9) construire (C)
PARTIE C
Soit 𝜆 un nombre réel strictement négatif.
1) Exprimer en fonction de 𝜆 l’aire A(𝜆) en cm2 de la partie du plan comprise entre la
courbe (C), la droite (OJ), la droite (∆) et la droite d’équation x = 𝜆.
2) a) calculer la limite A de A(𝜆) lorsque 𝜆 tend vers −∞.
b) hachurer sur la figure, la partie du plan dont l’aire est égale à A.
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