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L'évaluation psychologique

L'évaluation psychologique vise à recueillir des informations sur les différents aspects
de la vie mentale et émotionnelle d'une personne, ainsi que sur ses comportements et ses
réactions face à différentes situations. Elle comprend généralement :

- Des entretiens,
- Des observations cliniques
- La consultation et la collaboration avec d'autres spécialistes
- Des questionnaires, des tests psychologiques.

L'objectif de l'évaluation psychologique est de recueillir des informations précises et


objectives sur le fonctionnement psychologique d'une personne afin de formuler un
diagnostic, d'élaborer un plan de traitement et de fournir des recommandations
appropriées.

Il est essentiel de suivre toutes les étapes de l'évaluation psychologique pour garantir une
évaluation complète, précise et utile. Parce que, l'évaluation psychologique revêt une
grande importance dans de nombreux domaines, notamment :

- Diagnostic et traitement des troubles mentaux et émotionnels.


- Évaluation des besoins éducatifs spéciaux et orientation professionnelle.
- Recherche scientifique et évaluation des programmes.
- Évaluation légale et judiciaire.
- Promotion du bien-être global et prévention des problèmes de santé mentale.

La subjectivité et l'objectivité sont deux concepts contradictoires et complémentaires,


qui peuvent coexister à l'intérieur de la même personne car chaque individu est capable de
prendre en compte à la fois ses propres perspectives et émotions subjectives, ainsi que les
faits objectifs lorsqu'il évalue une situation ou forme un jugement. Il est important de noter
que le degré de subjectivité ou d'objectivité peut varier d'une personne à l'autre, et dans
certaines situations, une personne peut accorder plus de poids à l'un ou à l'autre en fonction
de ses propres préférences ou circonstances. L'équilibre entre subjectivité et objectivité peut
donc varier en fonction des individus et des contextes.
Exemple des parents d’une personne handicapée : leur subjectivité prône sur
l’objectivité, ils ne reconnaissent pas l’handicap, état de refus de la situation… mécanisme de
déni.

Les tests psychométriques

Contexte historique

Sir Francis Galton, un scientifique britannique du 19e siècle, est considéré comme
l'un des pionniers des tests psychométriques. Il était intéressé par l'étude de l'intelligence
humaine et a réalisé des recherches approfondies sur la mesure des facultés mentales.
Galton a développé des tests basés sur des mesures physiques telles que la taille du crâne, la
force de la poignée de main et la sensibilité tactile pour tenter de prédire l'intelligence. Bien
que ses méthodes aient été critiquées ultérieurement, Galton a jeté les bases de l'utilisation
de mesures objectives dans l'évaluation des capacités mentales. En outre, il est le premier à
utiliser des données statistiques pour l’analyse des résultats obtenus.

Catell s’intéressait avant tout aux différences individuelles, et c’est pour les mesurer
qu’il met au point des tests. Il emploie le mot test pour la première fois en 1890, dans la
revue « Mind », où il présente une série d’épreuves dont la plupart sont simples,
analytiques. Cependant, il s’intéresse aux capacités, c’est-à-dire à ce qu’un homme est
effectivement capable de faire dans telle ou telle circonstance. Ceci est en accord avec
l’aspect pratique de son esprit et de son activité : il fonde la « Psychological Corporation »,
qui diffuse commercialement les techniques psychologiques aux états unis.

Le Binet-Simon est un test de développement intellectuel datant de 1905 et mis au


point par les docteurs et psychologues français Alfred Binet et Théodore Simon. Il a été dit
qu'il s'agissait d'un test d'intelligence.

En 1905, à la demande du gouvernement français, Alfred Binet publie une échelle


métrique de l'intelligence qu'il a élaborée conjointement avec Théodore Simon. Cette
échelle a pour but de mesurer le développement de l'intelligence (au sens de cognition) des
enfants en fonction de l'âge (âge mental). Dans les années suivantes, il proposera des
améliorations. Ce travail sera le point de départ de nombreux autres tests, comme il est le
premier test adapté à une autre langue et culture par le psychologue américain Terman.
Robert Yerkes, un psychologue américain, constructeur et responsable des tests
d'intelligence administrés à l’armée américaine Alpha et Beta qui ont été administrés à tous
les soldats pendant la première Guerre mondiale. Le test Alpha mesurait les capacités
verbales, les capacités numériques, la capacité à suivre des consignes et les connaissances
générales. Le test Beta était un test non verbal qui mesurait les capacités des soldats
analphabètes, non scolarisés ou ne parlant pas anglais. Ces tests d'intelligence étaient
utilisés pour assigner des emplois adaptés aux compétences des soldats.

Créé en 1921 par un dissident de Freud, le modèle Jung pose la base des différents
types psychologiques dans un livre « Types Psychologiques ». Son approche définit un
certain nombre de critères qui définissent, dans leur lien, différents types de personnalités.
Pour la première fois, la notion d’adaptation à l’autre en communication apparaît.

Le test d'Allport est un test psychométrique qui mesure les principes et les valeurs morales
qui régissent le comportement individuel.

Le Minnesota Multiphasic Personality Inventory (MMPI) a été développé à la fin


des années 1930 par le psychologue Starke R. Hathaway et le psychiatre JC McKinley à
l'Université du Minnesota. Aujourd'hui, c'est l'instrument de test clinique le plus utilisé et
l'un des tests psychologiques les plus étudiés. Bien que le MMPI ne soit pas un test parfait, il
demeure un outil précieux dans le diagnostic et le traitement de la maladie mentale .

L’apparition des tests projectifs

Le succès de l’utilisation des tests durant les deux guerres mondiales, ont contribué à
l’évolution de ces outils, ainsi plusieurs tests sont apparus. En 1938, David Wechsler
présenta sa première échelle, connue sous le nom de Wechsler-Bellevue. Contrairement au
test Binet-Simon, qui se concentrait sur le développement de l'âge, cette nouvelle échelle se
focalisait sur l'évaluation du quotient intellectuel (QI). En se reposant sur ces
principes, il a mis au point trois grandes échelles en fonction de l'âge :

1. Échelle d’intelligence Wechsler Bellevue (1938).


2. Échelle WAIS (1939).
3. Échelle WISC (1949).
Les méthodes projectives

Les méthodes projectives, appelées encore « techniques projectives », constituent,


au sein des épreuves psychométriques, une vaste famille de tests de personnalité, dont il est
malaisé de cerner avec précision les contours. Bien que les tests classés sous cette étiquette
soient parfois d'origine très ancienne, contemporains des débuts de
la psychologie expérimentale, l'expression elle-même est beaucoup plus récente. C'est en
effet en 1939 que, dans un article paru dans les Comptes rendus de l'Académie des sciences
de New York et intitulé « Méthodes projectives pour l'étude de la personnalité », Lawrence
K. Frank introduisit ce concept pour rendre compte de la parenté entre trois épreuves
psychologiques : le test d'association de mots de Jung (1904), celui de Rorschach (1921) et le
T.A.T. (thematic apperception test) de Murray (1935). Frank montrait que ces techniques
constituent le modèle d'une investigation dynamique et holistique de la personnalité, c'est-
à-dire que celle-ci y est envisagée comme une totalité en évolution, dont les éléments
constitutifs sont en interaction.

En 1948, Frank a précisé ces notions de la façon suivante : « Dans son essence, une
technique projective est une méthode d'étude de la personnalité qui confronte le sujet avec
une situation à laquelle il répondra suivant le sens que la situation a pour lui, et suivant ce
qu'il ressent au cours de cette réponse. Par suite, tout peut être utilisé comme technique
projective, y compris les tests d'intelligence, à condition que l'examinateur considère par
quel moyen idiomatique le sujet a répondu au test, au lieu d'utiliser les habituelles mesures
normatives de comparaison [...] Le caractère essentiel d'une technique projective est qu'elle
évoque du sujet ce qui est, de différentes manières, l'expression de son monde personnel et
des processus de sa personnalité. »
Utilisées plutôt pour des personnes en souffrance psychique.
Elles sont inspirées par la théorie psychanalytique freudienne.
Les psychologues ont développés des méthodes d’évaluation de la personnalité dites
projectives inspirées par l’accent mis par FREUD sur la notion d’inconscient et la question de
tenter de sonder cette part invisible de la personnalité.
La théorie sous-jacente des méthodes projectives est toujours la théorie psychanalytique.
On met le sujet face à stimuli qui est ambigu. Par exemple, une tâche d’encre ou une image
qui peut être interpréter de plusieurs façons. On présente différentes planches.
➔ On projette nos besoins, nos valeurs sur le stimulus.

Ces tests doivent permettre de verbaliser différemment leur problématique.


En latin : signifie jeter en avant (dans l’espace comme dans le temps).
En psychologie, il s’agit de rejeter en dehors ce que l’on refuse de reconnaitre en soi
même. C’est l’étranger en nous même qui est expulsé et octroyer à quelqu’un de réellement
étranger.
Selon la définition de Laplanche et Pontalis, la projection en psychologie est utilisée dans un
sens comparable au sens cinématographique : sujet renvoie en dehors l’image de ce qui
existe en lui de façon inconsciente.
Projection = opération par laquelle le sujet expulse de soi et localise dans un ailleurs des
qualités, des sentiments, des désirs, dont il n’a pas conscience ou refuse en lui car ayant
provoqué une tension.
C’est un fait psychologique ou neurologique qui est déplacé vers l’extérieur.
FRANK (1939) technique projective = « une méthode d’étude de la personnalité qui
confronte le sujet avec une situation à laquelle il répondra suivant le sens que ces
situations a pour lui et suivant ce qu’il ressent au cours de cette réponse ».
Ce sont des outils censés être révélateur de la structure psychique, de la personnalité du
sujet.
On est dans une conception dynamique et holistique de la personnalité : on ne se centre
pas sur un trait mais on s’intéresse à la totalité, en évolution, de tous les éléments
constitutifs de la personnalité qui sont en interaction dynamique.
Ces méthodes sont soumises à des règles de lecture et d’interprétation particulière pour
lesquelles il faut se former.

Il existe différentes méthodes :


- Les méthodes constitutives : en général, on présente un matériel varié qui est peu ou pas
structuré et c’est au sujet de structurer le stimulus.

Le plus connu de ces tests constitutifs = test de Rorschach. On présente une dizaine de
planches. On demande au patient ce qu’il voit sur ces planches.

Méthode dite constructives : On présente un matériel qui est déjà défini, qui possède une
certaine structuration que le sujet doit organiser de façon plus large.
o Test du village d’Artus : doit assembler les pièces selon sa volonté
o Techniques du dessin : thèmes plus ou moins imposés. Ces méthodes sont assez proches
du jeu.
Dans ces méthodes, il y a aussi l’usage des techniques de dessin, en particulier chez l’enfant.
Dessins à construire à partir d’éléments de base ou de thème donné.
- Méthodes interprétatives : Le sujet doit donner un sens à une situation qui a une
signification ambiguë. Le matériel présenté doit posséder une forte charge émotionnelle ou
affective.
Il y a des versions adultes et des versions enfants.
Le sujet est invité à raconter une histoire à partir des images.
Un des tests le plus connu est celui du TAT qui se constitue d’une série d’images mettant en
scène plusieurs personnages qui sont sujettes à de multiples interprétations. On présuppose
que les histoires inventées par le sujet sont des déguisements de ses conduites réelles ou
fantasmatiques. La version enfant s’appelle le CAT le Children Apperception Test.
Ce test est une variante du TAT Le Thematic Apperception Test à destination des enfants (<
7/8 ans). Il a comme différence principale le type de figures utilisées. Celles-ci sont de type
animal. La raison est que les jeunes enfants ont une grande capacité à se projeter sur ceux-
ci.
- Méthodes cathartiques : Le sujet est placé dans une situation où il va devoir extérioriser
son affectivité. On va le soumettre à un stimulus qui va déclencher une réaction
émotionnelle particulière.

Les jeux de rôles, dramatiques, les mises en scènes sont utilisées.


Les limites des approches projectives :
- Leur subjectivité à la fois dans l’interprétation du sujet et dans leur score final qu’on peut
en déduire en termes de profil de personnalité. Les réponses sont interprétées
individuellement à chaque planche puis on interprète le profil du score final. Il y a une
double interprétation du psychologue.
- Faible fiabilité inter-juges pour ce type de tests : pour un même sujet qui passe le même
test, 2 psychologues sont amenés à faire passer le même test. On constate des choses tout à
fait incohérentes entre les 2 juges.
Ces types de méthode sont encore utilisés à des fins diagnostiques et pour l’évaluation de la
personnalité.
Des études ont montré que la validité de ces tests était contestable : lorsque les
psychologues tentent de décrire la personnalité, les sentiments d’un patient sur la base d’un
ou plusieurs tests projectifs. On constate que les conclusions des psychologues ne
correspondent pas du tout à l’auto-évaluation du patient.

L’entretien clinique

L'entretien clinique est une méthode subjective dans laquelle l'interprétation du matériel
recueilli est souvent influencée par l'orientation théorique et la personnalité du
psychologue. Malgré cela, c'est la méthode la plus largement utilisée pour évaluer la
personnalité et elle est souvent utilisée en complément des méthodes objectives
standardisées telles que les échelles ou les questionnaires.

Que ce soit lors d'une consultation psychologique ou médicale, il est important de


comprendre que l'entretien clinique est asymétrique. Il s'agit d'une rencontre intersubjective
où les participants occupent des positions différentes mais se retrouvent dans le même
espace de rencontre et d'interrelation.

Trois formes d'entretien :

 Entretien directif : le psychologue guide l'entretien en déterminant les thèmes


abordés et en induisant les réponses. Utilisé pour approfondir un sujet, il se déroule
sous la forme d'un questionnaire organisé. Utilisation d'un guide d'entretien pour
structurer les questions. Principalement utilisé pour l'évaluation de l'état mental du
patient et en psychopathologie.
 Entretien non directif : c'est le modèle d'entretien clinique où le psychologue pose
des questions ouvertes et permet au patient de parler librement des sujets qu'il
souhaite aborder. Le psychologue fait des relances, reformule et écoute activement
le discours du patient sans orienter ses réponses. Il n'y a pas de structure préétablie,
ce qui permet d'explorer des sujets inattendus.
 Entretien semi-directif : utilisé dans le cadre d'une consultation, cet entretien vise à
encourager la réflexion et l'expression autour d'une problématique.

Les meilleures méthodes d’évaluation doivent suivre 3 principes : standardisation, fiabilité


et validité. C’est le courant de la psychométrie en psychologie
- La standardisation des tests est essentielle à respecter. C'est elle qui donne la valeur
aux tests et permet de réaliser la comparaison : « toutes choses étant égales par ailleurs ».
Elle permet donc de s'assurer que les différences entre les scores observés habituellement
et les scores observés lors de la passation du test ne sont pas la conséquence de variations
de la situation (les événements particuliers à la situation d'évaluation devront donc être pris
en compte lors de l'interprétation d'un test). La standardisation doit permettre d'assurer :
oque les conditions de passation sont les mêmes que celles du groupe de référence utilisé
pour l'étalonnage ;
oque le matériel et la procédure sont les mêmes ;
oque la cotation et le calcul des scores sont identiques pour tous afin de garantir le résultat
quel que soit l'examinateur.
Sensibilité : Il existe plusieurs conceptions de la sensibilité d'un test selon que l'on se
place dans le cadre de la mesure d'une dimension (intelligence, aptitude, attitude,
motivation, intérêts, trait de personnalité, etc) ou dans le cadre d'un dépistage d'une
caractéristique spécifique que l'on peut éventuellement mesurer de façon dichotomique en
terme de présence/absence (présence ou absence d'un trouble par exemple).
Dans le premier cas, le test doit différencier au mieux l'ensemble des individus, dans le
second cas, que l'on peut appeler abusivement "test diagnostic", il doit détecter au mieux
les personnes ayant la caractéristique recherchée. On ne parle plus alors uniquement de
sensibilité mais aussi de spécificité et ces deux caractéristiques impactent aussi
la validité du test. Ce deuxième aspect de la sensibilité n'est pas l'objet du cours mais nous
le présentons pour information.
Validité : Un outil de mesure valide est un outil qui mesure ce qui est souhaité de
mesurer, c’est la relation entre les éléments théoriques et la réalité empirique supposée les
représenter. La validité c’est l’ensemble des éléments qui doit conduire à assurer que
l’interprétation des sources soit correcte. C’est un processus fondamental dans l’élaboration
des tests. Trois principales formes de validité existent : la validité de contenu, la validité
prédictive et la validité de construit.
La fiabilité d'une échelle de mesure concerne la quantité d'erreurs de mesure associées
aux scores obtenus, ainsi que la vraie valeur des scores et leur variance. Elle est évaluée en
analysant la variance des scores observés, permettant de déterminer la proportion de
variance attribuable à la mesure réelle par rapport à celle due aux erreurs de mesure. Le
coefficient de fiabilité, qui est le rapport entre la variance des scores réels et la variance des
scores observés, est utilisé pour estimer cette proportion.

Etude de la conscience : WUNDT, limité à la méthode expérimentale.


Etude du comportement (aspect béhavioriste) début XXème : WATSON, observation des
uniquement sur les aspects concrets de la nature humaine (phénomènes observables,
quantifiables, mesurables). Rejet l’étude de la conscience. Pour les behavioristes, la
personnalité n’est rien de plus qu’une accumulation de réponse apprises ou d’habitudes.
Stimuli/réponses
Ils ont une approche très réductrice de la personnalité.
Etude de l’inconscient (approche psychanalytique, 1890) : FREUD, basé sur l’existence de
forces conscientes et inconscientes. L’observation clinique, des forces conscientes et
inconscientes.

Définition
Il a fallu attendre la fin des années 1930 pour que se développe une étude scientifique de la
personnalité : travaux de GORDON ALLPORT. Il va proposer une définition de la personnalité :
c’est une organisation dynamique à l’intérieur de l’individu, des systèmes psychiques qui
déterminent son comportement et ses pensées caractéristiques.
L’élément de base de sa théorie sera le trait de personnalité.
La personnalité = un cluster durable et unique de caractéristiques qui peuvent changer en réponse
à différentes situations.
Il y a 3 facteurs de bases :
- Aspects internes : sentiments, systèmes physiologiques,… o Production d’hormones :
exemple de l’hypothyroïdie qui cause une lenteur, une inertie et l’hyperthyroïdie qui va provoquer
une tension nerveuse, une hyperactivité

- Situation sociale : famille, groupes influencent nos coutumes, traditions, nos cultures et
donc la personnalité.
- Réactions, comportements : qui vont être le résultat de l’interaction entre le sujet et des
stimuli de l’environnement.

En effectuant des analyses factorielles sur les résultats des tests, Thurstone parvint à obtenir une
nouvelle série d'aptitudes mentales primaires, qui ressemblait assez étroitement à la première. Il les
décrivit comme suit :

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