Texte Numero Catra van Catra Maintenant, nous savons avec certitude

que les grandes pédales technologiques désespèrent. Nous devons nous

protéger. Maintenant que l'enquête sur la mort horrible de Molly Russell
en 2017 a livré ses conclusions, nous avons une nouvelle réalité pour
nous adapter. L'adolescent est décédé d'un acte d'automutilation tout en
souffrant de dépression et des effets négatifs du contenu en ligne. Son
père a décrit comment elle était entrée dans les mondes les plus
sombres. Le contenu en ligne sur l'automutilation et le suicide a été livré
par Instagram et Pinterest, le laissant à l'algorithme. Les plateformes de
médias sociaux ciblent les utilisateurs avec du contenu qui cherche une
attention et donc les revenus publicitaires. Ce contenu peut être
extrêmement dommageable, mais maintenant que nous avons eu du mal
à conclure qu'elle peut être mortelle, il ne peut plus y avoir de
complaisance. Il est temps de s'appuyer sur le consensus selon lequel ils
causent des dommages en régulant comme nous le ferions s'ils
produisaient des déchets toxiques et le pompaient dans des piscines de
pagayage. Les gens, les parents s'inquiètent principalement de l'ère
numérique et de son impact sur les adolescents. Parfois, vous obtiendrez
une correction utile d'un spécialiste de la dépendance ou de
l'adolescence qu'il n'y a pas de recul cohérent des géants de la
technologie, car ces angoisses créent le débat dont ils ont besoin de

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caractère amorphe et essentiellement luddite. Les médias sociaux sont
particulièrement influents sur les jeunes, et les géants du domaine sont
particulièrement coupables dans leur incapacité à résoudre le problème.
La couverture des médias sociaux du général. Z est astronomique. 85%
d'entre nous adolescents utilisent YouTube. 72% utilisent Instagram, 51%
utilisent toujours Facebook. L'adolescence est une période de grande
plasticité intellectuelle et neurologique. Nous pouvons débattre de la
façon dont une société mature soutient les bords extérieurs des
turbulences jeunes, des troubles de l'alimentation à la masculinité
toxique. Pourtant, nous permettons aux principaux médias consommés
par cette génération de fonctionner non seulement sans aucun sens des
responsabilités ou du devoir, mais avec un modèle commercial qui
fermente tous les problèmes à but lucratif. Le projet de loi sur la
sécurité en ligne, qui devrait progresser par le Parlement, bien qu'il ne
soit pas adopté avant 2024, aborde le contenu qui favorise
l'automutilation et les idées suicidaires et le mettrait entre les mains de
l'Ofcom pour évaluer ce qui est approprié pour les moins de
dix-huit-huit. C'est utile mais insuffisant, à la fois pratiquement et en
esprit. La réponse doit être internationale. Tout cela prend du temps. La
jeunesse est courte. Les parents penseront qu'ils devraient contrôler
l'influence entrante, mais ils n'ont pas le temps d'attendre des initiatives
internationales. Vous pouvez microgérer la consommation de vos
enfants. Soyez conscient des déclencheurs partout. YouTube pour la
masculinité toxique. Tiktok pour une anxiété climatique écrasante.
Instagram pour les troubles de l'alimentation. Essayez de le contrôler,

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mais cela corrodera votre relation avec vos enfants pour les prendre en
charge constamment, détruisant leur confiance et leur ouverture. Je ne
veux pas se transformer en geôlier sur Internet pour que Mark
Zuckerberg puisse profiter de bénéfices sans entraves. Adapté de The
Guardian, octobre 2022.

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