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Sommaire
1. Les effets des réseaux sociaux sur l’estime de soi
2. Les effets des réseaux sociaux sur la santé mentale
3. Les mesures de prévention pour minimiser les effets négatifs des réseaux sociaux
4. Conclusion
La baisse de l’estime de soi représente ainsi un impact des réseaux sociaux sur les adolescents qu’on ne
peut pas négliger. Celle-ci peut se manifester de plusieurs manières:
Les jeunes peuvent réaliser des comparaisons sociales et ne pas se trouver à la hauteur des autres
internautes.
Les ados peuvent se mettre en quête de likes et de commentaires en voulant à tout prix véhiculer
une image positive et recevoir ainsi la validation sociale.
La validation sociale peut parfois connoter que l’adolescent n’est pas ou plus capable de prendre
des décisions par lui-même et a besoin de l’avis de sa petite communauté sur Internet.
Avec la liberté d’expression sur les médias sociaux, certains adolescents peuvent être victimes de
bullying. Ils reçoivent ainsi des messages ou des commentaires publics négatifs à leur propos. Ce
qui peut ébranler leur vision d’eux-mêmes ainsi que leur confiance en eux.
Tout d’abord, le manque de sommeil reste une conséquence très courante de l’utilisation des médias
sociaux. En effet, il arrive aux adolescents de scroller jusqu’à pas d’heures sur leurs écrans au détriment
de leur sommeil, et ce pour parler avec leurs amis, par exemple. Certains sont complètement victimes du
, p p ,p p p
FOMO ou Fear Of Missing Out, une sorte de psychose qui les pousse à ne pas quitter les réseaux sociaux
de peur de littéralement rater les derniers buzz. Les résultats de cette forme d’addiction aux médias
sociaux ? Les jeunes se soumettent au stress et à l’anxiété, connaissent des sauts d’humeur, ont une
baisse de concentration en cours ainsi que des difficultés de mémorisation.
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Enfin, les plateformes sociales peuvent aussi générer des peurs chez les ados. C’est notamment le cas
lorsque le sujet est victime d’une cyber intimidation. Le bullying a dans ce cas fonctionné, car les propos
intimidants se sont ancrés dans le cerveau de la victime.
Voici 3 points qui peuvent minimiser les risques d’une mauvaise utilisation des médias sociaux chez les
jeunes.
Miser sur la communication ouverte. La discussion avec les ados est de mise afin de les sensibiliser
au sujet des différents dangers d’Internet.
Proposer une éducation sur l’utilisation responsable des réseaux sociaux. Il faut apprendre aux
adolescents à bien se servir des médias sociaux. Par exemple, leur indiquer quel contenu montrer
aux internautes, comment s’exprimer dans les commentaires, quel type de contenu
ignorer/signaler, comment réagir face aux inconnus qui les abordent sur Internet, etc.
Réduire l’activité des ados sur les réseaux. Ces derniers proposent en principe des paramètres pour
le contrôle parental. Les parents ont ainsi littéralement la possibilité de contrôler la durée d’accès
aux réseaux sociaux ainsi que les contenus accessibles par leurs enfants. Ce concept vise surtout à
éviter aux ados de devenir dépendants de Facebook, Instagram, Snapchat, et autres médias
sociaux.
Conclusion
En somme, de plus en plus de jeunes ont, de nos jours, un accès libre aux réseaux sociaux et
cela n’est pas sans danger pour leur bien-être mental. Dépendance, cyberintimidation,
mauvaise estime de soi, pression sociale… Tels sont les impacts des médias sociaux sur nos
enfants s’ils ne savent pas s’en servir à bon escient. L’enjeu est alors de taille. Par conséquent,
parents et professionnels doivent agir main dans la main afin de protéger cette jeune
génération des effets néfastes des plateformes sociales sur la santé émotionnelle. L’École
Galilée à Paris assure en ce sens une éducation bienveillante et un enseignement
personnalisé. L’équipe d’encadrement des adolescents du collège les accompagne et les
soutient face aux différents cas de figure qu’ils peuvent rencontrer
soutient face aux différents cas de figure qu ils peuvent rencontrer.
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