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REPUBLIQUE DU BENIN

MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT SECONDAIRE


ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE

CENTRE DE FORMATION EN ANGLAIS ‘’ T B C ’’

EXPOSER EN ANGLAIS

MEMBRES GROUPES :

Professeur
Introduction
Les médias exercent une profonde influence sur le développement
psychologique des enfants. Par conséquent, il est essentiel que le médecin
discute avec les parents du comportement des enfants face aux médias et
qu’il les guide, compte tenu de l’âge de leur enfants quant à l’utilisation de
tous les médias y compris la Télévision, la Radio, la Musique, les Jeux
Vidéo et l’internet ou encore les réseaux sociaux. Voilà pourquoi après
avoir tenté de comprendre les mots essentiels de notre thème, nous
essayerons d’abord d’exposer les effets bénéfiques des médias sur les
enfants ; et ensuite les effets néfastes des médias sur la santé physique
et mentale des enfants et enfin les solutions envisageable.

Développement
I – Généralités
Nous ne pouvons pas faire un bon développement sans comprendre
les mots essentiels de notre thème. C’est alors que nous tenterons de
comprendre le vrai sens des médias et après ce que s’est que l’éducation.

1 - Définitions

Médias
Le média est vu comme un moyen technique et support de diffusion
massive de l’information (presse, radio, télévision, cinéma, l’internet, ou
les réseaux sociaux).
Education
C’est la mise en œuvre des moyens propres à assurer la formation et
le développement d’un être humain, moyen pour y parvenir les sciences de
l’éducation. C’est aussi le développement méthodique d’une faculté ou d’un
organe. Alors que les médias sont de plus en plus répandus dans la vie des
enfants, parents et éducateurs ont toutes les raisons de s’interroger sur les
bienfaits et méfaits associés à cette exposition

2 - Différentes types de Médias


Nous pouvons tenter de les classer dans deux différentes catégories,
les médias traditionnels (presse écrite, radio, télévision, cinéma) et les
médias modernes (l’internet, les réseaux sociaux, ou encore les
technologies d’information et de communication).

II – Les Effets Bénéfiques des Medias sur


L’éducation Des Enfants
La télévision est un moyen efficace de faire la publicité et produits
auprès des enfants de divers âges. L’écoute de certaines émissions peut
défavoriser des comportements sexuels irresponsables.
La Télévision peut être un professeur d’une influence. Sésame Street
montre bien comment la télévision éducative enseigne aux touts petits des
notions précieuses sur l’harmonie raciale, la collaboration, la gentillesse,
l’arithmétique simple et l’alphabet Certaines émissions ou documentaires
de la télévision publique stimulent les visites au zoo, à la bibliothèque ; à la
librairie ; au musée et d’autre lieu récréatifs et les vidéos éducatifs peuvent
constituer un puissant moyen d’éducation pro- sociale. Il est démontré en
raison de sa valeur éducative ; Sésame Street, en particulier améliore les
aptitudes de lecture et d’apprentissage de ses Téléspectateurs. En fait dans
certains milieux défavorisés, de bonnes habitudes télévisuelles peuvent
constituer un outil d’enseignement bénéfique. Certaines personnes sont
d’avis que les médias peuvent favoriser les attitudes responsables face à la
sexualité par la promotion de contraceptifs comme le condom. La publicité
peut avoir des effets positifs sur le comportement des enfants par exemple,
certains fabriquant d’alcool consacrent 10% de leur budget publicitaire aux
dangers de l’alcool au volant. Le caractère bénéfique des cours visant à
sensibiliser les jeunes du secondaire aux médias est démontré. Ces cours
permettent aux élèves de mieux comprendre l’influence sociale qu’à la
télévision sur eux. Au canada, le réseau éducation Médias dispose de
plusieurs ressources qui peuvent être utilisées tout par les professionnels
que par les non professionnels pour promouvoir les compétences
médiatique. Ces ressources sont complètes à jour et adaptées à la culture
canadienne.
L’internet possède l’énorme potentiel de fournir aux enfants et aux
adolescents l’accès à de l’information éducative, et il peut se comparer à une
énorme bibliothèque à domicile. Les émissions câblodiffusées ou en ligne
qui sont adaptées à l’âge regardées en famille et associées à des objectifs et
des limites peuvent être des expériences d’écran immersives et
informatives.
• Les médias sur écran peuvent améliorer la performance scolaire des
enfants, enrichir leurs connaissances, accroitre leur littérature et les
aider à entretenir des relations positives avec leurs enseignants et
leurs camarades les émissions et les approches numériques peuvent
favoriser à la fois l’apprentissage autonome et coopératif et stimuler
la curiosité, les logiciels dynamiques et des applications et des jeux de
qualité peuvent accroître les compétences et réduire les lacunes en
mathématiques.
• Les jeux coopératifs et compétitifs joués en famille et entre amis,
peuvent occuper la même fonction que les jeux traditionnels et
constituer au développement de l’identité, de la socialisation. Bien
des enfants ; et particulièrement les garçons socialisent
régulièrement par les jeux en ligne, certains jeux vidéo s’associent à
un meilleur sentiment de bien être, à un comportement pro-sociale et
à une diminution des troubles de conduites.
• Une faible utilisation récréative du temps d’écran (une heure par
jour) est reliée à un disque de dépression moins élevé que l’absence
du temps d’écran.
• La technologie numérique peut aider les enfants à former et à
entretenir des amitiés et selon des recherches préliminaires, ces
relations peuvent être plus diversifiées et moins sexospécifiques que
celles hors ligne
• L’amitié est la principale source de motivation de la vie des
adolescents en ligne ainsi les adolescents plus âgés communiquent
surtout avec des amis hors-ligne et les adolescents plus jeunes sont
plus ouverts à se faire de nouveaux amis en ligne.
• L’utilisation des médias semble améliorer l’image de soi des
adolescents car elle accroître la qualité perçue des amitiés.
• Les médias sociaux peuvent avoir un effet de validation lorsque les
camarades parlent de leurs pensées et de leurs expériences, ou
d’affirmation de soi, lorsque les adolescents obtiennent de l’aide pour
<< se relever >> du rejet social ou l’isolement. Dans un récent
sondage réalisé en Grande – Bretagne, 68% des répondants
adolescents affirmaient avoir reçu du soutien social en ligne pendant
des périodes difficiles.
• Une utilisation modérée des écrans (de deux à quatre heure par jour)
à des effets positifs sur le bien être définis comme des émotions
positives, un bon fonctionnement psychologique et un sentiment de
satisfaction face à la vie.
• La communication en ligne peut encourager les adolescents isolés ou
socialement anxieux à se révéler auprès de leurs camarades et de
nouveaux contacts ; ce qui peut accroître l’impression d’entretenir
des relations sociales et réduire, les systèmes dépressifs. Selon ces
observations, les effets positifs des communications en ligne seraient
plus importants chez les adolescents qui ont moins de soutien social
ou qui sont moins à l’aise de socialiser directement.
• Les études sur les jeux vidéo d’action en ligne chez les enfants plus
âgés et les adolescents démontrent que certains jeux entrainent des
augmentations à court terme de certaines habiletés y compris
l’attention, le traitement visuel et le processus de
représentation ; mais tout particulièrement la fonction exécutive et
la mémoire de travail.
• Des recherches récentes relient de plus en plus les jeux vidéo à une
augmentation du bien être, de la résolution du problème des relations
positives en groupe et de l’activité physique. Malgré les bienfaits des
médias il est sans doute que les médias influent négativement les
enfants lorsque parents et éducateurs manquent à leur devoir
d’encadrer les enfants ayant l’accès aux médias.

III – Les Effets Néfastes des Medias dans


L’éducation Des Enfants
• La présence d’un téléviseur dans la chambre à coucher et télévision
allumée en arrière plan peuvent entraver le développement et le
comportement. L’écoute de la télévision plus de trois heures par jours
à l’âge de cinq ans (5ans) est prédictrice d’une augmentation des
troubles de conduites à l’âge de sept ans (7ans). On constate des taux
plus élevés d’utilisation récréative des écrans chez les enfants qui ont
des symptômes dépressifs plus marqués et font moins d’activité
physique.
• A la maison, les enfants d’âge scolaire utilisent souvent une tablette
ou un ordinateur familial commun, placé dans un lieu central pour
faire leurs devoirs ; jouer à des jeux vidéo ou socialiser, mais deux
récents sondages canadiens ont révélés qu’ils sont souvent laissés
sans supervision. Au-delà des occasions ratés d’apprentissage ; de jeu
et d’interactions avec la famille, l’utilisation des écrans en solitaire
accroître le risque d’exposition à une coutume négatifs ou néfaste de
plus d’après les recherches les enfants peuvent avoir trop de
confiance en leur capacité à se protéger en ligne.
• La multiplication d’activités médiatique rend l’apprentissage difficile
les enfants de cinq (5) à huit (8) ans s’y essaient régulièrement la
multiplication des activités médiatiques à un effet négatif
immédiat à la fois sur l’apprentissage concomitant (en classe et à la
maison) et les résultats scolaire des enfants de 12 (douze) ans et
moins elle peut nuit à l’efficacité de lecture, à la résolution de
problèmes, et à la confiance de l’enfant en ses propres capacités à
faire ses devoirs.
• Une recherche sur les enfants plus jeune font ressortir une plus forte
association entre les symptômes dépressifs et les activités récréatives
sédentaires devant un écran et ces enfants semblent être vulnérable
aux effets socio cognitifs négatifs découlent d’une importante
utilisation des écrans.
• La prise de conscience des parents à l’égard des activités en ligne de
leurs enfants et leurs participations à ces activités sont des éléments
clés pour modérer l’utilisation excessive et d’autre comportement à
risque. Cependant au moins une étude laisse supposer une
diminution des règles familiales, réagissant l’utilisation des écrans
(particulières après la septième année chez les garçons) les
rencontres directes de connaissances faites en ligne et l’exploration
de sites inappropriés.
• De nombreux adolescents déclarent passer << trop de temps >> en
ligne. La moitié des élèves d’une grande étude menée en 2016 aux
Etats – Unis ont déclaré se sentir << dépendant >> de leur appareil
mobile. De plus l’envoi (ou la réception) de message instantanés au
contenu négatif est corrélé avec des symptômes de l’anxiété ou de
trouble dépressifs
• On constate une association faible, mais significative entre un temps
d’écran excessifs (plus de six heures par jour) et des sentiments de
dépression chez les adolescents. Selon une étude néerlandaise ; les
adolescents qui ont peu amis proches ou qui n’en ont pas du tout et
qui naviguent passivement en ligne vivent plus de dépression et
d’anxiété sur une période d’un an. Les enfants qui déclarent avoir des
amitiés plus solides ne présentent pas d’effets de ce genre.
• Plus de la moitié des élèves des Etats – Unis déclaraient utiliser les
médias sociaux souvent ou parfois pendant qu’ils faisaient leurs
devoirs, et selon certaines recherches, les adolescents les plus enclins
à multiplier couramment les activités médiatiques pourraient être
les moins en mesure de poursuivre un apprentissage efficace.
• D’après les études, le temps consacré aux jeux vidéo à un effet, mais
seulement à très fortes doses. Les adolescents qui consacrent plus de
50 % de leurs temps libre quotidien à jouer à des jeux en ligne
signalent des effets légèrement négatifs sur leur bien être global de
même que des troubles des conduites, des problèmes avec leurs
camarades et des troubles émotionnels, ainsi après un certain seuil,
l’influence positive des jeux vidéo diminue ou disparait.
• Puisqu’à l’adolescence, le cerveau n’a pas encore atteint la maturité
nécessaire pour permettre de pleinement contrôler les impulsions ;
réguler les émotions et évaluer les risques et les conséquences, les
adolescents peuvent être prédisposés sur le plan du développement à
prendre des risques en ligne avec les étrangers et on tend donc à se
révéler d’avantage. Tant les garçons les filles divulguent de
l’information personnelle en ligne. D’après un sondage canadien
43% des élèves de la quatrième à la onzième année ont pris un
contact en ligne avec des personnes qu’ils ne connaissaient pas hors
ligne ; et 29 ont affiché leurs coordonnées (les garçons plus que les
filles). Malgré tout, presque tous les garçons (90%) et les filles
(89%) étaient d’accord avec l’énoncé << je sais comment me
protéger en ligne>>
• Les écrans en eux-mêmes ne renforcent pas directement l’activité
physique. Mais les recherches tendent à confirmer que les
adolescents déjà inactifs passent plus de temps à les utiliser. Par
exemple, selon une étude canadienne auprès d’élève de neuf à onze
ans, l’augmentation du temps d’écran était liée à de légères
réductions de l’activité physique et à un régime alimentaire
légèrement moins sain. Mais une étude auprès de jeunes de 4 à 13
ans indiquant que les activités sédentaire à écran n’engendraient pas
une diminution de l’activité physique et à un régime.
• Les écrans dans les chambres à coucher nuisent à la durée et à la
qualité du sommeil. Le nombre de téléviseurs dans les chambres à
coucher à diminuer ces derniers années, mais la présence d’autres
écrans à augmenté.
• En 2014, 39% des élèves canadiens qui avaient un téléphone
mobile cellulaire (Filles, comme garçons) déclaraient dormir avec.
Y compris 5H, en onzième année et 20% en quatrième année. Les
données probantes s’accumulent pour démontrer que les nouvelles
technologies, conjointement avec la télévision, supplantent le temps
de sommeil, ce qui entraine une stimulation émotionnelle, inhibe la
libération de mélatonine et perturbe les rythmes de sommeils.
Une étude à établi l’association entre le fait d’essayer de dormir près
d’un téléviseur (ou lorsqu’un téléviseur est dans la pièce) ou la
participation à un jeu vidéo ou informatique avant le couché et une
diminution de la durée du sommeil et à une insuffisance auto déclarée
de sommeil ou de repos, les jeux sur téléphone mobile au coucher ont
le même effet.
• La télévision expose les enfants à des comportements sexuels
adultes présentés, comme s’ils étaient normaux et sans risque, et
puisque ces comportements y sont courants, elle véhicule le message
que << Tout le monde le fait >>.
• La télévision ne constitue pas le seul moyen par lequel les enfants
sont éveillés à la consommation de tabac et d’alcool. On s’inquiète
toutefois que les conséquences de ces comportements ne soient pas
illustrées de manière pertinente à la télévision. En effet la moitié des
films d’animation grand public offerts sur vidéo cassette, ainsi que de
nombreux vidéo – clips encourage la consommation d’alcool et de
tabac comme un comportement normatif sans présenter les
conséquences à long terme de leur usage.
• D’autres phénomènes sont préoccupants comme celui des pédophiles
qui se servent d’internet pour appâter des jeunes et nouer des
relations malsains avec eux. Il y a aussi la possibilité que les enfants
soient exposés à du matériel pornographique.

VI- Recommandation et Conclusion

1- Recommandation
Les médecins devraient s’informer régulièrement des habitudes
médiatiques de leurs patients au moyen du questionnaire des
antécédents psychosociale, au moyen du questionnaire
psychosociaux élaboré par le réseau éducation médias ils devraient
aussi s’enquérir de l’écoute de vidéo, de l’utilisation des jeux vidéo,
d’émissions de radio et du temps passé devant l’ordinateur, surtout
face à des enfants et des familles agressifs et particulièrement
vulnérables.
 Les médecins devraient sensibiliser les parents à la
signification de la télévision pendant la première enfance. Dès
l’âge d’un an l’enfant devrait respecter les règles de base
quant–à l’écoute de la télévision et de bonne habitudes
télévisuelles devraient être instaurées des la deuxième année
de l’enfant,
Des outils d’éducations des patients élaborés par les réseaux
d’éducation médias peuvent être utilisés pour compléter
l’enseignement. Consultez
Site. W.W.W soinsdenosenfant. CPS. Ca
 Les médecins devraient se familiariser avec le type de
médias auxquels leurs patients peuvent être exposés, comme
les émissions qui les exposent à une sexualité irresponsables à
la violence et les sites internet douteux. Les médecins
devraient continuer d’accroitre leurs connaissances des
données les plus récents sur l’influence des médias sur le
développement de la santé psychosociale de leurs patients
(W.W.W média – awareness-Ca est l’une des
ressources canadiennes les plus complètes pour favoriser
l’éducation)
 Les médecins sont invités à s’informer de l’étendue des
questions reliées à l’internet pour bien conseiller les parents
pendant les consultations. L’outil des antécédents
médiatiques (51) peut être utilisé pour repérer des secteurs
de préoccupation et pour faciliter la discussion avec les
parents et les enfants. Ceux-ci peuvent être encouragés à
établir des ententes familiales sur l’usage d’internet à
domicile # le site Web du Réseau Education (W W
W – média – awareness Ca) offre des suggestions à cet
effet les médecins devaient encourager les familles à adapter
les pratiques suivantes :
 Les familles devraient être incitées à explorer les médias
ensembles et à discuter de leur valeur éducative. Les enfants
devraient être invités à critiquer et à analyser ce qu’ils voient
dans les médias. Les parents peuvent aider les enfants à
distinguer l’imaginaire de la réalité, surtout en ce qui à droit
aux relations sexuelles, à la violence et à la publicité.
 Aucun enfant ne Devrait être autorisé à posséder un
téléviseur, un ordinateur, ou une console de jeu vidéo dans sa
chambre. Un endroit central est préconisé, ainsi qu’un accès et
des mots de passe communs.
 Le temps consacré à la télévision devrait être limité à moins
d’une ou de deux heures par jour. Les familles pourraient
envisager les moyens plus actifs et plus créatifs de passer du
temps ensemble.
 Les enfants plus âgés devraient avoir la possibilité de
planifier le calendrier hebdomadaire des émissions qu’ils
veulent regarder d’un point de vue idéal, les parents devraient
expliquer pourquoi certaines émissions ne conviennent pas et
féliciter leurs enfants lorsqu’ils font des choix corrects et
convenables.
 Les familles devraient limiter l’utilisation de la télévision, de
l’ordinateur ou des jeux vidéo, les parents devraient et
autre responsable de leurs enfants de maintenir les mêmes
règles en leurs absences. Les règles établirent aux domiciles
des parents divorcés devraient être uniformes.
• Les médecins qui veulent s’engager dans leur
collectivité peuvent envisager ce qui suit :
 Fournit aux parents des ressources et de l’information pour
promouvoir des programmes de sensibilisation aux médias
dans leur collectivité et les écoles. Le réseau Education-
Médias (W.W.W média owareness.Ca) possède des
ressources et le résultat de recherche pour les parents, les
enseignants, les adolescents et d’autres.
 Promouvoir l’implantation au secondaire, des cours sur la
sensibilisation aux médias dont les bénéfices sont démontrés.
 Exprimer leur appui de bons médias. En plus d’écrire aux
stations qui diffusent des émissions de télévisions
responsable et bienfaits ; les médecins et les parents peuvent
soutenir des lois qui favorisent un usage plus responsable des
médias.

2- Conclusion
A la lumière de tout ce qui précède nous pouvons dire que l’utilisation des
médias dans l’éducation des enfants est bénéfique lorsque les
dispositions nécessaires sont prises par parent et éducateur pour le suivi et
lorsque parents et éducateur manquent à leur devoir de suivi cela engendre
des conséquences néfastes.
PLAN

INTRODUCTION

I- GENERALITES

1- Définitions

2- Différentes types de médias

II- Les effets Bénéfiques de l’utilisation des médias


l’éducation des enfants

III- les effets néfastes de l’utilisation des medias dans


l’éducation des enfants

IV- Recommandation et Conclusion

1- Recommandation

2- Conclusion

3- Références

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