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Vous devez transmettre, en résumant et en adaptant votre discours , l'information essentielle et les
détails les plus importants que l'on trouve dans les DEUX textes. N'OUBLIEZ PAS DE TÉLÉCHARGER VOTRE
ENREGISTREMENT.
Une étude montre que le manque de sommeil peut être lié à une présence prolongée sur la toile,
notamment sur les réseaux sociaux. Les résultats ont montré un lien entre un manque de sommeil,
une humeur morose, une productivité moindre et une durée accrue passée sur Facebook. Les
adolescents qui continuaient à envoyer des textos la nuit enregistraient un sommeil de moins bonne
qualité et de moins bonnes notes . Car, une fois les lumières éteintes, la lumière bleue émise par les
téléphones s'intensifie, retardant les sécrétions de l’hormone du sommeil. Selon un sondage, 56%
des jeunes canadiens vivraient au-dessus de leurs moyens sous l’influence des réseaux sociaux.
Certains vont jusqu’à dépenser pour rendre leur compte Instagram plus attrayant. Les employeurs
utilisent les réseaux sociaux pour dénicher des candidats… Mais aussi pour vérifier leur profil avant
un entretien! Un sondage révélait que le quart des employeurs qui consultent Facebook et
compagnie ont écarté des candidats à cause de leur page personnelle: photos osées, récits de
beuverie, remarques hargneuses vis-à-vis de leur ex-employeur. Par ailleurs, une enquête a confirmé
que la dépression guette les jeunes connectés 24/7. En se soumettant à une pression afin d’être
disponibles 100% du temps en ligne, nos adolescents risquent la dépression, les crises d’angoisse ou
l’insomnie. La jeunesse canadienne n’est pas la seule, mais elle est l’une des plus à risque car les
jeunes Canadiens sont les deuxièmes plus branchés après ceux du Royaume-Uni. La plupart des
adolescents sont connectés toute la journée. Or, cette dépendance a des répercussions sur leur santé.
Le cyberharcèlement est l’un des pires effets négatifs. Il peut revêtir plusieurs formes comme: la
création de faux profils, l’usurpation d’identité, la diffusion de rumeurs infondées ou des messages
d’insultes. Ces agressions répétées sur le long terme peuvent impacter directement la vie des
adolescents.