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Grain Frederic
9 Rue D’Omiecourt 80320 Hypercourt
Revenu : 51712 €
Maison Individuelle – Shab=166 m²
Client
Année de construction: Avant 1948
Energie de chauffage principal : Chaudière Fioul
Référence EC-AE1284512015
Date de réalisation de l’audit 19/07/2023
Date de rédaction du rapport 20/07/2023
Arrêté du 11 mars 2021 modifiant l'arrêté du 29 décembre 2014 relatif aux modalités d'application du dispositif des certificats d'économies d’Energie et mettant
en place des bonifications pour une opération d'économie d'énergie dans le cadre d'un coup de pouce "Rénovation performante d'une maison individuelle en
France métropolitaine (BAR TH 164) "
*La consommation conventionnelle en énergie primaire avant les travaux de rénovation : Cep initial
*La consommation conventionnelle en énergie finale avant les travaux de rénovation : Cef initial.
*le rejet de CO2 exprimé en kgeqCO2/m².an, avant les travaux de rénovation
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Mots clefs
* Bonus BBC : le Bonus BBC est acquis si Cef (en kWh/m².an est inférieur à 90 kWh/m².an après projet
* Bonus sorti de PASSOIRE : Le bonus sorti de passoire qui permet de cibler prioritairement les logements
énergivores c’est-à-dire, ceux situés en étiquette énergétique G ou F.
Conformément aux dispositions des règlements écoconception (UE) n°813/2013 du 2 août 2013, n°206/2012
du 6 mars 2012 et n°2016/2281 du 30 novembre 2016.
Les consommations conventionnelles (en kWh/m².an) du bâtiment s’entendent sans déduction de la
production d’électricité, (autoconsommée ou exportée) et prennent en compte les 3 usages pour le
chauffage, le refroidissement et la production d’eau chaude sanitaire
La surface prise en compte dans les calculs est la surface habitable (Shab), conformément aux dispositifs des
certificats d'économies d’Energie
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SCENARIOS
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SYNTHÈSE DE L'AUDIT ÉNERGÉTIQUE ELSA CONSULTING
Bénéficiaire : Grain Frederic Adresse : 9 Rue D’Omiecourt
Date de la visite : 19/07/2023 Ville : 80320 Hypercourt
Revenus : Rose Non précaire Shab [m²] : 166
Qualification : OPQIBI RGE audit énergétique 1911 N°23065220 Logiciel utilisé : BAO EVO SED V.2.0.67 du 14/02/2023
Rendement initial : Par défaut Température ext de référence : -9°C
Ce document représente la synthèse de l'audit énergétique effectué par ELSA CONSULTING, conforme aux directives de la fiche BAR-TH-164 et au dispositif "Coup de pouce Rénovation performante d'une
maison individuelle" tel que défini dans l'arrêté du 10 décembre 2021.
Refroidissement
Electricité 4 050,33 Electricité 1 170,89 Electricité 1 021,02 Electricité 1 021,02
ECS
Coefficient 46 46 46
Classique Prime BAR-TH-164 [€] 24 149,92 € 24 364,34 € 24 870,60 €
Prime BAR-TH-164 [KWhcumac] 3715372,16 3748359,68 3826246,88
Coefficient 54 54 54
Précaire Prime BAR-TH-164 [€] 28 349,90 € 28 601,61 € 29 195,93 €
Prime BAR-TH-164 [KWhcumac] 4361523,84 4400248,32 4491681,12
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SCENARIO 1
Détails du projet
Travaux préconisés
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SCENARIO 2
9 Rue D’Omiecourt 80320
Bénéficiaire Grain Frederic Adresse
Hypercourt
Date de la visite 19/07/2023 Shab (m²) 166 m²
Méthode de calcul TH-C-E-ex Logiciel Utilisé BAO EVOLUTION SED
Détails du projet
Travaux préconisés
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SCENARIO 3
9 Rue D’Omiecourt 80320
Bénéficiaire Grain Frederic Adresse
Hypercourt
Date de la visite 19/07/2023 Shab (m²) 166 m²
Méthode de calcul TH-C-E-ex Logiciel Utilisé BAO EVOLUTION SED
Détails du projet
Travaux préconisés
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L'exigence, pour ce qui concerne le Coup de pouce « Rénovation performante d’une maison individuelle »
, que les travaux comportent au moins un geste d'isolation parmi trois catégories de travaux (cf. 1° du III de
l’article 1er et partie « Offres financières » de l’annexe IV-2) ;
L'exigence d'un taux de chaleur renouvelable d'au moins 50 % (au lieu de 40 % auparavant) pour obtenir la
surprime liée au taux de chaleur renouvelable et de récupération après travaux (cf. a du 2° du II et b du 2° du III de
l’article 1er et partie « Offres financières » des annexes IV et IV-2).
A partir du 1er avril 2021, le Coup de pouce « Rénovation performante d’une maison individuelle » nécessitera
que les travaux comportent au moins un geste d'isolation parmi trois catégories de travaux :
Les Travaux d'isolation thermique des murs couvrant au moins 75 % de la surface totale des murs donnant sur
l'extérieur et mettant en œuvre un procédé d'isolation par l’intérieur ou par l’extérieur ; b) Travaux d'isolation
thermique des toitures mettant en œuvre un procédé d'isolation comportant un ou des matériaux d'isolation
thermique en toiture-terrasse ou en rampant de toiture et couvrant au moins 75 % de la surface totale des
toitures ; c) Travaux d'isolation thermique des planchers des combles perdus et des planchers bas et couvrant
aumoins 75 % de la surface totale des planchers des combles perdus et des planchers bas situés entre un volume
chauffé et un sous-sol non chauffé, un vide sanitaire ou un passage ouvert ; Dans le cas c, si la maison individuelle
ne possède pas de planchers bas situés entre un volume chauffé et un sous-sol non chauffé, un vide sanitaire ou
un passage ouvert, la surface de ces planchers bas est nulle. Il est donc nécessaire dans ce cas d’isoler à minima
75% de la surface des combles perdus, ou de réaliser les travaux décrits au point a ou au point b. Enfin, des
travaux d'installation ou de remplacement de l'isolation thermique ne peuvent être reconnus comme répondant à
l’obligation ci- dessus que s'ils sont entrepris sur une paroi qui ne respecte pas les résistances thermiques
minimales données à l'article 3 de l'arrêté du 3 mai 2007 modifié relatif aux caractéristiques thermiques et à la
performance énergétique des bâtiments existants.
Chauffage
Régulez et programmez : La régulation vise à maintenir la température à une valeur constante, réglezle thermostat
à 19 °C ; quant à la programmation, elle permet de faire varier cette température de consigne en fonction des
besoins et de l'occupation du logement. On recommande ainsi de couper le chauffage durant l'inoccupation des
pièces ou lorsque les besoins de confort sont limités. Toutefois, pour assurer une remontée rapide en
température, on dispose d'un contrôle de la température réduite
que l'on règle généralement à quelques 3 à 4 degrés inférieurs à la température de confort pour les absences
courtes. Lorsque l'absence est prolongée, on conseille une température "hors gel" fixée aux environs de 8°C. Le
programmateur assure automatiquement cette tâche.
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Confort d'été
• Utilisez les stores et les volets pour limiter les apports solaires dans la maison le jour.
• Ouvrez les fenêtres en créant un courant d'air, la nuit pour rafraîchir.
Aération
Si votre logement fonctionne en ventilation naturelle :
• Une bonne aération permet de renouveler l'air intérieur et d'éviter la dégradation du bâti par l'humidité.
• Il est conseillé d'aérer quotidiennement le logement en ouvrant les fenêtres en grand sur une courte durée et de
nettoyer régulièrement les grilles d'entrée d'air et les bouches d'extraction s'il y a lieu.
• Ne bouchez pas les entrées d'air, sinon vous pourriez mettre votre santé en danger. Si elles vous gênent, faites
appel à un professionnel. Si votre logement fonctionne avec une ventilation mécaniquecontrôlée :
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Grain Frederic
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9 Rue D’Omiecourt 80320 Hypercourt
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SITUATION DU SITE
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INTRODUCTION
1.Contexte réglementaire
Dans le contexte actuel avec la hausse du prix de l’énergie et des préoccupations environnementales,
il est important de maîtriser les consommations énergétiques.
Le secteur du bâtiment absorbe 45 % de la consommation d'énergie nationale et produit 27
% des émissions de gaz à effet de serre.
A l’horizon 2050, l’ambition de la France est d’atteindre la neutralité carbone, ce qui consiste pour le
secteur du bâtiment à la réalisation de rénovation des bâtiments existants au niveau label BBC.
Cet audit énergétique est réalisé conformément à l’article 8 de l’Arrêté du 17 Novembre 2020 relatif
aux caractéristiques techniques et modalités des travaux et prestations dont les dépenses sont
2.Objectifs
3.Méthode de calcul
Les calculs ont été effectués à l’aide du logiciel BAO Evolution SED de l’éditeur PERRENOUD, dans sa
version V2.0.67 du 14/02/2023.
La simulation thermique peut être calculée suivant 3 méthodes de calcul :
• Mensuelle : « dite comportementale » pour évaluer l’état existant de l’habitation. Cette
méthode prend en compte 5 usages : le chauffage, le refroidissement, l’eau chaude sanitaire,
l’éclairage et les auxiliaires.
• TH-C-E-ex : méthode de calcul réglementaire qui prend en compte seulement 3 usages :
le chauffage, le refroidissement et la production d’Eau chaude sanitaire, et rapportée à la surface
habitable (SHAB). Cette méthode est aussi utilisée pour les aides de MaPrimeRénov et les CEE.
• 3CL : cette méthode est utilisée pour l’étiquette DPE
4.Attentes du propriétaire
Le propriétaire souhaite améliorer le confort de chauffage de son habitation et obtenir une baisse
significative des consommations énergétiques.
L’objectif identifié est l’accès à l’aide financière. Ce dispositif a pour objectif d’inciter financièrement
les propriétaires de maisons individuelles en France métropolitaine à réaliser une rénovation globale
performante de leur patrimoine immobilier, en particulier lorsqu’elle inclut le changement de leur
chaudière alimentée par desénergies fossiles.
La rénovation globale qualifie un ensemble de travaux permettant d’améliorer simultanément
plusieurs points faibles du logement. Le résultat doit permettre de faire baisser la consommation
énergétique d’au moins 55 % en énergie primaire sans augmenter les émissions de gaz à effet de
serre.
─► Audit énergétique
Cet audit consiste en une analyse complète et détaillée d’un bâtiment ou d’un logement. Il porte sur
la structure du bâtiment, l’état général de l’isolation thermique, la consommation d’énergies, les
équipements. Ceux-ci englobent les appareils de chauffage, de production d’eau chaude sanitaire, de
ventilation et d’éclairage).
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Cet audit consiste en une analyse complète et détaillée d’un bâtiment ou d’un logement. Il porte sur
la structure du bâtiment, l’état général de l’isolation thermique, la consommation d’énergies, les
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équipements. Ceux-ci englobent les appareils de chauffage, de production d’eau chaude sanitaire, de
ventilation et d’éclairage).
─► Objectifs
Une analyse complète et détaillée d’un bâtiment ou d’un logement. Elle porte sur la structure du
bâtiment, l’état général de l’isolation thermique, la consommation des énergies, les équipements.
Ceux-ci englobent les appareils de chauffage, de production d’eau chaude sanitaire).
Nos calculs se portent sur les consommations conventionnelles (en kWh/m2.an) du bâtiment
s’entendent sans déduction de la production d’électricité, (autoconsommée ou exportée) et prennent
en compte les 3 usages pour le chauffage, le refroidissement et la production d’eau chaude sanitaire.
La surface prise en compte dans les calculs est la surface habitable (Shab), conformément aux
dispositifs des certificats d'économies.
L’Arrêté du 11 mars 2021 modifiant l'arrêté du 29 décembre 2014 relatif aux modalités d'application
du dispositif des Certificats d'Économies d’Énergie et mettant en place des bonifications pour une
opération d'économie d'énergie dans le cadre d'un coup de pouce "Rénovation performante d'une
maison individuelle en France métropolitaine (BAR TH 164) "
L’audit énergétique d’un bâtiment permet d’avoir une connaissance approfondie de l’existant, chaque
maison ayant ses spécificités.
Aussi, l’audit énergétique comprend l’analyse thermique de l’ensemble des éléments suivants:
• Mesures et plan de l’habitation avec prise en compte des matériaux et des contraintes
architecturales ;
• Audit des déperditions énergétiques, de l’étanchéité et de la qualité de l’air ;
• Audit du système de chauffage.
L’audit énergétique peut également s’appuyer sur les données existantes (factures,
historique des installations, etc). Une fois la visite réalisée, toutes ces données sont
ensuite analysées et exploitées par notre conseiller rénovation afin de vous fournir un
rapport détaillé comprenant :
• Un bilan énergétique de votre logement ;
• Des solutions techniques adaptées ;
• Des résultats de consommation attendus ;
• Des informations sur le plan de financement ;
• Des aides financières possibles ;
• Un coût et un temps de retour sur investissement.
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I. CARACTERISTIQUES PRINCIPALES
Désignations Valeurs
Architecture Rectangulaire
Nombre de Niveaux 2
Zone Climatique H1
Altitude du lieux 85 m
Mitoyenneté Non
Nombre de Pièces 9
Climatisation Aucun
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• Menuiseries
Nombre de porte Composition Type
3 Bois 30%-60% de vitrage simple
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Plancher Bas
Caractéristique Type 1 Type 2
Type Sous-sol Terre-plein
Gros Œuvres
Voutains en briques ou moellons Dalle de béton
Isolant Aucun Aucun
Epaisseur isolant - -
Murs Extérieurs
Caractéristique Type 1 Type 2
Gros Œuvres Briques pleines -
Epaisseur du mur 35 cm -
Isolant Aucun -
Epaisseur isolant - -
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3. Système technique
• Chauffage
Type de chauffage Chaudière Fioul
Marque -
Année de mise en Œuvre -
Rendement Par défaut
Puissance nominal (KW) -
Qualité / Etat Mauvais
• ECS
• Climatisation
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• Ventilation
Système de ventilation Simple flux
• Compteur électrique
Compteur
Polarité Monophasé
Puissance souscrite (kVA) 6
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AVIS DE PASSAGE
Je déclare avoir reçu un Auditeur de ELSA CONSULTING pour réaliser la visite technique préalable à
l’établissement de l’audit énergétique de mon logement le 19/07/2023
Signature du bénéficiaire
Grain Frederic
Signature du responsable
DI
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II.ETAT ACTUEL
1. Consommations – ETAT INITIAL
<50 <5 A
51 à 90 6 à 10 B
91 à 150 C 11 à 20 C
151 à 230 D 21 à 35 D
231 à 330 E 36 à 55 E
331 à 450 F 56 à 80 F
<50 <5 A
51 à 90 6 à 10 B
91 à 150 C 11 à 20 C
151 à 230 D 21 à 35 D
231 à 330 E 36 à 55 E
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UBAT = 1,356
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Déperd. W/°C %
Murs extérieurs 185,72 30,97
Murs intérieurs 16,15 2,69
Total Murs 201,87 33,67
Planchers 67,91 11,33
Plafonds 161,20 26,88
Vitrages 50,57 8,43
Portes 34,56 5,76
Linéiques L8 12,49 2,08
Linéiques L9 6,81 1,14
Linéiques L10 0,00
Autres ponts therm. 2,25 0,38
537,65
À partir des résultats de l’étude thermique du bâtiment à l’état initial, nous déduisons que les déperditions thermiques
sont principalement dues aux murs, plafonds et planchers. Ce qui justifie d’avoir un coefficient de transmission thermique
élevé Ubat = 1,356 W/m².°C. Pour cela nous allons préconiser, dans la suite du rapport, l'amélioration de l’isolation afin
d’augmenter la résistance de l’enveloppe.
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SCENARIO N°1 :
Sc1-PAC Air/Eau Auto-adaptative Puissance : 14 kw COP à 7°C/35°C > 4,2
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III.SCENARIO 1
1. Consommations – Scénario n°1
<50 A <5 A
51 à 90 B 6 à 10 B 7 B
91 à 150 C 108 C 11 à 20 C
151 à 230 D 21 à 35 D
231 à 330 E 36 à 55 E
331 à 450 F 56 à 80 F
<50 A <5 A
51 à 90 B 6 à 10 B 7 B
91 à 150 C 124 C 11 à 20 C
151 à 230 D 21 à 35 D
231 à 330 E 36 à 55 E
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26
UBAT = 0,976
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27
Prime BBC 0€
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28
CUMUL DE TRÉSORERIE
32 687,79 €
2021 2022 2023 2024 2025 2026 2027 2028 2029 2030
29 055,81 €
25 423,84 €
21 791,86 €
18 159,88 €
14 527,91 €
10 895,93 €
7 263,95 €
3 631,98 €
0,00 €
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29
SCENARIO N°2 :
Sc2-PAC Air/Eau Auto-adaptative Puissance : 13 kw /COP à 7°C/35°C > 4,5
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IV.SCENARIO 2
1. Consommations – Scénario n°2
<50 A <5 A
51 à 90 B 6 à 10 B 6 B
91 à 150 C 97 C 11 à 20 C
151 à 230 D 21 à 35 D
231 à 330 E 36 à 55 E
331 à 450 F 56 à 80 F
<50 A <5 A
51 à 90 B 6 à 10 B 7 B
91 à 150 C 124 C 11 à 20 C
151 à 230 D 21 à 35 D
231 à 330 E 36 à 55 E
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31
UBAT = 0,928
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32
Prime BBC 0€
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33
CUMUL DE TRÉSORERIE
2021 2022 2023 2024 2025 2026 2027 2028 2029 2030
33 783,82 €
30 030,06 €
26 276,31 €
22 522,55 €
18 768,79 €
15 015,03 €
11 261,27 €
7 507,52 €
3 753,76 €
0,00 €
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SCENARIO N°3 :
Sc3-PAC Air/Eau Auto-adaptative Puissance : 9 kw /COP à 7°C/35°C > 4,8
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V.SCENARIO 3
1. Consommations – Scénario n°3
<50 A <5 A 4 A
51 à 90 B 71 B 6 à 10 B
91 à 150 C 11 à 20 C
151 à 230 D 21 à 35 D
231 à 330 E 36 à 55 E
331 à 450 F 56 à 80 F
<50 A <5 A 4 A
51 à 90 B 82 B 6 à 10 B
91 à 150 C 11 à 20 C
151 à 230 D 21 à 35 D
231 à 330 E 36 à 55 E
ELSA CONSULTING© - RCS 922 526 421 - Nanterre Synthèse de l’Audit Énergétique sous BAO
36
UBAT = 0,625
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37
ELSA CONSULTING© - RCS 922 526 421 - Nanterre Synthèse de l’Audit Énergétique sous BAO
38
CUMUL DE TRÉSORERIE
2021 2022 2023 2024 2025 2026 2027 2028 2029 2030
36 376,24 €
32 334,43 €
28 292,63 €
24 250,83 €
20 209,02 €
16 167,22 €
12 125,41 €
8 083,61 €
4 041,80 €
0,00 €
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Les émissions de chaleur des radiateurs indiqués dans les catalogues des fabricants sont selon la norme EN 442. Basée sur cette norme, la puissance thermique nominale
des radiateurs est déterminée en chambre d’essai avec un ΔT = 50K.
La variation de la puissance thermique d’un radiateur avec un ΔT différent de 50K peut être évaluée à partir de la formule de calcul suivante :
Avec :
P1 : La puissance de chauffage du radiateur à installer sans tenir compte du régime de température du fluide chauffant « résultat de l’étude thermique ».
P2 : La puissance corrigée du radiateur équivalente sur la base d’un ΔT de 50K (valeur indiquée dans les catalogues des fournisseurs de radiateurs)
ΔT : La différence de température entre la température moyenne de l’eau dans le radiateur et la température ambiante du local
1,3 : Valeur moyenne indiquée par le fabricant.
Le facteur de correction pour un radiateur Basse température fonctionnant avec un ΔT = 35K est de 1,6.
Cela veut dire que pour fournir les mêmes besoins en chauffage indiqués par le logiciel de calcul, la puissance de chauffe doit être 1,6 fois plus grande avec un ΔT de 35K.
Scénario 2
U Bât [W/m².K] Déperditions Thermiques [W] 13 000 W
Puissance Totale des radiateurs à installer [W] 13 000 W
Puissance totale des radiateurs à installer pour un fonctionnement en basse température 20 800 W
Puissance des radiateurs pour 10 m² de surface chauffée [W] 1 253 W
Scénario 3
U Bât [W/m².K] Déperditions Thermiques [W] 9 000 W
Puissance Totale des radiateurs à installer [W] 9 000 W
Puissance totale des radiateurs à installer pour un fonctionnement en basse température 14 400 W
Puissance des radiateurs pour 10 m² de surface chauffée [W] 867 W
NB : une pièce disposant d'un plancher chauffant ne nécessitera pas de changement d'émetteurs
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VI. ANNEXES
1. Estimation des CEE BAR TH 164
• Scénario 1
• Scénario 2
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• Scénario 3
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Détail : Remplacer par un ballon type NFB (qui garantit un bon niveau d'isolation du ballon) ou chauffe-eau thermodynamique. Un
ballon verticalest plus performant qu'un ballon horizontal. Il est recommandé de régler la température à 55°C et de le faire fonctionner
de préférence pendant lesheures creuses. Pendant les périodes d'inoccupation importante, vous pouvez arrêter le système de chaude
sanitaire et faire une remise en température si possible à plus de 60°C avant usage.
• Économies estimées : 35 €
• Crédit d'impôt : Recommandation : Mettre en place une ventilation mécanique contrôlée hygroréglable.
Détail : La VMC permet de renouveler l'air intérieur en fonction de l'humidité présente dans les pièces. La ventilation
en sera donc optimum,ce qui limite les déperditions de chaleur en hiver.
Le système solaire combiné (SSC) est un appareil de chauffage domestique et de production d’eau chaude sanitaire qui fonctionne
grâce àl’énergie solaire. Cette double fonctionnalité le distingue du chauffe-eau solaire individuel (CESI) qui permet seulement de
réchauffer l’eau.
Son principe de fonctionnement est simple et correspond à la productionsolaire thermique évoquée précédemment :
• Des capteurs solaires, posés sur le toit de votre habitation ou àproximité de cette dernière, captent les calories
du soleil ;
• Les calories de chaleur passent dans un fluide caloporteur qui les réchauffe encore ;
• Elles arrivent dans un ballon de stockage, pour ensuite être redistribuées via de la tuyauterie dans votre réseau
d’eau chaude domestique, jusqu’à vos émetteurs de chaleur, des radiateurs ou un plancher chauffant, par
exemple
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CHAUFFAGE
Si vous installez un climatiseur de puissance supérieure ou égale à 12kW,la réglementation impose au coefficient d’efficacité
frigorifique EER une valeur minimale en mode froid. Dans le tableau suivant figurent les valeurs de EER exigées pour différents types
d’équipement.
ISOLATION
MENUISERIES EXTÉRIEURES
Lors du changement ou de l’installation d’une paroi vitrée, le coefficient de transmission thermique U doit être inférieur ou égal au
niveau maximal donné par le tableau ci-dessous :
CHAUFFAGE AU BOIS
Niveaux réglementaires requis jusqu’en 2020
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À partir de 2020, les chaudières bois, et à partir de 2022 tous les autres appareils au bois mis sur le marché
respecteront les exigences du règlement « Eco-conception », qui seront supérieures à celles-ci- dessus.
Source : faire.fr
3. Bonnes pratiques
Outre les mesures spécifiques figurant dans le tableau de la page suivante, il existe une multitude d'autres mesures non coûteuses ou
très peu coûteuses permettant d'économiser de l'énergie et de réduire les émissions de gaz à effet de serre. Ces mesures concernent
non seulementle chauffage, mais aussi l'eau chaude sanitaire et le confort d'été.
CHAUFFAGE
• Régulez et programmez : La régulation vise à maintenir la température à une valeur constante, réglez le thermostat à 19 °C ;
quantà la programmation, elle permet de faire varier cette température de consigne en fonction des besoins et de l'occupation du
logement. On recommande ainsi de couper le chauffage durant l'inoccupation des pièces ou lorsque les besoins de confort sont
limités. Toutefois, pour assurer uneremontée rapide en température, on dispose d'un contrôle de la température réduite que l'on
règle généralement à quelques 3 à 4 degrés inférieurs à la température de confort pour les absences courtes. Lorsque l'absence
est prolongée, on conseille une température "hors gel" fixée aux environs de 8°C. Le programmateur assure automatiquement
cette tâche.
• Réduisez le chauffage d'un degré, vous économiserez de 5 à 10 %d'énergie.
• Éteignez le chauffage quand les fenêtres sont ouvertes.
• Fermez les volets et/ou tirez les rideaux dans chaque pièce pendant la nuit.
• Ne placez pas de meubles devant les émetteurs de chaleur (radiateurs, convecteurs, etc.), cela nuit à la bonne diffusion de la
chaleur.
CONFORT D’ÉTÉ
• Utilisez les stores et les volets pour limiter les apports solaires dans lamaison le jour.
• Ouvrez les fenêtres en créant un courant d'air, la nuit pour rafraîchir.
• Aération, si votre logement fonctionne en ventilation naturelle : Unebonne aération permet de renouveler l'air intérieur et
d'éviter la dégradation du bâti par l'humidité.
• Il est conseillé d'aérer quotidiennement le logement en ouvrant les fenêtres en grand sur une courte durée et de nettoyer
régulièrement lesgrilles d'entrée d'air et les bouches d'extraction s'il y a lieu.
• Ne bouchez pas les entrées d'air, sinon vous pourriez mettre votre santé en danger. Si elles vous gênent, faites appel à un
professionnel. Sivotre logement fonctionne avec une ventilation mécanique contrôlée : Aérez périodiquement le logement.
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• Évitez les lampes qui consomment beaucoup trop d'énergie, commeles lampes à incandescence ou les lampes halogènes.
• Nettoyez les lampes et les luminaires (abat-jour, vasques...) ; poussiéreux, ils peuvent perdre jusqu'à 40 % de leur efficacité
lumineuse.
• Éteignez ou débranchez les appareils ne fonctionnant que quelques heures par jour (téléviseurs, magnétoscopes, etc.). En mode
veille, ils consomment inutilement et augmentent votre facture d'électricité. Électroménager (cuisson, réfrigération, etc.)
La recherche de la performance énergétique passe par une gestion aboutie de l’étanchéité à l’air du logement. En effet, malgré la
présenced’isolant, les infiltrations d’air parasite d’un logement peuvent fortementen augmenter la consommation d’énergie.
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Au-delà de la performance énergétique, il s’agit également de confort. Gérer l’étanchéité à l’air d’un logement, c’est aussi supprimer
les courantsd’air mais aussi les nuisances sonores, les qualités acoustiques d’une paroiétant fortement dégradées par la présence
d’ouvertures ou d’infiltrations d’air.
Cette étanchéité à l’air doit être traitée sur l’ensemble du logement etl’ensemble des parois afin que cette recherche d’amélioration
soit cohérente.
Il est cependant important de préciser que pour le confort et la qualité de l’air, il est fondamental de renouveler l’air d’un logement.
Lorsqu’il est question d’étanchéité à l’air, il s’agit de maîtriser les entrées d’air parasiteet non de supprimer tout le renouvellement
d’air. Le traitement de l’étanchéité à l’air doit s’accompagner d’un système de ventilationperformant.
Selon le mode constructif, les techniques ou les matériaux employés,différentes méthodes de traitement de l’étanchéité peuvent être
appliquées.
Cheminée et poêle
Le poêle à bois étanche a été créé pour optimiser la consommation d'énergie et la maîtrise de l'étanchéité du bâtiment suite à l'arrivée
de la RT2012. Il se distingue des poêles à bois classiques par son arrivée d'air extérieure directe. Certains modèles peuvent être munis
d'un conduitde type ventouse. Facile à installer, cet équipement est un peu plus cher qu'un poêle classique, mais son achat est
rapidement amorti par les économies réalisées et il est éligible à des aides financières comme le CITE. Les poêles dits étanches tendent
à devenir la norme aussi bien en matière de sécurité que d'efficacité énergétique.
• Une membrane continue d’étanchéité à l’air intérieur (pare-vapeur) de valeur Sd≥18 m pourl’étanchéité à l’air de la toiture
• Un écran Hautement Perméable à la Vapeur d’eau (valeur Sd ≤ 0,10 m) côté extérieur afind’optimiser le fonctionnement de
l’isolant thermique
• DTU 31.2 : murs à ossature bois Qui impose notamment pour les mursbois :
• Avec lame d’air ventilée (par exemple sous bardage) : une membrane continue d’étanchéité àl’air intérieur (pare-vapeur) de
valeur Sd ≥ 18m
• Avec lame d’air non ventilée (par exemple sous enduit) : une membrane continue d’étanchéité à l’air intérieur (pare-vapeur) de
valeur Sd ≥ 90m
• Le respect d’un rapport de 5 entre la valeur Sd de la paroi interne (pare-vapeur) et la valeur Sdde la paroi externe (écran de sous-
toiture en comble ou pare-pluie en mur)
Pour les menuiseries :
• Favoriser les menuiseries garantissant un niveau d’étanchéité AEV A*4 de la Norme NF, seulecertification 4 à valider la
performance de l’étanchéité de la menuiser
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Points de vigilance
Si on peut trouver des murs non étanches dans leurs parties courantes (par exemple des murs en blocs de béton non enduits, des murs
fissurés, etc.), ces cas sont plutôt rares et la majorité des difficultés viennent de points singuliers : Menuiseries Liaisons
murs/menuiseries, volets roulants, joints ouvrants/dormants, menuiseries coulissantes Réseaux électriques etfluides Interrupteurs,
prises, spots encastrés, points lumineux en général, pénétrations extérieur/intérieur Réseaux aérauliques Réseaux de ventilation,
évacuations de sèche-linges, hottes de cuisines, aspirations centralisées Trappes et menuiseries intérieures Accès aux
combles, caves… Structure Liaisons planchers/murs, murs/toiture, linteaux. (notamment linteaux en bois), pièces de charpente, en
général, les éléments " secs " (bois, hourdis, etc.) non noyés dans un mortier, un enduit… Conduits de fumée Escaliers, etc. Risques
d'infiltrations d’air entreliaisons "sèches" et non calfeutrées : planchers, contre-cloisons, grenier, etc. (non traitées par une isolation
extérieure)
Menuiseries
Ventilation (tolérance max : 10 mm dans tous les plans).
Des défauts importants nuisent à l’étanchéité, les joints ne pouvantcombler des vides trop importants ou trop irréguliers. La pose de
lamenuiserie doit bien sûr être soignée.
Menuiseries coulissantes : rarement étanches, préférer les menuiseries à frappe ("à la française") ou "à translation".
Seuils : les seuils de portes et portes fenêtres permettant un accèshandicapé sont limités en hauteur et peuvent générer des fuites.
Privilégier un bon classement AEV. Volets roulants : choisir des voletsavec coffre à l’extérieur permet un traitement plus aisé.
Les volets à sangles ou, dans une moindre mesure, à manivelle sont souvent des sources d’infiltration ; les modèles récents peuvent
posséderdes accessoires améliorant l’étanchéité des passages de commande.
Les volets électriques sont plus faciles à étanchéifier. Les coffres intérieurs sont difficiles à isoler et sont aussi souvent sources de
fuites. Ilexiste un classement pour mesurer la perméabilité des coffres de volets roulants allant de C1 à C4, C4 étant le plus étanche.
Électricité
Dans la mesure du possible, installer le tableau de répartition dans l’espace chauffé ainsi que toutes les boites de dérivation.
Étanchéifier la gaine d’arrivée générale ainsi que toutes les gaines traversant la barrière d’étanchéité (éclairages et prises extérieurs,
garage,grenier, cave, etc.) : il existe des accessoires dédiés ; un mastic acryliquepeut aussi limiter les fuites.
Les boîtiers d’appareillage ne devraient pas percer le plan d’étanchéité. Ponctuellement, un boîtier étanche peut limiter les fuites dues
à ce défautde conception.
Ventilation
Les réseaux qui traversent le plan d’étanchéité devront être traités. Par ailleurs, le réseau lui- même devra présenter une bonne
étanchéité pour assurer les débits voulus. Les hottes de cuisine et les aspirations centralisées ont des débits d’aspiration très
importants. Suite à une amélioration de l’étanchéité à l’air, il est indispensable de remplacer la hotte de cuisine par un modèle à
recyclage (sans évacuation extérieure), sous peine d’abimer le travail effectué sur l’étanchéité à l’air, sauf à ouvrirla fenêtre lors des
mises en marche de la hotte à aspiration.
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• Par une ITI, Isolation thermique par l'Intérieur, sur les liaisons planchers / murs / toitures.
• Par une ITE, Isolation Thermique par l'Extérieur, sur les mêmes liaisons ainsi que les plus particulières que sont les loggias, les
seuils de cheminée, les acrotères, les balcons ...
Par les deux méthodes conjointes.
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•Un prêt sans frais de dossier et à taux zéro ; les intérêts sont pris encharge par l’État
•Un financement pour des travaux importants, visant à réduire votreconsommation d’énergie
•Un prêt jusqu’à 30 000 € selon la nature et l’importance des travauxenvisagés et selon une liste prédéfinie
L'aide est accordée, sous conditions de ressources, aux propriétaires occupant un logement individuel. Les propriétaires bailleurs
et syndicatsde copropriétaires sont également éligibles.
Pour les logements occupés à titre de résidence principale et qui ont plus de 15 ans à la date où le dossier est déposé, les
logements situés dans undépartement ayant signé un contrat local d'engagement contre la précarité énergétique (CLE), les
immeubles datant d'au moins 15 ans, leslogements n’ayant pas bénéficié d’autres financements de l’État au cours des cinq
dernières années (par exemple un prêt à taux zéro en cours ou octroyé il y a moins de 5 ans).
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GLOSSAIRE
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Certificat de Qualification
Responsable Technique :
Daniel IFERGAN
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