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OBJECTIF GENERAL :
OBECTIFS INTERMEDIAIRES :
2. Donner la structure d'un réseau sémaphore ainsi que les différents modes
d'exploitation possibles.
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Sommaire :
1. Généralité
1.1 Rappels sur la signalisation
1.2 Définition de la signalisation sémaphore
1.3 Le code CCITT N°7
3. Le système dé référence
3.1 Application au CCITT N°7
3
Sommaire :
5. Le sous-système utilisateur téléphonie
5.1 Rappel sur les trames sémaphores de message
5.2 Format de message utilisateur
5.3 Procédure d’établissement d’un appel
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1. Généralité
1.1 Rappels sur la signalisation téléphonique.
L’établissement
La supervision des communications
La rupture
Gestion de la mobilité
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On peut définir trois groupes dans la signalisation téléphonique:
• La signalisation terminale, utilisée sur les lignes du réseau local et adaptée aux
installations d’abonnés de tous types;
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La signalisation interne aux commutateurs, quant à elle, a constamment suivi
l’évolution de la technologie, puisque ne subissant aucune contrainte due à la
standardisation.
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• les signaux dits ‘’de ligne’’, servant à la supervision de la communication, émis
sur des fils séparés ou sur l’IT de signalisation lié au support, et pouvant être
exploités par des organes d'extrémité (unités de raccordement, joncteurs, etc ... ).
La signalisation par canal sémaphore est une méthode de signalisation dans laquelle
une seule voie achemine, grâce à des messages étiquetés, l’information de
signalisation se rapportant, par exemple, à une multitude de circuits, ou d’autres types
d’informations telles que celles qui sont nécessaires à la gestion du réseau.
La signalisation par canal sémaphore peut être considérée comme une forme de
transmission de données, spécialisée aux transferts de signalisation et d’information,
de divers types, entre processeurs dans les réseaux de télécommunications.
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Faisceau téléphonique : 5 E1
CAA 1 CAA 2
1.3.1 Historique :
Le code C.C.IT.T. N°7 n’est pas le premier à être recommandé pour les échanges de
signalisation en sémaphore. Il fut précédé par une étude qui aboutit au code
CCITT N°6, lequel devait utiliser une liaison de données sémaphore travaillant à
2.4 kbits/s. Ce débit s’étant avéré peu compatible avec la généralisation des
voies à 64 kbits/s, c’est cette dernière valeur qui fut retenue pour la voie de
données du code N°7.
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Les études du nouveau système CCITT N°7 ont débuté en 1973. Ce système a été
conçu pour être particulièrement adapté aux réseaux numériques avec intégration
de services, et optimisé pour travailler sur des voies au débit de 64 kbits/s.
Les spécifications du système de signalisation N°7 ont été publiées en 1981, à l’issue
de la 7ème assemblée plénière du CCITT réunie à Genève. Quatre ans plus tard,
cette définition fut complétée lors de la 8ème assemblée plénière qui eut lieu à
Malaga en octobre 1984.
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Un certain nombre de domaines de longueur fixe (en tout 6 octets), qui contiennent les
informations nécessaires à la commande du transport des messages.
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2. Eléments constituants du réseau sémaphore.
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A chaque commutateur du réseau téléphonique est associé un "Point sémaphore" ou
PS. Ce dernier symbolise les ressources logicielles et matérielles du commutateur
permettant le traitement, de la signalisation CCITT N°7
Ces PS ne pouvant à terme être tous reliés deux a deux (même problème que pour
les centraux téléphoniques), on est amené à introduire des points sémaphores
assurant la fonction de transit pour les échanges sémaphores. Ce sont les "Point de
Transit Sémaphore’’ ou PTS. Leur nombre dépend, bien sûr de celui des PS. Ainsi
que de la densité de trafic de signalisation.
L’ensemble des PTS sera géré par des Points Sémaphores de Gestion.
Les différents points du réseau sont reliés entre eux par des Faisceaux
Sémaphores, constitués de 1 à 16 canaux.
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Réseau sémaphore
PTS
PTS
PS
PTS
PS PS PS PS PS
CS
CS CS CS CS
CS
CAA CAA
Autre réseau
Réseau téléphonique
utilisateur
Réseau de signalisation
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2.2 Mode d’exploitation du réseau sémaphore.
• Le mode non associé : Dans ce mode, les messages afférents à une relation
sémaphore sont acheminés sur deux faisceaux de canaux sémaphores ou plus,
traversant un ou plusieurs points sémaphores autres que les points de départ et de
destination des messages.
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Le code CCITT N°7 est spécifié pour être utilisé dans les modes associé et quasi-
associé. Le logiciel de transport des messages ne comporte en effet pas de disposition
permettant l’arrivée hors séquence des messages, ou d'autres difficultés qui
résulteraient d’un acheminement dynamique des messages.
Relation sémaphore PS
PS PS
Relation téléphonique
CAA CT CAA
MODE ASSOCIE
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PTS PTS
PS Relation sémaphore PS PS
Relation téléphonique
CAA CT CAA
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2.3 Acheminement dans le réseau sémaphore.
Tous les points sémaphores (PS ou PTS) du réseau national sont identifiés par un
code qui est leur est propre. Et qui est leur numéro dans le plan de numérotage
sémaphore national. Parallèlement, au réseau sémaphore national il existe des
réseaux sémaphores locaux et un réseau sémaphore international.
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3. Le système de Référence :
Le code CCITT N°7 s’appuie sur le modèle de référence préconisé par l’organisme
international de normalisation ISO. Ce modèle, nommé OSI est conçu pour
l’interconnexion des systèmes ouverts (OSI = Open System Interconnection).
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Couche 7 Couche 7
Application Application
Couche 6 Couche 6
Présentation Présentation
Couche 5 Couche 5
Session Session
Couche 4 Couche 4
Transport Transport
Support Support
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Les différents rôles de ces sept couches sont les suivants.
a) La couche N°l, la plus basse, est encore appelée couche physique. Elle assure
simplement le transport de l'information, en mettant en jeu un ensemble d'éléments
tels que: support de transmission, interfaces normalisées (V24, X21), systèmes de
codage, etc ...
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d) la couche N°4, ou couche transport, se voit confier le contrôle de bout en bout
du transport de l'information. Elle garantit ainsi que les informations sont bien
parvenues à leur destinataire final; c'est à ce niveau également que s'effectuent
l'assemblage et le désassemblage des paquets.
e) la couche N°5 est appelée couche session, car c’est elle qui permet la mise en
place du dialogue entre les tâches distantes. Elle joue en quelque sorte un rôle de
synchronisation, entre les événements qui se déroulent aux deux extrémités.
f) la couche N°6, couche de présentation, est ainsi nommée car elle est
responsable de la présentation des données échangées par les applications. Ces
dernières s'affranchissent ainsi des problèmes de compatibilité que pourraient
poser les différents matériels raccordés au réseau.
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Toutefois, l’ensemble de ces couches n'est pas indispensable dans toutes les
configurations de systèmes télématiques. Certains cas verront, donc deux ou plusieurs
couches confondues en une seule, par exemple parce que certaines de leurs
fonctionnalités ne sont pas utilisées.
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Passage des information entre les couches
Couche Application
Couche Présentation
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3.1 Application au code CCITT N°7.
Le système de signalisation N°7 est destiné à être utilisé dans l’exploitation d’un
réseau sémaphore multi-services. Différents utilisateurs peuvent donc bénéficier de ce
réseau:
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Les couches supérieures sont représentées par le sous-système utilisateur, qui
diffère suivant les cas:
• SSUR : Sous-système Utilisateur pour le RNIS (ISUP)
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Sous-système
Utilisateur
SSUT SSUR SSUM SSEM SSUD
Couches 4-7
SSCS
Fonction du
Réseau
Couches 1-3
SSTM
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Le SSTM représente les trois couches inférieures du modèle OSI, la distribution est
effectuées vers les différentes sous systèmes Utilisateurs en fonction de l’indicateur
de service (Champ INS du niveau 3).
Le SSUT et le SSUR peut être atteint directement de cette façon, les messages à
destination des autres systèmes passent par le Sous Systèmes de Connexions
Sémaphores (SSCS).
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4. Le Sous-système de Transport de Messages (SSTM)
Cette LSD numérique est constitué par des voies de transmissions numériques au
débit binaire normalisé de 64Kbits/s.
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Le système de signalisation CCITT N°7 peut fonctionner aussi bien sur des liaisons
de transmission par terrestres que sur des liaisons de transmission par satellite.
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4.2 Le Niveau 2 (couche liaison).
Définitions:
- Canal Sémaphore :
- Trames sémaphore :
Les messages de signalisation réunis par les niveaux hiérarchiques supérieurs sont
transmis sur le canal sémaphore sous forme de trames sémaphores de longueur
variable.
Ces trames sémaphores contiennent des informations utilisables ainsi que des
informations de contrôle.
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Il existe trois types de trames sémaphores:
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4.2.2 Délimitation.
8 eb 16 eb 272 oct 8 eb 16 eb 8 eb
Fanion Detection d’erreur Information Type de trame Correction d’erreur Fanion
Conventions :
Le début et la fin d’une trame sémaphore sont repérables par une configuration
particulière de 8 eb appelés « Fanion ou Flag »
Binaire Hexa
FANION = 01111110 = ‘7E ‘
- Tout fanion suivi d’autre chose qu’un fanion indique un début de trame
- Tout fanion précédé d’autre chose qu’un fanion indique la fin d’une trame
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Pour éviter que le fanion ne puisse être reconnu à tort lors du passage d'une
configuration accidentelle similaire à l'intérieur de la trame, on effectue au moment de
l'émission des données un traitement destiné à éviter la succession de plus de 5 eb
consécutifs à "1" (excepté pour le fanion lui-même) .
• Un compteur d'eb à "1" est utilisé de façon synchrone à l'émission; il subit une
RAZ à chaque passage d'un eb à "0". Chaque fois que ce compteur atteint la
valeur 5 (5 eb consécutifs à 1), un eb à "0" est systématiquement, inséré à la
suite, dans le train binaire.
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Exemple :
Sens de l’émission Information
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En cas de réception d'une configuration de plus de 6 "1" consécutifs, il y a perte
d'alignement et le terminal sémaphore passe alors dans le mode comptage d’octets.
Dans ce mode, le terminal rejette tous les bits qu’il reçoit depuis la réception du
dernier fanion et jusqu' à la réception du fanion suivant. Le mode comptage d'octets
est abandonné dès que l'on reçoit une trame sémaphore correcte, et cette dernière
est alors acceptée.
On différencie les trois types de trames définis plus haut. (TSR, TSE, TSM), par leur
champ INL
8 eb 16 eb 16 eb 8 eb
INL=0
Fanion Detection d’erreur Correction d’erreur Fanion
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b) Champ INL = 1 ou 2 , trame sémaphore d’état (TSE).
8 eb 16 eb 8 ou 16 eb 16 eb 8 eb
INL= 1 ou 2
Fanion Detection d’erreur ETC Correction d’erreur Fanion
8 eb 16 eb nx8 eb 16 eb 8 eb
INL > 2
Fanion Detection d’erreur Information Correction d’erreur Fanion
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4.2.4 Détection d’erreurs :
Ce CRT est calculé à partir des bits compris entre le dernier bit du fanion de début de
trame (exclus), et le premier bit de CRT (exclus); et avant insertion et après
suppression des, "0" de "bourrage HDLC".
EX : 0 1 0 1 1 0 1 1 X6+ X4 + X3 + X + 1
• A l’émission, on divise ce polynôme par une valeur connue des deux extrémités, et
également présentée sous forme polynomiale. Le reste de cette division constitue
le CRT.
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• A la réception, on vérifie que le polynôme reçu, ajouté au reste, est bien un
multiple de la valeur utilisée comme diviseur à l’émission. Dans le cas contraire, la
trame est rejetée.
Remarque :
Si une erreur est détectée, le système émetteur doit donc être à même de réémettre
une trame. Le principe de la correction d'erreurs est basé sur la numérotation
séquentielle des trames et de leur mémorisation par le système émetteur, jusqu'à leur
acquittement par l'autre extrémité.
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4.2.5.1 La méthode de base :
Cet te méthode s'applique sur les canaux sémaphores qui empruntent des moyens
de transmission terrestres non intercontinentaux, et sur lesquels le temps de
propagation dans un seul sens est inférieur à 15 ms.
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positif pour chacune d'entre elles. En cas d'accusé de réception négatif, le terminal
sémaphore d’émission retransmet dans l'ordre toutes les trames sémaphores de
message qu’il a mémorisées, en commençant par celle qui a été rejetée.
8 eb 16 eb nx8 eb B B 8 eb
INL > 2 I NSA I
Fanion Detection d’erreur Information NSR Fanion
A R
1 7 1 7
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Exemple de transmission avec correction d’erreur : Méthode de BASE.
TERMINAL TERMINAL
EMMETTEUR RECEPTEUR
BIR en mémoire = 0
TSM
BIA= 0 ; NSA= 9 BIA= 0 Comparaison OK
BIR= 0
BIA= 0
TSR
Comparaison OK BIR= 0 BIR= 0 ; NSR= 9
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4.2.5.2 La méthode cyclique préventive.
Le principe de cette méthode est de réémettre dans les "creux" de transmission, les
trames non encore acquittées par l'autre extrémité.
• Soit parce que leur nombre excède une certaine valeur (il cesse dans ce cas
l'émission de nouvelles trames),
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4.2.6 Supervision :
44
4.2.7 Contrôle de flux niveau 2.
Lorsqu’un canal est encombré en réception, une TSE (ETOC) d’encombrement est
envoyé. Ceci a pour effet de prolonger la temporisation d’acquittement.
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8 eb 16 eb 8 ou 16 eb 16 eb 8 eb
INL= 1 ou 2
Fanion Detection d’erreur ETC Correction d’erreur Fanion
5 eb reservés C B A
Etat du
canal
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Procédure d’alignement initial :
Le canal étant créé par les RHM appropriées, et mis sous tension, on distingue à
partir de ce moment 4 phases de fonctionnement (00 à 03).
Le terminal sémaphore n'est pas aligné et le terminal émet des trames ETAP;
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- Phase 02 : Aligné
Le terminal sémaphore constatant que le canal sémaphore est aligné, émet des
trames d’état ETAN ou ETAU
- Phase 03 : Probatoire
Le BIR émis est rendu égal au BIA et le NSR émis égal au NSA reçu.
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Hors tension Hors tension
ETHS ETHS
Hors service Hors service
ETAP ETAP
Non aligné Non aligné
ETAN ETAN
Alignement Initial
Alignement Initial
Aligné Aligné
ETAN ETAN
Période Période
Probatoire Probatoire
TSR TSR
Aligné prêt Aligné prêt
TSM TSM
En service En service
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La surveillance du taux d’erreur est effectuée sur une succession de 216 octets, en
procédure normale (la durée est de 8.2 secondes au débit de 64 Kbits/s). Lorsque la
procédure urgente est appliquée, la séquence testée n’est que de 212 octets, ce qui
représente alors une durée de 0.5 seconde.
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4.3. Le niveau réseau du SSTM (ou couche 3 OSI).
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4.3.1 Définition des fonctions.
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• Fonction discrimination des messages: c'est la fonction qui consiste après
réception d'un message dans un point sémaphore, à déterminer si ce point est
ou non le point de destination du message considéré.
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B. Les fonctions gestion du réseau : Elles comprennent :
Gestion du trafic : elle consiste à commander l’acheminement des messages
de façon à préserver, si nécessaire, l’accessibilité de tous les points de
destination concernés, ou pour rétablir l’acheminement normal.
• Gestion des canaux: elle assure contrôle des faisceaux de canaux sémaphores
connectés localement. En cas de modification de la disponibilité d’un faisceau
local de canaux sémaphores, elle met en œuvre et contrôle les actions visant à
rétablir la disponibilité normale.
Elle fournit également des informations sur la disponibilité des canaux et des
faisceaux, à la fonction gestion du trafic sémaphore.
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4.3.2 Orientation des messages :
8 eb 16 eb nx8 eb B B 8 eb
INL > 2 I NSA I
Fanion Detection d’erreur Information NSR Fanion
A R
2 1 7 1 7
8 eb
SER
40 eb
Etiquette téléphonique
Etiquette d’acheminement
S D I
C CPO CPD S N
S S S
4 14 14 4 4
56
Octet de service (SER).
00 (0 0) International
10 (0 0) Nationnal
0 1 01 ISUP
0011 SCCP
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Structure de l’étiquette d’acheminement :
Remarque :
Le domaine SCS existe dans tous les types de messages et toujours au même
endroit.
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4.3.2.1 La fonction discrimination.
La fonction de discrimination des messages examine le CPD des messages reçus afin
de savoir s'ils sont destinés au PS hôte.
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4.3.2.2 La fonction distribution.
Remarque :
Si le PS traite à la fois le trafic national et le trafic international, le champ Domaine de
Sous Service (DSS) devra également être examiné afin de déterminer le plan de
numérotation à appliquer.
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Définitions :
- Faisceaux sémaphores. Ensemble de 1 à 16 canaux sémaphores ayant en
commun.
Deux Points Sémaphores peuvent ainsi être reliés par plusieurs faisceaux de
canaux sémaphores, leur nombre ne pouvant pas excéder 4.
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- Route sémaphore: Une route sémaphore est un des chemins possibles pour
relier deux Points Sémaphores à travers le réseau. Cette notion implique la vision
globale du réseau, et ne peut donc pas être appliquée à un PS.
2. En chaque Point Sémaphore, l'acheminement ne sera pas affecté par les routes
de message utilisées jusqu’au Point de Transfert Sémaphore concerné;
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4.3.3 Gestion du réseau.
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Les étiquettes de messages de gestion :
- bits DCBA
00 Réseau International
01 Réservé International
10 Réseau National
11 Réservé National
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Trames de Gestion réseau de niveau 3.
8 eb 16 eb nx8 eb B B 8 eb
INL > 2 I NSA I NSR
Fanion Detection d’erreur Information Fanion
A R
2 1 7 1 7
8 eb
CRT B A H1 H0 COC CPO CPD SER
4 4 4
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• Le champ COC (Code canal) est codé sur 4 eb, ce qui donne 16 canaux maxi
entre deux PS; cependant, la configuration COC = 0000 est réservée pour les cas
où le message ne se rapporte pas à un canal en particulier. Il reste donc une
possibilité de 15 canaux pour les faisceaux.
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Différents types de messages:
Fonctions H H
1 0
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a) Passage sur CS de secours
Cette procédure est destinée à détourner le trafic sémaphore transporté par un canal
défectueux, vers le ou les canaux de secours, et ce, sans perte d'information.
Le système détecte la défaillance d'un CS dans les cas suivants:
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b) Retour sur le CS normal
Cette procédure est utilisée pour ramener un trafic sémaphore provisoirement
détourné sur secours, vers son canal d'écoulement normal, après que ce dernier ait
été rétabli.
Dès que le canal normal est de nouveau opérationnel (fin de la phase d'initialisation):
• il envoie (sur le canal de secours) l'ordre à l'autre extrémité de passer sur canal
normal, et arme une temporisation d'environ 1 seconde (message RCO),
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• Cet accusé de réception parvient normalement au PS auteur du basculement avant
la fin de la temporisation; en ce cas, celui-ci, après vérification de la référence du
message, envoie son trafic sur le canal normal.
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5. Le sous Système utilisateur Téléphonique.
• Couche réseau
• Couche liaison
• Couche physique
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Le SSTM assure la distribution des messages à destination des différents sous
systèmes ; le SSUT peut ainsi être atteint directement. Les autres sous systèmes ont
recours à un bloc fonctionnel intermédiaire : le Sous système de connexion
Sémaphore (SSCS) et ce pour des raisons de conformité avec le protocole X25.
8 eb 16 eb nx8 eb B B 8 eb
INL > 2 I NSA I
Fanion Detection d’erreur Information NSR Fanion
A R
2 1 7 1 7
Les trames sémaphores de messages sont par leur INL (Identificateur de Longueur),
qui est dans ce cas supérieur à 2. L'Octet de Service (SER) couche 3 (SSTM),
d'orienter le message vers Utilisateur concerné.
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Information de H0 Etiquette
H1 H0
signalisation nx8 eb téléphonique
4 4 40
Ce message se compose :
S
CIC H0 CPO CPD
C
S
12 4 14 14
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5.2 Format des messages utilisateurs.
Ainsi, le même type de message (même en-tête), pourra ou non comporter certains
sous-domaines, qui seront dits facultatifs ; par contre d’autres sous-domaines,
obligatoires ceux-là, seront systématiquement présents dans ce type de message.
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b) Message comportant des sous-domaines facultatifs :
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Tous les messages de signalisation téléphonique comprennent en effet un en-tête
composé de deux parties :
• le code Hl, qui définit de façon plus précise la fonction à l'intérieur de cette famille.
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5.2.1 Codes d'en tête H0 (famille de messages)
1100
à Réservé à l'usage national
1111
77
5.2.2 La fonction dans la famille: exemples de codes H1.
Les types suivants de messages d'adresse émis vers l'avant ont en commun le code
H0 = 0001, et chacun est identifié par un code H1 différent.
Message Initial d'Adresse (H1 = 0001)
Message Initial d'Adresse avec Informations Supplémentaires (H1 = 0010)
Message Subséquent d'adresse (H1 = 0011)
Message Subséquent d'adresse avec un seul signal (H1 = 0100)
78
5.2.3 Indicateurs contenus dans le Message Initial d'Adresse.
79
80
5.2.3.1 Indicateur de catégorie du demandeur
bits FEDCBA
000000 origine inconnue
000001 opératrice de langue française
000010 opératrice de langue anglaise
000011 opératrice de langue allemande
000100 opératrice de langue russe
000101 opératrice de langue espagnole
000110
000111 autres langues (à définir ultérieurement)
001000
001110
à réservé
111111
81
5.2.3.2 Indicateurs de message
bits B A: indicateur de la nature de l'adresse
0 0 numéro d'abonné
0 1 réservé à l'usage national
1 0 numéro national
1 1 numéro international
82
bit H: indicateur d'appel international entrant
0 appel autre qu'un international entrant
1 appel international entrant
bit L: réservé
83
5.2.3.3 Signaux d'adresse
Ces signaux contiennent le numéro du demandé. Chaque chiffre est codé en binaire
sur 4 bits (0000 = chiffre 0 ... 1001 = chiffre 9). Le nombre de signaux d'adresse est
fourni dans le champ précédent, portant ce nom.
Le Message Initial d'adresse (MIA), est le premier message émis par le centre amont;
il contient généralement toutes les informations nécessaires à l'acheminement de
l'appel. Il doit ainsi contenir le plus de chiffres possible du numéro du demandé, avec
un minimum de 4.
Tous les chiffres du demandé peuvent même être présents dans le MIA si le centre
émetteur de l'appel en dispose au moment du passage en phase signalisation.
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5.3.2 Message Subséquent d'adresse.
Dans le cas où il reste des chiffres à émettre après l'envoi du MIA, le centre amont a
la possibilité de les transmettre dans un message à un ou plusieurs chiffres (MSS).
Ces messages subséquents doivent contenir le plus de chiffres possible pour une
bonne efficacité des échanges.
85
5.3.4 Signal d'Adresse Complète.
Ce message est émis par le centre aval lorsqu'il a pu être établi que tous les chiffres
de l'abonné demandé lui étaient parvenus:
86
• soit parce que le centre à l'origine de l'appel a renvoyé un signal de fin de
numérotation (cas de l'inter-fonctionnement avec le code R2).
Ce signal est émis dès le moment où le demandé a décroché. Il peut être du type "avec
taxation" (RAT), ou "sans taxation", suivant le destinataire. Le signal de réponse n'est
envoyé qu'une fois, lors du premier décrochage du demandé.
Dans le cas où, après avoir raccroché, le demandé redécroche avant la fin de la
temporisation de raccrochage (variable suivant les pays), un signal de nouvelle réponse
est émis par le centre aval vers l'autre extrémité. Ce signal peut être exploité par une
opératrice, par exemple.
87
5.3.7 Signal de Fin
Le signal de fin est transmis par le centre amont, afin de provoquer la libération du
circuit téléphonique entrant. Ce signal a priorité sur tous les autres signaux.
Après la libération de l'équipement entrant, le centre aval émet un signal en arrière afin
de prévenir le centre amont qu'il peut libérer son circuit sortant.
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Etablissement normal d’un appel
Central Central
A B
MIA
1) message d’initial
d’adresse
Prise de resources
2) message subséquent MSS
D’adresse
ACO
3) Adresse complete
(abonné libre avec taxation)
ALLO…(CONVERSATION)
5) Raccrochage du FIN
demandeur
89
6. Le Sous-système commande de Connexions Sémaphores.
Avec l'apparition de nouveaux services, les besoins en signalisation ont évolué très
rapidement depuis 1980, posant de façon nouvelle le problème des échanges entre
entités concernées par une transaction.
Exemple:
90
Ces nouveaux échanges d'information sont caractérisés par le fait que les
transactions ne peuvent pas être liées à un élément constant pendant toute leur
durée.
Le SSCS a donc été étudié pour assurer une fonction supplémentaire permettant le
dialogue entre deux points n'ayant aucune référence commune.
91
Le sous-système SSCS
92
93
6.2 Applications
• Service taxation téléphonique sur carte de crédit;
94
4. A la fin de la communication, le serveur transmet au Centre d'Enregistrement de la
taxation.
Pour que la communication téléphonique soit établie avec un mobile, il faut d'abord
que celui-ci ait été localisé, afin de déterminer le Centre de Commutation Mobile le
mieux placé pour écouler l'appel. (c'est à dire celui dans la zone de couverture duquel
se trouve le mobile au moment de l'appel).
95
6.3 Principe de l'établissement par le SSCS.
Ces références sont dites locales car elles ne sont pas imposées par le SSCS, mais
choisies localement par chaque extrémité, de manière indépendante; les principaux
avantages sont les suivants:
96
ANNEXES
97
98
99
FIN
100