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Chers lecteurs,

Je suis ravi de vous inviter à découvrir ce recueil intitulé « Fenêtres de la Vie ». Chaque
poète, qu’il s’agisse de Baudelaire, Mallarmé, Apollinaire, ou moi-même, offre son point de
vue de la fenêtre. À travers ses pages, préparez-vous à être transporté dans un univers ou les
regards se croisent et se conjuguent comme une symphonie de mots captivants.

Tout d’abord, chacun de ses poètes utilisent la fenêtre pour exprimer sa vision unique du
monde : Baudelaire avec une contemplation mélancolique des paysages urbains, Mallarmé
avec une ambiance SOMBRE, et Apollinaire avec une exploration de la modernité. J’ai été
captivé par la diversité de ses voix et de ses styles d’écriture.

Les Fenêtres de Charles Baudelaire de 1869, un poème en prose, est définie comme une
méditation sur la vie urbaine et la solitude l’auteur observe les scènes qui se déroule derrière
les fenêtres des maisons il fait des réflexions profondes sur la condition humaine et la fuite
du temps. Accompagnée de son illustration « L’homme à la fenêtre » de Henri De Braekeleer,
elles partagent la thématique de l’homme solidaire, contemplatif, regardant le monde
extérieur.

Les Fenêtres de Guillaume Apollinaire de 1918, écrit en vers libre sans strophes distinctes et
utilise principalement des rimes suivies et embrassées, est un poème surréaliste qui explore
qui explore les thèmes de l’impression, la liberté et la beauté. Les vers libres lui donnent une
expression artistique plus libre. Joint de son illustration « Fenêtre » de Robert Delaunay, elles
utilisent les couleurs vives qui apportent une dimension vibrante et dynamique.

Les Fenêtres de Stéphane Mallarmé de 1893, composé de 10 strophes en rimes croisées et


chaque vers est un alexandrin, fait référence à la maladie et à la mort et est rempli d’une
recherche de dépassement. Celle-ci accompagnée de son illustration « Le Vitrail »de Redon
Odilon,

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