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E
E TH = VD + RTH I soit : = VD + 2R × I
2
2R D
25 Par identification, on détermine pour les deux points :
E 2R R VS 25 mA = a × 0,7 + b et : 0 mA = a × 0,6 + b
VD (v)
0,6 0,8 Soit : 25 mA = a × 0,1 ou bien : a = 250 × 10−3 V−1
(a) (b)
Figure 1.20 Caractéristique de la diode (a) et circuit utilisé (b) et b = −250 mA × 0,6 = −150 mA
28 1 • Jonction PN – Diode à jonction Exercices 29
2R D R rD
La deuxième droite a pour équation :
I = 250 × 10−3 VD − 150 mA E
E 2R R VS R VS
Le point d’intersection est obtenu en égalisant les deux équations ce qui donne : 2
VD 6
250 × 10−3 VD − 150 mA = − +
100 100 Figure 1.23 Schéma réel et schéma équivalent en dynamique.
VD 6
On en déduit 250 × 10−3 VD + = + 150 mA Il suffit donc d’appliquer le diviseur de tension en dynamique pour trouver VS :
100 100
Les coordonnées du point de fonctionnement sont donc : (0,807 V ; 61,93 mA ) R 50
VS = × vB F = × 100 mV = 46,3 mV
2. Calcul de la résistance dynamique R + rD + R 108
Lorsque la tension E varie d’une quantité égale à ± 2 V, l’équation de la droite de
charge reste la même, il suffit de remplacer E par sa nouvelle valeur :
Exercice 1.2 Redressement et filtrage
On connaît les définitions de la valeur moyenne d’une tension périodique
E ±2 quelconque ainsi que la définition de sa valeur efficace :
= VD + 2R × I soit : 6 ± 1 = VD + 2R × I
2 1 T
Z
Valeur moyenne : U = u (t) dt et
La pente de la droite de charge reste la même, ce qui se traduit par : la droite de T 0