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Réalisé par :
L’année universitaire
2021 / 2022
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Tableau de matières :
Introduction………………………………………………P 3
Présentation De LTPS ………………………………….P 4
I) Les essais sur sable
1) Equivalent de sable ……………………...……..P 5 – 7
2) Bleu de méthylène ………....... ……………....P 8 – 11
3) La teneur en eau ………………………………..P 12 -- 13
4) Les limites d’atterberg …………………………P 14 – 17
Conclusion géniral…………………………………..….P 26
Références scientifiques ………………………………..P 27
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Introduction :
Comme nous avons reçu une formation adéquate, les superviseurs, les
responsables et tout le personnel du laboratoire n'ont pas hésité à nous aider, nous
accompagner et nous encadrer dans la conduite de nombreuses expériences liées
aux matériaux de construction.
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Présentation del’entreprise L.T.P. Sud :
LTP-Sud a été créé le 12 mars 1983 par décret
n° 83-186. En octobre 1989, il est devenu une entreprise
autonome dont le propriétaire est le Holding Public
Réalisations et Grands Travaux et en 1998, il a été transformé
en filiale faisant partie du groupe LCTP.
Champ d’action :
Le L.T.P-Sud étend son champ d’action pratiquement sur 3⁄4
de la superficie l’Algérie. Il est implanté dans les wilayat
mentionnées ci-dessous, ce qui lui permet de répondre aux sollicitations de la clientèle sur la
majeure partie du territoire national.
Domaine D’activité :
La caractéristique géologique de l’Algérie associée l’étendue du territoire fait en sorte que nos
ingénieurs sont confrontés à divers types de sol et de roc.
L’aménagement d’infrastructures requiert leur avis dans pratiquement tous types projets :
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I) Les essai sur sable :
Principe d’essai :
L'essai d'équivalent de sable utilisé de manière courante pour évaluer la propreté des
sables entrant dans la composition des bétons l'est aussi pour les sols, mais son importance est
moindre.
Cet essai consiste à séparer les particules fines contenues dans le sol des éléments
sableux plus grossier. Une procédure normalisée permet de déterminer un coefficient
d'équivalent de sable qui quantifie la propreté de celui .
La hauteur totale donne représente la proportion de sable brut dans le sable. Cette
proportion exprimée en pourcentage est appelé (E.S) : Equivalent de Sable .
Équipements :
Photo 1 : MATÉRIAUX
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Mode Opératoire :
➢ L’essai s’effectue sur un échantillon de sable humide
afin d’éviter les pertes d’argile. Il faut vérifier que les grains
de sable ont bien un diamètre inférieur à 5mm par tamisage
et vérifier que la masse sèche de l’échantillon soit de 120 .
➢ Le sable est incorporé dans une éprouvette normalisée
et préalablement remplie de solution« lavante » (Possible
d’utiliser une eau potable). L’ensemble est agité à la main
pour bien humidifier le sable et déloger les bulles d’air.
- L’humidification dure dix minutes.
➢ L’éprouvette est ensuite placée horizontalement dans un
agitateur automatique.
L’éprouvette est vibrée 25 fois.
➢ Les éléments argileux floculés sont ensuite remontés à l’aide
d’un tube plongeur qui injecte de la solution « lavante » ou l’eau
potable. Les bords supérieurs du tube sont aussi nettoyés pour que
l’ensemble de l’échantillon soit plongé dans la solution. Le tube est
plongé au fond de l’éprouvette et remonté lentement pendant
que l’éprouvette est tournée également Lentement.
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❖ Les valeurs de l’équivalent de sable trouvés sont :
• Pour le Sable calcaire : ES = 54.74%.
➢ La valeur de Es pour la marne, montre la pollution argileuse de notre échantillon.
Cela s’explique peut-être, aussi, par les fines gypseuses et calcaires qui ont causé la
faiblesse de la valeur de ES. Donc il faut compléter cette analyse par l’essai au bleu de
méthylène pour étudier la qualité des fines. Le résultat du sable calcaire montre que notre
échantillon est un matériau peu propre.
CONCLUSION :
Le sable est un élément qui joue un rôle très important dans la composition des différents
types de béton, pour ça il est conseilléd'être sélectif concernant laqualité du sable qui va
avec le béton, et qui repend aux caractéristiques requises, pour ce la on doit déterminer
l'équivalent de chaque type de sable dans les laboratoires avant l'utilisation aux chantiers.
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2) BLEU DE METHYLENE – V.B.S (Norme NF P 18-592)
Le But :
Evaluer la richesse en argile d'un sol en mesurant sa capacité d'absorptionde molécules de
bleu de méthylène.
Déterminer la quantité de colorant (bleu de méthylène) fixée par30 g de la fraction
granulaire analysée et calculer la valeur de bleu d’un sable « V.B.S. ».
Réaliser l’essai avec différentes échantillons.
Comparer les résultats obtenus et déterminer la classification de chaque échantillon.
PRINCIPE D ’ ESSAi :
L’essai au bleu de méthylène dit A LA TACHE permet la détermination de l’activité et de la
quantité de la fraction argileuse d’un échantillon.
Le dosage s’effectue en ajoutant successivement des quantités de solution de “bleu” et en
contrôlant l’adsorption au fur et à mesure Une goutte de suspension est prélevée et est déposée
sur un filtre. L’essai consiste à déterminer l’adsorption maximale obtenue lorsque la tâche est
entourée d’une auréole bleu-clair persistante.
ÉQUIPEMENT :
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Mode Opératoire :
Echantillonnage: Peser 30g granulat sableux et le mettre
dans le bécher en plastique ou verre avec 500ml d’eau
déminéralisée et 30g de Kaolinite.
TEST DE LA TACHE:
Ce test consiste à injecter, successivement des dosages précis de bleu de méthylène jusqu’à
avoir saturation des particules d’argiles.
L’avantage avec ce test est que l’instant de cette saturation peut être répété. Pour ce faire, on
prélève une goutte de liquide dans le bécher contenant le sol imbibé de bleu ; cette goute est, à
l’aide de la baguette de verre, déposée sur le papier filtre. On obtient un dépôt de diamètre
compris entre 8 et 12mm. Suite à cela, 2 résultats sont possibles :
- La goutte centrale bleue est cerclée d’une zone incolore avec ce résultat le test
est négatif.
- La goutte centrale bleue est cercle d’une zone teintée de bleu plus clair, avec ce
résultat, le test est positif.
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3. Ajout de 2 cm3 de bleu.
Deuxième phase : Au premier test immédiat positif ajout de bleu par pas fin
(2 cm3) suivi du test de la tache.
CALCULS ET RÉSULTATS :
Une fois le test effectué on exploite les résultats :
𝐕
Vbs = 𝐌
Essai 1 2
V(ml) 69 89
M(g) 30 30
vbs 2.967 2.3
Tableau 1: Résultat
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Aprèe cet essai, classification des sols :
CONCLUSIONES :
- L'essai au bleu apparaît donc actuellement comme l'essai le mieux adapté pour mettre
en évidence la présence de l'argile, qui est l'un des éléments de pollution les plus redoutés des
sables et des granulats.
- Les possibilités offertes par l'essai de bleu pour caractériser les propriétés physico-
chimiques des argiles, notamment leur aptitude au gonflement, qui est l'un des problèmes
majeurs dans la pratique de la géotechnique, valent certainement que de telles études soient
entreprises.
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3) La teneur en eau (norme NF P 94-056)
Introrduction :
Les granulats utilisés pour la confection du béton contiennent généralement une certaine
quantité d'eau variable selon les conditions météorologiques. L'eau de gâchage réellement
utilisée est par conséquent égale à la quantité d'eau théorique moins l'eau contenue dans les
granulats. Il faut par conséquent disposer de moyens pour mesurer combien il y a d'eau dans
les granulats
Princepe d’essai :
La teneur en eau d'un matériau est le rapport du poids d'eau contenu dans ce matériau au
poids du même matériau sec.
On peut aussi définir la teneur en eau comme le poids d'eau W contenu par unité de poids
de matériau sec.
Principe de la détermination de la teneur en eau :
Les échantillons de sol sont séchés jusqu’à masse constante à (105 ± 5) °C. La différence
de masse avant et après séchage sert de mesure pour la teneur en matière sèche et en eau. Ces
teneurs sont exprimées en pourcentage de masse. Lorsque le taux de matières sèches est faible
(de l’ordre de 10 %), voire très faible (5 %) (Cade certains digestes),
il est recommandé de sécher en deux étapes : d’abord de préférence à 60°C et ensuite à 105
ÉQUIPEMENT :
- une étuve de dessiccation à une température réglable
à (100 - 105 c).
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- Des coupelles, des boites de pétri, des vases à peser ou des bacs enmatériau non altérable
à l’humidité et à la chaleur.
Mode Opératoire :
1- Prélever un échantillon
2- peser boite pétri (p1).
3- Prélever un échantillon.
4- placer l’échantillon sur la boite de pétri.
5- Peser l’échantillon avec la boite de pétri (p2).
6- Mettre à l’étuve à 60ْ c jusqu’à dessiccation Photo 5 : Peser l’échantillon
CONCLUSION :
Nous avons déterminé la teneur en eau d’un sol, on a apprit aussi comment mesurer les
incertitudes sur la teneur en eau d’un sol.
Cet essai nous a permis de mieux comprendre du comportement du sol et le bien utilisé
des matériels de laboratoire.
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4) Les limites d’atterberg (Norme NF P 94-051)
Introduction :
Les limites d’ATTERBERG sont déterminées uniquement pour les éléments fins d’un sol
(fraction passant au tamis de 0,4 mm), car se sont les seuls éléments sur lesquels l’eau agit en
modifiant la consistance du sol. L’essai consiste donc à faire varier la teneur en eau de cette
fraction de sol et en observer sa consistance
Le But :
Le but de cet essai est pour déterminé les valeur suivant :
ÉQUIPEMENT:
➢ tamis de diamètre égal à 0.40mm.
➢ balance.
➢ étuve.
➢ appareil de limite d’Atterberg (boite de casagrande).
➢ outil à rainure.
➢ spatule, tares.
➢ bac de lavage.
➢ Pinceau, godets.
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Mode opératoire :
Limite de plasticité Wp
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Photo 9 : Principe de la limite de plasticité
J.M. TCHOUANINANA1999).
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Conclusion :
Nous pouvons conclure que les sols cohérents (sols fins) passent d’un état de consistance à un
autre de manière progressive en jouant sur la teneur en eau.
Plus la teneur en eau est grande, plus le nombre de coups (Chocs) est petit.
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II ) Les essais sur gravier :
(norme NF P 94-056)
INTRODUCTION :
Pour nombreux travaux de construction il est
nécessaire de
connaître certains caractéristiques des matériaux utilisés, à
ce qui concerne les dimensions et la forme des grains, etc.
L’analyse granulométrique est la première de ces
recherches et elle caractérise les granulats en déterminant
la grosseur des grains qui le constituent et les pourcentages
des grains de chaque grosseur.
le BUT :
Le but de l’essai se matérialise par plusieurs points, nous
avons entre autre
• Le dimensionnement des particules qui varie
entre 80 µm a 120 mm
• La classification utilisée pour caractériser le
grain de différente dimension.
• L’établissement de la courbe granulométrique .
Principe de l’essai :
L’essai consiste en fait a classer les différents grains constituant l’échantillon par une sérié de
tamis emboites les uns dans les autres.
Les ouvertures des ces tamis sont décroissantes du haut vers le bas. Le matériau est place en
partie supérieure et le classement est obtenu alors par vibration manuelle de la colonne de
tamis.
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Equipement :
- Une balance.
- Un tamiseur mécanique.
- Une série de tares pesées préalablement. Photo 11 : Tamiseuse mécanique
Remarque :
mode opératoire:
La quantité de matériau (sable) à utiliser pour l’analyse
granulométrique doit être assez grande pour que le matériau
soit assez représentatif et en même temps assez faible pour
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que la durée de l’essai soit acceptable et que les tamis ne soient pas saturés. On pris une
mesure de sable M= 2 kg
Conduite de l’essai :
Le sable doit être séché à l’étuve à une température maximale de 105 °C. Les tamis sont
emboîtés les uns contre les autre dans un ordre croissant des ouvertures avec un fond étanche
pour récupérer les fillers et un couvercle en haut de la colonne pour éviter toute perte de sable
pendant l’opération de tamisage
Le sable est versé en haut de la colonne de tamis qui est mise en vibration par la tamiseuse
électrique. Le poids de matériau passant à travers un tamis donné est appelé tamisât, et le
poids de sable retenu par le même tamis est appelé refus. Le temps de tamisage varie avec le
type de machine mais dépend aussi de la charge de matériau présente sur le tamis et de son
ouverture. Toute fois, on considère que
R1 Le refus cumulé du premier tamis qui est la masse du refus du premier tamis.
R2 Le refus cumulé du deuxième tamis qui est la masse du refus du tamis inférieur avec le
refus cumulé précédent,
Ri Le refus cumulé du tamis i qui est la masse du refus du tamis i avec le refus cumulé
précédent, la masse du matériau présent sur le fond de la colonne est également pesée, Le
refus cumulé à la base des tamis ainsi que le fond des tamis (fillers) doit coïncider avec le
poids de l’échantillon.
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Résultats et calculs :
Courbe granulométrique :
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Conclusion :
L’analyse granulométrique d’un sol a pour but de déterminer les dimensions des
grains qui le Constituent, par conséquent elle nous permet de connaître la nature de
notre sol.
Les pourcentages des refus cumulés ou tamisas cumulés peuvent sont représentés sous forme
d’une courbe granulométrique en reportant les ouvertures des tamis en abscisses sur une
échelle logarithmique et les pourcentages en ordonnées sur une échelle arithmétique. La
courbe est tracée de manière continue et peut ne pas passer par tous les points.
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III) L’essai sur béton :
h
2
h A1
1 =h1
- h2
Le But:
Cette expérience a pour but de connaître le pourcentage d'air dans le béton
Equipement :
- Échantillon de béton
- Tamis 150.
- Maillet.
- Règle.
- Tige de compactage de 16 mm de diamètre.
- Balance.
- Aéromètre béton 5L.
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Mode Opératoire :
1) Essuyez l'intérieur et le bord du bol doseur et le couvercle avec un chiffon humide pour
vous assurer
2) que le manomètre se ferme correctement lorsqu'il est fermé. Assurez-vous de faire le test
sur une surface plane loin des véhicules en mouvement
6) Ouvrez les robinets de votre compteur d'air en poussant les leviers en position verticale.
Utilisez le compte-gouttes pour presser l'eau dans un robinet jusqu'à ce que l'eau jaillisse de
l'autre extrémité. Vous le remplissez de sorte que le seul air présent à l'intérieur du compteur
soit l'air qui se trouve à l'intérieur du béton.
7) Chaque compteur d'air a sa propre valeur de pression initiale calibrée. Pompez de l'air dans
le manomètre jusqu'à ce que vous ayez atteint cette ligne. Vous devez pomper un peu au-delà
et utiliser une combinaison d'ouverture de la soupape de purge (ressemble à un petit bouton, et
vous entendrez de l'air sortir lorsqu'elle est ouverte) et en tapant légèrement sur le côté de la
jauge jusqu'à ce qu'elle soit stabilisée à la bonne pression initiale. N'oubliez pas que la zone de
pression initiale dépasse le zéro, alors assurez-vous de dépasser le zéro lorsque vous le
pompez.
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8) Fermez les deux robinets ou vous allez avoir un visage plein
de béton lorsque vous relâchez la pression.
Conclusion :
Cahier des charges structurel et guide de construction des planchers de garde et dalles
expliquant que la teneur en air de plus de 3% peut nécessiter un effort supplémentaire lorsqu'il
s'agit de béton que certains mélanges, ce qui conduit à un démantèlement.
Les tests de teneur en air sur le béton peuvent prévenir un problème ou être un outil de
dépannage précieux
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Conclusion géneral :
Cette formation est un vrai complément aux cours proposés, nous nous y sommes permis.
Cette formation restera une expérience très forte au niveau de notre formation.
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Références scientifiques :
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