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Violence et Sexisme (Notes Réunion 2 du 10 décembre)

La traque est une solution pour lutter contre le sexisme et le harcèlement car on arrive mieux à se
mettre à la place des autres à travers la réalité virtuelle : le ‘’joueur’’ se voit dans la peau d’une
victime et doit subir ce qu’une victime subit. A la fin on recueille le ressenti de la personne et on
l’informe sur les bonnes réactions à avoir dans ce cas. (Les expériences sont réalisées à partir des
témoignages recueillis).

La vidéo du document ‘’quand c’est un homme qui doit faire face aux questions que l’on pose à
une femme agressée’’ met un homme à la place d’une femme, afin que les personnes qui regardent
cette vidéo ont plus de facilité à adopter les ressentiments qu’une femme peut avoir dans ce cas-là.
Le but est de montrer comment une femme se sent lorsqu’on lui rejette la culpabilité et lorsqu’on ne
la prend pas au sérieux. Peut-être que lorsque la victime est un homme, plus de personnes peuvent
s’y identifier et comprendre la gravité de la situation.

Anact : ils proposent 3 niveaux de prévention du sexisme :

- Primaire : diminuer les causes du sexisme en les faisant comprendre


- Secondaire : apprendre à reconnaitre les situations à risque grâce à la sensibilisation et
formation
- Tertiaire : accompagner les victimes à travers des dispositifs d’aide

Il y a d’abord une présentation de raisons pour lesquelles les entreprises devraient prendre le
sexisme au sérieux. Ceci a pour but d’inviter les entreprises à prendre cet harcèlement au travail très
sérieux et notamment à ne pas laisser tomber les victimes, il faut malheureusement inciter les
entreprises à réagir en fonction des raisons qui les concernent directement.

De la ‘’liberté d’importuner’’ au droit de ne pas l’être :

‘’la commune des 100 femmes’’ défendent ce qu’elles appellent ‘’La liberté d’importuner’’,
indispensable selon elle à la ‘’liberté sexuelle’’. Ce qu’elles disent : ‘’Le viol est un crime. Mais la
drague insistante ou maladroite n’est pas un délit, ni ma galanterie d’une agression machiste’’.

Elles présentent des arguments tels que : Signaler cet acte veut dire enchainer la femme à un statut
de victime, et la réduit à un simple corps alors que ce n’est pas le cas. Elles se basent sur les
témoignages de certaines femmes violées pour affirmer que la femme peut finalement s’en sortir
après une expérience de viol et continuer sa vie. Elles minimisent l’effet d’un harcèlement corporel
en le comparant par exemple à la gêne occasionnée par la fumée. Elles présentent le harcèlement
comme une sorte de séduction, qui peut amener selon certaines à de belles choses, ou belles
relations.

Voici certaines de leurs idées : Le texte met en avant certaines visions des femmes appartenant au
collectif dont Catherine De Neuve fait partie, souhaitent lutter contre un féminisme qui ‘’prend le
visage d’une haine contre les hommes et de la sexualité’’. La tribune des 100 femmes dénonce
clairement ce qu’elle considère comme un enfermement des femmes dans un statut de victime.

‘’La liberté de dire non à une proposition sexuelle ne va pas sans la liberté d’importuner’’. Elles
pensent que des hommes ont été victimes d’une injustice cat ils étaient sanctionnés dans l’exercice
de leur métier, contraints parfois à démissionner alors qu’ils ont eu ‘’pour seul tort que d’avoir
touché un genou, tenté de voler un baiser, parlé de choses ‘’intimes’’ lors d’un diner professionnel ou
d’avoir envoyé des messages à connotation sexuelle à une femme chez qui l’attirance n’était pas
réciproque’’.

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