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METHODOLOGIE DU CONTROLE TECHNIQUE DE LA CONSTRUCTION

La mission de contrôle technique qui est confiée au contrôleur par le maître d’ouvrage doit
permettre d’assurer au mieux la prévention des aléas techniques susceptibles d’être rencontrés.
Pour cela, il est nécessaire d’en définir la nature, caractérisée par le choix des aléas techniques
dont la prévention est recherchée, et le domaine d’intervention, constitué par l’ensemble des
ouvrages et éléments d’équipements sur lesquels porte la mission.

Plus précisément, les parties de construction concernées sont les ouvrages de viabilité, les
ouvrages de fondation, les ouvrages d’ossature et les ouvrages de clos et couvert.

Les missions de contrôle technique se classent en une mission de base incontournable qui est celle
de la Normalisation des Risques et en des missions additionnelles ou complémentaires qui trouvent
leur nécessité selon les cas.

La mission de base M1 ou MISSION NR (normalisation de risques) porte sur la solidité des


ouvrages et des éléments d’équipement indissociables des ouvrages.

Les missions complémentaires sont variées et, dans un premier compartiment, on trouve les
missions M2, M3 et M4 qui couvrent les principaux Corps d’Etats Techniques (C.E.T) :
ƒ M2 pour l’Electricité,
ƒ M3 pour la Plomberie
ƒ et M4 pour le Chauffage et la Climatisation
.
Un autre compartiment recouvre d’autres Corps d’Etats Techniques (C.E.T) relatifs :

ƒ A la solidité d’éléments d’équipement non indissociablement liés,


ƒ Au fonctionnement des installations,
ƒ A l’Isolation acoustique,
ƒ A l’isolation thermique
ƒ A la solidité des existants,
ƒ Etc.

Quels que soient sa nature et son domaine d’intervention, toute mission de contrôle technique de
la construction doit immanquablement s’appuyer sur un(des) règlement(s).

La mission de contrôle technique de la construction se caractérise également par un processus


séquentiel de génération de Livrables.

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