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Le Prince de Central Park (titre original : The Prince of Central Park) est un livre écrit par Evan

H. Rhodes en 1974.

Jay-Jay, un petit garçon orphelin de l'âge de 11 ans, vit chez une dame nommée Ardis, qui le bat tous
les jours. Il finit par décider que sa vie doit changer. Il quitte sa maison et part faire sa vie dans le parc
de Central Park. Il trouve un chêne suffisamment sûr pour y vivre. Tout en construisant sa maison
dans l'arbre, à l'aide de planches trouvées sur divers chantiers du parc, il fait la connaissance d'une
vieille dame, Madame Miller et d'un petit chien qu'il appelle Ombre. La communication avec
Madame Miller ne se fait tout d'abord que par écriture sur le banc que Mme Miller a l'habitude
d'utiliser. Mais le danger est encore dans les parages car un jeune drogué appelé Elmo cherche jay-
jay.

À onze ans, Jay-jay décide d’effacer son ancienne identité et de renaître dans une nouvelle vie.
Orphelin, maltraité par sa mère adoptive, le jeune garçon s’enfuit de chez lui et s’installe dans
Central Park. Aux prises avec la faim et les intempéries, menacé par les policiers et par les autres
enfants de la rue, Jay-jay apprend progressivement à se loger et à se nourrir. Toujours sur ses gardes,
il est la cible d’un jeune toxicomane qui souhaite se venger de lui. Cependant, il se laisse lentement
apprivoiser par Mme Miller, une vieille dame seule qui, chaque jour, vient se promener au parc. Ce
roman explore la marge sociale new-yorkaise des années soixante-dix à travers le destin d’un jeune
orphelin habitant Central Park. La pauvreté, la faim et la violence sont une réalité quotidienne pour
ce jeune héros bien résolu à préserver sa liberté d’enfant de la rue. Avec une structure simple, le
récit s’attarde à décrire la vie quotidienne de Jay-jay, tout comme la débrouillardise et le courage
dont il doit faire preuve pour survivre dans la jungle urbaine de New York. Malgré la rudesse du
contexte social dépeint, le roman est marqué par l’humour et la douce naïveté du garçon. Celui-ci
saura par ailleurs trouver, en la personne de Mme Miller, la tendresse et l’amour qui lui font défaut.
Avec un style fluide et direct, le roman met en scène, avec sensibilité, un personnage attachant et
fragile au coeur de la métropole.

Au coeur de New York - acier, béton, asphalte -, Central Park : un havre de paix, un immense espace
vert, le domaine des oiseaux, des écureuils, de l'eau vive. C'est là que, fuyant la misère et la violence,
le petit Jay-Jay vient chercher refuge, se cacher dans les branches d'un grand chêne, puissant et
fraternel. Nouveau Robinson, Jay-Jay va bâtir là-haut une cabane, invisible aux curieux et à la police.
Il rentrera chaque soir après avoir exploré tout le jour le vaste parc à la recherche de nourriture. A la
découverte aussi d'un monde inconnu et merveilleux : les cascades du Loch, les jeux du Terrain de
l'Aventure... Mais New York est tout proche, menaçant. Et il y a Elmo, un jeune drogué, qui hait Jay-
Jay...

On s'attache beaucoup au personnage de Jay-Jay : admiration pour sa force, son courage et sa


volonté

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