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Loana Myriam - alchimie cellulaire

Le travail consiste à entrer en résonance avec la Lumière d’Origine, la ramener


dans le corps du consultant en lui faisant traverser ses couches, de l’arrière vers
l’avant et de haut en bas. De multiples programmes cellulaires sont vus et peuvent
être exhumés par ce ux vertical et horizontal de l’énergie de l’Être à travers le
corps.
Des ls de Lumière se matérialisent, servent de support et de guides grâce
auxquels les doigts entrent en connexion avec les cellules qui livrent leur histoire.

Mémoire Cellulaire.
Les matériaux qui nous composent sont issus de la Terre et de l’Univers. Notre
corps est la bibliothèque de l’histoire visible et invisible de la planète.
Nos cellules portent en elles le souvenir de nos vies présentes et passées, les
in uences, les fractures et la quête de l’Humanité.
Notre Terre appartient au cosmos, comme elle, nous sommes physiquement des
êtres cosmiques.
Notre Terre, comme notre corps, sent toute chose, enregistre tout.
Le seul attribut que nous avons de plus, c’est le choix et le droit d’agir sur la terre
avec le ciel et de devenir créateur.
« N’oublie pas d’où tu viens, n’oublie pas qui tu es… »
Le Langage de la cellule.
La cellule n’est pas seulement multiple, elle est Une. L’homme se perd dans le
multiple s’il est coupé du souvenir de la cellule unique d’Origine. Elle se multiplie
certes, grandit, se propage, mais elle naît de l’Un.
Je suis entré dans la première cellule : pour en décrire la merveille, il faudrait
utiliser des instruments de musique innombrables, des mouvements, des ondes
vibratoires, des images fractales en plusieurs dimensions, des lasers, la magie, la
poésie…
Le plus beau spectacle du monde ! La biologie essentielle…
Dans le noyau de la cellule, je vis la création tout entière, sa grandeur inattendue.
Dans la cellule, rien n’est séparé ou cassé, tout est relié, tout s’emboîte, s’épouse
dans une ambiance ine able. Sons, Lumière, mouvements respiratoires,
battements du cœur de l’Univers.
L’intérieur cellulaire est lumineux et entièrement relié à l’extérieur par des laments
de Lumière qui viennent de toutes parts et remplis d’informations.
Ce sont ces laments lumineux avec lesquels nous travaillons en alchimie, qu’il
nous faudra retrouver et parfois retisser…
La cellule est nourrie, éclairée, baignée de l’immensité du Ciel, des étoiles, ne
faisant qu’un avec. C’est une intelligence supérieure avec des programmes
lointains, des codes auxquels le cerveau n’a pas accès à cause de ses limites
actuelles. Des trames imprimées de formules alchimiques cachées, remplissent ce
monde cellulaire traversé par une autre intelligence, une science inimaginable à
l’heure actuelle pour la plupart de nos cerveaux.
Nous allons bientôt redécouvrir et redévelopper ces Lois, ces enseignements
cachés…
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L’intelligence cellulaire.
Le cerveau pense, les cellules reçoivent et émettent. Elles n’ont pas un
fonctionnement mental, elles communiquent par énergie et vibration. La cellule
parle à la cellule par des ondes, dans un langage inaudible à l’oreille extérieure qui
traverse l’espace et les âges…
Son mode de communication est inter-dimensionnel, elle perçoit par essence
même, les mondes supérieurs et des rayons supraluminiques formés en réseaux et
capte les informations de la Lumière par le moyen du sang.
Le berceau de la cellule n’est pas le ventre de la maman, c’est l’Univers !
C’est pourquoi il est bon de remettre le placenta dans la Terre, à la naissance du
bébé, a n d’inscrire par un acte conscient ce lien avec la Terre et garder la
conscience des Univers ici-bas.
En réalité, nous ne sommes pas inconscient dans le ventre de la mère. Tout est
conscient dans la cellule. L’eau permet les échanges et véhicule nombre
d’informations. C’est parce que nous nous coupons de l’univers de la cellule que
nous devenons inconscient.
Le temps est venu de nous considérer comme des entités biologiques et
spirituelles conçues pour refaire l’alliance avec les fréquences d’autres univers.
Le soleil, l’Être solaire, le Soi, est au centre de notre système psychocorporel, il en
est le noyau, le centre énergétique et organisateur.

L’intelligence cellulaire.
Le cerveau pense, les cellules reçoivent et émettent. Elles n’ont pas un
fonctionnement mental, elles communiquent par énergie et vibration. La cellule
parle à la cellule par des ondes, dans un langage inaudible à l’oreille extérieure qui
traverse l’espace et les âges…
Son mode de communication est inter-dimensionnel, elle perçoit par essence
même, les mondes supérieurs et des rayons supraluminiques formés en réseaux et
capte les informations de la Lumière par le moyen du sang.
Le berceau de la cellule n’est pas le ventre de la maman, c’est l’Univers !
C’est pourquoi il est bon de remettre le placenta dans la Terre, à la naissance du
bébé, a n d’inscrire par un acte conscient ce lien avec la Terre et garder la
conscience des Univers ici-bas.
En réalité, nous ne sommes pas inconscient dans le ventre de la mère. Tout est
conscient dans la cellule. L’eau permet les échanges et véhicule nombre
d’informations. C’est parce que nous nous coupons de l’univers de la cellule que
nous devenons inconscient.
Le temps est venu de nous considérer comme des entités biologiques et
spirituelles conçues pour refaire l’alliance avec les fréquences d’autres univers.
Le soleil, l’Être solaire, le Soi, est au centre de notre système psychocorporel, il en
est le noyau, le centre énergétique et organisateur.
Les Lois énergétiques en thérapie.
Les quatre directions :
Pour commencer tout travail alchimique, il nous faut nous centrer pour retrouver
l’axe à l’intérieur de nous. Le centre uni e les quatre directions en un seul point.
Quand nous rendons grâce aux quatre directions, nous faisons descendre une
spirale d’énergie, nous intégrons tous les plans, c’est l’énergie cosmique dans la
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structure, la quintessence, le cinquième élément ; au centre, dans l’équilibre des
quatre directions, là commence la Loi.
La Terre est notre Mère et nous devons nous souvenir de ses Lois naturelles.
Ainsi l’homme uni é peut commencer à voyager dans la matière permettant la
descente conscience à travers les di érentes trames du corps.
La permission :
Dans le travail alchimique et thérapeutique, nous devons demander l’accord de la
personne, la permission à son âme d’entrer dans son intimité : « Que désire ton
âme et ton Être pour te libérer dans ce corps ? »
La matière a une âme, car au centre de la cellule se trouve caché le souvenir
secret de l’Unité, l’âme de la matière, le germe de la nouvelle Terre sur laquelle
chacun de nous peut s’éveiller et marcher dans les temps qui viennent.
C’est pourquoi il est important, avant tout travail, de demander à l’âme de la
matière ce qu’elle veut que nous fassions pour la délivrer.
Faire grandir l’Esprit dans la matière est la première demande.
Le regard :
Le regard est très important dans la relation thérapeutique.
Quel regard portons-nous sur l’autre ? Voyons-nous le vêtement, l’intérieur, l’âme,
ce qui EST ? Avons-nous traversé l’illusion et sommes-nous passés de l’autre côté
du miroir ?
Trouvons cet autre regard qui se prolonge à l’in ni, dépassant le vêtement pour
accueillir l’Être, l’in nie grandeur de l’autre, lui permettant de vivre.
Le regard intérieur et le regard extérieur ne font qu’un.
Quelques portes du corps :
Il y a sur Terre, comme dans notre corps, des portes inter-dimensionnelles. Ces
sas nous font accéder à des niveaux vibratoires plus élevés et assureront notre
survie dans les moments di ciles. Ces lieux sont semblables à des « piles » que
nous devons remettre en action.
Les méninges par exemple, membranes du cerveau (dure-mère, pie-mère,
arachnoïde) sont les enveloppes du système nerveux en lien étroit avec le
diaphragme et le sacrum. Il y a de nombreux engrammes (génétiques, karmiques)
dans ces membranes que nous devons « décoller » pour permettre la libre
circulation des énergies.
Le diaphragme : Il fait le lien entre ce qui est en haut et ce qui est en bas. Il est en
relation synchronique avec les méninges et le périnée (Père-y-naît). Le sou e Divin
doit y pénétrer, s’ouvrir à la Lumière au travers de nos ténèbres qui seront en n
traversées pour nous rendre notre dimension Solaire.
Le nombril : Nous sommes seuls, uniques au monde, les autres ne nous
intéressent pas, nous avons un nombril !
Nous avons tendance à projeter autour de nous, sur les êtres et les situations, nos
propres représentations nombrilistes. Notre petit moi est placé au centre du
monde, il obstrue la porte du Vivant.
Le nombril n’est pas seulement le lien nourricier avec la maman, c’est un vortex,
un lieu de passage, de voyage vers d’autres dimensions. Nous ne sommes en
vérité que des voyageurs de l’espace qui pénétrons l’univers de la terre.
Tant que le cordon ancien n’est pas coupé avec notre génétique, notre être ne
peut pas venir dans notre corps ; nous n’avons pas été accueillis dans ce que
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nous sommes en vérité.
Le nombril est un lieu de passage entre les univers. D’un côté, par ce vortex, nous
sommes accrochés par le cordon ombilical qu’il faut couper à la naissance, de
l’autre nous nous décrochons par la corde d’argent quand nous mourrons.
Que voulons-nous faire entrer ou sortir par le nombril ? Que sommes-nous venus
faire dans ce « vaisseau-Terre » ? Quand l’ego se dégage de son image
personnelle pour se relier physiquement à l’énergie, nous nous libérons du nombril,
et alors « on brille » !
C’est la porte de Brahma, le Père.
Approche cellulaire :
Le travail consiste à entrer en résonance avec la Lumière d’Origine, la ramener
dans le corps du consultant en lui faisant traverser ses couches, de l’arrière vers
l’avant et de haut en bas. De multiples programmes cellulaires sont vus et peuvent
être exhumés par ce ux vertical et horizontal de l’énergie de l’Être à travers le
corps.
Des ls de Lumière se matérialisent, servent de support et de guides grâce
auxquels les doigts entrent en connexion avec les cellules qui livrent leur histoire.
Les images, les émotions, les sensations, inscrites par delà le temps, les codes et
les informations spatio-temporelles contenus dans les trames, sont délivrés et mis
en conscience.
Ce travail de réactualisation de l’Être dans le corps à travers la Terre, permet un
nettoyage cellulaire des trames, qui sont retissées, pour former un nouveau
canevas invisible.
Car, le corps biologique est inscrit dans des trames invisibles qui parcourent la
Terre tel un canevas dans lequel la Réalité se xe.
Ce canevas relie par les corps subtils, tous les individus entre eux ; tout ce qui se
fait dans le Corps Alchimique peut être perçu par des milliers de gens.
Celui qui touche la trame alchimique peut recevoir les messages et les codes de
l’Univers.
Tout cette pratique doit se faire dans un grand respect de l’individu, comme si
nous entrions dans un Temple.
Pour cela, nous devons éveiller nos sens internes, la sensibilité de notre corps au
monde invisible par l’intelligence cellulaire.

+33 6 01 79 35 89

contacts@universterre.com
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