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Je viens à cette conférence ce soir avec un lourd fardeau que j'ai porté toute la

journée. Je ne
porte pas ordinairement de lourds fardeaux, car il dit que son fardeau est léger. Mais
mon fardeau est légitime. Ceux d'entre vous qui sont impliqués dans le ministère
d’adoration, dans vos diverses
églises, vous êtes conducteurs de louange et d’adoration, Ou musicien dans un
groupe, Je veux que chacun de vous m'écoute ce soir. Je veux vivement vous
encourager à prendre des notes
de ce dont nous allons parler ce soir. Le titre de notre message est : adorer Dieu à
nouveau ; il y a
tellement de choses que j'ai reçues du Seigneur à ce sujet. Je veux me concentrer
sur les clés qui nous permettent de recentrer l'objet et le sujet de notre adoration.
Le message de ce soir est
probablement le message le plus sérieux que j’ai donné jusqu’ici, vu qu’il est à
propos de Dieu.
Tout est à propos de Dieu. Ce soir, nous allons parler de Dieu d'une manière inédite.
Le thème
de cette conférence a jailli de mon cœur, dans mon bureau, lorsque j’étais assis
avec notre directeur
de louange. Je pense que c'était par frustration. Vous savez, J'ai été incubé
spirituellement
dans le ventre de l’adoration. J'ai commencé à jouer du piano à l'âge de quatre ans.
Mon père
est ici ce soir. Il a 80 ans. Il se souvient de moi quand j'étais petit, marchant vers ce
grand vieux piano dans un magasin qui se trouvait en face de chez nous. J’en
tapotais les touches,
et Je me souviens d'avoir appuyé sur l’une d’elles un jour, juste pour m’amuser ;
soudainement, je
connaissais d’avance le son de l'autre note avant de la toucher. Quand j'ai appuyé
sur la touche en
question, c'était le son que j'avais entendu dans ma tête ! J’ai également reconnu le
son de la note
suivante. J’ai réalisé que quelque chose s'était passé en moi. J'ai découvert un don
qu'on appelle
l'oreille. L'oreille est la capacité d'entendre les sons dans la musique et de leur
donner un sens avant de les jouer. Ainsi, si quelqu'un fredonnait un air, je pourrais
aller au piano lui
jouer cet air exactement comme il l'a fredonné, sans formation formelle en musique.
C'est ce qu'on appelle un don. J’ai commencé à accepter ce don et, à l'âge de sept
- huit ans, je jouais du
piano comme quelqu'un qui avait pris des cours. Adolescent, à 13 ans, j'ai donné ma
vie au
Seigneur ; Je voulais connaître Dieu car j'avais beaucoup de questions sur Lui à
l'adolescence. À 14 ans, j'ai commencé à avoir une passion, un désir de connaître
Dieu. J'ai de ce fait commencé
à lire la Bible. Lire la Bible à l'adolescence a probablement été la chose la plus
conséquente que j'ai faite dans ma vie, vu que la seule façon de connaître Dieu,
est de le connaître. La seule
façon de connaître Dieu, est de lire ses pensées. Je ne savais pas à l'époque, que
la Bible était la pensée de Dieu sur papier. Ce n'est pas seulement la pensée de
Dieu à propos de vous, du monde et
de la création ; c'est la pensée de Dieu à propos de lui-même. Si vous voulez savoir
qui Dieu est,
et comment il est, il est essentiel de lire la Bible. Je l'ai lue en entier à l’âge de 15
ans.
Je me souviens d'avoir été confus lorsque je la lisais, mais je voulais connaître Dieu.
Je pense
que ce qui m'a inspiré à lire à l’adolescence était mes parents. Je voyais mon père
et ma mère,
constamment en train de lire ce livre. Ma mère n'est pas avec nous, elle est décédée
il y a quelques années de cela. Or, il y a une image de ma mère qui reste dans
mon esprit depuis tout
petit, celle d’être continuellement allongée sur le lit avec la Bible. Elle la lisait en
permanence ; je me levais le matin pour aller à l'école, elle la lisait ; je revenais de
l'école,
elle la lisait ; je me demandais même si elle travaillait ; pourtant elle travaillait ! Elle
devait laver les vêtements de onze enfants, leur faire la cuisine avant qu'ils rentrent
de l'école. Elle travaillait. Cependant, chaque fois que je la voyais, elle lisait la
bible.
Mon père était enseignant, il l’est toujours d’ailleurs, il prêchait l'Evangile en tant
que pasteur associé ; il lisait sans cesse la Bible ; il était à la maison, en train de se
préparer,
et je voyais cette image de lui assis à table, la lisant ; j'ai grandi avec ce désir, je me
disais,
s'ils connaissent Dieu, si c'est de cette manière qu’on le connait, je veux le connaître
comme ils le connaissent. Je vais faire ce qu’ils font. Je pense que c'est une
prodigieuse leçon à retenir
pour les parents : en aucun cas dire à un enfant de faire quelque chose que vous ne
faites pas vous-même. Mes parents ne nous disaient pas de lire la Bible, ils la
lisaient. C’est ce que
nous voyions. À 15 ans, je l'ai lue en entier ; je n'en comprenais pas grand-chose,
néanmoins,
j'ai commencé à en apprendre un peu plus sur Dieu. L’engagement que j'ai pris
envers moi-même dès l'âge de 15 ans, jusqu’à ce jour, est de la lire en entier au
moins une fois par an. Cela
fait 37 ans cette année que j'ai été sauvé, que je suis engagé envers le Seigneur et
que j'ai reçu
l'Esprit Saint. J'ai en conséquence lu ce livre 36 fois ; je le relis encore cette année,
cela fera
37 fois. Je ne comprends toujours pas ce livre, ceci dit, je le comprends mieux
qu'avant ! Je
vais dans cette direction ce soir, parce que je veux que vous appréciiez le fait que
notre session de ce soir porte sur comment adorer Dieu. Votre idée de l’adoration
n’est pas de l’adoration. Vous
devez connaître Dieu pour l'adorer. Vous ne pouvez adorer que dans la mesure où
vous connaissez quelqu'un. Moins vous en savez sur une personne, moins vous
pouvez l'adorer. Je vais vous montrer
cela ce soir, d'une manière rudimentaire. Je vais aussi vous démontrer pourquoi
nous n’adorons pas
Dieu. La plupart des gens n'adorent pas Dieu. Moi-même j’ai du mal encore à
réellement adorer
Dieu ; l'adoration de Dieu est extrêmement simple, tout en étant insaisissable. C'est
pourquoi,
même ce soir, lors de cette conférence sur l’adoration, vous avez du mal à adorer
Dieu.
Laissez-moi commencer par un concept simple : la personne que vous connaissez
le plus
est celle que vous appréciez normalement sans problème. Il m'arrive de regarder les
athlètes à la télévision parfois, lorsqu’ils sont interviewés par les médias après un
match,
que ce soit de foot, de basket, de tennis, peu importe ; ils disent tous la plupart du
temps,
"Je veux remercier ma mère". Ils ne parlent pas beaucoup de leurs pères ; je
suppose que pour la plupart dans cette salle c’est pareil; vous parlez beaucoup de
votre mère, ou de la personne
qui a accompli ce devoir maternel dans votre vie ; c'était peut-être une tutrice, une
tante ou peut-être un grand-parent ; quelle que soit cette personne, c'est celle qui
était le plus avec vous,
celle qui a pris le plus soin de vous, celle qui semble être tout le temps là,
constamment
disponible, qui vous aide sans relâche, c'est celle dont vous parlez le plus. Quand
cette
personne mourra, vous verrez que c'est la personne que vous laisserez le plus
difficilement partir. Quand quelqu'un vous pose des questions sur votre avenir, vos
réalisations ou votre succès,
vous vous référez normalement à cette personne. La raison en est que votre niveau
de connaissance de
cette personne est supérieur à celui de toute autre personne de votre vie. Autrement
dit, nous faisons référence à la personne qui est devenue la personne la plus
connue de notre vie,
car on pense aux bonnes expériences avec elle. Nous apprécions ceux qui ont
beaucoup fait pour nous. Pour certains d'entre vous, ce n'est pas votre mère
biologique qui occupe cette
position dans votre vie, c'est peut-être même votre père. Pour d’autres, c'est
quelqu'un qui a décidé de vous encadrer peut-être, qui a décidé de consacrer du
temps, des efforts à vous former,
et vous avez commencé à aimer cette personne, vous en parlez même beaucoup.
En réalité, la personne
que vous connaissez le plus est celle dont vous parlez le plus. On devine
généralement, qui a le
plus contribué à votre vie, par la personne dont vous parlez le plus. Votre
connaissance des gens
détermine votre facilité à les apprécier, à en faire les éloges, à les reconnaître.
Le premier principe sur lequel je veux me concentrer est l'attrait du moyen. Je vais
vous conduire sur les raisons pour lesquelles nous n’adorons pas Dieu, bien que
nous pensions l’adorer. Je pensais que j’adorais Dieu, parfois, je pense encore
l’adorer alors que je ne l’adore
pas ! Adorer Dieu est extrêmement compliqué, tout en étant terriblement simple.
Notez ceci. Il n'y
a rien de plus tragique dans l’abus du temps, de l'énergie et des ressources, que de
faire
du moyen, la fin. Je veux que tout le monde se concentre sur la parole ce soir.
Pensez à ce dont
nous parlons. Je veux que vous, les jeunes, vous, les danseurs, Pasteurs et
ministres, hommes et
femmes d'affaires, je veux que vous y réfléchissiez. Rien n'est plus dangereux que
de faire du moyen, la fin ; vous perdez du temps, vous gaspillez de l'énergie, vous
gaspillez des
ressources lorsque vous faites du moyen, la fin. Deuxième point. Le plus grand
problème que le
Créateur ait avec l'humanité, est son obsession avec le moyen plutôt que la fin. Je le
répète,
Le plus grand problème que le Créateur ait avec l'humanité, c'est-à-dire vous, est
l’obsession
que vous et moi avons, avec le moyen plutôt que la fin. Autrement dit, le problème
que Dieu a avec
l'homme, est que ce dernier est perpétuellement préoccupé par le moyen de faire
une chose, plutôt que par la finalité de cette chose. Je crois que c'est la raison pour
laquelle Dieu m'a
un peu aidé, dans la petite connaissance que j’ai à propos du dessein ; vous voyez,
le dessein a à voir avec la fin. C’est pourquoi j'ai eu beaucoup de mal quand j'étais
jeune adolescent ; j'ai de
tout temps voulu savoir le pourquoi de quelque chose. J'ai entendu mon père
raconter une histoire à mon sujet il y a quelques semaines, lors de la fête de mon
anniversaire. Je ne savais pas qu'il
pensait cela de moi ; je ne l'avais jamais entendu dire cela auparavant. Il a dit qu’on
l’avait interviewé un jour à mon sujet et il a dit : « Myles était celui qui, dans la
famille, démontait
sans cesse les choses. Tout ce qui arrivait chez nous, il voulait le démonter parce
qu’il voulait savoir pourquoi et comment ça fonctionnait » Je ne m’en rendais pas
compte, toujours est-il que
c'est vrai. Je suis encore comme ça. Je suis le genre de personne à constamment
demander à Dieu,
pas ce qu’il fait, mais pourquoi il le fait. C’est peut-être pour cela que Dieu a décidé
par sa volonté souveraine, de me donner un petit aperçu du concept du dessein ; le
dessein est la
découverte de l’explication, le résultat final. Je ne veux pas que vous manquiez cet
enseignement ce
soir, il est crucial pour vous et moi, car nous sommes des experts du moyen,
seulement, nous
n’arrivons que rarement à la fin. Je vais faire une petite supposition ici ; peut-être
que 90 % de
ce que vous appelez adoration, n’est que le souci du moyen. Si nous avons de la
chance, j’utilise
le mot chance ici, Dieu pourrait nous permettre d'avoir 10% d’adoration un jour, une
fois par
mois, ou deux fois par an. Le reste, c'est de la callisthénie. Nous nous amusons
dans le
processus plus que nous n'avons d’adoration pour le Dieu pour lequel nous activons
ce processus.
Histoire vraie. Je suis allé rendre visite à un pasteur ; j’avais prêché dans son église
un jour,
et il m'a emmené chez lui. Il avait trois voitures dans son garage. Deux d'entre elles
étaient des voitures anciennes de collection. Une de ces voitures avait, je ne sais
pas,
50 ans. L'autre était un peu plus vieille. C'était des voitures onéreuses. Elles étaient
d'une
propreté impeccable. On pouvait manger du moteur. Tout brillait. Tout scintillait.
Chaque pièce
chromée était étincelante, les bougies étaient encore neuves. Il avait des voitures
anciennes
qui valaient plus de 100 000 $ chacune. J'ai dit : "vous faites quoi avec elles ? Oh,
rien dit-il, je
les ai juste ici. J'aime les voitures anciennes » "Quel gâchis !" Il a continué en
disant : « chaque
mois, je passe quelques heures à les nettoyer pour les dépoussiérer, enlever toutes
sortes de taches,
m'assurer que c'est en permanence comme ça ». J’ai dit : "Waouh, tu passes des
heures et tu
ne les conduis à aucun moment ? Il a dit non, on ne conduit pas les voitures
anciennes ! j’aime
tout simplement les avoir. » La plupart d'entre nous sommes comme cela. Nous
faisons briller,
nous faisons étinceler l’adoration, néanmoins, nous ne l’utilisons pas
nécessairement pour
le dessein pour lequel elle a été créée. Je suis sûr que l’intention des
constructeurs, des fabricants de cette voiture n’était pas de la voir garée comme un
trophée n’est-ce pas ? Quel
est le but des voitures ? les conduire. C'est pourquoi le fait d'avoir dix voitures n'a
aucun
sens. Même si vous avez l'argent pour les acheter, les avoir n'a aucun sens pour
Dieu, vu que le
but d'une voiture est d’être conduite, pas d’être regardée. Nous passons des heures
à les nettoyer,
les polir, les faire briller, les cirer, et nous ne les utilisons pas ; nous n'arrivons
en aucun cas à la fin. Le moyen est devenu plus grand que la fin. Cet homme a dit ;
je
ne conduis pas les voitures, j'aime juste les regarder, les nettoyer, les faire briller,
les cirer. En d’autres termes, le processus de les rendre belles me satisfait. J'aime
simplement
les regarder et dire : c'est ma voiture ! Ecrivez ce point : lorsque le moyen devient
plus important que la fin, le dessein échoue. Lorsque votre chanson devient plus
importante que
celui à qui vous la chantez, toute l'expérience d'adoration échoue. J'ai déjà goûté à
la présence
de Dieu. Je sais quel goût ça a. Quand je dis goûter, je parle de l'expérience de la
présence
authentique de Jéhovah. Je ne suis pas sûr de ce que c'est. Je ne pourrais pas vous
dire ce
qu’est cette présence. Je ne pourrais pas vous la décrire. Tout ce que je sais, c'est
quand elle n'est pas là. Plusieurs fois, j’en ai fait l’expérience. Il n'y a pas grand-
chose à dire,
pas grand-chose à faire, parce qu’on ne soudoie pas Dieu pour qu’il se manifeste.
Certains pensent
qu'il est facile de corriger cela. Ça ne l'est pas. D’autres pensent connaître la
réponse à cela,
ce qui n’est pas le cas ; moi-même, je n’en connais pas les réponses. Pourtant, je
sais une chose, si le moyen devient plus important que la fin, dans ce cas-là le
dessein
entier de l’exercice du moyen échoue. Le processus devrait nous mener au
dessein,
sans jamais devenir le dessein lui-même. Ce n'est pas facile. Nous sommes des
millions à
adorer le processus. Le processus est devenu notre dessein. Avez-vous déjà
entendu ceci ? j'ai rempli
mes obligations ! je suis allée à l’église, donc j'ai rempli mes obligations ! C'est une
mentalité qui est réelle dans cette pièce en ce moment. Je suis déjà allé à l'église,
dans ce cas,
je vais aller jouer au golf maintenant. Je vais aller nager. Je vais aller déjeuner. Je
vais aller à une fête ; je vais regarder la télé. Pourquoi ? j'ai déjà rempli mes
obligations ! Nous avons
par conséquent cette idée que ce processus est le dessein. Que Dieu se soit
manifesté ou non, n'est
pas primordial pour nous. Ce qui est fondamental, c'est que nous sommes passés
par ce processus, quel qu’il soit ; pendant deux heures, nous avons rempli nos
obligations envers lui,
peu importe qui ce Lui est, car nous ne l'avons même pas rencontré, Il n'est pas
venu, toujours
est-il que nous avons rempli nos obligations ! Et nous sommes heureux, du moins,
nous sommes
fiers d'avoir assisté à ces deux heures. Nous considérons que c'est un
accomplissement : j’ai
tenu jusqu’à la fin du culte ! la mentalité que nous avons est : j'ai survécu à ces deux
heures,
je l’ai fait, à présent Seigneur, j'espère que tu seras satisfait, qui que tu sois, Je
sais que tu n'es pas venu, par contre, moi j'ai fait ma part ! le processus est devenu
le dessein.
Nous ne venons pas à une réunion pour rencontrer Dieu, nous venons à une
réunion pour avoir une
réunion. La réunion elle-même est devenue le but. Mon cœur te recherche O Eternel.
Mon corps soupire
après toi, dans une terre aride, desséchée, sans eau. Mon âme a soif de toi dit
David.
Quand le processus devient plus significatif que le but, l'idolâtrie est créée. Quand
plus
de valeur est placée sur le moyen que sur la fin, le moyen devient une idole. Ce
pasteur avec cette
voiture dans ce garage est un idolâtre. Le fait que cette voiture remplisse son but
ne l’intéresse pas. Avoir la voiture lui suffit. C'est devenu une fin en soi. Il adore
donc cette
voiture. C’est fondamental. Tout ce sur quoi vous accordez le plus de valeur devient
une
idole. Même si c'est une danse, une chanson, une batterie, une guitare ou un solo.
C'est pourquoi
je vous dis que l'adoration est ardue. Vous pensez que c'est simple. Je suis assis ici
ce
soir et j'écoute de la musique. C’est tout ce que j'entends ! J'entends des musiciens
jouer des instruments. Je ne sais pas pour qui ils jouent. Je ne blâme personne. Je
veux que
vous compreniez pourquoi Dieu a permis cette conférence. Il s'agit d'adorer Dieu à
nouveau,
pas adorer le processus d'adoration de Dieu. Toute adoration autre que Dieu est de
l'idolâtrie. C'est
une déclaration simple, mais combien puissante. Je le répète. Toute adoration autre
que Dieu est de
l'idolâtrie. Cela peut inclure votre petit copain, votre petite amie, votre conjoint, vos
enfants,
votre fils célibataire, votre fille unique que vous considérez comme un cadeau du
ciel ; ça peut
être votre travail ou vos deux emplois qui ne vous donnent même pas le temps
d'adorer Dieu ! Tout ce
qui a plus de valeur que Dieu est une idole. Cela inclut la chanson que vous
chantez, la danse que
vous dansez, l'instrument que vous jouez. Vous pouvez être tellement habité et
obnubilé par votre
rendu, que vous n'avez pas le temps de le donner à Dieu ! cela devient la fin.
L’activité que vous
appelez adoration est éternellement un moyen ; en aucune circonstance la fin. Et
Dieu déteste
l'idolâtrie. Nous n’avons pas à nous étendre là-dessus, n'est-ce pas ? Si vous allez
sur votre ordinateur, je l'ai fait ce matin, que vous tapiez le mot idole sur votre
programme biblique,
et que vous appuyiez sur Rechercher, il n'y aura pas assez de place sur la page,
pour le nombre de références que vous trouverez dans la Bible. Il y en a des
milliers ! sur chaque page où vous trouverez des idoles, Dieu les déteste toutes !
Qu'est-ce que
l’idolâtrie ? l'idolâtrie est le fait de rendre quelque chose plus précieux que Dieu.
Lisons le
Psaume 78 verset 58 qui dit : ils l’irritèrent par leurs hauts lieux. Ils excitèrent sa
jalousie
par leurs idoles. La Bible nous apprend à ne pas nourrir la jalousie. En fait, l'un des
péchés que
Dieu dit détester est la jalousie. Pourtant, Dieu lui-même devient jaloux ; d’une seule
chose. Dieu
n'est jaloux de rien d'autre. J'ai fouillé les Écritures, vous ne trouverez nulle part, une
chose
dont Dieu soit jaloux, Sauf cette seule chose : l’idolâtrie. Dieu n'est en aucun cas
jaloux de
votre demeure. Pourquoi ? elle lui appartient ! il n'est pas jaloux de votre apparence,
pourquoi ? il
vous l'a donnée. Il n’est pas jaloux de votre argent, pourquoi ? tout cela lui
appartient, même celui que vous pensez avoir. Tout ce que vous pensez être une
source de jalousie pour Dieu,
est pouf à ses yeux, ce n’est rien du tout. A part cette seule chose. Qu’est-ce ?
l’idolâtrie.
Je vais définir l'idolâtrie pour vous, étant donné que la plupart d'entre nous, sont
idolâtres ; même nos responsables de louange sont des idolâtres. Quand je dis,
nous, je parle de moi aussi. C’est une lutte ! Esaïe 44, verset 9 dit : ceux qui
fabriquent des
idoles ne sont tous que vanité. Et leurs plus belles œuvres ne servent à rien. 34.00
Dieu
dit : les choses sur lesquelles vous accordez de la valeur, ne valent rien. Tout ce
que vous croyez être plus précieux que Dieu est une idole, ça ne vaut rien.
Remarquez le mot valoir,
worth en anglais. La racine du mot est la même que le mot adoration en anglais,
worship. Dès lors, quand vous dites worthless en anglais, c’est-à-dire sans valeur,
vous dites en
fait, que cela ne vaut pas la peine d'être adoré. Tu es digne de recevoir la gloire et
l'honneur et
la puissance et la domination et la louange pour des siècles et des siècles, car toi
seul est digne
d’ouvrir le livre. Le mot valeur est dangereux. L’adoration est déterminée par la
valeur. Vous
n’allez en aucune circonstance adorer ce qui n’a pas de valeur pour vous. Tout ce
qui a plus de valeur qu’autre chose devient une idole. Dieu dit, même les idoles sur
lesquelles vous avez attribué
de la valeur, ne valent rien. Est-ce pour cela que Dieu n'écoute pas votre chanson ?
avez-vous
rendu la chanson plus essentielle que celui dont elle parte ? Il est possible que vous
soyez si absorbé par l’éloquence de vos prières, que vous ne réalisez pas qu’il n’y
a pas prêté l’oreille.
Parfois, nous sommes plus soucieux des mots que nous utilisons dans notre prière,
que par celui
que nous prions. En ce cas, il ignore la prière, pour la simple raison que l'activité est
devenue
plus décisive que le but, le sujet, l'objet de la prière ; c'est complexe. Encore une
fois,
je viens avec un fardeau ; nous luttons tous avec cela. 1 Jean, chapitre cinq, verset
21,
j'aime ce verset qui dit, Enfants, gardez-vous des idoles. C’est l'une des phrases les
plus courtes
de la Bible, mais c'est une phrase complète. Chers enfants, faites quoi ? Gardez-
vous des idoles. Dites-le encore. Enfants, gardez-vous des idoles ; faites quoi ?
Gardez-vous ; comment restez-vous
éloigné d'elles ? vous devez les surveiller en permanence parce qu'elles n’ont de
cesse d’essayer de se faufiler. C'est pourquoi un jour, vous pouvez avoir une
grande expérience avec Dieu
et le lendemain, c’est comme s’il n'est pas là ; quelque chose a pris plus de valeur.
Certaines
des expériences que nous avons eues durant l’adoration ont été merveilleuses. Par
la suite, nous essayons de trouver 10 raisons différentes pour lesquelles les
suivantes ne l'étaient pas.
Faites attention quand vous essayez de blâmer les gens, : toi tu n’as pas bien
chanté, les musiciens n'avaient pas le bon esprit, cette personne a une mauvaise
vie…. Toutefois,
si nous commençons à le faire, il faut qu’on vous inclue dans l’affaire ! Comme par
exemple, le fait
que vous soyez arrivé en retard ! En vérité, vous devez continuellement faire
attention, surveiller, pas ce que vous faites, mais à qui vous le faites ! Ça c'est
compliqué. Par exemple,
Vous voilà en train d’essayer d'apprendre les paroles d’un chant. Vous êtes déjà
distrait, n’est-ce pas, puisqu’il vous faut vous concentrer sur les paroles de cette
chanson ; ce qui fait
que vous ne pouvez pas vraiment la chanter à celui dont elle parle, vous ne la
connaissez pas encore ; ça c’est déjà un souci dans un culte d'adoration. J’ai dit
une chose à mon responsable
de louange il y a des années, quand j'ai commencé à le former, même si
occasionnellement, ils ne m'obéissent pas ; je lui ai dit : Écoute, il y a une chose
que tu dois faire sans relâche.
Assure-toi que lorsque tu entonnes un chant, tout le monde peut le chanter ! il y a
une
chose qui attirera sempiternellement Jéhovah : c’est qu’on on s’accorde ; pas un
accord,
qu’on s’accorde. Autrement dit, tout le monde doit être sur la même page. Ça
n’arrivera pas si les
gens marmonnent parce qu’ils ne connaissent pas la chanson, et vous êtes le seul à
être heureux de la chanter. Vous avez pour ainsi dire une désunion ; or, l’une des
choses que Dieu attend
est que toutes les trompettes soient une, que les tambourins soient un, que les
chanteurs soient un,
à ce moment-là vient la Shekina. Vous ne devriez à aucun moment, chanter une
chanson avant que
tout le monde ait accès aux paroles ou qu'il la connaisse. C’est fou n’est-ce pas ? je
parle ici
du culte collectif ici. Nous savons que si vous chantez un solo, c’est censé être votre
chanson
personnelle à Dieu. Ceci dit, La plupart du temps, nos solos sont des performances
pour les gens. Et Dieu ne se manifeste pas. Pourquoi répétons-nous ? c’est une
bonne question
à se poser. Vous devriez peut-être réfléchir à la raison pour laquelle vous répétez. Il
est possible
que vous répétiez, en raison du fait que vous soyez plus préoccupé par ce que les
gens pensent, que de présenter à Dieu quelque chose de qualité. Votre chanson
dès lors, est encore devenue une
idole. Votre performance est devenue votre idole. Par conséquent, le moyen a repris
la place de
la fin. Que devez-vous faire ? vous gardez de ce genre de choses. La façon dont
vous vous habillez
quand vous venez pour diriger l’adoration, peut devenir une idole. Vous devenez
plus soucieux de
votre coiffure, que de celui qui vous a donné les cheveux ! Imaginez que vous
arriviez en retard, pour la simple raison que vous étiez plus occupé à vous donner
bonne allure, que par
le fait d'être à l'heure pour Dieu. Dans le livre de l'Exode, on y trouve des détails
captivants.
Faites bien attention. Dieu dit à Moïse : dis au peuple, que demain à trois heures, eh
oui,
Dieu a donné l’heure, j’irai à leur rencontre sur telle montagne, barricade-la et dis-
leur de venir
à trois heures ; dis-leur de laver leurs vêtements ; il lui a dit comment ils devaient les
laver, où ils devaient se tenir. Il a Tout dit. Il a donné tous les détails. Imaginez être
en retard à
un rendez-vous pour adorer Dieu, du fait que vous auriez trouvé quelque chose de
plus intéressant à faire ? cela se produit tout le temps. Enfants gardez-vous des
idoles. La malédiction de
l’idolâtrie est fascinante. Je vais vous montrer. Lisons ce verset. Exode 20 : 3-6. Soit
dit en
passant, il y a des milliers de versets sur les idoles, vous devez lire vos propres
versets pour vous remettre dans le contexte ; voici ce que Dieu dit sur les idoles
dans ce verset puissant.
Il dit tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face. C'est passionnant. Le premier
commandement
est un commandement de jalousie. Vous pouvez en comprendre la raison. Alléluia.
Écrivez le mot
Dieu. Peut-être que nous devons parler de Dieu pour que vous compreniez pourquoi
Dieu avec D
majuscule, a un problème avec dieu d minuscule. Le mot Dieu n'est pas un nom. Le
mot Dieu est
un titre. Que signifie ce titre ? Premièrement, il signifie autonome. Deuxièmement, le
mot Dieu
signifie autosuffisant. Troisièmement, le mot Dieu signifie celui qui est.
Quatrièmement, le mot Dieu
signifie, Celui qui subvient aux besoins. Quel mot ! Chaque fois que nous utilisons le
mot Dieu,
nous disons toute cette liste de choses. Relisez ce premier commandement, que dit-
il encore ? Il
dit que vous ne devez donner à personne d'autre le mérite d'avoir tout créé et de le
faire subsister.
Il dit n’accordez pas le mérite de tout ce qui existe à quoi que ce soit d’autre. C’est
ce
que ce verset signifie. Personne d'autre ne sera identifié comme étant la source de
toutes choses.
Si vous faites cela, dit-il, vous aurez enfreint le premier commandement de la vie.
Regardez le
verset 4, le commandement suivant : Tu ne te feras point d'image taillée, ni aucune
ressemblance de
ce qui est dans les cieux en haut, et de ce qui est sur la terre en bas, et de ce qui
est dans les eaux au-dessous de la terre. C’est à dire, ne donnez pas plus de
valeur à tout ce que j'ai créé
qu'à moi. Je reviens au pasteur avec la voiture ; Dieu a des soucis avec cet homme.
Mon petit ami a
dit qu'il ne voulait plus que j'aille à l'église ; dans la mesure où j'aime mon petit ami
plus que le fait d'adorer Dieu, je vais arrêter d’aller aux réunions, je passerai du
temps avec mon copain que
j'aime. Vous voilà en conséquence avec une idole à domicile. C’est simple ; ça
arrive tout le temps.
J'ai besoin d'un deuxième emploi, pour pouvoir nourrir ma famille. Je vais prendre
un autre travail ; je travaille le jour, je dors quelques heures, je vais travailler le soir,
puis je
m'affale le matin. Je suis trop fatigué pour aller aux réunions de prière et
d'adoration ; je ne peux plus assister aux cultes régulièrement, ce que la Bible dit
de ne pas négliger, du fait que je doive
subvenir aux besoins de ma famille. Que signifie le mot Dieu déjà ? Celui qui
subvient aux besoins.
Imaginez abandonner votre subsistance pour trouver une subsistance. Nous le
faisons tout le temps.
Regardez le verset cinq : Tu ne t'inclineras point devant elles, et tu ne les serviras
point ; car
moi, l'Eternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui visite l'iniquité des pères sur les
fils,
sur la troisième et sur la quatrième génération de ceux qui me haïssent. Pouvez-
vous concevoir haïr
Dieu ? Dieu dit que la façon dont tu prouves que tu me hais, est de donner plus de
valeur à tout
autre chose que moi, y compris ta chanson pour moi. Le mot haïr est un mot
horrible. Pouvez-vous
concevoir haïr Dieu ? Noonnn, nous aimons Dieu ! Il a dit que tout ce qui est plus
digne que moi
peut vous amener à me haïr. Savez-vous ce qu’est le premier commandement de la
loi ? Jésus l’a dit
n’est-ce pas ? cet homme est venu à lui avec une question ; Vous connaissez la
question. Il a dit : quel est le plus grand commandement de la loi ? Jésus a dit oh
c’est facile ça ! Il a
dit Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu de tout, c’est à dire, vous n'avez plus rien qui
reste
pour quoique ce soit d’autre, ton cœur, de toute ta pensée, de toute ton âme, et de
toute ta force.
Il ne reste rien pour personne d'autre. Il a dit que c'était le premier commandement.
Ne laissez rien venir s'interposer entre Dieu et vous ! Même votre adoration de Dieu.
Dieu
dit : je maudirai vos enfants, si vous rendez votre voiture, votre conjoint, votre
travail
ou votre chanson plus conséquents que moi. Je pense que nous confondons, je
m’inclus là-dedans,
le fait de passer du temps ensemble à parler de Dieu, avec celui d’adorer Dieu.
Nous confondons
les deux car nous disons : nous avons passé du temps ensemble aujourd'hui, à
chanter, à danser, à taper des mains, à citer des versets et tout le reste ; Nous
l'avons fait étant donné que c'est
une fin en soi. Nous avons passé un bon moment. Mais qui a passé un bon moment
? nous ! oublions
si ce fut le cas pour Dieu ou pas, Nous avons passé un bon moment ! vous avez
raison, le processus vous a satisfait ; ou devrais-je dire que vous êtes satisfait du
processus ? j’ai rempli
mes obligations. Que Dieu ait pitié de nous tous ! Permettez-moi de passer à un
niveau supérieur. La
création contre le Créateur. 50.17 Tel est le défi. Est-ce que j'aide quelqu'un ? je
veux que
vous compreniez cette fondation ; si nous ne comprenons pas cela, nous allons
continuer à adorer l’adoration ! c'est pénible de passer des heures à essayer de
trouver Dieu, sans pouvoir
le trouver ! David dit Mon âme a soif de toi, mon corps soupire après toi ! N’êtes-
vous pas fatigué
de ne pas trouver Dieu ? N’en avez-vous pas assez d'être en sa présence absente ?
Cette conférence
ne porte pas sur les chansons que vous écrivez, ni les chorales dans lesquelles
vous répétez, plutôt sur le fait de savoir si la chorale chante pour lui, si les
chansons sont pour lui plutôt
qu’un instrument pour vous rendre célèbre ! il doit y avoir un équilibre, une petite
ligne de
démarcation. Pourquoi écrivez-vous une chanson ? Vous devez vous poser cette
question. Quand la
création devient plus dominante que le Créateur, il en résulte une adoration mal
placée, et la
création de l'idolâtrie. Le Point numéro deux est que La plus grande tentation de
l’expérience
humaine, est l'élévation de la création, la distraction par la création, et l’obsession
pour
la création plus que pour le Créateur. C'est notre plus grand problème en tant
qu'êtres humains. Mesdames et messieurs, laissez-moi vous dire ceci. Ne vous
sentez pas mal, ce n'est pas nouveau. Vous
savez, quand Dieu a parlé aux enfants d’Israël, il a dit, je vais vous faire sortir
d'Égypte,
et je vous bénirai ; je vous emmènerai dans un pays rempli de quoi ? De lait et de
miel ; c’est-à-dire que vous allez avoir une belle vie. Le lait représente le bétail, le
miel les
fruits ; ça peut par conséquent être un pays où il y a de l'agriculture et un bétail
magnifique ; à
cette époque, la richesse se mesurait par le bétail. Il a dit je vais vous rendre
riches, prospères, nantis. Écoutez Dieu ! Dieu sait ! Il connaît le problème. Il rajoute
: quand
vous deviendrez riche… pourquoi a-t-il inclus cette phrase ? Quand vous deviendrez
riche,
dit-il : "N'oubliez pas le Seigneur. Pourquoi ? Parce qu'il y a cette bataille entre la
création
et le Créateur. Vous priez pour que Dieu vous donne un travail. Dieu vous a donné
un travail. Vous cessez soudainement d'assister aux cultes. Vous ne venez plus
aux réunions de prière. Vous
ne lisez plus la Bible. Vous n’avez plus le temps pour tout ça puisque vous devez
aller à ce boulot. Dieu a pourtant dit : prends gare, je vais te bénir avec ce travail,
seulement,
quand tu l’auras, n'oublie pas le Seigneur ! Il y a une bataille n’est-ce pas ? c'est la
plus grande
tentation. Vous vous achetez une nouvelle paire de chaussures, vous les portez au
Rotary Club, au Key
Club, au Club Kowana, et dans tous autres types de clubs ; Vous allez un peu
partout avec elles, cependant, vous êtes trop occupé pour venir adorer Dieu avec,
alors que c’est lui qui
vous les a données ! La valeur de toutes choses est donnée par le créateur de cette
chose. C’est
une déclaration remarquable. Quand j'ai compris cela, j'ai tremblé un peu. La valeur
de tout ce
qui existe, est dans le créateur. Combien ici ont déjà acheté un produit ? Avez-vous
déjà acheté
un produit que vous trouviez excellent ? quand il a mal tourné, vous avez essayé de
contacter l'entreprise qui l'a fabriqué, la réponse fut que l'entreprise a fait faillite ?
qui a déjà
vécu ça ? Comment vous êtes-vous senti ? Tout d'abord, vous vous êtes senti
abandonné. Vous vous
êtes senti impuissant, vous vous êtes retrouvé avec quelque chose qui ne valait plus
rien. On retrouve encore ici cette déclaration qui est capitale ; la valeur d'une chose
est donnée par
le créateur de cette chose. En d'autres mots, tout ce qui existe, a autant de valeur
que la source
qui l'a créé. Si cette source se retire de cette chose, elle perd sa valeur. Elle est
sans valeur.
Je pense que lorsque vous achetez quelque chose dont le coût est élevé, vous
devriez vous poser
la question suivante : "Depuis combien de temps cette entreprise existe-t-elle ?
quelle est sa viabilité ? pourquoi ? Vous êtes sur le point d’y investir beaucoup
d'argent. Vous ne voulez pas
qu'une entreprise fasse faillite deux ans après l'achat, et vous voilà coincé avec un
produit qui ne peut être réparé. Combien ont un ordinateur en ce moment, dont on
ne fabrique plus certaines
pièces ? J'en ai un. Cet ordinateur ne me sert à rien. L’entreprise a mis la clé sous la
porte,
je ne peux contacter personne ! quelqu’un d’autre loue le bâtiment ! ça n’a plus de
valeur ! Je
dis cela pour une raison. Vous et moi, ferions mieux d’adorer Dieu ; si nous ne
l’adorons pas,
quoi que nous adorions, cessera d'être soutenu par Dieu ; vous finirez avec une
idole sans valeur.
Il dit que vos idoles n'ont pas d'yeux, elles ne peuvent pas voir ; Dieu se moque de
nous ici. Il
dit : vos idoles ont des oreilles, mais elles ne peuvent pas entendre ; vos idoles ont
des bouches, mais elles ne peuvent pas parler, vos idoles ont des pieds, mais elles
ne peuvent pas marcher. En
d'autres termes, quoi qu'elles fassent, je dois le leur faire faire, et vous m'oubliez ??
Cela arrive
tout le temps. C'est Dieu qui vous a envoyé à l'université. A présent, vous êtes
diplômé,
vous êtes rentré chez vous, vous avez démarré votre petite entreprise, seulement,
vous êtes trop occupé pour adorer Dieu. Dieu vous coupera l’herbe sous le pied ; il
appelle cela une malédiction. La
source est plus importante que la ressource. Nous ne devrions en aucune
circonstance, nous préoccuper de la ressource au détriment de la source. Nous
devons constamment reconnaître la
source, remercier la source pour la ressource. Écoutez attentivement. C'est
probablement le
cœur de tout l'enseignement. L'adoration n'est pas censée être quelque chose que
vous avez du mal à faire. Je vous le dis, mes amis, la raison pour laquelle nous
n'adorons ni ne louons Dieu,
est que nous ne connectons pas la source à la ressource. Ce que nous faisons,
c’est essayer de manipuler la source à différents moments. Ce qui me brise le
cœur,
c'est que nous avons ce que nous appelons des majorettes à l'église. Une
majorette est un responsable de la louange. Ça me brise le cœur. Que font les
équipes de louange et
d’adoration ? on les a formés à forcer les gens à louer Dieu ! même si vous êtes
sympa,
je ne peux pas le dire plus gentiment que ça ; les gens viennent à l’église sans
chanson, sans hymne, sans voix, sans louange tandis que Paul a dit : avant de
venir ; en d’autres mots, Paul a
découvert quelque chose qui a généré une chanson avant le début de la réunion. Si
vous venez sans
adoration ou louange déjà sur vos lèvres, Vous êtes un idolâtre. La raison pour
laquelle vous
avez tant de peine à lever les mains ou à chanter, même lorsque les pom-pom girls
essaient de vous le
faire faire, et je vois bien que les majorettes sont parfois fatiguées, elles se
débattent, elles vous disent sans cesse : levez les mains, dites Alléluia…mais on
ne devrait en aucun cas avoir à
vous dire de faire ci ou de dire cela ! pourquoi ? votre problème est que vous n'avez
pas encore
connecté la source à la ressource ; lorsque cette connexion a lieu, vous chantez tout
le temps,
vous louez tout le temps, sa louange sera toujours dans votre bouche. Le seul
moyen pour que cela
se produise, est d’avoir cette conscience que tout ce que vous êtes, tout ce que
avez, aurez,
avez eu ou possédez, est à lui ! Cela ne peut pas arriver s’il n’y a pas cette
connexion. La louange
devrait être le résultat naturel de la conscience de la source de la ressource que
vous possédez.
Alléluia. Vous n'avez pas connecté Dieu à la robe que vous portez. C'est pourquoi
vous ne chantez
pas ! En vérité, Vous auriez dû chanter quand vous avez vu cette robe pour la
première fois dans le
placard. C'est censé être naturel : Seigneur, regarde ce que tu m'as donné. Le
mouton duquel la
laine est venue pour confectionner cette robe que je vais mettre sur mon corps, est
ton mouton. Ce fil qui orne cette robe est issu de la laine d’un mouton. C’est ton
mouton. Si vous y réfléchissiez
un instant. La robe qui vous recouvre, le rend digne ; vous devez lever les mains et
dire : merci
pour cette robe. Votre problème, est que vous ne connectez pas les deux. Vous
pensez que
votre argent a acheté cette robe ; votre argent, celui de votre travail, de votre patron,
de votre
entreprise. Voilà que vous venez avec la robe à l’église, et les pom-pom girls
s'épuisent pendant
30 à 40 minutes, à essayer de vous faire lever la main ou ouvrir la bouche pour
remercier la source,
tout ça Parce que vous n’avez pas connecté la robe à la source ! Quand vous vous
réunissez,
Paul dit que chacun vienne avec un cantique, un chant, un chant spirituel, une
langue ; le parking
devrait dores et déjà être plein de bruit de gens qui se dirigent vers l’église ; ce bruit
dans le
parking est celui de gens déjà connectés, qui connectent leur voiture à la source ! Le
minerai
qui a servi à fabriquer les voitures provient de la montagne qu'il a créée ! l’essence
vient du sol ou il a mis du pétrole ; le caoutchouc vient de l’arbre qu’il a créé…vous
savez bien que ça ne
vient pas de vous, dans ce cas-là, remerciez-le ! Vous n’avez besoin de
l’encouragement de personne ! Vous devez connecter cette voiture à la source.
Combien coûte votre voiture ? le
problème c’est qu’on ne remercie Dieu qu’une seule fois, une fois qu’on a la
voiture, ; vous devriez le faire à chaque fois que vous vous asseyez dans cette
voiture ! n'oublie aucun de ses bienfaits.
Quand nous reconnaissons la source, l’adoration commence. La reconnaissance de
la source est
le début de l’adoration. A moins que vous ne reconnaissiez, vous ne pourrez pas
adorer. Chanter
n'est pas adorer. Applaudir n'est pas adorer. Applaudir est censé être un
comportement naturel
suite à la réalisation d'une chose ; c'est censé être une réaction naturelle
déclenchée par quelque
chose que vous avez découvert. C'est pourquoi j'ai commencé cette session en
disant, que vous ne pouvez adorer que ce que vous connaissez. Seulement ce que
vous connaissez de Dieu
déterminera comment vous l’adorez. Vous ne pouvez pas adorer ce que vous ne
connaissez pas. Peu
importe à quel point vous pensez être spirituel. C'est la raison pour laquelle Dieu
permettra que vous connaissiez des ennuis, pas pour vous faire du mal, mais pour
continuer à se présenter
à vous à différents niveaux, par différents moyens, afin que vous ayez plus de
matière
pour l’adorer ! quand David écrivait une chanson, ce n'était pas pour le
divertissement. Lisez les
psaumes : toutes les chansons de David ne sont que le fruit d'une expérience avec
Dieu. Il a
dit : j’ai tué ce lion. Dieu m'a donné la capacité de tuer ce lion. Il a commencé à
célébrer la
crédibilité de la source, pour cette expérience. Il en a écrit le psaume 48 : L'Eternel
est grand,
il est l'objet de toutes les louanges, Dans la ville de notre Dieu, sur sa montagne
sainte. 2Belle est la colline, joie de toute la terre, la montagne de Sion ; Le côté
septentrional, c'est
la ville du grand roi.3Dieu, dans ses palais, est connu pour une haute retraite. J’ai
couru vers lui
et il m’a délivré ; pourquoi ? j'avais des ennuis, j’ai dû m’enfuir et j'ai expérimenté ce
nom ! Dieu
vous fait traverser des épreuves pour se présenter à vous, afin que vous ayez plus
de matière pour
lui accorder plus de valeur. Plus la situation que Dieu vous fait traverser est
d’envergure, plus
vous lui accordez de la valeur. J'essaie de vous faire comprendre quelque chose.
C'est pourquoi
vous ne pouvez pas adorer au-delà de ce que vous savez de Dieu, ; vous ne pouvez
pas inventer des
choses sur Dieu, il doit y avoir une rencontre ! Avez-vous déjà entendu des gens
dire cette
phrase ? « Si vous le connaissiez, comme je le connais, à ce moment-là vous le
loueriez, comme je
le loue ». En d'autres termes, vous ne pouvez pas le louer à ce niveau vu que vous
n'avez pas encore
eu ce niveau de problèmes. Et ils ont raison !! Vous ne pouvez pas appeler Dieu
libérateur, si vous n’avez à aucun moment eu besoin de délivrance. C'est pourquoi
vous pouvez chanter
une chanson que quelqu'un d'autre a écrite, sans que cela ne devienne une
adoration, pour la simple
raison que vous chantez le témoignage de quelqu'un d'autre qui témoigne dans un
livre, ou un livre de cantique ; cela n’est pas connecté à vous. Oh quand le bateau
de cet homme a chaviré, qu'il a
perdu sa famille, que les vagues l'ont submergées, qu’il a été sauvé, Il a écrit la
chanson Amazing
Grace ! Cette chanson est sortie d'un homme qui a perdu sa femme et ses enfants !
Vous devez perdre
quelque chose pour chanter cette chanson. Vous devez perdre quelque chose pour
dire "amazing grace" grâce merveilleuse. J'ai perdu mon logement, mais je suis
encore là ; grâce
merveilleuse, quelle douce voix ! or, vous n’avez jamais rien perdu, c'est juste une
chanson,
ça devient un moyen de faire passer le temps du culte. Me comprenez-vous ? La
valeur de votre
Dieu est déterminée par la connaissance de votre Dieu. Vous ne pouvez pas adorer
au-delà de la
connaissance du Dieu que vous adorez. C'est pour cette raison que vous ne pouvez
pas adorer des idoles parce qu'elles ne peuvent pas voir ; vous ne pouvez pas
dire : cette idole a vu pour moi, Je
la remercie d’avoir vu ; c’est pour cela que Dieu est en colère ; vous accordez une
valeur erronée à
quelque chose qui n’agit pas. J'aime ce que Dieu a dit à Elie : dis-leur d’apporter
tous leurs dieux.
Il a dit : Je veux que tu leur dises de bâtir un autel, et toi bâtis m’en un aussi. Verse
sur le
mien énormément d'eau. Pourquoi ? je vais te montrer que leurs dieux ne peuvent
pas agir.
Le problème avec nous les adorateurs, est que nous oublions ses bienfaits. Vous
dites : oh,
le Saint-Esprit n’est pas dans ce culte, je ne sens pas l’onction. Je vais vous dire où
est le problème. Ce n’est pas l’absence de Dieu. Vous avez simplement oublié d’où
il vous a sorti ! vous
savez vous-même comment vous étiez ? vous buviez, vous fumiez, vous aviez des
mœurs légères ; vous
aviez des fréquentations douteuses, vous alliez dans des endroits peu
recommandables, vous savez ce qui n'allait pas, vous le savez ! David dit au
psaume 103 " bénis l'Eternel, Mon âme et fais
quoi ? n'oublie aucun de ses bienfaits " C'est lui qui fait quoi ? qui pardonne toutes
tes iniquités,
Qui guérit toutes tes maladies;4C'est lui qui délivre ta vie de la fosse; Qui te
couronne de bonté et de miséricorde; Il a fait quelque chose pour moi ! votre
adoration doit
venir de votre expérience. Dieu exige l'adoration. Quand j’ai lu cela, j’ai trouvé cela
incroyable.
Dieu appelle chaque homme à l'adorer. Dieu appelle actuellement 6,7 milliards de
personnes à l'adorer
lui seul. Exode, chapitre 8, verset 1 dit : " L'Eternel dit à Moïse : Va vers Pharaon, et
tu lui
diras : Ainsi parle l’Eternel : Laisse aller mon peuple, afin qu'il me serve. 2Si tu
refuses de le
laisser aller, je vais frapper par des grenouilles toute l'étendue de ton pays. Voici
une menace de
Dieu. C'est du lourd. Regardez le mot Eternel. Il commence par une majuscule.
C'est comme cela que
l’on se réfère à Dieu dans les écritures. Le mot Eternel signifie propriétaire. Relisez
le
verset et mettez le mot propriétaire à la place. Celui qui possède tout dit. Le
propriétaire a dit
à Moïse, va dire à Pharaon, il m’appartient lui aussi n’est-ce pas ? Voici ce que le
propriétaire dit : " Dites à Pharaon, que le propriétaire de tout, y compris de
l'Égypte, a dit : "Je veux que
le peuple vienne et reconnaisse d'où tout vient. C’est un ordre puissant. Il a dit :
"Écoute, quoi
qu'il se passe en Égypte, ils ne m'en accordent pas le mérite. Le problème avec toi
Pharaon, c'est que tu t'es appelé Dieu. Tu as fait croire à ces gens que j'ai déjà
choisis, que tu as pourvu à
leurs besoins. Comment ce peuple est-il arrivé en Égypte ? à cause d’une famine ;
ils étaient
affamés et ils sont allés en Égypte. Je les ai nourris. A présent ils pensent que
l'Égypte
est leur source. Ils m'ont oublié. Prêtez une attention particulière à tout ce qu'il va
toucher.
Il frappe tout ce qui touche à l'économie. Il a dit : Pharaon, si tu ne les laisses pas
partir de toi-même, je vais détruire ce qu'ils pensent être leur source. Tout d'abord,
je vais
vous envoyer des sauterelles. Elles vont dévorer toute la récolte ; après, je
changerai l’eau en
sang. Cela signifie que rien ne poussera. Ensuite, j'enverrai des mouches. Elles vont
anéantir toute
la récolte pourrie et en décomposition. J’enverrai enfin la mort qui tuera tous les
garçons qui
sont censés être la force de la famille, celle qui devrait replanter la récolte. Es-tu prêt
à
les laisser partir sur le champ ? savez-vous quelle a été la réponse de Pharaon à la
fin de tout ça ? Allez servir votre Dieu. Pharaon a baissé les bras ! Mesdames et
Messieurs. Chaque
fois que Dieu vous appelle, Il vous appelle pour l'adorer. Qu’est-ce qu’adorer ? le
reconnaître
comme la source. Savez-vous pourquoi Dieu vous enlèverait votre travail ? savez-
vous pourquoi Dieu vous immobiliserait ? vous courez tous les jours en faisant du
jogging, de l'exercice,
en mangeant bien, tout d'un coup boum, une maladie ; vous dites : j’ai tout fait bien,
je prenais mes
vitamines… Dieu dit : Oui, mais tu vois, je dois te rappeler qu'il y a des choses dans
lesquelles
tu ne me reconnais pas ! Rien ne peut vous faire adorer Dieu plus vite qu’un lit
d'hôpital. Du
coup, vous achetez toutes les cassettes, tous les livres, vous voulez voir Jimmy
Swaggart ou quiconque d’autre tous les jours, vous voulez adorer adorer adorer…
tout d’un coup vous voulez
Dieu ! Dieu dit : ne me laisse pas envoyer les mouches pour venir te chercher ;
découvre de
suite, ce que j'ai fait, ce que je fais, ce que tu sais que je pourrais faire pour toi et
commence à
me remercier immédiatement. L’adoration ! 1.20 Finalement, prenons Exode 4 : 23
qui
dit : Je te dis : Laisse aller mon fils, il parle à Pharaon, il appelle son peuple mon
fils pour qu'il me serve ; si tu refuses de le laisser aller, voici, je ferai périr ton
fils ; ton premier-né. Dieu est-il dur ? Tout ce qui lui fait concurrence pour la
crédibilité
est condamné d’avance. Adorer Dieu à nouveau signifie simplement, le reconnaître
à nouveau
comme la source de tout, que rien de ce que vous faites pour lui n'est plus
substantiel que lui,
y compris votre adoration. Vous avez rarement réellement chanté une chanson.
Nous chantons par
les chants. Nous ne chantons pas véritablement la chanson. Oh, Lord you are
beautiful. Je crois que
c’est une chanson difficile à chanter, si vous n'avez à aucun moment vu sa beauté !
n'est-ce pas ? C'est comme si vous chantiez à propos de quelqu'un que vous
n'aviez jamais vu. Le feu Keith
Greene, qui a écrit cette chanson, était un juif qui s'est converti, et qui est devenu un
chrétien
puissant. Je l'ai rencontré à l’Université d’Oral Roberts, il était oint. Keith Green, a
raconté un soir comment il a écrit cette chanson lors d'un concert au Mabee Center
à Tulsa. Je me
suis dit : tu ne peux pas chanter cette chanson à moins d’avoir ce qu'il a. Oh,
Seigneur, que tu es beau ! Nous le disons. Seulement, nous n’y sommes pas
connectés. Pour nous, ce ne sont que des mots.
Je voudrais que vous vous arrêtiez un instant, que vous pensiez au lieu où vous
avez vu sa beauté. Et
si vous pensiez au moment où vous étiez sur le point de vous effondrer ? il a à ce
moment-là envoyé quelqu'un ou quelque chose qui vous a sauvé de quelque
chose, et vous avez dit "Quelle belle
solution". C'est ça la beauté de Dieu. Désormais, vous pouvez chanter cette
chanson Oh, Seigneur,
que tu es beau ! Le médecin a dit qu'il y avait une grosseur quelque part. Après la
prière, il est revenu et a dit : je ne la trouve plus. N’est-ce pas magnifique ? Dès
lors, vous pouvez chanter Oh,
Seigneur, que tu es beau ! ça ne devient un chant que si vous passez par cette
expérience. Comme
vous ne pouvez pas le lui chanter, vous ne chantez qu’à son sujet. Je pense que
c'est le bon moment
pour clore la réunion. Combien d'entre vous ont entendu la voix de Dieu ce soir ?
vous a-t-il
parlé ? Vous a-t-il repris ? Waouh. Eteignez les lumières dans la salle, laissez juste
les lumières
des écrans. Je crois que Dieu a rendu l'Arche de l'Alliance sombre, pour que les
prêtres ne
voient rien d'autre. Je vais le redire. Je crois que Dieu a fait du saint des saints, la
pièce la
plus sombre de la terre ; Elle était couverte de peaux de blaireaux, de chèvre, de
différents bovins. Elle était sombre ! la seule chose qui illuminait cette pièce était la
gloire Shekina.
C’était le cœur de l’adoration. Quand les lumières sont allumées, cela vous incite à
regarder votre
voisin, les gens autour de vous, vous regardez un peu partout. Je crois que c'est
pour cette raison
que Dieu éteint parfois toutes les lumières de votre vie. Vous pensez qu’il fait
sombre. Ce qu'il fait en fait, c'est essayer d’établir une relation personnelle. Qui ici
a traversé
une période sombre ? personne ne pouvait vous aider. Vous voilà allongé à l'hôpital,
le docteur
dit : ça s’est propagé partout, nous espérons que vous allez vous en sortir. Peu
importe la quantité
de lumière dans la pièce à ce moment-là, Il y fait sombre. Tout ce que vous pouvez
dire, c'est Dieu !
Vous savez, c'est extrêmement facile d’adorer ; pour adorer, c'est une révélation, je
sais de quoi
je parle, c'est du Saint-Esprit. Pour adorer, vous devez d'abord revenir en arrière.
Vous ne
pouvez pas sincèrement adorer Dieu tant que vous ne revenez pas en arrière, pour
vous souvenir de ses bienfaits. Toi tu es avocat n’est-ce pas ? te souviens-tu du
jour où tu ne pouvais pas payer ce
semestre de La première ou troisième année ? tu devais prier pour cela ! voilà que
tu as oublié. A
l’heure actuelle, je suis diplômé. J’ai ouvert mon cabinet ; Dites, Seigneur, je veux
juste te dire
merci. Vous souvenez-vous de quand vous étiez locataire ? En ce moment, vous
êtes propriétaire.
Vous avez votre propre voiture ? pourtant, vous aviez l’habitude de prendre le bus.
Certains
ont oublié les minibus qu’ils prenaient, et Dieu vous dit : tu sais quoi, c’est moi qui
t'ai fourni
cette voiture. Vous essayez sans cesse de trouver une raison. Vous dites à l'équipe
de louange de
vous édifier, de vous gonfler à bloc. Dieu dit : Mon âme, bénis l’Eternel. Pourquoi ?
n’oublie
aucun de ses bienfaits. Car il a fait quoi ? il a guéri tes maladies. Il a rassasié de
biens
ta vieillesse. Je suis comme vous. Je dois me souvenir. Je sais que les gens sont
fatigués de
m’entendre parler de Banes town ma ville natale, seulement, c’est la source de mon
adoration.
J’ai pris une décision la semaine dernière quand j'étais à Trinidad. J'ai dit qu’en
rentrant chez moi, j’allais me rendre là où se trouvait notre maisonnette sur South
Street. Je compte le faire
ce week-end. Je vais aller voir la propriété où je dormais par terre, Je vais me
souvenir de la cabane, je vais en faire un croquis. J'ai un diplôme d'art. Je vais
peindre cette maison,
et la mettre dans ma résidence actuelle. Je ne veux pas oublier ce bienfait. Je veux
la regarder
tous les jours, dire à Dieu, Seigneur, c'est de là que tu m’as sorti ! Je vais prendre
mon appareil
photo avec moi, prendre une photo de mon ancienne école située en haut de la
colline appelée Western
prep school. Je vais l’agrandir car je veux me souvenir d’avoir marché sur cette
colline avec mon petit pantalon vert, que nous lavions tous les jours. Je veux voir
cette école. Pourquoi ? parce
qu’à l’heure qu’il est, je conduis une Jaguar, je ne veux pas oublier que je devais
marcher jusqu'à
cette école. Quelqu'un se souvient-il de ses bienfaits ? Regardez le costume que
vous portez,
croyez-vous que vous l’avez eu toute votre vie ? Vous êtes médecin actuellement,
c’est le Seigneur qui vous a soutenu. Avez-vous tous été sauvé toute votre vie ?
Vous devez venir avec tout ça,
Sinon, nous ne ferons que chanter des chansons. Fermez les yeux et rendez visite à
votre passé.
Nous espérons de tout cœur que ce message changera votre vie,
n’oubliez pas de le partager pour qu’il en change bien d’autres. Merci de nous
soutenir en vous abonnant à notre chaine et que Dieu vous bénisse
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