3-L'idolatrie Deguisée

3ème
Edition
Compilé par SIA Hamadou, étudiant à l’IBAM et chercheur en Théologie Moderne.

THEME : Le Christianisme actuel est –il d’origine divine ou satanique ?
Chers lecteurs,
La rédaction de ce petit fascicule s’inscrit dans le seul dessein de tirer l’humanité des ténèbres
spirituelles vers la lumière éternelle.
Il étale au grand jour des « Vérités » difficilement acceptables par ceux qui baignent dans le
suivisme et l’obscurantisme.
Nous déconseillons à cet effet, sa lecture à toute personne allergique à la Vérité !!!.
Nous nous excusons ensuite auprès de nos lecteurs du style employé, qui, nous en sommes
persuadés, est loin d’être académique. Mais, nous l’avions ainsi fait dans le seul but qu’il soit à
la portée du commun des mortels.
« Et dit : « La Vérité (Islam) est venue et l’Erreur a disparu car l’Erreur est destinée à
disparaître ». Sourate 17 V 81 Page 2
INTRODUCTION……………………………………………………………………4
I. L’égarement des Chrétiens quant à la véritable nature de Jésus……………………….6

II. Cinq critères décisifs………………………………………………………………….15
III. Le culte chrétien : enseigné par Dieu ou une inspiration purement satanique………..19
IV. Quelques techniques pour répondre à un Chrétien…………………………………...33
V. Blasphème de la Bible à l’égard de certains Prophètes et de Dieu …………… ........38
VI. Réponses à Gerhard Nehls……………………………………………………………42
VII. Témoignages inédits …………………………………………………………………48
CONCLUSION…………………………………………………………55
L
ouanges à Allah, Seigneur Incontesté et Incontestable. Louanges à Celui qui nous a
guidé vers la Vérité. Que Son Salut soit sur tous Ses Prophètes auxquels nous ne
faisons aucune distinction.
Que Sa paix soit sur la meilleure des créatures MOUHAMMAD IBN ABDALLAH, sur ses
fidèles compagnons ainsi que sur tous ceux qui se tiendront sur cette voie aussi claire que la
lune du 15ème jour. Qu’Allah nous compte parmi ceux-ci.
Chers frères et sœurs en foi, l’heure est venue pour nous de vous fourni une fois encore, par la
grâce du Tout Puissant, un véritable repas spirituel par le biais de cette présente œuvre.
La rédaction de celle-ci a un double objectif :
- Inculquer à tout Musulman conscient cette certitude : en dehors de l’Islam, tout est voué à
la perdition et à errance comme nous l’enseigne si bien Allah : « Et quiconque désire une
religion autre que l’Islam, ne sera point agréé, et il sera, dans l’au delà, parmi les
perdants » (S3 V85) ;
- D’avertir sérieusement tout Chrétien (s’ils nous lisent), que Jésus n’a pas été envoyé vers les
Burkinabé et leur salut qu’ils prétendent cherché chaque jour est ailleurs comme Jésus lui-
même le dit si bien : « Le Jour où le Fils de l’homme(Jésus) sera assis sur le trône de sa
gloire, vous qui m’aviez suivi(les disciples de son époque), vous serez de même assis sur
douze(ses douze apôtres) trônes pour juger les douze tribus de la maison d’Israël »
(Mathieu 19 V28) et : « …je n’aie été envoyé qu’aux brebis perdues de la maison
d’Israël » (Mathieu 15 V24).
Nous leur invitons à réfléchir sur tous les contours de ce qu’ils appellent la religion de Jésus.
Comme il est connu de tous, Dieu (exalté soit Son Nom), dans Sa grandeur infinie, a envoyé
124 000 Prophètes ; ces derniers qui ne devraient prêcher que Son Unicité de sorte à tirer
l’humanité vers Sa religion.
Ou encore, faudrait-il que nous rappelions encore une fois qu’il n’y a jamais eu plusieurs
religions provenant de Dieu (exalté soit Son Nom)? Il n’y a eu, pour ceux qui l’ignorent, qu’une
seule religion que Dieu a révélée à l’humanité, mais celle-ci eut plusieurs dispensations
prophétiques dans le temps et dans l’espace. D’ailleurs, la présente édition dont le titre et le
thème en disent long sur le développement qui s’en suivra, tournera autour de cette
affirmation : « Il n’y a pas trois religions dans le monde, il n’y en a que deux : Dieu et
Satan. C'est-à-dire l’obéissance aux vouloirs de Dieu ou la rébellion à Sa législation. ». Ce
qui voudrait, de prime abord dire, que le culte du fils d’Adam, soit il y a reçu un ordre de la part
de Dieu (exalté soit Son Nom), soit c’est le Diable en action qui l’y a poussé.
Cette question épineuse se pose : « L’adoration dont nos Coreligionnaires chrétiens
s’adonnent tant émane t-elle de Dieu ou tout simplement une machination de Satan le
méprisé ? ». C’est ce que nous tenterons, avec l’assistance de Dieu, d’apporter une réponse qui
satisfera, espérons-le, plus d’un chercheur de vérité.
Accrochez-vous solidement donc à votre chaise, ou du moins au fascicule, et qu’Allah nous
guide durant ce périple. Sur ce, ………….
Bonne lecture.
I. Rétrospective sur la question de la divinité de Jésus.
Nous rappelons aux frères Chrétiens qui nous suivent –lisent- en ce moment, que nous ne
sommes pas là pour fausser leur foi, encore moins pour blesser leurs sentiments. Mais nous
sommes tout simplement là pour nous rappeler car le Coran nous enseigne que le rappel profite
aux croyants. Donc, ceci étant, il faut que nous nous rappelions de temps en temps surtout que
vous êtes sans ignorer que l’oubli fait partie de la nature de l’homme.
Nous disons ceci –pour commencer le thème donc-, sans avoir peur d’être contredit par
quiconque, qu’il n’y a aucun verset dans la Bible (même la Bible actuelle), qui conférerait à
Jésus (Que la paix de Dieu soit sur lui) le droit à la Divinité : aucun verset.
Mais, que s’est-il passé ? : Dieu, dans Son dernier Livre (le Coran), nous a prévenu
qu’après le passage des Messagers, la malheureuse des créatures (Satan) est venue pour
détourner les gens du droit chemin.
Sinon, Jésus (Que la paix de Dieu soit sur lui) lui-même n’a nulle part enseigné de telles
doctrines. Ce sont les hommes, instrumentalisés par la plus misérable des créatures (Satan) qui
ont injustement conférés à Jésus le droit à cette Divinité.
Voyons de plus prêt, avec des preuves bibliquement vérifiables, que nos confrères s’adonnent à
un culte non rémunéré par le Tout Puissant. Car, on le dit souvent, « mieux vaut frire le poisson
par sa propre graisse. »
Mais avant d’en arriver (à cette démonstration), j’aimerais rappeler que dans l’histoire, il est
connu de tout Chrétien averti, de tout celui qui a une connaissance ne serait-ce qu’élémentaire,
c'est-à-dire une connaissance relative à la rédaction de tous les livres du nouveau testament et
des prétendus Evangiles (qu’il ne faut pas confondre avec l’Evangile de Jésus), il est connu de
ceux là que leur rédaction a été sanctionnée ou censurée sur base des épîtres de Paul. En
d’autres termes, ce sont les écrits de Paul qui ont été canonisés au départ. Or, lors de la
dernière édition, nous avions été plus que clairs pour montrer que ce fameux Paul n’a jamais été
témoin oculaire de la vie de Jésus. Et nous Musulmans, le Coran nous ordonne de croire qu’à
l’Evangile de Jésus et non aux Evangiles. Parce que les Evangiles sont des récits qui ont été
écrits après que Jésus soit passé (le 1er évangile fut rédigé 60 ans après J.C donc vous
comprenez : des écrits qui sont si lointains du vécu de Jésus ne peuvent traduire la réalité). Et
tous les livres de ces Evangiles ont été écrits en langue Grecque or Jésus ne parlait pas le Grec,
il parlait l’Hébreux. D’aucuns savants prétendent que Jésus parlait l’Araméen. Non, il parlait
l’Hébreux car la langue parlée par les contemporains de Jésus fut la langue hébraïque.
Pire, nous avions fait ressortir , lors des éditions précédentes, des versets prouvant justement
que c’est ce dernier qui fut à l’origine de la dérive de nos confrères : de l’abrogation de la loi
sur le vin et le porc, de l’enseignement de la mort et la résurrection de Jésus en passant par la
doctrine sur la rédemption par le sang de Jésus via l’enseignement sur l’universalisme du
message de Jésus, ce personnage tristement célèbre a fait qu’à notre ère, la créature la plus
maudite (Satan) est en phase de, lentement mais sûrement, gagner son pari. Il semble avoir
même relevé son défi qu’est d’égarer si l’on en juge par le nombre de plus en plus grandissant
de ses adeptes et sympathisants.
Mais avec l’aide d’Allah, nous avions les frères comme ABDUL MADJID qui, de jours
comme de nuits, s’artèlent pour pouvoir répandre le monothéisme pur sur toute la surface de la
terre et ramener certaines âmes perdues. Nous et lui sommes dans le même panier : nous
sommes les fils de l’Islam invincible. Nous ne sommes pas des invincibles, mais c’est l’Islam
qui est invincible et il le restera jusqu’à la fin des temps inchaAllah.
Même l’Evangile de Jaques a été déclaré apocrite au départ. En ce sens que Jacques, dans ses
épîtres enseigne que « la foi sans les œuvres est vaine » alors que Paul enseigne que : « Ce ne
sont pas par les œuvres et la loi que nous sommes sauvés mais par la foi (en la crucifixion
de Jésus pour nos péchés) ».Or, rien ne nous prouve que Paul n’a été utilisé par Satan pour
égarer davantage du droit chemin ceux qui sont toujours accrochés à ses doctrines et idéaux
surtout que lui-même, nous fait savoir dans 2 Corinthiens 11 V 16-17 ceci : « Je le répète que
personne ne me regarde comme un insensé, afin que moi aussi je me glorifie un peu. Ce
que je dis avec l’assurance d’avoir sujet de me glorifier, je ne le dis pas selon le Seigneur,
mais comme par folie. ». Voyez vous-mêmes les phrases soulignées : cela augure clairement
qu’il n’est pas véridique et que Jésus ne lui aurait rien dit quand il prétendit avoir reçu de ce
dernier un message quand il se rendait à Damas. Celui qui cherche sa propre gloire dans la
parole de Dieu sans aucun doute ne saura avoir l’assistance divine. N’est-ce pas une vision
provenant du diable qui se présenta à lui ? Et, n’est-ce pas à l’endroit des personnes comme
Paul, que Jésus fit cette prophétie dans Mathieu 13 V27-28 ? : « L’ennemi viendra semer
l’ivraie dans le champ de blé », c'est-à-dire de faux enseignements dans la pure doctrine
enseignée par Jésus. Et dans sa fameuse vision qu’il aurait vu sur la route de Damas, il n’y avait
pas de témoin oculaire, à part Paul lui-même, pour soutenir son affirmation. Un tel témoignage
pour soi-même est rejeté par la Bible. Jean 5: 31 affirme «Si c'est moi qui rend témoignage
de moi même, mon témoignage n'est pas vrai. »
La question sur la divinité de Jésus alimenta les larges pages de nos deux éditions notamment
la première. Mais ne dit-on pas souvent que la répétition est pédagogique ?
Nous soulignons d’emblée que la Bible fut écrite par plus d’une quarantaine d’auteurs. Mieux,
les auteurs du Nouveau Testament que nous connaissons tels Mathieu, Marc, Luc, Jean ne
furent pas les apôtres comme nous l’avions maintes fois répété dans nos précédentes éditions,
mais des païens qui se seraient convertis au Christianisme et qui se seraient servis des textes
originaux de ces dits Mathieu, Marc, Luc, Jean, apôtres de Jésus. Cela est confirmé dans
l’introduction de la Bible de Jérusalem.
Pire, les rapporteurs de ces récits n’étaient pas inspirés. Car les erreurs, les contradictions, les
invraisemblances, les absurdités, les turpitudes, les immoralités (nous le verrons plus bas) qui
émaillent la Bible ne peuvent en aucune manière provenir de l’inspiration divine. Ainsi, je vous
invite à lire :
1 Corinthien 15 V15 où Paul déclare: « Il se trouve même que nous sommes de faux
témoins à l’égard de Dieu, puisque nous avons témoigné contre Dieu qu’il a ressuscité
Christ…. ». Si Jésus était Dieu, Paul n’allait pas se permettre de dire de pareille chose. Dieu ne
peut pas ressusciter Dieu ? Celui qui a ressuscité Jésus est le Créateur de ce dernier ! Donc la
logique est claire.
Jésus, lui même reconnaît qu’il a un Seigneur. Ecoutons-le dans Mathieu 16 V16 : « Et vous,
leur dit-il, qui dites vous que je suis ? Simon Pierre répondit : Tu es le Christ, le fils du
Dieu vivant. Jésus, reprenant la parole, lui dit : tu es heureux, Simon, fils de Jonas, car ce
ne sont pas la chair et le sang qui t’ont révélés cela, mais c’est mon Père (Mon Dieu) qui
est dans les cieux ». Jésus renchérit, question de lever toute équivoque quant à sa nature
humaine, lorsqu’un des scribes dans Marc 12 V28-38 lui demanda : « Maître, quel est le
premier de tous les commandements ?». Répondant à sa question, Jésus attira l’attention de
toute l’assemblée; pas seulement celui qui lui avait posé la question. Il dit : « Voici le
premier : Ecoute, Israël, le Seigneur, notre Dieu, est l’unique Seigneur… » . Même les
apôtres n’ignoraient pas qu’ils ont un Créateur à ne pas confondre avec celui qu’Il a envoyé en
la personne de Jésus.
Et Jésus, en répondant à Pilate (Celui qui le persécutait pour le mettre à mort) dit dans Jean
19V 11 : « Jésus répondit : tu n’aurais sur moi aucun pouvoir, s’il ne t’avait été donné
d’en haut…. ». Voyez-vous, Jésus ne dit même pas si « moi-même je t’aie donné le pouvoir »
mais il dit « s’il ne t’avait été donné d’en haut », le symbolisme de dire à Pilate « s’il ne t’avait
été donné par Dieu ».
Toutes ces preuves, loin d’être ambigües, militent en faveur de la nature purement humaine de
Jésus. Nous précisons ici que nous nous adressons à ceux, d’entre nos coreligionnaires, qui
veulent éviter le grand remord le jour où ils verront l’Ange de la mort, qui, nous le savons tous,
ne laisse aucun répit à une âme dont le terme est échu. Qu’Allah fasse sortir des ténèbres ces
personnes qui continuent toujours à accuser à tort et à travers l’un des nobles messagers (Jésus)
du Tout Puissant.
Jésus (prière sur lui) dit encore dans Jean 10 V29: «Mon Père (Mon Dieu) qui me les a
données est plus Grand que tous ». Jean confirme plus la nature humaine de Jésus dans son
chapitre 17 : « Il est nécessaire aux hommes de savoir que tu es le seul Dieu, Créateur, et
que c’est Toi qui m’a envoyé. » Vraiment celui qui expose pareille doctrine (divinité du
Christ) et la croît, il faut que Dieu lui ait ôté l’esprit.
.
Dieu, exalté soit Son Nom, s’adressant aux enfants d’Israël leur avait dit ceci dans
Deutéronome 13 V1-6 : « S’il se lève du milieu de vous, quelqu’un qui se dit prophète ; il
vous dit des choses à venir vous les voyez s’accomplir, il fait des miracles (des prodiges)
vous les voyez se réaliser ; si après il vous enjoignait à aller adorer un autre dieu qui n’est
pas Moi (faux dieux donc qui n’est pas Moi), ne l’écoutez pas. S’il insiste à vous invitez à
aller adorer ce faux dieux, tuez-le ». Un avertissement donc, qui vaut le coup d’être
mentionné.
Les versets se rapportant à cette question de la divinité du Christ sont nombreux et variés.
Nous nous sommes simplement contentés d’en citer quelques uns surtout que la majeure partie
a été mentionnée dans notre première édition. Toujours est-il que la première chose que nous
devrions savoir d’une religion qui prétend provenir de Dieu, c’est comment celle-ci enseigne et
présente Dieu ? Sans cela, nous tomberons entre les filets du diable. Et observez aujourd’hui la
quasi-totalité du culte chrétien et posez vous-mêmes cette question de savoir s’il découle de
Dieu ou de Satan (nous verrons tout ce détail un peu plus bas inchaAllah). Ce ne sont pas des
blasphèmes mais des réalités, malheureusement.
Aujourd’hui, je m’étonnerais de voir un chrétien regardé avec dédain un féticheur qui immole
des poulets sur son idole. Parce que, finalement, je ne constate pas de différence entre ce
dernier et celui qui adore un prophète: c’est l’idée qui sous-entend l’adoration qui intéresse
Dieu; c'est-à-dire du fait de se détourner de Lui au profit d’autres choses (qu’elles soient un
prophète, un saint, une pierre, un bois ou une rivière). Les chrétiens –surtout ceux de notre
siècle- n’en sont pas exempts de ces adorations très peu orthodoxes et très peu
recommandables. D’où l’explication du titre du présent document : l’idolâtrie déguisée : nos
confrères chrétiens adorent des idoles au même titre que le vieux au village(féticheur),
seulement sous une autre version, une autre forme plus modernisée, plus sophistiquée.
J’ai été personnellement ébahi sinon stupéfait, quand, un soir, je me rendis au restaurant
universitaire de la Patte d’Oie pour me ravitailler (comme tout étudiant). Je trouvai sur place
des Pasteurs, évangélisant la cité (Nous étions un dimanche).
M’approchant de la troupe (Une quinzaine : hommes, femmes et enfants tous compris), je
demandai à celui qui s’affichait comme étant leur guide si l’on pouvait m’accorder une minute
pour m’éclaircir sur une question.
La minute me fut accordée et je m’apprêtai à la consommer en posant ma requête :
- Je voudrais savoir la véritable nature de Jésus !
Prenant la parole, le Pasteur, leur représentant, dit ceci :
- Nous remercions le frère pour sa préoccupation. Pour la question, il faut noter qu’il est dit
quelque part dans les évangiles (il ignorait la référence, c’est mal vu, surtout pour une personne
qui dirige toute une église): « Au commencement était la Parole, la Parole était avec Dieu,
la Parole était Dieu et elle a habitée corporellement parmi nous ». Donc (continuant bien
sûr sa « démonstration »), partant de là, nous disons que Jésus est Dieu en personne, créateur de
toute chose et en le voyant marcher sur terre, c’est Dieu qu’on voyait (Gloire et pureté au
véritable Créateur pour tous ce qu’on lui associe ! dis-je intérieurement), ce qui voudrait dire
que c’est lui, Jésus qui créa tout (sa réponse, tenez vous bien, a trouvé l’approbation de
l’ensemble de ses acolytes).
- Ah bon ! M’interloquai-je. C’est pour cette raison qu’il est notre créateur ?
- Oui, bien sûr, oui bien sûr (il était jamais plus que convaincu de son « effort » de
répondre) ;
- Mais que dites-vous (repris-je), de la façon dont Dieu fit la première création dans Genèse 1
V1-39 ? N’est-ce pas la même parole qu’Il utilisa pour créer Jésus ? Mieux, que dites vous
des versets tels 1 Corinthiens 11 V3 où Paul affirme : « Je veux que vous sachez que
l’homme est le chef de la femme, le Christ est le chef de l’homme et que Dieu est le chef
du Christ » et dans 1 Timothée 2 V5 qui dit : « Car il y a un seul Dieu et un seul
médiateur entre les hommes et Dieu : Jésus-Christ homme » ainsi que bien d’autres
versets militant dans le même sens ?
Le Pasteur resta silencieux ainsi que la troupe.

L’heure de la restauration approchait, le groupe a préféré prendre sa jambe à son cou en
s’éclipsant élément par élément jusqu’à ce que je me retrouvai seul avec le Pasteur qui parlait
(bien sûr avec d’autres étudiants venus assistés au « mini débat »). La raison de leur fuite était
toute simple : nos coreligionnaires sont à majoritairement imperméables à la vérité, ils
décampent dès lors où une situation, pouvant les mettre en état de carence d’arguments, se
présente (dans notre cas, la foule d’étudiants).
Ce qui explique le refus des pasteurs à engager des débats théologiques avec les musulmans
car, les églises, étant devenues aujourd’hui des boutiques, ne marcheraient plus si leurs
propriétaires venaient à être battus sinon humiliés lors de tels débats.
Qu’Allah fasse triompher par notre cause Sa religion !!!!
Mais, la question à laquelle ils n’ont pu répondre à sa réponse dans la Bible. Nous ne
connaissons en Jésus que la nature d’un homme comme Dieu le dit dans Son dernier Livre
céleste dans la Sourate 5 V 75 parlant de Jésus et de sa mère : «… et tous deux consommaient
de la nourriture… » : Par principe, Dieu ne mange pas.
Et la Bible, à sa manière le confirme : Jésus était sujet à la faim : Mathieu 4V2 :« Après avoir
jeûné quarante jours et quarante nuits, il eut faim » ; à la soif : Jean 4 V 7 et 19 V
28 :«Une femme de Samarie vint puiser de l’eau. Jésus lui dit : donne moi à
boire » ; « Après cela, Jésus qui savait que tout était déjà consommé dit afin que
l’Ecriture fût accomplie : J’ai soif » ; à l’émotion, Jésus pleurait Jean 11 V 35: « Jésus
pleura » ; à l’ignorance Marc 13 V 32 : « Pour ce qui est du jour ou de l’heure, personne ne
le sait, ni les anges dans le ciel, ni le Fils, mais le Père seul ». Pourtant l’église family radio
en Californie avait fixé la fin du monde au 21 mai 2011. Sur quoi s’était-elle basée ? Seulement
leur chef qui leur ait insufflé cette date : Satan –qu’il soit maudit irrémédiablement.
Il était sujet également à la peur Jean 12 V 27 et 13 V 21 : « Maintenant mon âme est
troublée » ; « Ayant ainsi parlé, Jésus fut troublé en son esprit… » ; à l’angoisse Marc 14
V 33 : « Il prit avec lui Pierre, Jacques et Jean et il commença à éprouver de la frayeur et
des angoisses » ; à l’étonnement Mathieu 8 V 10 : « Après avoir entendu, Jésus fut dans
l’étonnement.. ». Ces caractéristiques d’imperfection précitées ne peuvent être attribuées au
Dieu véritable que nous connaissons.
Nous sommes tous convaincus et persuadés (en tout cas ceux qui réfléchissent et ayant un iota
d’intelligence) que ceux qui persistent dans cette errance et dans cet égarement font partie
intégrante de ceux qui ne savent pas. Mais comment voulons nous qu’ils sachent quelques
choses si nous, Musulmans, nous ne leur apportons pas le message de l’Islam ? Si nous nous
abstenons de le faire et de les laisser dans ces ténèbres, nous comparaîtrons devant le Tribunal
de Dieu le Jour de la Résurrection pour des justifications. Au dernier jour, ce Chrétien ou cette
Chrétienne (dépositaire de ces fausses doctrines) se présentera devant Dieu et Celui-ci lui
demandera :
- Eh toi, ne savais tu pas que Jésus n’était pas dieu ?
- Non, je ne le savais pas.
- Tu ne savais pas aussi qu’il n’était pas le fils de Dieu ?
- Non, moi je ne le savais pas.
- Mais on ne t’avait pas dit qu’il n’était ni dieu ni fils de Dieu ?
- Non, moi on m’a appris (à l’église) qu’il était dieu et fils de Dieu.
C’est ainsi que Dieu fera venir les voisins de cet Chrétien ou de cette Chrétienne : « Eh vous,
venez ici. Pourquoi vous saviez qu’il était en erreur et vous ne lui aviez rien dit ? ». Donc, il y
aura des Chrétiens qui échapperont ainsi au châtiment car n’ayant pas entendu le message
surtout que Dieu dans Son dernier Livre (Le Coran) nous enseigne qu’Il ne punit pas un peuple
sans lui avoir envoyé au préalable un messager. Mais si nous leur informons et ils rejettent la
Vérité (l’Islam), s’en est fini pour eux et nous aurons un alibi devant Dieu le Jour ultime.
Qu’Allah nous aide à être des vecteurs d’informations.
D’ailleurs, les éditions que nous éditons s’inscrivent tous sans cette perspective : la Daawa
c'est-à-dire « Appel à l’Islam ». Et vous êtes sans ignorer que c’est cet appel à l’Islam qui plaît
le plus à notre Créateur surtout qu’Il nous enseigne dans Son Livre ceci : « Qui profère plus
belle parole que celui qui appelle à Allah, fait bonne œuvre et dit : je suis du nombre des
Musulmans ».(S41 V33)
« Il n’y a pas de Vérités absolues » ; entendons nous souvent de tels propos ! Et moi, j’affirme
ceci, sans avoir peur d’être contredit par quiconque qu’il y a une vérité absolue : c’est
l’ISLAM. Ce qui est intéressant, c’est qu’aucun historien n’a osé démentir les faits et
évènements énoncés dans le Saint Coran et dans les traditions prophétiques : de la formation
des planètes aux différentes étapes de l’être humain dans la matrice de la femme en passant par
les règles d’hygiène qui nous fussent léguées par notre Prophète (Que la paix et le salut de Dieu
soient sur lui), la science moderne ne cesse, au jour le jour, de confirmer ces vérités préétablies
14 siècles aujourd’hui. Et parlant du prophète de cette religion, écoutons ensemble le célèbre
poète français Alphonse de Lamartine écrit dans son livre " Histoire de la Turquie", Paris,
1858; volume II, pp. 276-277: «Personne ne pourra jamais aspirer, qu'il le veuille ou non, à
atteindre un but aussi élevé et aussi noble; un but supérieur à la capacité des humains,
consistant à effacer les légendes qui se dressent comme une barrière entre le Créateur et Sa
créature. Jamais un être humain n'a accompli dans ce monde l'exploit d'une révolution aussi
profonde, aussi grande, dans un délai record, comme celle que nous voyons;...Si la noblesse du
but, la faiblesse des moyens adoptés, l'énormité des résultats sont bien les trois critères du génie
des hommes, qui donc aurait l'audace de mettre en ligne de comparaison Muhammad avec
n'importe quel grand de l'histoire?... Il a élevé les âmes et pris appui sur un livre dont chaque
lettre est devenue une constitution; il a fondé l'Etat des valeurs spirituelles qui a conquis des
peuples de toutes les langues et de toutes les races… sa vie propre… son inébranlable et
extraordinaire endurance dans les disgrâces;…sa clémence dans les circonstance de victoire,
son intransigeance sur les valeurs spirituelles, le peu d'estime dont il fait montre pour le
pouvoir… voici ce qui est Muhammad. En adoptant tous les critères et les poids par lesquels on
mesure la grandeur des hommes, qui donc serait tenté de dépasser la grandeur de
Muhammad?".
Je conclurais ce chapelet d’éloges dont bénéficie notre prophète de la part des non-musulmans
avec ce qu'écrit le célèbre orientaliste bulgare Docteur W. Laitner : « J'ai grand espoir qu'un
jour les chrétiens puissent nourrir un grand respect pour Jésus (paix à son âme) du fait qu'ils
nourrissent un grand respect pour Muhammad (bénédiction et salut d'Allah sur lui.) Nul doute
que seul le chrétien qui croit à la mission prophétique de Muhammad (bénédiction et salut
d'Allah sur lui) et le reconnaît comme porteur de vérité, est un chrétien véritable. » La religion
islamique"(p.6). Voilà ceux là qui ont le sens du discernement et je prie Allah à ce qu’Il les
ramène progressivement vers l’Islam.
Et mieux, la NAZA, dans ses dernières recherches, vient de découvrir que la Kaaba (l’antique
maison et lieu saint des Musulmans) est au centre de notre globe terrestre et quiconque se
trouverait au pied de la sainte maison avec une boussole, celle-ci ne bougerait pas (indiquerait
zéro).
Ensuite, de la planète Mars, les chercheurs ont aperçu un faisceau de lumière provenant de la
planète Terre. Descendant en basse altitude, il s’est avéré que cette lumière venait directement
du toit de la Kaaba (Allah est vraiment Grand). Même les Américains –considérés souvent
comme les « ennemis de l’Islam »- établissent la vérité sur cette religion. Pour les internautes,
vous pouvez cliquer dans Google ces titres : « Les miracles de la Kaaba » ou « L’Islam,
l’empire de la foi ».
C’est ainsi que chaque jour qu’Allah fait, nous assistons à de nouvelles adhésions : de Franc
Ribéry à Nicolas Anelca, Van Persie, Michael Jackson, Albert Einstein, Guy Demel (Joueur
ivoirien), Didier Zokora en passant par les Pasteurs récemment convertis au Burkina Faso et
partout ailleurs dans le monde (les cités universitaires Kossodo et Patte d’Oie n’en sont pas en
reste quant aux chrétiens convertis), le nombre de la Communauté de Muhammad ne fait que
grossir. Tout ceci, comme pour corroborer ce verset du dernier livre divin (le Coran) où Allah
déclare : « Lorsque viendra le secours d’Allah ainsi que la victoire et que tu vois les gens
entrés en foule dans la religion d’Allah, alors par la louange célèbre la gloire de ton
Seigneur et implore Son pardon car c’est Lui Le Grand Accueillant aux repentis » (S110
V1-3)
Mais, certains, à l’image de M. Koné et G. Nehls veulent endiguer la bonne marche de cette
religion. Le pourront-ils ? C’est moins sûr surtout que d’autres mécréants plus zélés et plus
tenaces qu’eux à l’image d’Abou Djaal et autres Pharaon leur ont devancé dans cette entreprise
quasi irréalisable mais ont été réduits en silence ou réduits à leur plus simple expression par Le
Détenteur du pouvoir de punir : Allah. Que reste t-il encore de ces ennemis avérés du Seigneur
et des croyants ? Sinon des ruines et des noms gravés dans les pages de l’histoire, témoignant
de leur fin brutale et tragique. C’est pourquoi, si ton cœur t’incite à faire le mal un seul instant,
penses, Ô lecteur, à ceux là : Comment leurs yeux qui ne se satisfaisaient jamais de regarder les
plaisirs de ce monde ont été dépiécés ? Comment leurs ventres qui ne se rassasiaient jamais des
délices de ce monde ont été décomposés ? Comment leurs corps, comme une charogne, ont été
abandonnés par les leurs dans un périmètre misérable de la tombe ?
Que périsse à jamais ces messieurs ! Amine !!
C’est ainsi que les médias de tout genre et de tout bord ont été installés pour détourner les
Musulmans de leur religion, mais, Dieu, étant Le Meilleur en stratagème, continue de donner à
l’Islam la victoire. Notre télévision nationale joue un rôle non moins perfide dans ce contexte.
En voici quelques tars de la télévision burkinabé :
Il est connut de tout fin observateur qu’il fut diffusé entre temps sur la chaîne nationale un
feuilleton intitulé « La crèche d’Ahmed » où nous avions vu, au cours du film, le père d’Ahmed
le battre pour la simple raison qu’il ne devrait y avoir de crèche chez lui car étant
Musulman(Ahmed voulait, à l’instar de ses amis chrétiens, construire une crèche). Mais sa
mère (Musulmane) lui dit : « Laisses-le en paix !!! C’est un enfant. D’ailleurs qu’est ce que cela
fait ? Ça ne fait rien !!). ». Par finir, elle put convaincre son mari. Conclusion : par ce feuilleton,
les réalisateurs ont voulu tout simplement faire croire aux Musulmans que leurs enfants
pouvaient avoir des crèches. C’est ainsi que nous constatons, à chaque fête de Noël, des
Musulmans faibles de foi, d’esprit et non avertis, achetés des crèches, des arbres de Noël et bien
d’autres cadeaux à leurs enfants. Autre fait, autre feuilleton : Un feuilleton des enfants scolaires
(j’ai oublié le titre) où nous voyons l’enfant du gardien (Musulman comme toujours ; les
musulmans doivent travailler à occuper des postes qui les honorent) se cacher pour se rendre à
l’église avec l’enfant du patron (Chrétien). Quand le gardien fut au courant de cette manie de
son enfant, il le fouetta, question de le faire revenir à la raison. Voyant la scène, sa mère
(Musulmane) accourut ainsi que le patron. Tous dirent ceci au gardien : « Mais, arrêtes de le
frapper, tu sais que c’est un enfant. D’ailleurs on doit laisser les enfants faire leur choix ».
Conclusion : faire digérer aux Musulmans que leurs enfants peuvent bel et bien se rendre à
l’église (Jamais le contraire comme ils le laissent entendre).
Même la série « 24 heures chrono », pour les plus vigilants, était une série véhiculant un
message montrant aux yeux du monde que les Musulmans sont les terroristes (c’est ce que le
Pape avait fait entendre à qui veut l’entendre que Muhammad n’a envoyé que la violence). Pour
preuve, observez les noms des terroristes dans ce film: Habib Marwane, Abou Fayed, Hassan et
autres. Pourquoi ne pas les appeler Gérard, Anderson, Samuel ? Nous, Musulmans, regardions
ces films avec extase pensant qu’ils retracent des réalités soit disant ! n’est-ce pas là une sorte
d’injure que de vouloir traiter les Musulmans de terroristes alors que nous savons bien que
l’Islam n’a rien avoir avec le terrorisme, rien du tout. Dernier fait (excusez nous, chers lecteurs,
de remplir ces pages de ces faits que d’aucuns qualifieraient de superflus ou inutiles mais nous
les jugeons importants, scandalisants et choquants pour tout sincère Musulman et surtout dans
un pays où nous représentons environ 60%): A la RTB, on présentait l’inauguration d’une
Chapel dans un village. Durant l’inauguration (elle se tint dans l’enceinte même de la Chapel),
les reporteurs se sont évertués à montrer les Musulmans assis dans la Chapel et suivant les pas
de danse improvisés par les inaugurateurs. Ils ne se sont pas arrêtés là ; ils ont tendu leur micro
à un Musulman présent à la cérémonie et celui-ci déclara (j’eue honte à sa place) : « C’est une
très bonne chose, enfin une Chapel dans notre village. Et vous savez, ils sont passés par moi
pour avoir le lopin de terre pour sa construction…. ». Ceci, pour faire comprendre aux
Musulmans burkinabé que nous pouvons prendre part, sans qu’aucun grief ne nous soit fait, à
leur cérémonie rentrant dans le cadre de leur culte (Est-ce vrai ? nous le verrons dans les lignes
qui suivrent inchaAllah). Dans cette folie médiatique, nous Musulmans, n’avions pratiquement
rien si ce n’est la Vérité qui nous a été transmise par le champion du monothéisme
Muhammad Ibn Abdallah. Cette même vérité qui continue à faire des victimes dans le rang
des autres (en témoigne les conversions sans cesse grandissantes) et à donner à l’Islam la
victoire.
Non satisfaits de conférer à Jésus le droit à cette divinité, certains, (c’est juste une parenthèse)
plus égarés encore, prétendent être des prophètes (chez les chrétiens bien sûr) ; d’autres se
disent même des dieux. Nous sommes au Congo Kinshasa (85% de Chrétiens). Il eut même un
débat sur la chaîne nationale congolaise entre les dieux et les prophètes (quel niveau
d’égarement ! quel degré de perdition !!Quelle errance !!!). Et le journaliste qui modérait le
débat, demanda à monsieur le prophète :
- Monsieur le prophète, reconnaissez-vous le dieu ici présent ?
Et au prophète de répondre : Non, je ne le reconnais pas.
Se tournant vers monsieur le dieu, le journaliste questionna :
- Monsieur le dieu, reconnaissez-vous le prophète qui vous vient ?
Et il répondit : Je lui aie même pas envoyé (au grand éclat de rire des spectateurs). Et un jour,
on a vu monsieur le dieu dans sa voiture et celle-ci est tombée en panne. C’était dans un milieu
public et il demanda de l’aide (quel dieu besogneux !). On a bien voulu l’aider pour démarrer sa
voiture mais l’un d’eux l’a reconnu : « Mais dit donc, c’est toi le dieu ? Mais ta voiture est
tombée en panne ? ». Aidez-moi plutôt, dit-il, au lieu de chercher à savoir qui suis-je.
Vous voyez à quel niveau les gens ce sont égarés du droit chemin ?
Mais, Allah a mis l’homme qu’il faut à la place qu’il faut pour ramener les messieurs de ces
idéaux à la raison. Qu’Allah t’assiste, frère Abdul Madjid.
II. Cinq critères décisifs
Qui de Muhammad ou de Jésus –prière sur les deux- apporte le salut pour l’humanité ? La
réponse à cette question est à la fois difficile et facile : difficile car si la question est posée
aux Musulmans, ils vous diront qu’il s’agit de Muhammad ; si la question est posée aux
Chrétiens, ils vous diront logiquement que c’est Jésus. Donc voyez vous-mêmes : les
musulmans vont tirer la corde de leur côté et les chrétiens en feront autant. Mais là où la
question semblait plus facile, c’est que personne d’entre nous n’est plus éloquent que Dieu,
qui a envoyé Muhammad et Jésus et Jésus et Muhammad qui ont convenablement rempli
leurs missions sont tous trois mieux placés pour nous départager sur cette question.
Il y a cinq critères fondamentaux que Muhammad ou Jésus doit remplir pour être considéré
comme celui par qui l’humanité sera sauvée (du châtiment du Jour Ultime) :
1) Nous devrions fournir le témoignage de Dieu affirmant qu’Il a envoyé Muhammad ou
Jésus pour toute l’humanité (Bible et Coran sur table et le débat est clos). Il s’agit là du
premier critère ;
2) Nous devrions fournir également le témoignage de Muhammad ou de Jésus affirmant
chacun de son côté avoir été envoyé à l’humanité ;
3) Jésus ou Muhammad doit avoir dans son entourage des disciples appartenant à d’autres
nations que la sienne. Il est pratiquement absurde qu’on dise de Jésus ou de Muhammad
qu’il est le sauveur de l’univers lorsqu’on ne trouve dans son entourage que des disciples
appartenant uniquement à sa nation ;
4) Jésus ou Muhammad doit inviter les gens d’autres nations à croire à son message de son
vivant et pendant son ministère. Il est encore absurde de dire de Jésus ou Muhammad
(prière sur eux) qu’il est sauveur de l’humanité lorsque celui-ci s’abstient d’appeler les
autres nations à croire en lui, c’est absurde ;
5) Enfin, Jésus ou Muhammad doit placer tous les êtres humains au même pied d’égalité.
En ce sens qu’un sauveur de l’humanité ne doit accepter qu’un individu, qu’une nation
ou une tribu soit au dessus d’autres. Il doit placer tout le monde au même pied en se
basant sur le critère de piété : « car le meilleur d’entre vous auprès de Dieu est celui qui
est le plus pieux ».
Analysons ensemble à la lumière bien sûr de l’Evangile et du Saint Coran. Nous
procéderons à une étude comparative.
 Que dit Dieu à propos de la mission de Jésus ? Dans Mathieu 1 V 21, Dieu envoie Son ange
vers Marie et lui dit : « Elle enfantera un fils, elle lui donnera le nom de Jésus, c’est lui
qui sauvera son peuple de ses péchés », quel peuple ? Mathieu 2 V 6 qui dit ceci : « Et toi
Bethléhem, terre de Juda, tu n’es certes pas la moindre entre les principales villes de
Juda car de toi sortira un chef qui paîtra Israël mon peuple »
L’envoyé de Dieu (l’ange) confirme que Jésus sera celui qui sauvera seulement les Juifs. Si
nous parachutons dans l’Ancien Testament, dans Jérémie 31 V31-34 ; là, Dieu promet de faire
une nouvelle alliance avec les deux maisons d’Israël. Car la première alliance ayant été abolie
sous le règne de Moise par les péchés des Enfants d’Israël. Et Dieu promis d’accomplir une
nouvelle alliance avec les Israélites et c’est Jésus qui devrait être le garant de cette nouvelle
alliance.
Dieu n’a pas dit : « Je ferai une nouvelle alliance avec le monde entier dès l’année prochaine »
mais plutôt avec les deux peuples d’Israël.
Quand nous regardons le Coran, Dieu dit parlant de Jésus dans la Sourate 3 Verset 49 : « Et il
sera messager aux Enfants d’Israël… »
Du côté de Muhammad, Dieu dit : Sourate 21 Verset 107: « Et Nous ne t’avons envoyé qu’en
miséricorde pour l’Univers ». Dieu ne parle même pas ici de toute l’humanité, car l’humanité
est un élément de l’univers. Notre Prophète (prière sur lui) a même été envoyé comme
miséricorde pour les animaux et la nature qui nous entoure. La preuve : il a interdit de faire
porter un fardeau à une bête qui serait supérieur à sa capacité et il donnait des consignes
suivants quand il envoyait en expédition ses compagnons : « …ne couper pas les arbres… ».
Cela n’a été donné à aucun messager avant lui. C’est seulement l’ignorance de nous Musulmans
qui fait que nous pensons que l’Occident à quelque chose à nous donner ; pas du tout.
L’Occident même est arrivé là où il est c’est grâce aux Musulmans. Ce sont les Musulmans qui
ont tirés les Occidentaux de l’arche des ténèbres vers la lumière parfaite ! Egalement il n’y a
aucune civilisation sur cette terre qui saura être comparée à celle de l’Islam. Qu’Allah nous
aide.
Sur ce premier critère, Jésus (paix sur lui) est disqualifié ou encore un contre zéro en faveur de
Muhammad (Bénédiction de Dieu sur lui)
 En ce qui concerne le second critère, jetons un regard du côté de Jésus.

Si nous parcourons en long et en large les Evangiles, nulle part Jésus n’aie dit : « j’ai été
envoyé à l’humanité ». Mais un verset sur lequel les ignorants s’appesantissent pour faire
comprendre à la masse que Jésus était envoyé aux Burkinabé : c’est Mathieu 28 V19 : « Allez,
faites de toutes les nations mes disciples et baptisez les au nom du Père, du Fils et du Saint
Esprit ». D’abord, il y a un mensonge flagrant dans ce verset, qui n’est autre que l’œuvre de la
main invisible de l’église catholique romaine : c’est la phrase soulignée. En fait, cette phrase fut
ajoutée plus tard après le Concile de Nicée en 325 après J.C : Jésus n’étant pas au courant de
cette fameuse et rocambolesque trinité ne peut en aucune manière faire une telle proposition à
ses disciples. La trinité a vu jour 325 ans après Jésus, donc vous comprenez clairement la
logique.
Quand Jésus dit : Allez, faites de toutes les nations mes disciples, nous avions expliqué lors
de la première édition la portée de ces dires ici : mais nous ne saurions nous lasser d’y ébaucher
quelques paramètres.
Jésus dit dans Jean 10 V16 : « J’ai d’autres brebis qui ne sont pas dans la bergerie, celle-
ci ; il faut que je les ramène ». C’est en voulant les ramener qu’il envoya ses douze disciples
dans Mathieu 10 V 5-7 en leur donnant ces consignes suivantes : « … allez plutôt chercher
les brebis perdues de la maison d’Israël ». Et effectivement ces brebis furent appelées et
réunies par les disciples dans Actes des Apôtres 2 V 1 et 5 : « Le jour de la Pentecôte, ils
furent ensemble au même lieu » ; « Il y avait en séjour à Jérusalem des Juifs, hommes
pieux venus de toutes les nations qui sont sous le ciel ». En fait, c’était à l’égard de ces Juifs
qui étaient dans la diaspora que Jésus avait lancé cet appel : « Allez, faites de toutes les
nations mes disciples.. ». Vous comprenez aisément maintenant cette phrase de Jésus dans
Mathieu 15 V24 : « je n’aie été envoyé qu’aux brebis perdues de la maison d’Israël… ».
Donc aux Juifs uniquement pas aux Burkinabé.
Si nous nous penchons maintenant du côté de Muhammad (Paix sur lui), nous l’entendons dire
dans un de ses fameux hadiths (deuxième source de l’Islam comportant les paroles et le vécu de
notre Prophète) : « Ma suprématie sur tous les autres prophètes réside dans six choses : Ma
parole est compréhensible de tous ; le butin m’est licite, toute l’étendue de la terre est pour
moi et ma nation une source de purification et un lieu de prière ; Dieu jette la crainte dans le
cœur de mes ennemis quand je veux les attaquer ; Je suis le dernier des messagers; j’ai été
envoyé à toute l’humanité. »
Deux contre zéro en faveur de Muhammad (Bénédiction de Dieu sur lui) si l’on en juge par les
paroles des deux prophètes (Prière sur les deux).
 Analysons ensemble le troisième critère qui est l’entourage des deux prophètes.
Commençons avec Issa’ (Nom arabe de Jésus) : Qui parmi nos coreligionnaires chrétiens, peut
nous contredire quand nous affirmons que tous les douze disciples de Jésus étaient de sa tribu ?
Apparent personne pour rejeter cette affirmation. Jésus lui-même confirme dans Mathieu 19
V28 : «« Le Jour où le Fils de l’homme (Jésus) sera assis sur le trône de sa gloire, vous qui
m’aviez suivi (les disciples de son époque), vous serez de même assis sur douze trônes pour
juger les douze tribus de la maison d’Israël ».
Quant à l’entourage de Muhammad, nous avions des exemples des plus probants sinon des plus
éloquents : Bilal ibn Rabeh qui était éthiopien ; Salman al Farisi qui était un Perse, une de ses
femmes du nom de Marie, une copte égyptienne. Et un petit juif qui fut le serviteur de notre
prophète et qui était de son entourage. C’est vraiment un messager à l’humanité ; même les
Africains n’en sont pas oubliés.
Une fois encore, Jésus est disqualifié quant à ce critère : 3 Vs 0 pour Muhammad.
 Jésus autant que Muhammad doivent inviter tout le monde à croire à sa mission, de son
vivant et pendant son ministère.
Jésus dit, parlant à ses disciples dans Mathieu 10 V 5-7 : « N’allez pas chez les païens et ne
rentrez pas dans la ville des Samaritains… »
En d’autres termes, Jésus a interdit à ses disciples d’appeler autres que les Juifs.
Et même après sa montée au ciel, ses disciples n’ont jamais prêché aux peuples non juifs. Mais
il faut noter que c’était Pierre qui s’était permis d’aller prêcher l’Evangile à Corneille (premier
païen ayant entendu pour la première fois l’Evangile) et sa famille en Césarée, 95 km de
Jérusalem et 40 ans à peu près après J.C. Les autres disciples, restés à Jérusalem, ont appris
cette nouvelle et l’ont blâmé et l’ont même invité à venir s’expliquer: « Qui t’a permis d’aller
chez les païens ? » car ils savaient que l’ordre donné par leur chef (Jésus) ne consistait
nullement à aller vers d’autres peuples non Juifs. C’est pourquoi, Hérode et Pilate qui étaient
des gouverneurs du temps de Jésus n’ont jamais été invités au christianisme par celui ci.
Quant à Muhammad, il a écrit des lettre à tous les rois de son époque à croire au message dont
il fut porteur : de César le roi romain à Corsan le dernier roi byzantin, tous sans exception, ont
été appelés à devenir musulmans.
Ce critère, à la lumière des preuves, est encore remporté par Muhammad (Paix sur lui) : 4 Vs 0
 Le cinquième critère enfin : tous les individus, sous le règne de Muhammad et Jésus (Paix
sur eux) doivent être égaux.
Pour les lecteurs de la bible, il est connu d’eux que celle-ci prône l’esclavage- indice montrant
déjà une inégalité entre humain-,notamment l’Ancien testament et plus précisément dans
Lévitique 25 V 39-46 et Exode 21 V 2- 6) et encourage même les Israélites à garder les
étrangers sous servitude. Ce sont ces versets qui ont servis de base aux prêtres pour pratiquer
ce commerce honteux qu’est l’esclavage. Les quinze millions de Noirs qui furent amenés en
Amérique l’ont été sous l’égide des prêtres Blancs pour aller travailler dans des champs Blancs.
Mais lorsque Muhammad vint, il a dit : « Le Créateur a créé les hommes libres et vous voulez
en faire des esclaves ? Donc l’Islam a devancé le principe de Droit de l’Homme puisque l’un
des articles du Principe Universel de la Déclaration des Droits de l’Homme de 1948 établit
ceci : « Tous les hommes naissent libres en droits et en liberté ». Mieux, ce prophète de l’Islam
(je veux dire ce prophète de l’Univers : Muhammad) martela : « Le Noir n’est pas supérieur au
Blanc ni l’Arabe au non Arabe que par la piété ; le meilleur d’entre vous auprès de Dieu est
le plus pieux ».
Aussi, les païens (ce n’est pas une injure, mais le langage du temps de Jésus pour montrer toute
personne non juive), convertis au christianisme, n’étaient autorisés à adresser leurs prières à
Dieu que suivies de cette formule : « Ô Dieu des israélites, je te demande de… ». Sans cette
formule, un israélite qui se trouverait à côté de ce païen le lapidait sur le champ.
Jugez par vous-mêmes : que ce soit au niveau du score, des cinq critères clairement établis, des
preuves coraniques et bibliques méthodiquement, historiquement et scientifiquement élaborées
et étayées, de la logique même des faits, du déroulement actuel même de notre planète ; qui des
deux prophètes, auxquels nous ne faisons aucune distinction, apporte réellement le salut ?
Il n’y a pas une zone d’ombre pour toute personne possédant une parcelle de raison que la
réponse ne peut être que celle là : M U H A M M A D I B N A B D A L L A H.
Seigneur, fait comprendre Ta religion à ceux qui veulent en savoir davantage et fait nous
mourir en pleine soumission Amine.
III. Le culte chrétien : enseigné par Dieu ou une inspiration purement satanique
Vous vous rappelez que Dieu, dans Sa Miséricorde infinie envoya les Prophètes de Noé au
sceau des prophètes Muhammad – Prière sur eux- pour nous guider sur la ligne de conduite
à suivre afin d’avoir le succès dans cette vie bas, dans la tombe et le Jour des Comptes. Ces
derniers qui ne devraient prêcher que l’unicité de leur Créateur ont transmis intégralement et
fidèlement leur message (soulignons qu’il était unique ce message : le monothéisme pur).
Mais, quels constats faisons-nous aujourd’hui quant au culte de nos coreligionnaires
chrétiens ? Est-ce les pas de Jésus qu’ils emboîtent ou suivent t-ils simplement leur passion
aidés dans ce sens par la créature la plus maudite (Satan) ? Ce sont ces questions qui nous
ont amenés d’ailleurs à proposer un second titre à cet présent ouvrage intitulé : Le
Christianisme actuel est-il d’origine divine ou satanique ? Décryptons et analysons
ensemble chaque élément du vécu quotidien de nos confrères.
Avant de commencer cette analyse, je voudrais saisir cette occasion pour mettre en garde les
Musulmans burkinabé par rapport à la célébration de deux fêtes à savoir la fête de Noël et de
la Saint Sylvestre (particulièrement celle là).
Le Prophète Muhammad (Que la paix et le salut de Dieu soient sur lui) dit : « Celui qui
imite un peuple fait partir de ce peuple ». Oui, j’ai remarqué notamment en Afrique où les
Musulmans s’acharnent avec zèle à fêter ces fêtes. Mais est-ce que nous connaissons au
moins les notions contraires à l’Islam que véhiculent ces fêtes ? Célébrer ces fêtes, traduit
l’ignorance que nous avons de notre religion. En réalité, celui qui célèbre la fête de Noël, il
veut nous dire quoi ? Car Noël chez les Chrétiens signifie ceci : « Dieu est venu sur la
terre sous forme humaine à la personne de Jésus en naissant d’une femme vierge à la
personne de Marie. ». Donc, quand les Musulmans s’acharnent, à célébrer cette fête, ils
veulent tout simplement nous dire qu’ils sont d’accord avec les Chrétiens que Dieu était
effectivement venu sur la terre sous forme humaine à la personne de Jésus en naissant d’une
femme vierge à la personne de Marie. Par conséquent, ils nient ce qu’Allah a dit dans la
112ème Sourate : « ….Dieu n’a pas engendré, n’a pas été engendré non plus et nul n’est
égal à Lui », et dans le même temps, ils se mettent dans le camp de ceux qui combattent
Dieu et Ses Prophètes. Cette même sourate constitue une arme de destruction massive que
Dieu a donnée aux croyants pour démolir toutes les forteresses de superstition que les gens
se fondent sur Dieu.
Quant à la fête de nouvel an appelée Saint Sylvestre. D’abord, Sylvestre, qui est-il ? C’est
le nom d’un homme !
Sylvestre est le 33ème Pape de l’église catholique romaine. Pourquoi lui a-t-on dédié cette
fête, le 31 Décembre ? D’abord lui-même est né le 31 Décembre puis est devenu pape le 31
Décembre. Les Catholiques lui ont dédié cette journée parce que c’est ce dernier qui avait
pesé de tout son poids au Concile de Nicée pour que la divinité de Jésus soit imposée sur
toute l’étendue de l’empire romain en 325 après J.C. C’est par sa cause que Jésus soit
reconnu aujourd’hui par certains Chrétiens comme étant dieu. En reconnaissance des
« efforts » de ce dernier, les Romains lui ont attribué ce jour.
Les Musulmans qui mobilisent toute leur énergie pour la célébration de cette fête veulent
nous dire qu’ils sont d’accord avec Sylvestre que Jésus est Dieu. Par conséquent, ils sont
concernés par le 124ème verset de la 3ème Sourate où Allah dit : « Sont mécréants ceux qui
disent : Le Messie (Jésus) est Allah fils de Marie or le Messie a dit : ô enfants d’Israël,
adorez mon Seigneur qui est votre Seigneur et mon Dieu qui est votre Dieu. Quiconque
associe à Dieu une autre divinité, sachez qu’Allah lui interdit le Paradis et que son refuse
est l’Enfer et pour les injustes pas de secoureurs. »
Or, il est connu de tout Musulman averti que celui qui renie un seul verset du Saint Coran,
automatiquement tombe dans la mécréance. Les Musulmans sont donc avertis. Ce sont des fêtes
contraires aux principes de l’Islam (Le Tawhid, l’unicité de Dieu). Nous ne pouvons pas nous
voiler la face et continuer à faire plaisir aux autres qu’à faire plaisir à Dieu. Nous avons nos
fêtes : le Ramadan, la Tabaski et la journée du vendredi ; des fêtes qui n’existent que pour Dieu,
rien que pour chanter la grandeur de Dieu. Nous devrions faire très attention. C’est à travers ces
fêtes que les ennemis de l’Islam essaient de nous détourner petit à petit de notre religion et de
nos valeurs islamiques. Constatez vous-mêmes l’origine de tout ce qui rythme la vie de nos
confrères : l'on exerce des pratiques et activités qui, des siècles après la disparition de Jésus
étaient inexistantes, mais qui furent introduites, non pas à la suite d'une révélation divine, mais
par la volonté des hommes.
Pour les plus vigilants, il ressort clairement que ces deux jours de fêtes, sont des jours où les
péchés, dans le monde, atteints leur summum : toutes les armées du Diable, ces jours là sont en
alerte, maximum
 La Noël : Une religion qui n’offre pas une vraie conception de Dieu ne peut en aucune
manière provenir de Dieu. Cette fête, comme nous l’avions vu, n’a ni été instituée par
Dieu (vu son sens), ni par Jésus (vu son message durant sa prophétie). Ce n’est donc
qu’une inspiration de la créature la plus malheureuse (Satan). Questions : faut-il, lors de
cette fête, dire « bonne fête » à nos coreligionnaires ? (Nous le verrons inchaAllah dans la
rubrique “ Quelques techniques pour répondre à un Chrétien“. Ou est-il permis de
consommer ce jour leur nourriture ? Ce qu’il faut mentionner de passage, c’est que les
Chrétiens ont eu une nouvelle stratégie pour impliquer davantage les Musulmans dans
leurs fêtes : c’est celle qui consiste à solliciter l’aide des Musulmans pour immoler
éventuellement leurs bêtes et c’est le plus pire d’ailleurs. Les savants musulmans sont
unanimes que c’est ce qu’il faut le plus éviter. Qui d’entre les musulmans ose déposer une
pierre taillée afin d’y immoler dessus un poulet ? Non, je répondrai que NON. Et nous
vous avions clarifié l’origine idolâtre de toutes ces fêtes.
 La Sainte Sylvestre : Ces lignes se passent de commentaires. Mais ce qu’il faut noter ici,
c’est que le nouvel an que nos coreligionnaires festoient à une origine idolâtre (le titre du
document, une fois encore, est sollicité : le polythéisme sous une autre forme) et pour
preuves :
Janvier : C’est le nom d’un dieu que les Romains adoraient nommé JANUS ; il avait deux
visages : un visage regardant l’année écoulée et l’autre l’année à venir. Celui qui fête le
Nouvel an ne fait qu’aider les Chrétiens à adorer cette idole.
Une grande question se pose à ce niveau : faut-il souhaiter « bonne année » le premier janvier
de chaque année ? D’aucuns me qualifieraient de « radical » par rapport à la réponse qui sera
donnée. Mais avant d’y répondre, j’aimerais poser ces questions aux frères et sœurs
Musulmans : Qui d’entre nous à la connaissance de l’existence d’un calendrier islamique appelé
« calendrier hégirien ou lunaire » ? Qui parmi nous sait que ce calendrier est entré dans sa
1432ème années (équivalant à 2011) ? Qui de nous sait encore que ce calendrier à pour premier
mois le mois de Mouharam (équivalant à janvier) ? Qui sait enfin que ce calendrier a aussi
douze mois classés ainsi : Mouharam, Safari, Rabia awal, Rabia sania, Jounada awal,
Jounada sania, Radjab, Chaabane, Ramadan, Chawal, Joul Kada, Joul hiddja ?
C’est au premier jour de Mouharam que nous, Musulmans, devrions nous dire « bonne
année » ; mais comme on l’ignore, on s’acharne sur celui des autres qui, nous l’avions
précédemment dit est d’origine idolâtre.
Si nous nous trouvons dans l’obligation de le dire à chaque Janvier (comme c’est le cas dans les
services, les universités, le quartier,…où les subordonnées, les voisins, sont tenus de souhaiter
bonne année au « patron ») que cela se fasse dans l’intention de l’année islamique pour ne pas
avoir de compte à rendre à Dieu le Jour des Comptes. Mais celui qui peut esquiver ces
accolades, ces salutations, c’est l’idéal. Qu’Allah nous pardonne nos insuffisances.
Février: C’est le jour où les Romains célébraient leur mort, ils faisaient des incantations ;
Mars: C’est le dieu guerre chez les Romains et Grecs. C’est pourquoi le terme « arme
martial » dérive de ce nom,
Avril : C’est la déesse de beauté Aphrodite,
Mai: C’est le dieu Maya,
Juin: C’est la mère du dieu Jupiter (Junot),
Juillet: C’est l’empereur Djouyouss Kayyouss Kayssara (l’empereur Jules César). C’est ce
dernier qui corrigea l’actuel calendrier qui comptait plus de 400 jours. Il le ramena à 365
jours,
Août : C’est l’empereur Augustus (l’empereur Auguste). C’est lui qui corrigea l’erreur
qu’avait commise Jules César. Il y avait toujours des erreurs sur ce calendrier parce que je
me veux ici de rappeler et de souligner avec force qu’il n’y a aucun calendrier sur cette terre
qui soit plus correcte que le calendrier musulman qui suit le cycle lunaire (que les
musulmans ne se gênent surtout pas lorsque les ignorants nous critiquent quand nous
cherchons la lune pour commencer le jeûne de Ramadan, Dieu l’a ainsi fait pour nous
éprouver sinon qu’Il pouvait faire que le Monde Musulman jeûne le même jour et fête le
même jour : rien ne Lui est impossible) .
C’est le Pape Grégoire XIII qui finalisa ce calendrier. Il y avait 10 jours de retard. Et nous
étions un jeudi 4, demain vendredi le Pape Grégoire dit : c’est le 15. Donc du 4 au 15 pour
rattraper l’écart.
 Même les jours de la semaine sont des noms de divinités païennes. Car, dans la mythologie
gréco-romaine, tous les grands personnages étaient des dieux et des fils de dieux. Ce qui
faisait qu’ils avaient tout un container de dieux et de fils de dieux.
 Lundi : C’est le nom de la déesse Lin

 Mardi : C’est le dieu guerre chez les Romains et Grecs ;
 Mercredi : C’est le dieu Mercure ;
 Jeudi : C’est le dieu Jupiter ; le père de tous les dieux.
 Vendredi : C’est le nom de la déesse de beauté Venus ;
 Samedi : C’est le dieu Saturnie ;
 Dimanche : C’est le dieu Soleil. C’est ce jour que l’empereur romain
Constantin le Grand adorait son idole. C’est pourquoi dimanche en Anglais est Sunday (Sun=
soleil, day=jour = Le jour du dieu soleil).
Ce n’est pas Jésus qui ait dit aux Chrétiens de se reposer le dimanche mais plutôt Constantin car
adorant ce jour son idole. Aussi, ce n’est pas lui (Jésus) qui ordonna aux Chrétiens de se rendre
les dimanches à l’église : cela n’existe nulle part dans la Bible.
Interroger par contre un Musulman averti pourquoi il se rend à la Mosquée le vendredi et
pourquoi ce jour est si spécial pour lui ? Il se fera le plaisir de vous renvoyer à une sourate dans
le Saint Coran notamment la 62ème (Sourate le Vendredi).
Pour ainsi dire, à chaque étape de son culte, le Musulman se réfère soit à un enseignement
donné par Dieu soit celui donné par la meilleure des créatures Muhammad (Paix sur lui) ; ce qui
est loin d’être le cas chez nos frères chrétiens qui adorent sans savoir pourquoi ils s’adorent
(c'est-à-dire l’origine de leurs adorations est ignorée totalement par la masse) : c’est la fuite en
avant ou du moins l’adoration en avant ; l’essentiel, c’est que Jésus nous aime, diront-ils, et a
pris tous nos péchés. La créature irrémédiablement maudite (Satan) s’en ait fait de la masse et
la manipule à souhait la faisant nourrir de vains espoirs d’une vaine récompense comptant sur
de vaines adorations.
Qu’Allah les guide ! amine
Je vous invite à écouter ce que dit Exode 20 V 10-11(très surprenant je vous l’avoue): « Mais
le septième jour est le Jour du repos de l’Eternel….Car en six jour l’Eternel a fait les
cieux, la terre et la mer et tout ce qui y est contenu, et Il s’est reposé le septième jour. » ; et
dans Genèse 6 V6 on peut lire : « L’Eternel se repentit d’avoir fait l’homme sur la terre, et
Il fut affligé en Son cœur ». On se permet même de donner des attributs humains à Allah,
Gloire et Pureté à Lui !
C’est clair pour tout être doué du minimum d’intelligence que la Bible actuelle n’est pas la
Parole d’Allah que nous connaissons. Comment Dieu qui créa la fatigue peut se fatiguer ?
Comment Dieu qui créa le repos peut se reposer ? Cela ne peut être vrai. Mais la sagesse
coranique -ce qu’il faudra faire la différence – vient encore une fois nous rassurer de la
conception idéale dont les Musulmans ont de DIEU : Sourate 2 V255 : « Allah, point de
divinité à part lui, Le Vivant, Celui qui subsiste par Lui-même. Ni somnolence ni sommeil ne
Le saisisse »
Peut-être ce sont-ils basés sur ce verset pour se reposer le dimanche ?
 Le Christianisme : nous l’avions signalé, dans les éditions précédentes que Jésus ignorait
le Christianisme et pour preuve : Acte des Apôtres 11 V26 : « Ce fut à Antioche que pour
la première fois les disciples de Jésus furent appelés Chrétiens » et ce sont les adorateurs
de la déesse Astarté qui avaient attribués ce nom aux disciples ( ce sont même pas des
hommes pieux mais des idolâtres qui donnèrent ce nom et les Chrétiens d’aujourd’hui n’y
travaillent pas pour changer ce nom : On pouvait comprendre si ce nom avait été donné par
un homme de Dieu, mais un idolâtre, ça n’augure rien de bon). Les dogmes de la religion
chrétienne sont au nombre de cinq à savoir :
Le baptême : Pour justifier cela, Luc dit dans son évangile : « Quiconque aura été
baptisé, entrera au ciel, et quiconque n’aura pas été baptisé, aura pour sa part le feu
d’éternel ». Ah bon ! Qui leur ait appris de fausse allégation comme celle là ? (la créature
la plus misérable peut être ou sans doute lui). Nous leur répondrons inchaAllah dans la
rubrique suivante ;
La foi en la Trinité : loi très fondamentale chez les Chrétiens. Les chrétiens croient que
Dieu est Triple (Que Dieu nous garde de partager pareille doctrine, amine), que Jésus est le
fils de Dieu, et possède deux natures, une humaine et une divine, qui se sont fondues en
une seule et même chose. La nature humaine est devenue homme complet, engendré, créé,
et la nature humaine est devenue Dieu complet, Créateur, incréé. Tout homme de sens
rassis comprendra que quiconque possède une parcelle de raison se détourne d’une telle
croyance qui, tout au plus, peut amuser les enfants, mais dont rient les hommes
intelligents. Nous leur répondrons également dans la rubrique qui suit. Ce qui est à
souligner, c’est qu’il existe deux sortes de Trinité : La Trinité Catholico- protestante qui
consiste à croire que Dieu est Triple : le Père, le Fils et le Saint Esprit, et la Trinité
Sabellianiste ou Patripatianiste.
Cependant, Il est curieux que Jésus lui-même n'ait jamais mentionné la Trinité. Il ne dit
absolument rien des trois divines personnes dans la Trinité.
La doctrine de la Trinité a été développée plus de trois cent ans après la disparition de Jésus.
Elle est le plus grand mensonge que l’humanité ait connu. Le plus grand ennemi des chrétiens
après Satan, c’est le doute : un doute constant qui trouble sommeil et appétit. Ils savent au fin
fond d’eux mêmes que leur culte est nul et non avenu mais ils persistent, s’obstinent et
s’entêtent surtout leurs dirigeants qui ont connu la vérité depuis la nuit des temps mais se
disent : « on ne peut faire marche arrière puisque des milliards de personnes nous suivent et
nous regardent, on n’est tenu d’entretenir ce faux ». C’est pourquoi ils continuent d’haranguer
les foules dans les lieux de culte, les manipulent et les faire de vaines promesses. Ainsi, aucun
chrétien dans le monde ne pourra vous fournir des explications convaincantes sur la question de
la Trinité puisqu’il s’agit d’une doctrine pèle mêle montée par les chefs d’églises. Je me suis
étonné comment une foi allant aussi loin à l’encontre de la raison pouvait encore attirer un
nombre si immense de gens dans le monde ?
La croyance de l’incarnation de l’hypostase du Fils dans le sein de Marie (prière sur

elle) .Sachez ô lecteurs, que les Chrétiens croient que Dieu aurait puni Adam et sa
postérité, à cause du péché d’Adam. Puis Dieu ayant eu compassion d’eux et voulant leur
faire grâce en les faisant sortir du feu, a envoyé Son Fils qui s’est incarné dans le sein de
Marie, qui a pris le corps de Jésus et est devenu homme et dieu. Mais, Jésus, selon eux
n’avait d’autre moyen de faire sortir Adam et sa postérité du feu que sa mort sur la croix.
Ce sont des paroles qui viennent d’eux mêmes ; ils n’ont reçu aucune science de la part de
Dieu leur enseignant pareille déviation.
Allah, ne nous fait pas écarter de cette voie après nous avoir guidé vers la Vérité (l’ISLAM).
L’Eucharistie : Par là, les chrétiens se nourrissent de vaines illusions et des souhaits en
croyant qu’un morceau de pain azyme, après quelques paroles d’un prêtre, devient à
l’instant même le corps de Jésus. De même quelques incantations que le prêtre lit sur une
coupe de vin, changent automatiquement ce vin en sang de Jésus. Si vous faites le constat,
surtout dans les cérémonies, où le prêtre lui-même place ces morceaux de pain dans la
bouche des fidèles (y compris les femmes ; vous comprenez combien le prêtre s’expose, en
matière de tentations, en plaçant une nourriture dans la bouche d’une femme qui n’est pas
la sienne). En tout cas, nous sommes convaincus que Jésus qu’ils prétendent suivre n’a
jamais mis lui-même la nourriture dans la bouche d’une étrangère (femme qu’on a le droit
de prendre pour épouse). Nous sommes encore convaincus que si cette manie n’a jamais
été enseignée par Jésus ; il est donc clair que la créature la plus reprouvée (Satan) y ait
activement participé à l’institution d’une telle pratique.
La confession des péchés aux prêtres (les prêtres sont devenus en eux-mêmes des dieux à
telle enseigne que certains vont leur demander absolution des péchés. Allah, ne nous égare
pas comme ceux là, amine amine amine) : Sachez, ô lecteurs que les Chrétiens pensent et
croient fermement que, pour entrer au ciel, il faut absolument confesser ses péchés au
prêtre, et que le fait d’avoir caché au prêtre un seul de ses péchés rend la confession de
tous les autres nulle. Chaque année, lors de leur carême, ils se rendent dans les diverses
églises pour confesser au prêtre tous leurs péchés. Le reste de l’année, ils ne se confessent
qu’en cas de maladie ou de danger de mort. A leurs yeux, tout péché pardonné par un
prêtre est pardonné par Dieu.
C’est pour cette raison d’ailleurs que le Pape accorde à qui il veut des certificats de pardon
des péchés, d’affranchissement de l’Enfer et d’entrée au Ciel. Il reçoit en retour de grandes
sommes d’argent. Ledit certificat est déposé dans le cercueil où les intéressés sont fermement
convaincus qu’en vertus de ces certificats, l’entrée au Paradis est un acquis.
Demander à tout Chrétien rationnel envers lui-même s’il a vu, en furetant les Evangiles, les
Apôtres, Marie (Prière sur elle) et autres, confesser leurs péchés à Jésus qui est mieux placé par
rapport aux prêtres ? Cela n’existe nulle part. Les dirigeants de l’église ont simplement
introduit ce vice pour pouvoir soutirer de l’argent aux chrétiens.
 A l’église : Les fidèles Chrétiens entrent dans leur lieu de prière avec les chaussures. Or,
rappelez vous quand Moïse (prière sur lui) allant à la rencontre de son Seigneur sur le Mont
Sinaï. Quand il fut arrivé, Dieu lui dit : « Enlèves tes chaussures Moïse, car tu es dans un
lieu pur ». Des chaussures, nous le savons tous, entrent dans les lieux les plus répugnants.
Les croix (de Jésus), les statues (de Marie) et autres sont des autels où les chrétiens se
permettent de s’y prosterner, de s’y humilier. Or, Dieu fut clair au sujet des statues dans
Exode 20 V 4- 5 : « Tu ne te feras point d’image taillée, ni de représentation
quelconque des choses qui sont en haut dans les Cieux, qui sont en bas sur la terre, et
qui sont dans les eaux plus bas que la terre. Tu ne te prosterneras point devant elles. »
Des femmes chrétiennes, se rendant à l’église, des mèches jusqu’aux dos découverts, des
poitrines et cuisses exhibées et extériorisées aux vus et aux sus de tout le monde (choses qui,
nous l’ignorons pas, peuvent troubler plus d’un homme normal dont le Pasteur donnant la
messe), femmes et hommes s’asseyant à quelques millimètres de distance l’un de l’autre,
femmes défilant trop souvent devant le Pasteur pour les quêtes etc. Décidément, le Pasteur, ce
doit être quelqu’un de courageux, de très courageux, voire de trop courageux même. Comment
la messe peut –elle être dite dans cette folie de tentations surtout que nous nous rappelons de ce
que la meilleure des créatures de tous les temps Muhammad (nous ne parlons pas sous l’effet
de notre passion mais c’est Dieu Lui-même qui lui ait d’attribuer cette distinction : prière sur
lui) nous a dit : « Je n’aie laissé de tentation plus néfaste pour les hommes que les femmes ».
Et comment voulez vous que les Anges descendent dans ces lieux –comme c’est le cas dans les
mosquées- dans de pareilles situations ? Heureusement l’Islam, seule religion agréée de Dieu
(nous ne sommes pas en train de faire la publicité de l’Islam, non. Et personne ne serait le nié à
moins d’être enchaîné dans les liens de la créature la plus détestée (Satan)) n’a rien laissé
paraître de tout cela : dans les mosquées, les femmes sont placées en arrière (cela n’est pas une
marque de dépréciation pour elles), même dans les assemblées ; elles sont couvertes de leurs
voiles (ce qui est d’ailleurs recommandé dans le Christianisme authentique) ; les chaussures
mises à l’entrée etc. Mieux, l’histoire a démontré avec la dernière évidence que le Coran est
réellement la parole d’Allah (le seul n’ayant subit aucune altération) à tel point que ceux là
seuls qui ont perdu tout espoir en la miséricorde divine peuvent le nier.
Ce ne sont pas des blasphèmes à l’endroit du Christianisme, loin de là, mais vous faites au
même titre que nous ces constats dans notre capitale.
 Le jeûne chrétien : Selon les Chrétiens, Jésus aurait fait 40 jours dans le désert sans
nourriture : un justificatif à leur jeûne. Il tire cela dans Mathieu 4 V 1 : « Après avoir
jeûné 40 jours et quarante nuits, Il eut faim ».
Même si nous ne nous attablerons pas à vérifier l’authenticité de cette assertion, vérifions
ensemble le jeûne de nos frères coreligionnaires actuels. Du même coup, nous les invitons à
retourner à la définition du mot jeûne dans le petit Larousse. Nous lisons ceci : Jeûne (au sens
religieux) : se priver de nourriture, de boisson, de plaisir (sexuel) et se consacrer à Dieu pendant
une période (un temps donné).
Eh bien ! Nos confrères n’ont pas cerné le sens de cette définition. C’est ainsi que nous
constatons avec plus d’étonnement que ces derniers, pendant la journée, se gavent de
nourriture et boisson. Ou encore, ils accusent à tort certains aliments tels la viande ; le poisson
de ne pas être consommés pendant la journée (Quelle science ont-ils reçu par rapport à cet
agissement ? La question reste sans réponse). Est-ce le verset affirme que Jésus mangea en
longueur de journée comme le font nos coreligionnaires ? Encore une fois, la créature la plus
méprisable (Satan) est sollicitée : un jeûne de pure passion qu’il inculque aux chrétiens.
D’autres encore plus égarés divisent de moitié leur ration alimentaire journalière (jamais nous
n’avions vu pareille culte chez les anciens !)
QU’ALLAH LES FASSE REVENIR A LA RAISON !!!!
 Les miracles : Il parait que les prêtres ou les pasteurs font des miracles de guérison, de
délivrance …
Avant de décrypter ces soit disant miracles, permettez nous de nous inspirer d’un livre de BEN
Halima (ce prédicateur musulman pratiquant professionnellement la roqui’a qui est la guérison
par le coran). Dans ce livre (roqui’a 3), il fit une expérience : il fit appel au plus grand génie
chrétien au monde (cela, en récitant des versets coraniques, rien de plus normal d’ailleurs
surtout que la pratique de la roqui’a fut reconnue par notre Prophète -Paix sur lui-).C’était un
génie vivant au Vatican.
- Bonjour ! lança B. Halima
- Bonjour ! répondit le génie !
- Pourquoi vous êtes toujours chrétien alors que vous savez que Jésus n’était venu que pour
les Juifs ?
- Effectivement, je le sais. Mais si nous nous retirons, tout le monde saura la vérité ; c’est
ainsi qu’on inspire au prêtre, pasteur, pape et autres dirigeants de l’église, la sensation
d’être toujours sur la bonne voie.
- Donc devient alors musulman !
- …
- Comme tu doutes, enlèves, dit B.Halima, la croix que tu portes au cou et dit ceci « Il n’y a
de dieu que Dieu et que Muhammad est le messager de Dieu. » et regardes ce qui va se
passer. (après avoir récité cette profession de foi, le génie constate que sa lumière a
augmentée vertigineusement).
- Mais ma lumière a grandit, constata t-il (chez les génies, explique B.Halima, quand ils sont
dans le bien, ils reçoivent une parfaite lumière ; par contre les plus pécheurs sont noirs).
- Mais ma lumière est en train de baissée, constata de nouveau le génie (en fait, après avoir
prononcé la Chaada, il avait toujours un doute quant à la prophétie de Muhammad et il
croyait toujours à la divinité du Christ raison pour laquelle sa lumière diminua quoiqu’il ait
prononcé la Chaada)
- Dit moi, reprit B.Halima, peux tu me dire comment les pasteurs font des miracles de
guérison ?
- En fait, ils lient un pacte avec nous. Et nous, à notre tour les mettions en contact avec les
génies qui ne connaissent que le mal. Donc, lors de la séance de guérison, le génie qui est à
l’origine du mal du patient est chassé du corps de celui-ci par les génies avec lesquels le
pacte fut lié. Résultat : plus de génie dans le corps, plus de maladie par conséquent le patient
est automatiquement guérit. Mais, il est à noter, continua le génie, que le pacte contient des
clauses contraires à la foi telles le sacrifice de nouveaux nés et autres choses maléfiques.
A la fin de la conversation, le génie s’est converti et le même jour il a été à l’origine de sept
génies convertis au Vatican.
C’est ainsi que pour ceux qui suivent l’actualité en Côte d’Ivoire, un féticheur d’origine
béninoise a été emprisonné pour la simple raison qu’il avait témoigné que plusieurs pasteurs le
consultaient pour faire « marcher » leurs églises.
Et les sacrifices demandés aux intéressés étaient un sacrifice de bébés. Et ainsi, les bébés tués,
certaines parties de leurs corps étaient enterrées dans ces églises d’où l’explication de leurs
miracles.
Outre toutes ces mascarades, regardez vous-mêmes dans quelle circonstance ces séances de
délivrance sont opérées ? : Le pasteur qui pose la main sur la patiente (cas d’une femme). C’est
justement ceci qui sème le désordre chez nos frères : Ne savent-ils pas que la femme est la
dernière flèche de Satan qu’il sort de son carquois contre celui qu’il a tenté de séduit sans
succès ? Que les femmes nous excusent à ce niveau. Comment le pasteur peut-il se permettre de
mettre la main sur une femme qui n’est pas la sienne et prétend que ces miracles de guérison
proviennent de Dieu ? Non, monsieur ; ils viennent plutôt de la créature la plus bannie (Satan)
car Dieu n’aide jamais quelqu’un en erreur même un prophète (rappelez vous quand notre
prophète avait omis de dire « s’il plaît à Dieu » après que des juifs lui eurent posé la question
quant à la position de l’âme –d’autres parlent d’une question sur les hommes de la caverne-. Il
avait dit : « Venez demain je vous donnerai la réponse » ; oubliant de dire InchaAllah. Dieu ne
lui avait rien révélé pendant 15 jours jusqu’à ce que les indécis commencèrent à douter de sa
mission. Après les 15 jours, Dieu lui dit : « Mohammad, ne dis jamais que tu feras quelque
chose demain sans dire InchaAllah).
Lui, c’est un prophète à plus forte raison un pasteur (chargé de péchés).
A la fin de la séance de guérison, le pasteur dit ceci : « sois guéris au nom de Jésus ». Or,
écoutons à ce propos Luc qui fait parler Jésus dans Actes des Apôtres 2 V 21 : « Alors,
quiconque invoquera le nom de mon Seigneur sera sauvé »
Pire, Jésus va chasser ceux qui prétendre faire des miracles le jour de la résurrection en
témoigne ce passage dans Mathieu 7 V22-23 : « Plusieurs me diront ce jour là : Seigneur,
n’avons-nous pas réaliser beaucoup de miracles en ton nom ? Alors je les dirai
ouvertement : éloignez vous de moi, je ne vous aie jamais connu vous qui commettez
l’iniquité ». Jésus sait que ce sont des miracles réalisés au nom de la créature la plus détestée
(Satan) et non en son nom car n’ayant jamais appris une telle pratique à ses apôtres.
Mais ce qui est curieux, c’est que ce sont ces soit disant miracles qui drainent la plupart des
instables (surtout les musulmans faibles de foi et d’esprit comme celles qui ce sont détournées
de l’Islam au profit du Christianisme en cités Kossodo et Patte d’Oie). Donc l’humanité et tous
ce qui cherchent la vérité sont avertis.
 La prière chrétienne : La prière chrétienne, chers lecteurs est de trois sortes : une qui est
authentique et les deux autres sont l’œuvre de notre plus grand ennemi (Satan).
 La première forme consiste à s’adresser directement à Jésus : « Jésus fait moi ceci, fait moi cela,
pardonne mes péchés, donne nous notre pain quotidien, sauve nous, guéris moi……… ». C’est
la forme la plus pire car Jésus étant considéré ici comme Allah (Exalté soit Son Nom), Celui là
qui a créé Jésus. Et c’est la forme la plus répandue : l’idolâtrie déguisée une fois encore. En
voyant cette manière de prier, ne pensez-vous pas, ô chers lecteurs, au vieux du village se
recueillant avec ferveur devant sa pierre dressée qui lui tient lieu de dieu ? Bien sûr que si. Il y a
certains plus « extrémistes » encore qui adressent leur prière à Marie (Mère de Jésus). Une de
ces prières commence comme suit : « Je vous salue Marie, mère de Dieu…., pardonnes nos
péchés ». Nous répondrons à ce groupe s’il plaît à Celui qui nous a créé donc le Nom n’est pas
Jésus mais ALLAH en Arabe.
 La seconde forme consiste à adresser sa prière à Dieu mais tout en pensant que Jésus est Dieu
ou Fils de Dieu. Encore une déviation. Jésus n’a JAMAIS été Dieu encore moins Fils de Dieu
comme nous l’avions dit dans la première partie de la première édition.
 La dernière forme, authentique donc, consiste à adresser sa prière à Dieu tout en croyant que
Jésus (Que la paix d’Allah soit sur lui) est un saint serviteur de Dieu, seulement un saint
serviteur et Son envoyé, pas plus. D’ailleurs, c’est la forme qui fut utilisée par les Apôtres de
Jésus dans leurs requêtes à Dieu, qui est la meilleure d’ailleurs. Cette forme, de nos jours a
disparu.
De passage, nous aimerions souligner un aspect de cette prière très peu orthodoxe : Ce sont les
danses et les chants (drôles façons de vouloir obtenir quelques grâces auprès du Dieu
Créateur : du n’importe quoi !!!). En effet, les Evangiles ont fait dire à Jésus ceci : « Chanter,
c’est prié deux fois ». Où dans Ephésiens 5 V 19 : « Ne vous enivrez pas de vin (il interdit
même le vin ici) : c’est de la débauche. Soyez au contraire, remplis de l’Esprit, entretenez
vous par des psaumes, par des hymnes, et des cantiques spirituels, chantant et célébrant
de tout votre cœur les louanges du Seigneur ». Nous savons que Jésus n’a pas dit une telle
chose ; ce sont les Chrétiens qui l’ont introduit dans la Bible pour justifier leur amour passionné
et passionnel des danses et chants. C’est ainsi que nous constatons, chaque dimanche, dans
diverses églises et Chapels de notre capitale, les Chrétiens dansés et chantés à la queue leu leu
(c’est vraiment une danse). J’ai été moi-même un témoin oculaire (véritable partie de plaisir
pour eux) où la danse était organisée comme suit : On s’aligne en fil indienne l’un attrapant la
hanche de celui ou celle qui le suit (une chose à mentionner : c’est que lors de la danse, un
homme s’arrête derrière une femme et une femme suivant immédiatement l’homme qui lui
précède de sorte à former un cercle : on panache en fait). Et l’on commence à trottiner d’avant
en arrière, en soulevant tantôt le pied gauche, recourbant de temps à autre le dos ; tout ceci sous
le rythme plus que envoûtant d’un tam-tam ou autres instruments de musique des plus
modernes. En tout cas les Chrétiens, si l’on en juge par la masse que ces chants et danses
drainent et le plaisir qu’ils y tirent, ne sont pas prêts à abandonner en si bon chemin.
Non, vraiment non, Jésus n’a pas enseigné une telle pratique.
Un homme sérieux, équitable, et rationnel envers lui-même saura que, réellement, de telles
cacophonies ne sauront provenir de Dieu et attirées Ses bénédictions.
C’est pourquoi si vous faites le constat dans notre capitale les dimanches, la majeure partie de
ceux qui se rendent dans les églises sont les femmes et les enfants car ces deux genres humains
sont ceux là qui sont attirés par tout ce qui est amusant et distrayant. Vous ne verrez nulle part,
celui qui se respecte (je pense par exemple à notre chef d’Etat ou plus loin le fanfaronnant
premier ministre tous des chrétiens) se mettant à danser dans une église. Ils sont très soucieux
de leur personnalité pour aller se faire ridiculiser ainsi dans un lieu de culte. C’est ainsi qu’en
cités Kossodo et Patte d’Oie, trois de nos sœurs nous ont échappé (ou du moins Allah les ait
chassé de Sa religion) au profit de nos coreligionnaires. Ce n’est que partie remise (même si
nous n’oublions pas de vous informez que de notre côté, dans ces dites cités, avions récupéré
par la grâce d’Allah sept des leurs et sachez que nous ne sommes pas en phase de nous arrêter
à sept seulement surtout que tous les frères et sœurs, chacun de son côté, ne cesse d’appeler nos
confrères vers la Vérité ). A titre de rappel à ces sœurs apostates – si elles nous lisent-, qu’elles
sachent que leur sortie de l’Islam ne réduira en rien Dieu à l’impuissance, que Dieu, chaque
jour que le soleil se lève sur notre globe, ne cesse de les remplacer par d’autres meilleures
qu’elles, qu’elles ont saisi l’ombre au lieu de l’objet, qu’elles s’attendent à l’humiliation de
Dieu (ici bas, dans la tombe et dans l’au delà)– à moins qu’elles ne reviennent à l’Islam-.
QU’A L L A H N O U S A S S I S T E ! ! !
 « La mort et la résurrection de Jésus » : Nous n’allons pas entièrement revenir sur ce

sujet qui, pour les assidus lecteurs, a déjà été soutenu par des arguments dignes de leur nom
dans la première édition. Nous nous contenterons de donner des versets bibliques qui
militent dans le même sens que celui du Coran: « Et à cause de leur parole : nous avons
vraiment tué le Christ, Jésus, fils de Marie, le Messie d’Allah…Or ils ne l’ont ni tué ni
crucifié ; mais ce n’était q’un faux semblant ! »
Etienne Charpentier, qui est un prêtre catholique, écrivit dans son livre intitulé « Comprendre
le Nouveau Testament »: « Ce que les Chrétiens appellent péché originel ne se trouve pas dans
les livres de la Genèse, mais plutôt dans les épîtres de Paul en l’occurrence les écrits de Paul
aux Romains ».
Ç’est plus que étonnant : Adam et Eve ont commis leur péché dans l’Ancien Testament c'est-à-
dire c’est l’ensemble des livres de cet Ancien Testament qui nous relatent le péché de notre
Père et de notre Mère. A notre grande surprise, ce n’est pas dans ces livres que nous retrouvons
la doctrine ou la théorie du péché originel, mais dans les épîtres de l’homme tristement célèbre
(Paul). Justement, c’est pour justifier cette fausseté, que Paul inventa sa théorie de la mort et la
résurrection de Jésus. Parlant de ce péché originel, la Bible déclare à l’endroit de la femme :
« Comme tu as écouté le mensonge du serpent (qui l’incita à manger le fruit), tu
enfanteras dans la douleur » et à l’endroit de l’homme : « Comme tu as goûté au fruit
défendu, tu mangeras à la sueur de ton front ». Il faudrait que les chrétiens se posent cette
question : depuis que Jésus est mort –pour nos péchés selon eux-, est-ce que les femmes,
surtout chrétiennes ont cessé d’enfanter dans la douleur ? Pourquoi, nous les hommes, surtout
chrétiens, continuions à manger à la sueur de notre front ?
Est-ce que Dieu était-il un américain ? C'est-à-dire quand ils frappent un pays d’un embargo,
même si l’on a résolu le problème, continuent de maintenir cet embargo ? Jésus est mort pour
nos péchés, pourquoi souffrons-nous encore à cause de ces péchés que Jésus a ôtés ?
Les chrétiens se font des promesses de Paradis par ces vaines illusions. Allah nous dit dans Son
dernier livre au chapitre 82 verset 19 : « Le jour où aucune âme ne pourra rien en faveur
d’une autre âme…» et la Bible dans Ezéchiel 18V20: « Le fils ne portera pas l’iniquité du
père et le père ne portera pas l’iniquité du fils. La justice du juste sera sur lui et la
méchanceté du méchant sera sur lui ». C’est clair pour tous que Jésus (prière sur lui) ne peut
se charger des péchés que nous avions commis (je pense notamment à Hitler, l’homme qui s’est
illustré sanguinairement dans les livres d’or de l’histoire et des épopées)
Qu’Allah guide ces mesdames et messieurs qui suivent toujours cette doctrine.
La vérité étant une, écoutons ensemble Paul, se mélangeant les pinceaux et confirmant
inconsciemment le verset coranique cité plus haut. Il dit dans 1 Corinthien 15 V15 ceci : « Il
se trouve même que nous sommes de faux témoins à l’égard de Dieu, puisque nous avons
témoigné contre Dieu qu’Il a ressuscité Christ, tandis qu’Il ne l’aurait pas ressuscité, si les
mort ne ressuscitent point. Car si les morts ne ressuscitent point, Christ non plus n’est
pas ressuscité. Et si Christ n’est pas ressuscité, votre foi est vaine, vous être encore dans
vos péchés, et par conséquent aussi, ceux qui sont mort en Christ sont perdus. Si c’est
dans cette vie seulement que nous espérons en Christ, nous sommes les plus malheureux
de tous les hommes. »
Et mieux, le chapitre 5 verset 7 aux Hébreux vient parfaire tout : tendez l’oreille et
écoutez : « C’est lui (Jésus), dans les jours de sa chair, adressa sa prière accompagnée de
grands cris et des larmes à Dieu qui pouvait le sauver de la mort, et Dieu l’écouta à cause
de sa soumission ».
« Dieu l’écouta à cause de sa soumission ». On n’a pas trop besoin d’être un fin analyste pour
déduire de ce verset que Jésus fut sauvé de la mort, qu’il ne mourut pas à la croix.
Mieux, Jésus n’a put être saisi par les Juifs. Lui-même le dit clairement dans Jean 7 V34 :
« Vous me chercherez et vous ne me trouverez pas, et vous ne pouvez venir où je serai. ».
Luc dans son chapitre 22 V 42-45, nous dit, comme Dieu l’a dit, que je Jésus fut élevé au
Ciel : « Père, si Tu voulais éloigner de moi cette coupe (sous-entendu : la mort) ! Toute
fois que ma volonté ne soit pas faite mais la tienne ! Alors, un Ange lui apparu du Ciel,
pour le fortifier (pour l’élever vers le Ciel) ».
Luc, ici remplace élever par fortifier car n’ayant pas assisté en personne à l’évènement. Ce Luc,
pour vous rafraîchir la mémoire, fut le disciple du personnage tristement célèbre : Paul, car
ayant été la cause de la conversion de Luc. C’est pourquoi, Luc dans ses écrits (Actes des
Apôtres) glorifie tant et si bien Paul qu’il raconte avec faste la fameuse vision de Paul se
rendant à Damas.
Il serait inconcevable qu’un Ange, tout un Ange, puisse se déplacer dans le seul but de fortifier
uniquement : Non.
Lors de notre première édition, nous avions pu démontrer sur base des écritures des Evangiles
que Jésus fuyait la mort, qu’il ne voulait pas mourir. Si Jésus était venu pour se faire tuer,
pourquoi encore fuir la mort ? Et rappelez vous quand le Prophète Jonas (prière sur lui) s’était
détourné de son peuple (les Ninives), Dieu le lui avait reproché c'est-à-dire lui reprochant de
son abandon de sa mission prophétique. Si la mort de Jésus était dans le plan de Dieu et lorsque
celui ci prenait à chaque fois la poudre d’escampette ; Dieu lui aurait reproché cela en envoyant
peut être un Ange lui dire : « Mais pourquoi tu fuis, c’est pour cette raison que je t’avais
envoyé ! Pourquoi tu fuis ? ». Mais, nous n’avions vu, nulle part dans la Bible où un reproche
lui ait été fait à ce niveau.
La Bible nous apprend également que la créature la plus honnie (Satan) était entrée en Judas et
l’avait incité à livrer son maître. Ce n’est pas un Ange ! Parce que, si c’était Dieu qui avait
envoyé Son serviteur Jésus pour se faire tuer, il fallait qu’un Ange entre en Judas pour livrer
Jésus. Mais ici, c’est le Diable en action qui s’est emparé du corps de Judas. Qu’Allah les guide
vers la Vérité.
 La rédemption par le sang de Jésus : Les Chrétiens s’encouragent mutuellement avec ce

slogan : « Jésus est mort pour nos péchés, il suffit de croire à cette mort ». Rien que de
vaines promesses, rien que des flatteries, rien que des illusions, rien que de vains espoirs,
rien que des souhaits, rien que, rien que… Et comment la créature la plus maudite (Satan) a-
t-il pu les aveugler au point de les porter à croire pareille chose impossible, contraire à la
raison et à la nature des choses ? Tout cela est absurde et s’accorde difficilement avec la
raison humaine.
(Comme l’on a fait dit ici à Jésus cette parole et nous savons qu’il n’a rien dit de cela mais
simplement une parole qui lui ait été introduite dans la bouche par les évangiles) Jésus selon
Luc dans son chapitre 23 au verset 34 a dit lorsqu’il était à la croix : «Père ! Pardonne-
leur car ils ne savent pas ce qu’ils font ». Comment ça ! Mais c’est une contradiction
manifeste ! C’est ta mort qui allait leur procurer le pardon et le salut et toi tu demandes
encore à Dieu de leur pardonner ? Pourquoi demander pardon à Dieu si cela (ta mort)
figurait dans le plan de Dieu ? Il demande pardon tout simplement car les Juifs, par sa mort,
commettaient un meurtre or Dieu dit dans Exode 20 V 13, dans les 10 Commandements :
« Tu ne tueras point »
Tout ceci est plus que limpide. Nous n’inventons rien.
Que Dieu nous préserve de nourrir à Son sujet de telles croyances. Amine !
III. Quelques techniques pour répondre à un Chrétien
Les Chrétiens (Qu’Allah les fasse revenir à la religion qui nous concerne tous : l’Islam) ont
adopté diverses stratégies pour surprendre les Musulmans non avertis ; et voilà comment ils
procèdent quand ils veulent aborder un Musulman :
Un jour, pendant que nous étions en cité Kossodo, nos coreligionnaires sillonnaient les artères
des bâtiments et ils atterrirent dans notre chambre (bien que nous avions écrit en écriture Arabe
sur notre porte, cela ne les empêcha pas d’y faire irruption, vous voyez, ceux qui ne tiennent
pas la Vérité ne se lassent pas d’appeler vers leur déviation, que dire de nous, Musulmans, qui
monopolisons la Vérité -Islam- ?).
Nous leur avions accueilli comme il se devait et au même coup, avions demandé les motifs de
leur visite. Leur guide, prenant la parole dit :
- Il n’y a rien de grave, c’est juste pour vous apportez la bonne nouvelle. Mais tout d’abord il
serait judicieux que nous nous présentions. Moi c’est Inoussa, je suis étudiant (question de
nous faire comprendre explicitement ceci : vous voyez, c’est un Musulman, il est devenu
Chrétien car il a savouré le vrai salut qu’offre Jésus, vous pouvez en faire autant et c’est
pourquoi nous sommes là).
Commençant son prêche, il dit :
- Vous savez, que dans le temps, Dieu avait imposé aux anciennes générations les sacrifices
pour pouvoir se rapprocher de Lui. Ces sacrifices étaient constitués de bêtes et autres. Mais,
plus le temps s’égrainait, les peuples ne cessaient de commettre des péchés et des injustices
sur terre. Or vous convenez avec nous que les péchés constituent une barrière entre nous et
Dieu ? Est-ce que vous êtes d’accord ?
- Continuez, avions dit (car nous savions à quoi il voulait en venir)
- Non, répondez d’abord à cette question insista-il.
- ….
- Bon ! comme vous semblez hésités, sachez tout simplement que pour purifier ces
communautés, Dieu remplaça le sacrifice des animaux par un sacrifice humain, plus pur : il
s’agit de Son Fils unique Jésus de Nazareth. Et il vous tend sa main et il suffit que vous
dites : « Seigneur Jésus, nous t’acceptons comme sacrifice pour l’humanité » pour avoir la
vie éternelle (décidément le néophyte nous prenait pour des profanes, voulant nous faire
annuler les longues années d’adoration que nous avions perpétrées en quelques secondes.
Car un Musulman qui le dit, Allah n’a que fait de son culte fusse t-il 1000 ans).
Je ne vais continuer la suite de cet épisode, mais interpeller les Musulmans à plus de
vigilance quand ils nous accostent. C’est ainsi qu’ils ont pu escamoter les quelques sœurs
que nous avions citées plus haut. C’est pourquoi nous insistons pour que les frères et sœurs
s’approprient nos éditions, qui, nous pensons, peuvent permettre à plus d’un Musulman de
rester en garde contre ces insinuations du Diable et de ceux qu’il utilise à son service.
Nous n’exigeons de personne de nous donner même un (1) FCFA. Car ces éditions n’ont
pas été rédigées dans le but de tirer les profits passagers de ce monde, qu’il soit matériel, de
prestige ou de reconnaissance. Mais nous le faisons pour Allah et pour l’amour de l’Islam
que nous portons dans notre cœur. Et prêcher l’Islam (par écrit) n’est pas un travail ; ce
n’est pas mon travail : mais c’est un devoir sacré que je me veux de rendre à l’Islam.
Qu’Allah nous intègre parmi les graciés de Son Paradis.
Allah, ne nous fait, ne fusse que quelques secondes, douter de Ta religion !
Voici, quelques astuces pour repousser avec la dernière énergie les prétentions des frères
Chrétiens.
1. Un chrétien peut vous parler de la Trinité et lorsque vous vouliez lui montrer la logique
des choses, il vous dira : « la Trinité est un mystère que personne ne peut comprendre
c'est-à-dire qui dépasse notre esprit et notre entendement donc il faut la prendre comme
telle ».
Nous, étant Musulman disons ceci : « effectivement c’est un mystère. Mais de quel
mystère s’agit-il ? C’est le mystère de l’ignorance et de l’apostasie qui nous a été
enseigné par Muhammad (Paix sur lui). Car Dieu ne nous a jamais soumis à quelque
chose qui serait supérieure à notre compréhension. Il dira : « Tu n’es pas investi du Saint
esprit pour le Comprendre et comprendre la Bible ». Demander si lui est assisté par le
Saint Esprit puisqu’il prône sa doctrine avec la Bible. Qu’est ce qu’il a de plus que vous
et qui feriez que lui est assisté alors que vous ne l’être pas ?
Généralement, ils utilisent cette phrase « être assisté par le Saint Esprit » dès lors qu’un
Musulman lui démontre son erreur. Ils disent que nous ne sommes pas à même
d’interpréter les Evangiles (comme s’ils avaient un cerveau différent de celui qu’ont les
Musulmans). On lui dira ceci, parlant de la Trinité :
- Monsieur, vous prétendez que la Trinité est une histoire de personne : c'est-à-dire qu’il n’y a
pas trois dieux mais un seul Dieu ayant rempli trois fonctions : Père, Fils et Saint esprit et
vous avez appelé cela mystère. Alors, dites nous : laquelle de ces trois personnes a créé les
autres ? Est-ce le Père qui a créé le Fils et le saint esprit ? Où le Fils qui a créé le Père et le
Saint Esprit ? Où le Saint Esprit qui a créé le Père et le Fils ?
- Mais c’est le Père qui créa le Fils et le Saint Esprit répondra t-il (même s’il avait pris une
dose d’opium, il ne pouvait affirmer que c’est le Fils qui créa les deux où c’est le saint esprit
qui les créa ) !
- Alors ! si c’est le Père qui créa les deux autres, parce que c’est le Père qui tira le Fils et le
saint esprit du néant à l’existence, c'est-à-dire sans le Père, le Fils n’est rien le saint esprit
n’est rien alors que sans le Fils et le Saint esprit, le Père est Père ; en d’autres termes Dieu
est Dieu avant comme après la création et nul n’est égal à lui, pourquoi mettez vous les trois
au même pied d’égalité ?
Qu’Allah ne nous égare pas après nous avoir guidé vers la Vérité !
2. Un Chrétien peut vous affirmer ceci : « Jésus est le seigneur des seigneurs, le Dieu
véritable, celui qui ne croit pas à ça n’a pas la vie éternelle ». Cela voudrait dire q’il croit avec
la plus grande des convictions que Jésus est Dieu (gloire et pureté à Allah pour tout ce qu’on
Lui associe). Nous lui poserons cette question –pour rejeter la divinité du Christ-
- Monsieur, vous prétendez que Jésus est le créateur de l’univers, le Dieu tout puissant alors
dites nous : « Jésus Christ, a-t-il été Dieu dans le ventre de sa mère ou non ? si oui, donnez
les preuves ; si non, quand dévient-il Dieu ? » Parce que vous dites Marie, mère de Dieu.
Nous respectons Marie ; il y a toute une sourate portant son nom.
- …. (il ne peut répondre)
- Si vous dites qu’il le fut dans le ventre de sa mère, je vous direz qu’il n’y a aucun verset
dans la Bible où Jésus dit : « J’ai été Dieu dans le ventre de ma mère »
- Non, Jésus a été Dieu après sa naissance repris-il!
- Mais monsieur, Dieu ne devient pas Dieu. Dieu est avant comme après la création et rien ne
Lui ressemble.
Il est connu de tous que Dieu n’a pas de commencement (puisque c’est Lui qui créa le
commencement) or physiquement Jésus a un commencement, il est né d’une femme comme
nous, honnêtement, il ne peut être Dieu !
Nos coreligionnaires sont, comme vous le constatez avec moi, dans un égarement évident et la
créature la plus bannie (Satan) ne cesse de marquer des points à telle enseigne à les faire croire
qu’ils sont bien guidés or ce n’est qu’un mirage. Le jour qu’ils s’en apercevront, c’est le jour où
l’ange de la mort (qui attend impatiemment l’ordre de Son Seigneur) se présentera à leurs
portes, ce jour là, c’est seulement ce jour là qu’ils sauront que la créature la plus misérable
(Satan) s’en n’est fait d’eux. Mais à quoi servira ce repenti si tardif ? Non ! bien sûr que non,
cela n’aura aucun effet. C’est ainsi qu’Allah nous met en garde en disant dans la sourate 78 V
40 : «… le jour où l’homme verra ce que ses deux mains ont préparé ; et l’infidèle
dira : «hélas pour moi ! Comme j’aurais aimé n’être que poussière ».
3. Un chrétien peut dire à un Musulman : « Mais Muhammad est mort, Jésus Christ est
ressuscité. Qui faut-il suivre entre celui qui est mort et celui qui est ressuscité ? ». On lui
demandera :
- Monsieur, votre doctrine vous enseigne que Jésus a vaincu la mort, chose qui vous
encourage même à le croire Dieu ; répondez nous : « Jésus Christ, s’est-il ressuscité ou a-t-il
été ressuscité ? »
- Mais on nous enseigne dans la Bible qu’il fut ressuscité ! fera t-il remarquer.
- Ok ! s’il s’était ressuscité, ah là il est fort ! Mais comme vous certifiez qu’il a été ressuscité,
alors nous devrions chercher plutôt Celui qui l’a ressuscité et nous ne devrions adorer que
Celui ci puisque celui qui est ressuscité ne peut en aucune manière se comparer à Celui qui
l’a ressuscité ? Et nous savons tous que c’est Allah qui ressuscite et c’est à lui que tout le
monde doit retourner comme il le dit si bien dans le Coran : « Vers nous est leur retour.
Ensuite, c’est à nous de leur demander compte ». Et mieux encore, les chrétiens aiment
Muhammad plus que Jésus (prière sur les deux)
- Mais comment ça ! ce n’est pas possible ! s’étonnera t-il.
- Bien sûr que si. Etant donné que vous dites que Muhammad est mort et Jésus est ressuscité,
qui faut-il suivre ? Celui qui est mort ou celui qui est vivant ? Oui, les Chrétiens aiment
Muhammad plus que Jésus parce que tous les Chrétiens qui sont morts, on n’a vu aucun
d’entre eux ressuscité et rejoindre Jésus au Ciel mais tous rejoignent Muhammad sous la
terre. Partant de là, vous aimez Muhammad plus que Jésus.
4. Un chrétien m’a dit un jour : « Moi, en tout cas, hier, j’ai été confessé mes péchés chez le
prêtre, donc si je meurs tout de suite, c’est le Paradis car je suis en ce moment même pur de
tout péché ». Nous lui demanderons :
- Monsieur, vous partez avouer vos péchés chez le prêtre, pouvez vous nous donner une
preuve (une seule) dans les textes de l’Evangile affirmant que le prêtre avait le mandat de
pardonner ?
- … (il cherche mais n’en trouve pas et n’en trouvera pas)
- De plus, qui absoudra le prêtre, homme comme vous, chargé de péchés comme vous, parfois
plus que vous ?
- … (sous-entendu : quelle question ! mais c’est Dieu qui peut absoudre le prêtre, pensera t-il)
- C’est Celui qui a créé le prêtre et vous qui pardonne comme Il a fait descendre toute une
sourate (Sourate 40) nommée « Le Pardonneur ».
5. Un chrétien peut s’enorgueillir en citant le verset de Jean 3 V 16 : «Car Dieu a tant aimé
le monde qu’Il a donné Son Fils unique afin que quiconque croit en lui ne périsse point,
mais qu’il est la vie éternelle »
On lui posera la question suivante :
- Si Jésus est le Fils unique, qui est son Père ?
- Dieu ! répondra t-il.
- Ok, selon votre bible, qui est sa mère ?
- Mais c’est Marie !
- Alors, si Dieu est son Père, Marie est sa mère, qui est la femme de Dieu ?
- … (la logique voudrait qu’il réponde que c’est Marie, mais, même si l’on lui avait
administré une dose de morphine, il ne saura donner une telle réponse car la conscience que
le Créateur a mis en lui, lui interdit de dire que Marie est la femme de Dieu : la raison
n’accepte pas cela)
Dieu n’a pas besoin de Fils comme nous l’avions dit. Est-ce Dieu tombera un jour malade pour
que Son fils l’assiste ? Est-ce Dieu mourra pour que son fils perpétue sa progéniture ? Non,
nous disons non ; Allah n’a pas besoin d’assistance, pas du tout.
6. Il arrive souvent que les Chrétiens, lors de nos fêtes nous disent « Bonne fête ». (Ils nous
envoient parfois même les SMS pour le faire ou se déplacent eux mêmes). Et voilà
qu’arrive Noël et on se rencontre.
- Bonjour Pascal ! (le Musulman)
- Bonjour Issouf ! (Le Chrétien)
- La matinée ? (le Musulman)
- Ça va ? (Le Chrétien)
- Et la famille ? Le Musulman)
- Elle se porte bien (Le Chrétien)
- … (silence, puisqu’il attend du Musulman qu’il lui dise quelque chose surtout que
aujourd’hui est plus cher pour lui)
- Ah, aujourd’hui c’est votre fête ?
- En effet, oui !
- Ah, c’est la fête, gloire à Dieu.
C’est la dernière alternative du Musulman qui a peur du Jour des Comptes. Vu l’origine idolâtre
de cette fête, on ne peut se permettre de les encourager dans ce sens. Il faut rappeler que l’Islam
n’est pas du donnant-donnant. Ce n’est pas parce que pendant Tabaski (qui est d’origine divine
d’ailleurs) que Pascal ait dit à Issouf « bonne fête » que le jour de Noël, Issouf doit le faire
également.
En tout cas la quasi-totalité des savants Musulmans (surtout Abdul MADJID qui s’y connaît
dans le domaine) sont d’accord qu’on ne doit pas le leur dire.
Qu’Allah nous aide à surmonter ces gênes et ces complexes qui nous empêchent de dire la
vérité, rien que la vérité.
C’est ainsi que les chrétiens ne peuvent se comparer aux musulmans disant qu’il y a chez nous
aussi des divergences. Certes, des divergences chez les musulmans mais que les chrétiens
retiennent que les manquements dans la communauté musulmane ne concernent pas le dogme,
c'est-à-dire le fondement même de la religion : ce ne sont que de petits détails auxquels nous
pouvons se passer car on ne verra jamais dans un coin du globe où des musulmans faisant 6 fois
les prières quotidiennes. Mais chez les coreligionnaires, le dogmes est constamment remis en
cause par chaque église qui existe, chacun œuvrant comme il l’entend.
IV. Blasphèmes de la Bible contre certains Prophètes et contre Dieu
Il est étonnant que les Messagers et Prophètes que notre Créateur nous envoya pour nous tirer
des ténèbres spirituelles vers la lumière parfaite et éternelle soient considérés par ceux qui
prétendre suivre l’un d’entre eux comme des vils personnes. Ce n’est pas aussi étonnant de voir
dans les livres des histoires ignobles que l’on attribue à certains d’entre eux. En effet, la Bible
enseigne aux Chrétiens que tous les prophètes ont péché sauf leur seigneur Jésus (Qu’Allah
nous préserve du christianisme et de ses fantaisies !)
Nous n’inventons rien ; écoutez vous-mêmes ces passages montés de toute pièce :
 La Bible affirme que Abraham (prière sur lui) a péché –l’ami intime de Dieu et le père du
monothéisme- : Genèse 12V13 (Dis, je te –parlant à SaraÏ- que tu es ma sœur, afin que
je sois bien traité à cause de toi).
En réalité, les savants affirment que ce n’est pas un péché que Abraham ait commis en disant
que sa femme était sa sœur car Allah dit dans le Coran Sourate 49 V10 : « Les croyants ne sont
que des frères » donc SaraÏ est sa sœur en foi et non la sœur au sens que nous connaissons.
Aussi dans Genèse 20 V 5 : « Ne m’a-t-il pas dit : c’est ma sœur ? Et elle-même n’a-t-elle
pas dit : c’est mon frère ? »
 La Bible dit que Moise (prière sur lui) aussi pécha : Deutéronome 32 V51 :« Ce même
jour , l’Eternel parla à Moise….tu mouras sur la montagne… comme ton frère
Aaron…parce que vous avez péché contre Moi au milieu des enfants d’Israël ». De quel
péché s’agit-il ? Du coup accidentel que Moise asséna à l’Egyptien qui causa sa mort ? En
réalité, il n’avait nullement l’intention de lui ôté la vie mais plutôt séparer les deux
belligérants.
 Jonas (prière sur lui) n’a pas échappé à l’agression de la Bible. Jonas 1 V1-12: «….Et
s’embarqua pour aller avec les passagers à Tarsis, loin de la face de l’Eternel… ». Il est
vrai que Jonas se sépara de son peuple sans l’avis de Dieu, mais est-ce pour autant qualifier
ce noble messager de « pécheur » ? non, je ne pense pas.
 David (prière sur lui), selon toujours nos coreligionnaires pécha également : 2 Samuel 11
V1-27: «…Comme David se promenait sur son toit, il aperçut de là une femme qui
se baignait et qui était très belle de figure. David demanda qui était cette femme et
on lui dit…la femme d’Urie, le Héthien. Et David envoya des gens pour la chercher.
Elle vint vers lui, et il coucha avec elle… ». Subhanallah, Subhanallah Al Azîm.
Comment les falsificateurs de la Bible ont-ils eut ce cran nécessaire pour introduire
pareille chose et pareil mensonge dans un livre divin ? Un prophète qui aurait fait
l’adultère ? Toute personne ayant un atome de logique saura que les chrétiens ne font que
mentir, rien que des histoires montées avec la plus grande des duperies, le plus grand des
mensonges surtout envers un messager. Que Dieu nous garde de partager pareille chose.
Croire à une telle chose, ce serait de blasphémer contre Dieu qui les avait envoyé. Ce
serait Lui dit implicitement : « Au lieu de nous envoyer des hommes exemplaires Tu
nous envoyas des menteurs, des tueurs, des désobéissants, des fornicateurs comme
guides »
Allah, fasse que nous mourrons dans l’Islam et fasse que ceux qui nourrissent ces
blasphèmes à l’encontre de Tes serviteurs reviennent sur la réalité. Car, rien ne pourra les
faire échapper de Ton châtiment si seulement ils venaient à mourir avec de tels péchés.
La bible continue ses mensonges, ses contradictions, ses turpitudes, ses erreurs, ses
invraisemblances, bref, ses immoralités: Je conseille là, pour la pudeur, aux sœurs de bien
vouloir sauter ce paragraphe (jusqu’à la page 41, paragraphe 2). Pour leur pudeur je
rappelle:
Dans Genèse 19 V30-38, nous lisons ceci : « Elles (les deux filles du prophète Lot prière
sur lui) firent boire du vin à leur père (Lot); et l’aînée alla coucher avec son père…la
cadette alla coucher à son tour avec son père…elles devinrent enceinte de leur père… »
2 Samuel 13V1-15 on entend ces paroles érotiques : « …Il (Amnon) la (sa propre sœur)
saisit et lui dit : viens, couche avec moi, ma sœur. Elle lui dit ; non mon frère ne me
déshonore pas…il lui fit violence, la déshonora et coucha avec elle… »
Décidément, la Bible (qu’il ne faut toujours pas confondre avec l’Evangile de Jésus disparu
aujourd’hui) n’a rien à envier aux romans les plus érotiques ; écoutez plutôt : 1 Rois 1V2 :
« Ces serviteurs lui dirent (les serviteurs du roi David) : Que l’on cherche pour mon
seigneur le roi une jeune fille vierge, qu’elle se tienne devant le roi, qu’elle le soigne, et
qu’elle couche dans ton sein ; et mon seigneur le roi se réchauffera... ». Des versets qui
encouragent l’adultère et contredisent les 10 commandements « …tu ne commettras point
l’adultère.. ». Qui parmi les hommes peut oser attribuer de pareilles paroles sensuelles au
Dieu Créateur qui aime si bien la pudeur ? Ce serait se charger de graves péchés et d’un
mensonge effronté. Continuons ces immoralités ; dans Proverbes 7 V16-19 : « J’ai orné
mon lit de couvertures, de tapis de fil d’Egypte, j’ai parfumé ma couche de myrrhe,
d’aloès et de cinnamome, viens enivrons nous d’amour jusqu’au matin, livrons nous
joyeusement à la volupté (plaisir des sens et spécial, plaisir sexuel) car mon mari n’est
pas à la maison, il est parti pour un voyage lointain ».
C’est logique que dans les feuilletons sud américains, l’on voit les femmes trompées leurs
maris puisqu’ici, la bible les y encourage. Autres paroles contraires à l’éthique et à la morale:
Cantiques 1 V2 ; 13 : « Qu’il me baise des baisers de sa bouche car ton amour vaut
mieux que le vin » ; « Mon bien aimé est pour moi un bouquet de myrrhe qui repose
dans mes seins ».
Nous n’inventons rien, absolument rien ; mais nous les trouvons dans le livre qu’on prétend
provenir de Dieu. Cantique 2 V 6-7 : « Que sa main gauche soit sous ma tête et que sa
droite m’embrasse, je vous en conjure, filles de Jérusalem par les gazelles et les biches
des champs, ne réveillez pas , ne réveillez pas l’amour.. »
Gloire et pureté à Allah, il transcende tous ce qu’on Lui associe (en paroles aussi). Regardez :
Cantiques 3 V1-5 : « Sur ma couche, pendant les nuits j’ai cherché celui que mon cœur
aime, je l’aie cherché, et je ne l’aie point trouvé…je l’aie saisi et je ne l’aie point lâché
jusqu’à ce que je l’aie amené dans la maison de ma mère, dans la chambre de celle qui
m’a conçue (imaginez ce qu’ils vont y faire : n’est-ce pas la fornication ? Or Dieu nous dit
dans Son dernier livre dans la sourate l’araignée « N’approchez point de la fornication ».
Toujours Cantiques 4 V10-11 : « Que de charmes dans ton amour ma sœur, ma fiancée,
comme ton amour vaut mieux que le vin et combien tes parfums sont plus suaves que
tous les aromates ! Tes lèvres distillent le miel, ma fiancée ; il y a sous ta lange du miel et
du lait ».
Impossible, inimaginable, inattendue, c’est pas vrai…Cantiques 7 V2-12 : « Que tes pieds
sont beaux dans tes chaussures, fille de prince ! Les contours de ta hanche sont comme
des colliers…Ton sein est une coupe arrondie où le vin parfumé ne manque pas, ton
corps est un tas de froment entouré de lis, tes deux seins sont comme deux faons, comme
les jumeaux d’une gazelle, ton cou est comme une tour d’ivoire, tes yeux sont comme les
étangs de Helsbon…ton nez est comme la tour du Liban…et les cheveux de ta tête sont
comme la pourpre…Que tu es belle ! Que tu es agréable…ta taille ressemble au palmier
et tes seins à des grappes ; que tes seins soient comme les grappes de la vigne et ta
bouche comme un vin excellent…viens mon bien aimé ; sortons dans les champs »
Vraiment, je crains pour ceux qui sont très sensibles quand ils liront des absurdités pareilles.
Mais les chrétiens les lisent tous les jours, nullement dérangés, Peu importe, surtout que
certains s’en régalent, assouvissent leurs désirs pourquoi pas !
… ??? Cantiques 8 V10 : « je suis un mur et tes seins sont comme un tour »
Est-ce de cette manière que les chrétiens pensent avoir le même Paradis que les Apôtres ? Est-
ce en excitant les chrétiens avec de tels versets qu’ils auront l’agrément de Dieu ? C’est ainsi
qu’un chrétien me dit un jour : « On dirait chez vous la fornication est interdite ? Ce n’est pas
le cas chez nous en tout cas. Nous, on fait ce qu’on veut toujours est –il que le prêtre sera là
pour nous pardonner quand nous irons nous confesser »
Dans Ezéchiel 23V2-21 pour terminer cette série de paroles qui peuvent faire mal à plus d’un
pudique : « Fils de l’homme, il y a deux femmes, filles d’une même mère elles se sont
prostituées en Egypte…Là leurs mamelles ont été pressées, là leur sein virginal a été
touché… car ils avaient couché avec elle dans sa jeunesse, ils avaient touché son sein
virginal » et Ezéchiel 16 V1-41 : « …tes seins se formèrent, ta chevelure se développa.
Mais tu étais entièrement nue….et que ta nudité a été découverte dans tes prostitutions
avec tes amants… »
Vu ces nombreux versets aux styles romantiques, il y a de quoi à interpeller nos frères
chrétiens à la retenue et à la raison. L’exagération à outrance conduit à la perdition, à la
perversité et à la débauche.
Ces versets ne sauraient en aucune manière être attribués au Seigneur de l’univers qui nous
enjoint à la morale et à l’éthique. Seuls ceux qui n’ont aucune part dans l’au-delà peuvent les
lui attribuer. Qu’Allah fasse que nous ne soyons pas de ceux là. Amine amine amine.
.
Que dit la Bible de notre Créateur, Celui là même qui créa la nourriture et les bonnes odeurs ?
Peut-il Lui-même être tenté par ces nourritures et ces bonnes odeurs ? Lisons plutôt dans
Lévitique 6 V 8 à 21 : « Le sacrificateur prélèvera une poignée de la fleur de farine et de
l’huile…et il brûlera cela sur l’autel comme souvenir d’une agréable odeur à
l’Eternel…tu la présenteras aussi cuite et en morceaux comme offrande d’une agréable
odeur à l’Eternel… » ; Lévitique 8 V 21-28 : «...il coupa le bélier en morceaux et il brûla
la tête, les morceaux et la graisse…d’une agréable odeur à l’Eternel…» ; Lévitique 17
V6 : « …et il (le sacrificateur) brûlera la graisse qui sera d’une agréable odeur à
l’Eternel » ; Lévitique 3 V 9 : « …il offrira en sacrifice consumé par le feu devant
l’Eternel :la graisse, la queue entière, …la graisse qui couvre les entrailles, les deux
rognons…le grand lobe du foie »
Décidément, les écrivains de ces absurdités avaient pris notre Créateur pour Un Cuisinier. Quel
quiproquo ! Quelle confusion !! Quelle erreur !!! Quelle mascarade !!!! Quelle fantaisie !!!!!
Q U ‘ A L L A H N O U S P R E S E R VE D E T O U T E S C E S DOCTRIN
E S H O R M I S C E L L E D E L’I S L A M.
En réalité, nous ne rions pas de cette situation très peu enviable de nos confrères, au contraire,
nous pleurons : Combien de milliards de personnes dans le monde partagent ces déviances ?
Nous ne pouvons que nous attrister. On ne peut, nous musulmans, laisser tout ce monde aller
vers la Géhenne ! Non, d’où la nécessité de l’appel à l’Islam : la da’wa ! Il faut aller sauver ces
gens là, c’est un devoir qui nous incombe à tous. Soyons comme Oumar (Que Dieu l’agrée)
lorsqu’il vit un jour un chrétien évangélisant sous un soleil de plomb, passant de porte en porte.
Ses yeux débordèrent de larmes. On lui en demanda la raison. Il dit : « Je pleure car il ignore
que l’effort qu’il fourni sous ce chaud soleil ne mérite aucun salaire auprès de Dieu » ; et
soyons aussi comme notre prophète bien aimé qui pleura un jour lorsque le corps d’un mécréant
passa devant lui (le défunt n’avait accepté l’Islam). On lui en demanda les causes, il dit : « Je
pleure car je n’aie pas été la cause pour pouvoir le sauver du feu de l’Enfer ».
Seigneur Dieu, Toi qui détiens le cœur de Tes créatures, stabilise nous dans cette religion et
guide vers l’Islam nos frères et sœurs Chrétiens, amine.
V. Réponse à Gerhard Nehls
Les chrétiens, pour votre information, ont adopté une nouvelle stratégie pour surprendre les
musulmans de nom et de barbe et des Musulmans non avertis : c’est celle qui consiste à
exploiter les versets du Saint Coran et les hadiths hors de leur contexte historique. Quand nous
parlons de « contexte historique », entendez par là, la raison pour laquelle le verset fut révélé
surtout qu’il est connu de tous que le Coran n’est pas descendu en bloc mais en détail échelonné
sur vingt trois ans.
Déjà en Côte d’Ivoire, il y a le Centre chrétien qui le fait, aussi au Cameroun, en RDC et au
Kenya. Mais leur professeur se trouve en Egypte : c’est un moine chrétien. Ce dernier a animé
plus de trois cent émissions télévisées contre l’Islam. Mais les Cheicks Al Islam -notamment le
Cheick Charawi’- ont réfuté tous ses arguments. Il a même écrit un livre prétendant qu’il y a
des erreurs grammaticales dans le Coran (comme s’il n’a pas lu la Sourate 15 Verset 9 où Allah
déclare : « En vérité c’est Nous qui avons fait descendre le Coran et c’est Nous qui en
sommes gardien». Comment peut-il avoir des erreurs grammaticales dans le Coran du moment
où les Arabes eux-mêmes ce sont servis du Coran pour établir la grammaire arabe ? Les
grammairiens ce sont inspirés du Coran pour composer la grammaire arabe.
Quant à Gerhard Nehls, il est du genre Moussa Koné, ce malheureux monsieur qui s’est dressé
contre l’Islam et à l’endroit duquel nous avions consacré la dernière partie de notre deuxième
édition à répondre aux allégations contenues dans ses livres : Moi, fils d’un imam et j’étais
musulman. Deux personnages, spirituellement constipés, qui se dirigent peu à peu, si rien n’est
fait pour eux, vers un abîme très profond, une ignominie, un avilissement de la part de Dieu, ici
bas, dans la tombe et le Jour Ultime ; lequel jour, où tout négationniste rebelle sera traîné et
ramené devant le Maître de l’Univers : un jour en tout cas pas facile pour ceux qui ont traité de
mensonge les Signes, combien évidents de leur Seigneur et qui ce sont montrés ennemis jurés
de ceux qui cherchaient à s’y conformer.
Prions Allah à ce qu’Il nous préserve du mal de notre passion.
Les livres édités par Gerhard que j’ai pu feuilleter sont au nombre de deux : le premier intitulé
Al-Kitab ‘’le livre’’ auquel je mets d’ores et déjà en garde tout musulman peu stable dans la
religion et dans la foi. En fait, ce livre est si décoré avec les écritures arabes qu’un non averti le
prendrait pour un livre islamique alors qu’il est loin de l’être, très loin (encore faut-il que je
rappelle ici et maintenant à tout ignorant que l’Arabe est différent de l’Islam, que le voile
islamique féminin est différent de la culture arabe, que le terrorisme n’a pas sa raison et sa
place en Islam; et la Bible qu’ont les chrétiens Saoudiens saurait-elle être écrite en d’autre
langue que l’Arabe ? Donc, arrêtons cet amalgame entre une religion et une race). Surtout avec
la mort toute récente du chef d’Al QaÏda où nous avions vite vu les médias faire, à chaque
édition, la liaison entre terrorisme et Islam (ils s’y forcent même s’il n’existe pas de relation
entre ces deux termes). Qu’Allah guide les Occidentaux.
Le second est titré Cher Abdallah, un titre dont le choix n’est pas fortuit, vous le remarquez
autant que moi : Faisons attention à ce que nous achetons et à ce que nous lisons.
Il commence la page de garde (verso) avec ces phrases : « Tout Musulman sérieux à propos de
sa foi devrait prendre plaisir à lire ces gentilles, amicales et sympathiques lettres. Chacune
d’elles est à la fois informative et stimulante, basée sur des faits réels et pourtant suscitant un
examen de conscience. Si vous étiez en train de chercher un dialogue amical en matière de la
foi et conviction, vous l’avez trouvé. ».
Alors, décryptons ensemble le fond de ses livres qu’il qualifie lui-même de gentilles et
sympathiques.
Comme tout décryptage, commençons avec la forme desdites œuvres :

D’abord, je crois, pour ma part, que ce n’est pas en colorant lesdits livres des écritures arabe et
en leur donnant même des titres propres à l’Islam qu’on arrivera ainsi à drainer les non avertis
Musulmans ? En agissant ainsi, c’est vouloir se faire passer pour quelqu’un qui se dit boxeur
pourtant qui n’est jamais monté sur un ring mais qui passe tout son temps, derrière sa maison, à
donner des coups secs sur un sac vide. Par ces titres, on pourrait parler là de tricherie même.
Car des titres comme Al kitab, Cher Abdallah, pourraient faire comprendre dans l’immédiat
qu’on est en fasse des œuvres islamiques, chose qui n’est pas le cas ici. Quand nous titrons nos
œuvres La force des arguments et le choc des versets , Quand la vérité éclate au grand jour ;
L’idolâtrie déguisée ; cela ne laisse jamais entrevoir qu’il s’agit là des documents chrétiens
même s’ils ont un but sensibilisateur de nos frères chrétiens.
Penchons nous ensuite au fond desdits livres, élément fondamental de cette analyse :
Comme le pauvre Moussa Koné, Gerhard Nehls n’a pas fait exception à la règle : un bricolage
tout azimut des versets trouvés ça et là dans le saint Coran. Des versets auxquels il les fait une
entorse, les interprète à sa guise, les manipule à bon escient. En réalité, il veut, si l’on regarde
de prêt, imiter notre Cheick Abdul Madjid quand celui-ci démontre avec aisance et sans
conteste les preuves bibliques de la déviation des chrétiens -à la stupéfaction générale des
pasteurs de renommée internationale-, qu’ils ont assez à apprendre de la Bible.
A. Madjid, pour ceux qui ont une fois suivi ses débats, ne fait pas du raccommodage, ni du
tâtonnement encore moins du bricolage ; il montre aux yeux des auditeurs des qualités
intrinsèuqement reconnues même pas ses détracteurs : il s’y connaît en réalité dans le domaine
de la théologie ; ce n’est ni un amateur ni un apprenti comme le sont ces deux misérables
messieurs, qui, selon toute raison saine, ont assez ruiné leurs vies en perdant assez de crédibilité
avec des œuvres qui n’auraient dû pas, à notre sens, dépasser les frontières d’Abidjan :
véritables chimères ces livres là. Les chrétiens pour eux, ce sont des références et ne tardent pas
à les y brandir aux Musulmans.
Pourtant, lors de notre réponse à l’apostat Moussa Koné, nous avions montré avec des preuves
qu’il était carrent et que ses œuvres étaient presqu’une honte pour le monde chrétien, c’est ce
que nous allons essayer de faire avec les œuvres de Nehls InchaAllah.
Voilà un verset coranique qui servi de cheval de bataille à ce monsieur :

Sourate 10 verset 94 : « Et si tu es en doute sur ce que nous avons fait descendre vers toi,
interroge alors ceux qui lisent le livre révélé avant toi »
Pour lui, c’est très bien qu’un Musulman se renseigne auprès d’un chrétien au sujet de la
révélation de Dieu dans la Bible. Et selon leur professeur égyptien, ce verset veut plutôt
montrer que ce sont eux qui détiennent la vérité puisque le Coran recommande à notre prophète
de se renseigner auprès des chrétiens.
Toutes ces deux interprétations sont erronées. Comment un musulman pourrait il se
renseigner auprès d’un chrétien au sujet de la révélation de Dieu si la Bible elle-même est
comprise dans le saint Coran ? Comment le verset pourrait laisser entrevoir un seul instant
que ce sont les chrétiens qui détiennent la vérité alors que Dieu a été, on ne peut plus clair,
qu’en au sujet de cette vérité en déclarant solennellement dans la sourate 17 V 81 ceci : «
Et dit : « La Vérité (Islam) est venue et l’Erreur a disparu car l’Erreur est destinée à
disparaître ».
Les versets coraniques ont cette particularité d’être liés à un contexte historique auquel il
faudrait absolument les y rattacher si l’on veut bien cerner ses contours.
Si les chrétiens n’avaient pas frauduleusement manipulé et altéré les écritures de l’Evangile
(la bible contient des paroles de Dieu mais n’est pas la parole de Dieu du début à la fin), un
Musulman qui se serait renseigné auprès d’eux sur une question relative par exemple à
l’unicité de Dieu, au respect de Ses messagers, aux lois sur l’usure, le porc, le vin, aurait
trouvé les mêmes explications que celles contenues dans le Coran. D’ailleurs, tout comme le
mot « chrétien », Jésus ignore le mot « bible ». Ce mot fut inventé au 6ème siècle par un
moine espagnol du nom de Jean Christoph Townes. Mieux, le mot « coran » existe dans le
Coran, de même les mots « thora » et « évangile » existent respectivement dans ces livres
mais le mot « bible » n’existe pas dans la bible (n’est-ce pas curieuse cette absence si elle
était entièrement la parole de Dieu ?)
Donc, interroger les chrétiens ou les juifs, ne veut aucunement dire qu’ils ont la vérité, loin
de là ; mais des lois comme l’interdiction du meurtre, de l’adultère, du vol sont communes à
ces trois religions monothéistes (même si le Judaïsme et le Christianisme actuels ne peuvent
être considérés comme religions monothéistes au regard des cultes contraires à l’Unicité de
Dieu auxquels s’adonnent leurs adeptes). Et un musulman, pour une question d’information
et de recherche pourrait peut-être demandé sur ces sujets, quoiqu’il soit conscient que ces
sujets sont clairement détaillés dans le Coran, développés encore et sans la moindre
contradiction. Qu’Allah donne la compréhension à ce monsieur.
Le malheureux Gerhard (que Dieu le guide vers le droit chemin) s’acharne encore sur la
sourate 29 : 46 auquel il fait comprendre que le verset stimule les Musulmans à accepter
l’autorité des écritures saintes révélées aux Juifs et aux Chrétiens. Le verset dit : « …Et
dites : ‘’Nous croyons en ce qu’on a fait descendre vers nous et vers vous, tandis que
notre Dieu est le même et c’est à Lui que nous nous soumettons ».
Est-ce que ce monsieur ne fait pas la confusion entre ces deux expressions : « croire à
l’Evangile et à la Thora comme étant des livres initialement révélés par Dieu » et « accepter
tout ce que dicte ces deux livres » ? Certainement que oui, ce monsieur s’embourbe !
Sinon, comment un Musulman peut accepter une doctrine telle la Trinité contenue dans les
Evangiles, la filiation divine d’Uzair chez les juifs et celle de Jésus chez les chrétiens ?
Nous avons maintes fois répété que nous musulmans, croyons uniquement à l’Evangile de
Jésus (disparu aujourd’hui) et non aux Evangiles (rependus aujourd’hui). Et les Musulmans
doivent savoir que nous n’avions aucun problème avec Jésus (paix sur lui) et pour preuve :
les musulmans donnent le nom de Jésus (Iss’a) à leurs fils. Avez-vous déjà vu ou entendu
un chrétien se nommé « Jésus » ? Tout ceci prouve à suffisance qu’ils n’aiment pas celui
qu’ils prétendent suivre.
Nehls, par la suite écrit : « Si les Musulmans prétendent que la Bible a été falsifiée, ils
voudraient par là accuser Dieu de n’être pas être Garant de Ses livres, en d’autres termes,
Dieu fut Incapable de sauvegarder Sa parole dans l’Evangile. »
Comme si Gerhard ne lit pas le Coran où Allah confirme que Juifs et Chrétiens ont
suffisamment falsifié leurs livres, comme s’il ignore que l’homme est doté du libre arbitre
capable de commettre des abus à l’égard des écritures saintes (sauf le Coran qu’il convient
de mentionner : le Créateur dit être Le Gardien de ce Livre). Peut-on aussi lui répondre que
selon leur propre Bible, où était Dieu quand on bastonnait et crucifiait Son Fils ? Pourra t-il
nous répondre que Dieu fut Incapable de le tirer du pétrin comme Il n’a pas pu tirer Ses
Ecritures des griffes des manipulateurs comme il le prétend? Loin de là, Allah –Exalté soit
Son Nom- est suffisamment Puissant pour protéger Ses messagers et Ecritures mais qu’il
n’oublie pas que l’homme a le choix entre le bien et le mal.
Ce monsieur, comme toujours, s’est encore basé sur un verset du Coran où Allah déclare
dans la Sourate 6 V 115: « …Nul ne peut modifier Ses paroles. Il est l’Audient,
l’Omniscient. ».
Que Gerhard, une fois encore, inscrive les versets dans leur contexte historique : De quelle
parole Allah fait-il allusion ici ? Ou bien, s’est-il buté seulement au mot ‘’parole’’ pour
pouvoir penser qu’il s’agirait ici de la Bible ? Pour lui, la Bible, selon le Coran, n’est pas
corrompue. Selon lui toujours, les immoralités que nous avions citées plus haut proviennent
du Dieu Créateur. Gloire et pureté à Allah, Lui qui est Exempt de toute imperfection.
Qu’Allah lui donne la bonne compréhension.
Ensuite, il écrit que le Coran s’accorde avec la Bible que tous les prophètes ont péché,
excepté Jésus. Ainsi est le raisonnement de tout obstiné, qui s’entête à vouloir mentir sur les
nobles envoyés du Tout Puissant. Et les rédacteurs des Evangiles, hommes sans scrupules,
ce sont même permis de dire que le père du monothéisme, le patriarche, notre père
Abraham, commis l’adultère. Subhanalah, Pureté à Allah. Selon eux, il l’a commis avec sa
servante Agar. Pire, il qualifie Ismaël de « fils de Bâtard » (Ces gens ne savent-ils pas que
Dieu enregistre tous les mots prononcés ? Ils sauront bientôt !!!)
C’est pourquoi, les Chrétiens refusent de croire un seul instant que Muhammad ne soit le
Sauveur de l’Humanité tout simplement parce qu’il est descendant de Ismaël. Mais, ce qu’ils
oublient, c’est que Jacob avait quatre femmes(Léa, Rachel, Bilha, Zilpa) : comme Léa voyait
qu’elle ne donnait pas d’enfant, elle donna sa servante(Bilha) à Jacob comme Sara l’avait
fait pour Agar. Donc, Jacob eut des enfants avec Léa, Rachelle, la servante de Léa et la
servante de Rachel (Zilpa) et toutes jouissent d’une même légitimité mais aucun des enfants
de ces quatre femmes ne sont considérés par les Chrétiens comme des fils de bâtard sauf
Ismaël. C’est ce que l’on appelle « l’orgueil » : refuser la vérité venant de l’autre. Les
Chrétiens s’amusent, ils ignorent ce qu’Allah appelle « le jour où l’âme arrivera au gosier »
et « le jour des comptes ; des jours de fortes frayeurs et de grincements de dents ».
Comment peuvent-ils le savoir si l’Islam et le Coran constituent leur dernier souci ? C’est en
cela qu’Allah nous met en garde ; Sourate 15 V3 : « Laisse-les manger, jouir (un temps), et
être distraits par l’espoir, car bientôt ils sauront ».
Même notre prophète (paix sur lui) ne lui a pas échappé. S’appuyant de ce fait sur les
sourates 47 verset 19 et 48 verset 1-2 où Allah dit à Muhammad de demander pardon. Ce
sont les mêmes versets que Moussa Koné, cet autre illustre malheureux monsieur, utilisa
pour accuser ou discréditer à tort le sceau des prophètes Muhammad (bénédiction de Dieu
sur lui). Nous lui avions suffisamment rétorqué dans « quand la vérité éclate au grand
jour ».
A la page 15 de « cher Abdallah », Nehls dit ceci : « la récitation par cœur du Coran est
encore un problème…Le miracle serait que cette connaissance ait été acquise
instantanément, sans apprentissage par exemple. ».
Pour ma part, ce monsieur doit être dépourvu de raison et de bon sens. Le fait que les
Musulmans mémorisent le Coran ne fait pas de celui-ci un miracle et que chaque musulman
devrait naître automatiquement avec le Coran en mémoire. Voyez-vous comment toute
personne ayant perdu tout espoir en la miséricorde divine raisonne ? Comme si ce dernier
était né avec les connaissances religieuses qu’il a (encore faut-il s’assurer qu’il en existe
quelque chose de pareille chez ce type !). Son raisonnement est aisément compréhensible :
étant donné que tous s’accordent pour reconnaître -y compris les non musulmans- que le
Coran est le seul livre au monde ayant fait l’objet de mémorisation par des millions de
personnes (donc impossibilité d’y changer quoi que ce soit) et que tous sont unanimes qu’il
n’y a aucun chrétien au monde (y compris celui qu’on appelle le Pape) ayant toute la Bible
par cœur. Cela n’existe pas et n’existera pas puisque chaque jour nouveau, elle fait l’objet de
révision constante, d’adjonction par ci, de soustraction par là, de manipulation de ce verset
ci, de corruption de tel autre.
Un mot sur ce fameux Pape qui s’était négativement fait des ennemis en prononçant en 2006
cette parole qu’il n’aurait pas dû dire : l’islam et la violence. Il en a pris les pots cassés
puisque ce sont ses confrères, de par le monde, qui en n’ont soufferts des représailles qui
suivirent : ils en ont faits les frais des musulmans qui sont prêts à défendre bec et ongle leur
religion et leur prophète. La sanglante échauffourée consécutive aux caricatures de notre
bien aimé au Danemark est un témoin des plus éloquents. Tout ceci comme pour montrer
aux yeux du monde que tolérance est différente de lâcheté.
Ce dernier –s’agissant du Pape-, qui a des intentions manifestes de railler de la carte du
monde l’Islam comme le communisme s’est fait ériger une statue au Vatican où bon nombre
d’ignorants vont s’y prosterner pour recueillir ses « bénédictions »(ses malédictions disons
nous en islam). Est-ce qu’il y a plus fétichisme que cela ? Non, à mon avis, c’est le comble
de la perdition. Le danger de sauver des milliards de personnes dans cette posture est
imminent. Une fois encore, la da’wa, cet appel à l’islam et à la retenue s’impose à tout
pubère musulman. Qu’Allah nous utilise pour Sa cause.
Il y a bien d’autres choses auxquelles ce profane monsieur fit allusion dans ses livres, mais
nous espérons que d’autres éditions nous permettrons d’y apporter des éléments de réponses
plus appropriées inchaAllah. Nous demandons à Allah de nous faire mourir sur la voie de la
vérité et de guider toute personne (je pense notamment à Moussa et Gerhard) vers cette voie
aussi claire le jour comme de nuit.
VII. Témoignages inédits
Ce sont en réalité, les itinéraires des personnes ayant été guidées vers l’Islam : comment et
pourquoi ont choisi ce chemin. Nous prendrons le témoignage d’un frère et d’une sœur.
1. Mr. Ibrahim Karlsson Je suis né dans une famille suédoise ordinaire, non croyante, mais
très soudée. J’ai vécu 25 ans sans réellement penser à l’existence de Dieu ni à la spiritualité.
J’étais l’exemple même de l’homme matérialiste. Mais l’étais-je vraiment? Je me souviens
d’une petite histoire que j’ai écrite en Cinquième où je parlais de ma future femme et où je me
décrivais comme un programmeur de jeux à succès (je n’avais même pas encore touché un
ordinateur) marié à une femme musulmane !! OK, à cette époque, la femme musulmane me
renvoyait l’image de quelqu’un qui porte de longs vêtements et un foulard, mais j’ignorais d’où
provenait cette image. Plus tard, en secondaire, je me souviens que je passais beaucoup de
temps dans la bibliothèque de l’école (étant un rat de bibliothèque) et que j’avais un jour trouvé
une traduction du Coran dont j’avais lu quelques passages. Je ne me rappelle pas exactement ce
que j’ai lu mais je me souviens que le message me paraissait sensé et logique. Mais j’étais
toujours non-croyant. Dieu n’avait pas de place dans mon univers et je n’avais pas besoin de
lui. Je veux dire par là que nous avons Newton pour nous expliquer les lois de la nature, n’est-
ce pas ? Le temps avait passé et j’avais terminé mes études et commencé à travailler. Je gagnais
de l’argent et je m’étais installé dans mon propre appartement. J’avais découvert que
l’ordinateur était un outil formidable. J’étais devenu un amateur passionné de photographie et je
m’étais inscrit à des activités sur ce thème. Un jour, alors que je me promenais dans un marché,
prenant des clichés à distance, un étranger au regard furieux s’était approché de moi
m’expliquant qu’il voulait s’assurer que je n’allais pas prendre de photo de sa mère et de ses
soeurs. Quels drôles de gens ces musulmans… !
D’autres épisodes liés à l’islam se sont produits et je ne peux les expliquer. Je ne parviens pas à
me souvenir de la raison pour laquelle j’ai téléphoné à la Islamic Information Organization en
Suède, pour m’inscrire à leur newsletter et pour acheter un excellent livre, « l’islam- notre
religion ». Je l’ai fait tout simplement ! J’avais lu le Coran presque entièrement et j’avais
découvert un livre à la fois beau et logique, mais encore une fois, Dieu n’avait pas de place
dans mon coeur. Un an plus tard, alors que je prenais des photos sur le thème « les couleurs de
l’automne » dans une île appelée (à juste titre) Pretty Island, j’ai été gagné par un sentiment
extraordinaire. J’avais l’impression de n’être qu’une minuscule partie d’un tout plus grand, un
maillon dans un mécanisme divin qui s’appelle l’univers. C’était merveilleux. Je n’avais jamais
éprouvé cette sensation auparavant, j’étais totalement relaxé mais débordant d’énergie et
surtout, en état d’éveil total et mes sens percevaient l’existence de Dieu à chaque endroit où
mon regard se portait. J’ignore combien de temps je suis resté dans cet état d’extase mais j’ai
enfin repris mes esprits, je suis retourné chez moi, en apparence inaffecté, mais ce que j’avais
expérimenté avait laissé des traces profondes dans mon âme. A cette époque, Microsoft avait
lancé Windows 95 sur le marché, le plus grand coup marketing connu sur le marché
informatique. Une partie du progiciel était le service on-line The Microsoft Network. Désireux
de savoir en quoi cela consistait, je me suis créé un compte MSN. J’ai vite pu constater que
Islam BBS était la partie le plus intéressante de MSN et c’est là que j’ai pu faire la
connaissance de Chahida, une américaine, qui, comme moi, s’était convertie à l’islam. Nous
nous sommes tout de suite entendus et elle est devenue ma meilleure correspondante. Nos
emails étaient très fréquents : ma boîte de réception avait atteint 3 mégabits en l’espace de 6
mois. Nous discutions beaucoup de l’islam et de la foi en Dieu en général et son discours me
paraissait sensé. Chahida avait une patience d’ange et supportait mes réflexions lentes et mes
questions enfantines. Elle n’a jamais refusé de m’aider. Elle me demandait de n’écouter que
mon coeur pour trouver la vérité.
Et c’est effectivement mon coeur qui m’a guidé vers le chemin de la vérité plus tôt que je ne
l’avais espéré. De retour chez moi après une journée de travail, alors que la plupart des gens qui
se trouvaient dans le bus somnolaient et que je contemplais le coucher du soleil qui colorait les
nuages magnifiquement dispersés d’orange et de rose, tout devenait logique, comment Dieu
peut-il réguler notre vie sans que nous soyons des robots pour autant. Comment pouvais-je me
fier à la physique et à la chimie et croire néanmoins en Dieu et être témoin de sa création.
C’était magnifique, quelques minutes de compréhension et de paix absolues. Je rêve tant de
pouvoir revivre un jour un moment pareil ! Et ce rêve s’est réalisé. Je me suis réveillé un jour,
l’esprit frais, avec comme première pensée la reconnaissance que j’éprouvais envers Dieu de
me permettre de vivre une journée de plus avec tous les bonheurs qu’elle peut apporter. C’était
si naturel, comme si je l’avais fait chaque jour de mon existence ! Après ces expériences, je ne
pouvais plus nier l’existence de Dieu. 25 ans de déni de Dieu ne rendaient toutefois pas facile la
croyance en Lui ni l’acceptation de la foi. Je continuais néanmoins à vivre des expériences
enrichissantes ; j’avais passé quelque temps aux USA et à cette époque, j’avais commencé à
prier, à apprendre et à sentir la présence de Dieu et à écouter ce que mon coeur me disait. Tout
s’était dénoué lors d’un week-end agréable à New York, dont je m’étais beaucoup inquiété,
mais qui avait en fin de compte été une réussite : j’avais enfin rencontré Chahida ! J’étais arrivé
à un point de non retour, mais je l’ignorais à cette époque. Dieu continuait à me guider. J’avais
poursuivi mes lectures et j’avais enfin trouvé le courage d’appeler la mosquée la plus proche en
vue de rencontrer quelques musulmans. Les jambes tremblantes, j’ai conduit jusqu’à la
mosquée devant laquelle j’étais plusieurs fois passé sans jamais oser m’arrêter ni la visiter.
J’avais rencontré des gens d’une extrême gentillesse qui m’avaient offert d’autres livres et
m’avaient invité chez eux. Leurs propos et les réponses qu’ils me fournissaient avaient un sens.
L’islam était devenu une partie essentielle de ma vie, j’avais commencé à prier de manière
régulière et j’avais pour la première fois assisté à la prière du Jumaa. C’était formidable, j’étais
entré à la dérobée et m’étais assis au fond, ne comprenant pas un mot de ce que l’imam disait
mais j’étais néanmoins heureux d’être là. Après la khutba, nous nous sommes tous rassemblés
en lignes parallèles pour accomplir les deux rakaats. Cette expérience a été l’une des plus
marquantes de mon voyage vers l’islam. La sincérité des 200 hommes totalement unis vers un
seul objectif, glorifier Dieu, était une joie immense ! Lentement, mon coeur commençait à
s’accorder avec mon esprit. Je commençais à m’identifier en tant que musulman, mais pouvais-
je réellement me convertir à l’islam ? J’avais déjà renoncé à l’Eglise d’Etat en Suède, au cas où,
mais prier 5 fois par jour ? Arrêter de manger du porc ? Pouvais-je réellement le faire ? Et
qu’en penseraient ma famille et mes amis. Je m’étais souvenu de ce que frère Omar m’avait dit,
comment sa famille avait essayé de le faire interner dans un asile de fous lorsqu’il s’était
converti. Pouvais-je réellement franchir le pas ?
A cette époque, la vague Internet avait balayé mon pays et moi aussi j’étais accroc d’Infobahn.
J’avais à ‘portée de main’ des tonnes d’informations sur l’islam. Je pense avoir lu toutes les
pages Web qui contenaient le mot ‘islam’ et j’y ai beaucoup appris. Mais l’élément décisif a été
la lecture, en Grande-Bretagne, de l’histoire d’une femme nouvellement convertie dont le récit
décrivait avec précision tout ce que j’éprouvais. Ce texte a pour titre « 12 heures». En lisant
cette histoire qui m’avait ému jusqu’aux larmes, je me suis aperçu que je ne pouvais plus faire
marche arrière, l’appel de l’islam était irrésistible. Les vacances d’été avaient commencé et
j’avais pris ma décision. Je devais me convertir à l’islam! Mais après tout, l’été avait commencé
avec une vague de fraîcheur et, si ma première semaine de vacances n’avait pas été à la hauteur,
je n’allais pas gâcher une journée ensoleillée sans aller à la plage. A la télévision, le
présentateur météo avait dessiné un grand soleil juste au-dessus de la région où j’habitais. Ok
alors, j’irais un autre jour… Le lendemain matin, un soleil gris acier avec des rafales de vent
glacial étaient visibles par la fenêtre de ma chambre. Comme si Dieu avait décidé qu’il était
temps pour moi de franchir le pas et que je ne pouvais plus attendre. J’avais pris un bain, porté
des vêtements propres, puis j’étais monté dans ma voiture et j’avais conduit pendant une heure
jusqu’à la moquée. Arrivé sur place, j’ai fait part de mes intentions à mes frères et après la
prière du Duhr, j’ai prononcé la chahada devant l’imam et quelques frères, Alhamdoullillah. A
mon grand étonnement, toute ma famille et mes amis ont très bien accueilli ma conversion et
l’ont acceptée. Je n’irais pas jusqu’à dire qu’ils étaient ravis mais ils ne s’y sont pas opposés. Ils
ne peuvent pas tout comprendre. Par exemple, ils ne comprennent pas que je prie 5 fois par jour
à des heures précises, ou que je ne mange plus de porc. Ils pensent que ce sont là des traditions
étrangères bizarres qui disparaîtront avec le temps mais je leur prouverai qu’ils ont tort.
Inchaallah.
2. Mlle Kaci Starbuck. Ma première prise de conscience de l’idée chrétienne du Salut

remonte à l’époque qui a suivi mon baptême dans une église baptiste du Sud. Je n’étais alors
qu’une enfant. J’avais appris au catéchisme que si « vous n’êtes pas baptisé, vous irez en enfer
». Je n’ai moi-même été baptisée que pour faire plaisir aux autres. Un soir, ma mère était
rentrée dans ma chambre et je lui avais posé des questions sur le baptême. Elle m’avait
encouragée à le faire. Le dimanche suivant, j’ai donc décidé d’aller à l’église et de m’asseoir au
premier rang. Alors qu’un cantique était chanté à la fin du sermon, je m’étais approchée du
pasteur responsable de la jeunesse. Il avait un sourire sur le visage, m’avait félicitée et s’était
assis à mes côtés sur un banc. Il m’avait posé une question : « pourquoi veux-tu te faire baptiser
? » J’étais restée silencieuse un instant, puis je lui avais répondu : « parce que j’aime Jésus et je
sais qu’il m’aime ». Les membres de l’église se sont alors approchés de moi et m’ont serrée
dans leurs bras… anticipant ainsi l’immersion cérémoniale dans l’eau qui allait se produire
quelques semaines plus tard. Je me souviens que très jeune déjà, dès le jardin d’enfants, je
faisais partie de la chorale au cours de catéchisme. Plus tard, à l’adolescence, je faisais partie
d’un groupe de jeunes filles qui se réunissait à l’église pour des activités hebdomadaires et nous
organisions des retraites annuelles dans un camp. Nous n’avions pas passé beaucoup de temps
ensemble mais elles m’appelaient « la fille d’un coordinateur de la jeunesse » ou « la fille qui
joue du piano à l’église lors de célébrations spéciales » Un soir, dans le camp, un homme avait
parlé de sa vie conjugale. Il nous avait raconté comment il avait rencontré sa femme. Il avait
grandi aux USA où il était normal d’avoir une petite amie, mais dans la culture de la jeune
femme, il ne pouvait sortir avec elle qu’en la présence d’un « chaperon ». Comme il l’aimait, il
avait décidé de continuer à la voir. Il n’avait, de plus, pas le droit de la toucher que s’il lui avait
offert une bague de fiançailles. Après l’avoir demandée en mariage, il avait le droit de lui tenir
la main. Je n’en revenais pas mais j’étais admirative. Je trouvais merveilleux l’idée de ne
pouvoir découvrir une autre personne que dans le cadre d’un engagement réel. L’histoire
m’avait plu, mais je n’avais pas pensé que cet épisode pourrait se reproduire.
Quelques années plus tard, mes parents ont divorcé et la place de la religion dans ma vie a
changé. J’avais toujours porté un regard d’enfant sur ma famille – ils étaient parfaits. Mon père
était diacre à l’église, il était respecté et connu de tous. Ma mère était active dans des groupes
pour jeunes. Lorsque ma mère est partie, j’ai dû remplir son rôle et m’occuper de mon père et
de mes deux frères. Nous continuions d’aller à l’église mais lorsque nous rendions visite à ma
mère le week-end, nous fréquentions de moins en moins l’église. Lorsque nous étions chez mon
père, nous nous réunissions tous les soirs pour lire les Corinthiens I : XIII (où il est question
d’amour et de charité). Mes frères, mon père et moi lisions ce verset si souvent que j’avais fini
par le connaître par coeur. Mon père y trouvait du réconfort mais je ne parvenais pas à en
comprendre la raison. Durant trois années consécutives, j’ai habité avec mes deux frères chez
ma mère. A cette époque, comme ma mère n’allait plus à l’église, mes frères ne voyaient plus
non plus la nécessité de s’y rendre. J’étais chez ma mère durant ma première année
universitaire, je m’étais donc fait de nouveaux amis et j’avais découvert un nouveau style de
vie. Le premier jour de cours, j’avais fait la connaissance d’une fille très sympathique. Le
deuxième jour, elle m’avait invitée à passer le week-end chez elle – pour rencontrer sa famille
et visiter son église. J’avais tout de suite été «adoptée» par sa famille qui voyait en moi une «
gentille fille » et «quelqu’un de fréquentable » pour leur fille. J’étais néanmoins choquée par le
comportement des fidèles de son église. Personne ne me connaissait mais toutes les femmes et
tous les hommes m’avaient accueillie en m’embrassant et en me serrant dans leurs bras pour me
souhaiter la bienvenue.
Je passais tous mes week-ends avec cette famille et à l’église et ils avaient fini par me parler de
croyances particulières propres à leur Eglise du Christ. Ce groupe respectait les enseignements
du Nouveau Testament (interprétation littérale des enseignements de Paul). Ils n’utilisaient pas
d’instrument de musique durant l’office religieux, seuls les chants vocaux se faisaient entendre.
Le pasteur n’était pas un fonctionnaire embauché, et ceux qui prononçaient l’office chaque
dimanche étaient les aînés. Les femmes n’étaient pas autorisées à parler dans l’église. Noël,
Pâques et les autres fêtes n’étaient pas célébrées, le vin et le pain sans levain étaient présentés
lors de la communion tous les dimanches et le baptême était considéré comme nécessaire dès
l’instant où le pécheur décidait de devenir un réel croyant. J’étais déjà considérée comme
chrétienne, mais l’assemblée des fidèles pensait que je serais vouée à l’enfer si je n’étais pas à
nouveau baptisée – dans leur église, à leur façon. Pour la première fois, mon système de
croyances subissait un choc violent. Avais-je grandi dans une église qui s’était trompée sur
toute la ligne? Devais-je réellement être baptisée à nouveau ? Un jour, nous avions discuté ma
mère et moi de la foi. Je lui avais fait part de la confusion dans laquelle je me trouvais et je
voulais que quelqu’un m’explique les choses. Je critiquais tous les sermons car les prêtres se
contentaient de nous raconter des histoires sans se concentrer sur la Bible. Je ne parvenais pas à
comprendre : si la Bible était si importante, pourquoi ne se contentaient-ils pas de la lire durant
l’office religieux? Bien que l’épisode du baptême avait occupé mes pensées tous les dimanches
durant deux ans, je ne pouvais pas prendre la décision de me faire à nouveau baptiser. Je
préférais prier Dieu pour qu’il me fasse prendre cette décision si elle était la bonne, mais rien de
tel ne s’était jamais produit. L’année suivante, j’ai pris mes distances avec toutes les églises.
Parfois, je visitais des églises le dimanche avec des amis – simplement pour porter un regard
critique sur les sermons durant l’office. J’avais essayé de m’affilier à l’association des étudiants
baptistes, mais quelque chose m’y déplaisait également. Je m’étais inscrite à l’université en
pensant y trouver quelque chose de semblable à l’Eglise du Christ mais je n’y parvenais pas.
Lorsque je retournais chez ma mère certains week-ends, j’allais à l’église pour y retrouver le
sens spontané de la communauté et de l’accueil.
Durant ma première année d’études, je passais les dimanches à chanter dans les choeurs à
l’église de Wake Forest parce que j’y étais bien payée. Je ne croyais pas aux enseignements de
l’Eglise mais j’acceptais de subir les longs sermons pour des raisons financières. Au mois
d’octobre de cette année, j’avais fait la connaissance d’un musulman qui vivait dans la
résidence où j’habitais. Il était très sympathique et semblait toujours longuement réfléchir ou
être plongé dans ses pensées. J’avais passé toute une soirée à lui poser des questions
philosophiques sur les croyances et la religion. Il me faisait part de ses croyances en tant que
musulman shiite d’obédience ismaélite. Bien que ses pensées étaient quelque peu
déviationnistes par rapport à cette secte musulmane (étant lui-même également dans le doute et
en quête de réponses), ses premières réflexions m’avaient poussée à remettre en question mes
propres croyances : naissons-nous dans une religion donnée dont nous jurons de l’authenticité ?
Tous les jours, nous nous rencontrions et je lui posais des questions – espérant retrouver la
profondeur de nos échanges lors de notre première rencontre – mais il ne voulait plus que ce
sujet soit l’objet de nos discussions ni satisfaire le besoin spirituel dans lequel je me trouvais.
L’été suivant, dès que je trouvais un livre sur l’islam dans la librairie où je travaillais, je le lisais
aussitôt. J’avais fait la connaissance d’un autre musulman sur le campus et avais recommencé à
discuter avec lui de l’islam. Au lieu de me répondre, il m’avait demandé de lire le Coran.
Chaque fois que je lui posais des questions générales sur l’islam, il me répondait. Je suis allée
deux fois à la mosquée locale au cours de cette même année et j’étais heureuse de retrouver
l’esprit communautaire que j’avais connu. Après m’être documentée sur l’islam au cours de cet
été, j’étais devenue plus sensible aux propos des musulmans. J’avais pris un cours introductif
sur l’islam durant un demi-semestre et chaque fois que le professeur formulait un commentaire
déplacé, je me sentais frustrée et ne savais pas comment le corriger. En dehors de mes études
personnelles et universitaires, j’étais devenue très impliquée dans le soutien à la création de
notre nouveau campus ‘Islam Organization Awareness’. Comme j’étais la seule fille du groupe,
les autres m’identifiaient comme la «chrétienne du groupe». Chaque fois qu’un musulman
m’appelait ainsi, je le regardais avec étonnement – parce que je pensais faire tout ce qu’ils
faisaient et que j’étais moi aussi musulmane. J’avais arrêté de manger du porc, j’étais devenue
végétarienne, je n’avais jamais aimé l’alcool et j’avais commencé à accomplir le jeûne durant le
mois de ramadan. Mais cela ne suffisait pas…
A la fin de cette (première) année, de nouveaux changements se sont produits en moi. J’ai
commencé à attacher mes cheveux vers le haut et à les porter de manière plus discrète. De
nouveau, je pensais que j’avais du mérite et que seul mon mari aurait le droit de voir mes
cheveux. Je ne connaissais rien sur le hijab étant donné que beaucoup de soeurs musulmanes à
la mosquée ne le portaient pas. L’été en question, j’étais assise à l’université en train de surfer
sur le net à la recherche de sites sur l’islam. Je voulais trouver l’adresse email de musulmans
mais je n’y parvenais pas. A force de recherche, j’avais fini par tomber sur la page d’accueil
d’un site matrimonial. J’avais lu certains profils et essayais de trouver quelques personnes dans
la même tranche d’âge que la mienne pour pouvoir dialoguer sur l’islam. J’avais indiqué en tête
de ma première lettre : « je ne suis pas à la recherche d’un mari – je veux juste m’informer sur
l’islam ». En l’espace de quelques jours, trois musulmans m’ont répondu, le premier était
originaire du Pakistan et d’Inde et étudiait aux USA, le deuxième était d’origine indienne mais
étudiait au Royaume Uni, le troisième vivait aux Emirats Arabes Unis. Tous trois m’ont été
d’une grande aide, chacun de façon particulière, mais j’avais commencé à correspondre avec
celui qui vivait aux USA parce que nous habitions la même région. Je lui posais des questions
et il me répondait en longueur, avec des arguments logiques. A cette époque, je savais que
l’islam portait le message de la vérité – tous les hommes sont égaux quelle que soit la couleur,
l’âge, le sexe, la race, etc. Le Coran m’avait fourni les réponses aux questions qui me
perturbaient, je me sentais faire partie de la communauté des musulmans et j’avais un besoin
profond de déclarer la chahada dans une mosquée. Je n’éprouvais plus cette « crainte qu’ont les
Chrétiens » de renier ce dogme de la « divinité de Jésus » - je savais qu’il n’existait qu’un seul
dieu et qu’il ne devait pas être associé. Un jeudi soir durant le mois de juillet, alors que je
discutais au téléphone avec ce frère sur l’islam, face à toutes les questions que je lui posais, je
recevais des réponses de plus en plus pertinentes et logiques. J’ai alors pris la décision de me
rendre à la mosquée le lendemain. Je suis allée à la mosquée avec le musulman de Wake Forest
et sa soeur non musulmane sans lui avouer mes intentions. Je lui avais dit que je voulais parler
avec l’imam après la khutba (sermon religieux). Les musulmans avaient déjà accompli la prière
(qui consiste à glorifier Allah, réciter le Coran et effectuer une série de mouvements parmi
lesquels l’inclinaison (prosternation à Allah)) puis l’imam s’était approché de moi. Je lui avais
demandé ce que je devais faire pour devenir musulmane. Il m’avait répondu qu’il existait des
principes de base que je devais connaître avant de prononcer la chahada (il n’existe pas d’autre
Dieu qu’Allah et Mohamed est Son Messager). Je lui aie répondu que je m’étais informée sur
l’islam et était prête à devenir musulmane. J’ai prononcé la kalima et suis devenue musulmane
le 12 juillet 1996, alhamdoullillah (Louanges à Allah). J’avais franchi la première étape
importante. De nombreuses portes se sont par la suite ouvertes – et continuent encore par la
grâce d’Allah. J’ai d’abord appris à prier, puis j’ai visité une autre mosquée à Winston-Salem,
et j’ai porté le hijab deux semaines plus tard.
Le hijab m’a posé des problèmes durant mon job d’été. Mes patrons n’appréciaient pas cette
tenue et m’ont « laissée partir » au début de la saison estivale. Ils ne pensaient pas que j’étais
capable d’accomplir mon travail qui consistait à vendre des pochettes pour livres car ma tenue
vestimentaire me limitait. Mais j’avais constaté que le hijab m’avait réellement libérée. Je
faisais la connaissance de musulmans dans les magasins, … tous les jours je rencontrais de
nouvelles personnes, alhamdoullillah. Ma première année universitaire prenait bientôt fin, et
j’avais pris la direction de l’organisation musulmane du campus car je trouvais que les hommes
n’étaient pas très actifs. Comme je les poussais à agir et leur rappelais constamment certains
évènements, ils m’avaient surnommée « mère Kaci ». Durant le deuxième semestre de ma
dernière année universitaire, j’ai suivi des cours facultatifs sur l’islam, le christianisme et le
judaïsme. Chaque cours était intéressant car je représentais une minorité dans chacun d’eux.
Machaallah, j’étais heureuse de représenter l’islam et d’informer les gens sur la réalité de cette
religion et des musulmans.
Ô Allah, soit Témoin que j’ai transmis Ton message à Ton peuple !
***
Fait à Patte d’Oie, le mardi 19 Avril 2011
Contactez-nous au 71 30 37 15 / 75 20 03 34 où à
E-mail : sia.hamadou@yahoo.fr

3-L'idolatrie Deguisée

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3ème

Compilé par SIA Hamadou, étudiant à l’IBAM et chercheur en Théologie Moderne.

I. L’égarement des Chrétiens quant à la véritable nature de Jésus……………………….6

IV. Quelques techniques pour répondre à un Chrétien…………………………………...33

V. Blasphème de la Bible à l’égard de certains Prophètes et de Dieu …………… ........38

VI. Réponses à Gerhard Nehls……………………………………………………………42

VII. Témoignages inédits …………………………………………………………………48

I. Rétrospective sur la question de la divinité de Jésus.

Le Pasteur resta silencieux ainsi que la troupe.

II. Cinq critères décisifs

 En ce qui concerne le second critère, jetons un regard du côté de Jésus.

 Lundi : C’est le nom de la déesse Lin

La croyance de l’incarnation de l’hypostase du Fils dans le sein de Marie (prière sur

 « La mort et la résurrection de Jésus » : Nous n’allons pas entièrement revenir sur ce

 La rédemption par le sang de Jésus : Les Chrétiens s’encouragent mutuellement avec ce

III. Quelques techniques pour répondre à un Chrétien

IV. Blasphèmes de la Bible contre certains Prophètes et contre Dieu

V. Réponse à Gerhard Nehls

Comme tout décryptage, commençons avec la forme desdites œuvres :

Voilà un verset coranique qui servi de cheval de bataille à ce monsieur :

VII. Témoignages inédits

2. Mlle Kaci Starbuck. Ma première prise de conscience de l’idée chrétienne du Salut

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