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CHARLES LANÇELIN
ï
Ch. LANCEL1N
Méthode
de
D édoublem ent
Méthode
de
personnel
dédoublemen
personnel ( Extérioration de la neuricité
Sorties en A stral)
a
a
Henri D l.'R V IL L i
imprimeur-éditeur Henri D U R V IL L E , imprimeur - éditeur
rue des Gds Augustin 25, rue des Grands Augustins, 25
PARIS P A R IS (VI )
Magnétisme personnel
(extrait de notre Catalogue général)
D urville (Hector). — M a g n é ti s m e p e r s o n n e l 15 00
— t o u r s s u p é r i e u r d i n f l u e n c e p e r s o n n e l le 20 00
— M a îtr is e de/ so i 5 00
Ouu ville (Henri). — L a Sc ie nce se crète (30 mille) 40 00
— C ours de M a g n é ti s m e p e r s o n n e l , 6e é d i t . (60”m ille ) 30 00
— C o u rs de M a g n é ti s m e e x p é r i m e n t a l et c u r a tif,
d ’I J y p n o t i s m e e t de S u g g e s t io n . T h é r a p e u t iq u e p s y c h i
que, 6” é d i t . (6 0 ' m i l l e ) 30 00
— M ystères in itia tiq u e s, 2’ é d it. il5 ' u u lie i 30 00
— Voici la lumière (30' m ille) 10 00
— Vers la sagesse, 3' édil. (30' m ille) 8 00
— Je v e u x r é u s s i r l 8 00
— L e s F orc es s u p é r i e u r e s 5 00
— La Vraie médecine, 2* édit. 1125" m ille) 3 75
— La Transfusion vitale 3 75
— La Lutte libératrice, 2' édit. 3 76
— La Médecine psycho-naluriste, 3* édit. (200' m ille) 3 75
— Les R é g i m e s a l i m e n t a i r e s , 2' édit. (125* m ille) 3 75
— La Neurasthénie, 2' édit. (125* m ille) 3 75
— Les Maladies de la volonté, 2* édit. (125 m ille) 3 76
— Les é ta ts a n x i e u x , 2* édit. (125' m ille) 3 75
— Le R egard m a g n é t i q u e 3 75
— L 'I n i t ia t i o n e u d iu q u e , 2' édil. (150” m ille) 3 75
— Le Cœur et la Volonté 0 85
— Le Secret du bonheur 0 85
— La Joie de vivre 0 85
— Le Succès 0 85
— Les Suggestions irrésistibles 9 85
— Comment se dominer 0 85
Revues:
E udia (Sérénité). Directeur: Henri Durville. Ilevue initiatique
m e n s u e l le c o n s a c r é e à l ’e n s e i g n e m e n t e u d i a q u e .
L es FoncES s p ir it u e l l e s p o u r la p r o t e c t i o n et la g u é riso n .
D i r e c t e u r H e n r i D u r v i l le . R e v u e m e n s u e l le .
Dédoublement personnel
DU MEME AUTEUR
ROMAN
THEATRE
OCCULTISME
La Trilogie de Shatan:
I. — Histoire mythique de Shatan, 1 vol. in-8
II. — Le Ternaire magique de Shatan (Envoûtement, In
cubât, Vampirisme), 1 vol. in-8.
III. — La Faillite de Shatan, 1 vol. in-8 (en préparation)
L’Au-delà et ses problèmes (Thème magique et clavicules),
1 vol. in-12, relié.
Etude d’un sujet hyperphysique, 1 br. grand in-8 (non mis
dans le commerce).
La Sorcellerie des Campagnes, 1 vol. grand in-8.
Note sur le Dédoublement personnel, 1 br. in-8 (non mis
dans le commerce).
Mes Rapports avec le Diable (Coups de sonde dans le Mystère),
1 vol. in-8, orné de planches.
La Fraude dans la production des phénomènes médiumni-
ques, 1 vol. in-8.
Comment on meurt, Comment on naît (Les deux pôles de la
vie), 1 br. in-16 couronne.
La Réincarnation, 1 br. in-16.
L’Ame humaine, 1 vol. in-16.
La Vie posthume, 1 vol. grand in-8.
Qu’est l’âme, 1 br. grand iü-8.
L’Humanité posthume et le monde angélique, 1 br. grand in-8.
L’Evocation des morts, 1 br. grand in-8.
Introduction à quelques points de l’occultisme expérimental,
1 br. in-12.
L ’Occultisme et la Science, 1 fort vol. in-8.
CHARLES LANCELIN
Méthode
dc
Dédoublement
personnel
(Extérioration de la neuricité
Sorties en Astral)
GÉNÉRALITÉS
Au Colonel A. de R ochas d ’A iglun .
— 11 —
* A
12 —
P R É L IM IN A IR E S
------------- i
(1) S u r les côtes b re to n n e s, lo r s q u ’u n m a r in p é r it en m er, e t que sa
fem m e, sa m ère, ses e n fa n ts, s u r la fa la is e , a tte n d e n t avec an g o isse le re
to u r d u b a te a u et c h e rc h e n t à p é n é tre r d u re g a rd le r id e a u d e tem p ête
q u i co u v re l’océan, u n la m b e a u d u ciel se d é c h ire où s'esto m p e, v ag u e
m e n t lu m in e u se , l ’im ag e d ’u n e cro ix g igantesque v e rs la q u e lle m o n te u n e
¿ m e q u i a l ’a p p a re n c e d u d is p a ru ... c’est l ’in tersig n e.
21 —
— 23 —
*
CHAPITRE II
(1) On tr o u v e ra le d é ta il et le te x te d u ju g em en t d a n s la Sorcellerie
. des Campagnes, d u m êm e a u te u r, (1 vol. in - 8, P a r is 1910).
(2) 2 v ol. iii-8, P a r is , 1849.
(3) 1 v o l. P a r is , 1905.
(4) 1 vol. n -8, P a r is , s. d.
(5) 2 v ol. in - 8, P a ris , 1909.
40) 1 vol. in - 8, P aris’, 1892.
(7) 1 v o l. in-12, P a r is , s. d.
(8) 1 v o l. in-12, P a r is , 1883.
F ig. 3. _ M inerve s o r ta n t arm é e d u cerv eau de J u p ite r . (Copie de M. A, T e y ss a n d ie r, d ’a p rè s u n v a se grec.)
M ythe de l ’enseignem ent des M ystères sy m b o lis a n t le d é d o u b le m e n t: — M inerve arm é e rep ré se n te l ’in te lli-
gence e t la fo rc e ; s o r ta n t de J u p ite r , elle c o n stitu e l ’e x té rio ra tio n , p a r q u i est m a ître de so i, d p fa n tô m e
çonaposé d u c o rp s a s tr a l (force n e u riq u e) d irig é p a r le co rp s m en tal (intelligence).
— 30 —
2 janvier 1894.
« Je nie place en face de Laurent, et je le magnétise avec
des passes dans une demi-obscurité. Au bout de quelque
3
temps, il voit une colonne lumineuse bleue se former à sa
gauche, puis s’éloigner à mesure que se succèdent les états de
l’hypnose, séparés par leurs phases de léthargie. En même
temps se développait à droite une colonne lumineuse rouge
qui avait apparu postérieurement à la colonne bleue, et qui
s’éloigne également. Ces colonnes deviennent de plus en plus
lumineuses, mais sans formes distinctes; ce sont des nuées de
sa grosseur et de sa hauteur, représentant grossièrement le
profil de son corps: quand il soulevait un de ses bras, un ren
flement apparaissait à la nuée du côté correspondant; j’action
nai alors vivement son épigastre, de manière à soutirer du
fluide. Laurent déclara qu’il se sentait vider; au bout de
quelques instants, il vit les colonnes se réunir entre lui et moi
et former une colonne mi-partie rouge et bleue, représentant
encore la forme de son corps.
« J’en approchai un tison enflammé; il accusa une forte
sensation de brûlure. Quand je touchais son fantôme avec la
main, il sentait le pincement, mais il ne le sentait plus dès
que ma main cessait d ’être en contact avec le fantôme. J’in
terposai pendant trente secondes ma main entre le fantôme
et sa jambe; après le réveil, la jambe était complètement
inerte, et je dus la frictionner énergiquement pour la rame
ner à son état normal... »
- ......................- — —
physique, cette même volonté qui l’a extérioré et qui le
dirige.
Est-il possible, enlin, à ce fantôme extérioré de se ren
dre absolument visible, audible et tangibles?
Oui encore, répondrai-je, malgré la lacune qui existe
à cet égard dans les extériorations de laboratoire opérées
à ce jour, mais en m’appuyant sur deux motifs probants
par eux-mêmes: I o Les dégagements opérés jusqu’à pré
sent en laboratoire ne le sont que par l’effet d’une volonté
étrangère: les fantômes qui en résultent ne représentent
donc qu’un « reflet » de volonté (1) et seraient infiniment
mieux condensés si la volonté qui les anime était en eux-
mêmes au lieu de leur être extérieure. — 2° Les centai
nes de cas, observés et étudiés à ce jour, de dégagements
fortuits ou volontaires nous prouvent que le fantôme ex
térioré qui se manifeste jouit toujours d’une de ces fa
cultés (sans quoi sa présence serait imperceptible), très 1
E X P O S É D E S F A IT S
É
— 48 —
i
— 30
___
aucune vanité. Un seul point, dans cette série d’études et
de déductions, m’est rigoureusement personnel: l’allian
ce que j’ai pu établir entre la volonté et la mémoire,
celle-ci se substituant à celle-là pour amener la réalisa
tion de l’expérience.
Mais, m’a dit une personne à qui je soumettais ces ré
sultats, ceci est véritablement de la magie !
Cette personne ne croyait pas dire si vrai, mais encore
faut-il s’entendre. La magie, celle qui, émanée des sanc
tuaires antiques, est arrivée jusqu’à nous sous l’égide
mystérieuse des initiés, cette science hautaine et formi
dable que, pour rompre avec un vocable décrié, l’on ap
pelle aujourd’hui hyperphysique, n’est nullement, com
me le pense le vulgaire, l’art grotesque de prononcer une
barbare formule aussi incomprise par les fabricants de
grimoires qu’incompréhensible pour ceux qui la répè
tent (1), en vertu de laquelle le soleil, par exemple, doit
se muer en lune, ou l’homme en animal... non! Cette
magie-là est purement d’imagination : c’est celle des naïfs
et des escrocs — elle n’a aucune réalité, et ses phénomè
nes sont de purs tours de passe-passe,
Au contraire, la magie réelle, celle qui faisait jadis
partie de l’enseignement mystérial de l’Inde, de l’Egypte,
de la Grèce et des Druides, qui nous a été transmise par
de dévoués prosélytes, et qui détient des secrets formi
dablement dangereux, cette magie-là existe à l’heure ac
tuelle comme elle a toujours existé, comme elle existera
toujours, de plus en plus désoccultée par les recherches
et l'expérimentation de la science normale (2); les for
mules qu’elle emploie sont ou des memtrams sanskrits,
des invocations hébrœo-chaldaïques, ou des prières grec-1
— 54 —
THÉORIE
CHAPITRE IV
LA V O L O N T É E T SE S P R O C É D É S D E D Y N A M ISA T IO N
C) Procédés de dynamisation.
1° — Action directe.
(1) Je n ’ex am in e ici que l ’au to -su g g estio n a p p liq u é e à ce cas p a r tic u
lie r : J a u r a i p lu s lo in (chap. V) à m ’o ccuper p lu s a m p le m e n t de l ’a u to -
su g g estio n en général.
— 77
G
— 82 —
i
CHAPITRE V
l ’a u t o - s u g g e s t io n
A) Principes généraux.
— 89 —
B) Application à la volonté
7
— 98 —
C O N S T IT U T IO N O C C U L T E D E L ’Ê T R E H U M A IN
1" R u p a :
2° Jiva:
Vie du corps physique. — Partie médiatrice du
Sarcosôme (corps physique)
3° L inga S harira:
Ame du corps physique. — Partie animatrice du
corps. Spiritualisation du sang sous l'influence
de la vie végétative. Elément localisé dans les
ganglions du grand sympathique et qui peut
sortir hors du corps physique. Se renouvelle
matériellement par les fonctions de la poitrine.
8
— 114 —
7° A tma :
Ame du corps spirituel. — Partie animatrice du
corps spirituel. Spiritualisation des facultés hu
maines sous l’influence du Verbe divin. Elément
non localisé en l’homme. Principe de l’immor
talité (1).
b.
— 116 —
r.-> I
1 m’u •4 * \ 7 £ /n ¿ ó //t&
J ïw a r x J ;
E N T R A IN E M E N T
(1) V. ch ap . v iii, § A.
S
130 —
(1) L a force vitale, notre corps flu id iq u e, s a form ule biom élrique ,
La Force psychique
1 v o l. l n - 8 , P a r is , 1893. V o ir a u s s i: B r B o n n a y m iî :
et les Instrum ents servant à la m esurer (1 v o l. in-12, P a r is , 1908.
H e n r i D u rv ille , im p rim e u r-é d ite u r).
— 131 —
T y p es se co n d aire s
( + 5» — 5»
Î O /A
R /O
0 /R
R /A
A /R — la p lu s fré q u e n te ,
m a rq u e l ’é q u ilib re p a r fa it) .
Or, si nous nous rappelons, d’une, part, que, comme il
vient d’être dit, la force humaine qui s’extériore est de
la force neurique, et, d’autre part, que la neuricité cons
titue en grande partie le corps astral, il nous sera logique
d’en déduire que l’individu qui aura le plus de facilité
pour extériorer son corps astral sera celui dont la for
mule biométrique sera R/R.
Mais il tombe sous le sens qu’une telle formule ne peut
se présenter qu’exceptionnellement et de façon très mo
mentanée, puisque, pour extériorer de la force, il est né
cessaire d’abord d’en tenir en réserve, qu’il a fallu pren
dre quelque part, c’est-à-dire, en fin de compte, au ré
servoir commun; par suite, l’individu qui présente la
formule R/R est, au moins en principe, sujet à d’énor
mes variations tant dans le sens positif que dans le sens
négatif, puisqu’il lui a fallu antérieurement présenter
sinon la formule A/A, au moins une formule àpprochant.
Il n’y a donc qu’un conseil à donner à l’expérimenta
teur qui, d’emblée, présenterait la formule R/R: c’est —
son équilibre neurique étant des plus instables — de
s’abstenir de telles expériences; il y a danger pour lui à
s’y livrer (1).
La conclusion à tirer de ce qui précède est que l’entraî
nement doit amener l’expérimentateur à présenter une
formule aussi rapprochée que possible de R/R, et, dans1
B) Appareils de mensuration.
F ig. 19. — A p p a re il F ay o l.
C) Mode d’action.
10
— ■ 146 —
\
— 152 —
R É G IM E P R É P A R A T O IR E
(1) On p o u r r a p e n d a n t to u t ce te m p s p o r te r u n e c e in tu re électriq u e à
c o u r a n t m o d éré, d e faço n à e x citer la n e u rie ité sa n s én erv er.
155 —
4° S t i m u l a t i o n n e r v e u s e : La stimulation nerveuse ne
peut guère être demandée à des médicaments; elle doit
être surtout cherchée par les moyens psychiques ou phy
siques (v. ci-dessus) : Electricité statique, aéro et clima-
tothérapie, et surtout balnéothérapie et hydrothérapie.
Dans ces derniers modes, c’est l’action nerveuse qui,
avec le froid, active la nutrition. Le bain froid augmente
l’urce, l’acide carbonique et l’acide urique, c’est-à-dire
active les combustions organiques. Cette hydrothérapie
sera employée sous forme de douches froides, bains
froids, douches écossaises.
5° E x c it a n t s m oraux , p h y s iq u e s et c h im iq u e s , occu
etc.: Comme ci-dessus.
p a t io n s ,
Dans tous les cas, que l’on ait recours au régime ordi
naire mentionné plus haut ou bien à ce régime intensif,
on utilisera deux fois par jour, au lever et au coucher (si
l’on peut y adjoindre un troisième essai au milieu de la
journée, cela n’en vaudra que mieux) l’appareil Fayot,
ou tout au moins un des instruments de mensuration psy
chique dont il a été question plus haut, et dont chaque
indication sera reportée sur un agenda.
156 —
(1) P a r m i les ag en ts p sy c h iq u e s q u i p r o d u is e n t in d é n ia b le m e n t le d é
d o u b le m e n t et d o n t je d éco n seille l ’em p lo i d e la fa ç o n la p lu s f o r m e l l r
d ’a b o rd p a rc e q u ’ils o nt u n e influence n u is ib le s u r l ’o rg an ism e, et ensuite-
p a rc e q u ’ils la is s e n t trè s ra re m e n t le s o u v e n ir in ta c t, se tro u v e , en p r e -
m iè re lig n e, le ch lo ro fo rm e.
Les in d iv id u s , d it le D r S im o n in , q u i su b is s e n t l ’influ en ce de l’anesthé--
sie , lo r s q u ’ils co n serv e n t l ’intellig en ce p o u r s ’en r e n d re com pte, c ro ie n t
a v o ir u n c o rp s d ’u n e s u b tilité im p a lp a b le .
U n des c lie n ts d u D r Isid o re B o u rd o n lu i ra c o n ta it que, p e n d a n t l ’o p é
r a tio n q u ’on v e n a it d e lu i f a ire sous l'in flu e n c e d u c h lo ro fo rm e , « il lü i
se m b la it q u ’u n e b ris e d élicieu se le p o u s s a it à tr a v e rs les espaces com m e'
u n e âm e d o u cem en t em p o rtée p a r son ange g a rd ie n . »
D’a p rè s le D r S é d illo t: « Les c h a irs p e u v e n t ê tre fro issé e s, m eu rtries,-
d iv isé e s, le c lie n t ne le se n t p a s ; son e s p rit p la n e d a n s d es régions iri-'
co n n u es, f ra n c h it les espaces sa n s fin, a c c o m p lit en q u elq u es m in u te s les
év én em en ts de p lu s ie u rs a n n é e s ; ou b ie n il est plongé d a n s d es extases-
e t d es rêv es so u v e n t accom pagnés d ’u n v if s e n tim e n t de b ie n -ê tre et de
b o n h e u r. »
F letw o o d C rom w ell W a rle y , l’in v e n te u r d es câb les tr a n s a tla n tiq u e s ,
ra c o n te q u ’a y a n t f a it usage, u n so ir, de c h lo ro fo rm e p o u r a p a is e r u n e d o ii^
« m
— 158 —
C A P T A T IO N DES FO RCES H Y P E R P H Y S IQ U E S
11
162 —
- 166 —
1° La méditation.
2° Le sommeil
3° La respiration
J fl
— 176 —
12
— 178 —
— 180 —
4° Le milieu ambiant.
(1) On p e u t d o n n e r la c o u leu r v o u lu e à to u te l ’a m b ia n c e en p o r ta n t d es
lu n e tte s d e n u a n c e a p p ro p rié e , m a is ce p ro c é d é artific ie l ne v a u t p a s la
c o lo ra tio n n a tu re lle .
(2) D ans to u t l ’u n iv e rs, le v e rt est la c o u le u r de l ’in d iv id u a lis a tio n .
S u r n o tre g lobe où le v e r t d o m in e, l ’a ltr u is m e n ’e s t encore que d a n s la
p é rio d e d e ses m a n ife s ta tio n s p re m iè re s.
— 192 —
13
— 194
--------- .
(1) Râja-Yoga, ou conquête de la nature intérieure, tr a d u it en Tançais
p a r S. W . — 1 vol. in-12, P a r is , 1910.
à
— 198 —
__
I , I
— 199 —
( 1) Loc. cit.
consiste à supprimer tout mouvement involontaire tant
du corps que de l’intellect, et principalement à produire
le calme dans le mental toujours plus ou moins agité)
et de recueillement préliminaire, d’inhaler une respira
tion intégrale (v. p. 194, note), puis de prononcer le mot
sacré durant l’expiration, en le psalmodiant d’une voix
profonde sur les trois notes de l’accord parfait: d o -
mi...sol... — On peut continuer l’exercice de trois à dix
minutes, suivant l’effet produit. On sentira les vibra
tions s’emparer de tout l’être, et une sensation de calme
et de spiritualité régner avec une intensité croissante. —
Par une pratique prolongée de cette sorte de chant reli
gieux on arrive parfois à produire les phénomènes psy
chiques les plus étranges ».
A ces indications très précises, j’en ajouterai deux
autres :
I o II y a des personnes que le chant distrait; or, le
mot sacré doit être médité en même temps que psalmo
dié; ces personnes pourront donc, et mieux, murmurer
le chant au lieu de le psalmodier.
2° D’autre part, il est des circonstances et des milieux
où l’on ne peut guère psalmodier à haute voix; dans
tous ces cas, on pourra se contenter de psalmodier men
talement; mais cette psalmodie mentale ne pourra pro
duire réellement effet que chez les personnes qui, s’étant
livrées pendant un certain temps à l’exercice de psal
modie réelle en auront subi les effets physiques, psy
chiques et intellectuels, et se seront, par là, rendues
aptes à les bien reproduire par une opération mentale.
On voit, par les explications détaillées qui précèdent
que, au point de vue qui nous occupe, le mot sacré AUM
ne peut guère être remplacé par le Yod-Hé-Vau-Hé de la
Kabale, pas plus que par telle autre invocation sacrée,
qui ne sauraient correspondre avec les énergies supé
rieures, et, par suite, faire participer les divers éléments
constitutifs de l’organisme de l’opérateur aux séries de
vibrations cosmiques qui doivent agir sur lui.
Cette longue mais nécessaire digression sur la valeur
et l’utilisation du AUM védantin étant terminée, je re
— 208 —
<1) V. la n o te 4, p . 201.
— 209 —
1
210 —
(1) V. la n o te 4, p. 201.
(2) Le fa n tô m e v iv a n t n ’a sa ta ille n o rm a le q u e q u a n d il p o ssèd e so n
d o u b le o d iq u e ou des forces a ith é riq u e s, le s sie n n es ou celles d ’u n s u je t
— 211 —
C O N D IT IO N S M A T É R IE L L E S
P R É P A R A T IO N P S Y C H IQ U E
PRATIQUE
--------------
-
CHAPITRE XI
i>ÉRimentatjon
A) Essais préliminaires.
s’il, en est besoin, ce qui est u>n cas très rare car il fau
drait,. pour en user avoir affaire à un bilieux pur.
C’est donc surtout le côté bilieux du tempérament qu’il
faudra dans certains cas développer.
Voici la formule du régime qu’il y a lieu de suivre
pour atteindre ce résultat.
Nourriture. — Viandes blanches en ragoûts ; longues
sauces; poissons au court bouillon;- oignons, poireaux,
ail, choux, fèves; melons, pastèques, bananes, oranges
très mûres; nèfles, cormes, châtaignes;- pain noir et
rassis.
Boisson. — Cidre, poiré, piquette, lait.
Habitudes. — Peu de sommeil sur un lit dur (six à
sept heures) ; coït modéré.
Occupations. ■ —- Ennuyeuses, absorbantes, égoïstes,
autant que possible.
Emotions. — Durables et désagréables, mais peu vio
lentes; soucis qui rongent.
Excitants chimiques. — Alcool sucré (kirsch, rhum,
cognac, etc.) et certaines liqueurs telles que le kummel,
le cassis, l’anisette; le yerba maté, la coca en infusion,
le thé.
Excitants physiques. — Bains tièdes ne dépassant pas
un quart d’heure; couleurs ternes, tristes: gris, jaune
verdâtre, bleu d’ardoise, violet éteint, etc.
A éviter: — Les cordiaux: chartreuse, bénédictine,
xaspail, etc. (1).
Ces traitements devront être suivis de la façon indi
quée plus haut.
Il y a encore un autre motif pour lequel le sujet doit
être doué d’une certaine neuricité susceptible de s’exté-
riorer dans une mesure relative.
Nous savons, par expérience que le corps astral, dé
duit à ses propres forces, est sans action sur la matière:
il faut, pour qu’il puise agir sur la matière, c’est-à-dire
se matérialiser lui-même, soit partiellement soit totale-
i l ) V. m êm e c h a p itre § C
— 253 —
D) Développement
17
— 258
p o u r le forcer, m a lg ré to u te c ra in te de la p a r t de c e lu i-c i, ii c o u r ir u n
r is q u e d e b le s s u r e ; c ’est d ire que ce g en re de co n trô le n e d o it p a s ê tre
te n té dès les p re m ie rs essa is et q u ’il n e p e u t ê tre essay é avec ch ance de
r é u s s ite que q u a n d le fa n tô m e ex té rio ré est b ie n f a m ilia r is é avec le s u je t
ré c e p tif.
(1) C’est p o u rq u o i, b ie n q u ’on n e sache p a s encore si les to x in es d ’u n e
b le s s u re a s tra le se re tro u v e n t d a n s la b le s s u re p h y siq u e su b séq u en te, il
e s t reco m m an d é p lu s h a u t de flam ber le s in s tru m e n ts d o n t on p e u t a v o ir
à se s e rv ir p o u r a g ir s u r l ’aérosom e.
— 2G4 —
18
qu’il doit faire. Là, il trouve préparé au bord du meu
ble l’objet qu’il doit renverser; mais en même temps sa
main a gardé le souvenir en quelque sorte physique du
mouvement qu’au cours de la journée elle a répété à
maintes reprises avec la main matérielle; à son tour et
seule, elle réitère ce même geste et fait tomber l’objet.
Mais le fantôme n’a-t-il pas assez de force pour pro
duire l’effet voulu et l’objet est-il demeuré à sa place?
Alors agit le monodéisme de la volonté de l’opérateur,
étayé par la volonté jointe du sujet: l’acte doit être ac
compli. Nous savons, par les expériences sur les fantô
mes de sujets, que le corps astral peut, dans certaines
conditions, se matérialiser ou se fluidifier à son gré:
poussé par cette double volonté qui ordonne, il maté
rialise davantage sa main, lui donne une force plus
grande, répète le geste, et la plume tombe: l’ordre est
accompli.
Quand an a réussi telle expérience, il faut la varier, ce
qui est possible à l’infini — mais jamais en ordonnant
des travaux de force, qui à la vérité pourraient être exé
cutés, mais pourraient aussi ne pas l’être, ce qui laisse
rait planer un doute, toujours à éviter, sur la réalité du
dédoublement. On peut envoyer le fantôme dans telle
partie de la chambre, ou lui faire frapper un coup sur
tel meuble, ou lui faire laisser la trace de ses doigts sur
un endroit poussiérieux, etc., etc., toutes choses ne né
cessitant qu’une dépense de peu de force,car il ne faut pas
oublier ceci; Le corps astral éloigné de son sarcosôme,
ne possède, en fait, de forces aithériques lui permettant
d’agir sur la matière, que celles qu’il a pu prendre dans
son ambiance du moment (particulièrement sur le sujet
réceptif) et s’assimiler (1). Or, nous ignorons dans quel-1
M H
— 277 —
F ig . 25 i l f c.
T y p e d ’e m p re in te d ig ita le : T y p e d ’e m p re in te d ig ita le :
O vale, cercle, sp ira le , v o lu te Arc.
F) Acquisition de la visibilité I
I
Nous abordons ici l’étude d’un ordre de phénomènes
qui ne peuvent se produire qu’à force d’essais répétés
avec patience et ténacité, à force d’énergie de volonté.
L’est en vain qu’on essaierait d’indiquer une marche à
suivre: il n’y en a pas. Tantôt la visibilité se révèle spon
tanément et sans que l’on fasse quoique ce soit pour
l’acquérir (il est même des cas, assez rares d’ailleurs,
au moins relativement, où, sous l’impression d’une vio
lente émotion ou pour d’autres causes mal définies, le
— 287 —
19
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■ J
— 294 —
—
— 295 —
(1) Des exp érien ces p récises, fa ite s à cet ég ard s u r des s u je ts , o n t d é
m o n tré que la v itesse de tra n s la tio n d u fa n tô m e e x té rio ré c ro ît, à l ’a lle r ,
av ec la d ista n c e à p a r c o u r ir , m a is que le re to u r, d a n s to u s les cas, s’ef
fe c tu e avec u n e r a p id ité a u m o in s d o u b le.
jamais eu à faire aucun effort pour l’acquérir, bien qu’il
semble cependant que, pour arriver à ce point, même
si l’on admet que le germe s’en trouvait en lui, ce ger
me a dû être tout au moins développe par un procédé
quelconque — application de la volonté ou exercice.
Car, en résumé, il me semble que telles doivent être
les deux données primordiales du problème.
La volonté évidemment, doit jouer un certain rôle en
tout ceci; la difficulté est que, dès que l’on veut la met
tre en œuvre, on se heurte à un obstacle, toujours le
même; — compliquer le monoïdéisme de début en vou
lant se rendre compte des difficultés que l’on rencon
trera en route, c’est affaiblir, par cela même, ce monoï
déisme, qui doit, avant tout, être créé aussi simple, aus
si facile à exécuter, que possible, faute de quoi, surtout
nu cours des premières tentatives, on court à un échec.
Là est peut-être en somme, la solution de la question;
pour les premiers essais, on peut s’en remettre au « gui
de astral » dont il a été question plus haut, et, quand
on est suffisamment maître du phénomène d’extériora-
tion, on peut tenter de compliquer le monoïdéisme de
début en y adjoignant le vouloir de se rendre compte
des incidents du chemin; puis vient la répétition de
l’exercice qui dégage progressivement cette faculté de
la gangue où, dans le principe elle demeure obnubilée.
Au reste, comme tous les organismes sont loin de pos
séder la même organisation psychique, on pourra, en
opérant comme il a été dit au chapitre x, de la Prépara
tion psychique — c’est dire que je m’adresse unique
ment, en ceci, aux psychistes et aux occultistes — entrer
en relation avec l’Entité protectrice des dédoublements,
pour lui demander d’indiquer les procédés (qui different
au moins dans le détail pour chaque individu) d’acqué
rir la conscience de direction.
Telle semble être, du moins, la meilleure voie à suivre
pour acquérir l’exercice de cette faculté.
Mais pour l’expérimentateur qui ne voudrait pas, par
crainte, incrédulité ou tout autre motif user du « guide
astral » et qui ne pourrait, pour une raison queîcon-
— 300 —
H) Conservation du souvenir
2»
306 —
■i ■■ -
----- 313
-
— 313 —
h.
— 319 —
----- -
CHAPITRE XII
DANGERS DE INEXPÉRIENCE
B) Dangers du dédoublement.
Ces dangers, je viens de le dire, sont variés et peu
vent être classés en plusieurs catégories que je vais suc
cessivement et succinctement examiner.
1“ Dangers matériels.
Il serait vraiment puéril de discuter en détail si, quand
il y a dissociation des éléments de l’être, il y a, ou non,
péril mortel. Cela est de telle évidence que je me borne
rai à montrer de façon précise quelle est, en cas de dé
doublement, la situation exacte du corps physique, base
et fondement de tout l’être normal.
Les très belles et très probantes expériences de Hector
Durville (1) ont démontré qu’au moment où commence
le dédoublement, le corps humain est abandonné par
tous ses principes supérieurs, comme le serait un cada
vre: le corps mental a emporté avec lui l’intelligence; le
corps astral, la sensibilité; et le corps odique, la vie. Ce
pendant on ne peut pas dire, à proprement parler, que
ce soit un cadavre, puisqu’il est réuni à son fantôme par
un lien fluidique qui lui transmet la vie physique et les
ordres du système nerveux-sensitif; on pourrait mieux
dire de lui que c’est un automate, ou, plus exactement
encore, un pantin dont le fantôme tire les ficelles. En un1
3° Dangers psycho-physiques.
22
— 338
4° Dangers hijperphysiques.
SCH ÉM A T E C H N IQ U E
»
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23
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— —
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.
356 —
....... - m m
I
— 357 —
i
— 360 —
(1) U ne e x p lic a tio n est Ici nécessa ire. P e rso n n e n ’ignore q u e les ra y o n s
N , d éco u v erts — a p rè s P a ra c e lse q u i en a v a it sig n a lé l’existence — p a r
MMT. B lo n d lo t et C h a rp e n tie r, o n t d ’a b o rd été co n statés p a r to u t et p a r
to u s , et se so n t v u s e n s u ite l ’o b je t d e d én ég atio n s u n a n im e s : ac tio n , ré a c
tio n — excès d a n s u n se n s com m e d a n s l ’a u tre . J e n ’a i p a s à p r e n d re
jp a rti, je c o n sta te se u lem en t, en ce q u i f a it l ’o b je t de cette étude, q u e le
— 363 —
APPLICATIONS
CHAPITRE XIV
Q U E L Q U E S F A IT S
24
370 —
(1) Cas extrait du Fantôme des vivants, par H ector D u rville, déjà cité.
(2) Efïet de la v ie p artielle du double su r le plan astral où il a la
v isio n de « clich és astraux » (C. L.).
— 374 —
(1) Pour com prendre la nature des lie n s qui u n issen t ces deux genres
d e phénom ènes en apparence très d issem b la b les, i l fa u t se rappeler que
la voyan ce n ’est très généralement que le résultat d’un déd ou b lem en t
p a rtie l (C. L.).
373 —
25
386 —
tubbe alla lui faire visite là, et apprit que ces enfants,
âgés de trois à quatre ans, connaissaient les particula
rités de son dédoublement; ils avaient l’habitude de dire
qu’ils voyaient deux tantes Emilie.
« Plus tard elle se rendit dans l’intérieur de la Rus
sie et Mlle de Guedenstubbe n’en entendit plus parler1.
Je tiens ces détails de Mlle de Guldenstuble elle-même,
et elle m’accorde volontiers l’autorisation de les publier
avec l’indication de noms, de lieu et de date; elle resta
à la pension de Neuwelcke tout le temps que Mlle Sagée
y enseigna; personne n’aurait donc pu donner une rela
tion aussi fidèle des faits avec tous leurs détails. »
30 novembre 1911.
Monsieur,
.... Du reste, j’étais au courant de la question, car un de
mes camarades qui, depuis des années, suit avec intérêt ces
études, m’a affirmé, il y a trois mois, avoir pu se manifester
près de sa femme, séparée de lui par de grandes distances.
Cet officier, dont je ne peux jusqu’ici suspecter la bonne
foi, a procédé, je crois inconsciemment comme vous le re
commandez, en éduquant et en développant sa volonté. Il a
d’abord pu se dissocier, puis apparaître à sa femme, dans
la même pièce, puis dans une pièce voisine. Puis, après ces
expériences réalisées avec succès, son bâtiment fut envoyé
brusquement au Portugal, lors des derniers événements po
litiques; à ce moment, sans en prévenir sa jeune femme, il
réussit plusieurs fois à lui apparaître.
— 392 —
— Oui, parfaitement.
(Or, je dois vous dire qw’Esaba, le traitant noir de c e
village, est un de nos chrétiens, Vincent de son nom de
baptême, qui, au besoin, fait un peu de catéchisme, bap
tise les mourants, instruit les petits et, de plus, nous est
très dévoué. Lorsque nous sommes à son village, c’est
toujours lui qui nous donne l’hospitalité et nous rend
mille services).
— Eh bien, en passant devant sa porte, voudrais-tu
lui dire que j’ai absolument besoin de le voir, qu’il vien
ne immédiatement, et m’apporte en même temps les car
touches de fusil de chasse que j’ai laissées dans une-
petitc caisse de fer chez lui? Qu’il laisse le reste. Les car
touches seulement, c’est bien compris, n’est-ce pas?
— Ta commission sera faite. Esaba recevra ton mes
sage ce soir même, et demain se mettra en route. Main
tenant, plus un mot, n’est-ce pas?
Devant pareille assurance, on comprend combien mon
étonnement augmentait, combien aussi j ’étais désireux,
de voir la fin de cette histoire, tout au moins singulière.
Comment Ugéma allait-il se rendre à la fête? Quatre
journées de marche en quelques minutes! Et puis, com
me je viens de le dire, par Esaba, j ’avais un moyen fa
cile de contrôle. De la mission pour aller chez Esaba, il!
y a trois grandes journées'de marche, et encore ne faut-
il pas perdre de temps en route!....
Cependant Ugéma et moi étions rentrés dans la case
des fétiches. Un feu, où des herbes aromatiques et des
bois aux fortes essences avaient été jetés en abondance*,
brûlait au milieu, et les flammes, claires et brillantes,,
illuminaient la case entière. Je m’assieds dans un coin.
Déjà, en chantant un air tout particulier, et d’une péné
trante mélodie. Ugéma a dépouillé ses vêtements habi
tuels; un à un, il revêt ses fétiches, s’arrêtant à chacun
pour commencer un nouveau chant, sur un rythme lent
et bizarre sorte de mélopée où le son s’élève soudain
pour retomber aussitôt, chant de prière souvent, d’ado
ration, plus fréquemment d’appel aux esprits des bois«,
des forêts, des eaux, esprits des morts...
— 397 —
26
— 402
J
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V
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b
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à J
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28
— 43-1 —
(1) Le s u je t v o y an t.
(2) L e té m o in jo in t à sa le ttre u n p e tit c ro q u is e x p lic a tif q ui a p u
ê tre su p p rim é ici en m o d ifia n t lég èrem en t cette p h ra s e exp licativ e.
(3) Cette fo rm e e s t celle de l ’E n tité a s tr a le q u i pro tèg e X... a u c o u rs
d e ses ex périences.
— 435
■ ■ü
438 —
19-2-12.
Cher Monsieur, )
Quelques mots pour mon compte personnel.
Monsieur X..., vous voilà aussi fort que les Mahatmas (1)1
Je me suis trouvé cette fois-ci, comme la première, à M.,
dans de bonnes conditions pour observer.
Voici dans quelles conditions les phénomènes que vous
avez produits (car, il n’y a pas de doute, c’est bien vous qui
les avez produits) se sont déroulés.
Il était environ cinq heures moins un quart du matin, et
je venais de m’éveiller brusquement, sans cause apparente.
Ce réveil s’est produit souvent chez moi, précédant pres
que toujours quelque phénomène psychique.
Je sautai du lit presque aussitôt pour savoir l’heure qu’il
était: l’aiguille de ma montre marquait cinq heures moins
un quart ou moins vingt. Je me recouchai aussitôt sans ré
veiller ma femme, mais je ne pus me rendormir.
Il y avait environ dix minutes que j’étais recouché, quand
j’entendis un bruit très fort, provenant, me semblait-il, de
plusieurs objets tombant par terre au milieu de notre cham
bre à coucher, et ayant dû se briser.
Je me précipitai de nouveau à bas dti lit, j’allumai la lam
pe, et j’aperçus, au milieu de notre chambre, près d un gué
ridon, une petite lampe en porcelaine et deux écrins à bague
qui gisaient sur le plancher.
Je réveillai ma femme qui n’avait rien entendu, et lui
montrai les objets. Elle parut étonnée, se trouvant encore
dans un demi-sommeil, et ne sembla pas y attacher beaucoup
d’importance.
Je me recouchai donc. Mais, à ce moment, je la vis qui
fixait une partie de la pièce plus obscure (car j’avais laissé
la lampe allumée). Je lui demandai donc ce qu’elle voyait;
elle me répondit: « C’est monsieur X... Monsieur X... ajouta-
t-elle, dit qu’il y a encore quelque chose de tombé sous la
chaise... » Et elle me montrait une chaise du doigt. Puis:
« qu’il a abîmé la bibliothèque ».
Je me levai donc une troisième fois, et j allai ramasser,
sous la chaise indiquée, une petite soucoupe en verre, avec
le pied brisé, et dont il manquait un morceau — assez fort,
du reste. Puis je passai dans la pièce à côté, où je trouvai,
__ —
— 442 —
#
gisant par terre, au pied d’une petite bibliothèque, deux pe
tites boîtes en carton et un dictionnaire anglo-français.
Ma foi! monsieur X..., j’avoue que ce sont de beaux phé
nomènes, très probants pour nous. Vous devenez de plus en
plus fort, et si vous avez réellement emporté ce morceau de
coupe, c’est encore mieux!
A votre place, je mentionnerais cette expérience dans une
revue spéciale, ou plutôt vaut-il mieux attendre de pouvoir
la icproduire avec des sujets réceptifs autres que nous.
■
443 —
(1) C e p e n d a n t, d ’a p r è s G. D é la n n e , o n p e u t f a i r e q u e lq u e s ré s e r v e s à
c e p r o p o s , c a r il e s t d e s c a s b ie n c o n s ta té s o u le d o u b le d u v i v a n t a
p u is é m a n if e s te m e n t l ’é n e rg ie n é c e s s a ir e a u x m a n if e s ta ti o n s p h y s iq u e s
à g r a n d e d is ta n c e , d a n s s o n p r o p r e c o rp s m a te r ie l, c a r le s y n c h r o n is
m e d e s m o u v e m e n ts d u c o rp s tlu id iq u e e t d e l ’d V g am sm c d é m o n tr a ie n t
la li a i s o n in tim e e x is t a n t e n tr e e u x à ce m o m e n t L e c o r d o n d m d .q u e
r e l i a n t le d o u b le o u c o rp s p h y s iq u e f a i s a i t l ’e ffet d e c o n d u c t e u r d e
l ’é n e rg ie , à l a f a ç o n d ’u n fil é le c tr iq u e r a t t a c h a n t d e u x p o s te s . D a n s ce
c a s , le s u je t e s t s o n p r o p r e m é d iu m .
— 4-14
24-2-12.
Cher Monsieur,
29
— 450 —
! — La conscience de sa direction.
— Le souvenir de ce qui s’est passé et de ce qu’il a fait
durant ses périodes d’extérioration.
C’est à l’heure actuelle ce qu’il s’efforce d’acquérir en
se soumettant à une série de tentatives conduite scienti
fiquement, dans des conditions particulières que ce n’est
pas ici le lieu de détailler, car ce ne serait que répéter ce
qui a été dit plus haut dans les chapitres spéciaux rela
tifs au développement de la faculté d’extérioration.
M IS E EN P R A T IQ U E D E C E T T E M É T H O D E
(1) M a r c , IV , 3 seq .
(2) C eux-là so n t à ra p p ro c h e r de ces p a y s a n s ig n a re s q u i, q u a n d on
leur d it q u ’il y a u n siècle n o tre p a y s d o m in a it l ’E u ro p e e n tiè re , ré
p o n d e n t p la c id e m e n t: — Ce n ’est p a s p o s s ib le , c a r enfin, si N ap o léo n I«r
a v a it ex isté, ça se saurait!... Que ré p o n d re à te lle n é g a tio n ?
crédulité, et les autres leur diront de prendre garde à
Charenton... et, ne voulant pas paraître sots ou déments,
ils hausseront les épaules — signe évident, pour eux,
de leur supériorité. — La semence est tombée dans les
pierres.
D’autres encore penseront; « Oui, nous le savons, tout
ceci répond à la réalité des théories auxquelles nous
croyons: mais vraiment, a-t-on le temps, avec les devoirs
professionnels ou mondains, de suivre un entraînement
aussi méticuleux Et puis, peut-on réellement quand on
rentre se coucher après trois heures de musique ou de
bridge intensif, avoir la volonté nécessaire pour s’exté-
riorer? — La semence est tombée dans les épines.
Quelques-uns enfin — les derniers, ceux chez qui la
semence est tombée dans la bonne terre — ont eu la foi,
vive au principe, mais défaillante à mesure que les
épreuves s’accumulaient, que les difficultés s’amonce
laient, et, sur cent qui auront débuté avec l’ardeur ro
buste du néophyte, combien y en aura-t-il qui auront le
courage nécesaire pour atteindre le but, sans succomber
aux échecs partiels inhérents à toute entreprise, sans se
laisser détourner par les soucis matériels ou simplement
par les distractions de chaque jour? Une quantité peut
être infinitésimale.
Et cependant il y en a puisque j ’en ai moi-même ren
contré.
Ceux-là, dira-t-on, étaient spécialement organisés....
d’accord! mais cela veut-il dire qu’ils n’ont eu aucun
obstacle à franchir, aucune difficulté à vaincre — aucu
ne peur, même à surmonter? Non. Ce sont, tout simple
ment des caractères mieux trempés que les autres, qui,
peut-être de cire en face des difficultés ordinaires de la
vie, se sont montrés d’airain devant les obstacles spé
ciaux à cette expérience...
C’est donc aux individus solidement trempés que
s’adressent ces pages, à ceux qui ayant étudié les théo
ries se rendent compte que rien, parmi tout ce qui pré
cède, n’est en opposition avec la réalité des choses, et
qui, s’armant d’énergie, savent vouloir et dirigent leur
456 —
ta m i
ANNEXE
m
— 460
A. — LES FAITS
— 461 —
à m À
— 462 —
3«
466 —
U
— 470 —
B. — CLASSIFICATION
G. — CRITIQUE
J
— 476 —
§ 2. — Critique d’ensemble
— Photographie du double.
— Apposition d’un doigt sur une plaque de verre sau
poudrée de talc.
— Action sur un appareil extra-sensible.
— Expériences avec des colorants.
Enfin toutes tentatives, déjà connues ou nouvelles, en
vue de vérifier Pobjectivité du double, et d’étudier ju s
qu’à quel point peut être poussée son objectivation.
Un mot de conseil, pour finir, à celles ou à ceux qui
voudraient essayer à leur tour ces fascinantes possibi
lités.
Lisez et relisez l’ouvrage de Lancelin. Méditez-le. Gra
vez-vous dans la tête tout ce qui y est dit des dangers
multiples de ce genre d’expérimentation.
Enfin, souvenez-vous toujours que tout pouvoir nou
veau ne nous est donné que pour aider les autres.
PlEIlRE L aFLÈCHE. »
9 février 1925.
P ierre L aflèche . »
TABLE DES MATIERES
■a ■■
— 484 —
Annexe ................................................................................
A. Les fa its ...................................................... 460
B. -— Classification............................................... 471
G. r—, Critique ...................................................... 472
TABLE DES GRAVURES
Flg_ i __ Le s o lita ire M a-M ing-T sun éch ap p e a u x p e rsé c u tio n s en se dégageant
de so n c o rp s p h y siq u e .
D’a p rè s u n ta b le a u b o u d liiste , e m p ru n té a u x M é m o i r e s s u r la C h i n e p a r le com te
d ’EscAYRAC d e L a u t u r e .
(On v o it le lie n ilu id iq u e q u i, p a r ta n t d u so m m et de la tête, re lie le corp^
p h y siq u e a u co rp s a s tra l) .
- 4Gü -
F ig. XXXIII
B rû lu re reçu e p a r Mme T ..., a u c o u rs d ’une expérience de d édoublem ent,
504 — |
i
Henri DURVILLE
Prix: 46 francs
(port en sus, France: 3 fr. 45, étranger: 10 fr. 20)
re c o m m a n d a tio n en su s
LA SCIENCE SECRÈTE
Un grand in-8° de près de 900 pages
Prix; 46 francs
(port, France: 2 fr. 65, étranger: 7 fr. 80)
re c o m m a n d a tio n en su«
Mystères initiatiques
2* édition
Ornée de scènes initiatiques et de pantacles magiques
Ce liv re, récem m en t p a ra , est u n e n o u v elle e t trè s im p o r
ta n te co n trib u tio n à l’étude si p a ssio n n a n te de la H aute Scien
ce, de la Science D ivine, d iso n s le m o t, de la H au te Magie, c a r
la H au te Magie, la Magie des S an ctu aires, la Scienfe des M ages
est l ’ap p el et l’u tilis a tio n des forces pures.
L a g ran d e in itia tric e de l’O ccident est l’E gypte. C’e st d onc
s u r la te rre des P h a ra o n s — et là seu le m e n t — q u ’il f a lla it
d irig e r les rech erch es p o u r re tro u v e r la Clé des M ystères a n ti
ques qui o n t façonné l’âm e occidentale.
D’abord, cette H au te Science, com m ent la défin ir?
— L a Science de la Vie et de la M ort.
Q uels enseign em en ts o ffrait-elle au x adep tes?
C’est ici que le m y stè re com m ence et c’est su r ce p o in t que
des gén ératio n s de cu rie u x se so n t épuisées en v a in s efforts.
C’est que la H au te Science est ferm ée du d ouble sceau de la
Sagesse et du M ystère. N ul ne p e u t p é n é tre r d a n s le S an c tu a i
re sacré et sou lev er le voile d ’Isis s’il n ’a su iv i u n e ascèse ap-
propriéej T elle é ta it la ra iso n des cérém onies in itia tiq u e s e t
m agiques.
Les secrets n ’é ta ie n t donc liv rés q u ’a u cours de cérém onies
p a rtic u liè re s. Ces cérém onies, que n u l cu rieu x ne d e v a it p ro
fa n e r, se d é ro u la ie n t à l’in té rie u r des T em ples. E n quoi con
sista ie n t-e lle s ex actem en t? C’est là où la v aste é ru d itio n de
M. H en ri D u rv ille en to u t ce q u i to u ch e au g ra n d p ro b lèm e
in itia tiq u e , où sa science p ro fo n d e en m a tiè re d’égyptologie
se so n t exercées avec u n e clairv o y an ce d o n t le s ad ep tes lu i
sa u ro n t gré.
L a place no u s m a n q u e ici p o u r d o n n e r le d é ta il des céré
m onies. D isons seu lem en t q u ’en possession des secrets l ’a d e p
te o sirie n est « Maître des charmes », « Maître des enchante
ments ». Il possède la T o u te-p u issan c e m agique. G uidé p a r
des sen tim en ts nobles et a ltru iste s , sa v olonté ne c o n n a ît p lu s
d ’entraves.
Prix: 30 francs
(port, France: 1 fr. 50, étranger: 4 fr. 20)
re c o m m a n d a tio n en sua.
Voici la Lumière
30* mille
Voici la Lumière a p p o rte à to u s ceux q u i souffrent, p le u re n t
et désespèren t u n m essage de b o n h eu r. A to u s ceux q u i sont
las de lu tte r, ce liv re m o n tre à q u elles Forces m y stérieu ses —
en eux et a u to u r d ’eux — ils p e u v en t e t d o iv en t fa ire appel
p o u r s o r tir de la to u rm e n te .
Se b a sa n t s u r son expérience p erso n nelle , d é jà longue, M.
H enri D u rv ille ne c ra in t pas d ’affirm er q u ’il n ’est p o in t de
d o u le u r que l ’on n e p u isse calm er, de d ou te q u i n e se dissipe,
de to u rm e n t d u cœ ur si grave so it-il, de d é sa rro i de l’e sp rit
q u elle q u ’en so it la p e sa n te u r a u q u e l on ne p a is se p o rte r re
m ède.
P a u v re p e tite âm e qui souffre, isolée d a n s la n u it, rep ren d s
courage. U ne m a in fra te rn e lle se te n d vers to i. A ccepte-là.
E lle a la force nécessaire p o u r t ’a rra c h e r à la fu r e u r d n gouffre.
Un g ran d calm e va descendre s u r to i. L’om hre qu i t ’en to u re
et te p én ètre va se dissip er.
Voici la Lumière te fe ra e n tre v o ir u n Monde n o u v eau . Il te
fe ra co n n a ître ces F orces m y stérieu ses grâce au x q u e lle s les
p lu s gran d s chagrins, les p lu s p ro fo n d s d ésespoirs re tro u v e n t
le Calm e et la jo y eu se C larté.
Voici la Lumière est u n liv re qu i est u n gage de s a lu t p o u r
to u s ceux q u i souffrent. E t q uel est celui q u i ne souffre p o in t T
U ne sp len d e u r ra y o n n a n te s’élève de cet ouvrage écrit p a r un
psychologue q u i a l’expérience de to u te s les peines, q u i a
écouté b ien des confidences, q u i s’est penché s u r les âm es les
p lu s endeu illées, q u i a sondé to u te s les p la ie s p o u r les fe rm e r
e t q u i no u s ap p o rte le f r u it de son long tr a v a il: le C harm e
de la vie d an s la S érénité de l’E sp rit et la P a ix d u Cœur.
Ames q u i pleurez, lisez ce liv re. U ne d o u ceu r in fin ie se ré
p a n d ra su r vous. T o u tes les om bres q u i vous o bscurcissent,
tou^ les do u tes q u i vous a s s a ille n t v o n t se dissipe?. Ayez foi
d an s ee guide. Il vous ap p o rte la b elle L u m ière.
C’est l ’a u ro re d ’une vie n o u v elle q u i se lève. B ien tô t vous
goûterez l’e n tie r b o n h e u r d an s la ré a lisa tio n p a rfa ite de vos
p lu s secrets d ésirs. A. L.
Prix: 12 francs
(port, France: 0 fr. G5, étranger: 1 fr. 80)
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Vers la Sagesse
3* édition 30' mille
L’o rig in a lité de ce vade-m ecum de sapience est d ’a v o ir ré d u it
à la sim plicité, la c la rté et la p récisio n de l ’algèbre la voie du
D evenir et de l’E v o lu tio n , a in si que p e rm e t de la d é lim ite r
l’é ta t actuel de la science et de la pensée. L’In itia tio n , conçue
p a r M. H enri D u rv ille selon la trip le tra d itio n p y th ag o ricien n e,
égyptienne et h in d o u e, m a is avec u n e p référen ce m arq u é e p o u r
les d o ctrin es pyth ag o ricien n es, b a n n it a v a n t to u t de n o tre v ia
tiq u e ïo r g u e il et la c u p id ité, l ’égeïsm e et la convoitise, q u i
so n t les fléaux du m onde. E lle n o u s enseigne le d ésin tére sse
m e n t et le d iscern em en t, la b onne grâce d u so u rire , en rip o ste
à la d o u leu r e t a u x ra ille rie s . H eu reu x ceux q u i so u ffren t!
C eux-là o n t payé le u r d ro it de passage. Ce n ’est pas vers la
fa u sse b é a titu d e d ’u n N irv an a décevant q u e n o u s devons p ro
gresser, m ais vers l’action, l ’a ctio n c h a rita b le e t u tile . N ous de
vons ten d re u ne m a in fra te rn e lle à ceux q u i, p lu s b a s que
nous, h a lè te n t s u r la pente. N ous voici d ev an t les sep t p o rtes
du T em ple, baignées d’u n e clarté q u i est celle de l’In telligence,
de la F oi revivifiée p a r la science. Les sens ne so n t p lu s p o u r
no u s q u ’u n m oyen de contrôle. D evant le T em ple ra y o n n e le
so u rire du S phinx, tém o in im p a ssib le de l’effeu illem en t des
in d iv id u s et des ra c e s: le S phinx à la tê te de fem m e, a u corps
de ta u re a u , au x griffes de lio n , au x ailes d a ig le : les q u a tre
sym boles qui co m m an d en t la q u a d ru p le fo rm u le de l ’in itia
tio n : Savoir. — Vouloir. — Oser. — Se taire. (Se ta ire ne s’ap
p liq u e pas, com m e on p o u rra it le croire, p a r a n tip h ra se , au
visage fé m in in d u S phinx, m a is au x a ile s re p lié es de l’aigle. La
tê te de fem m e sym bolise la h a u te et lég itim e cu rio sité de
l’e s p r it; le ta u re a u , la v o lo n té ; et le lio n , l’audace.) V ouloir,
n o n l’im possible, m a is ce q u i est, com m e le s vieux stoïciens.
O ser se serv ir de sa science et de sa volonté. F a ire ta ire en
so i ses im p u lsiv ité s. P a r le calm e ex té rie u r, co m m an d er le calm a
in té rie u r, cette b é a titu d e où ja i ll it l’illu m in a tio n de l’e sp rit.
E t l’in itié est ad m is au T em ple de la Sagesse.
P a u l O l iv ie r
(Mercure de Franck
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VAutosuggestion émotionnelle dans la Cure morale
Comment elle doit être comprise
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Henri DURVILLE
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Psychic Magazine
Cette revue, d irigée p a r M. H enri D u rv ille p a ra ît chaque m o is
d ep u is ja n v ie r 1914. E lle s’in téresse à to u te s les q u e stio n s psy
ch iq u es: M agnétism e, H ypnotism e, Suggestion, T élépsychie, M é-
d iu m n ism e , H erm étism e, Science secrète.
A b o n n em en t a n n u e l, F ra n c e et C olonies: 20 f r., é tra n g e r: 22 f r . —
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Journal du Magnétisme
F ondé p a r le B aro n d u P o te t en 1845 e t re p ris e n su ite p a r
H ector D u rv ille, cette im p o rta n te revue p a ra ît d ep u is 1914 sons-
la d irectio n de M. H en ri D u rv ille. C’est l ’organe m en su el de l a
S o c ié té P s y c h iq u e I n te r n a tio n a le ( ex-S oc ié té M agn étiqu e de
P ran c e ) d o n t elle p u b lie les tra v a u x , a u ssi b ien de sa Section:
cen tra le de P a ris q u e de ses g ro u p em en ts en F ran ce e t a u x
C olonies e t de ses F ilia le s à l’é tran g er. Un fascicule de 32 p a g e s
p a r m ois.
A b o n n em en t a n n u e l, F ra n c e e t C olonies: 20 f r ., é tra n g e r: 22 f r . —~
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LA TRANSFUSION VITALE
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(port, France : 0 fr. 25, étranger: 0 fr. 60)
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L orsque le m édecin déclare que to u t e sp o ir est perdu, on peut
encore b ien souvent sau v er la m alad e. Le M agnétism e perm et
de ta ire le m ira c le et M. H enri D u rv ille nous en ap p o rte un
éloquent tém oignage. On tro u v e ra dan s ces pages ém ouvantes—■
ex tra ite s de La Science se c rète — la re la tio n de deux cures e x tra
o rd in aire s (broncho-pneum onie et septicém ie p u erp érale). Ces
lieux cas é ta ie n t ju g és in g u érissab les p a r de h a u te s som m ités
m édicales, lit p o u rta n t, grâce a u M agnétism e, la m o rt n ’a pas
luit son œ uvre. On v erra à cette lectu re que to u te p ersonne
anim és de sen tim e n ts a ltu ris te s p eu t, p a r une v é rita b le tra n s-
tu sio n vitale, ram ep,er à la vie l ’ôtre ch e r qui agonise.
Henri DURVILLE
LE REGARD MAGNÉTIQUE
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Les yeux sout révélateurs de toute la vie psychique. Us sont"
pour qui sait une source de force et un moyen d’action. Il est
des regards durs comme l’acier qui semblent pénétrer dans
l’âme, y chercher, avec une brutalité chirurgicale, ce qu’il con
viendrait de cacher, qui cherchent à imposer à des regards plus
doux et plus faibles une volonté despotique. Il est des yeux doux
et caressants qui semblent livrés sans défense à cette volonté
dominatrice. P osséder u n regard magnétique, p u is sa n t mais
doux, est une nécessité dans la vie. Ce regard résulte d’une édu
cation dont M. H enri Durville nous livre le secret dans cette
intéressante étude qui forme un des chapitres de la 6* édition
du Cours de Magnétisme personnel.
Prix: 3 fr. 75
(port, France: 0 fr. 25, étranger: 0 fr. 60)
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Cette b ro ch u re — qui est un p ro g ram m e d’actio n — est le
résum é des tendances données p a r M. H enri D urville au x Con
g r è s i n t e r n a t i o n a u x d e P s y c h o l o g i e e x p é r i m e n t a l e , que l’a u te u r
à ré u n is successivem ent en 1910, 1913 et 1923. M. H enri D urville
propose une nouvelle sy n th èse de tous les fa its psychiques. 11
faut que les fa its soient étu d iés san s p a rti p ris, de la m an ière
la plu s scientifique. Il im p o rte que ces tra v a u x , si divers dan s
le u r form e et si sem b lab les d an s le u r essence, se fa sse n t d an s
le p lu s fra te rn e l accord. C’est po u rq u o i tous les g ro u p em en ts:
psychistes, m agnétistcs, o ccultistes, ‘s p irite s, théosophes, sans
renoncer à leurs convictions p a rtic u liè re s, g ag n ero n t à s’u n ir
sous l ’é te n d a rd p lu s général du P s y c h i s m e . C’est ce que M. Hen
ri D urville exprim e avec cette a rd e n te conviction qui donne
ta n t de p o rtée à ses paro les.
Le Diagnostic de la suggestibilité
Prix: 3 fr. 75
(port, France: 0 fr. 25, étranger: 0 fr. 60)
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M éthode claire, sim ple, p ra tiq u e , à la p o rtée de to u s, n ’ex i
geant aucuD appareil,am cune dépense et q u i p e rm e t de tro u v e r en
quelques secondes,dans une a ssistan ce n om breuse, t o u s les su je ts
influençables p a r la suggestion im posée, de les c lasser ensuite,
sans e rre u r p ossible, p a r degré de sen sib ilité. Cette m éthode,
que M. H enri D urville a v a it d éjà fait c o n n aître au x lecteu rs de
son C o u r s d e M a g n é t i s m e p e r s o n n e l , su p p rim e donc la difficulté
qui se p résen te à tous ceux qui, p o u r te n te r des expériences
d’h y p n o tism e et de suggestion, se d ésesp èren t de tro u v e r des
su jets accessibles à ces m odes d ’influence. Avec cette nouvelle
m éth o d e,'q u i u tilise les tro u b le s de l’a tte n tio n , p lu s d ’h é sita tio n ,
plus d’échec possible. T ous ceux qui d é sire n t se liv re r à des ex
périences a m u sa n te s d ’H ypnotism e, de Suggestion verbale à plus
ou m oins longue échéance, ou que te n te n t les ap p lic a tio n s de la
Suggestion à la cure des m alad ies ou à l’édu catio n des e n fan ts
doivent la co n n aître. Ils en tire ro n t un im m ense profit.
R. C. Seine 111.328