LA PARURE DE GUY

DE MAUPASSANT

PRESENTED BY: Sienna de Bustros

CONTENU

#1 La dot au XIXe siecle

#2 La dot dans la parure

#3 Les habitudes reliées au
mariage au XIXe siecle

#4 contexte social dans la parure

#5 conclusion
 QU’EST-CE QUE LA DOT ?

La dot est une tradition matrimoniale où la famille de la mariée offre

des biens matériels, de l'argent ou des cadeaux à la famille du marié
au moment du mariage. Son rôle varie selon les cultures, mais elle a
historiquement servi à assurer la sécurité financière de la mariée et à
renforcer les liens familiaux. Cependant, elle a été critiquée pour sa
contribution à l'inégalité des genres et à la discrimination envers les
femmes. La pratique de la dot a évolué au fil du temps et continue
d'exister dans certaines cultures, bien que son sens puisse avoir
changé.

INTRODUCTION
 LA DOT DANS “LA PARURE”
La parure, comme symbol de dot

Dans l'histoire, la parure empruntée par Mathilde

à une amie représente symboliquement une
forme de dot. C'est un ensemble de bijoux
coûteux que Mathilde emprunte pour améliorer
son apparence et, espère-t-elle, impressionner la
haute société. Cela reflète la notion de dot en tant
que moyen d'améliorer le statut social de la
mariée.
 LA
CRITIQUE
SOCIALE
 L'histoire de "La Parure" critique la superficialité de la
société de l'époque, où l'apparence extérieure et la
réputation sociale sont prioritaires. Mathilde emprunte la
parure pour paraître riche et être acceptée dans la haute
société, mais cette quête la conduit finalement à la
pauvreté. Cela souligne la vanité de la poursuite de la
richesse matérielle et du statut social.

Le lien entre la parure (qui pourrait être vue comme une

sorte de "dot" dans ce contexte) et la perte de statut social
de Mathilde crée une ironie tragique dans l'histoire. La dot
traditionnelle, censée garantir la sécurité financière de la
mariée, se transforme en fardeau financier insupportable
pour le couple.
 PRESSION
SOCIALE ET
ASPIRATION
DU MARIAGE
 Mathilde Loisel, le personnage principal de "La Parure",
ressent une forte pression sociale pour épouser un homme
de la haute société et ainsi améliorer son statut social. Cela
reflète une habitude courante liée au mariage à l'époque,
où le mariage était souvent considéré comme un moyen
d'ascension sociale. Mathilde rêve d'une vie plus riche et
plus prestigieuse, ce qui la pousse à emprunter la parure
pour paraître à la hauteur de la société.
 SUPERFICIALITÉ ET
ILLUSION

Mathilde et son mari, M. Loisel, empruntent la

parure pour paraître riches lors d'une réception de
la haute société. Cela met en évidence la
superficialité de la société de l'époque, où
l'apparence extérieure et la réputation sociale sont
plus importantes que la réalité. Le thème du
mariage est donc lié à l'illusion que le mariage peut
apporter un statut social et un bonheur superficiel.
 CONSÉQUENCES
DÉSASTREUSES DU
MARIAGE
La perte de la parure lors de la réception a des
conséquences financières désastreuses pour le
couple. Cela souligne les risques et les
conséquences tragiques de la quête effrénée de
statut social à travers le mariage, mettant en
évidence les pressions et les attentes associées au
mariage à l'époque.
LA RÉALITÉ DU MARIAGE

À la fin de l'histoire, Mathilde et M. Loisel vivent une vie de pauvreté en essayant de rembourser la dette
liée à la perte de la parure. Cette réalité contraste fortement avec les rêves et les aspirations liés au
mariage, illustrant ainsi la dure réalité de la vie conjugale.
CONCLUSION
En conclusion, "La Parure" de Guy de Maupassant
explore les thèmes de la dot et du mariage pour critiquer
la quête insensée de statut social, la superficialité de la
société et les conséquences tragiques de ces aspirations.
Elle rappelle que le bonheur ne réside pas
nécessairement dans la richesse matérielle ou le prestige
social, mais plutôt dans la capacité à apprécier la vie
telle qu'elle est.