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◦
N d'ordre : 22GP03
MEMOIRE DE FIN DE CYCLE
pour obtenir le titre de
Nous remercions également aux membres du jury, vous nous faites un grand
honneur en acceptant de juger ce travail
et ainsi que toute l'équipe pédagogique et les enseignants de la département
d'Informatique nous vous remercions.
I
Dédicase
A tous ceux qui m'ont soutenu tout au long de ce projet.
A mes chers parents et mes frères et soeurs, que nulle dédicace ne puisse
exprimer ce qu'on leurs doit, pour leurs bienveillance, leur aectation et leur
soutien morale durant l'élaboration de ce travail,
sans oublier une personne importante nommé "Maimouna Diaw" qui m'a
aussi toujours soutenu et encouragé tous au long de mes études.
Et à tous mes amis, pour leur aide et leur soutien moral durant l'élaboration
du travail de n de cycle.
II
Résumé
L'objectif principale de ce travail est de fournir une application mobile
visant sur le domaine pharmacologique en particulier sur les interactions
médicamenteuses pour an aider les professionnels de la santé à savoir les
médecins, ainsi que les pharmatiens et les patients à éviter les risques liés
aux interactions des médicaments qui peuvent entraîner des eets
indésirables ou une réduction de l'ecacité des traitements.
Pour ce faire, nous allons d'abord vous présenté la partie théorique basant
sur les interactions médicamenteuses, ainsi que des applications mobiles et
de leurs systèmes d'exploitation, en particulier le système Android.
III
Table des matières
i
TABLE DES MATIÈRES
ii
Table des gures
iii
TABLE DES FIGURES
iv
Liste des tableaux
v
Liste des abréviations
IM : interaction médicamenteuse
PA : Principe actif
vi
Introduction générale
Avec l'évolution des technologies mobiles, l'utilisation des Smartphones a
révolutionné notre manière d'interagir avec le monde qui nous entoure, et le
domaine de la santé n'a pas été épargné par cette révolution numérique
tout en facilitant leur accès à la connaissance.
C'est dans ce sens d'où vient l'idée d'étudier et de développer au cours de
notre projet une application Android dans le domaine pharmacologique.
i
LISTE DES TABLEAUX
ii
Chapitre I
Généralités sur les interactions
médicamenteuses
1
CHAPITRE I. GÉNÉRALITÉS SUR LES INTERACTIONS
MÉDICAMENTEUSES
Introduction
Les eets indésirables provoqués par les médicaments sont une cause impor-
tante de surcoût et de mortalité. Les interactions médicamenteuses (IM) sont
l'une des principales causes évitables.
Un comité d'experts américain dénit en 2015 une interaction médicamen-
teuse comme une altération cliniquement pertinente de l'eet d'un médi-
cament survenue à cause de la co-administration d'un autre médicament .
Cette altération peut provoquer la survenue d'un évènement indésirable ou
modier l'eet thérapeutique du médicament. Une interaction médicamen-
teuse cliniquement pertinente est une interaction qui entraîne une toxicité
ou une perte d'ecacité thérapeutique qui justie l'attention d'un profession-
nel de santé . Une interaction médicamenteuse potentielle est dénie comme
la co-prescription de deux médicaments connus pour interagir et exposant
le patient à un risque de survenue d'une interaction médicamenteuse [1].
Une interaction médicamenteuse est donc un évènement qui entraîne un ef-
fet indésirable et une interaction médicamenteuse potentielle correspond au
risque de développer cet évènement.
2
CHAPITRE I. GÉNÉRALITÉS SUR LES INTERACTIONS
MÉDICAMENTEUSES
etc.
• Les formes pour le nez, les oreilles ou les yeux : solution auriculaire, collyre,
etc.
• Les formes injectables : injection, perfusion.
Les Diérents dénominations du médicament :
3
CHAPITRE I. GÉNÉRALITÉS SUR LES INTERACTIONS
MÉDICAMENTEUSES
4
CHAPITRE I. GÉNÉRALITÉS SUR LES INTERACTIONS
MÉDICAMENTEUSES
La voie d'administration
Certaines interactions n'ont lieu que dans le tube digestif ; alors l'adminis-
tration de ce médicament par voie parentérale écarte tout danger.
La chronologie d'administration
Un espacement des prises empêche les interactions de certains médicaments.
Par exemple, Il faut espacer de deux heures les hormones thyroïdiennes et
les topiques gastro-intestinaux.
Le patient
L'âge, l'état physiologique, l'existence ou non de pathologies associées sont
autant de facteurs qui peuvent aggraver l'interaction. Le taux d'albumine sé-
rique est par exemple un facteur de risque car pouvant en cas de dénutrition
favoriser les surdosages.
5
CHAPITRE I. GÉNÉRALITÉS SUR LES INTERACTIONS
MÉDICAMENTEUSES
La synergie
Nous parlons de synergie lorsque deux médicaments ont des eets qui vont
dans le même sens.
La synergie ne concerne que l'eet commun aux substances présentes et non
tous les eets de chacune d'elles. Elle peut être additive, partielle ou renfor-
çatrice.
Il existe trois types de synergie :
• La synergie additive complète : l'action observée est égale à la somme des
deux actions partielles.
• La synergie partielle : l'action observée est inférieure à la somme des deux
actions partielles.
• La synergie potentialisatrice : l'action observée est supérieure à la somme
des deux actions partielles [6].
6
CHAPITRE I. GÉNÉRALITÉS SUR LES INTERACTIONS
MÉDICAMENTEUSES
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CHAPITRE I. GÉNÉRALITÉS SUR LES INTERACTIONS
MÉDICAMENTEUSES
8
CHAPITRE I. GÉNÉRALITÉS SUR LES INTERACTIONS
MÉDICAMENTEUSES
Les IMPK se produisent aux points clés du devenir d'un médicament dans
l'organisme que sont l'absorption intestinale, la diusion, le métabolisme hé-
patique et l'excrétion biliaire ou rénale comme indiqué dans le tableau 1 et
la gure 1.
9
CHAPITRE I. GÉNÉRALITÉS SUR LES INTERACTIONS
MÉDICAMENTEUSES
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CHAPITRE I. GÉNÉRALITÉS SUR LES INTERACTIONS
MÉDICAMENTEUSES
Exemples de
médicaments
Mécanisme(s) Responsables Conséquenses
Anti-émétiques ou
antidiarrhéiques Augmentation de F,
Ralentisseurs du (métoclopramide AUC, Cmax, demi-vie
Absorption(intestinale transit intestinal lopéramide) inchangée.
Elévation du pH
intestinal et
diminution de la Diminution de F,
fraction non AUC, Cmax, demi-vie
ionisée des acides inchangée et
faibles oméprazole Inecacité
Diminution de F,
AUC, Cmax, demi-vie
Barriére physique Pansements inchangée et
gastro-duodénale gastriques Inecacité
Inhibition d'un Augmentation de F,
transporteur Inhibiteurs de AUC, Cmax, demi-vie
d'eux (lien P-glycoprotéine inchangée et
cours G17-5) (quinidine, ritonavir) Toxicité accrue
Inhibition du Augmentation de F,
métabolisme AUC, Cmax, demi-vie
intestinal des Inhibiteurs CYP3A4 inchangée
médicaments (clarythromycine) et Toxicité accrue
Augmentation des
concentrations dans
un organe (cerveau)
Inhibition (ou Toxicité accrue
induction) de Inhibiteurs de Ecacité accrue
transporteurs P-glycoprotéine (anticancéreux,
Diusion (BHE) (quinidine, ritonavir) antirétroviraux)
Inhibition (lien Diminution
cours G17-2) ou Inhibiteurs (lien cours (inducteurs) ou
induction (lien G17-2) ou inducteurs augmentation
cours G17-3) du (lien cours G17-3) de (inhibiteurs) AUC,
métabolisme CYP ou autres Cmax et demi-vie
Métabolisme hépatique enzymes hépatiques Toxicité accrue
Inhibiteurs de
transporteurs d'eux
Inhibition de ou d'inux tubulaires Augmentation AUC,
sécrétion rénale rénaux ou Cmax et demi-vie
Excrétion 11
ou biliaire hépatocytaires Toxicité accrue
CHAPITRE I. GÉNÉRALITÉS SUR LES INTERACTIONS
MÉDICAMENTEUSES
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CHAPITRE I. GÉNÉRALITÉS SUR LES INTERACTIONS
MÉDICAMENTEUSES
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CHAPITRE I. GÉNÉRALITÉS SUR LES INTERACTIONS
MÉDICAMENTEUSES
Interaction au niveau d'un même système, sur lequel les deux médica-
ments peuvent exercer des eets identiques ou opposés Interaction au
niveau d'une même cible cellulaire, sur laquelle les deux médicaments
peuvent exercer des eets identiques ou opposés.
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CHAPITRE I. GÉNÉRALITÉS SUR LES INTERACTIONS
MÉDICAMENTEUSES
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CHAPITRE I. GÉNÉRALITÉS SUR LES INTERACTIONS
MÉDICAMENTEUSES
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CHAPITRE I. GÉNÉRALITÉS SUR LES INTERACTIONS
MÉDICAMENTEUSES
Figure I.8 la diérente étape parcourue par le médicament après son
administration
Conclusion
Les malades ayant plusieurs traitements à suivre contenant des médicaments
incompatibles entre eux doivent être conscients que la prise d'un médicament
ou de tout autre produit actif n'est jamais anodine. C'est pour cela que le
malade doit tenir au courant le médecin traitant de tout nouveau médicament
qu'il prendra, en dehors de ses prescriptions, de même, il pourra informer les
autres praticiens de santé (dentiste, chirurgien, pharmacien, autres spécia-
listes).
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CHAPITRE I. GÉNÉRALITÉS SUR LES INTERACTIONS
MÉDICAMENTEUSES
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Chapitre II
Généralités sur les applications
mobiles
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CHAPITRE II. GÉNÉRALITÉS SUR LES APPLICATIONS MOBILES
Introduction
Les technologies de l'information et de la communication ont été la révolution
la plus importante et innovante qui a marqué ces dernières décennies. En ef-
fet, loin d'être un phénomène éphémère ces technologies nous ont apporté du
confort dans notre vie quotidienne par leurs capacités à traiter l'information
dans des délais raisonnable.
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CHAPITRE II. GÉNÉRALITÉS SUR LES APPLICATIONS MOBILES
21
CHAPITRE II. GÉNÉRALITÉS SUR LES APPLICATIONS MOBILES
Avantages
• Une parfaite ergonomie est assurée pour les applications mobiles en com-
paraison aux sites mobiles cela encourage les utilisateurs à demeurer dèles
aux applis. En eet, le développement d'application mobile tient compte la
taille du Smartphone, le temps de chargement et autres paramètres.
• Les applications mobiles favorisent l'intégration des options de téléphone
et ainsi, l'expérience utilisateur devient plus développée.
• Pas besoin d'avoir accès à l'internet pour que l'application fonctionne.
• Facile à trouver sur les stores par rapport aux sites mobiles, les applica-
tions mobiles ont connu ainsi un usage plus répandu auprès des jeunes surtout
qu'elles notient sur les événements en cours.
Inconvénients
• La soumission aux normes et règles éditées par les sociétés des plateformes
mobiles à savoir Apple, Google, Windows et autres.
• Un investissement lourd pour le développement d'une application mo-
bile adaptée à chaque système d'exploitation mobile contrairement au cout
qu'exige le développement d'un site mobile.
• Lors de toute mise à jour d'application mobile, le mobinaute se trouve dans
l'obligation de la faire à travers le store alors que le site mobile se met à jour
d'une manière automatique.
L'application native
Ce type d'application représente la majorité des applications que nous té-
léchargeons chaque jour. Une application native est une application mobile
qui est développée spéciquement pour un des systèmes d'exploitation utilisé
par les Smartphones et tablettes (IOS, Android, etc.).
Le fait de développer une application native permet généralement d'utiliser
toutes les fonctionnalités liées au système d'exploitation visé (GPS, accéléro-
mètre, appareil photo, etc.) et permet également de proposer des applications
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CHAPITRE II. GÉNÉRALITÉS SUR LES APPLICATIONS MOBILES
généralement plus riches que les applications web en HTML5. Une fois télé-
chargées et installées certaines applications peuvent par ailleurs être utilisées
sans connexion Internet.
Ces applications, peuvent être distribuée par l'intermédiaire des plateformes
de téléchargements (apps store pour apple ou google play store pour android
par exemple) ou bien installé directement en local sur votre terminal .[15]
L'application web
Une application web (ou web App) est une application hébergée sur un ser-
veur et accessible depuis un navigateur web. Contrairement à une application
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CHAPITRE II. GÉNÉRALITÉS SUR LES APPLICATIONS MOBILES
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CHAPITRE II. GÉNÉRALITÉS SUR LES APPLICATIONS MOBILES
L'application hybride
Situé entre l'application mobile et web, l'application hybride ou dite applica-
tion cross-plateformes est accessible sur toutes les plateformes d'application.
Il s'agit d'une application mobile qui fusionne entre les caractéristiques d'une
application web (développement en langage HTML 5) et celles de l'applica-
tion native citées ci-dessus. C'est une technologie multiplateforme, ce qui est
un gain de temps considérable si le projet n'est pas trop complexe et ne né-
cessite pas le développement de plugins spéciques. [15]
Ce genre d'application mobile minimise les charges et la durée de son dé-
veloppement même si cela sera au détriment du perfectionnement et de la
qualité qui caractérise l'application native.
Les applications cross-plateformes sont réputées moins performantes et moins
uides que les applications natives. [15]
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CHAPITRE II. GÉNÉRALITÉS SUR LES APPLICATIONS MOBILES
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CHAPITRE II. GÉNÉRALITÉS SUR LES APPLICATIONS MOBILES
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CHAPITRE II. GÉNÉRALITÉS SUR LES APPLICATIONS MOBILES
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CHAPITRE II. GÉNÉRALITÉS SUR LES APPLICATIONS MOBILES
Black
Ios berry Windows phone Android
Langage de
programmation Objective -C Java C, C++ Java
Intégré à Xcode Gratuit Gratuit Gratuit
Disponibilité de
l'environnement Visuel studio, Android studio
de eMbeddeb eclipce,
développement Xcode JDE VC++ netbeans
Windows
Multiplateforme Iphone, ipod Balack mobile, windows
de déploiement touch, ipad berry CE Android
Coût d'outils de
développement Gratuit Gratuit Gratuit Gratuit
Magasin en Windows
ligne App store App world market place Android market
Open source NON OUI NON OUI
Constructeur Apple RIM Microsoft Google
L'histoire de L'Android
Android est un système d'exploitation open source pour terminaux mobiles,
basé sur le noyau Linux creé à la base par une startup du même nom en 2003
et qui a été rachetée par la rme Google en août 2005 Cette appellation tient
ses origines du terme Androïde qui désigne un robot sous forme humaine.
L'objectif d'Android, était de développer un système d'exploitation mobile
plus intelligent, qui ne se contenterait pas uniquement de permettre d'envoyer
des SMS et transmettre des appels, mais qui devait permettre à l'utilisateur
d'interagir avec son environnement.
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CHAPITRE II. GÉNÉRALITÉS SUR LES APPLICATIONS MOBILES
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CHAPITRE II. GÉNÉRALITÉS SUR LES APPLICATIONS MOBILES
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CHAPITRE II. GÉNÉRALITÉS SUR LES APPLICATIONS MOBILES
15 Septembre
Danut 1.6 2009 4
06 Décembre
Gingerbread 2.3 2.3.7 2010 9 10
Ice Cream
Sandwich 4.0 4.0.4 18 Octobre 2011 14 15
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CHAPITRE II. GÉNÉRALITÉS SUR LES APPLICATIONS MOBILES
12 Novembre
Lollipop 5.0 5.1.1 2014 21 - 22
03 Septembre
Pie 10 10 2019 29
8 Septembre
Android 11 11 2020 30
Android 12 12 2021 31
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CHAPITRE II. GÉNÉRALITÉS SUR LES APPLICATIONS MOBILES
l'architecture de l'android
Cette gure illustre l'architecture de l'android et les diérentes couches
qui se compose :
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CHAPITRE II. GÉNÉRALITÉS SUR LES APPLICATIONS MOBILES
• Applications :
On trouve toutes les applications Android dans la couche supérieure, Les
applications natives et tierces telles que les contacts, email, la musique, la
galerie, l'horloge, les jeux, etc. Tout ce que nous construirons sera installé
uniquement sur cette couche. La couche d'application s'exécute dans l'exé-
cution d'Android à l'aide des classes et des services disponibles à partir de
l'Application Framework.
• Application Framework :
Application Framework fournit les classes utiliseés pour créer une application
Android. Il fournit également une abstraction générique pour l'accès au ma-
tériel et gère l'interface utilisateur et les ressources de l'application. Il fournit
essentiellement les services grâce auxquels nous pouvons créer la classe par-
ticulière et rendre cette classe utile pour la création d'applications.
Application Framework comprend des services tels que service de téléphonie,
services de localisation, gestionnaire de notication, service NFC, système
de visualisation, etc. que nous pouvons utiliser pour le développement d'ap-
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CHAPITRE II. GÉNÉRALITÉS SUR LES APPLICATIONS MOBILES
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CHAPITRE II. GÉNÉRALITÉS SUR LES APPLICATIONS MOBILES
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CHAPITRE II. GÉNÉRALITÉS SUR LES APPLICATIONS MOBILES
Les codes QR sont similaires aux codes á barres standard qui apparaissent
actuellement sur tous les types de produits de consommation, sauf que les
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CHAPITRE II. GÉNÉRALITÉS SUR LES APPLICATIONS MOBILES
Capacité de correction
Niveau d'erreur
L 7%
M 15%
Q 25%
H 30%
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CHAPITRE II. GÉNÉRALITÉS SUR LES APPLICATIONS MOBILES
noir, 3x3 modules pour le blanc et un seul module central noir. Le nombre
de ces patterns d'alignement dépend de la version de QR Code généré.
• Patterns de synchronisation (timing Patterns) : permettent de den-
sier le QR Code par l'alternance de modules blancs/noirs de déterminer la
version du QR Code et de fournir des positions de référence pour le calcul
des coordonnées de chaque module.
• Module sombre (Dark module) : Chacune des versions QR a un seul
module sombre près de la partie inférieure gauche du modèle de recherche.
Ö
L'emplacement exact du module sombre est ([(4 Version) + 9] 8), oú le mo-
dule de code QR en haut à gauche est (0, 0).
• Réservé la zone d'information de format (Reserved the Format
Information Area) : Des bandes de modules existent á côté des sépara-
teurs, sauf sur le côté gauche du modèle du viseur supérieur droit et sur le
côté supérieur du motif du viseur inférieur gauche. Ces bandes enregistrent
des informations concernant la tolérance aux pannes, le format de données
stockées et le masque de données.
• Réservé le domaine d'information de version (Reserved the Ver-
sion Information Area) : Les versions de code QR 7 et supérieures contiennent
deux zones pour stocker les informations de version. Les zones sont de deux
Ö
blocs, l'un de taille 6 3 qui est placé sur le côté supérieur de la bas à gauche
Ö
Finder pattern et un autre de la taille 3 6 qui est placé sur le côté gauche
du top Finder pattern.
• Données et zone ECC (Data and ECC Area) : Les zones restantes
pour tous les modèles de fonction stockent les bits de données de correction
générale et de correction d'erreur. Toutes les données sont codées en tant que
valeurs de bits et sont dessinées sous forme de modules blancs ou noirs dans
un ordre déni . [26]
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CHAPITRE II. GÉNÉRALITÉS SUR LES APPLICATIONS MOBILES
Téléphone
An d'utiliser les codes QR, vous devez posséder un téléphone cellulaire
qui peut exploiter un logiciel de lecture. Ces téléphones peuvent télécharger
et installer des applications, accéder à Internet et être assortis d'une caméra.
De manière générale, on appelle ces types de téléphones Smartphone .
Application
Il y a un certain nombre d'applications que l'on peut utiliser en vue de
décoder un code QR. Elles fonctionnent sensiblement toutes de la même
façon. Par exemple Scanner QR Android .
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CHAPITRE II. GÉNÉRALITÉS SUR LES APPLICATIONS MOBILES
Conclusion
En somme, dans ce chapitre, nous avons présenté en grosso modo des gé-
néralités sur les applications mobiles et les avantages et les inconvénients de
ces diérents types, nous avons aussi dénir et comparer entre les systèmes
d'exploitation mobile, décrivant aussi le système Android, son architecture
et l'évolution de ses versions à travers le temps depuis son apparition jusqu'à
la version actuel .
ensuite nous avons présenté une idée générale sur la technologie de code QR.
Le chapitre suivant sera consacré à la phase de l'environnement et le déve-
loppement de l'application mobile .
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Chapitre III
Environnement et développement
d'application Mobile
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CHAPITRE III. ENVIRONNEMENT ET DÉVELOPPEMENT
D'APPLICATION MOBILE
Introduction
L'aboutissement au développement d'une application Android n'cessite
plusieurs outils qui sont mis disposition du développeur pour but d'accom-
plir l'objectif. Sur ce, les outils impliqués sont sensiblement liés à la nature
de l'application et des fonctionnalités qu'elle ore. Dans ce chapitre, on pré-
sentera les diérents outils exploités dans le développement de notre applica-
tion, par la suite, nous décrirons la phase d'implémentation en nous basant
sur quelques interfaces.
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CHAPITRE III. ENVIRONNEMENT ET DÉVELOPPEMENT
D'APPLICATION MOBILE
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CHAPITRE III. ENVIRONNEMENT ET DÉVELOPPEMENT
D'APPLICATION MOBILE
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CHAPITRE III. ENVIRONNEMENT ET DÉVELOPPEMENT
D'APPLICATION MOBILE
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CHAPITRE III. ENVIRONNEMENT ET DÉVELOPPEMENT
D'APPLICATION MOBILE
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CHAPITRE III. ENVIRONNEMENT ET DÉVELOPPEMENT
D'APPLICATION MOBILE
Langage :
1. JAVA : Java est un langage de programmation orientóbjet, déve-
loppé par Sun Microsystems . Il permet de créer des logiciels com-
patibles avec de nombreux systèmes d'exploitation (Windows, Linux,
Macintosh, Solaris). Java donne aussi la possibilité de développer des
programmes pour téléphones portables. [32]
49
CHAPITRE III. ENVIRONNEMENT ET DÉVELOPPEMENT
D'APPLICATION MOBILE
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CHAPITRE III. ENVIRONNEMENT ET DÉVELOPPEMENT
D'APPLICATION MOBILE
Le répertoire de l'ensemble des sources du projet. C'est
dans ce répertoire que vous allez ajouter et modier le
Src code source de l'application.
Contient les bibliothèques tierces qui serviront á votre
Libs application.
Contient toutes les ressources telles que les images, les
dispositions de l'interface graphique, etc. nécessaires á
l'application. Ces ressources seront accessibles grâce á
res la classe R décrite plus bas.
Contient l'ensemble des chiers générés par ADT an
d'assister le développeur. Si vous supprimez un chier
dans ce répertoire, ADT s'empressera aussitôt de le
Gen régénérer.
Contient toutes les ressources brutes (raw bytes) ne
nécessitant aucun traitement par ADT ou Android. À
la diérence des ressources placées dans le répertoire
res, les ressources brutes seront accessibles grâce à un
ux de données et non grâce à la classe R décrite plus
Assets loin.
Android
Mani- Le chier XML décrivant l'application et ses
fest.xml composants activités, services, etc.
default.
proper-
ties Fichier de propriétés utilisé pour la compilation.
51
CHAPITRE III. ENVIRONNEMENT ET DÉVELOPPEMENT
D'APPLICATION MOBILE
Pour tester ,nous allons cliquer sur le bouton associé au service qui va ouvrir
l'appareil photo et acher le rectangle pour cadrer le code-barre.
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CHAPITRE III. ENVIRONNEMENT ET DÉVELOPPEMENT
D'APPLICATION MOBILE
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CHAPITRE III. ENVIRONNEMENT ET DÉVELOPPEMENT
D'APPLICATION MOBILE
Pour la base de données SQLite, nous avons créé une classe Databasehelper
qui hérite de la classe SQLiteOpenHelper.
Il existe deux méthodes importante dans cette classe :
onCreate() et onUpgrade().
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CHAPITRE III. ENVIRONNEMENT ET DÉVELOPPEMENT
D'APPLICATION MOBILE
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CHAPITRE III. ENVIRONNEMENT ET DÉVELOPPEMENT
D'APPLICATION MOBILE
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CHAPITRE III. ENVIRONNEMENT ET DÉVELOPPEMENT
D'APPLICATION MOBILE
Figure III.22 Récupération de l'interaction entre deux médicaments et le
risque de cette interaction
58
CHAPITRE III. ENVIRONNEMENT ET DÉVELOPPEMENT
D'APPLICATION MOBILE
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CHAPITRE III. ENVIRONNEMENT ET DÉVELOPPEMENT
D'APPLICATION MOBILE
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CHAPITRE III. ENVIRONNEMENT ET DÉVELOPPEMENT
D'APPLICATION MOBILE
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CHAPITRE III. ENVIRONNEMENT ET DÉVELOPPEMENT
D'APPLICATION MOBILE
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CHAPITRE III. ENVIRONNEMENT ET DÉVELOPPEMENT
D'APPLICATION MOBILE
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CHAPITRE III. ENVIRONNEMENT ET DÉVELOPPEMENT
D'APPLICATION MOBILE
Conclusion
Au cours de ce chapitre, nous avons présenté les diérents outils utilisés
pour réaliser notre application mobile. Nous avons aussi parlé sur les étapes
de développement et exposé certaines interfaces témoignant des diérentes
facettes.
64
Conclusion général
L'objectif de notre projet est de développer une application mobile pour les
interactions médicamenteuses, L'application que nous avons réalisée permet
à une personne qui suit déjá un traitement médical spécique pour un
changement de santé, d'évaluer le niveau d'interaction médicamenteuse si ce
patient doit ajouter un autre médicament á son traitement. Ainsi cette
application va pouvoir gérer les diérents traitements suivis par le patient
en fonction des médicaments qu'il prend.
La deuxième partie nous avons parlé sur les applications mobiles et leurs
types et aussi nous avons donné les diérents systèmes d'exploitation
mobiles et surtout Android, puis nous avons expliqué brièvement c'est quoi
le code QR et leur utilisation.
Enn, nous avons montré les diérents outils et langages utilisés pour
réaliser notre application mobile, puis nous avons fait la réalisation qu'est le
beurre de notre travail, an de mettre en ÷uvre notre solution à la
problématique. Les objectifs de notre projet de n d'études ont été atteints.
D'une part, nous avons fourni une application qui est utile pour les patients
ainsi que pour le corps médical (médecin, pharmacien). D'autre part, ce
projet nous a permis d'améliorer nos compétences avec Android et
d'approfondir nos connaissances dans le domaine des applications mobiles.
Bien que notre application n'est pas encore ni, nous avons l'intention de la
compléter par vérication des tests par enrichir la base de données avec plus
des médicaments par continuer de les saisir par scan de code QR, ajouter
les interactions avec les substances et les boissons et aliments, et l'améliorer
en terme design et faire le déploiement de l'application sur Play store.
65
Bibliographie
[1] Scheife RT, Hines LE, Boyce RD, Chung SP, Momper JD, Sommer CD,
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drug interaction evidence for clinical decision support. Drug Safety. 2015
Feb ;38(2) :197206.
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[3] "https ://www.topsante.com/Landing-Pages/classication-des-
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rie à la réalité 2010. UNIVERSITE HENRI POINCARE - NANCY 1
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menteuses. Laboratoire de Pharmacologie- Faculté de Médecine Rennes
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[8] C. Bénéton, D. Bentué-ferrer, J.M.Reymann. Les interactions médica-
menteuses Laboratoire de Pharmacologie- Faculté de Médecine Rennes
2000.
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pharmacocinetiques",consulté le 15/07/2023 à 16h38
[10] Thèse : Nathalie MATHIEU. Interactions médicamenteuses : De la théo-
rie à la réalité 2010. UNIVERSITE HENRI POINCARE - NANCY 1
.Faculté de pharmacie. 147. 14-19 pages
66
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