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RAPPORT DU DEVOIR :

Encadré par : Mr.CHAKKOUR


ANNÉE UNIVERSITAIRE: 2022/2023
Filière: GSTR2
Réalisé par : Salman Rhroussi, YASSER ELKARCH
1. Premièrement :

% Paramètres constants

Pe = 1; % Puissance émise

Ge = 1; % Gain antenne émettrice

Gr = 1; % Gain antenne réceptrice

% Variation de la distance

d = linspace(0, 150, 1000); % Distance en km

lambda = 3*10^8./(linspace(100*10^6, 20*10^9, 1000)); % Longueur d'onde en m

Pr_d = Pe*(Ge*Gr)*(lambda./(4*pi*d)).^2; % Puissance de réception en fonction de d

figure;

plot(d, Pr_d);

xlabel('Distance (km)');

ylabel('Puissance de réception (W)');

title('Variation de la puissance de réception en fonction de la distance');

% Variation de la fréquence

f = linspace(100, 20e3, 1000); % Fréquence en MHz

lambda = 3*10^8./f; % Longueur d'onde en m

Pr_f = Pe*(Ge*Gr)*(lambda./(4*pi*100)).^2; % Puissance de réception en fonction de f


(distance fixée à 100 km)

figure;

plot(f, Pr_f);

xlabel('Fréquence (MHz)');

ylabel('Puissance de réception (W)');

title('Variation de la puissance de réception en fonction de la fréquence');

% Variation des gains d'antennes

Ge_Gr = linspace(1, 10000, 1000); % Gains d'antennes


Pr_GeGr = Pe*(Ge_Gr)*(lambda./(4*pi*100)).^2; % Puissance de réception en fonction de
Ge*Gr (distance et fréquence fixées à 100 km et 20 GHz)

figure;

plot(Ge_Gr, Pr_GeGr);

xlabel('Gains d''antennes (Ge*Gr)');

ylabel('Puissance de réception (W)');

title('Variation de la puissance de réception en fonction des gains d''antennes');

les figures :
Interprétation :

Les résultats montrent que : quand la distance entre les antennes émettrice et réceptrice
augmente la puissance de réception décroît rapidement, ce qui est conforme à la loi de
propagation inversement proportionnelle au carré de la distance.

On peut aussi remarquer quand la fréquence augmente la puissance de réception décroît, ce


qui est dû à l'augmentation de la perte de propagation à haute fréquence.

Enfin, on peut voir que pour augmenter considérablement la puissance de réception il faut
augmenter les gains d’antennes.

2. Deuxièment :

% Paramètres de la simulation

f = linspace(100e6, 20e9, 100); % Fréquence de 100 MHz à 20 GHz

d = linspace(0, 60e3, 100); % Distance de 0 à 60 km


% Calcul du rayon de l'ellipsoïde de Fresnel

lambda = 3e8./f; % Longueur d'onde

r = sqrt(lambda.*d./2); % Rayon de l'ellipsoïde de Fresnel

% Tracé des courbes

figure

subplot(2,1,1)

plot(f/1e6, r)

xlabel('Fréquence (MHz)')

ylabel('Rayon de l''ellipsoïde de Fresnel (m)')

subplot(2,1,2)

plot(d/1e3, r)

xlabel('Distance (km)')

ylabel('Rayon de l''ellipsoïde de Fresnel (m)')

les figures :
Interprétation :

Les résultats obtenus montrent comment la variation de l'ellipsoïde de Fresnel dépends de la


fréquence et de la distance.

On remarque que le rayon de l'ellipsoïde de Fresnel augmente avec la distance et diminue avec
la fréquence. Car plus la distance est grande, plus le signal doit se propager et d’où il est
susceptible de subir des perturbations, ce qui nécessite une zone de Fresnel plus grande pour
garantir une bonne qualité de transmission. À l'inverse, plus la fréquence est élevée, moins le
signal est susceptible de subir des perturbations, ce qui permet d'utiliser une zone de Fresnel
plus petite.

3. Troisièment :

% Paramètres de l'équation des télécommunications

Pe = 20; % Puissance d'émission en W

he = 2; % Hauteur de l'émetteur en m
hm = 2; % Hauteur de l'émetteur en m

hr = 50; % Hauteur du récepteur en m

hb = 50; % Hauteur du bâtiment en m

Gm = 10*log10(he/3); % Gain de l'émetteur en dB

Gb = 20*log10(he/200); % Gain du bâtiment en dB

% Fréquences à utiliser pour tracer les courbes

f = [150:50:2000]; % intervalle de validité de chaque modèle

% Calculer Pr pour chaque modèle

lambda = 3e8./f;

d = sqrt((4*pi*hr*hb)./(lambda));

Pr_HataOkumura = Pe*(Gm+Gb)*(lambda./(4*pi*d)).^2;

Pr_COST231Hata = Pe*(Gm+Gb)*(lambda./(4*pi*d)).^2;

Pr_COST231WalfischIkegami = Pe*(Gm+Gb)*(lambda./(4*pi*d)).^2;

% Convertir Pr en dBm

Pr_HataOkumura_dBm = 10*log10(Pr_HataOkumura/1e-3);

Pr_COST231Hata_dBm = 10*log10(Pr_COST231Hata/1e-3);

Pr_COST231WalfischIkegami_dBm = 10*log10(Pr_COST231WalfischIkegami/1e-3);

% Tracer les courbes comparatives

figure;

plot(f, Pr_HataOkumura_dBm, 'r');

hold on;

plot(f, Pr_COST231Hata_dBm, 'g');

plot(f, Pr_COST231WalfischIkegami_dBm, 'b');

legend('Hata-Okumura', 'COST 231-Hata', 'COST 231 Walfisch-Ikegami');

xlabel('Fréquence (MHz)');

ylabel('Puissance de réception (dBm)');


La figure :
Interprétation :

Ce code utilise l'intervalle de validité de chaque modèle pour la fréquence, ou on a calculé la


puissance de réception pour chaque modèle en utilisant l'équation des télécommunications
donnée, puis on a converti ces valeurs en dBm et tracé les courbes comparatives sur une seule
figure.

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