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AN.NEE ACADfMIQUE 2012-201.

émoi:re présenté pour t'obtention


de

La ucrx CE EN SCIENCES ET TECHXIQUES DE


L'EAU

THEME

CAPTAGE ET GESTION DES


EAUX SOUTERRAINES A
Nom : N'GUESSAN ABIDJAN
PRENOM : N'Goran Aymar Igor
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Thème : <<Captage et gestion des eaux souterraines à Abidjan>>

TABLE DES MATIERES


Remerciements 3

Liste des figures 4

Introduction 5

Chapitre I: Présentation du milieu d'étude 6

I. l . Milieu d'étude 7

I.1.1. Situation géographique 7

I.1.2. Climat 8

I.1.3. Végétation 8

I. l . 4. Démographie 9

I.1.5. Hydrographie 9

I. l. 6 .Relief 9

I. l. 7. Aperçu géologique et .hydrogéologique 10


Chapitre II : Captage d'eaux souterraines 12
II. l .Définitions et méthodes de captage d'eaux souterraines 13
II.1.1.Définitions 13
II.1.1.1.Eaux souterraines 13
II.1.1.2. Captage 13
II. l. 2 .Méthodes de captage d'eaux souterraines 13
II. l .2.1.Capatge des sources 13
II.1.2.1.1.Définitions 13
II.1.2.1.2. Différents types des sources 14
II.1.2.2.Capatge par puits 15
II.1.2.2.1. Définitions 15
ll.1.2.2.2.Différents types de puits 15
II.1.2.3. Captage par forage 16
II.1.2 .3. ! .Définitions 16

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Thème : <<Captage et gestion des eaux souterraines à Abidjan>>

II.1.2.3.2.Principales techniques de forage 17


Chapitre III: Gestion des eaux souterraines 20
III.! .Aspect quantitatif et qualitatif des eaux souterraines 21
III.1.1.Aspect quantitatif 21
III.1.2.Aspect qualitatif 21
III.2.Pollution des nappes d'eaux souterraines 23
III.3.Protection des nappes contre la pollution 24
ill.3.1.Périmètre de protection immédiat 25
ill.3.2.Périmètre de protection rapproché 25
III.3 .3 .Périmètre de protection éloignée 26
III.4 .Le développement du forage par pompes et essaie de débits 28
III.4.1.Les pompes pour le développement d'un forage 29
III.4.2.Les essais de débit 24

CONCLUSION GENERALE 24
REFERENCE BIBLIOGRAPHIQUE 25

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Thème : <<Captage et gestion des eaux souterraines à Abidjan>>

REMERCIEMENTS

Au terme de ce travail, je voudrais exprimer toute ma reconnaissance aux


Personnes qui ont contribué de près ou de loin sa réalisation. Qu'elles trouvent
Ici, l'expression de ma profonde gratitude.
Je voudrais commencer par remercier celui qui est au-dessus de tout,
DIEU le Père tout Puissant. Honneur et Gloire lui soient rendu, éternellement!
Mes remerciements vont aussi à l'endroit du Professeur GOULA BI Tié
Albert, Doyen de l'Unité de Formation et de Recherche des Sciences et Gestion
De l'Environnement (UFR-SGE) de l'Université Nangui-Abrogoua.
Un grand merci au Docteur OTCHOUMOU F., Directeur de ce
Mémoire, qui n'a pas hésité à me consacrer beaucoup de temps. Vos précieux
Conseils et suggestions ont permis à ce mémoire de progresser et d'aboutir à une
Fin utile.
Je pense aussi à mes amis de la Licence 3 STE.
Je ne saurais oublier ma famille en particulier mon grand frère Monsieur
KOUAKOU Kouassi Guillaume
J'adresse, enfin, à tous ceux qui m'ont apporté leurs soutiens et dont les
Noms ne figurent pas sur cette page, sachez qu'une place plus grande vous est
Réservée dans mon cœur.

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Thème : <<Captage et gestion des eaux souterraines à Abidjan>>

LISTE DES FIGURES

Figurel : Les 10 communes d'abidjan sans les sous-préfecture 8


Figure2: Climatogramme d'abidjan 9
Figure 3: Carte géologique d'abidjan 12

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Thème : <<Captage et gestion des eaux souterraines à Abidjan>>

INTRODUCTION

L'eau souterraine est beaucoup plus précieuse car elle est meilleure que les
eaux de surface. Elle est souvent là, invisible, inaudible ... à couler lentement à 5,
10, 100 ... mètres sous nos pieds et pourtant elle fait, dans beaucoup des cas,
partie intégrante de notre vie de tous les jours, directement quand on ouvre le
robinet, ou encore indirectement, quand on déguste un fruit qui lui doit en partie
sa saveur et son éclat, voire sa survie, pour avoir été arrosé à bon escient durant
sa maturation.
Dans plusieurs parties du monde, en effet, les populations exploitent l'eau
souterraine comme elles exploiteraient une mine, c'est-à-dire jusqu'à
l'épuisement de la ressource. Dans ces cas-là, lorsque l'eau souterraine ne suffit
plus, la solution consiste souvent à recourir à des transferts coûteux de gros
volumes d'eaux sur des distances qui peuvent parfois atteindre plusieurs
centaines de kilomètres, entrainant des gaspillages d'eau et des surcoûts
importants.
De ce fait, la notion de l'eau souterraine nécessite donc une attention et une
recherche bien déterminée à travers des méthodes, processus d'acquisition et gestion
de cette ressource. Ce présent travail se propose de mettre en évidence les
différentes méthodes de captages et processus de gestion des eaux souterraines.
Notre mémoire s'articule autour de trois grandes parties :
La première partie porte sur la présentation du milieu d'étude à travers des
recherches bibliographiques.
La deuxième partie nous montre les différentes méthodes de captage des eaux
souterraines
Quant à la troisième partie, elle expose sur l'aspect quantitative et qualitative, aussi
d'expliqué les différents processus de pollution pour enfin, préconiser la protection
de cette importance ressource.

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Chapitre I:

PRESENTATION
DU MILIEU

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1.1.Milieu d'étude

1.1.1. Situation géographique

Figure 1 : Les 10 communes d'Abidjan, sans les trois sous-préfectures

L'agglomération d'Abidjan est située au Sud de la Côte d'Ivoire et est comprise


entre les latitudes 5°00' et 5°30' N et les longitudes 3 °50' et 4 °1 O' W. Elle est la
capitale économique de la Côte d'Ivoire et s'étend sur une superficie de57.735
ha.
La ville d'Abidjan est composée de dix communes avec une population estimée
à 2.877.948 habitants (INS, 2001). Elle est en perpétuelle croissance et cette
croissance est marquée par une forte industrialisation et urbanisation.

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1.1.2 Climat

Figure 2 : Climatogram.me d'Abidjan

La ville jouit d'un climat de type subéquatorial, chaud et humide, qui


comporte une grande saison des pluies (mai-juin-juillet), une petite saison des
pluies (septembre-novembre) et deux saisons sèches.

En saison des pluies, il peut pleuvoir sans discontinuer pendant plusieurs jours
consécutifs ou alors pleuvoir intensément pendant une heure, période à laquelle
succède un très fort ensoleillement.

Les précipitations y sont abondantes: environ 2 mètres d'eau par an5. Les
précipitations mensuelles varient entre 26 mm en janvier et 610 mm en juin et la
température y est quasi-constamment d'environ 27 degrés Celsius6. Le degré
d'hygrométrie y atteint 80 %.

1.1.3 Végétation
La ville d'Abidjan présente une couverture végétale assez importante
compte tenu de l'abondance des précipitations. C'est le domaine privilégié de la
forêt. Mais avec l'urbanisation la couverture végétale s'est réduite. Il y a deux
principales forêts à Abidjan qui sont la forêt de l' Anguededou et du Banco. La
forêt du Banco est la plus importante.

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1.1.4 Démographie
Abidjan est la capitale économique de la Côte d'Ivoire, dont la capitale
administrative et politique est Yamoussoukro, et la ville la plus peuplée de
l'Afrique de l'Ouestfrancophone'. Elle est également la deuxième plus grande
ville francophone intramuros et la troisième plus grande agglomération. Elle
compte, selon les autorités du pays, en 2011, 12 783 906 habitants pour
l'agglomération, et 6 351 086 habitants pour la ville, soit 20 % de la population
totale du pays. Seule Lagos, l'ancienne capitale du Nigeria la dépasse en nombre
d'habitants dans cette région. Considérée comme le carrefour culturel ouest-
africain, Abidjan connaît une perpétuelle croissance caractérisée par une forte
industrialisation et une urbanisation galopante.

1.1.5 Réseau hydrographique


La région océanique au sud d'Abidjan est parcourue par le courant de guinée,
parallèle à la cote, dirigé vers l'est pendant 15% du temps

• Les eaux superficielles sont chaudes. Leur température est à 20°C.

• Le plateau continental, large d'une quinzaine de milles est entaillé face à


Abidjan par un profond canyon sous-marin : le trou sans fond

• La houle se brise en une vague déferlant violente (la barre) a proximité du


littoral.

• Le littoral est sableux et on observe une érosion intense des plages à l'est
de chaque épi perpendiculaire à la cote en particulier dans le secteur de
Port-bouet à l'est du canal de Vridi.

1.1.6. Relief
Au sud du pays, le long du Golfe de Guinée, la côte est constituée de falaises
dans sa partie ouest, et d'une bande de sable et de lagunes dans sa partie est.

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1.1. 7. Aperçu géologique et hydrogéologique

La géologie de l'agglomération d'Abidjan appartient au bassin


sédimentaire côtier constitué d'argiles, d'argiles sableuses, de sables et de grès,
de conglomérats, de sables glauconieux et de marnes.
Sur ce bassin, on dénombre trois principaux aquifères:
>"" l'aquifère du Quaternaire. Il contient la nappe la plus vulnérable de la
région d'Abidjan. Cette nappe est très proche de la surface du sol et à une
épaisseur de 4 à 20 m.
>"" l'aquifère du Continental Terminal. Il contient la nappe la mieux indiquée
pour l'alimentation en eau de consommation de l'agglomération d'Abidjan.
On l'appelle communément "Nappe d'Abidjan" ou "Nappe du Continental
Terminal". L'eau s'y trouve à des profondeurs décroissantes du Nord au
Sud.
>"" L'aquifère du Maestrichtien situé à 200 m de profondeur, est exploité par
la SADEM pour la production d'une eau minérale, l'eau "AWA".
La carte de vulnérabilité établie ne concerne que la nappe du Continental
Terminal ou la nappe d'Abidjan (figure 2).

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Figure 3 : : Carte·géologique·de-la-région·d)Abidjan

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Chapitre II :

CAPTAGE D'EAUX
SOUTERRAINES

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11.1. DEFINITIONS ET METHODES DES EAUX SOUTERRAINES

11.1.1. Définitions

11.1.1.1. Eaux souterraines


Les eaux souterraines sont toutes les eaux se trouvant sous la surface du
sol, dans la zone de saturation et en contact direct avec le sol ou le sous-sol.
Dans le cadre de notre étude il s'agira plus particulièrement des aquifères d'eaux
souterraines qui sont la réserve majeure (96 %) de l'eau douce exploitable sur les
terres émergées. 65 % des eaux qui y sont pompées sont utilisées et parfois
gaspillées pour l'irrigation. L'eau potable constitue 25 % des prélèvements alors
que l'industrie pompe le reste (10 %,.

11.1.1.2. Captage

Plus précisément le captage d'eau, c'est un dispositif par lequel on puise


(source, sous-sol, rivière) l'eau nécessaire à un usage donné.

11.1.2. Méthodes de captage des eaux souterraines


11.1.2.1. Captage des sources
11.2.1.1. Définitions
Une source est un lieu d'apparition et d'écoulement d'eau souterraine à la
surface du sol, elle est toujours liée à l'existence d'une nappe et peut être située
au mur ou au toit du réservoir aquifère.
Les sources présentent généralement les qualités de l'eau souterraine, tout en
permettant une exploitation aisée. Leur présence est étroitement liée à la
géologie du terrain :
· Un plancher rocheux imperméable, tel qu'un gisement d'argile est à la base
d'une couche de sol ou roche saturée, alors, une source tendra à apparaitre sur la
pente où la couche d'argile affleure.

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Les roches plutoniques sont également imperméables à l'eau, pourtant elles sont
souvent fragmentées et les sources apparaissent généralement là où ces ruptures
viennent en surface

11.2.1.2. Différents types des sources


• Sources d'affleurement
Les sources d'affleurement sont celles qui apparaissent à l'endroit où affleure
le substratum imperméable. Si l'aquifère est perméable en petit, il existera le
long de la ligne d'affleurement de la zone imperméable des suintements continus
et, par suite, très faibles.
Si l'aquifère est perméable en grand, les ouvertures donnant l'eau seront plus
rares mais de débits plus importants.
• Sources d'émergence
Les sources d'émergence sont celles qui apparaissent là où la surface
topographique recoupe la surface piézométrique d'un aquifère. Ces sources
apparaissent dans les fonds des vallées.
• Sources filoniennes
Autrement dites «sources de cassure», sont celles qui prennent naissance là
où les cassures et les filons perméables, partant de la surface du sol, atteignent le
toit d'une nappe aquifère sous pression. De telles sources sont parfois
artésiennes.
• Sources vauclusiennes
Une source vauclusienne est en réalité l'affleurement d'un cours d'eau souterrain
en terrains karstifiés.
• Sources d'éboulis
Il peut arriver qu'une source soit couverte d'éboulis. L'eau qui sort de la source
entre dans l'éboulis et n'apparait que plus loin au pied de l'éboulis. Elle est
appelée « source d'éboulis » et la source origine1le couverte par l'éboulis est

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alors appelée « source géologique ».

11.1.2.2. Captage par puits


II.1.2.2.1. Définition
Un puits est un ouvrage de captage qui pénètre verticalement dans la
nappe· Il offre généralement un diamètre (de 1 à 5-6 m) et une profondeur
limitée à quelques mètres ou quelques dizaines de mètres, mais certains peuvent
atteindre la centaine de mètres en terrain rocheux.
11.1.2.2.2. Différents types de puits
On distingue trois principaux types de puits : le puits ordinaire, le puits
foncé et le puits foré.
• Puits ordinaire
C'est un puits creusé manuellement à l'aide d'une pioche, d'une pelle et de
tout autre matériel d'excavation. Il peut être de forme carrée ou circulaire.
• Puits foncé
Il existe plusieurs méthodes de fonçage de puits : fonçage par battage de tube
perforé, fonçage par injection d'eau et fonçage par havage.
-Fonçage par battage : c'est une méthode qui consiste à chasser dans le sol, à
l'aide d'un mouton, un tube à l'extrémité inférieure duquel est fixé un embout
conique. Le fonçage s'arrête à quelques mètres au-dessous de la surface libre de
la nappe. Les puits foncés par battage ont en général un diamètre de 2,5 à
100mm et ne peuvent être utilisés que dans les formations dépourvues de
pierres, de roches ou d'argile compacte et là où la profondeur de la nappe est
faible.
- Fonçage par injection d'eau: cette méthode permet d'atteindre très rapidement
des profondeurs considérables. Elle consiste à creuser à l'emplacement prévu
pour le trou de 1,5 à 2m de profondeur, sur lequel on monte un trépied portant
un tourillon creux ; à ceci se fixe un tubage dont l'extrémité inférieure munie

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d'un couteau pénètre dans le trou. Cette méthode convient dans des sables et des
alluvions et pour les puits de diamètre allant de 38 à 380 mm et de profondeurs
de 50 à 100 m.
-F onçage par havage : ce procédé permet de construire dans des sols meubles,
des puits de grand diamètre mais de faible profondeur (15 à 20 m). De ce fait, on
dispose sur le sol une couronne métallique triangulaire formant une trousse
circulaire coupante.
• Puits foré
Ce type de puits a un diamètre relativement réduit, il est foré à la main ou à
l'aide de divers accessoires grâce auxquels on peut atteindre de grandes
profondeurs et extraire de plus grandes quantités d'eau que le puits creusé à la
main. Il peut donner lieu à un puits artésien.

11.1.2.3.Captage par forage


11.1.2.3.1.Définitions
Le forage est une technique ou opération permettant le creusement de
trous généralement verticaux.
L'eau du forage est purifiée par un long parcours à travers le sol, les possibilités
de pollution sont donc réduites, et surtout si l'extraction de l'eau se fait au moyen
de pompe. Raison pour laquelle l'eau de forage est en général la meilleure pour
la consommation humaine. Le forage est une technique ou opération permettant
, , al ement verticaux
1 e creusement d e trous gener · 19C.)
· .
L'eau du forage est purifiée par un long parcours à travers le sol, les possibilités
de pollution sont donc réduites, et surtout si l'extraction de l'eau se fait au moyen
de pompe. Raison pour laquelle l'eau de forage est en général la meilleure pour
la consommation humaine. Le forage est une technique ou opération permettant
, , al ement verticaux
1 e creusement d e trous gener · l 9(*)
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L'eau du forage est purifiée par un long parcours à travers le sol, les possibilités

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de pollution sont donc réduites, et surtout si l'extraction de l'eau se fait au moyen


de pompe. Raison pour laquelle l'eau de forage est en général la meilleure pour
la consommation humaine.
11.1.2.3.2.Principales techniques de forage
• Forage à la tarière
Il consiste à un ensemble <l'allonges en acier qui est tourné par une poignée.
Différents types de tarières peuvent être fixés à l'extrémité des allonges. Les
tarières sont tournées dans le sol jusqu'à ce qu'elles se remplissent et sont ensuite
sorties du trou pour être vidées. Le modèle des tarières varie en fonction du type
de formation (type de sol) à forer. Généralement au-dessus du niveau statique, le
trou du forage reste ouvert sans avoir besoin d'être soutenu. Une fois dans la
nappe, un pré-tubage temporaire peut être utilisé pour empêcher l'effondrement
des parois du trou de forage. Le fonçage se poursuit à l'intérieur de ce pré-tubage
à l'aide d'une tarière de mise en eau jusqu'à ce que la profondeur désirée soit
atteinte. Puis, le tubage permanent est installé et le pré-tubage temporaire
remonté à la surface. Le forage à la tarière peut être utilisé jusqu'à une
profondeur d'environ 15 à 25 mètres, cela dépend de la géologie.
· Avantage : facile à utiliser au-dessus du niveau de la nappe. Equipements bon
marché.
-Inconvénient : il est parfois très difficile d'enlever le pré-tubage temporaire.
· Application géologique : sables, limons et argiles tendres.
• Forage à la boue
Le forage à la boue (ou forage rotatif à boue lorsqu'un mouvement de
rotation de l'outil de fonçage est actionné) utilise la circulation de l'eau pour
faire remonter à la surface du sol les matériaux forés. Le train de tiges de forage
est actionné de haut en bas. Pendant la descente des tiges, le choc créé par le
trépan fixé au bout du train de tiges fragmente les matériaux du sol et, pendant le
mouvement de remontée, l'extrémité du train de tiges est obturée avec la main

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( effet de soupape), créant ainsi une aspiration de l'eau et des débris qu'elle
contient jusqu'à la surface. Au cours du mouvement de descente suivant, la main
est retirée du train de tiges et l'eau gicle dans le bassin préalablement creusé à
côté du forage. Dans ce bassin de décantation, les débris se séparent de l'eau
pour se déposer au fond du bassin alors que l'excédent d'eau redescend à
nouveau dans le trou. La pression de l'eau sur les parois du forage évite
l'effondrement de ces dernières. Le forage à boue (avec ou sans rotation) peut
être utilisé jusqu'à une profondeur d'environ 35mètres.
· Avantage : simple d'utilisation et pas besoin de pré-tubage.
· Inconvénient : le niveau d'eau dans le trou doit être maintenu tout au long de
l'opération de fonçage. Le niveau de la nappe n'est pas connu avec précision
pendant le forage.
· Application géologique : sable, limons, argiles, argiles dures et des formations
légèrement consolidées (latérite altérée).
• Forage au lançage à l'eau
Il est également basé sur la circulation et la pression de l'eau. A la différence
du forage à boue, l'eau est désormais injectée à l'intérieur du train de tiges et la
boue (eau et débris) remonte le long des parois du forage. Afin d'obtenir une
pression d'eau suffisante, on utilise une motopompe. On peut laisser l'extrémité
inférieure du tuyau de forage simplement ouverte, ou on peut y rajouter un outil
de fonçage (trépan). On peut également faire tourner totalement ou partiellement
le train de tiges. Un fluide de forage (additif) peut être mélangé à l'eau pour
éviter l'effondrement des parois du trou et la perte incontrôlée de l'eau par
infiltration. La technique du lançage à l'eau (avec rotation) peut être uti1isée
jusqu'à une profondeur d'environ 35-45 mètres.
·Avantage: très rapide dans le sable.
· Inconvénient : nécessite beaucoup d'eau à la fois. Le niveau de la nappe d'eau
n'est pas connu avec précision pendant le forage.

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· Application géologique : limitée aux sables et fines couches d'argile tendre.


• Forage à percussion
Le forage à percussion utilise un lourd trépan ( ou cuiller) attaché à une corde
ou un câble, lequel est descendu dans le trou du forage ou à l'intérieur d'un pré-
tubage. Un trépied(ou chèvre) est en général utilisé pour suspendre l'équipement.
En actionnant la corde ou le câble de haut en bas, le trépan ameublie et
fragmente le sol ou la roche consolidée dans le trou de forage, dont les débris
sont ensuite extraits grâce à la cuillère.
Comme pour le forage à la tarière, un pré-tubage en métal ou PVC peut être
utilisé pour éviter l'effondrement du trou. Une fois le tubage définitif (tuyaux et
crépines en PVC) installé, le pré-tubage doit être enlevé. Le forage à percussion
est généralement utilisé jusqu'à une profondeur de 25 mètres.
·Avantage: permet de forer dans les formations dures.
· Inconvénient : l'équipement peut être très lourd et relativement cher. Cette
méthode est lente en comparaison des autres méthodes.
· Application géologique : sables, limons, argiles dures, calcaire tendre, latérite,
les couches contenant des graviers et de petits cailloux.

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Chapitre III :

GESTION DES
EAUX
SOUTERRAINES

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111.1. Aspects quantitatifs et qualitatifs de l'eau souterraine


111.1.1. Aspects quantitatifs

Les réserves mondiales d'eau souterraine sont dix fois plus importantes
que les réserves d'eau de surface2°C~). En raison de son abondance, de sa qualité
et de sa proximité avec le lieu de consommation, l'eau souterraine constitue la
source d'approvisionnement en eau de consommation la plus abordable.
Cependant, Les eaux souterraines sont menacées au plan quantitatif, lorsque la
capacité d'emmagasinement des aquifères et/ou leur section d'écoulement vient à
être réduite et lorsque les niveaux piézométriques des nappes d'eaux souterraines
sont rabattus de manière durable. De plus, l'augmentation de
l'imperméabilisation des sols réduit l'alimentation des nappes d'eaux
souterraines.
L'apport d'eaux souterraines provenant des aquifères dépend des caractéristiques
de l'aquifère et du volume de l'alimentation qui renouvelle l'aquifère. Par
exemple,
· Les formations de sable et de gravier épaisses, ou les substratums rocheux
perméables qui s'étendent sur une vaste superficie, peuvent alimenter les puits à
grande capacité qui fournissent des millions de litres d'eau par jour ;
· Les formations minces qui occupent une petite superficie peuvent fournir
seulement quelques centaines ou quelques milliers de litres par jour. De même,
pour les dépôts à texture fine, ou les aquifères dans les substratums rocheux aux
fractures mal formées, fournissent peu d'eau souterraine ;

111.1.2. Aspects qualitatifs


Les processus naturels et les activités humaines peuvent avorr une
incidence sur l'eau souterraine. La différence entre les deux est que les processus
naturels peuvent soit augmenter la qualité de l'eau souterraine, soit détériorer ses

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qualités esthétiques mais la plupart des activités humaines contaminent l'eau


souterraine. En voici quelques exemples :
· lessivage d'engrais (p. ex. nitrate) et de produits phytosanitaires (p. ex.
herbicides) sur des surfaces agricoles, des jardins et des terrains de sport ;
· Épandage de purin, lors de fortes précipitations ou de gel, en dehors de la
période de végétation ou, par exemple, en région karstique, à proximité de
gouffres ou de dolines ;
· Infiltration dans le sous-sol des eaux de lixiviation de sites contaminés ;
· Pertes de collecteurs d'eaux usées, de fosses à purin et de réservoirs non
étanches (bactéries et polluants) ;
· Entraînement de polluants atmosphériques dans le sous-sol (p.ex. solvants,
nutriments, produits phytosanitaires, additifs de carburant) ;
· Accidents conduisant à des pertes de polluants dans le sous-sol.
Les polluants non ou difficilement dégradables (persistants) sont
particulièrement dangereux pour les eaux souterraines, lorsqu'ils parviennent à
traverser le sol et les couches de couverture.
La détérioration de la qualité de l'eau est appréciée par des mesures des
paramètres physico-chimiques et bactériologiques. Dans le cas d'une
détérioration jugée importante, l'eau ne sera plus considérée comme potable
pour la consommation humaine. Elle pourra être utilisée pour d'autres fins
(irrigation ... ) ou devra subir un traitement approprié pour retrouver sa potabilité.
L'eau des nappes n'est donc pas à l'abri de la pollution et l'autoépuration
naturelle n'est pas complète dans toutes les nappes et vis-à-vis de certaines
substances.
Les qualités essentielles d'une eau de consommation sont celles d'une eau :
· Salubre : c'est-à-dire saine et qui contribue à la santé ;
· Potable : c'est-à-dire propre à être bue, fraîche, incolore, inodore, aérée,
légèrement minéralisée et exempte de matière organique.

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Thème : <<Captage et gestion des eaux souterraines à Abidjan>>

111.2. Pollution des nappes d'eau souterraines


Signalons que la pollution des nappes d'eau souterraines est la
contamination de l'eau d'une nappe par des substances indésirables qui
provoquent des nuisances et qui rendent l'eau impropre pour certaines
utilisations.

111.2.1. Origine de la pollution


• Origine domestique
Dans le cas d'un assainissement, collectif ou individuel, défectueux, des
substances indésirables contenues dans les eaux vannées, les eaux ménagères,
peuvent être transférées à la nappe. Les ordures ménagères accumulées dans des
décharges sauvages libèrent également des lixiviats riches en polluants.
• Origine industrielle
Les polluants de cette ongme sont très variés selon le type d'activité
(substances organiques, hydrocarbures, métaux lourds ... ). Les pollutions ici sont
exceptionnelles et insidieuses. Un cas particulier est celui des exploitations
minières. L'extraction des granulats en plaine alluviale met en contact l'eau de la
nappe avec les polluants éventuels.
• Origine agricole
La pollution est étendue dans l'espace et dans le temps. En effet, elle est
influencée par les pratiques de cultures (utilisation massive des engrais et
produits chimiques de traitement des plantes, l'irrigation), de l'élevage (élevage
intensif des porcs, bovins et volailles).

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• Origine urbaine et routière


Les risques de pollution apparaissent à la construction des réseaux routiers
puis à leur exploitation ( métaux lourds libérés par les véhicules, substances
dangereuses échappées par accident).

111.3. Protection des nappes contre la pollution


La protection des nappes contre les pollutions peut se faire de diverses
manières, entre autres par la mise en place des périmètres de protection des
captages d'eau potable.
Les périmètres de protection d'un captage sont définis après une étude
hydrologique. Leur but est de protéger les abords immédiats de l'ouvrage et son
voisinage. Pour un captage ou un champ captant, trois zones concentriques sont
définies dans lesquelles des contraintes plus ou moins fortes sont instituées pour
éviter la dégradation de l'eau.

lll.3.1. Périmètre de protection immédiate


Ce premier périmètre contient le captage lui-même. Sa surface est limitée
à quelques dizaines de mètres carrés (environ 30 m sur 30). La collectivité locale
est propriétaire du terrain qu'elle doit clôturer, sauf en cas d'impossibilité. Toutes
les activités y sont interdites, sauf celles consacrées à l'exploitation et l'entretien
des équipements. Son rôle est d'empêcher la dégradation des ouvrages ou
l'introduction directe des substances polluantes dans l'eau.

111.3.2. Périmètre de protection rapprochée


Il doit protéger le captage de la migration des substances polluantes. Sa
surface dépend des caractéristiques locales ; elle varie entre 1 à 10 hectares.
Toutes les activités, installations et dépôts susceptibles de nuire directement ou
indirectement à la qualité des eaux sont interdits. Il s'agit généralement de :

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· La réalisation de forage et puits autre que ceux nécessaires à l'extension ou à la


surveillance du champ captant ;
· L'exploitation des carrières, le remblaiement d'excavations ;
· Le dépôt des déchets et de tous produits et matières susceptibles d'altérer la
qualité des eaux ;
· L'installation des canalisations, réservoirs ou dépôts d'hydrocarbures, des
produits chimiques et d'eau usée ;
· L'épandage ou l'infiltration des lisiers et des eaux usées d'origine domestique
ou industrielle.

111.3.3. Périmètre de protection éloignée


Ce dernier périmètre n'est pas obligatoire, il renforce le précédent. Sa
surface est très variable, réglementée par les activités, dépôts ou installations qui
présentent un danger de pollution pour les eaux prélevées, par la nature et la
quantité des produits polluants mis en jeu ou par l'étendue des surfaces qu'ils
affectent.

· Hors site: c'est un traitement extérieur qui consiste à extraire les eaux du
milieu naturel, par excavation ou pompage, pour les traiter au centre spécialisé.

111.4. Le développement du forage par pompes et essais de débit

111.4.1. Les pompes pour développement d'un forage


Plusieurs types de pompes peuvent être utilisés pour développer un
forage. Les meilleures options pour le développement sont les pompes
immergées électriques et les compresseurs. Mais ces pompes sont chères. Il est
recommandé d'utiliser ces pompes pour des forages d'eau communautaires,
nécessitant des débits importants. Pour des forages familiaux, qui doivent

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souvent être faits à moindre coût pour être abordables, on peut utiliser des
pompes manuelles pour le développement. Une bonne option est d'utiliser une
pompe immergée. On peut ainsi obtenir des débits importants. Il est cependant
nécessaire d'avoir de l'électricité (probablement un groupe
électrogène/générateur), et la pompe et le générateur sont chers.
Il en va de même pour les compresseurs. Les compresseurs sont des outils de
développement très appropriés, avec lesquels on peut obtenir des débits très
importants et des ondes de choc. Il faut néanmoins un gros compresseur, ce qui
coûte cher.
Une option moins chère pour le développement, avec des débits
relativement importants, est d'utiliser une motopompe centrifuge ou une pompe
à boue. Cependant, ces pompes aspirantes de surface ne peuvent fonctionner que

si le niveau dynamique de l'eau souterraine (le niveau de l'eau quand on pompe)


est à moins de 7 mètres sous le niveau du sol.
On peut également utiliser, pour les forages familiaux, des pompes manuelles
(qui sont moins chères), bien qu'elles soient beaucoup moins efficaces pour le
développement du forage. Quand on utilise des pompes manuelles pour le
développement des forages et qu'elles sont utilisées à leur débit maximal
pendant une certaine période, jusqu'à ce que l'eau soit claire, elles peuvent être
suffisantes.
111.4.2. Les essais de débit

Une fois qu'un forage a été développé et ne contient plus de particules


fines, le débit du forage doit être testé. Les essais de débit donnent des
informations utiles à la fois sur le forage et sur l'aquifère. Ils permettent
notamment de savoir si la productivité du forage sera suffisante pour son usage.
Cependant, des essais de débit fiables ne peuvent être faits que quand le
niveau de l'eau est retourné à la normale après le développement du forage. Le

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forage doit être laissé au repos au moins 24 heures après son développement
avant de commencer les essais de débit.
Il existe deux manières de tester la productivité du forage : on peut donc utiliser
soit une pompe électrique immergée ou une motopompe, soit une pompe
manuelle. Dans les deux cas, le niveau de l'eau doit être mesuré.
Pour les essais de débit mécanisés, on peut utiliser une sonde piézométrique
électrique (relativement chère), qui produit un signal électrique quand le niveau
de l'eau est atteint.
Pour le forage à faible coût avec des pompes manuelles, on peut utiliser un
simple décamètre ou une corde de mesure.

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CONCLUSION GENERALE

Tout au long de ce travail, nous nous sommes préoccupé à fournir des notions de
base d'hydrogéologie visant le captage, et la gestion des eaux souterraines. La
démarche a consisté à présenter le milieu d'étude ; de d'écrit les différentes
méthodes de captage, dont l'extraction de l'eau dans le sous-sol afin de s'en
servir dans différente activité humaine, mais aussi d'expliqué les différents
processus de pollution pour enfin préconisé la protection et une bonne gestion de
cette importance ressource. Tout cela nous a permis de comprendre que l'eau
souterraine relève d'un grand intérêt pour l'homme.
D'où, notre souhait serait que les populations comprennent à travers des
ouvrages ce que c'est l'eau souterraine et comment s'en servir; c'est alors que
l'on pourra obvier à certaines maladies relatives aux pollutions et également
obvier aux pénuries en eau douce, car l'eau potable est sans doute, « le plus beau
cadeau que l'humain peut offrir à son semblable ».

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REFERENCE BIBLIOGRAPHIQUE
A. Musy : Cours d'hydrologie générale, !STE/HYDRA¾ 2005
1. Anonyme: La technique de L'eau et de l'assainissement, revue européenne
d'expression française (mai 1967), n°245, pp 481-482.

2. Comité Interafricain d'Etudes hydrauliques, Utiliser une pompe


manuelle -Manuel de formation des formateurs villageois - Le point d'eau
au village : aménagement ; utilisation ; entretien - série hydraulique
villageoise livret
2, GH Géo hydraulique, CINAM - date non signalée.
3. Déclaration de Dublin, 1992.
4. ERIC GILLI. : Hydrogéologie (objets, méthodes et applications),
DUNOD, 2004, Paris.
5. François Renard: Cours d'hydrogéologie, UJF-Grenoble, France,
Octobre 2002.
6. Intiomale M.M, Cours d'hydrogéologie, 3ème graduat géologie,
UNIKIN, 2011.
7. Jean Margat: Exploitations et utilisations des eaux souterraines dans
le monde, Unesco et BRGM, 2004, Paris.
8. KATANGA K.A, Cours d'hydrologie souterraine, Ier génie
Environnement, ISTA/Kinshasa, 2007.
9. LUKIDIA L.B., Cours de travaux miniers et forage, UNIKIN, inédit.
10. M. Renald McCormack : Les puits, Revue du ministère de
l'environnement, Québec, 2003.
11. Ministère de l'agriculture, de l'alimentation et des affaires rurales :
Les Puits, Pratiques de gestion optimale, Ontario, Canada, 1997.

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