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Département : physique
MEMIORE DE MASTER
Domaine : science de la matière
Filière : physique
Thème :
Benstiti Khaoul
Promotion : 2022/2023
REMERCIEMENT
Nous remercions tous nos professeurs pour leurs efforts tous ceux qui
nous ont aidés de près ou de loin pour la réalisation de ce projet.
Dédicace
Je dédie ce travail
à mes très chers parents qui m’ont fourni au quotidien un soutien et une confiance
sans faille de ce fait je ne saurais exprimer seulement par des mots. Que dieu
vous protège et vous garde pour nous.
A mes chers frères Mahdi et Mouhanad.
A mes collèges Djawahar et Khaoula.
A tous mes amies Anfel, Nadine, Bouchra, Youssra, Noussaiba….
A tous mes proches et tous ceux qui ont contribué de loin ou de près à la
réalisation de ce mémo
MERCI
MALEK
Dédicace
Je dédie ce mémoire à mes chers parents qui ont été toujours à mes côtés et
m’ont toujours soutenu tout au long décès longues années d’études. En signe de
reconnaissance, qu’ils trouvent ici, l’expression de ma profonde gratitude pour
tout ce qu’ils ont consenti d’efforts et de moyens pour me voir réussir dans mes
études. A toute ma famille Et A toutes mes amies, Et surtout Malek, Anfel,
Hadil, Imen. Nadine, Youssra,A tous ceux qui m'ont aidé et que je connais en
particulier le manipulateurs Ramdhani yacine, le technicien Mehnana Abd El
Halim. Et à tous ceux qui aiment le bon travail et ne reculent pas devant les
obstacles de la vie.
Djawahar el Chaima
MERCI
Djawahar el Chaima
Dédicace
Je dédie ce travail
A mon cher papa Djamel, devant qui tous les mots de l’univers
ne Sauraient exprimer l’amour que je lui porte.A ma mère Habiba, qui a
toujours cru en moi et n’a jamais cessé de me soutenir, qui a fait l’impossible
pour ne pas laisser les larmes approchent à mes yeux.A mon cher mari Ishak,
pour la patience et le soutien dont il a fait preuve pendant tout la duré de ce
travail et à qui je voudrais exprimer mes affections et mes gratitudes.A mes
chers frères Chouaib, Fathi et Yacine.A ma chère sœur, Ikram.A mes petits,
Mosab,Haitham. A ma deuxième parentes Belkacem,Fatima A mes chères
amis, Malek, Chaima, Manel,. A l’ensemble de la famille Ben stiti, et
Bouras, je ne cite pas les noms par peur d’oubli.A tous ceux qui ont contribué de
prés ou de loin a la réalisation de ce travail.
MERCI
Khaoula
Résumé
L’objectif de ce travail que nous avons réalisé est d’essayer de développer des tests de
contrôle de qualité qui ne sont pas possibles dans nos services radiologiques à couse d’un
moque des équipements nécessaires pour les effectuer. La solution sur laquelle nous nous
sommes appuyés était d’utiliser le système de détection de l’appareil radiographique, et
finalement pour valider nos résultat pratique nous avons utilisé la méthode de Monte Carlo
en utilisant le code Penelope.
Mots clés : contrôle de qualité, système de détection, simulation Monte-Carlo.
الملخص
الهدف من هذا العمل الذي قمنا به هو محاولة تطوير اختبارات مراقبة الجودة غير الممكنة في أقسام األشعة لدينا بسبب نقص المعدات
وأخيرا ً للتحقق من صحة نتائجنا، كان الحل الذي اعتمدنا عليه هو استخدام نظام الكشف الخاص بجهاز األشعة السينية.الالزمة لتنفيذها
.PENELOP استخدمنا محاكاة مونت كارلو باستخدام كود،العملية
. محاكاة مونت كارلو، نظام الكشف، مراقبة الجودة:الكلمات المفتاحية
Abstract
the purpose of this work that we have carried out is to try to develop quality control tests that
are not possible in our radiology departments due to the loss of the necessary devices to
perform them . the solution on which we relied was to use a system for detecting
radiographic devices and finlly to validate our practical results , we used the Monte Carlo
method using Penelope codes .
Key words : quality control , detction system
La traduction est trop longue pour être enregistrée
Introduction générale
I.5.1 Cathode………………………………………………………………………………………………..5
I.5.2 Anode…………………………………………………………………………………………………5
I.5.4.1.1 Foyer…………………………………………………………………………………….9
I.5.4.2.2 La puissance……………………………………………………………………………10
I.5.5.3Diaphragme …………………………………………………………………………………...12
Figure (I.5) : les tubes radiogène (a) tubes à cathode chaude et anode fixe, (b) tube à cathode chaude + anode
tournante………………………………………………………………….........................................................4
Figure (I.12) : Schémas du tube à anode tournante et la piste anodique 1 : disque anodique 2 : rotor 3 : axe
de rotation de l’anode 4 segment d’axe intermédiaire en molybdène 5roulement à billes ou cylindre de
glissement rainure hélicoïdale…………………………………………………………………………………8
Figure (I.13) : les composantes d’un disque anodique 1 tungstène 2 alliage tungstène rhénium 3 alliage
tungstène zirconium molybdène……………………………………………………………………………….8
Figure (I.15) : schéma d’un tube à une anode tournante dans sa gaine plombée…………………………….11
Figure (I.16): tube à une anode tournante dans sa gaine plombée. On retrouve les électrodes des câbles
(haute tension) (1), le soufflet d’expansion de bain d’huile (4), le circuit d’eau réfrigère intervenant dans les
échanges thermique par convection (2), le filtre additionnelle (3)…………………………………………...12
Figure (I.17): Filtration additionnelle pour la radioprotection de patients que pour la qualité de
l’image………………………………………………………………………………………………………..12
Figure (I.18): formation d’image radiante et sa transformation es image lumineuse par un film
photographique……………………………………………………………………………………………….13
Figure (I.19) : le contraste induit par une structure (air, os) augmente avec (a) la différence d’atténuation de
cette structure par rapport au milieu environnant, (b) l’épaisseur de cette structure. Le même coefficient
d’atténuation que le milieu environnant (cas de l’eau et du
muscle………………………………………………………………………………………………………...14
Chapitre II. Protocole de contrôle de qualité
Figure (II.1) : contrôle qualité, assurance qualité et systèmes de qualité…………………………………….15
Figure (II.7) : (a) l’alignement et centrage, (b) l’utilisation des marquer avec des pièces de
monnaie………………………………………………………………………………………………………20
Figure (II.9) : mise en place d’un test de précision de KV à l’aide d’un KVP mètre non
invasive……………………………………………………………………………………………………….22
Figure (II.11) : Images d'une mire à faible contraste : (a) fantôme ; (b) image
radiographique………………………………………………………………………………………………..23
Figure (II.12) : Image du motif de barres utilisé pour la détermination visuelle de la résolution spatiale
limite………………………………………………………………………………………………………….24
Figure (II.15) : Configuration à l'aide d'une chambre d'ionisation et d'un film auto-développant pour
déterminer la précision du compteur de produit kerma-aire………………………………………………....27
Figure (III. 2) : (a) appareil Samsung Armonicus (Samsung ELECTRONIQUE CO., LTD), (b) la gaine qui
constituée le tube et sont accessoires, (c) le détecteur et (d) la poste de commande ………………………..30
Figure (III.4) : (a) tube radiogène de marque I.A.E. SPA, (b) poste commande de marque MAGNUM
C……………………………………………………………………………………………………………...31
Figure (III.6) : les images obtenues après l’exposition par différentes énergie……………………………...32
Figure (III.7) : l’interface de logiciel image J………………………………………………..........................33
Figure (III.14) : (a) image radiographique (b) fixation de ROI a l’aide de logiciel image J…………………36
Figure (III. 16) : image radiographique d’une plaque d’aluminium percée à des trous de différente
taille…………………………………………………………………………………………………………..37
Figure (III. 19) : les images obtenues par l’exposition de différentes épaisseurs……………………………39
Figure (III. 20) : les épaisseurs an aluminium sur le détecteur de l’appareil radiographique..........................39
Figure (III.21) : les images d’exposition : (a) 40kvp, (b) 60kvp, (c) 80kvp, (d) 100kvp et (e)
120kvp………………………………………………………………………………………..........................40
Figure (III.22) : à l’aide du logiciel image J (a) ROI de la plaque et (b) ROI hors les plaques……………...40
Figure (III.24) : la géométrie d’un tube à RX avec un atténuateur suivant l’axe Y avec atténuateur..............42
Figure (III.25) : Résultats de la simulation obtenus par le programme PENMAIN d’un tube à RX………...42
Figure (VI.2) : les courbes des faibles densités en fonction d’intensité transmise ………….........................45
Figure (VI.3) : les courbes des fortes densités en fonction d’intensité transmise …………………………...46
Figure (VI.5) : (a) la détermination d’une ligne passant sur la 1er et le 4eme trou, (b) pour le 2eme et le 3eme
trou …………………………………………………………………………………………………………..48
Figure (VI.6) : (a) : la courbe LSF du 1er et 4eme trou, (b) : la courbe LSF du 2er et 3eme
trou…………………………………………………………………………………………………………...49
Figure (VI.7) : la courbe MTF de la courbe LSF pour le 1er appareil ………………………………………50
Figure (VI.8) : (a) : la courbe LSF du 1er et 4eme trou, (b) : la courbe LSF du 2er et 3eme
trou…………………………………………………………………………………………………………...50
Figure (VI.11) : la courbe de la variation d’Itr/I0 en fonction de Kvp pour chaque épaisseur par l’étude
expérimentale du 1er appareil………………………………………………………………………………...54
Figure (VI.12) : la courbe de la variation d’I0/Itr en fonction de Kvp pour chaque épaisseur par l’étude
expérimentale du 2eme appareil ……………………………………………………………………………..54
Figure (VI.13) : la courbe de la variation d’Itr/I0 en fonction de Kvp pour chaque épaisseur par l’étude de
Monté Carlo ………………………………………………………………………………………………….55
Liste des tableaux
Chapitre III : Matériels et méthodes
Tableau (III.1) : les densités de différents matériaux……………………………………...............................32
Tableau (VI.2) : les valeurs des niveaux de gris du ROI fixé pour les densités élevées ………………….....46
Tableau (VI.3) : les résultats de test contraste pour la 1ère méthode ………………………………………..47
Tableau (VI.4) : les résultats de test de contraste pour la 1er méthodes ………………….............................47
Tableau (VI.5) : les résultats de test de linéarité pour le 1er appareil …………………….............................47
Tableau (VI.7) : les résultats de test de la résolution spatial pour le 1er appareil ………..............................49
Tableau (VI.8) : les résultats de test de la résolution spatial pour le 2eme appareil…………………………51
Tableau (VI.9) : les résultats du test de l’uniformité de l’image pour la 1er appareil………………………53
Tableau (VI.10): les résultats du test de l’uniformité de l’image pour le 2eme appareil……………………53
Tableau (VI .11) : les résultats de test de l’homogénéité du faisceau pour le 1er appareil.............................53
Tableau (VI .12) : les résultats de test de l’homogénéité du faisceau pour le 2eme appareil.. ……………...53
Liste des abréviations
DR : digitale radiology
KV : kilo volte
mm : millimètre
RX : rayon x
I0 : intensité incidente
Introduction générale
Introduction
La radiologie est une technique d’imagerie médicale qui utilisant les rayons x
Finalement nous avons clôturés notre mémoire par une conclusion générale.
1
Chapitre I :
Généralité en radiologie
Chapitre I : Généralité en radiologie
I.2. Historique
Au début d’octobre 1895 Wilhelm Conard Röntgen commence des expériences avec le tube de
Crooks sous vide poussé excité par une bobine d’induction Ruhmkorff alimentée par une batterie
d’accumulateurs et susceptible De donner des étincelles longes d’environ 10 à 15 cm. un mois plus
tard, au cours de ces expériences, il remarque un phénomène étrange. Lorsque le courant passe à
travers le tube, recouvert d’un papier noir est placé dans une pièce complètement obscure, un petit
écran recouvert de BaPt (CN)4, placé au voisinage, présente une nette fluorescence.
Il finit par établir que la sortie de ces faits réside dans une nouvelle sorte des rayons invisible, émis
par le tube, aux quelle il donna le nom de « rayon X »
La première image radiographique obtenue au moyen des rayons X était un cliché de la main d’Anna
Bertha. (1)
Les rayons X sont des photons, à savoir des objets électromagnétiques dépourvus de masse de
même nature que la lumière, les ondes radio, … (Voir ci-dessous le "spectre
électromagnétique"). Les photons se comportent tantôt comme une onde, tantôt comme des
corpuscules ; on dit qu'ils possèdent une "double nature", ondulatoire et corpusculaire, et par là on
entend que selon le phénomène étudié nous devons faire appel à un modèle ou à l'autre. Par exemple,
les phénomènes d'interférence ne se comprennent qu'en y voyant des ondes, alors que l'effet
photoélectrique ne peut se décrire qu'en termes de particules. (3)
2
Chapitre I : Généralité en radiologie
Les rayons x sont produit dans des tubes à rayons x « tube de Coolidge » de sorte que les
électrons émis par la cathode, et il s’agit d’un filament en tungstène, émet par effet
thermoélectronique, des électrons qui sont projetés sur l’anode., sont accélérés par une différence de
potentiel élevée (de 10 à 150KV) il se dirige vers une anode en tungstène, les rayons x sont émis par
la cible selon deux mécanismes :
•Le freinage des électrons par les atomes de la cible crée un rayonnement de freinage
bremssrtahlung continu, dont une partie dans le domaine des rayons x :
•Les électrons accélérés ont de la cible, ces atomes excités émettent des rayons x en retournant à
leur état fondamental
I.4. Radiographie
La radiologie permet l'exploration des structures anatomiques internes à l'aide d’images fournies
par un faisceau de rayons X traversant le sujet. Elle a un intérêt diagnostic de premier plan dans de
nombreux domaines de la médecine malgré l'apparition de nouvelles techniques non invasives
comme l’imagerie par résonance magnétique (IRM), la tomodensitométrie ou scanner (TDM), ou
encore l’échographie. Elle nécessite une table télécommandée, un pupitre de commande et une
source de rayons X associée à un détecteur. Le patient est placé entre la source (tube à rayons X) et
un capteur plan numérique. Selon la nature des tissus traversés, les rayons X seront plus ou moins
atténués et donneront au final une image radiologique contrastée (plus de 4 000 niveaux de gris
différents). (6)
3
Chapitre I : Généralité en radiologie
Le tube à rayons x est constitué d’une enveloppe en verre Pyrex à l’intérieur de laquelle est créé un
vide le plus complet possible. Le tube contient deux électrodes (ce qui lui confère les propriétés
d’une diode). Ces électrodes sont disposées de telle sorte que les électrons produits à la cathode (pole
négatif ou filament) peuvent être accélérés par très haute différence de potentiel vers l’anode
(électrode positive ou cible) (4)
(a) (b)
Figure (I.5) : les tubes radiogène (a) tubes à cathode chaude et anode fixe, (b) tube à cathode
chaude + anode tournante(2)
4
Chapitre I : Généralité en radiologie
I.5.1. Cathode
Dans la plupart des appareils, la cathode est composée de deux filament de taille différentes. Le
grand filament permit d’augmenter le flux d’électron d’où la production des rayons x quant au petit
filament .il permet de concentrer un faisceau d’électron plus faible sur une petite surface de l’anode,
améliorant la qualité de l’image
I.5.2. Anode
Les appareils équipés d’anode tournante sont de puissance de l’ordre de 15 à 20 KW. Dans les
tubes à anode tournante, le corps de l’anode en cuivre se termine par un disque de carbone recouvert
d’une couche avec un alliage de tungstène et de rhénium. Le tungstène est la principale production
de rayon x, alors que le rhénium est un bon conducteur de chaleur permettant de refroidir l'anode (5)
5
Chapitre I : Généralité en radiologie
Le tube de Crookes est historiquement le premier tube à rayons X il fut inventé par William
Crookes il s’agissait à l’origine de provoquer une fluorescence lumineuse de minéraux le tube de
Crookes est encore appelé tube à décharge tube à gaz ou tube a cathode froide. (7)
Ce tube est simplement une ampoule de verre comportant deux électrodes à ses extrémités égale
une cathode métallique. En aluminium, et une anode, qui sert de cible aux électrons On fait le vide
dans le tube mais il reste une pression d'air résiduelle de l'ordre de 100 Pa (environ un millième
d'atmosphère).
Une bobine d'induction est utilisée pour fournir une haute tension électrique entre anode et cathode
Il se produit alors une ionisation de l’air résiduel contenu dans le tube Comme dans une pile, les ions
positifs attirés par la cathode. Qu’ils créent sont heurtent en arrachant d'autres électrons, au métal de
la cathode, eux-mêmes attirés par l'anode : avant la découverte de l'électron on appelait "rayons
cathodiques (9)
Le tube de Coolidge, encore appelé tube à cathode chaude, est le tube le plus largement utilisé.
C’est un tube sous vide poussé (env. 10-4 Pa, env. 10-6 torr), recouvert d'une enceinte plombée.
Dans le tube de Coolidge, les électrons sont émis par un filament de tungstène chauffé par un
courant électrique. Le filament constitue la cathode du tube. La haute tension est établie entre la
cathode et l'anode, ce qui accélère les électrons émis par le filament. Ces électrons viennent frapper
l’anode. (10)
6
Chapitre I : Généralité en radiologie
Figure (I.9) : Tube de Coolidge (11) Figure (I.10) : Schéma d'un Tube de Coolidge (10)
Plaque de tungstène sertie dans un cylindre de cuivre biseauté et placée en face de la cathode pour
être frappée par le faisceau électronique. Le cylindre de cuivre se prolonge à l'extérieur du tube en
verre par un radiateur pour assurer l'évacuation de la chaleur (12)
L’anode tournante Disque de forme tronconique aplatie, épais de quelques millimètres, tournant en
regard de la cathode : le faisceau d'électrons le frappe sur sa partie périphérique, piste d'anode en
tungstène en bloc massif, ou au contraire association composite, de graphite ou molybdène ; dont
l'orientation est oblique par rapport au faisceau d’électrons. (13)
7
Chapitre I : Généralité en radiologie
Figure (I.12) : Schémas du tube à anode tournante et la Figure (I.13) : les composantes d’un
piste anodique 1 : disque anodique 2 : rotor 3 : axe de disque anodique 1 tungstène 2 alliage
rotation de l’anode 4 segment d’axe intermédiaire en tungstène rhénium 3 alliage tungstène
molybdène 5 roulement à billes ou cylindre de glissement zirconium molybdène (4)
rainure hélicoïdale (4)
• Son intérêt est de permettre un renouvellement constant de la surface de l’anode placée sous
l’impact du faisceau d’électron. (14)
8
Chapitre I : Généralité en radiologie
I.5.4.1.1. Foyer
Le foyer est la surface de l'anode frappée par les électrons accélérés par la différence de potentiel.
C’est le lieu de formation des rayonnements X. La taille
Du foyer est un élément dans la finesse de l’image radiographique. Pour toute anode, le foyer ou la
cible électronique doit supporter :
• Une température élevée (1000 à 1500°C) puisque l’énergie en jeu pour chaque cliché est très
importante.
• Les changements thermiques brutaux lors de l’utilisation qui ne dure qu’une fraction de
seconde pour une puissance élevée.
On décrit trois types de foyers qui correspondent à des aspects différents de la zone émissive de
rayonnement X :
✓ Foyer thermique : zone sur laquelle le faisceau électronique se répartit en réalité sur
l'anode tournante et qui est échauffée.
Au niveau de l’anode fixe, la surface de l'anode frappée par les électrons, ou foyer électronique est
rectangulaire. Il est à noter que toute cette surface est le siège d'un important dégagement de chaleur :
le foyer thermique correspond au foyer électronique.
Figure (I.14) : Schéma des différents foyers d’une anode fixe (13)
9
Chapitre I : Généralité en radiologie
Elle détermine l’accélération des électrons donnés l’énergie des rayons X produits. Elle est
exprimée en kilovolts (kV).
I.5.4.2.2. La puissance
Pour le tube à rayon x, c'est le produit de la haute tension (kV) par l'intensité (mA) qui passe par le
faisceau électronique de cathode vers l’anode. L’unité de puissance est le watt (W), elle est donnée
par (15) :
P électrique = U×I
P rayonné = K×I×Z×U2
Avec :
U: tension accélératrice.
On peut alors définir le rendement R du tube, qui en réalité, est toujours très faible (de l'ordre de
quelque %) : (16)
La capacité thermique maximale d'un tube correspond à l'énergie absorbée amenant l'anode de la
température ambiante à sa température maximale. Elle est exprimée en Joules ou en US (Unité
calorifique = 0,7 Joules). (16)
10
Chapitre I : Généralité en radiologie
Le tube à RX, pour des raisons des sécurités, est installé à l’intérieur d’une gaine qui le fixe
mécaniquement avec précision pour définir un axe du faisceau X précise et permettre la fixation du
collimateur.
La gaine permet une isolation électrique du tube et elle relie à la terre : elle facilité le raccordement
des câbles haute tension blindés pour l’anode et la cathode.
L’isolant utilisé est de l’huile de haute qualité qui doit aussi évacuer les calories de l’anode vers la
gaine. (17)
Figure (I.15) : schéma d’un tube à une anode tournante dans sa gaine plombée (4)
11
Chapitre I : Généralité en radiologie
L’élimination par la filtration additionnelle des photons X de faible énergie du spectre de freinage est
un élément essentiel tant pour la radioprotection de patients que pour la qualité de l’image, elle est
obtenue par l’interposition d’un assemblage de filtre métallique sue la fenêtre de sortie des photons
X au niveau de la gaine.
I.5.5.3. Diaphragme
Il est solidaire à la fenêtre à l’extérieur de la gaine permettant de varie son ouverture. On à deux
types :
L’atténuation des RX par la matière organique varie en fonction de l’épaisseur des objets de leurs
compositions physiques et chimiques et de l’énergie incidente de RX ; elle est augmentée par
l’augmentation de la densité et de l’épaisseur des organes.
12
Chapitre I : Généralité en radiologie
Figure (I.18) : formation d’image radiante et sa transformation es image lumineuse par un film
photographique (20)
Est la distribution d’intensité dans une section droite du faisceau de RX transmis. Cette image
radiante est reçue par le détecteur (film photographique, écran luminescent, détecteur électronique).
Dont le rôle est de la transformer en une image visible par l’observateur, un milieu peu atténuant
comme les poumons crée une zone de forte intensité dans l’image radiante ; ce qui se traduit par une
tache sombre sur un film.
A l’inverse un milieu fort atténuant comme l’os crée une zone peu intense du l’image radiante ce qui
correspond à une tache claire sur le film. (20)
La qualité d’image radiologique dépend de manier importante d’un paramètre appelé contraste.
C= (I1-I2) / (I1+I2)
13
Chapitre I : Généralité en radiologie
Figure (I.19) : le contraste induit par une structure (air, os) augmente avec (a) la différence
d’atténuation de cette structure par rapport au milieu environnant, (b) l’épaisseur de cette structure.
Le même coefficient d’atténuation que le milieu environnant (cas de l’eau et du muscle
14
Chapitre II :
Protocole de contrôle de qualité
Chapitre II : Protocole de contrôle de qualité
• De vérifier que les exigences de qualité sont respectées, d’ajuster et de corriger les
performances initiales en cas de dérive. (23)
15
Chapitre II : Protocole de contrôle de qualité
Ces avantages pouvant être énuméré comme suit : dose réduite ; dépense limites ; diagnostique
amélioré. (26)
• Des plaques d’aluminium : De pureté d’au moins 99% et d’épaisseur 1 et 2 mm avec une
précision de 0,1 mm
16
Chapitre II : Protocole de contrôle de qualité
• Le dosimètre : Permet de mesurer la dose et le débit de Kerma dans l’air avec une précision
de 5%.
17
Chapitre II : Protocole de contrôle de qualité
• Un Voltmètre
Procédure :
• Brancher un des fils du voltmètre au neutre de l’alimentation et le second fil à une phase et
lire la tension.
• Brancher les deux fils du voltmètre entre les phases deux à deux et lire la tension.
Tolérances :
• 220V+ou-5% entre phase et neutre.
• 380V+ou-5% entre deux phases
Périodicité :
• Semestrielle
18
Chapitre II : Protocole de contrôle de qualité
II.6.2.2. Tubes à RX :
II.6.2.2.1. Alignement et centrage de faisceau de rayons X : (28)
Objectif :
• Est de s’assurer la coïncidence de champ lumineux colmaté avec le champ des rayons X
Matériels utilisés :
• Une mire appropriée pour l’alignement du faisceau de rayon x et de la lumière
• Un cylindre avec un atténuateur en son centre pour le centrage
Procédure :
Pour le centrage
a) Placez le récepteur d’image sur une surface plan et réglez l’axe de tube être
perpendiculaire à l’image, SID=100cm
b) Positionnez l’objet à tester sur le détecteur d’image avec le cylindre dans le centre de
réticule de faisceau lumineux
c) Utilisez le champ lumineux et les marqueurs sur l’objet de test pour une précision
d’alignement sur le terrain
d) Faire une exposition et utiliser les paramètres d’exposition 50 KV et 3 mAs
Pour l’alignement
a) Les mêmes conditions initiales de positionnement de test précédent
b) Collimaté le champ lumineux à un petit taille sur le détecteur d’image (par exemple 20
cm × 20 cm).la zone de récepteur d’image doit être supérieur au champ lumineux
c) Placez les marqueurs métalliques (des pièces de monnaie) à chaque bord de champ
lumineux ; marquez avec de ses pièces les coins de champ lumineux
d) Faire une exposition de 50 KV et 3 mAs
19
Chapitre II : Protocole de contrôle de qualité
(a) (b)
Figure (II.7) : (a) l’alignement et centrage, (b) l’utilisation des marquer avec des pièces de monnaie
(28)
Tolérance :
• Alignement : la déviation du champ de rayon x par rapport au champ lumineux < 2%
• Centrage : la coïncidence de réticule de faisceau lumineux de collimateur avec le centre
de faisceau de rayon x doit être < 1%
Fréquence :
Répétez le test tous les trois à six mois.
Procédure :
20
Chapitre II : Protocole de contrôle de qualité
a) Placez le récepteur d’image sur une surface plan et réglez l’axe de tube être perpendiculaire à
l’image, SID=100cm
b) Collimaté le champ lumineux à une petite taille sur le détecteur d’image
c) Utilisez le mode d'exposition manuel et sélectionnez 80 kV
Tolérance
• Les écarts doivent se situer à ± 20 % de la ligne de base déterminée pendant mise en service
comme niveau correctif et ± 50 % comme niveau de suspension
Fréquence
Le test est répété chaque année %
21
Chapitre II : Protocole de contrôle de qualité
22
Chapitre II : Protocole de contrôle de qualité
Figure (II.11) : Images d'une mire à faible contraste : (a) fantôme ; (b) image radiographique. (28)
Procédure :
a) Placez l’objet de tests à faible contraste sur la table aussi près que possible de récepteur
d’image.
b) Régler une distance de ma tâche focale au récepteur d’image d’environ 100cm.
c) Collimater le faisceau de RX pour couvrir l’ensemble de l’objet à tester.
d) Placez la plaque de cuivre sur l’ensemble de tube.
e) Effectuer une exposition conformément aux spécifications du fabricant de l’objet à tester, on
utiliser les paramètres déterminés lors mise en service.
Tolérance :
• Selon l’objet de test utilisé, la tolérance par rapport à la valeur de référence, doit être décidé
et proposé par le physicien médical en collaboration avec le radiologue.
Fréquence :
23
Chapitre II : Protocole de contrôle de qualité
Matériels utilisés :
Figure (II.12) : Image du motif de barres utilisé pour la détermination visuelle de la résolution
spatiale limite. (28)
Procédure :
•
Il ne devrait y avoir aucun changement dans la résolution spatiale par rapport à la ligne de
base.
Fréquence :
Matériels utilisés :
24
Chapitre II : Protocole de contrôle de qualité
Procédure :
• Aucun artéfact visible ou aucune zone grossièrement inhomogène ne doit être observable.
Fréquence :
Matériels utilisés :
• Fantôme
• Dosimètre
25
Chapitre II : Protocole de contrôle de qualité
Procédure :
a) Une cellule réceptrice de la table devra être sélectionnée sur le poste de commande, le
fantôme est ensuite exposé aux rayons X.
b) Si le dispositif possède plusieurs cellules réceptrices, l'exposition est se fait
simultanément.
Tolérance :
II.6.2.5. Radioprotection :
II.6.2.5.1. Correspondance produit kerma surface (28)
Objectif :
• ce test est effectué pour garantie la précision du compteur KAP, qui donne une indication de
la dose d’entrée au patient.
Matériels utilisés.
26
Chapitre II : Protocole de contrôle de qualité
• Règle à mesure.
• Plaque de plombe si le récepteur d’image n’est pas amovible.
Procédure :
a) Retirez le récepteur d'image ou recouvrez-le d'une plaque de plomb s'il n'est pas
amovible.
b) Placez l'instrument de référence sur l'axe central du faisceau de rayons X à au moins
20 cm au-dessus du canapé (table) pour éviter l'influence du rayonnement rétrodiffusé.
Un bloc de mousse de polystyrène extrudé sur un support/support peut être utilisé pour
supporter l'instrument.
c) Collimater le faisceau de rayons X de sorte qu'il couvre une zone d'environ 10 cm × 10
cm sur la zone sensible de l'instrument de référence. Ne modifiez pas la taille du
champ tout au long de cette mesure.
d) Faites des expositions manuelles, en irradiant simultanément l'instrument de référence
et le compteur KAP en utilisant des combinaisons de tension de tube et de filtration
totale qui sont généralement utilisées dans les applications cliniques.
e) Placer un fantôme sous l'instrument de référence pour obtenir un taux d'exposition plus
élevé. La rétrodiffusion doit être
f) Enregistrer les mesures du compteur KAP et celles obtenues par l'instrument de
référence.
g) Retirez l'instrument de référence et placez un récepteur d'image approprié
perpendiculairement à l'axe central du faisceau de rayons X à la même distance de la
tache focale.
h) Exposez le récepteur d'image pour déterminer la taille du champ, en utilisant des
paramètres d'exposition faibles (par exemple 50 kV et 4 mA · s).
Tolérances :
• On s'attend à ce que l'incertitude du compteur KAP ne soit pas supérieure à ± 25% [10].
Si le système dispose d'un indicateur au lieu d'un compteur KAP individuel, sa précision
doit être meilleure que ± 35 %.
Fréquence :
27
Chapitre II : Protocole de contrôle de qualité
Objective :
• Le contrôle de CDA a pour but de vérifier la qualité du spectre du rayonnement (cutoff the
low energy components from X-rays beam), pour rappel un faisceau de rayons X non ou mal
filtré ne bloque pas les photons de basse énergie.
Matériels utilises :
• Un dosimètre ainsi qu’un jeu de plaques d’aluminium sont nécessaires pour
effectuer le contrôle de CDA
Procédure :
a) Deux mesures seront effectuées avec le dosimètre à 70KV avec une charge comprise entre 40
et 80 mAs. Une moyenne sera obtenue avec les deux valeurs relevées sur le dosimètre.
b) Une nouvelle exposition devra être réalisée à une distance d’au moins 10cm du capteur, en
interposant une ou plusieurs plaques d’aluminium.
La valeur mesurée en sortie doit être équivalente à la moitié de la valeur moyenne obtenue
précédemment. Afin de se rapprocher de cette valeur, il faudra augmenter ou diminuer le
nombre de plaques d’aluminium interposées.
La valeur de la CDA présente sur le dispositif est retrouvée par interpolation semi-
logarithmique.
Tolérances :
• La CDA doit être supérieure ou égale à 2,3 mm d’aluminium. En cas de valeur inférieure, le
dispositif nécessite une remise en conformité.
Fréquence :
annuelle
28
Chapitre III :
Matériels et méthodes
Chapitre III : Matériels et Methods
Pour effectuer un contrôle de qualité en radiologie, des protocoles spécifiques doivent être suivis. Ceux -ci
incluent les protocoles de l'Agence internationale de l'énergie atomique IAEA, qui sont respectés au
niveau international. Le problème dans nos services de radiologie est que nous n'avons pas le matériel
nécessaire pour réaliser les tests de ce protocole.
Par conséquent, nous avons essayé de trouver des solutions à ce problème en proposant un protocole de
contrôle de qualité basant sur l’utilisation de système de détection de l'appareil radiologique. Pour la
validation du protocole proposé, nous avons utilisé la simulation Monte-Carlo ainsi que de faire des
mesures afin d’évaluer les performances des appareils radiologique installé dans les deux services
suivants :
III.1. Matériels
Nous avons essayé de faire le contrôle de qualité pour deux appareils. La première est de type Samsung
Armonicus (Samsung ELECTRONIQUE CO., LTD). Installés au niveau du service d’imagerie médicale
du CHU (centre hospitalier universitaire) Saadna (Voir figure III.1).
La deuxième est de type IAE installée au niveau du service de radiologie de l’établissement : Service de
radiologie de l'hôpital Shaghab Abdullah - Ain El Kbira – de la marque I.A.E.SPA (poste commande de
marque MAGNUM C).
29
Chapitre III : Matériels et Methods
Est un système efficace, à la pointe de la technologie, qui intègre toutes les options des produits DR et offre
sa grande efficacité à tous les services de radiologie.
Doté d'un ensemble colonne-bras en U flexible et redessiné avec élégance, Armonicus peut être choisi avec
un capteur plan numérique fixe ou sans fil et peut être personnalisé en large offre de tous ses principaux
composants, des générateurs, collimateurs aux tubes à rayons X.
Une large gamme de tubes à rayons X et de générateurs est disponible pour satisfaire tout type de besoin
diagnostic.
Figure (III.2) : (a) appareil Samsung Armonicus (Samsung ELECTRONIQUE CO., LTD), (b) la gaine
qui constituée le tube et sont accessoires, (c) le détecteur et (d) la poste de commande
• Technologie : numérique
• L’anode : tungstène
30
Chapitre III : Matériels et Methods
(a) (b)
Figure (III.4) : (a) tube radiogène de marque I.A.E. SPA, (b)poste commande de marque MAGNUM C
III.2. Méthodes
Pour vérifie le contraste de l’image nous avons utilisé un ensemble des matériaux de densités différentes
(voir la figure III. 5) et on a fait quatre exposition (40 .50 .70 .100 Kvp)
31
Chapitre III : Matériels et Methods
Matériaux La densité
Chaux 2.32
Chaux+ eau 3.32
Alun 1.725
Crème fraiche 1.554
Aire 0
Eau 1
Glucose 1.56
Maile 1.404
Café 0.04004
Graisse de voiture 0.87
Tableau (III.1) : les densités de différents matériaux
Nous avons placé le tube à une distance de 100 cm et la taille du faisceau de rayons X doit être le plus grand
possible pour couvrir l'ensemble de l'objet à tester et ensuite nous avons mis les matériaux sur le détecteur et
on a fait quatre exposition (40 .50 .70 .100 Kvp).
Figure (III.6) : les image obtenues après l’exposition par différentes énergie
On fixe la région d’intérêt dans les différentes images à l’aide du logiciel image J, puis on extraire la valeur
de niveau de gri du cette dernière.
32
Chapitre III : Matériels et Methods
Pour réaliser ce teste on a préparé une plaque de polyméthacrylate de méthyle (PMMA) a été préparée
au niveau du laboratoire de chimie de la Faculté des sciences de l’université Ferhat Abbas-Sétif, Comme
représente également dans la figure suivante Figure (III.7).
Ceci est fait en utilisant des grains de PMMA qui sont dissous dans le solvant THF, puis nous vidons la
solution dans une boite de pétrie et laissons la solution évaporer le THF et précipiter le PMMA sous la
forme d’une plaque plate
33
Chapitre III : Matériels et Methods
Après la préparation de la plaque, nous avons suivi les étapes suivantes pour réaliser le teste :
• SID = 100 cm, nous définissons la taille du faisceau le plus grande que possible.
• On met la plaque sur le détecteur de l’appareille.
• Nous avons fait une exposition en utilisant les paramètres suivante 80 Kvp et 2mAs.
34
Chapitre III : Matériels et Methods
Procédure :
35
Chapitre III : Matériels et Methods
La linéarité est essentielle pour l’évaluation correcte de l’image radiographique donc dans ce test on a
vérifié qu’il y a une relation linaire entre la sortie de rayonnement de tube et le courant au le temps
d’exposition sélectionné par la poste de commande.
Courant Temps
400 8
320 10
200 16
180 18
100 32
Tableau (III.2) :la combinaison entre les valeurs de courant et le temps.
D’abord nous avons réglé la distance entre la cassette et la source 100 cm. Et à partir de la poste commande
nous avons sélectionné 80 kV et 3.2 mAs constant, ensuite nous avons réalisé 5 expositions successives avec
la variation de l’ampérage à condition de choisir des combinaisons d’intensité et de temps d’irradiation
conduisant à un même niveau de gris sur l’image voire tableau (III .2).
• Exporter l’image dans un logiciel d’analyse de ROI (voir Figure (II.14)) et appliquer le modèle des
ROIS décrit aux (Figure II. 14) pour extraire les valeurs aux niveaux de gris.
(a) (b)
Figure (III.14) : (a) image radiographique (b) fixation de ROI a l’aide de logiciel image J
La résolution spatiale définit la dimension minimale dont un objet doit être doté pour pouvoir être détecté.
La technique utilisée pour déterminer la résolution spatiale est la méthode basée sur l’image d’une plaque
d’aluminium qui contient 4 inserts de différentes épaisseurs. La résolution spatiale est donnée par le
diamètre du plus petit trou ou de la plus petite dimension visible en mm en appliquant la transformée de
Fourier pour déterminer la FTM (Modulation Transfer Fonction) du système d’imagerie. Cette fonction
36
Chapitre III : Matériels et Methods
mathématique est considérée comme une mesure de transfert de l’information de l’état d’objets à l’état
d’images.
Figure (III.16) : image radiographique d’une plaque d’aluminium percée à des trous de différente taille.
37
Chapitre III : Matériels et Methods
Pour évaluer le CDA, on a utilisé un jeu de feuilles d’aluminium d’épaisseur différentes représenté dans la
Figure III. 17. (1mm jusqu’à 6mm), et à chaque fois on a fait l’exposition au rayons X avec une énergie
70KVP et on extrait les images résultantes.
Après les images obtenues et à l’aide du logiciel imageJ on a fixé une région d’intérêt, pour avoir les
rapports de It/I0 de chaque image pour déterminer le CDA.
38
Chapitre III : Matériels et Methods
Ce test est effectué par le KVP mètre, mais comme il n’est pas disponible, on a essayé de proposer une
méthode utilisant basant sur la mesure du rapport entre l’intensité transmise par une plaque d’aluminium et
l’intensité incidente.
Afin de vérifier qu’il existe une corrélation entre le rapport d’intensité transmise sur l’intensité incidente
avec le KVP, nous avons procéder comme suit :
Nous avons pris plusieurs plaques d’aluminium d’épaisseurs différentes de 1mm à 6mm et les avons placées
sur le détecteur, et à la poste de commande ont sélectionné cinq KVP (40 60 80 100 et 120) et enregistré les
images d’expositions résultantes.
39
Chapitre III : Matériels et Methods
(d) (e)
Figure (III.21) : les images d’exposition : (a) 40kvp, (b) 60kvp, (c) 80kvp, (d) 100kvp et (e) 120kvp.
La deuxième étape consiste à l’aide du logiciel d’image J à extraire le ROI de chaque épaisseur et le ROI
moyenne hors la plaque pour chaque image.
(a) (b)
Figure (III.22) : à l’aide du logiciel imageJ : (a) ROI de la plaque et (b) ROI hors les plaques.
40
Chapitre III : Matériels et Methods
Afin de vérifier qu’il existe une corrélation entre le rapport de l’intensité transmise est l’intensité incidente
avec le KVP, nous avons utilisé le code Penelope pour faire la simulation de Monté Carlo.
La simulation Monte-Carlo est une autre méthode qui nous permet de caractériser le faisceau des rayons x,
on a utilisé le code PENELOPE pour effectuer cette méthode. Le choix du code PENELOPE est justifié par
les avantages qu'il offre, à savoir la précision de la simulation et la flexibilité du code.
La première étape : On a simulé le tube à rayons de l’appareil avec un filtre en aluminium de 1mm et entre
le tube et le détecteur on a ajouté un atténuateur d’aluminium et nous changeons l’énergie de 40KeV jusqu’à
120 KeV, et pour chaque énergie. Avec un atténuateur de plusieurs épaisseurs de 1mm jusqu’à 6mm, pour
extraire l’intensité transmisse.
La deuxième étape : on a fait cinq simulations par cinq énergies mais dans ce cas sans atténuateur et extrait
l’intensité incidente, c’est pour voire le rapport de It/I0.
41
Chapitre III : Matériels et Methods
Figure (III.24) : la géométrie d’un tube à RX avec un atténuateur suivant l’axe Y avec atténuateur.
Après avoir fait plus de 107 simulations, le programme PENMAIN génère un ensemble de fichiers de ce
type Fichier. DAT tels que : - Penmain-res.dat qui contient tous les principaux paramètres concernant la
simulation dont les paramètres sont représentés dans la figure (II-27) :
Figure (III.25) : Résultats de la simulation obtenus par le programme PENMAIN d’un tube à RX.
42
Chapitre III : Matériels et Methods
Dans cette figure-là (III.25), nous avons prés l’exemple de kvp 120 keV La dose déposée dans le body 3
comme il montre la figure (III.25) est égale 4.365487E+01.
43
Chapitre VI :
Résultats et discutions
Chapitre VI : Résultats et discutions
Ce chapitre reprend les résultats des tests que nous avons réalisés de diverses méthodes au niveau
des deux appareils : Samsung ELECTRONIQUE CO., LTD dans le Service d'imagerie médicale
du CHU (centre hospitalier universitaire) SaadnaAbd El nour-Setif, la deuxième de la marque
IAE Service de radiologie de l'hôpital Chaghoub Abdullah - Ain El Kbira.
Après avoir obtenu les images résultantes de l’exposition et en utilisant le logiciel image J (voire la
figure VI.1) nous avons pu d’évaluer l’intensité transmise par chaque matériau par la détermination
du niveau de gris en sélectionnant une région d’intérêt (ROI).
Nous avons subdivisé les densités en deux intervalle, bas et haut contraste, Puis nous avons tracé la
courbe de niveau de gris en fonction de la densité pour les différentes énergies (figure (VI.2) et
(VI.3)).
En premier temps nous avons essayé d’exprimer le contraste par la pente de la courbe exprimant
l’intensité transmise en fonction de la densité.
Tableau (VI.1) : les valeurs des niveaux de gris en fonction de la densité pour faible contraste
44
Chapitre VI : Résultats et discutions
145
40kvp 50kvp
140
180
135
130
160 125
120
115
140
110
105
120 100
95
90
100
85
80
80 75
0,0 0,2 0,4 0,6 0,8 1,0 1,2 0,0 0,5 1,0
Densité Densité
(a)
(b)
160
70kvp 150kvp
155 32
l'inverse de l'intensité transmisse
l'inverse de l'intensité transmisse
150
145
30
140
135
28
130
125
120 26
115
110
24
105
0,0 0,5 1,0 0,0 0,5 1,0
Densité
(c) Densité
(b)
Figure (VI.2): les courbes exprimant l’intensité transmise en fonction de la densité pour faible
contraste.
Tableau (VI.2) : les valeurs des niveaux de gris en fonction de la densité pour le contraste élevé
45
Chapitre VI : Résultats et discutions
260 300
40kvp 50kvp
240
l'inverse de l'intensité transmisse
200
200
180
150
160
100
140
120 50
1,0 1,2 1,4 1,6 1,8 1,0 1,2 1,4 1,6 1,8
Densité Densité
(a) (b)
260
70kvp 150kvp
240
l'inverse de l'intensité transmisse
l'inverse de l'intensité transmisse
220 200
200
180
160 100
140
120
100
1,2 1,4 1,6 1,2 1,4 1,6
Densité Densité
(c) (d)
Figure (VI.3): les courbes exprimant l’intensité transmise en fonction de la densité pour contraste
élevé.
Comme l’interpolation linéaire de l’intensité transmise en fonction de la densité n’est pas vérifier.
Pour cela on a pensé d’utiliser la relation suivante pour calculer le contraste au moyen d’intensités
maximale et minimale comme suit :
𝐈𝐦𝐚𝐱𝐢𝐦𝐚𝐥𝐞−𝐈𝐦𝐢𝐧𝐢𝐦𝐚𝐥𝐞
C=𝐈𝐦𝐚𝐱𝐢𝐦𝐚𝐥𝐞+𝐈𝐦𝐢𝐧𝐢𝐦𝐚𝐥𝐞
46
Chapitre VI : Résultats et discutions
Les résultats de contraste pour différentes KVP sont reportés dans le tableau (VI.4)
Nous remarquons qu’avec une augmentation de l’énergie d’exposition le contraste des faibles
densités diminue, contrairement à le contraste des fortes densités, elle augmente avec une
augmentation de l’énergie de l’exposition
Dans ce test, pour le premier appareil, nous avons constaté que l’intensité transmise reste inchangée.
Concernant le 2 eme appareil nous avons constaté que l’intensité transmise est variable.
47
Chapitre VI : Résultats et discutions
Dans ce test, le logiciel image J nous a permis d’extraire les courbe des niveaux de gris en fonction
des pixels ( PSF) qui sont représentée dans les figure (VI.5 , VI.6) puis nous avons calculer le
FWHM de chaque pics afin d’évaluer la résolution spatiale.
(a) (b)
Figure (VI.5) : (a) la détermination d’une ligne passant sur la 1er et le 4eme trou, (b) pour le 2eme et
le 3eme trou
48
Chapitre VI : Résultats et discutions
250 250
200 200
150 150
(a) (b)
Figure (VI.6): (a) : la courbe PSF du 1er et 4eme trou , (b) : la courbe PSF du 2eme et 3eme trou
FWHM des trous en pixel FWHM des trous en mm La taille des trous en réalité
10± 3 0.8 ±0.24 1.247±0.02
13± 3 1.04±0.24 1.246±0.02
19± 3 1.52±0.24 1.246±0.02
15± 3 1.2±0.24 1.37±0.02
Tableau (VI.7) : les résultats de test de la résolution spatial pour le 1er appareil
(10+13+19+15)/4=14.25 pixel
En utilisant la règle de trio, nous avons trouvé que la taille d’un pixel est : 0.08 mm
49
Chapitre VI : Résultats et discutions
ér
1 trou
émé
2 trou
MTF
éme
3 trou
éme
4 trou
100
0
0,0 0,2 0,4
Fréquence
Nous remarquons que les courbes pour chaque trou sont presque identiques, car les tailles des trous
sont presque égales.
250
les niveaux de gris
les niveaux de gris
200 200
150
100
100
0 50
0 100 200 300 0 100 200 300
la distance en pixel la distance en pixel
(a) (b)
Figure (VI.8) :(a) : la courbe LSF du 1er et 4eme trou , (b) : la courbe LSF du 2er et 3eme trou
50
Chapitre VI : Résultats et discutions
FWHM des trous en pixel FWHM des trous en mm La taille des trous en réalité
14 .5± 3 1.305±0.24 1.247±0.02
15.5± 3 1.395±0.24 1.246±0.02
15± 3 1.35±0.24 1.246±0.02
11± 3 0.99±0.24 1.37±0.02
Tableau (VI.7) : les résultats de test de la résolution spatial pour le 2eme appareil
(14.5+15.5+15+11)/4=14pixel
En utilisant la règle de trio, nous avons trouvé que la taille d’un pixel est : 0.1 mm
Et pour deuxième appareil la taille de pixel 0.1mm et la taille de petite trou 0.9mm donc la résolution
est moyenne
200
Amplitude
1er trou
2eme trou
3eme trou
4eme trou
100
0
0,0 0,2 0,4 0,6
Fréquence
On remarque que pour le deuxième appareil, les résultats étaient proches des résultats du premier
appareil.
Comme une autre méthode pour évaluer la résolution spatiale, il y a une courbe MTF de la courbe
LSF. Et comme on sait que la transformer de fourrier de la courbe LSF est une impulsion de Dirac,
donc à partir de la figure (VI.7), on remarque que le pic est très fin donc la résolution est bonne.
51
Chapitre VI : Résultats et discutions
Pour la deuxième appareil voire figure (VI.9) le pic un peu large donc la résolution n’est pas
vraiment bonne.
Après la préparation de la plaque de PMMA, nous l’avons exposée à l’infrarouge pour caractériser ce
polymère et nous avons obtenu la courbe suivante :
45
40
35
transmission %
30
25
20
15
10
-5
4000 3500 3000 2500 2000 1500 1000 500
D’une part, un pic intense (fort) qui apparait entre 3000-2850 cm-1 est attribué à la vibration
d’élongation de la liaison C-H des -CH2 et -CH3.
Un autre pic fort apparait dans la zone 1700-1800 cm-1 est attribué à la vibration d’élongation de la
liaison C=O (groupement caractéristique d’un ester).
L’existence d’un pic de moyenne intensité dans la zone 1300-1000 cm-1 prouvant la présence d’une
vibration déformation de la liaison C-C de la chaine du polymère. Ce pic de la liaison C-C est peut-
être chevauché avec celui montrant la vibration de déformation du groupement C-O d’un ester.
D’autre part, le pic fort qui apparait entre 1100-700 cm-1 est attribué à la vibration déformation de la
liaison C-H des -CH2 et -CH3. Par ailleurs, l’existence d’un pic dans l’intervalle 3450-3650 cm-1 se
référant à la présence des traces du solvant (THF : C4H8O) et des traces de l’eau (H2O) parce que
notre polymère est hydrophile. C’est à dire la présence des vibrations d’élongation de la liaison O-H.
52
Chapitre VI : Résultats et discutions
Après avoir calculé la moyenne des niveaux de gris au centre de l’image et la moyenne sur ses bords,
nous avons trouvé qu’elle avait presque la même valeur, ce qui indique que l’image est très uniforme
Pour le deuxième appareil, nous avons remarqué une petite différence entre la moyenne des niveaux
de gris dans le centre de l’image et celles dans le bords , et cela est probablement dû à la présence de
quelques rayures dans le détecteur
Dans ce test, nous avons suivi la même procédure que dans le test précédent mais sans plaque de
PMMA pour vérifier l’homogénéité du faisceau et les résultats sont présentés comme suit
Les résultats de ce test ont montré pour le faisceau de la premier appareil est plus homogène que le
faisceau du deuxième appareil
Le 1er appareil
Après avoir identifié la région d’intérêt et extrait l’intensité transmise pour chacune d’elles, nous
avons utilisé le logiciel origine, pour dessiner la courbe d’intensité transmise en fonction du KVP
pour chaque épaisseur (voir la figure VI .7)
53
Chapitre VI : Résultats et discutions
1,25
1,20
1,15
1,10
1,05
1,00
0,95
0,90
0,85
0,80
It/I0
0,75
0,70 1mm
0,65 2mm
0,60 3mm
4mm
0,55
5mm
0,50
0,45
0,40
0,35
0,30
0,25
40kvp 60kvp 80kvp 100kvp 120kvp
kvp
Figure (VI.11) : la courbe de la variation d’Itr/I0 en fonction de Kvp pour chaque épaisseur par
l’étude expérimentale du 1er appareil
1,2
1,0
0,8
0,6
It/I0
0,4
0,2
1mm
0,0 2mm
3mm
4mm
-0,2 5mm
-0,4
30 35 40 45 50 55 60 65 70 75 80 85 90 95 100105110115120
kvp
Figure (VI.12) : la courbe de la variation d’Itr/I0 en fonction de Kvp pour chaque épaisseur par
l’étude expérimentale du 2eme appareil
𝑰𝒕𝒓
D’après les courbes de la figure (VI.12) on constate que le rapport augment avec l’augmentation
𝑰𝟎
de KVP, ce qui montre une dépendance (corrélation) entre l’intensité transmise et le KVP.
Les courbes du rapport de l’intensité transmise sur l’intensité incidente peut etre utile ultérieurement
pour évaluer le KVP.
54
Chapitre VI : Résultats et discutions
0,65
0,60
0,55
0,50
0,45
0,40
It/I0
0,35
0,30
1mm
0,25 2mm
3mm
0,20
4mm
0,15 5mm
0,10
40kvp 60kvp 80kvp 100kvp 120kvp
kvp
Figure (VI.13): la courbe de la variation d’Itr/I0 en fonction de Kvp pour chaque épaisseur par
l’étude de Monté Carlo
On voit que la transmission augmente avec l’augmentation de l’énergie surtout pour les épaisseurs
élevées. Ce qui montre une corrélation entre le rapport (Itr/I0) et le KVP.
Comme il indique le rapport de la société française de physique médicale n˚21 du groupe de travail
dosimétrie des explorations diagnostiques en radiologie.
Ce rapport contient une expression mathématique simple qui combine entre le kerma dans l’air et le
Kvp, comme indiquée ci-dessous :
mAs 3 kvp
Kair(p) = DFPcm Fmm [100]2*0.1
55
Chapitre VI : Résultats et discutions
A partir de cette expression, nous avons fixé la charge du tube, distance foyer-point et la filtration,
pour qu’elle devienne comme ceci :
Kair=a [kvp]2
Ensuite, nous avons choisissons trois énergies, et grâce à la simulation de monté Carlo nous obtenons
le kerma et après cela nous établissons le rapport entre les trois kermas et les kvp.
Kvp (1) = 80 KV, kvp (2) = 100 KV, kvp (3) = 120KV
D’après les résultats obtenus, nous pouvons dire que l’expression précédente peut être prise comme
une méthode alternative afin de vérifier le kvp distribué par le tube à RX.
56
Conclusion
Dans ce travail, nous avons essayé de développer un protocole de contrôle de qualité pour le rendre
disponible dans tous les services, en utilisant uniquement l'image. Ce travail a été fait au niveau de deux de
deux services différents :
▪ Service d'imagerie médicale du CHU (centre hospitalier universitaire) Saadna Abd el Nour Sétif, qui
contient un appareil de radiographier de la marque Samsung.
▪ Service de radiologie de l'hôpital Shaghoub Abd el Allah - Ain El Kbira qui contient un appareil de
radiographier-de la Marque IAE.
Nous avons utilisé simulation de Monté Carlo pour valider les résultats dans le test de vérification de haute
tension (kvp pic kilo voltage).
Il y a aussi certaine testes que nous n'avons pas pu faire, car la période du stage n'était pas suffisante, et en
plus une utilisation fréquente et avec des charges et des énergies élevées peut endommager l'appareil.
Bibliographie
[1] W.C Röntgen et la découverte des rayons X par Jozef Hurwic p42 L’actualité chimique – Janvier 1980.
[3] https://www.phys4med.be/generalites-sur-les-rayons-x/nature-des-rayons-x
[4] Régent, D., et al. "Production des rayons X en imagerie par projection et en scanographie." EMC–Radiologie et
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[13]http://biblionumeric.epacuac.org:8080/jspui/bitstream/123456789/2013/1/Rapport%20DEGBOEVI%20Armande
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