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Mémoire de Master
Présenté par :
- AOUATI Youssef
Septembre 2015
Tout d’abord, Nous tenons à remercier DIEU le tout puissant qui
m’a donné la santé, le courage et la foi pour arriver à ce jour.
C’est avec un grand plaisir que je dédie ce travail fruit De mes études :
A Ma chère mère
Qui a veillé sur moi, qui se suis inquiété pour que je sois tranquille et s’est Privé
pour me satisfaire.
A tous mes amis(es) : hamza , ala ,le vert ,komik ,bouha ,la nuit ,rostom ,khaled
et wissem ,yara ,roka ,ilham ,ahlam ,hanane ,rima ,sisa et tous l’équipe
de chilla.
AOUATI Youssef
« Nous tenons à remercier notre dieu ALLAH le tout puissant de nous avoir
donné la force et le courage ».
C’est avec un grand plaisir que je dédie ce travail fruit De mes études :
Qui a veillé sur moi, qui se suis inquiété pour que je sois tranquille et s’est Privé
pour me satisfaire.
Qui me guide dans ma vie et que j’imite son honnêteté. son sérieux et sa responsabilité de
ces engagements
A mes frères : Chaouki, Mouad .
A ma sœur : Rayane
A tous mes amis(es) surtou : khabab Meriem et khattaf Sarah Qui m ont aider à
poursuivre ce modeste travail
A mon collègue et binôme : Youssef et sa famille
A Toute la famille Rahim et sayoud.
A Toute la promo de master 2 géotechnique 2014/2015
Résumé
Abstract
Most in situ geotechnical tests fail to identify directly constitutive parameters of soil
layers, and laboratory tests to give time for unreasonable values for the parameters
sought. The use of finite element calculations through digital models to design the
works is soo limited by the few knowledge of the mechanical properties of soils. The
objective of this work is to propose numerical models produced by finite element
software Plaxis to model the various geotechnical tests carried out either in the
laboratory or in situ and compare the results between the two methods. To do this, we
tried to model the oedometer tests and shear box for laboratory tests performed and the
pressuremeter test and the test load to the plate to those made in situ.
Key words : laboratory tests – in situ testes – modèlisation – plaxis – finite elements
ملخص
أكثش االخخباساث انديىحقُيت خاسج انًىقع حفشم في ححذيذ انًعهًاث انخأسيسيت يباششة يٍ طبقاث انخشبت،
وانفحىصاث انًخبشيت إلعطاء انىقج نقيى يعقىنت نهًعهًاث انًطهىبت.إٌ اسخخذاو حساباث انعُاصش انًحذودة يٍ
خالل انًُارج انشقًيت نخصًيى أعًال بانخاني يحذودة بسبب قهت انًعشفت يٍ انخىاص انًيكاَيكيت نهخشبت .وانهذف
نًُىرج " Plaxisبالكسيس " يٍ هزا انعًم هى اقخشاذ انًُارج انعذديت انخي حُخدها انبشايح "عُصش يحذود
يخخهف االخخباساث انديىحقُيت انخي أخشيج سىاء في انًخخبش أو في انًىقع ويقاسَت انُخائح بيٍ انطشيقخيٍ
نهقياو بزنك ،حاونُا أٌ َضع ًَىرج االخخباساث وحًم االخخباس إنى نىحت نخهك انًصُىعت في انًىقع
Résumé.................................................................................................................I
Abstract...............................................................................................................II
…ملخص.................................................................................................................III
Chapitre 1 :
2-I-8-2 : Tracer les courbes suivantes en utilisant les mêmes échelles pour
toutes les éprouvettes :…………………………… …………………...……......…. (9)
Références bibliographiques……………………………..…………………..…(86)
Titres pages
Figure 2.1 : Principe d’un essai de cisaillement rectiligne à la boite 5
Figure 2.2 : l’appareillage de l’essai 6
Figure 2.3 : courbes d’essai sur les matériaux sableux 10
Figure 2.4 : les résultats de l’essai de cisaillement 10
Figure 2.5 : principe de l’oedomètre 11
Figure 2.6 : cellule oedométrique type Terzaghi 13
Figure 2.7 : les résultats de l’essai oedométrique. 17
Figure 3.I.1 : Schéma de principe de l’essai pressiométrique Ménard 19
Figure 3.I.2 : Chargement par palier en fonction du temps 20
Figure 3.I.3 : Pressiomètre avec forage préalable - Courbe d'expansion type. 22
Figure 3.I.4 : Pressiomètre auto-foreur - Interprétation de la courbe 23
d’expansion
Figure 3.I.5 : Courbe de fluage pressiométrique. 26
Figure 3.I.6 : Profil pressiométrique 28
Figure 3.I.7 : Courbe pressiométrique corrigée 29
Figure 3.II.1 : Schéma de l’appareillage utilisé au C.R.R 32
Figure 3.II.2 : Schéma des Plaques de chargement 33
Figure 3.II.3 : Situation d’un essai de chargement à la plaque 35
Figure 3 II 4 : Condition de contact de la plaque avec la surface 37
Figure 3.II.5 : Diagramme de chargement (cas d’un remblai). 38
Figure 3.II.6 : Contrainte verticale en fonction de la profondeur 40
Figure 3.II.7 : l’augmentation de contrainte verticale à la profondeur pour une 41
pression de 250 kPa.
Figure 5.II.9. Les étapes du calcul numérique sur l’écran du logiciel Plaxis 66
Calculate.
Figure 5.II.10. Tassement en fonction du temps. 66
Figure 5.II.11. Déplacement verticale en fonction du logarithme du temps 68
Figure 6-I-1 : Dimension du massif modélisé 69
Titres Pages
Tableau 3.I.1 : Valeur de B suivant la nature du sol (Baguelin et al.1978) 23
Tableau 3.I.2 : Classification selon le rapport EM/P1 29
Tableau 3.II.1 : Contrainte verticale en fonction de la profondeur pour 41
pression 0.25 et 0.2 MPa
Tableau 5.I.1 : Propriétés du sol (argile) 51
Tableau 5.I.2 : Propriétés de la demi-boite supérieure 52
Tableau 5.II.1 : Les paramètres de la loi de Mohr Coulomb 61
Tableau 5.II.2 : Les étapes de calcul numérique par PLAXIS pour les essais 65
oedométriques à chargement par pilier
Tableau 5.II.3 : Résultats de déplacements 67
Tableau 6.I.1 : Données du calcul 73
Tableau 6.II.1 : Propriétés du sol 78
Tableau 6.II.2 : Paramètres de la plaque 82
Tableau 6.II.3 : Propriétés du remblai 82
Introduction générale
La géotechnique est l'étude de l'adaptation des ouvrages humains aux sols et roches
formant le terrain naturel. Elle traite de l'interaction sol / structures, et fait appel à des
bases de géologie, de mécanique des sols, de mécanique des roches et de structures.
Si pour les structures, la diversité des matériaux est relativement réduite et leurs
propriétés bien connues, la mécanique des sols doit s’accommoder de matériaux que la
nature a doté de caractéristiques complexes, variables dans l’espace et dans le temps et
dont la mesure est délicate. De ce fait, les paramètres mécaniques que l’on doit
introduire dans les calculs géotechniques, en particulier ceux réalisés par la méthode
des éléments finis, sont souvent mal connus. A cela s’ajoutent les incertitudes sur les
sollicitations et les conditions aux limites ainsi que l’erreur que peuvent introduire les
hypothèses et approximations du modèle mécanique utilisé.
Généralement, les valeurs des paramètres sont évaluées à partir d’essais de laboratoire
sur de petits échantillons de sol (essais triaxiaux ou œdométriques) ou à partir d’essais
réalisés in situ (pressiomètres ou pénétromètres). Or, déterminer les paramètres d’un
modèle constitutif de sol à partir des essais de laboratoire pose des difficultés majeures
à cause notamment de la représentativité des sols prélevés sur le site de construction et
du fort remaniement induit par les opérations de forage et d’extraction.
De même, si les essais in situ ne sont pas sujet au remaniement des échantillons, ils ne
permettent pas d’identifier directement les paramètres constitutifs des couches de sol.
Cette identification est généralement le résultat de relations empiriques. Malgré tout,
les essais géotechniques de laboratoire ou in situ donnent accès à une ou plusieurs
courbes expérimentales. Les paramètres des couches de sol peuvent être estimés en
calant un modèle sur ces courbes.
Quand, dans un sol, la contrainte de cisaillement dépasse une certaine valeur critique,
le sol cède et se rompt. En géotechnique, on s'intéresse davantage à la résistance au
cisaillement des sols parce que, dans la plupart des fondations ou des ouvrages en
terre, la rupture est produite par l'application de contraintes de cisaillement excessive.
La résistance au cisaillement des sols constitue une parti t t d l t importante de la
plupart des problèmes de construction, et particulièrement des problèmes de fondation.
La capacité portante des semelles et des pieux, la stabilité des talus naturels des
excavations des barrages et des remblais la poussée des terre naturels, des excavations,
des barrages et des remblais, la poussée des terres contre s contre les murs de
soutènement et les tunnels, etc. sont fonction des caractéristiques de la résistance au
cisaillement des sols. Il est difficile de définir la résistance au cisaillement des sols de
façon rigoureuse, car le terme inclut à la fois un concept de déformation excessive.
j) type d'essai.
l) mode de drainage.
m) pressions interstitielles.
En sont déduites les valeurs de l’angle de frottement effectif Φ’ et la cohésion effective c’,
paramètres utilisés pour le dimensionnement de fondations, les calculs de vérification des
coefficients de sécurité Fs à la rupture de talus et pour la détermination des actions de
poussée et de butée sur les ouvrages de soutènement.
2-I-5 : Principe :
L'essai s'effectue sur une éprouvette de sol placée dans une boîte de cisaillement
constituée de deux demi-boîtes indépendantes. Le plan de séparation des deux demi-
boîtes constitue un plan de glissement correspondant au plan de cisaillement de
l'éprouvette. Il consiste à :
2-I-6 : Appareillage :
0- bâti
1- demi-boite supérieure
2- demi-boite inférieure
3- piston rigide
4- dispositif d’application de l’effort vertical N centré sur le piston
5- solidarisation des demi-boites
6- plaque drainante supérieure
7- plaque drainante inférieure amovible
8- dispositif de mesure de l’effort horizontal T
9- dispositif de mesure du déplacement relatif horizontal δl
10- dispositif de mesure du déplacement relatif vertical δh
11- Châssis étanche
12- Glissière sans frottement
13- Système de déplacement à vitesse constante
14- Vis de soulèvement de la demi-boite
e : eau déminéralisée
E : éprouvette de sol
2-I-6-1 : Le bâti
Le bâti indéformable sous l'effet des efforts appliqués supporte la boîte de cisaillement
et son châssis et les maintient horizontalement avec une tolérance ± 1°.
c) un blocage ou une solidarisation des deux demi-boîtes de telle façon qu'elles aient le
même axe de symétrie intérieur ;
f) un piston rigide muni à sa base d'une plaque drainante, l'ensemble glissant librement
dans la demi-boîte supérieure. Ce piston possède en son centre, à sa partie supérieure,
un logement pour la rotule transmettant l'effort vertical.
Les plaques drainantes (pierres poreuses,...) sont planes et reliées à des orifices pour la
circulation des fluides.
Les matériaux utilisés sont inertes chimiquement vis-à-vis du sol et des fluides qu'il
contient. La surface de contact entre les deux demi-boîtes est plane et lisse. 5.6
Matériel complémentaire Il comprend : — une balance de portées maximale et
minimale compatible avec les masses à peser et telle que les pesées sont effectuées
avec une incertitude de 1/1000 de la valeur mesurée ; — une enceinte thermique ou
une étuve de dessiccation à température réglable à 50 °C et à 105 °C de classe
d'exactitude C comme défini dans l'annexe A de la norme NF X 15-016 ; — les outils
nécessaires au découpage et à la préparation des éprouvettes ; — un chronomètre
donnant la seconde.
Les plaques sont saturées avec de l'eau désaérée et tout surplus d'eau en surface est
éliminé juste avant leur mise en place. Elles sont recouvertes d'un papier-filtre lorsque
des particules de sol risquent de migrer vers les pores des plaques drainantes.
6dmax ≤ h ≤ L/2
Dans ces conditions, le matériau essayé a des éléments dont la dimension maximale est
: • dmax 5 mm dans le cas de la boîte de 60 mm de côté, et • d_. 5 8 mm dans le cas de
la boîte de 100 mm de côté.
2-I-7-3 : Mesurage
Les lectures de tous les appareils sont effectuées simultanément (en moins de 2 s) à
chaque augmentation du déplacement horizontal relatif des deux demi-boîtes d'environ
0,2 mm jusqu'à 2 mm, puis tous les 0,5 mm au-delà.
Calculer :
a) La contrainte normale effective à partir de l'expression :
N
'
A
T
'
A
V = A (h - δh)
2-I-8-2 : Tracer les courbes suivantes en utilisant les mêmes échelles pour toutes les
éprouvettes :
• = f (δ1)
. Si la courbe ne présente pas de palier, f.f est la valeur atteinte pour un déplacement
horizontal δ1 de 5 mm.
300
250
contraintes( KN/m3 )
200
150 A
B
100
C
50
0
0 10 20 30 40 50 60 70
deformation E (%)
2-II-3 : Appareillage :
— une cellule dans laquelle l'éprouvette est placée ; un système de mesure permettant
de connaître les variations de hauteur de l'éprouvette en fonction du temps. La
réalisation de l'essai nécessite en outre l'appareillage courant pour l'extraction des
échantillons de leur conteneur, la préparation des éprouvettes et la détermination des
teneurs en eau et des masses volumiques.
2-2-3-1 : Bâti
Le dispositif d'application de l'effort vertical doit être capable d'appliquer une force
suivant la direction axiale, et de la maintenir constante. Le matériel doit être conçu
pour transmettre à l'éprouvette une contrainte verticale moyenne pouvant atteindre au
moins 1,6 MPa à charge maximale et une contrainte inférieure à 10 kPa sous son poids
propre.
A/ Force verticale :
L'intensité de la force verticale N est déterminée avec une incertitude qui est la plus
grande des deux valeurs :
B/ Déplacement vertical :
— un dessiccateur.
— puis dans une deuxième phase après avoir mis l'éprouvette en présence d'eau.
a) Sol remanié Dans le cas de sol remanié, l'échantillon est reconstitué à une masse
volumique et à une teneur en eau fixées au préalable. L'éprouvette est alors prélevée
sur l'échantillon en enfonçant la bague de l'oedomètre en forme de trousse coupante.
L'éprouvette doit ensuite être lissée et arasée aux extrémités supérieure et inférieure de
la bague. Après arasement, les vides éventuels en surface doivent être comblés. La
durée de la préparation doit être la plus faible possible afin d'éviter les pertes d'eau.
c) l'identification du chantier ;
f) la nature du matériau ;
g) une représentation graphique des résultats, les valeurs de ΔHf/Hi étant présentées en
fonction de lg ;
j) les observations liées à la réalisation de l'essai ainsi que les incidents ou détails
opératoires non prévus dans le présent document et susceptibles d'avoir une incidence
sur les résultats. À titre indicatif, un exemple de procès-verbal est donné figure 4. Les
courbes de variation de hauteur des éprouvettes sous chaque charge maintenue
constante en fonction du logarithme du temps ne sont fournies que sur demande
préalable.
Y
0,7
0,6
0,5
0,4
Y
0,3
0,2
0,1
0
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9
• Le C.P.V est rempli d’eau et est mis en relation avec la sonde de mesure par
les Tubulures de connexion. Le refoulement de l’eau dans la sonde est obtenu
par application de pressions croissantes sur la surface supérieure de l’eau au
moyen d’un gaz comprimé.
La sonde pressiométrique est introduite dans une cavité pré-forée, légèrement
surdimensionnée, réalisée soit à la tarière à main, soit de manière mécanique
suivant la nature du sol (Baguelin et al. 1978). Elle comporte trois cellules :
• Une cellule de mesure centrale (d’un diamètre compatible avec les diamètres
des outils de forage usuels) constituée d’un tube métallique revêtu d’une
membrane en caoutchouc gonflée avec de l’eau, exerçant une pression radiale
sur les parois du forage;
GM= ( )
- une troisième phase: (Pf ≤ P ; Vf ≤ V), correspond à l'apparition d'une forte
non linéarité de la courbe d'expansion due à la mise en plasticité du sol. Pour
les très grandes déformations, la pression tend vers une valeur limite. C'est la
pression limite, notée définie comme l'asymptote de la courbe pressiométrique
quand le volume tend vers l'infini. En pratique il est difficile, voire impossible,
d'accéder à cette valeur de la pression ; la pression limite est alors définie
comme la pression provoquant le doublement du volume initial de la
sonde( ) : c'est la pression limiteconventionnelle, notée .
( )
( )
( )[ ]〈 〉
〈 〉
Avec :
( )
: Pression interstitielle.
: est le coefficient des terres au repos, par rapport aux contraintes effectives
horizontale et verticale. Cette Pression introduit dans le calcul de la capacité
portante du sol de fondation, d’après la méthode pressiométrique
( ⁄ )
Où :
: Pression limite nette équivalente
: est la contrainte verticale effective au niveau de la fondation après travaux.
: est le facteur de portance pressiométrique, déterminé en fonction de la
forme de la fondation, de la nature et des caractéristiques pressiométriques du
terrain en place
D : l’encastrement de la fondation
B : la largeur de la fondation.
e) . Profile pressiométrique :
Les valeurs du module pressiométrique, de la pression de fluage, et de la
pression limite obtenues au pressiomètre sont systématiquement représentées
en fonction de la profondeur sur des tableaux synoptiques, en parallèle avec les
résultats géologique, les courbes d'avancement de l'outil et les courbes de
battage, le niveau de la nappe, etc.
La présentation simultanée de ces divers résultats permet de définir des profils
géotechniques comme par exemple celui représenté ci-dessous.
P = Pr + Ph – Pe
3-II-1-A/ Introduction :
Bien que la méthode de mesure soit simple, il est parfois difficile d'analyser les
résultats, qui se présentent sous forme d'une relation existant entre le tassement
vertical du massif et la pression, en appliquant la théorie de l'élasticité. Dans la
plupart des cas la relation pression - tassement n'est pas linéaire, un tassement
permanent se produit au cours de la mise en charge et il existe une charge
maximum sous laquelle se produit la rupture du matériau par cisaillement.
Lorsqu'on effectue plusieurs cycles de chargement et déchargement successifs,
on s'aperçoit que le tassement du massif tend vers une limite finie en fonction
du nombre de cycles de chargement. Cette stabilisation du tassement se produit
d'autant plus vite que le massif est compacté. Dans le cas des massifs stratifiés,
l'épaisseur des couches faisant partie du système joue un rôle non négligeable,
ce qui influence le choix du diamètre de la plaque de chargement.
b) . Appareillage :
h. Petits accessoires.
Plaque D 2D 3D 4D
200 cm² 16 cm 32 cm 48 cm 64 cm
750 cm² 31 cm 62 cm 93 cm 124 cm
c) . Principe de l'essai :
Ou :
a : rayon de la plaque en cm ;
é é è
é é
L’interprétation des résultats d'un essai à la plaque est effectuée
par l’ingénieur faisant appel à ses connaissances théoriques et à
son expérience pratique.
• Charge idéalisée ;
a) . Contraintes :
⌈ ⌉
( )
( )
⌈( ) ⌉
( ) ( )
, avec :
{ ( ) }
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11
Z(m) 0,01 0,10 0,20 0,30 0,40 0,50 0,60 0,70 0,80 0,90 1,00
30,0
r/Z 3,00 1,50 1,00 0,75 0,60 0,50 0,43 0,38 0,33 0,30
0
Z/r 0,03 0,33 0,67 1,00 1,33 1,67 2,00 2,33 2,67 3,00 3,33
1,00 0,96 0,82 0,64 0,48 0,36 0,28 0,22 0,17 0,14 0,12
J
0 8 9 6 8 9 4 3 9 6 1
Δб(MP 0,25 0,24 0,20 0,16 0,12 0,09 0,07 0,05 0,04 0,03 0,03
a) 0 2 7 2 2 2 1 6 5 7 0
Δб(MP 0,20 0,19 0,16 0,12 0,09 0,07 0,05 0,04 0,03 0,02 0,02
a) 0 4 6 9 8 4 7 5 6 9 4
Contrainte en (kPa)
0,0 50,0 100,0 150,0 200,0 250,0
0,00
0,10
0,20
Profondeur en (m)
0,30
0,40
0,50
0,60
0,70
0,80
0,90
1,00
Contrainte en (kpa)
0,0 50,0 100,0 150,0 200,0
0,00
0,10
0,20
Profondeur en (m)
0,30
0,40
0,50
0,60
0,70
0,80
0,90
1,00
b) . Déflexion :
( )
( )
⌈ (( ) )⌉
( )
K : Coefficient = 2 pour une plaque articulée et π/2 pour une plaque rigide ;
μ : Coefficient de poisson ;
d0 : Déflexion (m) ;
( )
( )
Les modèles de comportement de sols sont très nombreux : depuis le modèle élastique-
plastique de Mohr-Coulomb jusqu’aux lois de comportement les plus sophistiquées,
permettant de décrire presque tous les aspects du comportement élasto-plastique des
sols, aussi bien sous des sollicitations monotone que cyclique. Ces modèles ont été
développés dans le but d’être intégrés dans des calculs par éléments finis. Dans ce
schéma, la modélisation par éléments finis permet de résoudre le problème aux limites
en tenant compte, par une loi de comportement réaliste, du comportement réel du sol.
Deux difficultés majeures ont empêché la réalisation complète de ce schéma : d’une
part les lois de comportement qui décrivent bien le comportement des sols sont
complexes, la seconde difficulté est l’intégration de ces lois de comportement dans des
codes de calcul par éléments finis, bi ou tridimensionnels. Peu de codes sont
opérationnels actuellement, avec des lois sophistiquées. Les modèles de comportement
disponible dans PLAXIS sont :
Le modèle élastique utilisé dans PLAXIS est classique. Les tableaux de rentrée des
E = 2G (1 + 4.1)
Le modèle élastique de PLAXIS peut être employé surtout pour modéliser les éléments
de structures béton ou métal en interaction avec le sol. Il peut aussi être intéressant
pour certains problèmes de Mécanique des Roches.
Le choix d'un module de déformation est un des problèmes les plus difficiles en géotechnique.
Le module de déformation varie en fonction de la déformation et en fonction de la contrainte
moyenne. Dans le modèle de Mohr-Coulomb, le module est constant. Il apparaît peu réaliste
de considérer un module tangent à l'origine (ce qui correspondrait au Gmax, mesuré dans des
essais dynamiques ou en très faibles déformations). Ce module nécessite des essais spéciaux.
Il est conseillé de prendre un module "moyen", par exemple celui correspondant à un niveau
de 50% du déviateur de rupture (voir figure 4.2). L'utilisateur doit rester conscient de
l'importance du choix du module qu'il prendra en compte. Il n'y a là rien d'étonnant et la
même question se retrouve par exemple dans tout calcul classique de fondation, par exemple :
Dans les boîtes de dialogues, on peut aussi rentrer le gradient donnant la variation du
module avec la profondeur.
On conseille une valeur de 0,2 à 0,4 pour le coefficient de Poisson. Celle-ci est réaliste
pour l'application du poids propre (procédure K0 ou chargement gravitaire).Pour
certains problèmes, notamment en décharge, on peut utiliser des valeurs plus faibles.
Pour des sols incompressibles, le coefficient de Poisson s'approche de 0,5 sans que
cette valeur soit utilisable.
PLAXIS ne prend pas en compte une variation d'angle de frottement avec la contrainte
moyenne. L'angle de frottement à introduire est soit l'angle de frottement "de pic" soit
l'angle de frottement de palier. On attire l'attention sur le fait que des angles de
frottement supérieurs à 35° peuvent considérablement allonger les temps de calcul. Il
peut être avisé de commencer des calculs avec des valeurs raisonnables d'angle de
frottement, quitte à les augmenter dans la suite. Cette valeur de 35° est compatible
avec les angles de frottementCV (à volume constant, au palier).
4-2-2-4 : La cohésion :
Il peut être utile d'attribuer, même à des matériaux purement frottant, une très faible
cohésion (0,2 à 1 kPa) pour des questions numériques.
Pour les analyses en non drainé avec u = 0, Plaxis offre l'option de faire varier la
cohésion non drainée avec la profondeur : ceci correspond à la croissance linéaire de la
cohésion en fonction de la profondeur observée dans des profils au scissomètre ou en
résistance de pointe de pénétromètre. Cette option est réalisée avec le paramètre c
depth. Une valeur nulle donne une cohésion constante. Les unités doivent être
homogènes avec ce qui a été choisi dans le problème (typiquement en kPa/m). Cette
option permet aussi de faire varier le module de déformation E avec la profondeur
ou = 0°
Le cas correspond à des sables très lâches (état souvent dit métastable, ou
liquéfaction statique). La valeur= 0 correspond à un matériau élastique parfaitement
plastique, où il n'y a donc pas de dilatance lorsque le matériau atteint la plasticité. C'est
souvent le cas pour les argiles ou pour les sables de densité faibles ou moyenne sous
contraintes assez fortes.
Pour que logiciel PLAXIS puisse faire les calculs correctement et complètement, on
doive lui saisir toutes le données du projet suivantes :
L’influence des interfaces est négligeable (la masse volumique des interfaces
est différente de celle du sol).
b) la géométrie du modèle :
le projet n’est pas symétrique (figure 5.I.1), il sera modélisé par un modèle
géométrique plan (2D) de 1m de largeur sur 1m de profondeur . Ce modèle est
présenté sur la figure 5.I.2.
La boite fait 1m de largeur ,1m de hauteur, composé de deux demi boite, l’une fixe
(inférieur) l’autre se déplace horizontalement (supérieur).
Des interfaces sont utilisées pour produire les effets d’interaction entre sol et
structures.
Les propriétés de sols et des interfaces sont résumées dans les tableaux 5 .1a, b :
Dans toute analyse, il est important d’adopter un système d’unités cohérent. Au début
de la définition de la géométrie, le choix d’un jeu d’unités fondamentales convenables
dans une liste d’unités standard s’impose pour l’utilisateur lesquelles comprend des
unités de longueur, de force et de temps.
5-II-3 : Modélisation
(a)
Pour les propriétés du sol, nous avons pris les valeurs des paramètres trouvés par
des différents essais (comme l’essai de cisaillement à la boite) .
Argile
légèrement 19.51 15.1 5.1031010 6478.000 0.426 22.407 27.32 0
sableuse
Les conditions hydrauliques sont représentées par les faces supérieure et inférieure
drainés qui peuvent simuler les rôles des pierres poreuses.
L’échantillon est complètement saturé, le niveau de la nappe phréatique coïncide avec la
surface de l’échantillon
Dans notre simulation, la formule de Jacky a été utilisée pour calculer K0 lorsque nous
Avons appliqués la loi de Mohr-Coulomb.
Dans notre simulation, la formule de Jacky a été utilisée pour calculer K 0 lorsque nous
Avons appliqués la loi de Mohr-Coulomb.
Des essais œdomètrique à chargement par palier sera modélisées par le logiciel Plaxis,
avec l’utilisation de lois de comportement de Mohr coulomb, les conditions aux
limites hydrauliques et imposées qui nous avons déjà présentés aux paragraphes
précédents , sur échantillon de sol ( argile légèrement sableuse ); fait en conditions non
drainés sous une série de contrainte effective verticale, chacune étant le double de celle
d’avant et pour des paliers de 24 heures pour laisser l’excès des pressions
interstitielles, ensuite nous avons décharges successivement ces contraintes ; ces
Tableau 5.II.2. Les étapes de calcul numérique par Plaxis pour les essais œdomètrique à
chargement par palier.
La Figure 5.II.11. ci-dessous montre les phases du calcul numérique sur l’écran du logiciel
Plaxis Calculate.
Figure 5.II.9. Les étapes du calcul numérique sur l’écran du logiciel Plaxis Calculate.
Log t (s)
-4 -3 -2 -1 0 1 2 3 4 5 6
0
-0,02
-0,04
Tassement en (mm)
-0,06
-0,08
-0,1
-0,12
-0,14
-0,16
-0,18
PLAXIS utilise 15 Nœuds d’éléments triangulaires, ce qui permet de prédire avec une
grande précision les charges classiques limite de plasticité en mécanique des sols. La
méthode d'intégration utilisée est la méthode de Gauss, en utilisant 15 points
d’intégration pour chaque élément d’axisymétrie.
Afin de simuler numériquement l’essai pressiométrique, nous avons imposé les
conditions aux limites de la (figure 6.I.2) ; le sol est libre sur les parois verticales du
forage et un déplacement vertical est possible sur les deux frontières verticales.
Pour chaque étape de calcul, on obtient les déplacements et les contraintes en tout
point du massif. Pour obtenir la variation de volume globale de la sonde, on effectue le
calcul suivant à partir des déplacements radiaux des nœuds à la surface de la sonde.
(IV.2)
Où :
Modélisation des essais géotechniques par logiciel PLAXIS Page 71
Chapitre 06 : Modélisation des essais in situ 2014/2015
: Le rayon initial de la sonde et du forage
: Le déplacement horizontal au noeud i
: La distance entre deux noeuds successifs
La variation de volume totale de la sonde est :
∑ (IV.3)
n : est le nombre de nœuds situé sur la surface latérale de la sonde.
La sonde pressiométrique a une hauteur totale de H=70 cm, un diamètre D=63mm.La
hauteur de la cellule de mesure est de 40cm, et les cellules de garde de hauteur 15 cm
et de rayon =3,15 cm. Dans ce cas, nous avons pris en compte 9 noeuds sur la
surface de lasonde sur les 33 répartis le long de la sonde. Les déplacements sont
connus tous les dz=50/8=6 .25cm. Les valeurs des déplacements intermédiaires sont
voisines desdéplacements des noeuds sélectionnés.
Nous pouvons tracer alors à partir des résultats une courbe pressiométrique classiqueet
variation de volume relative en fonction de la pression appliquée. A partir de cette
courbeon détermine le module de cisaillement G et la pression limite pl.
Le calcul du module de cisaillement G se fait dans la partie quasi- linéaire :
(IV.4)
⁄
Modèle Mohr-Colomb
4
dv/v0
3
simulation
expérimentale
2
0
0 50 100 150 200 250 300 350
Pression(Kpa)
Dans la première partie, nous présentons la modélisation d’un essai à la plaque dans
des conditions purement élastiques par le logiciel Plaxis, afin de comparer les résultats
obtenus avec ceux de Boussinesq présentés au chapitre précédent.
Dans la deuxième partie, en tenant compte les aspects de plasticité du sol dans nos
modélisations, à travers l’utilisation de la loi de comportement élastoplastique de Mohr
Coulomb. La comparaison se fera avec les résultats expérimentaux de l’essai à la
plaque.
6-II-2 : Modélisation
Pour déterminer les dimensions de ce massif, il a été fait référence aux normes en
vigueur. La surface examinée doit être plane, homogène et libre de toute surcharge
dans un rayon minimum égal à 4 fois le diamètre de la plaque. Une première zone de
5D en profondeur et 5,5 D en largeur sera maillée, D étant le diamètre de la plaque.
Les dimensions du massif étudié seront donc de 10 D pour la profondeur et de 11 D
pour la largeur (figure 6.II.2).
Il est bien évident que la zone où les contraintes auront le plus d’influence est celle
située sous la plaque. C’est pourquoi, le nombre d’éléments sera augmenté dans la
zone immédiatement à proximité de celle-ci. Pour ce faire, il sera créé des zones
supplémentaires sous la plaque et en surface. La( figure 6.II.3) donne un exemple de
maillage utilisé.
Plaxis utilise des éléments triangulaires à 15 Nœuds, ce qui permet de prédire avec une
grande précision les charges classiques en mécanique des sols. La méthode
d'intégration utilisée est la méthode de Gauss, en utilisant 12 points d’intégration pour
chaque élément d’axisymétrie. Afin de simuler numériquement l’essai de chargement
à la plaque, nous avons imposé les conditions aux limites de la (figure 6.II.4) ; le sol
Le sol et la plaque sont modélisés à l’aide d’une loi élastique isotrope. Les paramètres
utilisés sont donnés au (tableau 6.II.1) pour le sol et sur le (tableau 6.II.2) pour la
plaque.
Aucune condition initiale n’est introduite à ce niveau car le modèle analytique est
établi pour un massif non chargé.
6-II-3-3 : Chargement
P = MLOAD A * A
La distribution de contraintes dans le sol obtenue par le code de calcul sera comparée à
la fin du chargement avec la solution analytique donnée par la formule de Boussinesq,
La distribution de contrainte pour un maillage plus fin est donnée sur la (figure 6.II.6).
Ce maillage plus fin a été réalisé en doublant le nombre d’éléments sur une zone de
1.0 m de profondeur, ce qui correspond à la zone de comparaison. On s’aperçoit que la
distribution de contrainte obtenue n’est que très peu modifiée par rapport au premier
maillage. La qualité du maillage ne peut donc expliquer l’écart entre le numérique et
l’analytique.
Contraite en (kPa)
0,0 50,0 100,0 150,0 200,0 250,0
0,00
0,10
0,20
0,30
Profondeur en (m)
Numérique
0,40 Analytique
0,50
0,60
0,70
0,80
0,90
1,00
Contraite en (kPa)
0,0 50,0 100,0 150,0 200,0 250,0
0,00
0,10
0,20
0,30
Profondeur en (m)
Numérique
0,40 Analytique
0,50
0,60
0,70
0,80
0,90
1,00
A) la plaque :
Pour le comportement de la plaque on utilise une loi élastique linéaire isotrope, avec
un module d’élasticité E de 210 000 MPa et un coefficient de poisson υ de 0,25
(NF_P94-117-1) . Les paramètres des éléments de massif représentant la plaque dans
la modélisation bidimensionnelle sont choisis de manière à conservation la rigidité en
flexion E.I et la rigidité axiale E.A de la plaque.
B) Interface :
Une épaisseur virtuelle” est assignée à l’interface c’est une dimension fictive utilisée
pour définir les caractéristiques du matériau affectées à l’interface, Le facteur (Rinter)
relie les caractéristiques de l’interfaces frottement de la plaque et la adhérence aux
caractéristiques du sol (angle de frottement et cohésion), le facteur est défini par les
deux relations suivantes :
C) Remblai :
Le déplacement horizontal est bloqué sur les limites verticales du maillage. La base du
maillage est maintenue fixe tant horizontalement que verticalement.
L’état de contrainte initial est de type géostatique, les contraintes verticales sont dues
au poids de remblai et les contraintes horizontales effectives sont proportionnelles aux
contraintes verticales effectives. Le coefficient de proportionnalité ou coefficient de
pression de remblai au repos, est calculé à l’aide de la formule de Jaky (1944) : K0
=1- Sin φ.
6-II-5 : Chargement
Phase 1 : chargement de la plaque : La plaque doit être chargée (0,25 MPa) par palier,
réalisé en 30 secondes, Cette phase est caractérisé par :
- Calcul plastique
250,00
200,00
Contrainte en (KPa)
150,00
Num (H=0.05m)
100,00
Expérimentale
50,00
0,00
0,00 1,00 2,00 3,00 4,00
Déplacement vertical en (mm)
Conclusion générale
La méthode éléments finis est de plus en plus utilisée pour l’étude des ouvrages
géotechniques. Dans cette dernière, le comportement d’un sol est représenté par un
modèle constitutif. La réponse d’un modèle à différentes actions mécaniques est
définie à partir des valeurs données aux paramètres de ce modèle. Ces paramètres sont
souvent évalués à partir d’un nombre limité d’essais de laboratoire ou d’essais en
place. Or, à l’heure actuelle, la plupart des essais géotechniques in situ ne permettent
pas d’identifier directement les paramètres constitutifs des couches de sol. Les essais
de laboratoires quant à eux coûtent chers et ne sont pas représentatifs du massif de sol
dans son ensemble.
L’utilisation de calculs par éléments finis pour dimensionner les ouvrages est donc
limitée par une mauvaise connaissance des propriétés mécaniques des sols. C’est dans
ce contexte que se pose la problématique de calage des paramètres géotechniques par
la modélisation numérique de ces essais afin de permettre une bonne corrélation de ces
paramètres.
A travers ce travail, nous avons tenté de présenter des modèles numériques en utilisant
le logiciel par éléments fins Plaxis, pour différents essais réalisés au laboratoire et in
situ.
Références Bibliographiques
8) CAMBOU B., SOEGIRI S., et all., (1991). Pressiomètre avec mesure de pression
interstitielle. Comptes Rendus de la 10ème Conférence de Mécanique des Sols et des
Travaux de Fondations. Florence, A.A Balkema, p. :45-48.
9) Chikhi Kamra, (20 11), Etude Expérimentale Des Matériaux Non Saturés Au
Cisaillement Et A La L’œdomètre. Mémoire De Magister De L’université De
Mouloud Mammeri, TIZI-OUZOU
10) D.ROUSSELOT, Simulation des tassements des sols selon la théorie de la
consolidation unidimensionnelle de Terzaghi Programme PROGRS-I, bureau de
recherches géologiques et minières
11) Essai œdométriques : Méthodes d’essai LPC. (1985), Laboratoire centrale des ponts
et chaussées, Paris
12) Gibson , R. E. & Henkel, D. J. (1954). Influence of duration tests at constant rate of
strain on measured ‘draines’ strength. Geotechnique 4, N° 1, 6-15.
13) Habiballah Taha el Mokhtar, modélisation des déformations permanentes des graves
limoges.
14) Hawkins , A.B & Privett , K.D (1985). Measurement and use of residueal shear
strength of cohesive soils. Grounding engineering 18, N° 8, 22-29 .
17) MAGNAN PH., MESTAT J-P. (1991). Lois de comportement et modélisation des
sols C 218. In Techniques de l’Ingénieur, Traité Construction Volume C21.
Paris.1993, 193 pages.
sur le comportement des sols renforcés par colonnes ballastées, Magistère en Génie civil,