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SOMMAIRE ......................................................................................................... 3
INTRODUCTION .................................................................................................. 5
1. GENERALITES ............................................................................................... 5
1. Généralités
Les textes réglementaires suivants ont été utilisés pour définir les prédimensionnements
et recommandations fournis :
Selon les coupes et plans fournis, le niveau bas du sous-sol serait situé à la cote
43,90 NGF, soit entre -3,50/-4,10 m/TN actuel (à confirmer).
Pour la réalisation du présent rapport, nous avons reçu les documents suivants :
o Plan de masse,
Au moment de nos investigations, la parcelle concernée par le projet était occupée par
d’anciens bâtiments d’habitations et locaux divers ainsi que par des jardins. Les
différentes structures seront démolies pour les besoins du projet.
D'après les documents consultés (carte géologique de PARIS EST au 1/25 000ème) et
notre expérience locale, les horizons que l'on devrait rencontrer dans ce secteur sont :
o Marnes Infragypseuses,
o Sables de Monceau,
o Marno-Calcaire de Saint-Ouen.
Compte tenu du contexte urbanisé du secteur, la présence de remblais en tête n’est pas
à exclure.
D’après la carte hydrogéologique de Paris de 1970 au 1/50 000ème, établie par le BRGM
et les sondages répertoriés dans le secteur, le site est caractérisé par la présence de la
nappe du Saint Ouen. Son niveau serait situé aux alentours de la cote 40,00 NGF, soit
vers environ 8,0 m de profondeur au droit du terrain.
Sismicité
On note qu’une délimitation des zones de sismicité du territoire français a été définie par
les décrets n°2010-1254 et 2010-1255 du 22 octobre 2010.
En se basant sur cette délimitation, la commune de DRANCY (93) est située dans une
zone de sismicité très faible (zone 1).
Cavité souterraine
D’après les informations de l’IGC (Inspection Général des Carrières) sur la commune de
DRANCY (93), aucune exploitation n’est recensée au droit de la parcelle étudiée ou à ses
abords immédiats. De plus, elle se trouve hors zone exposée au risque de dissolution du
gypse antéludien.
5. Travaux réalisés
Les sondages pressiométriques SP1 à SP3 ont été réalisés en rotation au tricône de
diamètre 66 mm avec enregistrement des paramètres de forage jusqu’à 10 m de
profondeur. Le sondage a été poursuivis en destructif jusqu’à 20 m de profondeur.
Les sondages SP2 et SP3 ont été équipés en piézomètre sur toute leur hauteur.
Les sondages ont été disposés aux emplacements figurés sur le plan d’implantation (voir
annexe 3). Ils ont été implantés en fonction des conditions d’accès et d’exploitation du
site.
Les coordonnées X-Y (en Lambert 93) et l'altitude Z (NGF) du sol au droit de chaque
sondage ont été relevées avec un récepteur GNSS TRIMBLE R10 et sont récapitulées
dans le tableau suivant :
Ces coordonnées déduites sont reportées sur les coupes des sondages, et sont données à
titre indicatif. Elles devront être vérifiées et, le cas échéant, corrigées par un géomètre
expert.
7. Synthèse lithologique
Les coupes des sondages sont jointes en Annexe n°4. Il en ressort la succession
lithologique suivante :
Remarque :
Compte tenu de la méthode de forage destructive avec injection d’eau, la nature des
terrains profonds ne peut pas être déterminée précisément (remontée de cuttings) et les
limites de couches sont approximatives car seulement déterminées par l’interprétation
des enregistrements de paramètres de forage.
- En tête, d’un sol à dominante marno-argileuse, plus ou moins altéré qui possède
des caractéristiques mécaniques moyennes dans l’ensemble, voire ponctuellement
médiocres. Les paramètres de forage montrent un niveau lâche avec des vitesses
d’avancement de l’outil de forage élevée jusqu’à l’arrêt volontaire des sondages
SP22 et SP23 à -10,00 m/TN (37,40/36,85 NGF), et jusqu’à -13,10 m/TN
(34,50 NGF),
En fin de chantier, les sondages ont mis en évidence des niveaux d’eau compris entre
-7,90/-10,75 m/TN, soit entre les cotes 40,10/36,85 NGF. Il s’agirait de la nappe
circulant au sein du Calcaire de Saint Ouen dont le niveau a été perturbé par la technique
de forage destructive avec injection de fluide.
En effet, on rappelle que dans le secteur, le niveau de la nappe est attendu aux alentours
de la cote 40 NGF.
D’autre part, on note que le sondage ST2, réalisé à la tarière était sec sur toute sa
hauteur jusqu’à -3,00 m/TN (44,45 NGF). Ceci n’exclut pas la présence d’arrivée d’eau
d’infiltration ou de ruissellement au sein des horizons supérieur, notamment en période
pluvieuse défavorable.
Un essai de perméabilité a été réalisé au droit du sondage ST2. Il s’agit d’essai de type
Nasberg permettant de mesurer la capacité d’infiltration des terrains en place. Le tableau
suivant présente les résultats obtenus :
Formation Perméabilité
Sondage Lanterne d’essai Nature du sol
concernée moyenne K (m/s)
Les résultats obtenus témoignent de sols classés «peu perméable » ou de « très faible
perméabilité » selon les classifications en vigueurs. En effet, les sols sont très fins avec
un potentiel de colmatage des interstices assez important.
Dans le cadre de la construction d’un lycée de type R+3/R+4 sur un niveau de sous-sol,
la reconnaissance du site a mis en évidence les éléments suivants :
Terrains traversés :
o Au-delà, des Marnes et Sables Infragypseux ont été observées sous forme de
marne plus ou moins sableuse beige à grisâtre jusqu’à -5,80/-7,70 m/TN
(41,65/40,30 NGF). Il s’agit d’un faciès, très compact et peu perméable renfermant
des blocs et/ou bancs indurés de calcaire et/ou gypse.
Hydrogéologie :
En fin de chantier, le niveau de la nappe de Saint Ouen a été mise en évidence entre
-7,90/-10,75 m/TN (40,10/36,85 NGF).
Le projet prévoit la construction d’un lycée de type R+3 à R+4 sur un niveau de sous-sol
à usage de locaux divers. D’après les plans fournis, le niveau bas fini du sous-sol serait
situé à la cote 43,90 NGF, soit entre -3,50/-4,10 m/TN actuel (à vérifier).
Dans ce cas, compte tenu du contexte géotechnique du site, on pourra s’orienter pour le
lycée vers un système de fondations superficielles par semelles isolées et/ou
filantes ancrées d’au moins 0,40 m au sein des marnes sableuses beige grisâtre (Marnes
et Sables Infragypseux), sous le fond de fouille.
Sur la base des sondages réalisés et pour des fondations soumises à des charges
verticales centrées, la contrainte admissible du sol, aux ELS, doit être prise telle que :
qa ≤ 0,30 MPa (soit 3,0 bars).
Dans les conditions aux ELS, en respectant le niveau d’ancrage précédemment défini et
sous réserve d'une assise homogène, les tableaux suivant reprennent les tassements
totaux et différentiels du sol sous les charges suivantes données à titre indicatif :
Fondation Sollicitations
Tassement
Tassements
Longueur Largeur différentiel
Charges reprises au QELS absolus (mm)
Type (mm)
L (m) B (m) pied de fondation (MPa)
Semelle
2,50 2,50 1875 kN 9,0 à 12,0
isolée
Dans tous les cas, il conviendra de vérifier que les descentes de charges que nous avons
retenues correspondent aux descentes de charges réelles. Si celles-ci sont plus
importantes, il conviendra de vérifier la réaction du sol, et notamment les tassements
différentiels, dans le cadre d’une G2 PRO.
La mise en œuvre d'une solution de fondations superficielles par semelles devra être
conforme aux documents en vigueur. Plus particulièrement, dans le cadre de cette étude,
cela implique les sujétions suivantes :
o L’homogénéité des fonds de fouilles des fondations sera soigneusement vérifiée. Les
fouilles doivent être protégées contre les intempéries et semelles doivent être coulées
en plein fouille immédiatement après ouverture,
o Des niveaux indurés peuvent être rencontrés lors des travaux de terrassement des
fouilles de fondations, nécessitant l’utilisation d’outils adaptés ;
o Toutes les précautions devront être prises pour éviter tout effort parasite sur les
structures et ouvrages existants tant en phase provisoire que définitive ;
o Respect du DTU concernant les fondations à niveaux différents (3H/2V entre bords de
semelles).
Le projet prévoit la construction d’un lycée de type R+3 à R+4 sur un niveau de sous-sol
total et débordant. Selon les éléments fournis, le niveau bas serait situé vers à la cote
43,90 NGF, soit vers -3,50/-4,10 m/TN actuel.
Pour la réalisation de la fouille générale, l’entreprise devra prévoir les moyens et outils
nécessaire, aussi bien pour la démolition des vestiges éventuels après démolition des
existants (fondation, etc….) que pour traverser les blocs et/ou bancs indurés, notamment
ceux présents au sein des Marnes et Sables Infragypseux.
Techniques de terrassements :
Si les contraintes du site le permettent (emprise de la zone du projet, recul suffisant vis-
à-vis des bâtiments et voiries mitoyennes, etc.), les travaux de terrassements du sous-
sol projeté peuvent être réalisés par talutage soit sur toute la profondeur de la fouille ou
uniquement en partie supérieure (pré-talutage).
Disposition constructives :
- Dans tous les cas, les travaux de terrassements devront garantir la stabilité des
ouvrages (existants et projetés) et la sécurité des personnes, tant en phase
provisoire que définitive.
Les relevés piézométriques ont mis en évidence un niveau d’eau vers -7,90/-10,45 m/TN
actuel (40,10/36,85 NGF), soit vers 4 m en dessous du niveau bas estimé du sous-sol.
Les terrassements devraient donc être réalisés hors nappe.
Les formations superficielles qui seront rencontrées en fond de fouille (Marnes et Sables
Infragypseux), comportent des niveaux marneux et sableux contenant des fines,
généralement sensibles à l’eau et qui peuvent devenir collants lorsqu’ils sont dans un
état hydrique humide à très humide. En effet, en cas d’augmentation de leur teneur en
eau, leur portance et consistance peuvent chuter brutalement.
Afin d’assurer une bonne praticabilité en fond de fouille pendant toute la durée du
chantier, il conviendra de réaliser les terrassements en période favorable et d’éviter les
périodes humides. Dans le cas contraire, il n’est pas exclu de prévoir une piste de travail
permettant la traficabilité des engins de chantier pendant toute la durée des travaux.
Recouvrement Superficiel /
1,70 20 0
Remblais éventuel
Marnes et Sables
1,80 28 0
Infragypseux
On rappelle que le niveau d’eau relevé au droit du projet a été mis en évidence entre
-7,90/-10,45 m/TN actuel (40,10/36,85 NGF), soit environ 4 m sous le niveau bas fini du
sous-sol. Cependant, des circulations d’eau peuvent se produire, notamment en période
pluvieuse défavorable.
Dans ce cas, les voiles enterrés seront protégés de ces arrivées d’eau de ruissellement
et/ou d’infiltration par le biais d’un drainage verticale périphérique soigné, dirigé vers un
exutoire indépendant autorisé.
Cependant, les locaux techniques et/ou sensibles doivent être étanches selon les règles
du DTU 14.1.
Les terrains attendus en fond de fouille du sous-sol seront des Marnes et Sables
Infragypseux. Ces terrains fins sont sensibles aux variations de la teneur en eau et ne
doivent pas être laissés exposés aux intempéries.
Ainsi, pour l’ensemble immobilier, on pourra envisager la mise en place d’un dallage sur
terre-plein avec intercalation d’une couche de forme, insensible à l’eau et dépourvue de
fine sur une épaisseur de 0,30 m minimum.
Celle-ci sera compactée selon les règles de l’art afin d’obtenir le critère de réception au-
dessus de la plateforme recevant le dallage, soit l’obtention d’un module de
Westergaard : Kw ≥ 50 MPa/m, par le biais d’essais à la plaque conformément au
DTU 13.3
Dans tous les cas, la réalisation du dallage devra être conforme au DTU 13-3.
Les risques résiduels mis en évidence par la campagne d’investigation géotechnique sont
les suivants :
La faible cohésion à court terme (nulle à long terme) des terrains superficiels,
Les dispositions constructives devront être adaptées aux aléas et risques identifiés
ci-dessus. Elles devront obtenir l’aval du bureau de contrôle ou du géotechnicien dans le
cadre d’une mission G3 (confiée par l’entreprise) ou G4 (confiée par le Maitre d’Ouvrage)
selon la norme NF P94-500.
Niveau de
Prestations
Enchaînement Phases de Mission d'ingénierie Objectifs à atteindre management des
d'investigations
des missions la maîtrise géotechnique (GN) et Phase de pour les ouvrages risques
géotechniques à
G1 à G4 d'œuvre la mission géotechniques géotechniques
réaliser
attendu
Étape 1 : Étude Étude géotechnique préalable (G1) Spécificités Première identification Fonction des données
géotechnique Phase Étude de Site (ES) géotechniques du site des risques présentés existantes et de la
préalable (G 1) par le site complexité
géotechnique
Étude Étude géotechnique préalable (G1) Première adaptation Première identification Fonction des données
préliminaire, des futurs ouvrages des risques pour les existantes et de la
esquisse, Phase Principes Généraux de aux spécificités du site futurs ouvrages complexité
APS Construction (PGC) géotechnique
Étape 2 : Étude Étude géotechnique de conception Définition et Mesures préventives Fonction du site et de
géotechnique de (G2) comparaison des pour la réduction des la complexité du projet
APD/AVP
conception (G2) solutions envisageables risques identifiés, (choix constructifs)
Phase Avant-projet (AVP) pour le projet mesures correctives
pour les risques
résiduels avec détection
Étude géotechnique de conception Conception et Fonction du site et de
au plus tôt de leur
PRO (G2) justifications du projet la complexité du projet
survenance
(choix constructifs)
Phase Projet (PRO)
À toute étape Diagnostic géotechnique (G5) Influence d'un élément Influence de cet Fonction de l'élément
d'un projet ou géotechnique élément géotechnique géotechnique étudié
sur un ouvrage Diagnostic spécifique sur le projet sur les risques
existant ou sur l'ouvrage géotechniques identifiés
existant
CLASSIFICATION DES MISSIONS D’INGENIERIE GEOTECHNIQUE
(Tableau 2 de la norme NF P 94-500 du 30/11/13)
L'enchaînement des missions d'ingénierie géotechnique (étapes 1 à 3) doit suivre les étapes de conception et de réalisation de tout projet pour
contribuer à la maîtrise des risques géotechniques. Le maître d'ouvrage ou son mandataire doit faire réaliser successivement chacune de ces
missions par une ingénierie géotechnique. Chaque mission s'appuie sur des données géotechniques adaptées issues d'investigations
géotechniques appropriées.
- Définir si besoin un programme d'investigations géotechniques spécifique, le réaliser ou en assurer le suivi technique, en exploiter les résultats.
- Étudier dans le détail les ouvrages géotechniques : notamment établissement d'une note d'hypothèses géotechniques sur la base des données
fournies par le contrat de travaux ainsi que des résultats des éventuelles investigations complémentaires , définition et dimensionnement (calculs
justificatifs) des ouvrages géotechniques, méthodes et conditions d'exécution (phasages généraux, suivis, auscultations et contrôles à prévoir,
valeurs seuils, dispositions constructives complémentaires éventuelles) .
- Élaborer le dossier géotechnique d'exécution des ouvrages géotechniques provisoires et définitifs : plans d'exécution, de phasage et de suivi.
Phase Suivi
- Suivre en continu les auscultations et l'exécution des ouvrages géotechniques, appliquer si nécessaire des dispositions constructives prédéfinies
en phase Étude.
- Vérifier les données géotechniques par relevés lors des travaux et par un programme d'investigations géotechniques complémentaire si nécessaire
(le réaliser ou en assurer le suivi technique, en exploiter les résultats).
- Établir la prestation géotechnique du dossier des ouvrages exécutés (DOE) et fournir les documents nécessaires à l'établissement du dossier
d'interventions ultérieures sur l'ouvrage (DIUO).
- Donner un avis sur la pertinence des hypothèses géotechniques de l'étude géotechnique d'exécution, des dimensionnements et méthodes
d'exécution, des adaptations ou optimisations des ouvrages géotechniques proposées par l'entrepreneur, du plan de contrôle, du programme
d'auscultation et des valeurs seuils.
Phase Supervision du suivi d'exécution
- Par interventions ponctuelles sur le chantier, donner un avis sur la pertinence du contexte géotechnique tel qu'observé par l'entrepreneur (G3), du
comportement tel qu'observé par l'entrepreneur de l'ouvrage et des avoisinants concernés (G3), de l'adaptation ou de l'optimisation de l'ouvrage
géotechnique proposée par l'entrepreneur (G3).
- donner un avis sur la prestation géotechnique du DOE et sur les documents fournis pour le DIUO.
- Définir, après enquête documentaire, un programme d'investigations géotechniques spécifique, le réaliser ou en assurer le suivi technique, en
exploiter les résultats.
- Étudier un ou plusieurs éléments géotechniques spécifiques (par exemple soutènement, causes géotechniques d'un désordre) dans le cadre de ce
diagnostic, mais sans aucune implication dans la globalité du projet ou dans l'étude de l'état général de l'ouvrage existant.
- Si ce diagnostic conduit à modifier une partie du projet ou à réaliser des travaux sur l'ouvrage existant, des études géotechniques de conception
et/ou d'exécution ainsi qu'un suivi et une supervision géotechniques seront réalisés ultérieurement, conformément à l'enchaînement des missions
d'ingénierie géotechnique (étape 2 et/ou 3).
ANNEXE 2
PLAN DE SITUATION
SP21
SP22+PZ
ST2 SP23+PZ
LEGENDE :
SP Sondage pressiométrique
PZ Piézomètre
ST Sondage à la tarière
VIA PO PI (bar) CR
Pf* (Mpa) (m/h) (bar) (bar)
Stratigraphie
Profondeur
Equipement
Module
Cote (m)
(m/T.N.)
Coupe pressiométrique
Outil
lithologique Eau EM (MPa)
du terrain Pl* (Mpa)
Terre végétale
Superficiel
47.20 0.40
1.69
Marnes et Sables Infragypseux
3.0 30.7 3
2.90
1.04
6.0 20.1 6
1.84
0.86
9.0 14.7 9
Tricône Ø 66 mm
1.55
le 07/01/16
12.0 12
Marno-Calcaire de Saint Ouen
14.0 14
15.0 15
16.0 16
17.0 17
18.0 18
19.0 19
VIA PO PI (bar) CR
Pf* (Mpa) (m/h) (bar) (bar)
Stratigraphie
Profondeur
Equipement
Module
Cote (m)
(m/T.N.)
Coupe pressiométrique
Outil
lithologique Eau EM (MPa)
du terrain Pl* (Mpa)
0.11
1.0 3.0 1
Limon argileux brun
0.18
0.34
46.00 2.00 2.0 5.8 2
Tube PVC Ø 34/40 mm crépiné de 1 à 10 m + bidim
0.60
1.36
3.0 30.3 3
2.33
Marnes et Sables Infragypseux
4.0 4
Tricône Ø 66 mm
1.91
31.6
Marne sableuse beige 3.34
grisâtre 5.0 5
1.42
6.0 22.7 6
2.51
le 07/01/16
7.0 7
0.82
19.4
40.30 7.70
Marno-Calcaire de Saint
7.90 1.48
8.0 8
Ouen
11.0 11
12.0 12
13.0 13
14.0 14
15.0 15
16.0 16
17.0 17
18.0 18
19.0 19
20.0 20
Observation : IDModèle : PR+PA PO100PI40CR250 - 100ème
Site : 93-DRANCY
93/99, rue Sadi Carnot
Affaire : Réalisation du lycée St Germain
Mission : Etude géotechnique G2 AVP
Dossier : 05862 Client : GENETON
X: Date début de forage : 06/01/2016
Forage : SP23+PZ Y: Date fin de forage : 06/01/2016
Type : SONDAGE PRESSIOMETRIQUE Z : 47.45 m Longueur du forage : 10.00 m
Machine : GEO 205 Echelle : 1 / 100 Page : 1/1
VIA PO PI (bar) CR
Pf* (Mpa) (m/h) (bar) (bar)
Stratigraphie
Profondeur
Equipement
Module
Cote (m)
(m/T.N.)
Coupe pressiométrique
Outil
lithologique Eau EM (MPa)
du terrain Pl* (Mpa)
0.11
1.0 2.2 1
Tube PVC Ø 34/40 mm crépiné de 1 à 10 m avec capot métallique + bidim
1.50
3.0 27.8 3
2.55
1.86
28.9
3.20
5.0 5
le 07/01/16
7.0 7
0.64
12.6
Marne argileuse beige 1.05
crème 8.10 8.0 8
0.40
9.0 8.7 9
0.77
11.0 11
12.0 12
13.0 13
14.0 14
15.0 15
16.0 16
17.0 17
18.0 18
19.0 19
20.0 20
Observation : IDModèle : PR+PA PO100PI40CR250 - 100ème
Site : 93-DRANCY
93/99, rue Sadi Carnot
Affaire : Réalisation du lycée St Germain
Mission : Etude géotechnique G2 AVP
Dossier : 05862 Client : GENETON
X: Date début de forage : 06/01/2016
Forage : ST2 Y: Date fin de forage : 06/01/2016
Type : SONDAGE A LA TARIERE Z : 47.45 m Longueur du forage : 3.00 m
Machine : GEO 205 Echelle : 1 / 100 Page : 1/1
Stratigraphie
COTE (m)
PROF.
OUTIL
EAU
COUPE LITHOLOGIQUE DU TERRAIN REMARQUES
47.45 0.00
Terre végétale
47.15 0.30
Recouvrement
Superficiel
Tarière Ø 63 mm
Limon argileux noirâtre
Infragypseux
45.45 2.00 Marnes et
Sables
Marne sableuse beige
44.45 3.00
HT
HT (m)= 0,00
He (m)= 3,0 c m0
Hw (m)= 8 c>10 28,84
He
L (m)= 1,0 1.2<c<10 28,83
B (m)= 0,063 L Hw 0<c<1.2 2,00
c = 15,87 B
m0 = 28,84
3,20
3,15
3,10
Hmoy (m)
3,05
3,00
2,95
2,90
2,85
2,80
1 10 100 1000 10000
T (s)