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Nom : DIBA

Post-nom : MPIANA
Prénom : Henock
L2 LMD/PHOTOGRAPHIE

TRAVAIL PERSONNEL DE L’ETUDIANT

1. L’instant décisif en photographie

L’instant décisif n’a pas était théorisé par Henri Cartier Bresson, pourtant connu pour sa
capacité à capturer l’instant décisif. Et cela nous ramène à immortaliser l’instant précis pour
déterminer une action que le temps ne peut par lui-même arrêter.
Déjà que la photo est question de l’instinct et de réactivité, nous étant photographe nous
restons attentifs aux détails et actions caractérisant le quotidien, pour capturer l’instant parfait
avec beaucoup de passion, pour révéler la dignité et la beauté de l’être humain pour privilégié
l’instant précis durant lequel l’action et la composition d’une scène atteint son apogée.
Dans cette approche photographique les rues animées et autres lieux de rassemblement
constituent le terrain de jeu pour nous photographes à la recherche de l’instant décisif pour
pouvoir écrire avec la lumière. Ce concept peut donc être élargi à des nombreux domaines de la
vie et explorer la photo sous beaucoup d’angles lui caractérisant. Ceci nous rapproches de
l’environnement qui nous entoure et tous les éléments constitutifs de cet environnement
(Bâtiment, objets etc.) Mais également aux interactions entre personnes.

2. L’identité masquée en photographie

L’identité masquée en photographie, est une approche qui nous pousse aux questionnement
sur la double identité ou encore à une identité d’emprunt pour paraître, et aujourd’hui si je me
suis retourner sur l’identité c’est plus en rapport avec la collection Passeport du photographe
congolais Arsène MPIANA MONKWE.
En effet, c’est au travers des nouvelles
Générations qu’on retrouve de plus en plus cette notion « d’identité séparée ». Nous
Vivons dans un monde qui prône l’identité où chaque personne est à la recherche de
Sa propre singularité, presque à l’excès, par des moyens superficiels tels que les
Vêtements ou encore la coiffure. Dans notre société, les gens cherchent à se
Démarquer physiquement des autres, mais aussi de manière psychologique. Chacun
Souhaite paraître unique, se mettre en avant par sa façon de penser ou de raisonner,
Et de trouver sa propre personnalité hors du commun. On peut parler des
« HIPSTERS » Ce Terme « HIPSTER » désigne un type de personne, d’une vingtaine
d’années, fréquentant des lieux branchés et suivant les tendances.
À l’opposé du style documentaire. La photographe explore de manière originale et
critique les thèmes de l’identité, de la performance et de l’impact de l’apparence sur l’identité
sociale.
Et ici nous allons développer à notre tour ce questionnement sur l’identité, tout en nous
rapprochant de la culture et en se focalisant sur les enjeux sociales en faisant un petit retour en
arrière sur l’identité congolaise.

3. La photographie de rue
Ceci étant une pratique photographique en extérieur dont le sujet principal est une
présence humaine directe ou indirecte, dans des situations spontanées et dans des lieux publics
comme la rue, les parcs, les plages ou les manifestations.

4. La photographie de nuit

La photographie de nuit correspond à la prise de photographies à l’extérieur durant la nuit.


Dans les années 1930, Brassaï un photographe Hongrois neutralisé Français initie la technique en
noir et blanc, le style repris en particulier dans les années 1940 par André Schall.
Parlant de cette photographie nous allons aborder ce sujet en y mettant du tiens, plus
particulièrement en faisant vivre les couleurs et saturé un peu plus, la nuit tout est naturellement
noir et ces étincelles des lumières qui viennent de partout rajoute un goût particulier et pour moi
c’est comme voir une lumière au bout du tunnel, raison de plus de faire vivre ces couleurs de plus
en plus pour apporter de la lumière dans mon quartier d’enfance ou les ruelles étaient sans
courant.

5. La photographie sur le travail

Dans cette photographie, nous analysons l’un des reportages célèbres du photographe
brésilien Sebastião Salgado : « La mine d’or de Serra Pelada. État du Pará. Brésil ». Réalisées
en 1986, ces photographies font partie d’un projet plus vaste, intitulé « la main de l’homme »,
cherchant à représenter différentes façons de travailler sur la planète. Le reportage sur la mine
d’or interroge sur le rapport de l’homme au profit, la frontière entre humanité et animalité ainsi
que la persistance des rapports de domination en Amérique latine à la fin du XXe siècle.
La photographie du monde du travail s'applique à un champ considérable de phénomènes
ou de situations et se réalise à plusieurs échelles. L'industrialisation a en effet transformé
radicalement des régions entières comme, par exemple, les bassins miniers et contribué à
l'apparition de nouveaux paysages. Pour rendre compte de l'activité économique, le paysage
industriel est ainsi le premier niveau qu'appréhende le photographe. Cette réalité nouvelle se
décompose ensuite en multiples unités de production, usines, ateliers, chantiers, qui constituent
chacune un cadre de travail, repère visuel que retient le photographe. Pénétrer à l'intérieur des
bâtiments lui permet alors de détailler les machines et outils de production et de prendre enfin
dans son objectif l’instant précis et décisif, en des attitudes plus ou moins posées, les hommes au
travail.

6. La photographie des exclus ou SDF


Cette pratique se fixe sur un visage nouveau concernant les exclus et les abris
La plupart du temps, ces personnes sont vues mais pas entendues.
Ces photos nous permettent de découvrir leur vie privée, pleine de couleurs, d’amour et de tours
de la ville de donner un nouveau sens être cette lueur d’espoir pour une vie meilleure, ce travail
nous permettra de leurs approchées pour pouvoir comprendre l’histoire et l’esprit derrière chaque
personne abritant les ruelles et coin d’avenues.

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