On a bien sûr une définition équivalente pour une suite qui tend vers moins
l’infini. Noter qu’on
dit dans ces situations que (un) admet une limite, mais pas qu’elle est convergente. Revenons un peu aux sous-suites. Proposition 1.2 Si (un) admet une limite (finie ou infinie), toute sous-suite de (un) admet la même limite. Il faut bien sûr noter qu’une suite peut admettre des sous-suites convergentes sans être elle-même convergente. Par exemple si un = (−1)n , la sous-suite (u2n)n≥0 est constante égale à 1 donc convergente, et la sous-suite (u2n+1)n≥0 est constante égale à −1 donc convergente ausOn a bien sûr une définition équivalente pour une suite qui tend vers moins l’infini. Noter qu’on dit dans ces situations que (un) admet une limite, mais pas qu’elle est convergente. Revenons un peu aux sous-suites. Proposition 1.2 Si (un) admet une limite (finie ou infinie), toute sous-suite de (un) admet la même limite. Il faut bien sûr noter qu’une suite peut admettre des sous-suites convergentes sans être elle-même convergente. Par exemple si un = (−1)n , la sous-suite (u2n)n≥0 est constante égale à 1 donc convergente, et la sous-suite (u2n+1)n≥0 est constante égale à −1 donc convergente ausOn a bien sûr une définition équivalente pour une suite qui tend vers moins l’infini. Noter qu’on dit dans ces situations que (un) admet une limite, mais pas qu’elle est convergente. Revenons un peu aux sous-suites. Proposition 1.2 Si (un) admet une limite (finie ou infinie), toute sous-suite de (un) admet la même limite. Il faut bien sûr noter qu’une suite peut admettre des sous-suites convergentes sans être elle-même convergente. Par exemple si un = (−1)n , la sous-suite (u2n)n≥0 est constante égale à 1 donc convergente, et la sous-suite (u2n+1)n≥0 est constante égale à −1 donc convergente ausOn a bien sûr une définition équivalente pour une suite qui tend vers moins l’infini. Noter qu’on dit dans ces situations que (un) admet une limite, mais pas qu’elle est convergente. Revenons un peu aux sous-suites. Proposition 1.2 Si (un) admet une limite (finie ou infinie), toute sous-suite de (un) admet la même limite. Il faut bien sûr noter qu’une suite peut admettre des sous-suites convergentes sans être elle-même convergente. Par exemple si un = (−1)n , la sous-suite (u2n)n≥0 est constante égale à 1 donc convergente, et la sous-suite (u2n+1)n≥0 est constante égale à −1 donc convergente ausOn a bien sûr une définition équivalente pour une suite qui tend vers moins l’infini. Noter qu’on dit dans ces situations que (un) admet une limite, mais pas qu’elle est convergente. Revenons un peu aux sous-suites. Proposition 1.2 Si (un) admet une limite (finie ou infinie), toute sous-suite de (un) admet la même limite. Il faut bien sûr noter qu’une suite peut admettre des sous-suites convergentes sans être elle-même convergente. Par exemple si un = (−1)n , la sous-suite (u2n)n≥0 est constante égale à 1 donc convergente, et la sous-suite (u2n+1)n≥0 est constante égale à −1 donc convergente ausOn a bien sûr une définition équivalente pour une suite qui tend vers moins l’infini. Noter qu’on dit dans ces situations que (un) admet une limite, mais pas qu’elle est convergente. Revenons un peu aux sous-suites. Proposition 1.2 Si (un) admet une limite (finie ou infinie), toute sous-suite de (un) admet la même limite. Il faut bien sûr noter qu’une suite peut admettre des sous-suites convergentes sans être elle-même convergente. Par exemple si un = (−1)n , la sous-suite (u2n)n≥0 est constante égale à 1 donc convergente, et la sous-suite (u2n+1)n≥0 est constante égale à −1 donc convergente ausOn a bien sûr une définition équivalente pour une suite qui tend vers moins l’infini. Noter qu’on dit dans ces situations que (un) admet une limite, mais pas qu’elle est convergente. Revenons un peu aux sous-suites. Proposition 1.2 Si (un) admet une limite (finie ou infinie), toute sous-suite de (un) admet la même limite. Il faut bien sûr noter qu’une suite peut admettre des sous-suites convergentes sans être elle-même convergente. Par exemple si un = (−1)n , la sous-suite (u2n)n≥0 est constante égale à 1 donc convergente, et la sous-suite (u2n+1)n≥0 est constante égale à −1 donc convergente ausOn a bien sûr une définition équivalente pour une suite qui tend vers moins l’infini. Noter qu’on dit dans ces situations que (un) admet une limite, mais pas qu’elle est convergente. Revenons un peu aux sous-suites. Proposition 1.2 Si (un) admet une limite (finie ou infinie), toute sous-suite de (un) admet la même limite. Il faut bien sûr noter qu’une suite peut admettre des sous-suites convergentes sans être elle-même convergente. Par exemple si un = (−1)n , la sous-suite (u2n)n≥0 est constante égale à 1 donc convergente, et la sous-suite (u2n+1)n≥0 est constante égale à −1 donc convergente ausOn a bien sûr une définition équivalente pour une suite qui tend vers moins l’infini. Noter qu’on dit dans ces situations que (un) admet une limite, mais pas qu’elle est convergente. Revenons un peu aux sous-suites. Proposition 1.2 Si (un) admet une limite (finie ou infinie), toute sous-suite de (un) admet la même limite. Il faut bien sûr noter qu’une suite peut admettre des sous-suites convergentes sans être elle-même convergente. Par exemple si un = (−1)n , la sous-suite (u2n)n≥0 est constante égale à 1 donc convergente, et la sous-suite (u2n+1)n≥0 est constante égale à −1 donc convergente ausOn a bien sûr une définition équivalente pour une suite qui tend vers moins l’infini. Noter qu’on dit dans ces situations que (un) admet une limite, mais pas qu’elle est convergente. Revenons un peu aux sous-suites. Proposition 1.2 Si (un) admet une limite (finie ou infinie), toute sous-suite de (un) admet la même limite. Il faut bien sûr noter qu’une suite peut admettre des sous-suites convergentes sans être elle-même convergente. Par exemple si un = (−1)n , la sous-suite (u2n)n≥0 est constante égale à 1 donc convergente, et la sous-suite (u2n+1)n≥0 est constante égale à −1 donc convergente ausOn a bien sûr une définition équivalente pour une suite qui tend vers moins l’infini. Noter qu’on dit dans ces situations que (un) admet une limite, mais pas qu’elle est convergente. Revenons un peu aux sous-suites. Proposition 1.2 Si (un) admet une limite (finie ou infinie), toute sous-suite de (un) admet la même limite. Il faut bien sûr noter qu’une suite peut admettre des sous-suites convergentes sans être elle-même convergente. Par exemple si un = (−1)n , la sous-suite (u2n)n≥0 est constante égale à 1 donc convergente, et la sous-suite (u2n+1)n≥0 est constante égale à −1 donc convergente ausOn a bien sûr une définition équivalente pour une suite qui tend vers moins l’infini. Noter qu’on dit dans ces situations que (un) admet une limite, mais pas qu’elle est convergente. Revenons un peu aux sous-suites. Proposition 1.2 Si (un) admet une limite (finie ou infinie), toute sous-suite de (un) admet la même limite. Il faut bien sûr noter qu’une suite peut admettre des sous-suites convergentes sans être elle-même convergente. Par exemple si un = (−1)n , la sous-suite (u2n)n≥0 est constante égale à 1 donc convergente, et la sous-suite (u2n+1)n≥0 est constante égale à −1 donc convergente ausOn a bien sûr une définition équivalente pour une suite qui tend vers moins l’infini. Noter qu’on dit dans ces situations que (un) admet une limite, mais pas qu’elle est convergente. Revenons un peu aux sous-suites. Proposition 1.2 Si (un) admet une limite (finie ou infinie), toute sous-suite de (un) admet la même limite. Il faut bien sûr noter qu’une suite peut admettre des sous-suites convergentes sans être elle-même convergente. Par exemple si un = (−1)n , la sous-suite (u2n)n≥0 est constante égale à 1 donc convergente, et la sous-suite (u2n+1)n≥0 est constante égale à −1 donc convergente ausOn a bien sûr une définition équivalente pour une suite qui tend vers moins l’infini. Noter qu’on dit dans ces situations que (un) admet une limite, mais pas qu’elle est convergente. Revenons un peu aux sous-suites. Proposition 1.2 Si (un) admet une limite (finie ou infinie), toute sous-suite de (un) admet la même limite. Il faut bien sûr noter qu’une suite peut admettre des sous-suites convergentes sans être elle-même convergente. Par exemple si un = (−1)n , la sous-suite (u2n)n≥0 est constante égale à 1 donc convergente, et la sous-suite (u2n+1)n≥0 est constante égale à −1 donc convergente ausOn a bien sûr une définition équivalente pour une suite qui tend vers moins l’infini. Noter qu’on dit dans ces situations que (un) admet une limite, mais pas qu’elle est convergente. Revenons un peu aux sous-suites. Proposition 1.2 Si (un) admet une limite (finie ou infinie), toute sous-suite de (un) admet la même limite. Il faut bien sûr noter qu’une suite peut admettre des sous-suites convergentes sans être elle-même convergente. Par exemple si un = (−1)n , la sous-suite (u2n)n≥0 est constante égale à 1 donc convergente, et la sous-suite (u2n+1)n≥0 est constante égale à −1 donc convergente ausOn a bien sûr une définition équivalente pour une suite qui tend vers moins l’infini. Noter qu’on dit dans ces situations que (un) admet une limite, mais pas qu’elle est convergente. Revenons un peu aux sous-suites. Proposition 1.2 Si (un) admet une limite (finie ou infinie), toute sous-suite de (un) admet la même limite. Il faut bien sûr noter qu’une suite peut admettre des sous-suites convergentes sans être elle-même convergente. Par exemple si un = (−1)n , la sous-suite (u2n)n≥0 est constante égale à 1 donc convergente, et la sous-suite (u2n+1)n≥0 est constante égale à −1 donc convergente ausOn a bien sûr une définition équivalente pour une suite qui tend vers moins l’infini. Noter qu’on dit dans ces situations que (un) admet une limite, mais pas qu’elle est convergente. Revenons un peu aux sous-suites. Proposition 1.2 Si (un) admet une limite (finie ou infinie), toute sous-suite de (un) admet la même limite. Il faut bien sûr noter qu’une suite peut admettre des sous-suites convergentes sans être elle-même convergente. Par exemple si un = (−1)n , la sous-suite (u2n)n≥0 est constante égale à 1 donc convergente, et la sous-suite (u2n+1)n≥0 est constante égale à −1 donc convergente ausOn a bien sûr une définition équivalente pour une suite qui tend vers moins l’infini. Noter qu’on dit dans ces situations que (un) admet une limite, mais pas qu’elle est convergente. Revenons un peu aux sous-suites. Proposition 1.2 Si (un) admet une limite (finie ou infinie), toute sous-suite de (un) admet la même limite. Il faut bien sûr noter qu’une suite peut admettre des sous-suites convergentes sans être elle-même convergente. Par exemple si un = (−1)n , la sous-suite (u2n)n≥0 est constante égale à 1 donc convergente, et la sous-suite (u2n+1)n≥0 est constante égale à −1 donc convergente ausOn a bien sûr une définition équivalente pour une suite qui tend vers moins l’infini. Noter qu’on dit dans ces situations que (un) admet une limite, mais pas qu’elle est convergente. Revenons un peu aux sous-suites. Proposition 1.2 Si (un) admet une limite (finie ou infinie), toute sous-suite de (un) admet la même limite. Il faut bien sûr noter qu’une suite peut admettre des sous-suites convergentes sans être elle-même convergente. Par exemple si un = (−1)n , la sous-suite (u2n)n≥0 est constante égale à 1 donc convergente, et la sous-suite (u2n+1)n≥0 est constante égale à −1 donc convergente aus