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+2 ∼ n

3
· n = n
4
.
Achtung !
– Se méfier des sommes d’équivalents lorsque les suites ne sont pas de même signe,
comme le
montre l’exemple suivant : un = 1 + 1
n ∼ vn = 1 + 2
n
, mais si wn = −1, il est clair que
un + wn =
1
n ≁ vn + wn =
2
n
, puisque le rapport des deux suites tend vers 1/2 et non vers 1.
– La composition d’un équivalent par la fonction exponentielle ne se passe pas
toujours sans heurt.
Prenons un = n + 1 et vn = n. On a bien un ∼ vn, mais :
e
un
e
vn
= e,
donc e
un ≁ e
vn . De façon générale, on retiendra que :
e
un ∼ e
vn ⇔ un − vn −−−→ n→∞
0.
Lorsque la suite (un) est définie par un = f(n), on pourra souvent utiliser les
critères de comparaisons classiques.
Proposition 1.5 (Comparaisons des suites classiques)
Pour toutes constantes strictement positives α, β, γ, δ, on a : (ln n)
α = o(n
β
), n
β = o(e
γn) et+2 ∼ n
3
· n = n
4
.
Achtung !
– Se méfier des sommes d’équivalents lorsque les suites ne sont pas de même signe,
comme le
montre l’exemple suivant : un = 1 + 1
n ∼ vn = 1 + 2
n
, mais si wn = −1, il est clair que
un + wn =
1
n ≁ vn + wn =
2
n
, puisque le rapport des deux suites tend vers 1/2 et non vers 1.
– La composition d’un équivalent par la fonction exponentielle ne se passe pas
toujours sans heurt.
Prenons un = n + 1 et vn = n. On a bien un ∼ vn, mais :
e
un
e
vn
= e,
donc e
un ≁ e
vn . De façon générale, on retiendra que :
e
un ∼ e
vn ⇔ un − vn −−−→ n→∞
0.
Lorsque la suite (un) est définie par un = f(n), on pourra souvent utiliser les
critères de comparaisons classiques.
Proposition 1.5 (Comparaisons des suites classiques)
Pour toutes constantes strictement positives α, β, γ, δ, on a : (ln n)
α = o(n
β
), n
β = o(e
γn) et+2 ∼ n
3
· n = n
4
.
Achtung !
– Se méfier des sommes d’équivalents lorsque les suites ne sont pas de même signe,
comme le
montre l’exemple suivant : un = 1 + 1
n ∼ vn = 1 + 2
n
, mais si wn = −1, il est clair que
un + wn =
1
n ≁ vn + wn =
2
n
, puisque le rapport des deux suites tend vers 1/2 et non vers 1.
– La composition d’un équivalent par la fonction exponentielle ne se passe pas
toujours sans heurt.
Prenons un = n + 1 et vn = n. On a bien un ∼ vn, mais :
e
un
e
vn
= e,
donc e
un ≁ e
vn . De façon générale, on retiendra que :
e
un ∼ e
vn ⇔ un − vn −−−→ n→∞
0.
Lorsque la suite (un) est définie par un = f(n), on pourra souvent utiliser les
critères de comparaisons classiques.
Proposition 1.5 (Comparaisons des suites classiques)
Pour toutes constantes strictement positives α, β, γ, δ, on a : (ln n)
α = o(n
β
), n
β = o(e
γn) et+2 ∼ n
3
· n = n
4
.
Achtung !
– Se méfier des sommes d’équivalents lorsque les suites ne sont pas de même signe,
comme le
montre l’exemple suivant : un = 1 + 1
n ∼ vn = 1 + 2
n
, mais si wn = −1, il est clair que
un + wn =
1
n ≁ vn + wn =
2
n
, puisque le rapport des deux suites tend vers 1/2 et non vers 1.
– La composition d’un équivalent par la fonction exponentielle ne se passe pas
toujours sans heurt.
Prenons un = n + 1 et vn = n. On a bien un ∼ vn, mais :
e
un
e
vn
= e,
donc e
un ≁ e
vn . De façon générale, on retiendra que :
e
un ∼ e
vn ⇔ un − vn −−−→ n→∞
0.
Lorsque la suite (un) est définie par un = f(n), on pourra souvent utiliser les
critères de comparaisons classiques.
Proposition 1.5 (Comparaisons des suites classiques)
Pour toutes constantes strictement positives α, β, γ, δ, on a : (ln n)
α = o(n
β
), n
β = o(e
γn) et+2 ∼ n
3
· n = n
4
.
Achtung !
– Se méfier des sommes d’équivalents lorsque les suites ne sont pas de même signe,
comme le
montre l’exemple suivant : un = 1 + 1
n ∼ vn = 1 + 2
n
, mais si wn = −1, il est clair que
un + wn =
1
n ≁ vn + wn =
2
n
, puisque le rapport des deux suites tend vers 1/2 et non vers 1.
– La composition d’un équivalent par la fonction exponentielle ne se passe pas
toujours sans heurt.
Prenons un = n + 1 et vn = n. On a bien un ∼ vn, mais :
e
un
e
vn
= e,
donc e
un ≁ e
vn . De façon générale, on retiendra que :
e
un ∼ e
vn ⇔ un − vn −−−→ n→∞
0.
Lorsque la suite (un) est définie par un = f(n), on pourra souvent utiliser les
critères de comparaisons classiques.
Proposition 1.5 (Comparaisons des suites classiques)
Pour toutes constantes strictement positives α, β, γ, δ, on a : (ln n)
α = o(n
β
), n
β = o(e
γn) et+2 ∼ n
3
· n = n
4
.
Achtung !
– Se méfier des sommes d’équivalents lorsque les suites ne sont pas de même signe,
comme le
montre l’exemple suivant : un = 1 + 1
n ∼ vn = 1 + 2
n
, mais si wn = −1, il est clair que
un + wn =
1
n ≁ vn + wn =
2
n
, puisque le rapport des deux suites tend vers 1/2 et non vers 1.
– La composition d’un équivalent par la fonction exponentielle ne se passe pas
toujours sans heurt.
Prenons un = n + 1 et vn = n. On a bien un ∼ vn, mais :
e
un
e
vn
= e,
donc e
un ≁ e
vn . De façon générale, on retiendra que :
e
un ∼ e
vn ⇔ un − vn −−−→ n→∞
0.
Lorsque la suite (un) est définie par un = f(n), on pourra souvent utiliser les
critères de comparaisons classiques.
Proposition 1.5 (Comparaisons des suites classiques)
Pour toutes constantes strictement positives α, β, γ, δ, on a : (ln n)
α = o(n
β
), n
β = o(e
γn) et+2 ∼ n
3
· n = n
4
.
Achtung !
– Se méfier des sommes d’équivalents lorsque les suites ne sont pas de même signe,
comme le
montre l’exemple suivant : un = 1 + 1
n ∼ vn = 1 + 2
n
, mais si wn = −1, il est clair que
un + wn =
1
n ≁ vn + wn =
2
n
, puisque le rapport des deux suites tend vers 1/2 et non vers 1.
– La composition d’un équivalent par la fonction exponentielle ne se passe pas
toujours sans heurt.
Prenons un = n + 1 et vn = n. On a bien un ∼ vn, mais :
e
un
e
vn
= e,
donc e
un ≁ e
vn . De façon générale, on retiendra que :
e
un ∼ e
vn ⇔ un − vn −−−→ n→∞
0.
Lorsque la suite (un) est définie par un = f(n), on pourra souvent utiliser les
critères de comparaisons classiques.
Proposition 1.5 (Comparaisons des suites classiques)
Pour toutes constantes strictement positives α, β, γ, δ, on a : (ln n)
α = o(n
β
), n
β = o(e
γn) et+2 ∼ n
3
· n = n
4
.
Achtung !
– Se méfier des sommes d’équivalents lorsque les suites ne sont pas de même signe,
comme le
montre l’exemple suivant : un = 1 + 1
n ∼ vn = 1 + 2
n
, mais si wn = −1, il est clair que
un + wn =
1
n ≁ vn + wn =
2
n
, puisque le rapport des deux suites tend vers 1/2 et non vers 1.
– La composition d’un équivalent par la fonction exponentielle ne se passe pas
toujours sans heurt.
Prenons un = n + 1 et vn = n. On a bien un ∼ vn, mais :
e
un
e
vn
= e,
donc e
un ≁ e
vn . De façon générale, on retiendra que :
e
un ∼ e
vn ⇔ un − vn −−−→ n→∞
0.
Lorsque la suite (un) est définie par un = f(n), on pourra souvent utiliser les
critères de comparaisons classiques.
Proposition 1.5 (Comparaisons des suites classiques)
Pour toutes constantes strictement positives α, β, γ, δ, on a : (ln n)
α = o(n
β
), n
β = o(e
γn) et+2 ∼ n
3
· n = n
4
.
Achtung !
– Se méfier des sommes d’équivalents lorsque les suites ne sont pas de même signe,
comme le
montre l’exemple suivant : un = 1 + 1
n ∼ vn = 1 + 2
n
, mais si wn = −1, il est clair que
un + wn =
1
n ≁ vn + wn =
2
n
, puisque le rapport des deux suites tend vers 1/2 et non vers 1.
– La composition d’un équivalent par la fonction exponentielle ne se passe pas
toujours sans heurt.
Prenons un = n + 1 et vn = n. On a bien un ∼ vn, mais :
e
un
e
vn
= e,
donc e
un ≁ e
vn . De façon générale, on retiendra que :
e
un ∼ e
vn ⇔ un − vn −−−→ n→∞
0.
Lorsque la suite (un) est définie par un = f(n), on pourra souvent utiliser les
critères de comparaisons classiques.
Proposition 1.5 (Comparaisons des suites classiques)
Pour toutes constantes strictement positives α, β, γ, δ, on a : (ln n)
α = o(n
β
), n
β = o(e
γn) et+2 ∼ n
3
· n = n
4
.
Achtung !
– Se méfier des sommes d’équivalents lorsque les suites ne sont pas de même signe,
comme le
montre l’exemple suivant : un = 1 + 1
n ∼ vn = 1 + 2
n
, mais si wn = −1, il est clair que
un + wn =
1
n ≁ vn + wn =
2
n
, puisque le rapport des deux suites tend vers 1/2 et non vers 1.
– La composition d’un équivalent par la fonction exponentielle ne se passe pas
toujours sans heurt.
Prenons un = n + 1 et vn = n. On a bien un ∼ vn, mais :
e
un
e
vn
= e,
donc e
un ≁ e
vn . De façon générale, on retiendra que :
e
un ∼ e
vn ⇔ un − vn −−−→ n→∞
0.
Lorsque la suite (un) est définie par un = f(n), on pourra souvent utiliser les
critères de comparaisons classiques.
Proposition 1.5 (Comparaisons des suites classiques)
Pour toutes constantes strictement positives α, β, γ, δ, on a : (ln n)
α = o(n
β
), n
β = o(e
γn) et+2 ∼ n
3
· n = n
4
.
Achtung !
– Se méfier des sommes d’équivalents lorsque les suites ne sont pas de même signe,
comme le
montre l’exemple suivant : un = 1 + 1
n ∼ vn = 1 + 2
n
, mais si wn = −1, il est clair que
un + wn =
1
n ≁ vn + wn =
2
n
, puisque le rapport des deux suites tend vers 1/2 et non vers 1.
– La composition d’un équivalent par la fonction exponentielle ne se passe pas
toujours sans heurt.
Prenons un = n + 1 et vn = n. On a bien un ∼ vn, mais :
e
un
e
vn
= e,
donc e
un ≁ e
vn . De façon générale, on retiendra que :
e
un ∼ e
vn ⇔ un − vn −−−→ n→∞
0.
Lorsque la suite (un) est définie par un = f(n), on pourra souvent utiliser les
critères de comparaisons classiques.
Proposition 1.5 (Comparaisons des suites classiques)
Pour toutes constantes strictement positives α, β, γ, δ, on a : (ln n)
α = o(n
β
), n
β = o(e
γn) et+2 ∼ n
3
· n = n
4
.
Achtung !
– Se méfier des sommes d’équivalents lorsque les suites ne sont pas de même signe,
comme le
montre l’exemple suivant : un = 1 + 1
n ∼ vn = 1 + 2
n
, mais si wn = −1, il est clair que
un + wn =
1
n ≁ vn + wn =
2
n
, puisque le rapport des deux suites tend vers 1/2 et non vers 1.
– La composition d’un équivalent par la fonction exponentielle ne se passe pas
toujours sans heurt.
Prenons un = n + 1 et vn = n. On a bien un ∼ vn, mais :
e
un
e
vn
= e,
donc e
un ≁ e
vn . De façon générale, on retiendra que :
e
un ∼ e
vn ⇔ un − vn −−−→ n→∞
0.
Lorsque la suite (un) est définie par un = f(n), on pourra souvent utiliser les
critères de comparaisons classiques.
Proposition 1.5 (Comparaisons des suites classiques)
Pour toutes constantes strictement positives α, β, γ, δ, on a : (ln n)
α = o(n
β
), n
β = o(e
γn) et+2 ∼ n
3
· n = n
4
.
Achtung !
– Se méfier des sommes d’équivalents lorsque les suites ne sont pas de même signe,
comme le
montre l’exemple suivant : un = 1 + 1
n ∼ vn = 1 + 2
n
, mais si wn = −1, il est clair que
un + wn =
1
n ≁ vn + wn =
2
n
, puisque le rapport des deux suites tend vers 1/2 et non vers 1.
– La composition d’un équivalent par la fonction exponentielle ne se passe pas
toujours sans heurt.
Prenons un = n + 1 et vn = n. On a bien un ∼ vn, mais :
e
un
e
vn
= e,
donc e
un ≁ e
vn . De façon générale, on retiendra que :
e
un ∼ e
vn ⇔ un − vn −−−→ n→∞
0.
Lorsque la suite (un) est définie par un = f(n), on pourra souvent utiliser les
critères de comparaisons classiques.
Proposition 1.5 (Comparaisons des suites classiques)
Pour toutes constantes strictement positives α, β, γ, δ, on a : (ln n)
α = o(n
β
), n
β = o(e
γn) et+2 ∼ n
3
· n = n
4
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Achtung !
– Se méfier des sommes d’équivalents lorsque les suites ne sont pas de même signe,
comme le
montre l’exemple suivant : un = 1 + 1
n ∼ vn = 1 + 2
n
, mais si wn = −1, il est clair que
un + wn =
1
n ≁ vn + wn =
2
n
, puisque le rapport des deux suites tend vers 1/2 et non vers 1.
– La composition d’un équivalent par la fonction exponentielle ne se passe pas
toujours sans heurt.
Prenons un = n + 1 et vn = n. On a bien un ∼ vn, mais :
e
un
e
vn
= e,
donc e
un ≁ e
vn . De façon générale, on retiendra que :
e
un ∼ e
vn ⇔ un − vn −−−→ n→∞
0.
Lorsque la suite (un) est définie par un = f(n), on pourra souvent utiliser les
critères de comparaisons classiques.
Proposition 1.5 (Comparaisons des suites classiques)
Pour toutes constantes strictement positives α, β, γ, δ, on a : (ln n)
α = o(n
β
), n
β = o(e
γn) et+2 ∼ n
3
· n = n
4
.
Achtung !
– Se méfier des sommes d’équivalents lorsque les suites ne sont pas de même signe,
comme le
montre l’exemple suivant : un = 1 + 1
n ∼ vn = 1 + 2
n
, mais si wn = −1, il est clair que
un + wn =
1
n ≁ vn + wn =
2
n
, puisque le rapport des deux suites tend vers 1/2 et non vers 1.
– La composition d’un équivalent par la fonction exponentielle ne se passe pas
toujours sans heurt.
Prenons un = n + 1 et vn = n. On a bien un ∼ vn, mais :
e
un
e
vn
= e,
donc e
un ≁ e
vn . De façon générale, on retiendra que :
e
un ∼ e
vn ⇔ un − vn −−−→ n→∞
0.
Lorsque la suite (un) est définie par un = f(n), on pourra souvent utiliser les
critères de comparaisons classiques.
Proposition 1.5 (Comparaisons des suites classiques)
Pour toutes constantes strictement positives α, β, γ, δ, on a : (ln n)
α = o(n
β
), n
β = o(e
γn) et+2 ∼ n
3
· n = n
4
.
Achtung !
– Se méfier des sommes d’équivalents lorsque les suites ne sont pas de même signe,
comme le
montre l’exemple suivant : un = 1 + 1
n ∼ vn = 1 + 2
n
, mais si wn = −1, il est clair que
un + wn =
1
n ≁ vn + wn =
2
n
, puisque le rapport des deux suites tend vers 1/2 et non vers 1.
– La composition d’un équivalent par la fonction exponentielle ne se passe pas
toujours sans heurt.
Prenons un = n + 1 et vn = n. On a bien un ∼ vn, mais :
e
un
e
vn
= e,
donc e
un ≁ e
vn . De façon générale, on retiendra que :
e
un ∼ e
vn ⇔ un − vn −−−→ n→∞
0.
Lorsque la suite (un) est définie par un = f(n), on pourra souvent utiliser les
critères de comparaisons classiques.
Proposition 1.5 (Comparaisons des suites classiques)
Pour toutes constantes strictement positives α, β, γ, δ, on a : (ln n)
α = o(n
β
), n
β = o(e
γn) et+2 ∼ n
3
· n = n
4
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Achtung !
– Se méfier des sommes d’équivalents lorsque les suites ne sont pas de même signe,
comme le
montre l’exemple suivant : un = 1 + 1
n ∼ vn = 1 + 2
n
, mais si wn = −1, il est clair que
un + wn =
1
n ≁ vn + wn =
2
n
, puisque le rapport des deux suites tend vers 1/2 et non vers 1.
– La composition d’un équivalent par la fonction exponentielle ne se passe pas
toujours sans heurt.
Prenons un = n + 1 et vn = n. On a bien un ∼ vn, mais :
e
un
e
vn
= e,
donc e
un ≁ e
vn . De façon générale, on retiendra que :
e
un ∼ e
vn ⇔ un − vn −−−→ n→∞
0.
Lorsque la suite (un) est définie par un = f(n), on pourra souvent utiliser les
critères de comparaisons classiques.
Proposition 1.5 (Comparaisons des suites classiques)
Pour toutes constantes strictement positives α, β, γ, δ, on a : (ln n)
α = o(n
β
), n
β = o(e
γn) et+2 ∼ n
3
· n = n
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Achtung !
– Se méfier des sommes d’équivalents lorsque les suites ne sont pas de même signe,
comme le
montre l’exemple suivant : un = 1 + 1
n ∼ vn = 1 + 2
n
, mais si wn = −1, il est clair que
un + wn =
1
n ≁ vn + wn =
2
n
, puisque le rapport des deux suites tend vers 1/2 et non vers 1.
– La composition d’un équivalent par la fonction exponentielle ne se passe pas
toujours sans heurt.
Prenons un = n + 1 et vn = n. On a bien un ∼ vn, mais :
e
un
e
vn
= e,
donc e
un ≁ e
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e
un ∼ e
vn ⇔ un − vn −−−→ n→∞
0.
Lorsque la suite (un) est définie par un = f(n), on pourra souvent utiliser les
critères de comparaisons classiques.
Proposition 1.5 (Comparaisons des suites classiques)
Pour toutes constantes strictement positives α, β, γ, δ, on a : (ln n)
α = o(n
β
), n
β = o(e
γn) et+2 ∼ n
3
· n = n
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Achtung !
– Se méfier des sommes d’équivalents lorsque les suites ne sont pas de même signe,
comme le
montre l’exemple suivant : un = 1 + 1
n ∼ vn = 1 + 2
n
, mais si wn = −1, il est clair que
un + wn =
1
n ≁ vn + wn =
2
n
, puisque le rapport des deux suites tend vers 1/2 et non vers 1.
– La composition d’un équivalent par la fonction exponentielle ne se passe pas
toujours sans heurt.
Prenons un = n + 1 et vn = n. On a bien un ∼ vn, mais :
e
un
e
vn
= e,
donc e
un ≁ e
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e
un ∼ e
vn ⇔ un − vn −−−→ n→∞
0.
Lorsque la suite (un) est définie par un = f(n), on pourra souvent utiliser les
critères de comparaisons classiques.
Proposition 1.5 (Comparaisons des suites classiques)
Pour toutes constantes strictement positives α, β, γ, δ, on a : (ln n)
α = o(n
β
), n
β = o(e
γn) et+2 ∼ n
3
· n = n
4
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Achtung !
– Se méfier des sommes d’équivalents lorsque les suites ne sont pas de même signe,
comme le
montre l’exemple suivant : un = 1 + 1
n ∼ vn = 1 + 2
n
, mais si wn = −1, il est clair que
un + wn =
1
n ≁ vn + wn =
2
n
, puisque le rapport des deux suites tend vers 1/2 et non vers 1.
– La composition d’un équivalent par la fonction exponentielle ne se passe pas
toujours sans heurt.
Prenons un = n + 1 et vn = n. On a bien un ∼ vn, mais :
e
un
e
vn
= e,
donc e
un ≁ e
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e
un ∼ e
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0.
Lorsque la suite (un) est définie par un = f(n), on pourra souvent utiliser les
critères de comparaisons classiques.
Proposition 1.5 (Comparaisons des suites classiques)
Pour toutes constantes strictement positives α, β, γ, δ, on a : (ln n)
α = o(n
β
), n
β = o(e
γn) et+2 ∼ n
3
· n = n
4
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Achtung !
– Se méfier des sommes d’équivalents lorsque les suites ne sont pas de même signe,
comme le
montre l’exemple suivant : un = 1 + 1
n ∼ vn = 1 + 2
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, mais si wn = −1, il est clair que
un + wn =
1
n ≁ vn + wn =
2
n
, puisque le rapport des deux suites tend vers 1/2 et non vers 1.
– La composition d’un équivalent par la fonction exponentielle ne se passe pas
toujours sans heurt.
Prenons un = n + 1 et vn = n. On a bien un ∼ vn, mais :
e
un
e
vn
= e,
donc e
un ≁ e
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e
un ∼ e
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0.
Lorsque la suite (un) est définie par un = f(n), on pourra souvent utiliser les
critères de comparaisons classiques.
Proposition 1.5 (Comparaisons des suites classiques)
Pour toutes constantes strictement positives α, β, γ, δ, on a : (ln n)
α = o(n
β
), n
β = o(e
γn) et+2 ∼ n
3
· n = n
4
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Achtung !
– Se méfier des sommes d’équivalents lorsque les suites ne sont pas de même signe,
comme le
montre l’exemple suivant : un = 1 + 1
n ∼ vn = 1 + 2
n
, mais si wn = −1, il est clair que
un + wn =
1
n ≁ vn + wn =
2
n
, puisque le rapport des deux suites tend vers 1/2 et non vers 1.
– La composition d’un équivalent par la fonction exponentielle ne se passe pas
toujours sans heurt.
Prenons un = n + 1 et vn = n. On a bien un ∼ vn, mais :
e
un
e
vn
= e,
donc e
un ≁ e
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e
un ∼ e
vn ⇔ un − vn −−−→ n→∞
0.
Lorsque la suite (un) est définie par un = f(n), on pourra souvent utiliser les
critères de comparaisons classiques.
Proposition 1.5 (Comparaisons des suites classiques)
Pour toutes constantes strictement positives α, β, γ, δ, on a : (ln n)
α = o(n
β
), n
β = o(e
γn) et+2 ∼ n
3
· n = n
4
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Achtung !
– Se méfier des sommes d’équivalents lorsque les suites ne sont pas de même signe,
comme le
montre l’exemple suivant : un = 1 + 1
n ∼ vn = 1 + 2
n
, mais si wn = −1, il est clair que
un + wn =
1
n ≁ vn + wn =
2
n
, puisque le rapport des deux suites tend vers 1/2 et non vers 1.
– La composition d’un équivalent par la fonction exponentielle ne se passe pas
toujours sans heurt.
Prenons un = n + 1 et vn = n. On a bien un ∼ vn, mais :
e
un
e
vn
= e,
donc e
un ≁ e
vn . De façon générale, on retiendra que :
e
un ∼ e
vn ⇔ un − vn −−−→ n→∞
0.
Lorsque la suite (un) est définie par un = f(n), on pourra souvent utiliser les
critères de comparaisons classiques.
Proposition 1.5 (Comparaisons des suites classiques)
Pour toutes constantes strictement positives α, β, γ, δ, on a : (ln n)
α = o(n
β
), n
β = o(e
γn) et+2 ∼ n
3
· n = n
4
.
Achtung !
– Se méfier des sommes d’équivalents lorsque les suites ne sont pas de même signe,
comme le
montre l’exemple suivant : un = 1 + 1
n ∼ vn = 1 + 2
n
, mais si wn = −1, il est clair que
un + wn =
1
n ≁ vn + wn =
2
n
, puisque le rapport des deux suites tend vers 1/2 et non vers 1.
– La composition d’un équivalent par la fonction exponentielle ne se passe pas
toujours sans heurt.
Prenons un = n + 1 et vn = n. On a bien un ∼ vn, mais :
e
un
e
vn
= e,
donc e
un ≁ e
vn . De façon générale, on retiendra que :
e
un ∼ e
vn ⇔ un − vn −−−→ n→∞
0.
Lorsque la suite (un) est définie par un = f(n), on pourra souvent utiliser les
critères de comparaisons classiques.
Proposition 1.5 (Comparaisons des suites classiques)
Pour toutes constantes strictement positives α, β, γ, δ, on a : (ln n)
α = o(n
β
), n
β = o(e
γn) et+2 ∼ n
3
· n = n
4
.
Achtung !
– Se méfier des sommes d’équivalents lorsque les suites ne sont pas de même signe,
comme le
montre l’exemple suivant : un = 1 + 1
n ∼ vn = 1 + 2
n
, mais si wn = −1, il est clair que
un + wn =
1
n ≁ vn + wn =
2
n
, puisque le rapport des deux suites tend vers 1/2 et non vers 1.
– La composition d’un équivalent par la fonction exponentielle ne se passe pas
toujours sans heurt.
Prenons un = n + 1 et vn = n. On a bien un ∼ vn, mais :
e
un
e
vn
= e,
donc e
un ≁ e
vn . De façon générale, on retiendra que :
e
un ∼ e
vn ⇔ un − vn −−−→ n→∞
0.
Lorsque la suite (un) est définie par un = f(n), on pourra souvent utiliser les
critères de comparaisons classiques.
Proposition 1.5 (Comparaisons des suites classiques)
Pour toutes constantes strictement positives α, β, γ, δ, on a : (ln n)
α = o(n
β
), n
β = o(e
γn) et+2 ∼ n
3
· n = n
4
.
Achtung !
– Se méfier des sommes d’équivalents lorsque les suites ne sont pas de même signe,
comme le
montre l’exemple suivant : un = 1 + 1
n ∼ vn = 1 + 2
n
, mais si wn = −1, il est clair que
un + wn =
1
n ≁ vn + wn =
2
n
, puisque le rapport des deux suites tend vers 1/2 et non vers 1.
– La composition d’un équivalent par la fonction exponentielle ne se passe pas
toujours sans heurt.
Prenons un = n + 1 et vn = n. On a bien un ∼ vn, mais :
e
un
e
vn
= e,
donc e
un ≁ e
vn . De façon générale, on retiendra que :
e
un ∼ e
vn ⇔ un − vn −−−→ n→∞
0.
Lorsque la suite (un) est définie par un = f(n), on pourra souvent utiliser les
critères de comparaisons classiques.
Proposition 1.5 (Comparaisons des suites classiques)
Pour toutes constantes strictement positives α, β, γ, δ, on a : (ln n)
α = o(n
β
), n
β = o(e
γn) et+2 ∼ n
3
· n = n
4
.
Achtung !
– Se méfier des sommes d’équivalents lorsque les suites ne sont pas de même signe,
comme le
montre l’exemple suivant : un = 1 + 1
n ∼ vn = 1 + 2
n
, mais si wn = −1, il est clair que
un + wn =
1
n ≁ vn + wn =
2
n
, puisque le rapport des deux suites tend vers 1/2 et non vers 1.
– La composition d’un équivalent par la fonction exponentielle ne se passe pas
toujours sans heurt.
Prenons un = n + 1 et vn = n. On a bien un ∼ vn, mais :
e
un
e
vn
= e,
donc e
un ≁ e
vn . De façon générale, on retiendra que :
e
un ∼ e
vn ⇔ un − vn −−−→ n→∞
0.
Lorsque la suite (un) est définie par un = f(n), on pourra souvent utiliser les
critères de comparaisons classiques.
Proposition 1.5 (Comparaisons des suites classiques)
Pour toutes constantes strictement positives α, β, γ, δ, on a : (ln n)
α = o(n
β
), n
β = o(e
γn) et+2 ∼ n
3
· n = n
4
.
Achtung !
– Se méfier des sommes d’équivalents lorsque les suites ne sont pas de même signe,
comme le
montre l’exemple suivant : un = 1 + 1
n ∼ vn = 1 + 2
n
, mais si wn = −1, il est clair que
un + wn =
1
n ≁ vn + wn =
2
n
, puisque le rapport des deux suites tend vers 1/2 et non vers 1.
– La composition d’un équivalent par la fonction exponentielle ne se passe pas
toujours sans heurt.
Prenons un = n + 1 et vn = n. On a bien un ∼ vn, mais :
e
un
e
vn
= e,
donc e
un ≁ e
vn . De façon générale, on retiendra que :
e
un ∼ e
vn ⇔ un − vn −−−→ n→∞
0.
Lorsque la suite (un) est définie par un = f(n), on pourra souvent utiliser les
critères de comparaisons classiques.
Proposition 1.5 (Comparaisons des suites classiques)
Pour toutes constantes strictement positives α, β, γ, δ, on a : (ln n)
α = o(n
β
), n
β = o(e
γn) et+2 ∼ n
3
· n = n
4
.
Achtung !
– Se méfier des sommes d’équivalents lorsque les suites ne sont pas de même signe,
comme le
montre l’exemple suivant : un = 1 + 1
n ∼ vn = 1 + 2
n
, mais si wn = −1, il est clair que
un + wn =
1
n ≁ vn + wn =
2
n
, puisque le rapport des deux suites tend vers 1/2 et non vers 1.
– La composition d’un équivalent par la fonction exponentielle ne se passe pas
toujours sans heurt.
Prenons un = n + 1 et vn = n. On a bien un ∼ vn, mais :
e
un
e
vn
= e,
donc e
un ≁ e
vn . De façon générale, on retiendra que :
e
un ∼ e
vn ⇔ un − vn −−−→ n→∞
0.
Lorsque la suite (un) est définie par un = f(n), on pourra souvent utiliser les
critères de comparaisons classiques.
Proposition 1.5 (Comparaisons des suites classiques)
Pour toutes constantes strictement positives α, β, γ, δ, on a : (ln n)
α = o(n
β
), n
β = o(e
γn) et

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