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1.4.

4 Transformation d’Abel
Théorème 1.5 (Critère d’Abel)
Soit la série Panbn. Si la suite (an) décroît vers 0 et si les sommes partielles de
la série Pbn
sont bornées alors Panbn converge.
Remarque. Dire que les sommes partielles de la série Pbn sont bornées signifie
qu’il existe M > 0
tel que :
∀N ≥ 0
X
N
n=0
bn
≤ M.
Si par exemple bn = sin n, on montre que :
BN =
X
N
n=0
sin n =
sin N
2
sin N+1
2
sin 1
2
,
d’où l’on déduit que les sommes partielles BN sont bornées, avec :
∀N ≥ 0 |BN | ≤ 1
sin 1
2
.
Preuve. Le résultat se montre en effectuant une transformation d’Abel : c’est
l’analogue d’une
intégration par parties pour les séries. En ce sens, notons :
αn = an − an−1 Bn =
Xn
k=0
bk.
(αn) peut être vu comme la dérivée de (an) et (Bn) comme la primitive de (bn). Pour
prouver
que la série Panbn converge, puisqu’on n’a aucune idée de sa limite, on passe par
le sacro-saint
critère de Cauchy. Notons comme d’habitude SN =
PN
n=0 anbn les sommes partielles. Voici en quoi1.4.4 Transformation d’Abel
Théorème 1.5 (Critère d’Abel)
Soit la série Panbn. Si la suite (an) décroît vers 0 et si les sommes partielles de
la série Pbn
sont bornées alors Panbn converge.
Remarque. Dire que les sommes partielles de la série Pbn sont bornées signifie
qu’il existe M > 0
tel que :
∀N ≥ 0
X
N
n=0
bn
≤ M.
Si par exemple bn = sin n, on montre que :
BN =
X
N
n=0
sin n =
sin N
2
sin N+1
2
sin 1
2
,
d’où l’on déduit que les sommes partielles BN sont bornées, avec :
∀N ≥ 0 |BN | ≤ 1
sin 1
2
.
Preuve. Le résultat se montre en effectuant une transformation d’Abel : c’est
l’analogue d’une
intégration par parties pour les séries. En ce sens, notons :
αn = an − an−1 Bn =
Xn
k=0
bk.
(αn) peut être vu comme la dérivée de (an) et (Bn) comme la primitive de (bn). Pour
prouver
que la série Panbn converge, puisqu’on n’a aucune idée de sa limite, on passe par
le sacro-saint
critère de Cauchy. Notons comme d’habitude SN =
PN
n=0 anbn les sommes partielles. Voici en quoi1.4.4 Transformation d’Abel
Théorème 1.5 (Critère d’Abel)
Soit la série Panbn. Si la suite (an) décroît vers 0 et si les sommes partielles de
la série Pbn
sont bornées alors Panbn converge.
Remarque. Dire que les sommes partielles de la série Pbn sont bornées signifie
qu’il existe M > 0
tel que :
∀N ≥ 0
X
N
n=0
bn
≤ M.
Si par exemple bn = sin n, on montre que :
BN =
X
N
n=0
sin n =
sin N
2
sin N+1
2
sin 1
2
,
d’où l’on déduit que les sommes partielles BN sont bornées, avec :
∀N ≥ 0 |BN | ≤ 1
sin 1
2
.
Preuve. Le résultat se montre en effectuant une transformation d’Abel : c’est
l’analogue d’une
intégration par parties pour les séries. En ce sens, notons :
αn = an − an−1 Bn =
Xn
k=0
bk.
(αn) peut être vu comme la dérivée de (an) et (Bn) comme la primitive de (bn). Pour
prouver
que la série Panbn converge, puisqu’on n’a aucune idée de sa limite, on passe par
le sacro-saint
critère de Cauchy. Notons comme d’habitude SN =
PN
n=0 anbn les sommes partielles. Voici en quoi1.4.4 Transformation d’Abel
Théorème 1.5 (Critère d’Abel)
Soit la série Panbn. Si la suite (an) décroît vers 0 et si les sommes partielles de
la série Pbn
sont bornées alors Panbn converge.
Remarque. Dire que les sommes partielles de la série Pbn sont bornées signifie
qu’il existe M > 0
tel que :
∀N ≥ 0
X
N
n=0
bn
≤ M.
Si par exemple bn = sin n, on montre que :
BN =
X
N
n=0
sin n =
sin N
2
sin N+1
2
sin 1
2
,
d’où l’on déduit que les sommes partielles BN sont bornées, avec :
∀N ≥ 0 |BN | ≤ 1
sin 1
2
.
Preuve. Le résultat se montre en effectuant une transformation d’Abel : c’est
l’analogue d’une
intégration par parties pour les séries. En ce sens, notons :
αn = an − an−1 Bn =
Xn
k=0
bk.
(αn) peut être vu comme la dérivée de (an) et (Bn) comme la primitive de (bn). Pour
prouver
que la série Panbn converge, puisqu’on n’a aucune idée de sa limite, on passe par
le sacro-saint
critère de Cauchy. Notons comme d’habitude SN =
PN
n=0 anbn les sommes partielles. Voici en quoi1.4.4 Transformation d’Abel
Théorème 1.5 (Critère d’Abel)
Soit la série Panbn. Si la suite (an) décroît vers 0 et si les sommes partielles de
la série Pbn
sont bornées alors Panbn converge.
Remarque. Dire que les sommes partielles de la série Pbn sont bornées signifie
qu’il existe M > 0
tel que :
∀N ≥ 0
X
N
n=0
bn
≤ M.
Si par exemple bn = sin n, on montre que :
BN =
X
N
n=0
sin n =
sin N
2
sin N+1
2
sin 1
2
,
d’où l’on déduit que les sommes partielles BN sont bornées, avec :
∀N ≥ 0 |BN | ≤ 1
sin 1
2
.
Preuve. Le résultat se montre en effectuant une transformation d’Abel : c’est
l’analogue d’une
intégration par parties pour les séries. En ce sens, notons :
αn = an − an−1 Bn =
Xn
k=0
bk.
(αn) peut être vu comme la dérivée de (an) et (Bn) comme la primitive de (bn). Pour
prouver
que la série Panbn converge, puisqu’on n’a aucune idée de sa limite, on passe par
le sacro-saint
critère de Cauchy. Notons comme d’habitude SN =
PN
n=0 anbn les sommes partielles. Voici en quoi1.4.4 Transformation d’Abel
Théorème 1.5 (Critère d’Abel)
Soit la série Panbn. Si la suite (an) décroît vers 0 et si les sommes partielles de
la série Pbn
sont bornées alors Panbn converge.
Remarque. Dire que les sommes partielles de la série Pbn sont bornées signifie
qu’il existe M > 0
tel que :
∀N ≥ 0
X
N
n=0
bn
≤ M.
Si par exemple bn = sin n, on montre que :
BN =
X
N
n=0
sin n =
sin N
2
sin N+1
2
sin 1
2
,
d’où l’on déduit que les sommes partielles BN sont bornées, avec :
∀N ≥ 0 |BN | ≤ 1
sin 1
2
.
Preuve. Le résultat se montre en effectuant une transformation d’Abel : c’est
l’analogue d’une
intégration par parties pour les séries. En ce sens, notons :
αn = an − an−1 Bn =
Xn
k=0
bk.
(αn) peut être vu comme la dérivée de (an) et (Bn) comme la primitive de (bn). Pour
prouver
que la série Panbn converge, puisqu’on n’a aucune idée de sa limite, on passe par
le sacro-saint
critère de Cauchy. Notons comme d’habitude SN =
PN
n=0 anbn les sommes partielles. Voici en quoi1.4.4 Transformation d’Abel
Théorème 1.5 (Critère d’Abel)
Soit la série Panbn. Si la suite (an) décroît vers 0 et si les sommes partielles de
la série Pbn
sont bornées alors Panbn converge.
Remarque. Dire que les sommes partielles de la série Pbn sont bornées signifie
qu’il existe M > 0
tel que :
∀N ≥ 0
X
N
n=0
bn
≤ M.
Si par exemple bn = sin n, on montre que :
BN =
X
N
n=0
sin n =
sin N
2
sin N+1
2
sin 1
2
,
d’où l’on déduit que les sommes partielles BN sont bornées, avec :
∀N ≥ 0 |BN | ≤ 1
sin 1
2
.
Preuve. Le résultat se montre en effectuant une transformation d’Abel : c’est
l’analogue d’une
intégration par parties pour les séries. En ce sens, notons :
αn = an − an−1 Bn =
Xn
k=0
bk.
(αn) peut être vu comme la dérivée de (an) et (Bn) comme la primitive de (bn). Pour
prouver
que la série Panbn converge, puisqu’on n’a aucune idée de sa limite, on passe par
le sacro-saint
critère de Cauchy. Notons comme d’habitude SN =
PN
n=0 anbn les sommes partielles. Voici en quoi1.4.4 Transformation d’Abel
Théorème 1.5 (Critère d’Abel)
Soit la série Panbn. Si la suite (an) décroît vers 0 et si les sommes partielles de
la série Pbn
sont bornées alors Panbn converge.
Remarque. Dire que les sommes partielles de la série Pbn sont bornées signifie
qu’il existe M > 0
tel que :
∀N ≥ 0
X
N
n=0
bn
≤ M.
Si par exemple bn = sin n, on montre que :
BN =
X
N
n=0
sin n =
sin N
2
sin N+1
2
sin 1
2
,
d’où l’on déduit que les sommes partielles BN sont bornées, avec :
∀N ≥ 0 |BN | ≤ 1
sin 1
2
.
Preuve. Le résultat se montre en effectuant une transformation d’Abel : c’est
l’analogue d’une
intégration par parties pour les séries. En ce sens, notons :
αn = an − an−1 Bn =
Xn
k=0
bk.
(αn) peut être vu comme la dérivée de (an) et (Bn) comme la primitive de (bn). Pour
prouver
que la série Panbn converge, puisqu’on n’a aucune idée de sa limite, on passe par
le sacro-saint
critère de Cauchy. Notons comme d’habitude SN =
PN
n=0 anbn les sommes partielles. Voici en quoi1.4.4 Transformation d’Abel
Théorème 1.5 (Critère d’Abel)
Soit la série Panbn. Si la suite (an) décroît vers 0 et si les sommes partielles de
la série Pbn
sont bornées alors Panbn converge.
Remarque. Dire que les sommes partielles de la série Pbn sont bornées signifie
qu’il existe M > 0
tel que :
∀N ≥ 0
X
N
n=0
bn
≤ M.
Si par exemple bn = sin n, on montre que :
BN =
X
N
n=0
sin n =
sin N
2
sin N+1
2
sin 1
2
,
d’où l’on déduit que les sommes partielles BN sont bornées, avec :
∀N ≥ 0 |BN | ≤ 1
sin 1
2
.
Preuve. Le résultat se montre en effectuant une transformation d’Abel : c’est
l’analogue d’une
intégration par parties pour les séries. En ce sens, notons :
αn = an − an−1 Bn =
Xn
k=0
bk.
(αn) peut être vu comme la dérivée de (an) et (Bn) comme la primitive de (bn). Pour
prouver
que la série Panbn converge, puisqu’on n’a aucune idée de sa limite, on passe par
le sacro-saint
critère de Cauchy. Notons comme d’habitude SN =
PN
n=0 anbn les sommes partielles. Voici en quoi1.4.4 Transformation d’Abel
Théorème 1.5 (Critère d’Abel)
Soit la série Panbn. Si la suite (an) décroît vers 0 et si les sommes partielles de
la série Pbn
sont bornées alors Panbn converge.
Remarque. Dire que les sommes partielles de la série Pbn sont bornées signifie
qu’il existe M > 0
tel que :
∀N ≥ 0
X
N
n=0
bn
≤ M.
Si par exemple bn = sin n, on montre que :
BN =
X
N
n=0
sin n =
sin N
2
sin N+1
2
sin 1
2
,
d’où l’on déduit que les sommes partielles BN sont bornées, avec :
∀N ≥ 0 |BN | ≤ 1
sin 1
2
.
Preuve. Le résultat se montre en effectuant une transformation d’Abel : c’est
l’analogue d’une
intégration par parties pour les séries. En ce sens, notons :
αn = an − an−1 Bn =
Xn
k=0
bk.
(αn) peut être vu comme la dérivée de (an) et (Bn) comme la primitive de (bn). Pour
prouver
que la série Panbn converge, puisqu’on n’a aucune idée de sa limite, on passe par
le sacro-saint
critère de Cauchy. Notons comme d’habitude SN =
PN
n=0 anbn les sommes partielles. Voici en quoi1.4.4 Transformation d’Abel
Théorème 1.5 (Critère d’Abel)
Soit la série Panbn. Si la suite (an) décroît vers 0 et si les sommes partielles de
la série Pbn
sont bornées alors Panbn converge.
Remarque. Dire que les sommes partielles de la série Pbn sont bornées signifie
qu’il existe M > 0
tel que :
∀N ≥ 0
X
N
n=0
bn
≤ M.
Si par exemple bn = sin n, on montre que :
BN =
X
N
n=0
sin n =
sin N
2
sin N+1
2
sin 1
2
,
d’où l’on déduit que les sommes partielles BN sont bornées, avec :
∀N ≥ 0 |BN | ≤ 1
sin 1
2
.
Preuve. Le résultat se montre en effectuant une transformation d’Abel : c’est
l’analogue d’une
intégration par parties pour les séries. En ce sens, notons :
αn = an − an−1 Bn =
Xn
k=0
bk.
(αn) peut être vu comme la dérivée de (an) et (Bn) comme la primitive de (bn). Pour
prouver
que la série Panbn converge, puisqu’on n’a aucune idée de sa limite, on passe par
le sacro-saint
critère de Cauchy. Notons comme d’habitude SN =
PN
n=0 anbn les sommes partielles. Voici en quoi1.4.4 Transformation d’Abel
Théorème 1.5 (Critère d’Abel)
Soit la série Panbn. Si la suite (an) décroît vers 0 et si les sommes partielles de
la série Pbn
sont bornées alors Panbn converge.
Remarque. Dire que les sommes partielles de la série Pbn sont bornées signifie
qu’il existe M > 0
tel que :
∀N ≥ 0
X
N
n=0
bn
≤ M.
Si par exemple bn = sin n, on montre que :
BN =
X
N
n=0
sin n =
sin N
2
sin N+1
2
sin 1
2
,
d’où l’on déduit que les sommes partielles BN sont bornées, avec :
∀N ≥ 0 |BN | ≤ 1
sin 1
2
.
Preuve. Le résultat se montre en effectuant une transformation d’Abel : c’est
l’analogue d’une
intégration par parties pour les séries. En ce sens, notons :
αn = an − an−1 Bn =
Xn
k=0
bk.
(αn) peut être vu comme la dérivée de (an) et (Bn) comme la primitive de (bn). Pour
prouver
que la série Panbn converge, puisqu’on n’a aucune idée de sa limite, on passe par
le sacro-saint
critère de Cauchy. Notons comme d’habitude SN =
PN
n=0 anbn les sommes partielles. Voici en quoi1.4.4 Transformation d’Abel
Théorème 1.5 (Critère d’Abel)
Soit la série Panbn. Si la suite (an) décroît vers 0 et si les sommes partielles de
la série Pbn
sont bornées alors Panbn converge.
Remarque. Dire que les sommes partielles de la série Pbn sont bornées signifie
qu’il existe M > 0
tel que :
∀N ≥ 0
X
N
n=0
bn
≤ M.
Si par exemple bn = sin n, on montre que :
BN =
X
N
n=0
sin n =
sin N
2
sin N+1
2
sin 1
2
,
d’où l’on déduit que les sommes partielles BN sont bornées, avec :
∀N ≥ 0 |BN | ≤ 1
sin 1
2
.
Preuve. Le résultat se montre en effectuant une transformation d’Abel : c’est
l’analogue d’une
intégration par parties pour les séries. En ce sens, notons :
αn = an − an−1 Bn =
Xn
k=0
bk.
(αn) peut être vu comme la dérivée de (an) et (Bn) comme la primitive de (bn). Pour
prouver
que la série Panbn converge, puisqu’on n’a aucune idée de sa limite, on passe par
le sacro-saint
critère de Cauchy. Notons comme d’habitude SN =
PN
n=0 anbn les sommes partielles. Voici en quoi1.4.4 Transformation d’Abel
Théorème 1.5 (Critère d’Abel)
Soit la série Panbn. Si la suite (an) décroît vers 0 et si les sommes partielles de
la série Pbn
sont bornées alors Panbn converge.
Remarque. Dire que les sommes partielles de la série Pbn sont bornées signifie
qu’il existe M > 0
tel que :
∀N ≥ 0
X
N
n=0
bn
≤ M.
Si par exemple bn = sin n, on montre que :
BN =
X
N
n=0
sin n =
sin N
2
sin N+1
2
sin 1
2
,
d’où l’on déduit que les sommes partielles BN sont bornées, avec :
∀N ≥ 0 |BN | ≤ 1
sin 1
2
.
Preuve. Le résultat se montre en effectuant une transformation d’Abel : c’est
l’analogue d’une
intégration par parties pour les séries. En ce sens, notons :
αn = an − an−1 Bn =
Xn
k=0
bk.
(αn) peut être vu comme la dérivée de (an) et (Bn) comme la primitive de (bn). Pour
prouver
que la série Panbn converge, puisqu’on n’a aucune idée de sa limite, on passe par
le sacro-saint
critère de Cauchy. Notons comme d’habitude SN =
PN
n=0 anbn les sommes partielles. Voici en quoi

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