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Exercice 1
⎛ ⎞ ⎛ ⎞ ⎛ ⎞
1 1 1
Soient 𝐸 = ℝ3 , et
𝑢 = ⎝ 1 ⎠, 𝑣 = ⎝ 1 ⎠, 𝑤 = ⎝ 0 ⎠.
1 0 0
Vérifier que {𝑢, 𝑣, 𝑤} est une base de ℝ3 , puis trouver par le procédé de Gram-Schmidt une base
orthonormée de ℝ3 .
Exercice 2
Exercice 3
Soit 𝐸 l’espace vectoriel des polynômes à coefficients réels, de degré ≤ 2, muni du produit scalaire
∫ 1
< 𝑃, 𝑄 > = 𝑃 (𝑥)𝑄(𝑥)𝑑𝑥.
0
Soit F le sous-espace formé des polynômes de degré inférieur à 1 et 𝑅(𝑥) = 𝑥2 .
Exercice 4
1
Exercice 6
2. Montrer que, dans le cas où aucun des 𝑋𝑖 n’est nul, il y a égalité si et seulement si
(𝑋1 , 𝑋2 , ...., 𝑋𝑛 ) est une base orthogonale de 𝐸.
Exercice 8
Montrer que deux vecteurs x, y d’un es-pace euclidien sont orthogonaux si, et seulement si, ∀λ ∈ R, kx + λyk ≥ kxk.
Exercice 9
n
X
Soit E un espace euclidien et e1 , . . . , en ∈ E tels que ∀x ∈ E, kxk2 = hx, ei i2 .
i=1
2. Supposons, dans cette question, que les vecteurs e1 , . . . , en sont unitaires. Montrer que (e1 , . . . , en )
Exercice 11
n
X √ n
X
Soit A = (aij ) une matrice orthogonale d’ordre n. Prouver |aij | 6 n n et aij 6 n.
i,j=1 i,j=1
Exercice 12
2
Exercice 13 Similitudes
Soient E un espace euclidien, f ∈ L(E) et λ > 0. On dit que f est une similitude de rapport λ si :
∀ x ∈ E, kf (x)k = λkxk.
1) Montrer que f est une similitude de rapport λ si et seulement si : ∀ x, y ∈ E, (f (x) | f (y)) = λ2 (x | y).
2) Caractériser les similtudes par leurs matrices dans une base orthonormée.
3) Montrer que f est une similitude si et seulement si f est non nulle et conserve l’orthogonalité, c’est à
dire : ∀ x, y ∈ E, x ⊥ y ⇒ f (x) ⊥ f (y).
Exercice 14
!
a2 ab − c ac + b
3 b2
On considère l’endomorphisme de R de matrice dans la base canonique : A = ab + c bc − a
ac − b bc + a c2
avec a, b, c ∈ R. Déterminer a, b, c de sorte que f soit une isométrie, et la préciser.
Exercice 15
Exercice 16
Soit (x1 , ...xn ) une famille de n vecteurs de E et F le sous-espace qu’ils engendrent. On appelle matrice de Gram
1. Montrer que la famille (x1 , ..., xn ) est liée si et seulement si det G(x1 , ..., xn ) = 0
(On pourra introduire la matrice de la famille (x1 , ..., xn ) dans une base orthonormée.)
On retrouve en particulier le résultat précédent.
det G(x, x1 , ..., xn )
3. Soit x ∈ E. Montrer que d(x, F)2 = .
det G(x1 , ..., xn )
(a) Soit u ∈ L(E). Montrer qu’il existe un unique endomorphisme u∗ de E tel que : ∀(x, y) ∈ E 2 ,
(b) Montrer que u 7−→ u∗ est linéaire involutive. Calculer (uv)∗ pour (u, v) ∈ L(E)2 . Préciser id∗E .
(c) Si B est une base orthonormée de E et si A est la matrice de u dans B, quelle est la matrice de u∗ dans B?
(d) Montrer que u ∈ O(E) si et seulement si uu∗ = idE .