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1
= (k2 − β2)2 sinh(βa)2 +
2
4k2β2
Enfin, le coefficient de transmission vaut :
2
E 1
T= =
UN (k2−β2)2
4k2β2 sinh(βa)2 + 12
Cela diffère des prédictions de la physique classique. Selon la physique classique, une particule
ne peut pas franchir une barrière lorsque E<V . Cependant d'après ce résultat il y a une probabilité
non nulle que la particule puisse franchir la barrière.
Cet effet quantique est appelé effet tunnel.
Parité
L'opérateur de parité P agit sur une fonction d'onde de la manière suivante :
P ψ(x) = ψ(−x)
Considérons maintenant l'équation aux valeurs propres pour P :
Pψ(x) = λψ(x)
L'application de P une seconde fois dans la première équation donne :
propres sontelles de parité ? Une fonction paire pour laquelle ψ(−x) = ψ(x) est considérée comme
ayant la valeur propre +1 et on peut dire qu'elle a une parité paire. Une fonction impaire pour
laquelle ψ(−x) = −ψ(x) correspond à la valeur propre −1 et est dite de parité impaire. Les parties
paires et impaires de toute fonction d'onde peuvent être construites en utilisant :
1
ψe(x) = ψ(x) + ψ(−x) √2
1
ψo(x) = ψ(x) − ψ(−x)
√2
Lorsque le potentiel est symétrique, de sorte que V (x) = V (−x), l'hamiltonien H
commute avec l'opérateur de parité. Cela signifie que si ψ(x) est une fonction propre
de, Hde même que P ψ(x).
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EXEMPLE 3.5
Trouver les énergies possibles pour le carré bien défini par :
SOLUTION
Un tracé qualitatif du potentiel est illustré à la Figure 313 :
Fig. 313
En suivant la procédure utilisée dans le problème précédent, nous définissons trois régions :
Région I : − ∞ <x< 0
Région II : 0 <x<a
Région III : a<x< ∞
On définit à nouveau :
2mE 2m(V − E) ,
k2 = β2 =
h¯ 2 h¯ 2
avec les fonctions d'onde :
φI (x) = Aeβx
φI I (x) = Ceikx + De−ikx
φIII (x) = F e−βx
Dans la région II, notez que le puits est centré autour de l'origine. Par conséquent, les solutions
seront soit des fonctions paires , soit des fonctions impaires . Les solutions paires sont données en
termes de fonctions cos tandis que les solutions impaires sont données en termes de fonctions sin .
Nous procédons aux solutions paires. Le cas impair est similaire :
φI (x) = Aeβx
φI I (x) = C cos(kx)
φ (x) = βAeβx
je
k tan(k − a/2) = β
Rappelant que
2mE 2m(V − E) ,
k2 = β2 = h¯
h¯ 2 2
La relation cidessus est une équation transcendantale qui peut être utilisée pour trouver les énergies
autorisées. Cela peut être fait numériquement ou graphiquement. On réécrit légèrement l'équation :
βtan (ka/2)
=k
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Les endroits où ces courbes se croisent donnent les énergies autorisées. Ces valeurs propres
sont discrètes, le nombre d'entre elles trouvées dépend du paramètre :
2mV a2
λ=
h¯ 2
Si λ est grand, il y aura plusieurs énergies autorisées, tandis que si λ est petit, il pourrait y avoir
être deux ou même une seule énergie d'état lié. Un tracé dans la Figure 314 montre un exemple :
Fig. 314
La procédure pour les solutions impaires est similaire, sauf que vous arriverez à une cosfonction
au lieu de la tangente.
EXEMPLE 3.6
Supposer que:
V (x) = −V δ(x)
où V > 0.
SOLUTION
−2mE
( a ) Si nous posons β2 = , l'équation de Schrödinger est :
h¯ 2
0= d2ψ 2m d2ψ 2m
+ (V δ(x) + E)ψ = h¯ + V δ(x) − β2 ψ
dx2 2 dx2 h¯ 2
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ψI (x) = Aeβx ψI I
(x) = De−βx
Même avec un potentiel de fonction delta, la continuité de la fonction d'onde est requise.
La continuité de en x = 0 nous dit que :
A=D
La dérivée de la fonction d'onde n'est pas continue. On peut trouver le dis V δ(x). Nous
intégrant le terme fonction de ± où est 2m pouvons intégrer la continuité delta en
h¯ 2
un petit paramètre, puis laisser → 0 pour découvrir comment se comporte la dérivée.
Rappelons l'équation de Schrödinger :
d2ψ 2m +
V δ(x) − β2 ψ = 0 h¯
dx2 2
En examinant le dernier terme, nous intégrons sur ± et utilisons le fait que (0) = A :
Soit ε → 0, on voit que ce terme s'annule. Cela laisse deux termes que nous devons
calculer :
d2ψ 2m
dx + V δ(x)ψ(x)dx = 0 h¯
dx2 2
− −
ψI I (x) = Ae−βx
Nous avons:
Et ainsi:
d2ψ dψ −dψ
dx = = −βA(e−β + e−β ) = −2βAe−β
− dx2 dx x=+ dx x=−
dψ −dψ
= −2βA
dx x=+ dx x=−
2m
En intégrant h¯ 2
V δ(x)ψ(x) on utilise la propriété d'échantillonnage de la fonction Delta :
2m 2m 2m
V δ(x)ψ(x)dx = Vψ(0) = Virginie
− h¯ 2 h¯ 2 h¯ 2
−2m
− 2βA = h¯ Virginie
2
m
β=
h¯ 2V
En utilisant β2 = −2mE
h¯ 2 , on trouve que l'énergie est :
2
E= −mV
2h¯ 2
ψI (x) = Aeβx
ψI I (x) = Ae−βx
ψ(x) = Ae−β|x|
UN
0
− 4 − 2 2 4
β β β β
Fig. 315
A est trouvé par normalisation. En fait, nous avons visité cette fonction d'onde au chapitre 2.
Là, nous avons pris
ψ(x) = Ae−|x| 2a
1
A=
√2a
A = β, ψ(x) = βe−β|x|
( b ) Pour E > 0, les fonctions d'onde sont, pour les particules incidentes de x = −∞ :
La continuité en x = 0 donne :
A+B=C
(x) = ikCeikx
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La dérivée première est à nouveau discontinue dans ce cas. Procéder comme en partie
(un):
d2ψ dψ −dψ
dx = = ikCeik − ik(Ae−ik − Beik )
− dx2 dx x=+ dx x=−
Soit ε → 0 on obtient :
ik(C − A + B)
Puisque A+B = C, nous pouvons prendre ψ(0) pour être l'un ou l'autre terme. On posera ψ(0) = C.
Alors:
d2ψ 2m
dx + V δ(x)ψ(x)dx = 0
− dx2 − h¯ 2
2mV C
=0
ik(C − UNE + B) +
h¯ 2
2mV
− − i2k C = −i2kA
h¯ 2
k2 1
2
T = |C/A| = =
m2V 2 m2V 2
k2 + 1+
h¯ 2 k2h¯ 2
m2V 2
2k2 + h¯ 2
R=
m2V 2
k2 +
h¯ 2
Théorème d'Ehrenfest
Considérons la dérivée temporelle de la valeur d'espérance de x (nous supposons que x ne
dépend pas directement du temps) :
d d d d je
d je je je je
d p
x=
dt m
d je je je dV
p= H,p = h¯ p2 /2m + V (x), p = V (x), p = −
dt h¯ h¯ dx
Ces résultats nous donnent ensemble le théorème d'Ehrenfest, qui stipule que les lois
de la mécanique classique incarnée dans les lois de Newton sont valables pour les valeurs d'attente
des opérateurs quantiques x et p. Cela établit une correspondance entre
dynamique classique et quantique.
Questionnaire
2
d2ψ
(b) − h¯ 2mdx2
= Eψ
2
h¯ d2ψ
(c) 2m
+ Vψ = 0
dx2
2. La dégénérescence par rapport à un état propre d'énergie peut être mieux décrite par
en disant
4
CHAPITRE
Une introduction à
Territoire de l'État
Définitions basiques
Passons rapidement en revue l'analyse vectorielle élémentaire et les concepts qui seront
repris pour définir la notion d'espace de Hilbert. Un vecteur A dans un espace euclidien
tridimensionnel (utilisant des coordonnées cartésiennes) est défini comme suit :
Les nombres (Ax, Ay, Az) sont les composantes du vecteur par rapport à la base (x,ˆ y,ˆ z)ˆ .
On pourrait, si on le souhaite, représenter le vecteur dans une autre coordonnée
99
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système (comme les coordonnées sphériques). Cela impliquerait de représenter le vecteur par rapport à une base
différente (r,ˆ θ ,ˆ ˆ ). Dans ce cas, le vecteur aurait des composantes différentes (Ar, Aθ , A). Réfléchissons à
quelquesunes des opérations de base qui peuvent être effectuées avec des vecteurs.
Étant donné un deuxième vecteur B , nous pouvons ajouter ou soustraire les deux vecteurs, produisant un
nouveau vecteur C :
A ∙ A = A2 X
+ A2y + A2z
Tout vecteur peut être "développé" en termes de vecteurs de base (x,ˆ y,ˆ zˆ). Une façon élégante de dire cela est
que les vecteurs de base "s'étendent" sur l'espace. De plus, les vecteurs de base sont orthnormaux, ce qui signifie :
xˆ ∙ ˆx = ˆy ∙ ˆy = ˆz ∙ ˆz = 1 xˆ ∙ ˆy = ˆx ∙ ˆy = ˆy ∙ ˆz = 0
Dans un espace de Hilbert, nous prenons des notions comme cellesci et les généralisons à un espace dans
lequel les "vecteurs" peuvent avoir un nombre arbitraire de n composants (qui peuvent être des nombres
complexes), ou les vecteurs sont des fonctions, ce qui rend le nombre de "dimensions « infini.
∞
(φ, ψ) = φ (x)ψ(x) dx
−∞
b
(φ, ψ) = φ (x)ψ(x) dx
un
Dans le cas discret d'un espace dimensionnel, le produit scalaire est défini comme étant :
(w, v) = w je vi
je=1
Le produit scalaire, étant un nombre complexe, n'est pas un élément de l'espace de Hilbert.
Nous définissons la "longueur" ou la norme d'un vecteur en calculant le produit interne du
vecteur avec luimême. Plus précisément, dans le cas continu, nous définissons la norme ||φ|| comme:
norme(φ)2 = φ (x)φ(x) dx
où l'intégrale est prise sur la plage de définition de l'espace. Pour un vecteur discret à n
composantes, le carré de la norme ||v|| est donné par:
(norme(v))2 = (v, v) = v je vi
je=l
Puisque les éléments de l'espace de Hilbert peuvent être complexes, nous voyons que nous
prenons le conjugué complexe dans le calcul du produit scalaire pour que la norme soit un
nombre réel. Nous prenons la racine carrée positive de sorte que |||| ≥ 0 et ||v|| ≥ 0.
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Pour un espace donné, il existe un ensemble de "vecteurs de base" qui couvrent l'espace. Toute
fonction sur cet espace peut être développée comme une combinaison linéaire des vecteurs de base.
Ceci s'applique également dans le cas discret. Si on étiquette la base par ei , on peut écrire :
n
v= viei
je=1
Enfin, il existe un vecteur nul et identique tel que si f appartient à l'espace de Hilbert (continu ou
discret) alors :
f (0) = 0, f ∙ 1 = f
Considérons deux exemples d'espace de Hilbert dans le cas continu. L2 est l'ensemble des fonctions
ψ(x) définies sur tout l'espace de norme finie, soit :
∞
ψ (x)ψ(x) dx < ∞
−∞
EXEMPLE 4.1
Montre CA
SOLUTION La
fonction d'étape unitaire est définie comme étant 1 pour x ≥ 0 et est nulle sinon. Voici un tracé Figure
41 :
0,8
0,6
0,4
0,2
0
−1 −0,5 0 0,5 1
Fig. 41
θ (x − 10) décale la discontinuité vers x = 10. Donc cette fonction vaut 1 pour x ≥ 10 et vaut zéro sinon
Figure 42 :
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1.5
0,5
5 dix 15 20
−0,5
−1
−1,5
−2
Fig. 42
En soustrayant ceci de θ (x) pour obtenir θ (x)–θ (x − 10), nous obtenons une fonction qui vaut 1
pour 0 ≤ x ≤ 10, et vaut zéro sinon Figure 43 :
0,8
0,6
0,4
0,2
5 dix 15 20
Fig. 43
0,3
0,2
0,1
0
0 2 4 6 8 dix
Fig. 44
Puisque cette fonction est non nulle sur un intervalle fini, on s'attend à ce qu'elle ait une intégrale
finie et appartienne à L2 . On calcule f 2(x) dx :
−1
x2 e−2xdx = e−2x(1 + 2x + 2x2 )
4
(Cette intégrale peut être calculée en utilisant l'intégration par parties). En l'évaluant aux bornes x
= 10 et x = 0 on trouve que :
dix
1
xe−2x dx = −1 = 0,25
e−20(221) +
0 4 4
(e−20 est très petit, nous pouvons donc le considérer comme nul). La norme de la fonction est
finie, et donc cette intégrale appartient à l'espace de Hilbert L2 .
EXEMPLE 4.2
Soit un espace de Hilbert constitué de fonctions définies sur l'intervalle 0 <x< 3. La fonction
π
(x) = péché x
3
SOLUTION
Un tracé de la fonction suit la figure 45 :
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0,8
0,6
0,4
0,2
Fig. 45
0,8
0,6
0,4
0,2
Fig. 46
D'après les graphiques ii, il ressort que la fonction appartient à l'espace de Hilbert. Mais
calculons explicitement l'intégrale.
3 3
πx 2
(x) (x) dx = péché dx
0 0 3
3 3 3
πx 2 1 1
péché dx = dx − 2 cos2π x dx
0 3 2 0 0 3
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3
1 1 3
dx = x| = 3/2
0
2 0 2
3 2π x
3 3
cos2π x dx = péché
3
|0 = sin(2π ) − sin(0) = 0
0 3 2π 3 2π
3
et cette fonction satisfait l'exigence que La tâche de 0
(x) (x) dx ≤ ∞
développer une fonction en termes d'une base donnée est une tâche fréquemment rencontrée en
mécanique quantique. Nous l'avons déjà vu dans les chapitres précédents. Examinons comment trouver
les composants d'une fonction arbitraire développée
dans une certaine base.
EXEMPLE 4.3
Supposons que nous ayons un puits carré infini de largeur a. Les fonctions d'onde qui
sont les solutions de l'équation de Schrödinger sont les fonctions de base d'un Hilbert
espace défini sur 0 ≤ x ≤ a. Rappelons que ces fonctions de base sont données par :
2 nπ x
φn(x) = péché
un un
Nous pouvons étendre n'importe quelle fonction en termes de ces fonctions de base en utilisant (x) =
∞
je=1 xiφi(x) où les coefficients d'expansion sont trouvés en utilisant :
un
ai = φ je
(x) (x) dx
0
Soit (x) = cosh(x) où cosh est la fonction cosinus hyperbolique. Trouver les coefficients de développement
nécessaires pour exprimer en fonction des fonctions de base du carré
Bien.
SOLUTION
Un tracé de (x) sur une plage finie 0 ≤ x ≤ a, ressemble à ceci Figure 47 :
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Figure 47
Cette fonction d'onde atelle une norme finie, comme l'indique le graphique ?
un
La fonction d'onde est donc de norme finie. L'intégrale nécessaire pour déterminer les coefficients de
dilatation est donnée par :
un 12 2 nπ x
un = φ n(x) matraque(x) dx = péché matraque(x) dx
0 0 un un
Pour calculer cette intégrale, nous pouvons développer les deux fonctions dans l'intégrande en termes
d'exponentielles. Premièrement, pour simplifier la notation, nous posons :
nπ
β=
un
Alors:
1
sin(βx) = 2i (eiβx − e−iβx), cosh(x) = 1 (ex + e−x) 2
un un
2 21
sin(βx) cosh(x) dx = (eiβx − e−iβx) 1 (ex + e−x) dx 2
0 un 0 un 2i
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un
2 1
= (eiβxex + eiβxe−x − e−iβxex − e−xβx + e−x) dx
0 un 4i
un
2 1
= (e(iβ+1)x + e(iβ−1)x − e(−iβ+1)x − e(−iβ−1)x) dx
0 un 4i
Cette intégrale peut se faire terme à terme en utilisant la technique de usubstitution. Nous illustrons
cela avec le premier terme seulement. Soit u = (iβ + 1)x, alors du = (iβ + 1) dx, et l'intégrale devient :
un a(iβ+1)
2 1 1 21
= (e(iβ+1)x) dx = iβ + 1 eudu 4i
0 un 4i 0 un
1 2 1
= (ea(iβ+1) − 1)
iβ + 1 un 4i
En effectuant une procédure similaire pour les termes restants et en réécrivant les exponentielles
en termes de fonctions sin et cosh, nous obtenons ;
un
un = 2 sin(βx) cosh(x)dx
0 un
Alors nous pouvons penser à δ(x) en termes de limite δ (x). Nous pouvons voir quelles sont
certaines des propriétés de δ(x) en examinant comment δ(x) se comporte. Par exemple:
∞ /2
1
δ (x) dx = dx = 1 [/2 + /2] = 1
−∞ −/2
δ (x) dx = 1
−∞
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Certaines des propriétés de base de la fonction Dirac Delta sont les suivantes :
1. δ(−x) = δ(x) 1 2.
δ(ax) = δ(x) |a| 3. f
Nous pouvons utiliser la propriété d'échantillonnage pour obtenir la transformée de Fourier du delta de Dirac :
1 ∞ 1
δ(x)e−ikx dx = √2π
√2π −∞
1 ∞ 1
δ(x − a)e−ikx dx = e−ika √2π
√2π −∞
EXEMPLE 4.4
Trouver la transformée de Fourier de δ(ax).
SOLUTION
La transformée de Fourier est :
1 ∞
δ(ax)e−ikx dx
√2π −∞
Soit u = ax, alors du = a dx et l'intégrale devient :
1 ∞ 1 1 ∞ tu
Si l'on note la transformée de Fourier de f (x) par F[f (x)], cela revient à dire que :
1
F[δ(ax)] = F[δ(x)]
un
1 ∞ 1
δ(x)e−ikx dx =
√2π −∞ √2π
Questionnaire
3. Vérifiez les propriétés du delta de Dirac répertoriées ici en tenant compte des intégrales.
1. xδ(x) = δ(x)
5
CHAPITRE
Le Mathématique
Structure du quantique
Mécanique I
L'état d'une particule en mécanique quantique est représenté par un élément d'un espace
vectoriel linéaire abstrait. Alors que les vecteurs en physique ordinaire sont représentés par
des quantités telles que A, V, B
en, mécanique quantique, nous représentons les vecteurs avec
la notation :
|φ, |V , |ψ
Ces objets sont appelés « kets » et ce type de notation est connu sous le nom de notation de Dirac.
Un espace vectoriel linéaire V est un ensemble d'éléments |a, |b, |c appelés vecteurs,
ou kets, pour lesquels :
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1. V est fermé par addition. Cela signifie que si deux vecteurs |a, |b appartiennent alors il en
à V , va de même pour leur somme |a + |b
2. Un vecteur |a peut être multiplié par un scalaire α pour donner un nouveau vecteur α |a
bien défini qui appartient à V
3. L'addition vectorielle est commutative : |a + |b = |b + |a 4.
L'addition vectorielle est associative : |a + (|b + |c) = (|a + |b) + |c
Si les scalaires associés à un espace vectoriel donné sont des nombres réels, on dit que l'on
travaille avec un espace vectoriel réel. Par contre, si les α peuvent être des nombres complexes
alors on dit que l'on travaille avec un espace vectoriel complexe. Les espaces vectoriels utilisés
en mécanique quantique sont complexes.
EXEMPLE 5.1
Considérons des ensembles ou des listes de n nombres complexes (z1, z2, . . . ., zn) appelés « nuplets ».
Nous pouvons définir un espace vectoriel de nuplets de nombres complexes où nous
représentons un vecteur par une matrice n × 1 appelée vecteur colonne. Par exemple,
considérons deux vecteurs |ψ, |φ donnés par :
z1 w1
z2 w2
|ψ = .. , |φ = ..
. .
zn wn
L'addition de vecteurs dans cet espace est effectuée en additionnant les composants individuels
des vecteurs
z1 w1 z1 + w1
z2 w2 z2 + w2
|ψ + |φ = .. + .. = ..
. . .
zn wn zn + wn
Nous voyons que l'opération d'addition a généré une nouvelle liste de n nombres complexes
un nouveau nuplet nous avons donc produit un nouveau vecteur qui appartient toujours à
l'espace. Puisque l'addition des nombres complexes est commutative et associative, nous
voyons que les vecteurs de cet espace satisfont automatiquement les autres propriétés
énumérées.
La multiplication scalaire est effectuée en multipliant chaque composante du vecteur de la
manière suivante
z1 α z1
z2 α z2
α |ψ = α .. = ..
. .
zn αzn
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En plus de la liste précédente de propriétés, un espace vectoriel satisfait également les éléments
suivants :
Revenant à l'espace vectoriel décrit dans l'exemple 51, nous pouvons définir le zéro
vecteur comme :
0
0
|0 = ..
.
0
C'est une question triviale de voir que cela satisfait|0 + |ψ = |ψ pour tout |ψ. Pour définir l'inverse,
on forme simplement le vecteur colonne contenant −zi . Autrement dit si :
z1 −z1
z2 −z2
|ψ = .. ; alors l'inverse additif est |−ψ = .. depuis:
. .
zn −zn
z1 −z1 z1 − z1 0
z2 −z2 z2 − z2 0
|ψ + |−ψ = .. + .. = .. = ..
. . . .
0
zn −zn zn − zn
EXEMPLE 5.2
Soit A = A1ˆi + A2jˆ + A3kˆ un vecteur ordinaire dans l'espace tridimensionnel. L'ensemble de
tous les vecteurs avec A1 = 13 estil un espace vectoriel ?
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SOLUTION
Afin de transposer la notion de "produit scalaire" dans un espace vectoriel abstrait, nous
aurons besoin de construire un vecteur dual. Dans le langage des kets, le double vecteur
s'appelle un "soutiengorge". En utilisant la notation de Dirac, le dual d'un vecteur |ψ s'écrit ψ|.
Revenant à l'exemple des nuplets complexes, nous écrivons la liste des nombres complexes dans
une rangée, puis prenons leurs conjugués complexes pour obtenir le vecteur dual. Autrement dit:
z1
z2
|ψ = .. ψ| = z 1, z 2,...,zn
.
zn
L'espace dual de V est noté V peut . Avec une définition des vecteurs duaux en main, nous
généraliser le produit scalaire à un « produit scalaire » entre deux vecteurs abstraits.
LE PRODUIT INTÉRIEUR
Le produit intérieur pour un espace vectoriel V est une carte de V × V aux nombres complexes. Nous
pouvons exprimer cela plus clairement en disant que le produit scalaire est une fonction sur deux
vecteurs |ψ, |φ qui produit un nombre complexe que nous représentons par φ|ψ. Un espace vectoriel
qui a également un produit scalaire est appelé espace de produit scalaire.
Pour illustrer comment nous calculons le produit interne pour un espace vectoriel donné, nous
considérons à nouveau des vecteurs ordinaires dans un espace tridimensionnel. Nous voulons nous évader
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à partir de notions géométriques basées sur la physique, nous allons donc nous concentrer sur la
définition du produit scalaire qui repose sur l'utilisation des composantes de vecteurs.
Rappelons que si nous avons deux vecteurs :
Nous pouvons généraliser cette procédure aux nuplets de nombres complexes de la manière suivante.
Nous calculons le produit interne sur Cn en utilisant la multiplication matricielle ordinaire.
Plus précisément, étant donné deux vecteurs de nombres complexes |ψ, |φ tels que :
z1 w1
z2 w2
|ψ = .. , |φ = ..
. .
zn wn
z1
n
z2
φ|ψ = (w 1w 2 ...w n) .. =w 1 (z1)+w 2 (z2)+∙∙∙+w n(zn) = w je zi
. je=1
zn
EXEMPLE 5.3
Deux vecteurs dans un espace vectoriel complexe tridimensionnel sont définis par :
1 + 3i 4
|A = 2 −7i , |B = 8
1
Soit a =6+5i
SOLUTION
(un)
(6 + 5i)2 12 + 10i
un |A = (6 + 5i) 2 = (6 + 5i)(−7i) (6 = 35 − 42i
−7i 1 + 5i)1 6 + 5i
12 + 10i −9 + 23i
une |A + une |B = 35 − 42i + 24 + 20i
6 + 5i 48 + 40i
1 + 3i 2 + 1 + 3i 3 + 3i
|A + |B = 2 + = −7i + 4 1 = 4 − 7i
−7i 1 48 +8 9
(6 + 5i)(3 + 3i) (6
a(|A + |B) = (6 + 5i)3 + 3i 4 7i 9 = + i)(4 − 7i) (6 +
5i)(9)
18 + 15i + 18i − 15 24 + 3 + 33i
= 20i − 42i + 35 54 + 45i = 59 − 22i = une |A + une |B
54 + 45i
( b ) Nous calculons d'abord A|B. Pour former le vecteur dual de |A, nous calculons le conjugué
complexe de ses éléments, puis transposons le résultat pour former un vecteur ligne :
2
|A = 2 = 7i , A| = ( 2 7i 1 )
−7i 1 1
1 + 3i
A|B = ( 2 7i 1 ) = 2(1 + 3i) + 7i(4) + 1(8) = 10 + 34i
48
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1 + 3i 1 3i 4
|B = = 8
48
B| = ( 1 3i 4 8 )
Notez que B|A = A|B un résultat qui, vaut en général pour le produit scalaire dans un espace
vectoriel complexe. Nous énumérons maintenant ceci et d'autres propriétés importantes du
produit intérieur.
1. ψ|φ = φ|ψ 2. ψ|
(α |φ + β |ω) = α ψ|φ + β ψ|ω 3. (αψ| + βω|)|φ =
α ψ|φ + β ψ|φ 4. ψ|ψ ≥ 0 avec égalité si et
seulement si |ψ = 0
Si le produit scalaire entre deux vecteurs est nul, ψ| = 0, on dit que les vecteurs sont orthogonaux.
On en dit maintenant un peu plus sur la propriété (5) qui généralise la notion de longueur pour
nous donner la « norme » d'un vecteur.
La racine carrée du produit scalaire d'un vecteur avec luimême est appelée la norme, et
est désignée par :
ψ = ψ|ψ
ψ = ψ|ψ = 1
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EXEMPLE 5.4
Soit deux vecteurs définis par
1 + 3i
|A = 2 , |B =
−7i 1 48
Trouver la norme de chaque vecteur.
SOLUTION
||A|| = UNE|A = √ 54 = 3 √ 6
Calculons maintenant la norme de B :
1 + 3i
B|B = ( 1 3i 4 8 )
48
B|B = √ 90 = 3 √ 10
EXEMPLE 5.5
Montrer que les vecteurs
1 1
√ 2 √2
|ψ = , |φ = −
1√2 1√2
SOLUTION
Si les vecteurs sont orthogonaux, alors φ|ψ = 0, ce que l'on vérifie facilement :
1
1 −
1 √ 2 =
1 1 1 −
1 =
1− 1
φ|ψ = + =0
√2 √2 √2 √2 √2 √2 2 2
1√2
1 1 =
1 1 1 1 =
1
ψ|ψ = 1√2
1
+ 1+=122
√2 √2 √2 √2 √2 √2 √2
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|A = 2
−7i 1
nous avons trouvé que ||A|| = √A|A = √54 = 3 √6. On peut former un nouveau vecteur normalisé
que l'on appellera A˜ en divisant |A par sa norme :
2
3 √6
|A 1 −7i
A˜ = = 2 =
3 √6
||Un|| 3 √6 −7i 1
1
3 √6
EXEMPLE 5.6
X
Un vecteur |u = où x est un nombre réel inconnu. Trouver x tel que
3x
−2x |u est normalisé.
SOLUTION
Notant que x est réel et donc x = x,
X
u|u = ( x 3x −2x ) 3x = x2 + 9x2 = 14x2
−2x
Nous prouvons maintenant quelques théorèmes importants impliquant des produits scalaires.
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EXEMPLE 5.7
Montrer que 2Re ψ|φ ≤ ψ|ψ + φ|φ
SOLUTION
On utilise le fait que f |f ≥ 0 pour tout ket |f . Soit |f = |ψ − φ
Rappelons maintenant que ψ|φ = φ|ψ, et z + z = 2Re(z) pour tout nombre complexe
z. Cela signifie que ψ|φ + φ|ψ = ψ|φ + ψ|φ = 2Re(ψ|φ), nous donnant
EXEMPLE 5.8
L'inégalité de CauchySchwartz stipule que
|φ |ψ |2 ≤ ψ |ψ φ |φ
Démontrer ce résultat.
SOLUTION
La preuve repose également sur le fait que f |f ≥ 0 pour tout vecteur. Nous pouvons minimiser
cette expression si on laisse
ψ |φ
|f = |φ − |ψ
φ |φ
Et donc on a :
ψ |φ φ |ψ φ |ψ ψ |φ
f |f = φ |φ − φ |ψ − ψ |φ + ψ |ψ
ψ |ψ ψ |ψ ψ |ψ ψ |ψ
On utilise maintenant le fait que
φ |ψ ψ |φ = |φ |ψ |2
pour réécrire cela comme
|φ |ψ |2 |φ |ψ |2 |φ |ψ |2
f |f = φ |φ − 2 + = φ |φ − ψ |
ψ |ψ ψ ψ |ψ
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|φ |ψ |2
φ |φ ≥
ψ |ψ
Maintenant, nous multiplions les deux côtés par ψ |ψ , ce qui nous permet d'arriver au résultat final :
|φ |ψ |2 ≤ ψ |ψ φ |φ
EXEMPLE 5.9
ψ + φ |ψ + φ ≤ ψ |ψ + φ |φ
Démontrer ce résultat.
SOLUTION
Pour tout nombre complexe z, il est vrai que |Re(z)| ≤ |z|. Puisque le produit interne est
un nombre complexe cela nous dit que Re(|ψ |φ |) ≤ |ψ |φ |.
Pour dériver le résultat, nous utilisons ce fait avec l'inégalité de Schwartz. D'abord,
on développe le produit scalaire ψ + φ |ψ + φ :
ψ + φ |ψ + φ = ψ |ψ + ψ |φ + φ |ψ + φ |φ
Encore une fois, on note que ψ |φ + φ |ψ = ψ |φ + ψ |φ et donc cela peut = 2Re(ψ |φ ),
s'écrire
ψ |ψ + φ |φ + 2Re(φ |ψ )
À ce stade, nous pouvons utiliser |Re(z)| ≤ |z| pour écrire
ψ |ψ + φ |φ + 2Re(φ |ψ )
≤ ψ |ψ + φ |φ + 2 |φ |ψ |
De CauchySchwarz, nous avons
ψ |ψ + φ |φ + 2 |φ |ψ | ≤ ψ |ψ + φ |φ + 2 ψ |ψ φ |φ
2
= (ψ |ψ + φ |φ )
La réunion de nos résultats nous permet de conclure que
ψ + φ |ψ + φ ≤ ψ |ψ + φ |φ
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S'il existe deux vecteurs {|u |v} tels que ||u|| = ||v|| = 1 et u |v = 0 on dit que |u et |v sont
orthonormés. Si nous avons un ensemble complet de vecteurs |ui qui sont orthonormés,
nous pouvons l'écrire de manière compacte comme
ui uj = δij
où δij est la fonction delta de Kronecker . Celleci est définie par
1 pour i = j 0
δij = sinon
Vecteurs de base
On appelle un ensemble de vecteurs {|φ1, |φ2,..., |φn} une base si l'ensemble satisfait trois critères :
1. L'ensemble {|φ1, |φ2,..., |φn} couvre l'espace vectoriel V , ce qui signifie que chaque vecteur
|ψ dans V peut être écrit comme une combinaison linéaire unique des {|φi}.
2. L'ensemble {|φ1, |φ2,..., |φn} est linéairement indépendant 3. La
relation de fermeture est satisfaite.
Si l'ensemble {|φ1, |φ2,..., |φn} couvre l'espace vectoriel V vecteur , on peut écrire un
arbitraire |ψ à partir de cet espace comme une combinaison linéaire :
Nous montrerons ensuite comment calculer les coefficients de dilatation ci , qui sont en
général des nombres complexes.
EXEMPLE 5.10
0 −1
|a = 1 |b = |c = 0
21 10 −1
SOLUTION
Remarquerez que:
0 −1 0 0
2 |b − |c = 2
−
0 = 2 + = 1 = |a
10 −1 0 10 21
Puisque |a peut être exprimé comme une combinaison linéaire des deux autres vecteurs de l'ensemble,
l'ensemble est linéairement dépendant.
EXEMPLE 5.11
2 −1 0
|a = 0 , |b = 0 , |c = 0
0 −1 −4
SOLUTION
Soient a1, a2, a3 trois constantes inconnues. Pour vérifier l'indépendance linéaire, on écrit
a1 |a + a2 |b + a3 |c = 0
2 0 0 2a1 0 0 2a1
a1 0 + a2 −1 + a3 0 = 0 + −a2 0 + 0 = −a2 =0
0 0 −4 0 −4a3 −4a3
Cette équation ne peut être vraie que si a1 = a2 = a3 = 0. Par conséquent, l'ensemble des vecteurs est
linéairement indépendant.
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|φi φi| = 1
je=1
ci = φi |ψ
w1 |u3 w2 |u3
|w3 = |u3 − |w1 − |w2
w1 |w1 w2 |w2
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Pour obtenir l'ensemble orthonormé des vecteurs de base, nous normalisons ensuite chacun de ces
quantités:
φi φj = δij
Tout d'abord, apprenons à représenter un ket arbitraire comme un soutiengorge.
Pour plus de commodité, nous pouvons écrire un ket |ψ multiplié par un scalaire α dans la
manière suivante:
|αψ = α |ψ
Nous pouvons également utiliser cette notation pour les soutiensgorge, mais si nous tirons le scalaire à l'extérieur du
soutiengorge, on prend son conjugué complexe :
αψ| = α ψ|
EXEMPLE 5.12
Supposons que |u1, |u2, |u3 est une base orthonormée. Dans cette base laissez,
( a ) Trouver ψ| et φ|.
SOLUTION
φ |ψ = ψ |φ
EXEMPLE 5.13
Laisser
SOLUTION La
première étape consiste à noter le soutiengorge correspondant à |ψ. Rappelezvous que nous devons
conjuguer complexe chaque coefficient d'expansion :
où nous avons utilisé le fait que la base est orthonormée. La norme est la racine carrée de cette
quantité :
|ψ = ψ |ψ = √ 29
Et donc le vecteur normalisé est trouvé en divisant |ψ par la norme pour donner
3i 2 4i
ψ˜ = |φ1 + |φ2 − |φ3 √29 √29 √29
Rappelezvous, nous supposons que l'ensemble de base est orthonormé et donc ui uj = δij . Ainsi,
par exemple, nous pouvons trouver le troisième composant du ket de cette façon :
Plus généralement, on peut aussi indexer les composants et écrire le ket comme suit :
n
où ci = ui |ψ . Les nombres ci sont les composantes du ket | dans la base |ui. Ces
nombres sont disposés dans un vecteur colonne, c'est ainsi que nous avons obtenu les vecteurs
colonne des nombres complexes avec lesquels nous avons travaillé plus tôt dans le chapitre. En n
dimensions, on représente un ket comme :
u1|ψ c1
u2|ψ c2
| >→ .. = ..
. .
un|ψ CN
Notez qu'un espace vectoriel donné a de nombreuses bases différentes, et dans une base
différente, le ket sera représenté par un ensemble différent de composants.
EXEMPLE 5.14
Soit |u1, |u2, |u3 une base orthonormée d'un espace vectoriel tridimensionnel.
Supposer que
|ψ = 2i |u1 − 3 |u2 + je |u3
Écrire le vecteur colonne représentant ce vecteur dans la base donnée. Notez ensuite le vecteur
ligne qui représente ψ| dans cette base.
SOLUTION Les
composantes du vecteur colonne représentant |ψ sont trouvées en prenant le produit scalaire du
vecteur avec chacun des vecteurs de base. Nous avons
Comme la base est orthonormée, u1 |u1 = 1 et les autres termes sont nuls. Donc
u1 |ψ = 2i
u1 |ψ 2i
|ψ = u2 |ψ = −3
u3 |ψ je
Questionnaire
1. Laissez
3i 6i
|u = 2 , |v = 4
un B
Un =
CD
|z1 + z2|≤|z1|+|z2|
7. Supposons que
8. Supposons que
6
CHAPITRE
Le Mathématique
Structure du quantique
Mécanique II
Les observables physiques, c'estàdire les quantités mesurables telles que la position et la quantité de
mouvement, sont représentées dans la structure mathématique de la mécanique quantique par des opérateurs.
Mathématiquement, un opérateur, qui peut être représenté par une matrice, est une carte qui amène un
vecteur à un autre vecteur. Les valeurs propres de la matrice nous indiquent les résultats possibles d'une
mesure de la quantité représentée par l'opérateur, tandis que les vecteurs propres de la matrice nous donnent
une base que nous pouvons utiliser pour représenter les états.
OPÉRATEURS LINÉAIRES
Un opérateur est une règle mathématique ou une instruction qui transforme un vecteur en un nouveau vecteur
généralement différent. Les opérateurs sont souvent désignés par des lettres majuscules ˆ Cˆ . Parfois dans
ˆ par
sur le dessus par exemple A, B, les désignerons simplement ce livre nous avec un "chapeau" ou un carat
des lettres majuscules en italique, A, B, C. Nous écrivons l'action d'un opérateur arbitraire Tˆ
sur un ket comme :
Tˆ |u = |v
131
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Les opérateurs qui nous intéressent le plus sont les opérateurs linéaires. Supposons que V est un espace
vectoriel linéaire sur le corps complexe C. Un opérateur Tˆ : V → V est un opérateur linéaire sur V si complexe
donné, scalaires α, β dans C et vecteurs |u, |v dans V :
ˆ
T (α |u + β |v) = αTˆ |u + βTˆ |v
(Tˆ + S)ˆ |u = Tˆ |u + Sˆ |u
T (ˆ Sˆ |u) = Tˆ |w
Un |u, u| UN
L'opérateur le plus simple de tous est l'opérateur d'identité, qui ne fait rien à un ket :
je |u = |u
|ψφ|
Cette expression est un opérateur. Nous l'appliquons à un ket |χ et montrons qu'il produit un nouveau ket qui est
proportionnel à | :
(|ψ φ|)|χ = |ψ φ |χ
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Maintenant, le produit scalaire |χ n'est qu'un nombre complexe, que nous notons α.
Nous avons donc un nouveau ket proportionnel à | :
|ψ φ |χ = α |ψ
La relation de fermeture nous dit que étant donné une base |ui nous pouvons écrire l'identité
comme sommation de produits extérieurs de la forme |ui ui| Pour voir ça,
rappelons que dans une telle base les composantes d'un ket |ψ sont données par l'intérieur
produits ui|ψ. La décomposition d'un ket |ψ est donnée par :
n
|ψ = |ui ui| ψ
je=1
n n
n
Cela ne peut être vrai que si je=1 |ui ui| = 1, l'opérateur d'identité.
EXEMPLE 6.1
Supposons que dans une base orthonormée {|u1, |u2, |u3} un opérateur A agisse
comme suit :
A |u1 = 2 |u1
A |u3 = − |u2
SOLUTION
La représentation matricielle de l'opérateur est donnée par :
Remarque : Dans une base différente, A sera représenté par une matrice différente.
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EXEMPLE 6.2
Le produit extérieur |φ ψ| est un opérateur, et peut donc être représenté par une matrice. Afficher
ceci pour :
2 −1
3i 0
|= |=
4 je
12
18i
(||)(3|) = 3(|)| = 3(2)| =
24
SOLUTION
On écrit d'abord :
| = ( −1 0 −i )
2 −2 0 −2i −3i 0
2(−1) 2(0) 2(−i) 3i(−1)
3i = −4 0 −4i 3
|| = ( −1 0 −i ) = 3i(0) 3i(−i) 4(−1) 4(0)
4
4(−i)
−1 −3
3| = 3 0 =
je 0 3i
−2 0 −2i −3i 0 3 −3 12
−2(−3) + (−2i)(3i)
−4 0 −4i = = 18i
(||)3| = −3i(−3) + 3(3i)
0 3i 24
−4(−3) + (−4i)(3i)
EXEMPLE 6.3
Considérons un espace à deux dimensions dans lequel une base est donnée par
1 0
|0 =
0 , |1 = 1
1 −2i 2i 0
Un =
SOLUTION
Nous écrivons d'abord A en termes de produits externes de {|0, |1} avec des coefficients inconnus :
UNE = une |0 0| + b |0 1| + c |1 0| + d |1 1|
La matrice A est
1 −2i 0| A |0 0| A |1
=
2i 0 1| A |0 1| A |1
Cela nous donne quatre équations pour les inconnues a, b, c, d . On utilise l'orthonormalité
de la base pour évaluer chaque terme, soit 0 |0 = 1 |1 = 1,1 |0 = 0 |1 = 0 :
un = 1
A = |0 0| − 2i |0 1| + 2i |1 0|
n
alors T r(T )ˆ = T11 + T22 + ... + Tnn = je=1 Tii . Alternativement, nous pouvons
écrire la trace comme :
n
EXEMPLE 6.4
SOLUTION
Nous le prouvons en utilisant la relation de fermeture enn
considérant une base |ui. Rappeler que
l'opérateur d'identité peut être écrit comme 1 = |uiui| Ensuite
je=1 nous avons:
n n
n
= ui| UN |uj uj | B|ui
je=1
nj=1
n n
=
uj B|uiui|A|uj
je=1 j=1
n n
= uj |B |uiui| A|uj
j=1 je=1
n
= uj |B(I )A|uj
j=1
n
= uj |BA|uj = T r(BA)
j=1