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LES FIGURES DE STYLE

La Boîte à Merveilles (Ahmed SEFRIOUI)


PROF AYOUB MOUINE
LA LANGUE FRANÇAISE
06.56.38.34.69

- Identifiez la figure de style de chaque phrase des phrases suivantes


1. Un pigeon disait des mots si jolis.
2. A dix ans, on est presque un homme. A dix ans on parcourt tout seul le quartier.
3. ....pour attraper un moineau mais le moineau ne vient jamais. Il désire tant ce petit moineau !
4. Ma mémoire était une cire fraiche.
5. Pour y renaitre, il fallait d’abord mourir.
6. La bouilloire chantait.
7. Que t’arrive-t-il, chien galeux.
8. J’attendais un moment avant de voir surgir de la foule les deux haïks.
9. Une lampe à pétrole identique à celle de notre voisine.
10. Elles nous conseillèrent de monter sur la terrasse charmer les oreilles des voisins.
11. Des nuits blanches qu’elle avait passées à gémir.
12. Sans toi, le soleil deviendra froid.
13. Ceux-ci en rient, ceux-là en pleurent.
14. Elle posait mille questions à ma mère.
15. J’ai six ans, l’année prochaine j’en aurai sept et puis huit, neuf et dix.
16. Dans ma boite à merveilles il y avait des clous, des boules de verre, des anneaux de cuivre, un minuscule
cadenas sans clef, des encriers vides,....
17. Le bruit de ses narines me rappela le son de la trompette de Ramadan.
18. Le soleil en robe d’or s’attardait à l’horizon.
19. Elle me demanda si j’avais l’intention de braire pendant longtemps encore.
20. Non ! Je ne voulais pas dormir, je ne voulais pas pleurer.
21. Autour de moi, rodaient les jnounes, les démons noirs invoqués par la sorcière.
22. Les femmes continuaient leurs éternels voyages.
23. Des siècles passèrent.
24. Les cris des enfants s’étaient transformés en torrent, en cataracte, en bruit de rafale.
25. Ma mère m’aspergea alternativement d’eau bouillante et d’eau glacée.
26. Les petites flammes dansaient.
27. Une voisine poussa un cri de joie ou un gémissement de douleur.
28. Des torrents de larmes inondèrent le visage.
29. Zineb jouait avec le chat, un chat maladif.
30. Je savais qu’une journée s’ajoutait à une autre, je savais que les jours faisaient des mois,....
31. Tu es un cadavre et je n’aime pas toucher les charognes.
LES FIGURES DE STYLE
Antigone (Jean ANOUILH)
PROF AYOUB MOUINE
LA LANGUE FRANÇAISE
06.56.38.34.69

- Identifiez la figure de style de chaque phrase des phrases suivantes


1-Maintenant, tout est déjà rose, jaune, vert. C’est devenu une carte postale.
2-Le jardin dormait encore.
3-C’est beau un jardin qui ne pense pas encore aux hommes.
4-J’ai glissé dans la campagne sans qu’elle s’en aperçoive.
5-Ah ! C’est du joli ! C’est du propre !
6-Allons, ma vieille bonne pomme rouge.
7-Et il y aura les gardes...avec leur regard de bœuf.
8-Tu penses que toute la ville hurlante contre toi...C’est assez,
9-je suis noire et maigre. Ismène est rose et dorée comme un fruit.
10-Et tu risques la mort maintenant que j’ai refusé à ton frère ce passeport dérisoire, ce bredouillage en série sur
sa dépouille, cette pantomime dont tu aurais été la première à avoir honte et mal si on l’avait jouée.
11-Ni pour les uns, ni pour ton frère ?
12-J’ai le mauvais rôle et tu as le bon.
13-Tu as toute la vie devant toi....Tu as ce trésor, toi, encore.
14-La vie, c’est un livre qu’on aime, c’est un enfant qui joue à vos pieds, un outil qu’on tient bien dans sa main.
15-On dirait des chiens qui lèchent tout ce qu’ils trouvent.
16-Tu es en train de défendre ton bonheur en ce moment comme un os.
17-c’est vous qui êtes laids, même les plus beaux.
18-Allons vite, cuisinier, appelle tes gardes !
19-Tu as choisi la vie et moi la mort.
20-Nous allons tous porter cette plaie au côté, pendant des siècles.
21-Oublie-la, Hémon ; oublie-la, mon petit.
22-Tout Thèbes sait ce qu’elle a fait.
23-Antigone ne peut plus vivre. Antigone nous a déjà quittés tous.
24-Crois-tu que je pourrai vivre, moi, sans elle ?
Crois-tu que je l’accepterai, votre vie ?
25-et votre agitation, votre bavardage, votre vide, sans elle.
26-Créon, il est sorti comme un fou.
27-Il est parti, touché à mort.
28-Nous sommes de ceux qui lui sautent dessus quand ils le rencontrent, votre espoir, votre cher espoir, votre
sale espoir !
29-ce dieu géant qui m’enlevait dans ses bras et me sauvait des monstres et des ombres, c’était toi ?
29-Un vrai petit garçon pâle qui crachera devant mes fusils.
30-Ô tombeau ! Ô lit nuptial ! Ô demeure souterraine !
31-Il faut pourtant qu’il y en ait qui mènent la barque.
32-Et il se lève, tranquille, comme un ouvrier au seuil de sa journée.
33-Dites, à qui devrait-elle mentir ? À qui sourire ? À qui se vendre ?

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