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I.2.2 Modèle de BEZIER non rationnel ..................................................... (14) II.2.1 Équation des fonctions de base............................................................... (30)
c) Propriétés des courbes de BEZIER non rationnelles .............................. (16) a) Fonction b-spline uniforme................................................................... (32)
d) Modification de la forme de la courbe ................................................... (18) b) Fonction b-spline non uniforme............................................................ (33)
Ø Points de définition multiples ........................................................................ (18) c) Forme B-spline périodique ................................................................... (34)
Ø Ajout de points de définition ......................................................................... (19)
II.2.4 Propriétés des fonctions de base B-spline............................................... (34)
Ø Réduction du nombre de points de définition............................................... (20)
II.2.5 Propriétés des courbes B-spline non rationnelle ..................................... (35)
e) Modification du nombre de sommets du polygone caractéristique sans modifier la
forme de la courbe...................................................................................................... (20) II.3 Courbes B-spline non uniforme rationnelle ............................................... (37)
Ø Augmentation du nombre de sommets d’un polygone caractéristique..... (21) II.3.1 Propriétés des fonctions b-spline non rationnelles .................................. (38)
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II.3.2 Propriétés des courbes (NURBS) .......................................................... (39) b) Approche décalée............................................................................ (62)
c) Approche monolithique................................................................... (63)
II.4 Modélisation de différentes surfaces ........................................................ (40)
Ø Conclusion ................................................................................... (63)
1) Introduction.......................................................................................... (40)
2) Surface de BEZIER .............................................................................. (40)
3) Les surfaces rationnelles....................................................................... (41) Chapitre IV. Application à l’interaction fluide-structure
4) Les surfaces de BEZIER rationnelles.................................................... (41)
a) Constructions des surfaces réglées par le modèle de BEZIER IV.1 Présentation de la structure ................................................................ (65)
d) Constructions des surfaces réglées par le modèle de B-spline non IV.6 Application de la charge ..................................................................... (71)
rationnel.......................................................................................... (45)
IV.7 Interprétation des résultats .................................................................. (75)
Ø Conclusion ................................................................................... (46)
IV.8 Conclusion ......................................................................................... (75)
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Tab I.1 Le comportement des courbes en fonction des poids 27 MEF : Méthode des éléments finis(ou FEM).
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76*&"+18*%"6 9363&$.' 76*&"+18*%"6 9363&$.'
Dans le chapitre (IV), nous appliquons la méthode d’analyse par éléments finis iso-
géométriques à l’interaction fluide-structure entre une durite cylindrique (la structure),
et l’eau (le fluide), et nous modélisons cette interaction sur le logiciel MATLAB.
Depuis longtemps, l’être humain travail sans relâche dans le but de rendre plus sûr
les structures et les outils utilisés dans le quotidien, c’est pourquoi il s’est beaucoup En fin nous terminons par une conclusion générale pour résumer tous ce travail.
Les besoins des industries de pointe et les progrès effectués dans le domaine de
l’analyse par éléments finis, conduit les techniques de calcul des structures à un
développement considérable.
Ainsi la méthode des éléments finis est l’un des outils les plus efficaces et les plus
généraux, qui à connu ces cinq dernières années une évolution importante par
l’émergence d’une nouvelle génération d’éléments finis.
En effet, les éléments finis iso-géométriques utilisent le même concept que la CAO,
c’est-à-dire que le maillage éléments finis habituel est remplacé par la modélisation
CAO par les fonctions de base NURBS.
Ce travail est consacré à l’étude de la méthode d’analyse par éléments finis iso-
géométriques, en faisant une application sur une interaction entre un fluide et cette
structure. Pour une meilleure compréhension, il est structuré comme suit :
Dans le chapitre (I) nous commençons par une recherche bibliographique, puis nous
énonçons quelques notions de base sur la technique de réalisation et modélisation
géométrique des courbes de BEZIER.
Dans le chapitre (III), nous présentons la méthode des éléments finis iso-
géométriques en détail pour bien expliquer la procédure pour arriver à déterminer les
différents paramètres nécessaires à la réalisation de ce modèle éléments finis.
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:A$B%*&' 7 ?'8A'&8A' -%-.%"0&$BA%C1'
I.1 Introduction :
Une structure est généralement soumise à des conditions opérationnelles qui peuvent
être, dans certains cas, extrêmement sévères et pouvant donc affecter son intégrité. Dans
l'industrie et dans l'infographie, on a souvent besoin de représenter sur ordinateur des
courbes ou surfaces dont le type est soit non classifiable (ni parabole ni cercle...) soit
non connu à l'avance. On les regroupe généralement sous le nom de "courbes et
surfaces non mathématiques", car l'équation mathématique n'est pas connue par le
programmeur. Ces courbes ou surfaces sont en général définies par un ensemble de
points, plus ou moins nombreux.
C’est ainsi que les courbes à pôles sont développées par Pierre BEZIER. Au début des
:;<=7>?@ 7 années soixante, il était directeur des méthodes mécaniques dans la maison
RENAULT. Sa préoccupation était d'offrir au dessinateur un moyen simple et puissant
pour créer des formes et pour faciliter la programmation des machines à commande
numérique. Les fameuses courbes et surfaces de BEZIER sont alors nées, dans le but de
réaliser des surfaces très complexes.
Modélisation géométrique : Afin d'utiliser concrètement ces courbes et ces surfaces, un logiciel fut créé :
Courbe de BEZIER Unisurf. Il est à la base de tous les logiciels créés par la suite, dont CATIA. Les
concepts de CAO et de CFAO venaient de prendre forme.
standard, ils ont proposé un nouvel arrangement efficace d'amélioration sans n'importe des coefficients dépendant d'une variable. En modifiant ensuite la position des
quel changement de la géométrie du modèle. Plus tard, ces issues d'amélioration plus en points de contrôle, on déforme progressivement la courbe jusqu'à l'obtention du
détail ont été discutées. La raideur a rapporté une solution plus précise que la méthode profil recherché. Pour faciliter la compréhension de cette courbe, on ne traitera
classique. Avec ces propriétés, une méthode iso-géométrique d'analyse a été maintenant ici, que l'aspect "courbe plane" des courbes de Bézier. Ces courbes peuvent être
largement appliquée à beaucoup de disciplines différentes, telles que des vibrations définies comme une combinaison des fonctions de base appelées polynômes de
structurales [13], à la mécanique des fluides [1], interactions de fluide-structure [3]. BERSTEIN[2].
Ainsi, il est souhaitable de développer les méthodes iso-géométriques d'analyse et
d'optimisation de sensibilité de conception de forme, pour des applications dans ces
secteurs. I.2.1 Polynôme de BERSTEIN :
Ils ont présenté un élément fini géométriquement exact [13], en employant un nouvel
Ces polynômes ont été utilisés par BERSTEIN, au début du X: ;<?@ Siècle, pour
élément de la coque de base, sur des coordonnées curvilignes. Un élément tensoriel de
l’approximation polynomiale des fonctions. Ils sont utilisés dans la description du
base a été développé pour la triangularité d'un modèle géométrique en se basant sur les
modèle de BERIER par les points de définition nommés aussi points de BEZIER[5].
NURBS. Plus tard, ils ont proposés comment combiner des surfaces de NURBS avec la
méthode des éléments finis (FEM), et comment déterminer les fonctions de forme La A;<?@ fonction de BERSTEIN de degré n, notée B&'( est définie par :
appropriées. Pour satisfaire la propriété delta-Kronecker sur les frontières des nœuds, on a
B&'( (t) = C(&D. 1E F 231(GH3I 2 & 0JK L K M (I.1)
introduit une fonction B-spline non périodique, qui est beaucoup plus facile que la
(N
fonction périodique pour imposer des conditions aux limites. Avec : C(&D = Coefficient du binôme de NEWTON.
&NI1(G&3N
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(
- En t=1 B('( (1) = 1, B&'((1) = 0 UJLJ] ^E' _ _ I M`. (I.4) égal à 3 telle que :
• Symétrie :
Il est possible d'avoir une représentation paramétrique simple de la courbe : il
Un calcul élémentaire montre que : s'agit en effet de l'ensemble des points M(t) tels que :
B&'((t) = B(G&'( (1-t) pour t ] [ 0,1 ]. (I.5) b123 c 1E F 23d I e f aI 2I 1E F 23g I , f aI 2 g I 1E F 23I 0 f 2 d I h
Ce qui signifie que les fonctions de bases B&'((t) sont deux à deux symétriques en t et (1-t) Pour t parcourant l'intervalle [0,1] (l'équation précédente doit se comprendre
coordonnée par coordonnée).
par rapport à la droite t = 0.5.
Plus généralement, si iZ ,...,Ji( sont (n+1) points du plan, la courbe de Bézier
• Relation de récurrence :
de points de contrôle iZ ,...,Ji( est la courbe polynômiale de degré inférieur ou égal
Une fonction de BERSTEIN peut s’exprimer à l’aide des fonctions du même type mais de
à n donnée par :
degré inférieur [10] tel que :
B&'((t) = t, B&GH'(GH(t) + (1-t) . B&'(GH(t) ; UJ2 V WJX'EJ8I (I.6) (
MN
b123 c R I "k I 1E F "3(Gk I ikJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJ J1[I l3
BZ'( (t) = t, BZ'(GH (t) ; UJ2 V ^E'P' _ _ I I ' M F E`IJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJ (I.7) jNI 1M F j3N
kYZ
B('( (t) = t . B(GH'(GH(t) (I.8)
Pour t dans [0,1] (les experts reconnaitront ici l'expression d'un polynôme de
Bernstein).
b) Explication simplifiée :
Prenons d'abord l'exemple le plus répandu, celui des courbes de Bézier avec 4 points de
contrôle.
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Ø Elle passe par iZ et i( , mais pas en général par les autres points de contrôle.
i(GH i( .
e) Remarque :
[AB ].
M ( t ) se situe à la même proportion du segment [M1 M2] que M1 par rapport au
segment [AB] ou M2 par rapport au segment [BC].
f) Propriété de la construction :
d) Exemple :
La courbe obtenue est l'enveloppe des segments [M1 M2] : en tout point M, la
tangente à la courbe est le segment [M1 M2].
Le segment [AB] est la Courbe de Bézier de degré 1 avec points de contrôle A et B.
Les Polynômes (1-t) et (t) sont les Polynômes - Poids de Bernstein de degré 1. M (t) décrit alors une Courbe de Bézier de degré 2, qui, par construction, commence
en A et se finit en C, et a pour tangentes (AB) en A et (BC) en C. C'est en fait un arc
de Parabole (que nous pourrions noter très logiquement [ABC]) :
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M(t) plus directement : M (t) est ainsi le Barycentre de (A, (1-t)2) (B, 2t(1-t) ) Ø 3ème étape : 1 Courbe de Bézier de degré 3 :
M (t) décrit la Courbe de Bézier de degré 2 avec 3 points de contrôle A, B et C. Les propriétés d'association du Barycentre nous permettent d'exprimer M ( t ) plus
directement : M (t) est ainsi le Barycentre de (A, (1-t)3) (B, 3t(1-t)2) (C, 3t2(1-t) ) (D, t3).
Les Polynômes (1-t)2, 2t(1-t) et t2 sont les Polynômes de Bernstein de degré 2.
ensemble encore plus vaste[7], (Extrapolation à l'ensemble des réels pour obtenir
Construisons une courbe paramétrée en rajoutant une 3ème étape à ce qui précède :
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Les PolynômesJ1E F S3d , 3t1E F S3g , 3t21E F S3 et 2 d sont les Polynômes - Poids de Cette méthode de calcul se généralise facilement à toute courbe paramétrique
Bernstein du degré 3. cubique (x(t) , y(t)) : on remplace dans les formules : l’abscisse par le paramètre de
temps t , et l'ordonnée f(t) par x(t), puis par y(t).
Ø Intérêt du degré 3 : en plus des courbes d'une plus forte régularité, il permet de dessiner
des plis (comme ceux de la cubique d'équation : y = m d -3x , en x = 1 ou -1), ou des points Les points de contrôle Pi ainsi définis ont 3 coordonnées ( tP, xP, yP ) : pas grave, il
d'inflexion (comme celui de la cubique d'équation : y = m -3x , en x = 0), ou des points de
d suffit d’enlever le temps !
rebroussements (comme le point médian dans le chiffre 3), ou des points doubles (comme
Tous les logiciels de dessin utilisent les courbes de Bézier de degré 3.
le croisement dans la lettre alpha), ce que le degré 2, avec ses arcs de paraboles, ne sait pas
faire !
- Pas de problème pour les 2 extrémités A et D : elles sont sur la courbe de f : Ou les fonctions p&'( 123 sont appelées fonctions de BEZIER, le vecteur qZ indique le
point de départ de la courbe.
yA = f(xA) et yD = f(xD) .
Le polynôme formé par [qH ' qg ' _ I ' q( 8Jest appelé polynôme de BEZIER et contrôle la
- Quant aux 2 points intermédiaires B et C, ils sont chacun sur une tangente à la courbe de f forme de la courbe[13].
C sur la tangente en D : yC = yD + (xC - xD) f ’ (xD) . Soit n un entier strictement positif donné et iZ ' iH ' ig ' _ I ' i( une suite de n+1 points
quelconques choisis dans le plan ou dans l’espace à 3 dimensions.
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La courbe de BEZIER associée à ces données est l’arc décrit par le point M(t) défini, par Et i& sont appelés les pôles du polygone caractéristique[13].
l’intermédiaire d’une origine « 0 » choisie arbitrairement au moyen de la formule vectorielle
(où t varie dans [0,1]).
c) Propriétés des courbes de BEZIER non rationnelles :
(
• La courbe ne dépend que des points de définitions, et non de l’origine choisie.
Jsy1S3 c R ,(& 123I zi& JJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJ1[I EP3
&YZ
• Degré de la courbe est égal au nombre de pôles moins un.
• Le degré du polynôme augmente impérativement avec le degré de la complexité
Les points iZ ' iH ' ig ' _ I I ' i( sont dits « points de définition » ou « points de BEZIER ».
de la courbe.
Le polygone dont les sommets successifs sont ces points est dit « polygone
C(t = 0) = iZ J; C(t=1) = i( JI
caractéristique de la courbe ».
En étant tangente au polygone avec :
La partition unité :
Une autre manière équivalente à été proposée par FORREST pour l’expression des Pour tJVJ[0,1].
courbes de BEZIER non rationnelles.
(
En se basant sur les polynômes de BERSTEIN on peut écrire : R ,&'( 123 c EJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJ1[I E}3
&YZ
La définition, indique puisque les coefficients ,&'( 123 sont positifs et que leurs
somme (de i=0 à i=n) est égale à 1, que pour t fixée dans [0,1], C(t) est le barycentre des
Avec tV [0,1] ;
points iZ ' iH ' ig ' _ I I ' i( J affectés de ces coefficients.
Avec les fonctions de BERSTEIN :
(N
,&'( 123 c C(HDI 2 & I 1E F 231(GH3 c I 2 & I 1E F 23(GH JJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJ1[I E|3
&NI1(GH3N
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• Globalité du modèle :
On peut noter que chaque force d’attraction p~ J dépend de deux facteurs indépendants • La continuité : naturellement Cn.
qui sont : • Enveloppe convexe :
o Le coefficient pondérateur qui est constitué par ,&'( 123I La courbe de BEZIER est toujours dans le polygone convexe formé par les pôles.
o La position du point de définition i& I
• Propriété de la variation décroissante :
* Pour t=1 L’explication est la même, en remplaçant iZ Jpar i( .
Aucun plan n’a plus d’intersections avec la courbe qu’avec le polygone de contrôle.
*En dehors des deux points précédents, extrémités de l’arc, l’influence des points de
• Invariance affine :
définition tout au long de la courbe de BEZIER est globale. On peut, pour mieux le voir,
faire des découpes successives des graphiques .(& des polynômes de BERSTEIN. Ce qui Une transformation affine est appliquée à la courbe si elle est appliquée au polygone
permet de visualiser l’évolution des valeurs relatives de ces polynômes lorsque t varie de 0 caractéristique.
On peut se rendre compte que pour t = 0, seul iZ a de l’influence, au fur et à mesure que Une courbe de BEZIER décrite à partir du polygone caractéristiqueJiZ ' iH ' ig ' _ I I ' i( ,
t augmente l’influence de iZ reste prépondérante mais diminuée, alors que celles de iH , ig 'JJ ne change pas de forme lorsqu’elle est décrite à partir du polygone caractéristique inverse
puis celle de id , d’abord très faibles, augmentent. Pour t = 1/3, c’est iH qui a la plus grande i( ' i(!H ' i(!g ' _ I I ' iZ .
influence, pour t = 1/2, iH ' ig ont la même influence iZ et id ont également même influence
mais faible[11].
d) Modification de la forme de la courbe :
En fait, la courbe suit la forme de la ligne polygonale joignant les points de définitions,
cette allure générale est suggérée dans le graphique de la figure ( I.4 ).
2 Si l’on souhaite qu’un point de définitionJi& , ait une influence plus grande sur la forme de
1
l’arc en exerçant sur les points C (t) une plus grande force d’attraction, on donne un ordre
de multiplicité à ce point i& , ce qui veut dire qu’on prend ce point plusieurs fois de suite
0
0 2 4 6 8 10 12 14 16 18
dans la séquence des points de définition (ce qui implique qu’on augmente le degré)[3].
Figure I.4 – Courbe de BEZIER de degré 4 avec 5 points de contrôle.
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2 7
1 6
0 5
0 1 2 3 4 5 6 7 8 9
1
de CFAO, certaines supposent un nombre de sommets identique pour chacun des polygones
0
caractéristiques i#$ associés à une courbe Ci , lorsque cette condition n’est pas satisfaite, la
0 5 10 15
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Ø Augmentation du nombre de sommets d’un polygone caractéristique : Ø Réduction du nombre de sommets du polygone caractéristique :
&YZ
iH 123 c R ,&'*GH 123I %'& . R ,&'* 123I %& c i123Jr q)*+J2 V WX'E8JJJJJJJJJJJJ1[I El3
*GH *
• m est impair :
iH 123 c R ,&'*!H 123I %'& c R ,&'* 123I %& ' U2 V WX'E8JJJJJJJJJ1[I E(3
* *
&YZ &YZ
6 5
Ou les sommets %'& Jse déduisent des sommets %& comme suit :
4.5
5
4
3.5
4
%'Z c %Z Jr
3
3 2.5
1*!HG&3 2
*!H
1.5
%'*!H c %*
1
1
0.5
0 0
0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 3.5 4 0 0.5 1 1.5 2 2.5 3 3.5 4
§ Remarque :
Figure I.8 -Augmentation du nombre de sommets d’un polygone caractéristique sans
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%'Z c %Z Jr La première utilisation de ces modèles remonte à longtemps avec l’intégration des
%'*GH c %*
Le premier avantage des formes rationnelles est l’aptitude à présenter une classe
plus importante de formes (quadratique, conique, cercle, parabole, hyperbole, arc de
-Lorsque m est impair : cercle….etc) donc à faciliter l’homogénéisation des bases de données des logiciels.
Les sommets %'& sont définis par la relation (I.20). Les modèles géométriques rationnels font appel aux concepts des
%'*GH c %*
b) Coordonnées homogènes :
11 11
8 8 Le concept général des coordonnées homogènes est donc d’exprimer des points
7 7
de l’espaceJ%/ (dimension N) dans un espace J%/!H (dimensionJ+ f E).
Les points [W:H ' 0: g ' _ _ ' 0: 1' 08 de J%/!H s’ils sont normalisés sous la
6 6
forme :
5 5
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Défini par :
Pour les pôles (iZ ' iH ' _ _ ' i( 3 chargés respectivement par les poids
(6Z ' 6H ' _ I ' 6( 3'Jla courbe rationnelle de BEZIER associée est définie par l’équation
La transformation projective homogène est définie par :
H : %d %g.
a) Propriétés des courbes rationnelles de BEZIER :
x
7 7 ?2>
y C(t = 0) = iZ et C (t=1) = i( .
2) Le support global.
w 3) Enveloppe convexe.
4) Propriété de la variance affine.
Cette application, qui consiste à diviser les 2 premières composantes par la a6*6 '
A B LM2*C"CD2*JGDH!D2CLI"*!*M2J+H!!*J"M*J"CHJ*+2LHMJ+HMLI"*Jv*JAH!!*2AJv*JJJ
5) La continuité : naturellement Cn.
6) La positivité : les K&'( 123 \ XJpour tout i, n et t.
l’origine % ' sur le plan w=1.
d
7) La réversibilité : la forme de la courbe reste inchangée lorsque l’ordre des
sommets du polygone caractéristique ainsi que celui de la séquence des coordonnées
L’emploi des coordonnées homogènes en CAO offre plusieurs avantages entre
homogènes' /& Jsont inversés étant données que la propriété de symétrie est vérifiée.J
autres, la possibilité de combiner toutes les transformations géométriques courantes
(translation, rotation …..).
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Soit :
Soit les sommets iZ ' iH ' *2Jig non alignés et 6Z ' 6H ' 6g JJleurs poids respectifs.
:;<=7>?@ 77
Si on fixe 6Z ' c 6g c ErJon obtient toute une famille de coniques, en faisant
varier le poids 6H pour les valeurs (0 ;0.5 ;1 ;5), on remarque le comportement de la
courbe comme l’indique le tableau suivant : Modélisation en CAO :
6H c X Droite
Manipulation des Courbes et
6H c E
6H c XI}
Parabole
Surfaces
6H S 1
Ellipse
hyperbole
Ø Conclusion :
Les courbes de BEZIER rationnelles sont des outils mathématiques important car ils
sont utilisés pour la réalisation des formes complexes dans l’industrie.
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:A$B%*&' 77 D"+3.%)$*%"6 '6 :<E :A$B%*&' 77 D"+3.%)$*%"6 '6 :<E
II.1 Introduction :
La modélisation des courbes et surfaces est une nécessité dans la mécanique, il b) Nœuds et séquence nodale :
s’agit généralement de la modélisation paramétrique pour bénéficier d’une plus grande
souplesse des structures.
Une courbe B-spline est une forme paramétrique polynomiale par morceaux,
La complexité des formes des objets rend impossible la modélisation par une entité c'est-à-dire qu’elle est construite à partir d’une succession de polynômes de même
géométrique (courbe ou surface) unique, ça nécessite souvent une approche simplifiée degré m, se raccordant entre eux à des abscissesJ7; , de telle façon a ce que la
obtenue par coupure en hyperplan, il est donc indispensable d’être en mesure d’étudier continuité en ces points soit au maximum de natureJ0 *GH.
avec soin les intersections de ces entités avec des plans ou des droites.
Les abscisses J7; Jdes points de raccordement des polynômes seront appelées des
Une des principales difficultés en CFAO surfacique concerne la définition précise des nœuds, et on appelle séquence nodale l’ensemble des nœuds associés à une courbe B-
raccords entre différents carreaux formant un objet. Le problème consiste à préciser spline avec une importance égale à celle du polygone caractéristique.
quelles relations doivent exister entre les réseaux de deux domaines voisins, afin que le
raccord entre les surfaces voisines ait certaines propriétés de continuités soit assuré, on
a besoin d’un outil qui nous permet de réaliser des formes complexes. c) Ordre de multiplicité :
Le modèle B-spline veut dire « splines de base », physiquement le mot « spline » II.2.1 Équations des fonctions de base :
est un instrument utilisé dans la construction navale et aéronautique.
Notions :
En CAO, la spline est un modèle mathématique qui est utilisée en géométrie. Le
• +&'* 123 les fonctions de base B-spline de degré m (d’ordre m+1) pour le
modèle B-spline qui utilise les splines comme fonctions de base, fut utilisé pour la
paramètre réel t variant de 2*&( à 2*X= .
première fois en CAO par RIESSENFELD. Il permet d’accroitre considérablement la
• i& J' L V ^X' E' _ I I ' M`'Jpôles ou sommets du polygone caractéristique.
souplesse de manipulation des courbes et des surfaces.
• U ( "Z ' "H ' _ _ I ' "Y `'June suite croissante de valeurs réelles appelée séquence
nodale avec : "Z c 2*&( et "Y c 2*X= .
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:A$B%*&' 77 D"+3.%)$*%"6 '6 :<E :A$B%*&' 77 D"+3.%)$*%"6 '6 :<E
Les fonctions de base +&'* 123 peuvent être définies sur l’intervalle [2*&( ' 2*X= 8 • Les fonctions de base +&'* 123 sont des splines de degré m définies sur
par la formule de récurrence de COX et BOOR [10] suivante : l’intervalle tJV W"Z ' "(!*!H 8.
OGZL ZL[\[] GO • L’intervalle de définition n’est plus restreint à [0,1] comme pour les courbes de
+&'* 123 c JI +&'*GH123 f JI +&!H'*GH123
ZL[\ GZL ZL[\[] GZL[]
(II.1)
BEZIER[4].
Avec :
+&'Z 123 c E : si…"& K 2 K "&!H I II.2.3 Vecteur nodal et différents types de B-spline :
+&'Z 123 c X : si….non. D’après l’expression (II.2), on remarque bien que les fonctions de base sont
Une courbe de degré m est définie comme suit : § uniforme / non uniforme.
§ périodique / non périodique.
m123
P (t) =_`123b c o(&YZ +&'* 123I i& , avec : tJV c"Z ' "Y d' *2 , M S !
a123
(II.2)
a) Fonction B-spline uniforme :
fL
Où : Dans ce cas la séquence nodale, définissant l’ensemble des fonctions de base
constituée de nœuds possédant tous une multiplicité de 1 et distant les uns des autres
+&'* 123 sont les fonctions de base de degré m définies par l’équation (II.1) pour un
d’une valeur constante.
vecteur nodal U ["Z ' _ I I "Y 8. La relation qui lie le nombre des sommets du polygone
caractéristique n ; le degré m et le nombre de valeur nodales (p+1) est : p = n+m+1. Alors, les fonctions de base se déduisent les unes des autres par translation
d’amplitudeJj.
Pour une séquenceJ"& , jJV ^X' E' _ I ' "`, ces particularités s’écrivent :
L’équation (II.2) montre la similitude de cette expression avec l’équation (I.14) d’une
courbe de BEZIER. On note cependant les différences suivantes :
• Le degré m des fonctions de base +&'* 123 n’est pas imposé par le nombre de ")!H F ") c jI
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:A$B%*&' 77 D"+3.%)$*%"6 '6 :<E :A$B%*&' 77 D"+3.%)$*%"6 '6 :<E
I f J F 23* JJJJJJJJJJ1[[I a3
H
+&'* 123 c *!H1J *!H 3I 1FE31*!HG)3 1L
JI o)YZ en tout point de la courbe ([10]), et la périodicité est fixée par la dimension du
*N
polygone caractéristique Phi , la séquence nodale adoptée pour la construction de
La multiplicité des B-spline uniformes se heurte à un manque de souplesse pour fonction de base B-splines périodiques sera :
Dans ce cas l’intervalle entre 2 nœuds successifs n’est pas constant. Les fonctions Et +&'k 123 c +&'k 12 f k(!H 3JJ pour UJV WkZ ' k* 8 et n-m+1K L K M
B-spline non uniformes, pour offrir une plus grande souplesse de traitement, doivent
être construites à partir d’une séquence nodale telle que :
II.2.4 Propriétés des fonctions de bases B-spline :
(
R +&'* 123 T EJU2 V W"Z ' "(!H!* 8 JJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJ1[[I |3 ü Support d’une fonction B-spline : La fonction B-spline d’indice i et de
degré m est nulle en dehors du segment [k& ' k&!*!H 8'Jqu’on appelle
&YH
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:A$B%*&' 77 D"+3.%)$*%"6 '6 :<E :A$B%*&' 77 D"+3.%)$*%"6 '6 :<E
Pour une valeur nodale de multiplicité k, la fonction possède une ü Enveloppe convexe locale : La courbe est dans une enveloppe convexe des
continuité d’ordre m-k. pôles, c'est-à-dire si t V W2) ' 2)!H 8 et mJK J K " F ! F E, alors C(t) est dans
ü Extremum : Sauf pour m=0, possède un seul extremum. l’enveloppe convexe des pôles i)G* ' i) .
ü Le vecteur nodal : Le vecteur nodal ayant la forme U{0, 0,….,0, ü Le polygone formé par les pôles i) représente une approximation linéaire par
1,…,1}, ou le 0 et le 1 sont de multiplicité m+1, donne une fonction de morceaux de la courbe.
base du type BERSTEIN de degré m = n. ü Comportement local : Si on déplace un pôle la courbe sera localement
déformée et affecte la courbe dans (m+1) intervalles.
Les courbes suivantes illustres les différentes caractéristiques énoncées
ü Phénomène commutateur : On se déplaçant le long d’une courbe de t = 0 à
précédemment :
t =1 les fonctions B-spline agissent comme un commutateur, d’un intervalle à
l’autre en passant par un nœud une fonction « s’éteint » une autre
« s’allume ».
ü A l’intervalle non nul [2) ' 2)!H 8 toutes les dérivées existent, pour un nœud de
multiplicité k, elle est m-k fois continûment dérivable.
ü Propriété de la variance décroissante : Aucun plan n’a plus d’intersections
avec la courbe qu’avec le polygone de contrôle.
ü Type de BEZIER : Une courbe B-spline sans nœuds internes est une courbe de
BEZIER.
ü Séquence nodale et invariance d’une courbe : Une courbe B-spline, quelle que
soit sa nature ; uniforme, périodique ou non uniforme, définie par un polygone
caractéristique Phi et une séquence nodale k& J V ^X' E' _ _ ' ! f M f E`
Figure II.1 – Fonction de base B-spline avec u={0,0,0,1,2,3,4,4,5,5,5} déterminant des fonctions de base de degré m, ne change pas de forme lorsque
la séquence nodale est soumise à une transformation linéaire.[3]
II.2.5 Propriétés des courbes B-spline non rationnelles :
Soit la courbe initiale :
ü La multiplicité (m+1) des nœuds extrêmes engendre ces conditions aux
extrémités de la courbe : P(t) = o(&YZ %& I +&'* 123' avec : tJV W"Z ' "*!(!H8JJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJ1[[I }3
JJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJk BL c jI kL f m
ü Invariance affine : une transformation affine est appliquée à la courbe si elle
est appliquée aux pôles.
On obtient alors :
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:A$B%*&' 77 D"+3.%)$*%"6 '6 :<E :A$B%*&' 77 D"+3.%)$*%"6 '6 :<E
iH 12 B 3 c i123 c o(&YZ %& I +&'* 12 B 3JJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJJ1[[I &3J (6& 3 une séquence de coordonnées associée au polygone (i& 3, +&'* 123 les fonctions de
Le modèle B-spline rationnel non uniforme (NURBS) est actuellement une des
formes mathématiques les plus générales employées pour la description des surfaces
II.3.1 Propriétés des fonctions de base B-spline non rationnelles :
géométriques complexes. Les excellentes propriétés géométriques et analytiques des
NURBS ont permis leur prolifération et leur incorporation rapide dans les systèmes de ü Positivité : %&'* 123 \ X pour toute valeur de i, m et t.
CAO et CFAO. ü Propriété de CAUCHY :
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:A$B%*&' 77 D"+3.%)$*%"6 '6 :<E :A$B%*&' 77 D"+3.%)$*%"6 '6 :<E
Remarque :
Les NURBS sont la généralisation des modèles : de BEZIER non rationnel,
I.3.2 Propriétés des courbes (NURBS) :
BEZIER rationnel et B-spline non rationnel.
Les propriétés suivantes sont données par les coordonnées homogènes ü La variation du poids 6& Jinflue sur le pôle i& analogue à celui des BEZIER
admissibles. rationnelle à l’exception que la variation, dans le cas de NURBS est locale.
ü Les courbes NURBS peuvent représenter exactement toutes les formes
ü Comportement aux extrémités :
coniques usuelles de conception (cercle, ellipse, …)
P (t = k*&() = iZ , P (t = k*X= ) = i( .
12 c k*&( 3 c !I 6H q rI
vi 1iH F iZ 3
I.4 Modélisation des différentes surfaces :
v2 6Z 1k*!H F k* 3
1) Introduction :
12 c k*X= 3 c !I 6(GH q r
vi 1i( F i(GH 3
6( 1k(!H F k( 3
Les premiers modèles utilisés en CFAO sont les surfaces de FAYARD publiées en
v2
1961.
ü Invariance affine et projective : Une application affine ou projective appliquée
Les surfaces FERGUSON développées pour la société « Boing » vers 1964, et les
sur le polygone caractéristique de la courbe donne le même résultat.
surfaces d’INABA développées pour la société « Fuji-Tsushinski » vers 1967. Les
ü Enveloppe convexe : la courbe P (t) est entièrement située à l’intérieur du
modèles les plus utilisés sont les surfaces de BEZIER et B-spline.
polygone caractéristique.
ü Si m=1 alors la courbe est exactement confondue avec son polygone
caractéristique.
2) Surfaces de BEZIER :
ü Support local : Si on change la position d’un pôle ou la valeur d’un poids, la
courbe ne sera affectée que sur m+1 intervalle nodaux. Dans la modélisation géométrique, le déplacement et la déformation d’une courbe
ü Dérivation et continuité : Pour tout t qui n’est pas une valeur nodale, P(t) est génératrice qui est une courbe de BEZIER, déterminée par son polygone
infiniment dérivable. Si t est égal à une valeur nodale de multiplicité k, P(t) est caractéristique ns? , chaque sommet %& Jde ns? décrit une courbe t& , appelée
(m-k) fois dérivable (mais pas nécessairement continue). directrice, représentée également par une courbe de BEZIER de degré n.
ü Propriété de la variance décroissante.
La surface de BEZIER est le produit cartésien de deux familles de courbes de BEZIER
ü L’adoption d’une séquence nodale sans nœuds internes du type U={0, 0, ….,0
suivant deux directions avec deux paramètres descripteurs u et v.
,1,….1} donne une courbe de BEZIER rationnelle, tandis que la séquence de
coordonnées homogènes identiques (6& c +A2*' 0K L K M) donne une courbe Un point de carreau de BEZIER décrit à partir d’une génératrice et de (m+1)
B-spline non rationnelle non uniforme. directrices définie à base des fonctions de BERSTEIN présentant les avantages de
ü L’adoption des deux conditions à la fois conduit à l’obtention d’une courbe de programmation et permettant de voir directement l’influence d’un pôle sur la forme de
BEZIER non rationnelle [12]. la surface[6].
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:A$B%*&' 77 D"+3.%)$*%"6 '6 :<E :A$B%*&' 77 D"+3.%)$*%"6 '6 :<E
Pour un ensemble de pôles de contrôle dont la disposition spatiale est H : %d %dI Après application de la
typologiquement rectangulaire appelé réseau caractéristique, la surface de BEZIER est transformation on obtient :
définie par l’expression :
&YZ )YZ
coordonnées homogènes définies dans l’espace 3D[8]. Soit 0H 123, 0g 123 deux courbes données par :
OYZ K&'* 123I i&'Z et 0g 123 c oOYZ K&'* 123I i&'H avec K&'* 123 : fonction de
0H 123 c o* *
Dans l’espace homogène, le carreau de BEZIER est engendré par déplacement
et déformation d’une courbe de BEZIER. Le réseau caractéristique y% ( (( et la BERSTEIN rationnelle.
séquence admissible de coordonnées homogènes définissent le carreau % ( 1"' )3 dans Les surfaces sont données par la figure suivante :
l’espace homogène :
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:A$B%*&' 77 D"+3.%)$*%"6 '6 :<E :A$B%*&' 77 D"+3.%)$*%"6 '6 :<E
spline est le produit cartésien de deux familles de courbe B-spline suivant deux
directions avec deux paramètres descripteurs u et v.
&YZ )YZ
La figure suivante montre quelques exemples de courbes de BEZIER non Avec " ) V WkZ ' k(!*!H 8 W|Z ' |(!*!H8
Les courbes de B-spline rationnelles sont données par les relations suivantes :
J
Figure II.3 – Surface de BEZIER non rationnelle avec sont réseau caractéristique.
u1t' v3 c R R %&'* 1"3I J%)'H 1)3I i&')
* H
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:A$B%*&' 77 D"+3.%)$*%"6 '6 :<E :A$B%*&' 77 D"+3.%)$*%"6 '6 :<E
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