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À la page neuf, il y a un enfant de onze ans qui veut être un adulte. Il pense qu’il en
deviendra quand il aura des relations sexuelles avec une femme de la rue Paradis.
Il habite avec son père qui ne montre pas d'amour parental. Sa mère l'a abandonné.
Tout cela fait que Momo veut devenir adulte.
“C’était le prix de l’âge d’homme”
3 - L'apprentissage de l'amour
Momo est un enfant de onze ans qu’il n’avait pas d’amour parental. Pour cela, il ne
sait pas aimer ni être aimé. Lui seulement veut devenir un adulte. Mais, Monsieur
Ibrahim l’enseigne qu’il peut aimer et qu’il y a personnes qui l’aiment. Pour
exemple, à la page 25 Monsieur Ibrahim dit Momo qui l’aime.
“Momo, je vais dire une chose : je te préfère cent fois, mille fois, à Popol.”
Après, à la page 36 apparaît Myriam, une fille que Momo aime. Mais elle rejete a
Momo comme un candidat non valable et Monsieur Ibrahim li dit qu’il ne peut faire
rien pour qu’elle change d’opinion.
“Ça ne fait rien. Ton amour pour elle, il est à toi. il t’appartient. Même si elle le
refuse, elle ne peut rien y changer. Elle n’en profite pas, c’est tout. Ce que tu donnes,
Momo, c’est à toi pour toujours ; ce que tu gardes, c’est perdu à jamais.
Cristine Rivas Ramírez 1Bat Littérature française
De plus, dans la page 49, il y a un autre apprentissage d’amour de Momo. Parce que
dans cette page, M. Ibrahim li démontre à Momo un amour parental, amour que
Momo n’a eu jamais par part de son père.
4 - L'apprentissage du bonheur
Dans notre livre, il y a l’apprentissage du bonheur et dans cet apprentissage, Momo
apprend le bonheur à travers sa relation avec M. Ibrahim et découvre la valeur de la
simplicité, de l’amour inconditionnel. Monsieur Ibrahim lui enseigne que le
bonheur ne réside pas dans les biens matériels ou les succès extérieurs. Sinon, dans
la capacité à apprécier les petits moments de la vie, à être en paix avec soi-même et
à trouver du sens dans les relations humaines. En résumée, Momo réalise que le
bonheur est quelque chose qu’il peut cultiver en lui-même, indépendamment des
circonstances extérieures.
5 - L'apprentissage de l'amitié
Dans cette histoire, Momo et Monsieur Ibrahim ont une amitié
intergénérationnelle. Monsieur Ibrahim se préoccupe de Momo. Il laisse Momo
voler dans son épicerie, il achète des choses quand Momo n’en a pas ou s’ils sont
vieux.
“Momo, si tu dois continuer à voler, viens les voler chez moi.”
“Tu n’as pas de bonnes chaussures, Momo. Demain, nous irons acheter des
chaussures.
“Je te les offre. C’est mon cadeau.”
L’amitié de Monsieur Ibrahim arrive jusqu’au point qu’il obtient la custode de
Momo et sa relation devient une relation familiale.
6 - L'apprentissage de la beauté
Momo apprend que la beauté quand M. Ibrahim lui enseigne et l’aide à développer
une sensibilité artistique et spirituelle qui lui permet de voir la beauté dans les
petites choses de la vie. Par exemple, dans le sourire des gens, les rues de Paris, la
nature et les moments simples passés ensemble, Monsieur Ibrahim. En conclusion,
Momo comprend que la beauté est présente partout, cela lui donne une nouvelle
perspective sur le monde qui l’entoure.
8 - L'apprentissage de la mort
L’apprentissage de la mort se montre dans plusieurs moments du livre avec la mort
du père de Momo et, plus tard, avec la mort de M. Ibrahim. Avec la mort de son
père, Momo apprend que la vie peut finir, c’est-à-dire, toutes les personnes
meurent. Mais avec la mort de M. Ibrahim, il apprend et accepte que la mort est une
partie inévitable de la vie
9- L'apprentissage de la tolérance
La tolérance se montre avec l’amitié entre Momo, un jeune juif, et M. Ibrahim, un
vieux homme sage musulman, parce qu’ils appartiennent à une religion différente.
Pour cela, ils tolèrent et acceptent la religion de l’autre et Momo apprend que la
tolérance, c'est un aspect essentiel de sa croissance personnelle et morale.