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Leçon n° 65

Exemples d’algorithmes 9

Niveau Lycée
notions de programmation, notions d’arithmétique (PGCD), notions d’analyse
Prérequis (fonctions, croissance), notions de probabilités (calcul de probabilités et loi forte
des grands nombres)
Références [169], [170], [171], [172], [?], [173]

65.1 Définition d’un algorithme


Définition 65.1 — Algorithme.Un algorithme est une suite finie d’opérations et d’instructions per-
mettant de résoudre un problème.

 Exemple 65.2 On donne l’exemple d’un algorithme (un peu tordu) pour savoir ce qu’on doit faire

quand une lampe ne fonctionne plus mis sous forme d’un organigramme.

Dans ce qui va suivre, les algorithmes seront programmés grâce au logiciel de calcul formel, Xcas.

65.2 Algorithmes en arithmétique


65.2.1 Algorithme d’Euclide
Soient a et b deux entiers relatifs. L’algorithme d’Euclide permet de calculer le plus grand commun
diviseur des entiers a et b.
R 65.3 Puisque l’algorithme a pour objet le calcul d’un PGCD, il est possible de se restreindre aux entiers positifs,
un PGCD de deux entiers relatifs étant égal au PGCD de leurs valeurs absolues.

Description de l’algorithme.
— Le cas où a et b est nul est trivial car PGCD(a, 0) = a.
10 Leçon n°65 • Exemples d’algorithmes

— On définit une suite (an )n∈N par récurrence telle que a0 = a et a1 = b puis tant que an+1
n’est pas nul, an+2 est défini comme le reste de la division euclidienne de an par an+1 .
On commence donc par calculer le reste de la division de a par b, qu’on note r ; puis on
remplace a par b, puis b par r et on réapplique le procédé depuis le début.
On obtient ainsi une suite, qui vaut 0 à un certain rang ; le PGCD cherché est le terme précé-
dent de la suite.

Dv

• Démonstration — On montre que l’algorithme s’arrête à un moment donné.


La définition meme de la suite (an ) par division euclidienne montre que, pour tout n tel que
an+1 est non nul, il existe un entier qn+2 tel que an = qn+2 × an+1 + an+2 avec de plus
0 ≤ an+2 < an+1 pour tout n tel que an+1 non nul. La suite d’entiers naturels (an ) est donc
strictement décroissante (tant qu’elle est non nulle) à partir du rang 1, et donc vaut 0 à un
certain rang. L’existence d’un dernier reste non nul est ainsi établie. •

 Exemple 65.4 On calcule, par exemple, le PGCD de 1071 et de 1029 à l’aide de l’algorithme
d’Euclide :

1071 = 1029 × 1 + 42
1029 = 42 × 24 + 21
42 = 21 × 2 + 0

Il faut prendre le dernier reste avant le zéro donc PGCD(1071, 1029) = 21. 

Voici l’algorithme implémenté sur Xcas :


pgcdeuclide(a,b):={
local r;
tantque b <> 0 faire
r := irem(a,b)
a := b
b := r
ftantque
retourne(a)
}

pgcdeuclide(1071,1029)
21

65.2.2 Crible d’Eratosthène


Pour dresser la liste des nombres premiers entre 2 et 100, la méthode du crible d’Eratosthène
consiste à :
— écrire la liste des nombres entiers inférieurs ou égal à 100 ;
— éliminer successivement les multiples propres de 2, de 3, . . . puis ceux de p, où p est le premier
nombre non encore élimié, etc.
Les entiers éliminés (en rouge) sont les entiers non premiers entre 2 et 100. Les entiers (en vert)
sont donc les nombres premiers inférieur à 100.
R 65.5
65.3 Algorithmes en analyse et probabilités 11

F IGURE 65.1 – Crible d’Erastosthène pour les entiers inférieurs ou égaux à 100

1. Pour éliminer les multiples propres de 7, commencer à 72 , car les multiples inférieurs ont déjà été
éliminés.
2. Il est possible de savoir à l’avance « jusqu’où aller ». En effet, grâce au critère d’arrêt, tout entier
composé n admet un diviseur premier p tel que :
2 ≤ p ≤ n.
√ √
Si n ≤ 10, alors n ≤ 100 = 10. Tous les entier non premier sera éliminé en tant que multiple
propre de 2, 3, 5, 7 et 11.

On peut écrire un algorithme qui permet d’établir le crible d’Eratosthène (qu’on peut implémenter
sur Xcas) :
erato(n):={
local j,k,P;
P:=[seq(k,k=1..n)];
P[0]:=0;
pour j de 2 jusque floor(sqrt(n)) faire
si P[j-1]>=1 alors
pour k de 2 jusque floor(n/j) faire
P[j*k-1]:=0;
fpour;
fsi;
fpour;
retourne(select(x->(x>=1),P));
}:;

erato(100)
[2,3,5,7,11,13,17,19,23,29,31,37,41,43,47,53,59,61,67,71,73,79,83,89,97]

65.3 Algorithmes en analyse et probabilités


65.3.1 Dichotomie
Problème
Soient I = [a, b] un intervalle de R et f : I → R une fonction continue telle que f (a) < f (b). On
veut calculer m tel que f (m) = 0. Pour cela, on construit deux suites (an ) et (bn ) convergentes vers
m.
12 Leçon n°65 • Exemples d’algorithmes

Principe
— On pose a0 = a et b0 = b.
— Soit m0 le milieu de [a, b] :
— Si f (m0 ) > 0 alors on pose a1 = a0 et b1 = m0
— Sinon on pose a1 = m0 et b1 = b0 .
— Ainsi de suite, si on veut construire le k e terme de la suite, on pose mk−1 le milieu de
[ak−1 , bk−1 ] :
— Si f (mk−1 ) > 0 alors ak = ak−1 et bk = mk−1
— Sinon on pose ak = mk−1 et bk = bk−1 .

L’algorithme sur Xcas


dicho(F,p,a,b):={
local aa,bb,k,f;
aa:=a;
bb:=b;
epsilon:=1e-100;
f:=unapply(F,x);
k:=0;
tantque evalf(bb-aa,p)>10^(-p) faire
si sign(evalf(f((bb+aa)/2),p))==sign(evalf(f(bb),p))
alors bb:=evalf((aa+bb)/2,p);
sinon aa:=evalf((aa+bb)/2,p);
k:=k+1;
fsi;
ftantque;
retourne evalf((bb+aa)/2,p)+" est la solution trouvée apres " +k+ " itérations";
}:;

dicho(x^4-x^2+x-4,5,0,5)
1.47198 est la solution trouvée apres 11 itérations
et sa version récursive :
dicho_rec(f,a,b,eps,compteur):={
si evalf(b-a)<eps alors 0.5*(b+a),compteur+1
sinon si f(a)*f(0.5*(b+a))>0
alors dicho_rec(f,0.5*(b+a),b,eps,compteur+1)
sinon dicho_rec(f,a,0.5*(b+a),eps,compteur+1)
fsi
fsi
}:;

dicho_rec(x->x^4-x^2+x-4,0,5,10^(-6),0)
(1.47198408842,24)
Le théorème des valeurs intermédiaires
Théorème 65.6 — Théorème des valeurs intermédiaires. Soient I un intervalle, a et b dans I tels que
a < b. Soit f une application continue sur l’intervalle I. Soit λ, un réel compris entre f (a) et f (b).
Alors il existe (au moins) un réel c dans [a , b] tel que f (c) = λ.
65.3 Algorithmes en analyse et probabilités 13

Dv

• Démonstration du théorème 65.6 — Supposons f (a) < f (b). Nous allons construire deux
suites adjacentes (an )n∈N∗ et (bn )n∈N∗ par l’algorithme suivant :
— Si le milieu m de l’intervalle [a , b] est tel que f (m) ≥ m alors on pose a1 = a et b1 = m.
— Sinon, on pose a1 = m et b1 = b.
On recommence le découpage :
— Si le milieu m de l’intervalle [a1 , b1 ] est tel que f (m) ≥ λ alors on pose a2 = a1 et
b2 = m.
— Sinon, on pose a2 = m et b2 = b1 .
On a ainsi :
a ≤ a1 ≤ a2 ≤ b2 ≤ b1 ≤ b et f (a2 ) ≤ λ ≤ f (b2 ).

Cf

f (b)
λ
f (a)

a ? b1 b
a1 ? b 2 b1

En réitérant le procédé, on construit ainsi une suite de segments emboîtés a :

[a , b] ⊃ [a1 , b1 ] ⊃ · · · ⊃ [an , bn ] ⊃ · · · .

De plus, par construction, la longueur de [an , bn ] est b−a


2n . Les segments [an , bn ] ont donc
des longueurs qui tendent vers 0. Les suites (an )n∈N∗ et (bn )n∈N∗ sont donc adjacentes.
Notons c leur limite commune (ce réel c est dans l’intervalle [a , b]). Montrons que f (c) = λ.
On a, pour tout n ∈ N∗ :
f (an ) ≤ λ ≤ f (bn )
et par passage à la limite :

lim f (an )λ ≤ lim f (bn ).


n→+∞ n→+∞

Or, f est continue en c donc :


f (c) ≤ λ ≤ f (c)
et ainsi f (c) = λ. On a bien montré qu’il existe un réel c dans [a , b] tel que f (c) = λ. •
a. Il s’agit d’une méthode de dichotomie.

R 65.7

1. Le théorème des valeurs intermédiaires nous dit que l’équation f (x) = λ (f (a) < λ < f (b)) admet au
moins une solution dans [a , b].
14 Leçon n°65 • Exemples d’algorithmes

2. L’hypothèse de continuité est indispensable dans le théorème. Essayer d’applique le théorème des
valeurs intermédiaires à la fonction « partie entière » avec a = 0, b = 1 et λ = 21 . . .

Cf

f (b)

λ
f (a)

a c b

F IGURE 65.2 – Cas d’une fonction monotone

Cf

f (b)
λ
f (a)

a c b

F IGURE 65.3 – Cas d’une fonction non monotone

Exemple 65.8 Tout polynôme de polynôme P (à coefficients réels) de degré impair admet (au moins)
une racine réelle. En effet, comme le degré de P est impair, on a :
lim P (x) = −∞ et lim P (x) = +∞.
x→−∞ x→+∞

En conséquence, il existe un réel a ∈ R tel que pour tout x < a, on ait P (x) < 0 et un réel b ∈ R tel
que pour tout x > b, on ait P (x) > 0. Comme P est une fonction continue, le théorème des valeurs
intermédiaires permet d’affirmer l’existence d’un réel c ∈ ]a , b[ tel que P (c) = 0. 

R 65.9 Le théorème des valeurs intermédiaires n’admet pas de réciproque. Une fonction f peut très bien vérifier
la propriété des valeurs intermédiaires sans être continue. Considérer par exemple la fonction f définie sur
I = R par : (
sin x1 si x 6= 0
f (x) = où x0 ∈ [−1 , 1].
x0 si x = 0
65.3 Algorithmes en analyse et probabilités 15

On peut montrer (en exercice) que la fonction f est non continue en 0 et vérifie pourtant la propriété des
valeurs intermédiaires. En effet, soient a et b deux réels avec a < b.
— Si a et b sont non nuls et de même signe, alors c’est immédiat (puisque dans ce cas f est continue sur
[a , b]).
— Si a = 0 (et b > 0) alors on prend un réel λ compris entre f (a) = x0 et f (b). Comme λ ∈ [−1 , 1], on
peut toujours trouver un réel X ≥ 1b tel que sin X = λ. En posant x = X 1
, il vient bien f (x) = λ avec
x ∈ [a , b].
— On raisonne de même si on a un intervalle [a , 0] ou [a , b] lorsqu’il contient 0.

C’est plus, c’est moins !


L’utilisateur du programme choisit un nombre au hasard entre 1 et 100. Donner un algorithme qui
permet à l’ordinateur de détecter le nombre choisi par l’utilisateur.
Pour cela, on va utiliser la méthode de dichotomie.
plusmoins(n) fonction
local a,b,m;
a := 0;
b := 100;
m := (a+b)/2;
tantque m <> n faire
si m < n alors
a := m+1;
m := floor((a+b)/2)
sinon
b := m-1;
m := floor((a+b)/2)
fsi
ftantque
retourne(m)
ffonction:;

plusmoins(80)
80

65.3.2 Le lièvre et la tortue


Le jeu du lièvre et de la tortue est le suivant :
— À chaque tour, on lance un dé,
— si le 6 sort, le lièvre gagne la partie, sinon la tortue avance d’une case,
— la tortue gagne quand elle a avance 6 fois.
Sous Xcas, on peut programmer le jeu de la manière suivante :
jeutortue():={
local T,k;
T := 0;
pour k de 1 jusque 6 faire
si floor(hasard(1,7)) <> 6 alors
T := T+1;
fsi;
fpour;
si T <> 6 alors
retourne("le gagnant est le lièvre")
16 Leçon n°65 • Exemples d’algorithmes

sinon
retourne("le gagnant est la tortue")
fsi
}
:;

jeutortue()
le gagnant est le lièvre

La question se pose : quelle est la probabilité pour que la tortue gagne ? On note TG l’événement :

TG = {la tortue gagne la partie} .

Pour que la tortue avance d’une case, il faut que le dé ne tombe pas sur le 6 donc sur, 1, 2, 3, 4 et 5.
Donc, si on note :
TC = {la tortue avance d’une case} ,
la probabilité que l’événement TC ait lieu est de :
5
P (TC ) = .
6
Ainsi,
 6
5 56
P (TG ) = P (TC )6 = = ≈ 0, 335.
6 66
On peut vérifier le résultat en lançant un grand nombre de fois l’algorithme et en calculant la
proportion de jeux gagnants pour la tortue. La loi forte des grands nombres nous dira que plus le
nombre de jeux est grand, plus cette proportion tend vers la probabilité P (TG ).
probatortue(n):={
local g,T,k,simu,pourcent;
T := 0;
pour simu de 1 jusque n faire
g := 0;
pour k de 1 jusque 6 faire
si floor(hasard(1,7)) <> 6 alors
g := g+1;
fsi;
fpour;
si g == 6 alors
T := T+1;
fsi
fpour
pourcent := evalf(T/n*100);
retourne("la tortue gagne " +pourcent+ "% des parties")
}

:;

probatortue(20000)
Temps mis pour l’évaluation: 5.68
la tortue gagne 33.91
65.4 Algorithme de tri 17

65.4 Algorithme de tri


On se donne une liste numérique que l’on suppose ou non désordonnée. Le but de cette section
est de donner des algorithmes qui permettent de tri dans l’ordre croissant la liste numérique.

65.4.1 Tri à bulles


Le principe du tri à bulles est de tester si le k e élément de la liste est plus grand que le (k + 1)e
élément de la liste. S’il est plus grand, on transpose les deux éléments et on vérifie avec les éléments
précédents de la liste s’il est plus petit.
On s’arrête dès que tous les éléments de la liste sont rangés par ordre croissant.

La complexité de cet algorithme est en O(n2 ).


On donne un algorithme implémenté sur Xcas :
bulle(L):={
local LT,compteur,k,temp;
LT:=L;
compteur:=0;
pour k de 0 jusque size(LT)-2 faire
si LT[k]>LT[k+1] alors
temp:=LT[k];
LT[k]:=LT[k+1];
LT[k+1]:=temp;
k:=-1;
compteur:=compteur+1;
fsi;
fpour;
retourne(LT,compteur);
}:;

L := [4,3,2,1]
[4,3,2,1]
bulle(L)
([1,2,3,4],6)
18 Leçon n°65 • Exemples d’algorithmes

65.4.2 Tri par insertion


On part d’une liste non triée et on veut créer une liste L dans laquelle on va insérer les éléments
de l’ancienne liste mais cette fois-ci dans l’ordre croissant.
Pour le premier élément de la liste, on l’insère dans la nouvelle liste L sans restriction.
Pour les suivants (appelons k cet élément), on teste si l’élément de tête de liste L est supérieur à
k. Si oui, alors on insère l’élément k en tête de liste, sinon on enlève la tête de liste (ce qui nous donne
une liste L0 ) et on teste si l’élément de tete de la liste L0 est supérieur à k.
L’algorithme s’arrête si tous les éléments de l’ancienne liste ont été mise dans la nouvelle liste
(cette fois-ci, cette nouvelle est triée dans l’ordre croissant).
On dit que cet algorithme est un algorithme récursif.

La complexité de cet algorithme est en O(n log(n)).


On donne un algorithme implémenté sur Xcas :
insere(element,liste):={
if(liste==[])
then{[element]}
else{
if(element<=head(liste))
then{prepend(liste,element)}
else{prepend(insere(element,tail(liste)),head(liste))}

}
}:;

tri_insertion(liste):={
if(liste==[])
then{[]}
else{insere(head(liste),tri_insertion(tail(liste)))}
}:;

tri_insertion([1,2,3,1])
[1,1,2,3]

65.5 Cryptographie : Le code César


Le code César est la méthode de cryptographie qui consiste en une substitution mono-alphébtique,
où la substitution est définie par un décalage de lettres. Par exemple, si on remplace A par D, on
65.5 Cryptographie : Le code César 19

remplace B par E, C par F, D par G et ainsi de suite. Donnons un exemple à partir de ce décalage de 3
lettres.

On donne un algorithme implémenté sur Xcas :


code:= (c)->{ return(asc(c)-32) }:;
decode:= (k)->{return(char(k+32)) }:;
jules_cesar:= (message,cle)->
{ local s,j,messcode;
s:=size(message);
messcode:="";
for (j:=0;j<s;j:=j+1) {
messcode:=append(messcode,decode(irem(cle+code(message[j]),95)));
};
return(messcode);
}:;
Par exemple, on code le texte « lecontermine » en code César avec un décalage de 3 lettres.
jules_cesar("lecontermine",3)
ohfrqwhuplqh
20 Leçon n°65 • Exemples d’algorithmes
Bibliographie

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net/graphes-ancien/coloration/sommets.html
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accompagnement.pdf.
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[10] G. C OSTANTINI, Probabilités : Généralités, conditionnement, indépendance, Cours de Pre-
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[11] M. L ENZEN, Leçon no 3 : Coefficients binomiaux, dénombrement des combinaisons, formule
du binôme. Applications., 2011, URL : http://www.capes-de-maths.com/index.
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[15] L. L UBRANO & al., Mathématiques, BTS Industriels - Groupement B et C, Dunod, 2011.
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