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L’affaire Seznec est une affaire criminelle dans laquelle Guillaume Seznec est reconnu coupable,

en 1924, du meurtre de Pierre Quéméneur (conseiller général du Finistère) et de faux en écriture


privée. Ce dernier a disparu durant un voyage d'affaires effectué en 1923 Les journaux évoquent les
soupçons des policiers sur la possibilité que Seznec ait utilisé le cric de la Cadillac pour tuer
Quéméneur, puis qu'il ait ramené le corps à Morlaix, activé la chaudière de la scierie de Traon-ar-Velin
pour brûler le cadavre et vidé les cendres dans la rivière Le procès de Seznec, au cours duquel 148
témoins sont entendus, dure huit jours et prend fin le 4 novembre 1924. L'accusé est reconnu
coupable. La préméditation étant écartée, il est condamné aux travaux forcés à perpétuité, alors que
l'avocat général avait requis la peine de mort il est conduit au bagne de guyane Après la Seconde
Guerre mondiale et la fermeture du bagne de Guyane, Seznec bénéficie d'une réduction de peine de
dix ans, ce qui permet sa libération le 14 mai 1947 Le 20 juin, un employé de la gare
du Havre, découvre une valise à la serrure fracturée (elle semble avoir séjourné dans l'eau de mer et
présente des taches de sang) contenant du linge et une serviette en cuir où l'on trouve le portefeuille et
des papiers au nom de Quéméneur23. La famille de Quéméneur est informée [...] l'un des fils de
Guillaume Seznec, dit « Petit-Guillaume ». Selon celui-ci, Pierre Quéméneur serait mort le dimanche 27
mai 1923 au domicile des Seznec : l'épouse de Guillaume Seznec, Marie-Jeanne, aurait repoussé ses
avances, provoquant une chute fatale de Quéméneur, et ce avant le retour de Guillaume 45. D'après
Langlois, après cette mort accidentelle, le corps aurait été dissimulé et Guillaume aurait confectionné
des faux afin de récupérer des fonds investis46. L'avocat conclut que cette révélation devrait conduire
à la « révision « au bénéfice du doute » de la condamnation de Guillaume Seznec pour meurtre47. À
cette occasion, il souligne les divergences, relevées depuis longtemps, entre deux approches
concurrentes de la révision : la sienne, qui admet la culpabilité de l'intéressé quant à la fausse
promesse de vente mais rejette celle pour meurtre au bénéfice du doute, et celle d'un Denis Seznec,
tenant de l'innocence intégrale de son grand-père, lequel aurait été entièrement victime d'une
machination48. En 1978, Petit Guillaume, l'un des fils des époux Seznec, aurait confié à l'un de ses
neveux que le jour du drame (il était alors âgé de 12 ans) il avait entendu Pierre Quéméneur faire des
avances à sa mère et l'avoir vu au sol, aux pieds de sa mère, peut-être frappé à la tête avec un
chandelier Au cours des fouilles effectuées le 24 février 2018 dans l'ancienne cave et l'ancien cellier,
un os a été retrouvé, ce qui a conduit à l'arrêt des fouilles privées et à l'intervention de la police et de la
justice. Sur le fondement des indications d’un médecin légiste, il a été un moment considéré que l’os
retrouvé pouvait être une tête de fémur humain50. Une enquête confiée à la police judiciaire de
Rennes a été ouverte. Après expertise en anthropologie médico-légale effectuée par le CHU de
Nantes, le procureur de la République de Brest a indiqué qu’il s’agissait en fait de restes de bovidé, ce
qui met un terme à l’enquête de police. Le 3 mars 2018, les scellés ayant été retirés, les bénévoles ont
repris les fouilles privées. it Guillaume » (fils de Guillaume Seznec et de son épouse Marie-Jeanne,
âgé de 12 ans en 1923) : c’est Marie-Jeanne qui aurait accidentellement provoqué la mort de Pierre
Quéméneur, au domicile des Seznec à Morlaix, en repoussant ses avances déplacées. Selon ses fils,
Petit Guillaume a entendu des cris de sa mère ; il a vu Quéméneur allongé sur le sol. Lorsque Marie-
Jeanne a repoussé Quéméneur, ce dernier est tombé, sa tête a heurté un fauteuil en bois et il est mort.
Guillaume Seznec est arrivé plusieurs heures après. Il a fait jurer le silence aux témoins (Marie-Jeanne,
Petit-Guillaume et Angèle Labigou, la bonne). Jean-Yves et Gabriel Seznec pensent que, en raison des
convictions religieuses de leur grand-père, Guillaume Seznec n’a pas brûlé le corps de Quéméneur,
mais l’a enterré en un lieu qu’ils ne connaissent pas. Le serment de silence aurait été passé devant
l’Église qui ensuite a apporté son soutien à Guillaume Seznec et à sa famille cependant cette version
est contestée par son petit fils denis seznec qui la qualifierait de «roman»

L’affaire Seznec
Guillaume Seznec a été reconnu coupable en 1924 pour l’assassinat de Pierre Quémeneur qui a
disparu dans un voyage d’affaire en 1923, il aurait utilisé le cric de la Cadillac puis aurait brûlé le
corps. Cet assassinat n’aurait pas été prémédité donc il a été condamné aux travaux forcés à
perpétuité, cependant il a bénéficié d’une réduction de peine de dix ans suite à la fermeture du
bagne de Guyane où il était incarcéré après la seconde guerre mondiale, ce qui lui permet d’être
libéré le 14 mai 1947. Des années plus tard on apprend par Guillaume « Petit Guillaume » Seznec,
le fils de l’accusé que Pierre Quémeneur serait mort chez eux le 27 mai 1923. Mme Seznec l’aurait
repoussé suite à ses avances et l’aurait frappé à la tête ou alors il aurait fait une chute fatale. Suite à
ces révélations l’avocat pense qu’il pourrait y avoir la révision de la condamnation pour meurtre
mais sa version admet la culpabilité de seznec par rapport à la fausse promesse de vente liée à un
trafic de cadillac en collaboration avec Quémeneur contrairement à la version de Denis Seznec,
écrivain et petit-fils de Seznec qui prône l’entière innocence de son Grand-père, selon lui il aurait
été victime d’une totale machination. En 1978, Petit-Guillaume a dit à ses neveux que le jour du
drame, il a entendu Pierre Quéméneur faire des avances à sa mère puis qu’il l’a vu au sol aux pieds
de sa mère, peut-être frappé à la tête avec un chandelier. Après cela, des fouilles ont été menées
dans leur maison au cours desquelles un Fémur a été retrouvé on a d’abord pensé que c’était un
fémur humain ce qui a convaincu le tribunal de sa culpabilité. Des analyses plus poussées par le
CHU de Nantes ont par la suite révélé qu’il s’agissait en réalité de restes de bovidés. L’incident a
été tenu sous silence pendant longtemps car tous les témoins ont tenu serment devant l’église.
Aujourd’hui il a été révélé qu’ à cause de ses croyances fortement catholiques il n’aurait pas brûlé le
corps mais il l’aurait enterré dans un lieu secret. Cependant son autre petit-fils, Denis Seznec
conteste cette version qu’il qualifie de roman. À ce jour, 14 demandes de révisions révisions ont
tétées refusées.

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