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Cours 

: Droit Civil
Professeur : Amisi Herady

Introduction
Objet
Concept
Nous distinguons trois concepts dans le Droit Civil :
 Droit
 Droit Civil
 Personnes
DROIT 
C’est un terme polysémique.
 L’ensemble des règles établit par l’Autorité Public assorti des
sanctions par la force pour faire régner la discipline dans la
société.
Une règle de Droit à caractère impersonnelle c-à-d général et
impersonnelle.
Ex : N’est pas tuer.

 Sans de Droit, la vie en société sera impossible.


Ex : pour maintenir l’ordre et l’équilibre dans la société il faut
avoir des règles
Sens des Droits
Nous distinguons deux sortes de sens du Droit :
 Le Droit au sens objectif
 Le Droit au sens prérogatif
Le Droit au sens objectif
C’est l’ensemble des règles établit par l’Autorité a sorti de la
sanction.
Le Droit au sens prérogatif
Elle est reconnue à un sujet de Droit, à une personne.
Définition du mot Droit :
 Le mot Droit au sens subjectif : Ex : tout l’enfant au droit
d’étudier et la santé.
 Le mot Droit désigne aussi la justice ou l’équité.
 Le mot Droit désigne comme discipline et scientifiques c-à-d
l’étude de fonctionnement de Droit.
 Le mot Droit est un chemin sans détourne
Le Droit Civil des personnes est prisé au sens objectif dans
l’étude de l’ensemble des règles.
DROIT CIVIL
Toutes les règles sont subdivisées en deux catégories que nous
trouvons dans la summa divisio
Le Droit Civil a pour objet les règlementations des rapports de
Droit privé c-à-d le Droit que les particuliers peuvent exercer
entre eux et les obligations réciproque qui se présent sur eux.
 Droit public
 Droit privé
Droit public
Dans le Droit public est catégorisé en deux parties :
 Droit public Interne
 Droit public externe
Le Droit public interne qui régissent le rapport entre l’Etat et
particuliers tandis que le Droit public externe qui régissent le rapport
entre l’Etat et l’individu.
Droit privé
Dans le Droit public est catégorisé en deux parties :
 Droit privé Interne
 Droit privé Internationale
Le Droit Privé ou droit civil qui régissent le rapport entre deux
personnes (particuliers et particuliers ou individu et individu).
Le Droit Privé c’est un Droit qui vise l’Etat et l’individu.
Le Droit Civil des personnes peuvent être titulaire de ce droit.
Le Droit détermine :
 Le titulaire du Droit : réf. aux règles de Droit Civil ;
 Le titulaire du Droit à la manière d’acquérir le droit ;
 Le titulaire du Droit dont on transmet le Droit à titre
honoraire où gratuit au droit ;
 Le titulaire du Droit dont s’éteigne.
Caractère fondamentaux du Droit Civil
Nous distinguons deux caractères fondamentaux :
 Le caractère national
 Le caractère commun
Le caractère national : elle signifie que le principe le Droit Civil régit
les rapports entre les particuliers lorsque ces rapports se
déroulent dans un pays ou dans territoire bien déterminé ou
encore si ces nationaux vivent à l’étrange.
Le caractère commun : elle signifie que les règles de droit civil sont
appelé à être appliquer à l’absence des certaines règles spécifique
à raison de leur situation particuliers.
Un particulier peut avoir le titre de commerçant mais dans le
cadre juridique.
Et lorsqu’il existe une règle spéciale on applique le droit Civil
comme par exemple lorsqu’un congolais est juge en France, bien
on appliquera le Droit Civil français.
LES PERSONNES
C’est sont les destinateurs des règles juridiques, le droit est fait
pour régir les personnes.
Au sens juridique : les personnes sont capables de jouir de droit et
d’assumer les obligations.
En Droit nous avons deux sortes des personnes :
 Les personnes physiques
 Les personnes morales
Les personnes physiques : C’est l’être qui peut jouir du Droit : les êtres
humains ou les individus.
Par catégorie : nous disons l’être humain est une personne
juridique et aussi être physique.
Q/ Pourquoi êtes-vous être humain sur un caractère juridique ?
Les personnes morales : C’est le regroupement des individus ou des
biens qui sont accumulés de droit des personnes ou l’ensemble
d'individus ou des biens assimilés par le Droit à des personnes
aliis verbis il s'agit des entités sociales constituées en vue de
réaliser un but précis et dotées d'un patrimoine propre. C'est une
personne sans réalité biologique c'est-à-dire sans corps.
Q/ Quel est la différence entre une personne physique et une
personne morales ?
R/ la différence est que la personne physique est personne à
réalité biologique tandis que la personne morale n’a pas des
réalités biologiques par exemple : Vodacom, certes c’est une
personne qui n’a pas des réalités biologiques ; en bref la personne
morale est une fiction juridique.
Le Droit Civil des personnes à pour objet l’étude des règles de
droit qui définissent les conditions juridiques au sujet du Droit. A
ce qui concerne notamment leurs personnalités juridiques, leurs
conséquences, leurs individualisations, leurs capacités juridiques, leurs
attachement à un lieu nationalité ainsi que leurs différents rapports avec les
autres sujets du Droit au sein de la famille.
Individualisme : signifie identifier quelqu’un par :
 Le nom
 Le sexe
 La nationalité
 La localisation
 L’état civil
L’approchement méthodique au Droit civil des personnes
Il existe deux méthodes :
Méthode juridique : elle consiste à l’analyser des textes de Droit. Et
sans la méthodologie, elle est indispensable chez un juriste et
donc lui faut y avoir le code famille ;
Méthode sociologie : elle consiste à faire une descente sur terrain
pour se rendre compte de l’application des textes des lois.

Sources de Droit civil des personnes


Il existe deux sources :
 Source de Droit international
 Source de Droit interne
Source de Droit international : elles constituent des traites et des
rapports internationaux régulièrement ratifient par la République
Démocratique du Congo comportant le Droit civil des personnes.
Par exemple : notamment la déclaration universelle de Droit de
1948, c’est le cas de la convention de droit international relative
au droit de l’enfant du 20 Nov. 1989.
Source de Droit interne : elle représente sous forme pyramidale
1. La Constitution
2. Les coutumes
3. La jurisprudence
4. Les principes généraux du Droit

La Constitution : c’est la loi suprême, les lois ordinaires à l'instar de


la loi du 15 juillet 2015 portant modification de la loi n° 87\010
du 1 Août et 1987 portant le code de la famille, la loi 09\001 du
10 janvier 2009 portant sur la protection des enfants.
Les coutumes : C’est toute règle de Droit se dégageant des faits et
pratiques dans un milieu social en dehors du législateur.

C'est en même temps un ensemble d'usages ou pratiques qui, par


répétition, devient une source de Droit. Pour ce faire la pratique
doit être :

 Largement répandue dans le temps ;


 Largement répandue dans l’espace ;
 La conviction avec des règles, elle doit être obligatoire vis-à-
vis de la population.

Il sied de noter qu'en Droit civil, spécifiquement, celui des


personnes, la coutume intervient dans deux cas :

 Sur prescription formelle du législateur à l'exemple de la


réglementation de la dot ;
 Comme Secundum legem c'est-à-dire qu'elle intervient
comme une loi supplémentaire.
La jurisprudence : l’ensemble des décisions rendus par le cours et
tribunaux sur une question de Droit déterminé.

Les principes généraux du Droit : Ces sont des propositions non


écrites au départ normatives et juridiques qui fondent l'unité du
système juridique. Ces sont des expressions latines par
exemples :

 Accessorium sequitur principale : L’accessoire suit le régime


juridique du principal.
 Actio personalis moritur cum persona: Une action liée à la
personne meurt avec elle.
 Actioni non natae non praescribitur : Tant qu’une action en
justice n’est pas née, elle ne saurait se prescrire.
 *Fraus omnia corrumpit
Plan sommaire

Le cours est subdivisé en deux parties :

 LA PERSONNE ENVISAGE DANS SON INDIVIDUALITE

 L’étude de la personnalité juridique


 La capacité juridique

 L’ETUDE DE LA PERSONNE ENVISAGE DANS SON


ENVIRONNEMENT FAMILIAL

 La filiation
 La parente et l’alliance
 Le mariage
IER PARTIE : LA PERSONNE ENVISAGE DANS SON INDIVIDUALITE

La personne envisagé dans son individualité : l’attitude à être titulaire du


Droit ou de jouir et s’assumer les obligations.

Il y a deux catégories

 Personne physique (Les êtres humains)


 Personne morale
De tous les êtres vivants, seul l’être l’homme à le sujet de la
personnalité juridique.

Personne physique (Les êtres humains)

Les principes de la personnalité juridique : tous les êtres on la


personnalité juridique, la constitution reconnait que l’être que la
personne est sacré.

Q/ Qu’est-ce qui fait l’homme pour qu’il soit une personne


physique ?

R/ C’est la réalité biologique

Composants de la personne

On distingue deux sortes de composants à savoir

 Le corps humain
 La vie
C’est qui fait l’homme puisse être une personne physique.
Les corps humains : c’est substendum ou le fondement de la
personne physique, elle exprime la personnalité
Ce corps humain est protégé par les lois parce qu’à travers le
corps humain on y trouve l’être humain. Les principes de
l’inviolabilité du corps humain : c’est inviolable, car nul ne peut porter
atteint à votre corps et les principes d’indisponibilité : le corps non
seulement inviolable mais indisponible c-à-d que l’on ne peut pas
marchande une partie du corps humain.
La Vie : La vie humain cette tranche de temps entre la naissance
et la mort.
Le principe marque le début de la personnalité (naissance) et c’est
à la naissance que l’homme devient personnalité juridique.
Il existe deux tempéraments de la vie
1er tempérament : La naissance ne pas toujours la condition
suffisante de la personne juridique : en quoi faut-il naitre vivant
ou bien mais mort
Il n’est suffi de naitre vivant aussi naitre viable c-à-d pourvu des
organes nécessaires qui vous permettant de survivre.
Le début de la personnalité juridique, et sujet de Droit.
2ème tempérament : la naissance n’est pas toujours la condition
nécessaire. Dans certaine situation la personne juridique peut
être reconnu même que la personne ne soit pas nait par exemple :
dans le cas ou dans le couple l’un de conjoint meurt de l’homme
et laisse des enfants mais que l’un est encore dans le ventre, lors
du partage de l’héritage.
Celui-là aussi bénéficiaire aussi de l’héritage considère comme
était une personne juridique infas conceptus pro nato habetur
quoties d’ejus commodis agitur.
L’enfant simplement conçue est considère comme étant né toutes
les fois que ses intérêt sont en jeux.
La personnalité juridique prend fin à la mort.
3éme tempérament est important de la vie humaine
 La naissance
 Le mariage
 La mort
La personne physique
La personnalité juridique : signifier qu’on reconnait … et que
vous avez de droit et reconnue par tous l’être humain. Ce qui fait
de nous une personne physique.
Le corps humain : c’est le fondamentale de la personne physique,
l’expression de la personnalité humaine.
Le droit protégé le corps humain parce que du fait que quand on
voit le corps humain ou voit la personne physique. Dans le
principe de l’inviolabilité et de l’indisponibilité
Le Droit protégé le corps humain
Les deux principes
Le principe de l’inviolabilité : on ne peut pas y porter atteinte
chacun a droit au respect de son corps.
Le principe de l’indisponibilité : pour permettre de vendre tous le
corps humain, ni en totalité, ni en partie.
Le Droit l’interdit.
La vie : c’est tranche du temps de la naissance et de la mort. La
mort n’est plus un sujet de droit ; le principe est que la vie
commence. La naissance marque. L’incertitude sur l’existence
d’une personne physique.
L’absence : c’est la situation d’une personne qui n’est pas
présente à un milieu donné et à l’heure donnée. C’est pris au sein
(courant) et il a un sein juridique ou technique d’où dit que :
C’est quand une personne disparait dans les conditions tel qu’il
est impossible de savoir si elle est vivante ou décédée.
Absent : c’est l’indication dont ou ne soit pas si est vivant à mort
(sens juridique) quitte sa résidence pendant un certain temps
Il existe 3 phases de l’absence :
 La phase de présomption d’absence
 La déclaration d’absence
 La déclaration du décès
1er phase de présomption d’absence : une personne disparue de
son domicile sans nouvelle et sans avoir constitué un mandataire
générale.
Cette personne est réécouté vivante pendant 1 an à partir de ses
dernières nouvelles positives.
Si elle a constitué un mandataire général elle recruté vivante
pendant 3ans. Un mandataire général (une charge ou une
déclaration de ses biens)
Pas de MG : la loi dit d’attendre 1an la présomption d’absence de
caractère par le fait que le présume absent est malgré doutes
qu’on peut avoir sur son existence il est présumé (encore vivant
et dans le 6 mois les personnes intéressée parent proche et le
ministère publique peuvent demander au tribunal de la paix de
derrière homicide tribunal de nommé un administrateur de ses
biens, et généralement choisi parmi les héritiers. Prend fin dès
qu’on a les nouvelles de la personne et dès qu’il y a les nouvelles
positives ; il n’y plus d’absence ou lorsqu’il est rapporté que la
personne est décédée.
2e phase : la déclaration d’absence : quand ou a toujours pas des
nouvelles, les personnes intéressé vont demander au tribunal de
paix pour qu’on déclare la personne absente. Phase se caractérisé
par le fait que les héritiers peuvent obtenir provisionnement leurs
biens en cas de testament on procède à l’ouverture de ce
document.
3e phase de la déclaration de décès : depuis le moment ou la
présomption de vie a cessé quand s’écrase 1 an, 3ans sans après
s’il y a un mandataire on tasse à la déclaration de décès ou 5ans
sous pas mandataire. Caractérise par le fait que le tribunal de
paix va prendre un jugement qui la personne est bel est bien
décédée.
Partir de ce moment sa succession s’ouvre et si le terrain était
mariée, il est autorisé c’est contacter un nouveau mariage.
La disparition
C’est l’état de la personne dont on a la quasi-certitude qu’elle est
morte sans que son cadavre puisse être retrouve. L’absence se
caractérise par la préjonction de vie (lorsqu’on retrouve son
cadavre alors l’incertitude n’a plus de sens, elle sera caractérise
de la préjonction de vie) tandis qu’en cas disparition, elle se
caractérise par la préjonction de mort.
Les effets juridiques
D’après la loi toute personne intéresse (famille ou ministère
publique), ils vont demander au tribunal sans délai pour rendre
jugement pour déclare la personne décède. Et les effets du
jugement sont les mêmes « mutatis mutandis » c-à-d il faut
change ce qu’i faut changer.

L’identification de personne physique


C’est la distinction d’une personne à une autre, identifier une
personne, l’individualiser dans la société.
L’individualisation : c’est le fait de distingue une personne dans la
société.
Les éléments de l’identification
Pour individualiser, le droit se sert des 5 éléments de
l’identification
 Nom
 La nationalité
 Le sexe
 Le domicile et la résidence
 L’état civil

 Nom
C’est la reine de l’identification c-à-d l’élément principale parce
que lorsqu’on identifie une personne on fait appeler en premier
lieu du nom. Par définition le nom, c’est l’appellation qui sert à
désigner une personne physique dans sa vie sociale juridique et
dans l’exercice de ses droits.
Le nom consiste à l’usage de suite des mots pour désigner une
personne dans la vie sociale, dans sa vie juridique.
Les éléments qui constituent le nom d’une personne dans le droit
congolais c’est : le prénom ; le nom et le post-nom
Le principe est que tout congolais est désigner par un nom qui est
compose d’un ou plusieurs éléments le désignant tout comme la
nature et le caractère du nom.
1er caractère : le nom est un droit
2ème caractère : le nom est un droit extrapatrimonial c-à-d c’est un
droit non pécuniaire qu’on ne peut pas évaluer par l’argent par
exemple le droit de vivre.
Le Droit patrimonial : c’est un droit qui peut être évalué par l’argent
donc elle est pécuniaire par exemple le droit d’auteur.
3ème caractère: le nom est un droit à la personnalité
4ème caractère : le nom est obligatoire
5ème caractère : le nom est imprescriptible
La prescription : c’est le fait de l’écoulement dans le temps, elle peut
avoir comme de pouvoir acquérir un droit (la prescription
acquisitif) ou la perdre (la prescription extinctive).
Le nom a comme caractère l’imprescriptibilité c-à-d même si vous
avait pas fait usage de cela, elle reste comme telle.
6ème caractère : le nom est culturel c-à-d le nom doit être puisse
dans le patrimoine congolais ou culturelle congolais.
7ème caractère : le nom est une institution de police et donc elle
contribue à la sécurité de la société.
8ème caractère : le nom est immuable c-à-d elle immuable lorsqu’il ne
pas permit de changer ou de modifier l’ordre et l’orthographie.
Le principe du nom connait quelques exceptions à citer :
On peut donc avoir la modification du nom.
De manière exceptionnelle le nom d’une personne peut être
modifie sur l’autorisation du tribunal de paix pour un motif
sérieux, le motif sérieux peut être :
Votre nom ne pas puisse dans le patrimoine culturelle congolais
Lorsque votre nom à un caractère provocateur, humiliant et
immoral par exemple : Kuluna, aboma atala te (humiliant)
Keba, moto okozika (provocateur)
2ème exception en matière du mariage
En cas de mariage, La femme a le droit d’user du nom de son
mari en l’en joignant au sien.
3ème exception en cas d’adoption
L’adoptant peut changer ou modifier le nom de l’adopte.

4ème exception le ministère public


Toute personne peut demander au tribunal la radiation en tout
ou en partie.
Les attributions du nom
Comment attribut on le nom ?
A propos de l’attribution du nom, la loi à abandonner le
patrimoine obligatoire c-à-d l’enfant doit nécessairement avoir le
nom du père.
Le principe, c’est la liberté d’attribution du nom ; en cas de
disconvenance de deux cotés (l’homme et la femme), la loi dispose
que l’un et de l’autre puisse donne en partie le nom pour en faire
qu’un.
La protection du nom
Le nom est protège, le droit est garantie
 La nationalité
C’est le lien juridique qui rattache une personne à un Etat, c’est
l’appartenance juridique et actuellement la nationalité est régie
par la loi n°04/024 du 12 Novembre 2004 relative à la nationalité
congolais.
Principes fondamentales en matière de nationalité congolais
Principes fondamentales
1er principe : le principe de l’unicité et de l’exclusivité
Unicité : signifie qu’en RDC, il n’existe qu’une seule nationalité
congolaise dont elle est exclusive ;
Elle est une, il n’y a pas de de sous nationalité ;
Elle est exclusive c-à-d elle ne peut être détenue concurremment
avec d’autres nationalités.
2ème principe : les bénéfices de l’égalité de loi et des protections au
ethniques.

En effet tout le groupe ethnique des nationalités dont les


personnes et les territoires constituaient ce qui est devenue la
République Démocratique du Congo à l’indépendance, elle doit
bénéficier des mêmes droits donc la nationalité congolaise.
 La nationalité congolaise d’origine : c’est celle qu’acquérir dès la
naissance.
 La nationalité congolaise d’acquisition : c’est lorsqu’une personne
l’acquériez après la naissance
Nationalité congolaise d’origine
Elle concerne 3 catégories de nationalité congolaise :
 Congolais d’origine par filiation
Un enfant dont les parents ont la nationalité congolaise, le père
ou la mère, donc cet enfant est congolais d’origine.
 Congolais par appartenance
Le congolais d’origine toute personne appartenant au groupe
ethniques et de nationalité dont les personnes et les territoires
constituaient de ce qui est actuellement RDC à l’indépendance.
 Congolais par préjonction de la loi
L’enfant nouveau-né se trouve en RDC dont les parents sont
inconnus, l’enfant né en RDC de parent apatrides cet enfant ne
sera pas apatrides, il sera un congolais. En matière de nationalité
il y a deux critères :
Jus sanguinis : il considère la filiation pour attribuer la nationalité à
l’enfant. C’est la nationalité par le lien du sang.
Jus soli : il considère que pour avoir la nationalité, il faut naitre sur
le territoire ou sur le sous-sol de ce pays. Cet enfant risque d’être
un enfant apatrides. Mais la loi congolaise prévoit que cet enfant
devient ou puisse d’être attribuer de nationalité congolaise.
L’enfant né en RDC des parents étrangères dont l’état ne connait
que le jus soli.

Nationalité congolaise d’acquisition


Elle se retrouve dans 5 types ou les cas de modes d’acquisitions
de la nationalité congolaise. L’acquisition de la nationalité étant
une question très importante
1er l’acquisition de la nationalité congolaise par la naturalisation
Un étranger pour qu’il puisse être naturaliser, il doit acquérir
l’avis de l’assemble nationale et pour acquérir cette nationalité
congolaise, il y a des préalables ou conditions comme par exemple
rendre des éminents services à la nation congolaise ou il doit
démontre que la RDC à un intérêt évident ou encore la
naturalisation présentera un intérêt et après avoir acquis cette
nationalité et avant de jouir des droits congolais l’étrange
naturalisé congolais doit prêter serment d’être un congolais digne
et honnête.
2ème l’acquisition de la nationalité congolaise par effet d’option
Tout d’abord avant d’acquérir cette nationalité congolaise il y a
trois conditions, préalables ou cas :
 L’enfant né en RDC ou l’étrange : lorsqu’il est né des parents
dont l’un est congolais (e), automatiquement il acquérir la
nationalité congolaise
 L’enfant adopté légalement par un congolais : c’est lorsque un
étrange est adopte par un congolais, automatiquement il
acquérir la nationalité congolaise.

 L’enfant dont l’un des parents a acquis la nationalité pour recouvrir


volontairement la nationalité congolaise.

3ème l’acquisition de la nationalité congolaise par l’effet de l’adoption


Tout d’abord avant d’acquérir cette nationalité congolaise il y a
trois conditions, préalables ou cas :
 L’enfant mineur légalement adopté par un congolais
 L’enfant mineur dont les parents adoptifs sont devenus congolais
 L’enfant mineur dont les parents adoptifs à recouvre volontairement la
nationalité congolaise.
4ème l’acquisition de la nationalité congolaise par l’effet du mariage
Le mariage n’emporte pas automatiquement la nationalité
congolaise et pour devenir ou acquérir la nationalité congolaise, il
faut au préalable patiente pendant plus au moins 7ans pour
acquérir la nationalité congolaise.
5ème l’acquisition de la nationalité congolaise par l’effet de la naissance en RDC

Tout enfant né en RDC des parents étrangers, à l’âge de 18ans il


peut acquérir la nationalité congolaise à condition qu’il manifeste
par écrit la volonté et signale une résidence permanente en RDC.
Mais la loi impose des conditions générales pour acquérir la
nationalité congolaise :
 Il faut être majeur ;
 Introduire une déclaration individuelle ;
 Déposer une déclaration par écrit que l’on renonce à toutes
nationalités ;
 Savoir parler une ou plusieurs langues congolaises ;
 Etre de bonne vie et mœurs c-à-d ne pas être un criminel ou
quoique ce soit d’illégal.
 Avoir à la date de la demande, une résidence permanente en
RDC minimum au moins 7ans.
Les effets de l’acquisition
Dès qu’un étrange a acquis la nationalité congolaise, il acquiert
tout le droits congolais mais il est soumis aux règles et
obligations congolaises. Et la loi congolaise prévoit quelques
instructions :
Certaines lois particulières peuvent prévoir des restrictions et
l’individu risque de ne pas jouir de la nationalité congolaise :
 Il n’a pas droit de postule (la loi électorale)
 Il n’a pas droit d’être dans l’arme
Comment peut-on perdre la nationalité congolaise ?
Tout d’abord la nationalité congolaise est exclusive c-à-d on ne
peut pas avoir deux nationalité, la nationalité congolaise est
jalouse et on peut la perdre par la déchéance qui est une sanction
prononce contre une personne qui acquit la nationalité congolaise
par le fait de son comportement.
Par exemple : avoir bénéficié de la nationalité congolaise toute en
conservant votre ancienne nationalité, avoir acquis la nationalité
congolaise en recourant à la fraude ; la déchéance ne conserve
que le congolais par acquisition on peut retrouver la nationalité
congolaise.
La preuve de la nationalité congolaise
Le document qui fait preuve de l’acquisition congolaise se fait par
un certificat de nationalité, la carte d’identité ; nous sommes
considéré congolais parce que nous avons pas un titre qui
demande que je suis congolais, d’habitude on cherche par besoin
de la cause en cas d’urgence par exemple lorsqu’on veut postulé
le seul document prouvant votre nationalité congolaise c’est le
certificat de nationalité ; il y a des explications a donné à celui qui
exhibe son certificat congolais à une personne, si c’est devant les
autorités pour prouver si elle est vrai ou fausse lors d’une postule
aux élections par exemple.
Le domicile et la résidence
Le domicile : elle est définit par la loi comme étant lieu où une
personne à son principal établissement où une personne situe
juridiquement même si elle n’y est pas réellement cette personne
n’est pas à chaque fois présente. Le domicile présent des intérêts
pratique sur le plan du droit et elle sert à déterminer la
compétence territoriale et juridique. Le domicile territoriale sert
de bien de repéré l’endroit où le fautif.
Caractère d’un domicile
Le domicile est obligatoire, toute personne doit avoir un domicile
donc il est nécessaire d’avoir un caractère, nous citons :
 Le domicile est en principe volontaire, chaque personne est
détermine par son domicile ;
 Le domicile est en principe unique c-à-d il ne peut avoir
deux ou plusieurs domiciles parce que le Droit nous localise
en une seul est unique domicile ;
 Le domicile est en principe fixe ;
 Le domicile est inviolable.

Nous distinguons 3 sortes de domicile :


Le domicile libre ou volontaire : c’est le domicile d’une personne
majeur fixé librement ou volontairement.
Le domicile légal : c’est le domicile que la loi impose certaines
autorités par exemple aux enfants mineurs ; aux femmes mariés,
interdiction à son domicile chez la personne qui exerce la tutelle
sur lui.
Le domicile élu : c’est le domicile d’une personne déterminé
volontairement par l’exécution d’un ou plusieurs actes.

LA RESIDENCE
Par définition la résidence est le lieu où une personne demeure
effectivement de manière habituelle. La résidence peut coïncider
avec le domicile.
Q/ Quelle est la différence entre domicile et résidence ?
R/ Le domicile c’est l’endroit où me droit vous repérer ou localise
géographiquement une personne tandis que la résidence c’est là
où vit ou demeure actuellement une personne par exemple
lorsque la personne, l’Etat sait qu’elle reste à Bandal mais lui il
vit à Kintambo donc son domicile c’est à Bandal et la résidence à
Kintambo.
Les caractères d’une résidence
La résidence à des caractères subdivisionnaire à défaut du
domicile commune d’une personne on se rabat à la résidence,
c’est là que la résidence fait office de domicile.
La possibilité de multiplicité d’une résidence c-à-d le domicile est
unique pour une personne mais peut avoir plusieurs résidences.
Le sexe
Le sexe c’est l’élément le plus facilement identifiable, elle apparait
par le fait extérieur c-à-d l’aspect extérieur trahit le sexe ; le Droit
prend la considération du sexe comment comme élément ?
Tout d’abord le sexe nous permet de classer les 2 catégories de
sexe et il participe à l’identification civile d’une personne. Le sexe
de tous les éléments ne concerne que la personne physique.
Les caractères juridiques
 L’immuabilité du sexe c-à-d elle ne change pas il est
immuable ;
 Le sexe d’une personne tel qu’il a été conçu reste intacte ;
 Dans le Droit congolais le transsexuel n’a aucun effet
juridique et garde votre ancien état ;
 L’égalité de sexe : sur le plan de Droit tout le sexe sont
égaux ;
 Le sexe conditionne la validité du sexe du mariage soit
valable, le Droit tient compte du sexe pour qu’elle soit
valable.
L’état civil et les actes de l’état civil
L’état civil est l’ensemble des caractéristiques d’une personne qui
détermine selon la loi et qui définissent la situation d’une
personne en droit prive c-à-d la situation d’une personne en
société ou en famille.
La composition de l’état civil
Tout d’abord on tient compte à :
 L’état individuel de la personne c-à-d la vie, l’âge, l’état
mental ;
 On se réfère à la situation par rapport à la filiation, enfant
né du mariage ou adopte ;
 L’état dans la famille c-à-d la veuve, divorce, célibataire
Ces éléments de la vie d’une personne doivent être constatés par
les actes dressés par l’autorité de l’état.
L’acte de l’Etat civil
Ces sont des actes écrites dans lesquels l’autorité publique
constate d’une manière authentique les principaux évènements
de la vie qui sont au nombre de 3 à citer :
La naissance : c’est une nouvelle personnalité juridique, c’est
l’autorité de l’Etat qui constate un acte officiel écrit, un document
appelé acte de naissance.
Le mariage : l’autorité de l’Etat constate un acte de l’Etat civil qui
est l’acte de mariage.
La mort : c’est la disparition de la personnalité juridique. La preuve
de l’état civil se fait par des actes de l’Etat civil.
Les caractères de l’Etat civil
La personnalité : l’Etat civil d’une personne relevé de la
personnalité c-à-d par du fait qu’on une personne juridique
automatiquement on a la personnalité ;
Indisponibilité : on ne peut pas vendre son état civil car elle
extrapatrimoniale ;
Imperceptible : ce qui ne peut pas s’éteindre par l’écoulement du
temps.
Invisible : on ne peut pas voir deux états civils en même temps c-
à-d on ne peut pas être marie et être célibataire en même temps.
Insaisissable : on ne peut pas saisir l’état juridique d’une
personne. La loi prévoit 3 sortes de bureaux à savoir :
 Le bureau central
 Le bureau principal on trouve un chef-lieu de chaque commune
ou secteur ;
 Le bureau secondaire : elle signifie que lorsque la nécessité exige
l’autorité publique, elle peut créer d’autres bureaux et
chaque bureaux est géré par l’officie de l’Etat civil à savoir :
la maire de la ville, le bourgmestre, le chef de secteur, le chef
des portes diplomatiques ; on tient des registre à chaque
bureau à savoir le registre de l’Etat civil qui sont :
Le registre de naissance : Enregistre toute naissance intervenue dans
le ressort ;
Le registre du mariage : enregistre tout le mariage qui intervienne
dans le ressort ;
Le registre de de décès : enregistre tout le décès qui intervienne dans
le ressort ;
Le registre supplétoire : destine à recevoir toutes les déclarations qui
concerne les autres choses tels que la naissance, le mariage t le
décès.
Les règles qui concernent les actes juridiques
La publicité : c’est lorsque les registres sont ouverts aux publiques
conformément aux règles établit par l’autorité public.
La réaction : c’est une acte de l’Etat civil est rédigé en français : il
énonce l’heure, la date, le lieu et la qualité de l’autorité public qui
l’a rédigé. L’office ne peut pas mentionner autre chose que ce qui
a été dit établit.
Le délai : c’est la rédaction des actes de l’Etat civil c’est dans le
délai rédige dans le mois de la naissance de 90 jours après décès.
Le jugement supplétif c’est lorsque l’acte n’a pas été établit dans le
délai et le tribunal fera un jugement après l’autorité publique
livrera un acte.
L’acte de notoriété : c’est un acte ou document dans lesquels
plusieurs témoins victimes viennent attestés un fait que l’autorité
civile n’avait pas/pas recueilli ou acte destiné à servir de preuve
de l’état civil afin de supplier au défaut des actes de l’Etat civil.
Les actes de l’Etat civil sont authentiques.
Les compétences territoriales de l’officier de l’Etat civil
La déclaration de naissance sont reçues et les actes qui
constatent dressés par l’officier de l’Etat civile du lieu de la
résidence du père ou de la mère.
Les délais des réactions des actes de l’Etat civil
Ils doivent être rédige dans un délai de 30 jours.
La délivrance de l’Etat civil
La surveillance des actes de l’Etat civil

La personne morale
La personne morale peut-être définit comme étant un groupement
doté de la personnalité juridique distingue, différente de la
personnalité juridique de membre qui compose ce groupe.
La personne morale n’a rien de commun avec la personne
physique en comparant le deux ;
Sur plan matériel ou biologie, elles sont incompatibles ; la
personne morale n’a pas de corps, n’a pas de réalité biologique ou
juridique. En Droit, la personne morale est une fiction juridique ;
c’est une personne artificielle.
Classification des personnes morales
La classification suprême, c’est fait par la summa divisio à
savoir :
Les personnes morales de Droit public : elle a pour but public de
satisfaire l’intérêt ou le besoin général.
L’Etat et ses différentes subdivisions territoriales et administratives
L’entreprise publique et établissement publique (SNCC et BCDC)
Les ordres professionnels (Avocats ; Docteur ; infirmière)
Une personne morale peut payer les amendes sur le plan civil des
intérêts et il y a des sanctions spécifiques pour une personne
morale.
Les personnes morales de Droit privé : elle a pour but privé de satisfaire
l’intérêt particulier, l’intérêt égoïste des membres ces sont des
personnes qui composent cette personne morale.
 Les sociétés commerciales
 Les associations
 Les fondations
Comment le traitement juridique est-elle créer ?
L’existence d’une personne morale : s’agissant d’une personne
publique, c’est la constitution qui organise l’Etat et ses différentes
subdivisions ; les entreprises publiques et établissement publique
sont créer par un acte règlementaire qui est un acte, cet acte est
décret du premier ministre.

La création de la personne morale publique doit ou obéit à deux


exigences à savoir :
 La volonté des parties ou des personnes concernées
 L’intervention de l’Etat
La création de la personne morale privée doit ou obéit à deux
exigences à savoir :
 La volonté de personnes intéressées
 L’intervention de l’Etat
Comment fonction la personne morale de Droit public ?
Elle fonction conformément dans la constitution aux lois et aux
règlements le limite par son objet social. Elle peut agir en justice
à travers les personnes physiques ; l’Etat congolais peut agir à
partir des personnes physiques, au sommet par le Président de la
République.
Les éléments de l’identification de la personne morale
Le nom : ici on ne peut pas vendre son nom pour la société
commerciale ;
Le domicile : le domicile autrement appelé siège social ou siège
administratif ;
La nationalité de la personne morale : elle détermine par rapport à la
législation conformément dans lequel la personne morale a été
créée par exemple deux américains crée une société en RDC donc
c’est une société congolais mais ayant comme éditeur ou
propriétaire le deux américains.
Une personne morale peut mourir à cause de :
Statutaire : selon les statuts par exemple lorsque les fondateurs se
disent lorsqu’un des statuts meurt ou qu’il est mort, l’entreprise
meurt aussi ;
Volontaires : c’est lorsque l’on veut ou la volonté des membres ;
Imposées : elle intervient lorsque l’Etat décide ou s’impose de ferme
une société.
Les attributions de la personnalité juridique
Conséquence de la personnalité juridique, il faut atteindre les
prérogatif comme reconnues à toutes personnes comme par le
droit de naissance.
Les attributs sont au nombre de 6 à savoir :
 Le droit dit droit de l’homme
 Le droit de la personnalité
 Le droit de liberté individuelle
 Le respect de la vie privé
 La préjonction d’innocence

Le droit dit droit de l’homme


De manière générale le Droit de l’homme sont des droits
inhérents à la nature humaine et spécialement protégé en tant
qu’elle est si bien que le législateur ne peut pas y porte atteint.
Le droit de l’homme à 3 caractères essentiels à savoir :
 Caractère universelle : reconnue à tout être humain sans
aucune distinction
 Caractère indivisible : aucun droit ne supérieure à l’autre
 Caractère inaliénable : on ni vendre, ni céder le droit de l’homme
Quels sont les droits de l’homme ?
Le droit dit droit de l’homme à droit :
 C’est le droit à la vie, l’intégrité physique ;
 Le droit au secret de la correspondance
 Le droit à la défense, la liberté syndicale
 La liberté de pensé, l’égalité devant la loi ;
 La liberté d’expression.
Le droit de la personnalité à savoir :
 Le droit de l’intégrité physique
 Le droit à son propre image
 Le droit à l’honneur
 Le droit au secret de correspondance en matière de
communication
Le droit à la liberté individuelle ou la liberté civile
 La liberté du mouvement c-à-d la liberté d’aller où l’on veut
 La liberté d’action c-à-d la liberté de faire et de ne pas faire
 La liberté de conscience c-à-d toute personne à la liberté de
conscience, de religion
Le respect de la vie privée
 Le respect de la vie privée
 La préjonction d’innocence
 L’égalité civile
Comment protégé-t-on le droit de la personnalité ? 
Il est protégé par des caractères à savoir :
 Le Droit généraux c-à-d le droit reste le même quel que soit
la personne
 Le Droit extrapatrimoniaux c-à-d ne peut évalue par l’argent
 Elle est inaliénable
 Elle est intransmissible
 Elle est incessible
 Elle est insaisissable
 Elle est indisponible
La protection est assurée par des sanctions de 3 ordres à savoir :
Sanction civile : c’est lorsque la personne viole ou enfreint un droit
de la personnalité, la sanction civile fera une réparation de
dédommagement.
Sanction disciplinaire : c’est lorsqu’il atteint à la vie privé par exemple
lorsqu’on nous blesse et donc il aura dommage et intérêt.
Sanction pénale : c’est lorsqu’une personne viole une loi, il doit être
jugé et emprisonné.

II. LES INCAPACITES


L’étude de l’incapacité mérité d’être examiné en 3 temps :
 Les notions générales des incapacités
 L’incapacité de mineur
 L’incapacité de majeur
Les notions générales des incapacités
Tout d’abord nous donnons la différence entre capacité et
incapacité ?
La capacité c’est le fait ou l’aptitude d’une personne de jouir de et
d’exerce ses droits tandis que l’incapacité c’est le contraire.
On distingue deux sortes de capacité à savoir :
 La capacité de jouissance : c’est lorsqu’une personne jouit de ses
droits.
 La capacité d’exercice : c’est lorsqu’une personne exerce ses
droits par exemple tout congolais a le droit de voter.
Les principes en matière d’incapacité sont :
1er principe : Le caractère exceptionnel des incapacités : en Droit toute
personne est capable sauf s’il est déclaré incapable par la loi.
En matière de capacité, la capacité est la règle et l’incapacité est
l’exception.
2ème principe : L’interprétation restrictive en matière de l’incapacité : l’article
215 du code de famille qui déclare une personne incapable
(mineurs, majeurs aliènes interdits ; les majeurs faibles d’esprits,
prodiguer, à faillir par l’âge ou infirme placé sous caractère)
3ème principe : La protection spéciale des intérêts des incapables : la loi
prévoit un mécanisme des protections pour ceux qui sont dites
déclaré incapable.
4ème principe la nullité relative des actes irréguliers
Les incapables ont des droits sans avoir la capacité de les exercer.
La nullité : c’est une sanction juridique qui frappe un acte
juridique irrégulier.
La nullité relative des actes irréguliers : la nullité d’un acte n’est
pas nulle mais simplement annulative donc annulé ou frappé par
des sanctions de Droit.
Les caractères judiciaires c-à-d tant que le juge n’a pas prononcé la
nullité, elle est annulable (c’est le juge qui prononce la nullité
d’un acte)
Le caractère péremptoire, il n’appartient au juge d’apprécie de dire ou
de prononcer la nullité ;
La nullité n’est demandée que par l’incapable ou par les
personnes qui le représentent.
Le caractère susceptible de confirmation en Droit : l’acte juridique par
lequel la personne qui peut demander au juge d’annulé un acte
irrégulier, cette personne renonce à son droit de demande au juge
de prononce la nullité.
L’action à la nullité : elle est prescrite après 10 ans.
Lorsque la nullité intervient par cause d’incapacité, le mineur ou
l’incapable peut être dispensé de restituer ce qu’il a déjà
consommé.
Etude des personnes incapables
Les incapables sont repartis en 2 groupes :
 L’incapacité des mineures
 L’incapacité du majeur

1. L’incapacité des mineurs


Les mineurs : c’est une personne qui n’a pas encore atteint 18
ans révolus accomplis. La loi impose des principes que le
gouvernement de la personne mineur va être assuré par les
personnes qui assurent l’autorité parentale ou tutélaire.
L’égalité des mineurs : lorsque les mineurs accomplis les actes de
façon irrégulière, cet acte sera frappe par la nullité.
Les droits et devoirs des mineurs
En ayant une personnalité juridique ils ont des droits à savoir :

 A droit à la vie
 A droit à l’intégrité physique
 A droit au respect de la vie privée
 A droit d’avoir et de connaitre ses parents et de vivre avec
eux
 A droit à l’opinion
 A droit à l’identité
 A droit à l’enregistre à l’Etat civil
 A droit à la sécurité sociale
 A droit à la liberté d’expression
Comme devoir :
 Obéir aux parents
 Respect les ainés
 Aller à l’école
 Respect les droits des autres
 Respect l’environnement
 L’œuvrer par la cohésion de la famille
Un tribunal spécial pour enfant crée dans le but de protection de
l’enfant.
Une décision qui viser l’intérêt sur l’enfant du mineur et la loi dit
en matière pénal le mineur est spécialement protège ou attenue le
langage pour un mineur (conflit avec la loi)
Les mineurs sont émancipés et d’autres sont non-émancipés : véritablement
le mineur est incapable c-à-d qu’il n’a pas atteint l’âge 18 ans et
qui est frappé par la loi d’une incapacité d’exercice quasis
générale. Les 7 caractères essentiels de l’autorité parentale à
savoir :
 Elle est reconnue aux parents et s’exerçaient
conjointement ;
 Elle porte sur les enfants mineurs ;
 Elle est temporaire c-à-d elle exerce pour un temps ;
 Elle ne doit pas être exercée que pour l’intérêt du mineur ;
 Elle est à la fois une fonction, un droit et un devoir ;
 Elle est hors commerce c-à-d elle ne peut pas être vendu ;
 Elle est de l’ordre public.

Les droits et des devoirs de l’autorité parentale


L’autorité parentale par définition c’est ensemble des droits et des
devoirs qui appartiennent aux parents reconnu par l’Etat
relativement à la personne de leurs enfants mineurs aux biens
titulaire de l’autorité parentale.
En quoi consiste l’autorité parentale ?
 La garde et la direction du mineur
 L’entretien et l’éducation du mineur
 La correction du mineur (des sanctions pour son intérêt)
 Assurer la sécurité du mineur
En quoi consiste le pouvoir sur les biens du mineur ?
 Administre les biens du mineur ;
 Le droit de jouissance des biens du mineur ;
 Le droit d’usus fruits c-à-d le droit d’user et de jouir d’un
bien qui appartient à une autre personne.
L’autorité parental peut prendre fin normalement à la majorité,
elle prend fin au titre d’une sanction de la déchéance, la
déchéance intervient lors de l’initiation à la débauche.
La déchéance est la sanction qui frappe les parents pour mauvaise
conduite à l’égard du mineur par exemple par maltraitance du
mineur.
La délégation de l’autorité parentale en cas de déplacement.
La tutelle : c’est une institution familiale de protections d’un ou des
enfants doublements orphelins (de père et de la mère). Elle se
conçoit que pour les enfants mineurs.
La tutelle concerne :
 1er les enfants doublement orphelins (de père et de mère) ;
 2ème les enfants dont les parents sont l’autorité parentale ;
 3ème les enfants dont on ne connait ni le père, ni la mère ;

Il y a 2 sortes de tutelle :
 Ordinaire ou familial : les membres de la famille vont choisir les
tutelles.
 L’Etat : ici l’Etat qui assume la tutelle.
Les pupilles de l’Etat : les enfants mineures dont l’Etat assure la
tutelle.
Les tuteures de déléguer c’est une personne à qui l’Etat confie la
tutelle du mineur.
L’émancipation des mineures
L’acte par lequel en mineur est affranchie prématurément avant
l’âge de l’autorité parental ou tutélaire pour poser certain actes
juridiques valable.
Les effets juridiques de l’émancipation
A pour effet d’autoriser les mineurs a posé valable juridiquement
certains actes juridiques pour lequel l’émancipation est accordé.
2. Les majeures incapables
L’incapacité des majeurs est une exception en d’autres termes
tout majeurs est capable.
L’incapacité des majeurs s’explique par l’examen d’être incapable.
Les ailières mentaux ou trouble mental, psychique ou nerveux
ayant abolis le discernement ou centrale des actes qu’il pose.
Elle se manifeste par un comportement socialement bizarre. Ce
n’est pas toutefois qui est déclaré incapable.
Pour qu’un majeur soit déclaré incapable, il doit faire objet d’une
interdiction judiciaire.
Cependant la loi décide que lorsque l’aliénation est tellement
notaire.
Les faibles d’esprits sont des personnes sans être atteint des
troubles mentaux et n’ont pas assez d’intelligente.
Les prodigues : les personnes qui se caractérisent par une
tendance à dépenser exagérémentµ sans utilité, sans raison de
leur argent.
Les infirmes : elles sont frappées par une altération durable.
L’interdiction : c’est régime des protections sous lequel par une
décision de justice ou une personne …
La curatelle : c’est le régime d’assistance sous lequel sont placés
les faibles d’esprit, les prodigues, les ailières mentaux, les affaiblit
par l’âge et les infirmes.
IIème partie : la personne envisage dans son environnement familial
Il y a deux conceptions de la famille à savoir :
 La conception étroite : c’est la conception occidentale c-à-d le
père, la mère et les enfants on voit la restreinte.
 La conception Africaine c-à-d le père, la mère, les enfants et les
autres collatéraux (cousin, cousine, …)
Les règles de droit qui s’appliquent à la personne
 La filiation
 Le rapport de parenté et d’alliance
 Le mariage

1. La filiation
La filiation : le terme filiation dérive du terme latin « filius » qui
signifie fils et « filia » qui signifie fille ainsi la filiation c’est le lien
des droits qui unies le père ou la mère et son fils ou sa fille. C’est
un rapport de Droit puisse qu’il y a des conséquences juridiques
selon qu’il s’agit du père ou de la mère, la filiation peut être
paternel ou maternel.
Paternel : c’est le rapport de droit entre le père et le fils ou la fille
Maternel : c’est le rapport de droit entre la mère et le fils ou la fille
Nous retenons que lorsque nous parlons de la filiation on voit le
sang alors on appellera filiation biologique.
Mais le droit a créé une autre filiation artificielle qui est la filiation
adoptive ou d’adoption mais elle ne découle pas du sang.
En matière de filiation, elle a évoluée dans notre Droit dans le
code civil ou code famille avant 1987 ; il y existe 3 sortes de
filiation :
La filiation légitime : c’est la filiation qui découle entre le rapport
sexuel ou intime entre les deux personnes mariés.
La filiation naturelle : c’est une filiation qui a trois variantes à
savoir :
 La filiation naturelle simple : c’est celle qui résulte le rapport
intime ou sexuel entre deux personnes qui ne sont pas
mariés alors qu’ils n’ont aucun obstacle de se marier.
 La filiation naturelle incestueuse : c’est celle qui résulté le rapport
sexuel entre deux personnes qui ne sont pas mariés alors
que la loi les interdit qu’ils se marient parce qu’ils ont un
lien de parenté. L’enfant qui découlera de cette relation on
appellera enfant naturelle incestueuse.
 La filiation naturelle adultérine : c’est celle qui résulté le rapport
sexuel entre deux personnes qui ne sont pas mariés alors
que l’un est déjà marié. L’enfant qui découlera de cette
relation on appellera enfant naturelle adultérine.
Dans ces 3 variantes de filiation, la seule différence jouer sur les
droits selon chaque filiation.
Désormais on ne catégorisera plus la question d’enfant naturel
parce que cette catégorisation on dira enfant né dans le mariage
et l’enfant né hors mariage.
La filiation biologique : c’est la filiation qui découle du sang soit par
le père ou par la mère.
Les règles générales qui s’appliquent à la filiation biologique
Elles s’appliquent aux caractères d’ordre public des règles de
relation ou rapport par la filiation c-à-d il ne pas permis de dérogé
les règles établis par la loi.
Le droit dit que tous enfants doit avoir un père (et une mère) d’où
découle le principe mater carta est pater incertus qui signifie que la
mère de l’enfant est généralement connue mais le père non. La loi
dit quel que soit les circonstances de l’enfant, il doit connaitre
son père.
La prééminence de l’intérêt supérieure de l’enfant en matière de
filiation. Pour traiter toutes questions de filiation, l’intérêt de
l’enfant qui doit être supérieure.
L’interdiction discriminatoire ou de discrimination des enfants en
fonction de leurs circonstances de naissance. Tous enfants
devant la loi ont les mêmes droits à par égales.
La préjonction de la conception de l’enfant a pour objet précis de
résoudre la difficulté question du moment exact de la conception
de l’enfant, ici on voit la période de la conception.
La préjonction légale de conception résulter de l’enfant présume
conçu dans le trois centième jour aux cent quatre-vingtième jours
inclusivement avant la date de naissance.
Les caractères des règles relatives en matière de filiation
La surséance statué par voie incidente : toute juridiction saisie par voie
incidente d’une contestation relative à la filiation d’une personne
devra sur statuer jusqu’à ce que la juridiction civile compétente
dit tranche la question de la filiation par une décision passe en
force de chose jugée.
L’imprescriptibilité des actions relative à la filiation : sauf si la loi en
dispose autrement les actions relatives à la filiation sont
imprescriptibles. Ce principe ne peut souffrir d’exception que si la
loi elle-même en dispose ainsi c’est le cas de l’article 611 du code
de la famille sauf pour l’enfant le délai pour intenter l’action en
contestation de paternité est d’un an.
L’indisponibilité des actions relations à la filiation : les actions relatives à
la filiation relèvent de la catégorie des actions concernant l’état de
la personne appelé action d’état plus précisément le rapport de
filiation est hors commerce, il ne peut faire l’objet d’une
convention privées ou la transaction entre les parties.
L’interdiction de renonciation des actions : les actions relatives à la
filiation ne peuvent faire l’objet de renonciation, les parties ne
peuvent pas un contrat par exemple renoncer par avance à toute
contestation ou mettre fin à une constitution déjà née.
La transmissibilité de l’action aux héritiers : l’action qui appartenait à
une personne quant à la filiation peut être exercée par ses
héritiers. Ceux-ci peuvent eux-mêmes introduire l’action quand
l’enfant est décédé mineur ou dans les cinq ans qui ont suivi sa
majorité sans l’avoir exercé. Ils peuvent poursuivre l’action que
l’enfant avait engagée à moins qu’il ne s’en fût désisté.
L’opposabilité des jugements en matière de filiation : les jugements rendus
en matière de filiation sont opposables même aux personnes qui
n’y ont point été parties.

L’opposition, le juge peut d’office ordonné que soit mis en cause


de tous les intéresses auxquels ils rectifient les actes de l’état civil
résultant d’un jugement rendu en matière de filiation suit à des
règles relatives à la rectification des actes de l’état civil.
Section 2 La filiation maternelle
C’est le lien de maternité ou lien juridique qui existe entre la mère
et son enfant. La filiation maternelle soulevée de deux questions
importantes relatives à savoir :
 Comment peut-on établir la filiation maternelle ?
La naissance se trouve être la base de l’établissement de la
filiation maternelle, la filiation résulte du seul fait de la
naissance.
 Comment peut-on conteste la filiation maternelle ?
La preuve de la maternité est dominé par le maxime « mater
semper certa est, etiamisi in vulgo conceperit c-à-d la mère est
généralement certaine même si cette mère a conçu l’enfant dans
la prostitution» puis que la filiation maternelle est établi par la
naissance en d’autre terme la filiation est certaine sur le plan
maternelle et sur le plan juridique, la filiation maternelle s’établit
par l’acte de naissance, soit par la déclaration volontaire de
maternité ou encore par une action en recherche de maternité.
a) L’acte de naissance
L’acte de naissance joue un rôle important dans la maternité car
il constitue le titre c-à-d le moyen de preuve de filiation par
l’indication du nom de la mère maternelle. C’est un acte de l’Etat
civil car ce par le nom de la mère que l’acte de naissance définit
l’authenticité de l’enfant. Il présume la vérité de la maternité sur
l’enfant, l’enfant à pour mère celle dont son nom est mentionné
sur l’acte de naissance mais il peut y arrivé que le nom de la mère
n’est pas mentionné sur l’acte de naissance alors dans ce cas la
mère établira une déclaration volontaire de maternité.
b) La déclaration volontaire de maternité
C’est une déclaration dans laquelle la mère revendique la
maternité de son enfant sur l’acte de naissance car son nom n’y
est pas mentionné. Cette déclaration est valable même si et en
matière de filiation, cette déclaration est valable même si la mère
mineur.
La déclaration volontaire de maternité à un caractère irrévocable
c-à-d lorsque vous déclare la maternité volontaire, il n’y a plus
moyen de faire marche en arrière.
c) L’action en recherche de maternité
En ce qui concerne l’action en recherche de maternité, elle est
dirigée contre la mère parce qu’elle n’admet pas la maternité tout
en ayant de preuve ou élément qui approuve la maternité sur
l’enfant, alors l’enfant saisira le tribunal pour que l’officier de
l’Etat tire un jugement ou pour que celui-ci établisse la personne
de la mère. A ceci, il faut joindre des preuves pour la confirmation
de la maternité.
d) La possession d’état
En Droit, lorsqu’il y a possession d’état, c’est tout simplement
qu’on fait allusion à personne qui présente ou qui s’approprie un
état qu’on ne reconnait pas sur lui par exemple lorsque deux
personnes de sexe opposé cohabite tout en ne pas marié mais se
considérant marié.
Il s’agit en fait de l’apparence d’un état donné, servant
notamment de preuve de mariage, de filiation, de nationalité ; la
possession d’état de l’enfant est une notion fondamentale de la
filiation, possède un état, c’est de jouir en fait des avantages qui
s’y attachent à cet état mais également qui supporter les
engagements, c’est aussi passé publiquement pour avoir une
apparence.
Pour posséder un état en Droit, il faut 3 éléments à savoir :
1. Nomen (nom) : la personne porte le nom d’état dont elle
correspond à sa possession.
2. Tractus (le traitement): c’est le traitement dont la personne est
considéré par son entourage comme ayant un état mise en
cause c-à-d par exemple les parents traite l’enfant comme
leur propre enfant (comme leur enfant biologique).
3. Fama (la renommée) : la personne à la réputation aux yeux du
publique d’avoir cet état, la possession d’état n’a rien
approuvé par exemple le professeur n’a rien approuvé, il
appartient à ceux qui conteste d’apporter les preuves.

 L’effet juridique de possession d’état


Dans l’effet juridique de possession d’état, on distingue deux
effets de possession d’état à savoir :
L’effet probatoire : elle présume jusqu’à preuve du contraire de l’état
dont il s’agit.
L’effet de consolidation : elle s’établit dans le fait que lorsqu’elle
corrobore le titre tel que l’acte de la naissance. La possession
d’état rend ce titre irrévocable ou incontestable.
e) L’action de contestation de maternité
L’action par laquelle le nom de la mère est mentionné sur l’acte
de nous conteste en d’autre terme c’est lorsque la mère dont le
nom est figuré dans l’acte de naissance de l’enfant.
Section 3 La filiation paternelle
C’est le lien de Droit qui existe entre le père et son enfant. La
filiation paternelle soulevée de deux questions importantes
relatives à savoir :
 Comment peut-on établir la filiation paternelle ?
Les règles de l’établissement de la filiation paternelle varient selon
que l’enfant est née dans le mariage ou que l’enfant est né hors
mariage.
Q/ comment peut-on établir la filiation ?
R/ Pour établir la filiation, il faut distingue.
Dans le mariage, l’enfant né dans le mariage, la loi pose le
principe que l’enfant pendant le mariage ou après les 300 jours
après la dissolution du mariage cet enfant à pour père, le mari de
sa mère (préjonction légale de paternité) c-à-d que l’auteur
géniteur de l’enfant en d’autre terme le père est celui dont le lien
conjugal a approuvé. Elle s’applique dans les 300 jours qui
suivent la dissolution du mariage par exemple le couple A et B
ont divorcés, six mois après la femme accouche d’un enfant, la
paternité reviendra à son ex-mari.

Pour la présomption légale de paternité établit que le mari n’est


pas le père légitime de l’enfant d’où le maxime ‘’pater is est quem
muptiae demonstrant’’ c-à-d le père de l’enfant est celui-là qui se
trouve dans les rapports conjugaux ou le père est celui dont le
lien conjugal a approuvé mais il s’est peut que le mari puis
renverse la présomption légale de paternité c-à-d que le mari peut
désavouer la paternité de cet enfant et cette présomption ne peut
qu’être renverse que dans 3 cas à savoir :
1er cas : l’impossibilité physique de procréation c-à-d que le mari peut
établir que pendant la période légale de conception qu’il est dans
l’impossibilité d’ensemencé sa femme.
2ème cas : l’inconduite notoire de la femme : le mari de la mère de l’enfant
établit que pendant la période de conception, il remarque
l’inconduite notoire de sa femme d’où il désavoue la paternité
parce que sa femme se mal conduite ou la femme avait une
conduite immorale en d’autre terme sa femme était dans le
vagabondage sexuel.
3ème cas : la naissance de l’enfant dans une période suspecte : la maxime ‘’in
tempore suspecto’’ c-à-d l’enfant est né dans une période
suspecte.
Q/ Qui peut tenter l’action de contestation de paternité ?
R/ C’est l’individu auquel qu’on attribue la paternité.
a) La contestation de paternité
C’est l’action qui est tenté par la personne auquel qu’on attribue
la paternité ci-après à savoir :
 Par l’individu ;
 Par l’enfant majeur ;
 Par la mère de l’enfant.
Les cohéritiers de l’enfant qu’il exclut d’une succession lorsque
celui-ci qui la paternité est mort sauf pour l’enfant, l’action de
contestation de paternité est soumise à la prescription annale ou
dans une année.

b) L’enfant né hors mariage


La loi pose le principe de la reconnaissance obligatoire par le père
de son enfant né hors mariage. Cette reconnaissance est
autrement appelé affiliation.
Q/ Faite la différence entre filiation et affiliation ?
R/ la filiation englobe l’affiliation.
2. L’affiliation
Elle peut intervenir par la suite d’une action en justice, elle peut
aussi intervenir de que l’enfant est né ou avant que l’enfant
naissait et elle peut intervenir après le décès de l’enfant.
L’affiliation peut aussi intervenir même lorsque père est mineur.
a) Les caractères d’affiliation
On distingue 2 sortes de caractère d’affiliation à savoir :
Le caractère obligatoire : il est irrévocable lorsqu’il la reconnu comme
son enfant, on ne peut plus le dédire.
Le caractère exclusif : il a pour caractère exclusif lorsqu’un enfant a
déjà fait l’objet de l’affiliation par une personne, cet enfant ne
peut plus faire l’objet d’une autre affiliation une fois de plus.
b) Forme d’affiliation
On distingue 3 formes d’affiliation à savoir :
Par la forme conventionnelle : celle qui résulte de la convention conclu
entre le père de l’enfant et les membres de la famille maternelle de
l’enfant.
Par la forme de déclaration unilatérale de paternité : le père de l’enfant né
hors mariage se présente devant l’officier de l’Etat civil pour faire
la déclaration de l’enfant.
Par la forme de déclaration commune de paternité : le père et la mère de
l’enfant se présentent devant l’officier de l’Etat civil pour déclarer
leur affiliation de l’enfant.

c) La contestation de l’affiliation
L’affiliation peut être contesté par toute personne intéresse ou
par même le ministère public. Il doit y avoir des preuves
démontrant la paternité qu’a été attribuée à celui qui n’est pas le
géniteur de l’enfant en d’autre terme il peut y avoir l’action de
recherche de paternité mais son action doit être dirigé par la
personne qu’il estime être père mais qu’il doit joindre à cela des
preuves.
Vis-à-vis de l’enfant né hors mariage, il n’y a pas de présomption
légale de paternité.
d) L’effet juridique de l’affiliation biologique
C’est la situation par lequel un enfant dont aucune filiation
paternelle n’est établit à l’égard de quelqu’un, dans ce cas la loi
prévoit la paternité juridique. Il va être désigne au sein de la
famille maternelle une personne qui sera d’office père de l’enfant.
L’égalité de tous les enfants : tous les enfants doivent être considère
de la même manière.
L’obligation d’entretenir l’enfant : le père et la mère ont pour obligation
d’entretenir l’enfant c-à-d le nourrir, le vêtir et de bien prendre
soin de lui.
L’entrée de l’enfant dans l’enfant dans la maison conjugale : l’enfant né en
dehors du mariage, à partir du moment où son père reconnait
l’affiliation de ce fait, cet enfant aura le droit de demeure sous le
toit conjugal mais la loi dit que cet enfant peut vivre sous le toit
conjugal si la femme de son père donne son consentement.
3. La filiation adoptive
C’est la filiation qui résulte de l’adoption. Il faudra donc faire
l’étude de l’adoption à travers la notion, les conditions ainsi les
effets juridiques. La loi organise l’adoption mais qui ne pas
définir ; c’est une filiation purement juridique reposant sur la
présomption d’une personne, la loi établit artificiellement un
rapport du père et de la mère à ‘enfant.
Il s’agit d’une action juridique qui crée entre 2 personnes un lien
juridique de la filiation qui n’est pas fondé sur le sang mais sur
les sentiments.
La raison d’être de l’adoption : sans la loi ancienne, l’adoption
était une institution de remède pour les couples qui ne pouvaient
pas avoir d’enfant. Avec la présente loi, l’adoption a été
actuellement conçue pour l’intérêt supérieur de l’enfant.
a) Les conditions de l’adoption
Pour que l’adoption soit observée, il faut deux conditions à
savoir :
Les conditions de fond et les conditions de forme
Les conditions de fond : elle doit examiner par l’adoptant et par
l’adopté en d’autre terme la manière d’adoption, il y a deux
relatives de conditions à savoir :
4. Les conditions de l’adoptant
5. Les conditions de l’adopté
Les conditions de l’adoptant
1er condition : pour adopter, il faut être majeur et être capable c-à-d
l’adoptant doit être majeur et être capable.
2ème condition : avoir la moralité sexuelle, l’adoptant doit avoir une
bonne moralité sexuelle.
3ème condition : l’expérience minimum de 5 ans de mariage pour la
personne mariée sauf lorsque l’enfant adopté est l’enfant de
l’autre conjoint.
4ème condition : le consentement du conjoint de l’adoptant
5ème condition : le seuil maximum d’enfant ; pour pouvoir adopter la
loi dit que l’adoption est permis à celui qui a moins de 3 enfants
en vie et non 3 enfants c-à-d avoir que deux enfants cependant
cette condition tombe lorsqu’il s’agit d’adopter l’enfant du
conjoint.
6ème condition : la différence d’âge avec l’adopte, pour pouvoir la loi
dit qu’il doit y avoir une différence d’au moins de 15 ans
cependant cette différence d’âge est réduite à 10 ans lorsqu’il
s’agit d’adopter l’enfant de son conjoint.
7ème condition : la différence de sexe avec l’adopte, pour pouvoir
adopter la loi dit que lorsqu’il s’agit d’un célibataire, si l’adoptant
pour qu’il adopte à condition qu’il ait le même sexe et non le sexe
oppose.
8ème condition : l’absence de corruption c-à-d lorsqu’il s’agit de la
procédure d’adoption l’adoptant ne doit pas corrompre pour
l’adoption de l’enfant.
9ème condition : l’engagement de pouvoir prendre en charge l’enfant
adopté.
Les conditions relatives à l’adopte
1er condition : La loi pose le principe de l’adoptabilité selon l’âge
« toute personne peut être adopté quelqu’un en soit l’âge »
2ème condition : Le consentement de l’adopté âge de plus de 15 ans,
la loi dit pour qu’il soit adopté il faut son consentement.
3ème condition : Le consentement du père et de la mère de l’adopté
mineur ou à défaut les personnes qui exerce sur lui l’autorité
parentale.
4ème condition : Le consentement du conjoint de l’adopté lorsque
l’adopté et marié, l’adoption n’est peut intervenir si seulement il a
le consentement de sa conjointe.
5ème condition : L’exclusivité de l’adoption en d’autre terme
Lorsqu’une personne a déjà fait l’objet d’une adoption il ne peut
plus être adopte sauf s’il s’agit d’un couple.
Les conditions de l’adoption particulière ou internationale
C’est l’adoption d’un enfant congolais par un étranger, la loi dit
lorsqu’il s’agit d’être adopte par un étranger il faut tout d’abord
s’assuré que cette adoption est dans l’intérêt supérieur de l’enfant
pour éviter que l’enfant d’avoir un trafic d’enfant pour être esclave
sexuel à l’étranger.
Les conditions de forme ou procédure d’adoption
La requête ou la demande
L’adoptant doit adresser une demande au tribunal pour enfant
s’il veut adopter un enfant mineur et à cela y joindre toute les
pièces.
L’instruction de la demande c-à-d le tribunal doit vérifier si toute
les conditions sont remplis et si cela est remplit, le tribunal va
rendre le jugement de l’adoption.

Les effets juridiques ou conséquences juridiques de l’adoption


Les effets de l’adoption commencent dès les dépôts de l’adoption.
Le rapport entre adoptant et de l’adopté
Lorsque le tribunal prend les décisions quels sont les
conséquences par l’adoption, l’adopté est considéré à tous égards
c-à-d à tort point de vue ou sans aucune nuance comme l’enfant
de l’adoptant, il en découle comme conséquence.
Si l’adopte est mineur, l’adoptant va exercer sur l’adopté l’autorité
parentale.
L’apposition du mariage entre l’adoptant et de l’adopté.
Le Droit successorale, si l’adoptant décède l’adopté doit hérite du
même droit avec les autres enfants biologiques de l’adoptant.
L’application à l’adopté des termes fils, fille, enfant de même
l’adopté à le droit d’appeler l’adoptant père ou mère.
La nationalité, si l’adopté est mineur l’adoptant peut modifier le
nom et la nationalité de l’adopté.
La survivance de l’adoption par rapport à l’établissement de
l’enfant postérieur.
Le rapport entre l’adopté et sa famille d’origine
Par conséquent, il se produit deux effets positifs et les effets
négatifs.
Les effets positifs : l’adopté conserve son droit héréditaire de
successive par la famille d’origine.
Les effets négatifs : l’obligation alimentaire prend fin dans sa famille
d’origine c-à-d lorsqu’on n’est adopté c’est l’adoptant qui prendra
la charge de l’enfant.
Le rapport et la famille d’origine de l’adopté
En l’adoptant et la famille d’origine de l’adopté, il existe aucun
lien juridique.
La révocation de l’adoption
Le principe consacré par la loi c’est l’irrévocabilité de la personne.
L’exception : c’est d’une manière exceptionnelle et pour des justes
motifs d’adoption peut cependant être révoqué.
Les motifs : l’adoption ne tourne à l’intérêt de l’adopté et l’adoptant
apprend que l’adopté planifie son assassinat.
3. La parente et l’alliance
Ces sont deux institutions qui permettent de circonscrire la
famille d’une personne.
Aujourd’hui, la parenté et l’alliance ne savait être examiné comme
deux institutions de Droit qui permette de circonscrire la
personne dans son environnement familiale.
Pour connaitre la famille, les membres de celle-ci ; le Droit se sert
de la parente et de l’alliance.
La famille est composée des parents et des alliés. En occident, la
famille est un cercle très réduit (famille restreinte), chez nous par
contre la conception est large, nous avons les parents et les
alliées.
A. La parenté
Elle peut s’expliquer comme un rapport de droit entre deux
personnes dont l’une descend de l’autre ou qui descend d’un
auteur commun. Dans le 1er cas, on parlera de la parenté directe
(c’est lorsqu’une personne descend de l’autre) et de 2 ème cas, on
parlera de la parenté collatérale (c’est lorsque deux personnes sont
de descend d’un auteur en commun).
En Droit, le mot parenté est beaucoup plus large qu’en sociologie
ou avec d’autres sciences par exemple ton petit frère en Droit est
ton parenté collatérale. On se préoccupe de la parenté car elle
régit des conséquences juridiques.
Source de la parenté
Ces sont des éléments qui découle de la parenté. On distingue 3
éléments qui découlent de la parenté à savoir :
 La filiation d’origine ou biologique ;
 La paternité juridique (lorsqu’un enfant né hors mariage et qu’il
n’a pas de père qui se déclaré, le Droit décide donc de
trouver pour lui un père sa famille et ce père est nommé
père juridique) ;
 La filiation adoptive.
Le système de parenté est organisé par la loi à savoir :
La parenté directe  est celle qui se forme par des personnes qui
descendent les uns des autres.
Ces personnes sont appelés parents en ligne directe. La
descendance s’établit en suivant la cour de génération et
l’ascendance en remontant. Les ascendants du côté du père
forment la ligne paternelle et ceux du côté de la mère forment la
ligne maternelle. Le père est la personne lié par un lien de
paternité et la mère est la personne liée par un lien de maternité.
La parenté collatérale est celle qui est constitué des personnes qui
sans descendant les unes des autres ; les descendants d’un
auteur en commun (les frères et sœurs).
Parmi les collatéraux, le Droit distingue à savoir :
a) Les consanguins
Ces sont les collatéraux par le père : frères et sœurs qui ont le
même sang d’un seul parent qui est le père.
b) Les utérins
Ces sont les collatéraux par la mère : frères et sœurs d’une même
mère.
c) Les germains
Ces sont les collatéraux du père et de la mère.
Les devoirs découlant de la parenté
Le plus important est l’obligation alimentaire : ici on a une
relation de parenté avec une personne ou enfant par exemple
l’enfant a du mal à se nourrir, le Droit oblige aux parents à
subvenir à ses besoins alimentaires si on en est capable.
Le droit mutuel de secours d’assistance et de respect.
La preuve de la parenté
La parenté se prouve conformément aux dispositions de l’Etat
civil.
La preuve ultime est l’acte de naissance. A défaut, elle peut être
prouvée par tous autres moyens d’où l’alliance par exemple.
B. L’alliance
L’alliance né du mariage (sans mariage il n’y aura pas d’alliance).
Ceux qu’on retrouve dans l’alliance, on les appelés les alliées et
ceux qu’on trouve dans la parenté on les appelés les parents.
L’ensemble des alliés et des parents forment la famille.
L’alliance est le rapport de droit qui existe entre époux et les
parents de l’autre époux (le rapport d’une personne marié et sa
belle-famille ou parents) donc même la belle-famille à un mot à
dire sur la famille du mari ou la belle-famille fait parler la famille
du mari.
Les différents liens d’alliance

Sœurs Marié Frères

Par exemple : M – A et B–N


Entre M et B : il y alliance entre A et N aussi mais entre M et N il
n’y aucun lien juridique l’alliance est importance car le droit par
exemple l’interdit le mariage entre alliés sauf si la coutume ne
l’interdit pas.
La loi détermine comme suit le rapport d’alliance, le lien d’alliance
unit un époux des parents de son conjoint. Les ascendants et les
descendants d’un époux sont en rapport d’alliance.
Un lien de double alliance existe entre une personne et les
conjoints de ses alliées.
Le père et la mère d’un conjoint sont qualifiés vis-à-vis de l’autre
époux de beaux-parents.
Pae rapport à ses beaux-parents, l’époux est appelé beau-fils et
l’épouse belle-fille. Et par rapport aux frères et aux sœurs (les
germains, les utérins ou les consanguins) est appelé beau-frère ou
belle-sœur.
L’alliance produit les mêmes devoirs que la parenté. La preuve de
l’alliance est administrée mutatis mutandis par les actes de l’Etat
civil.
Une fois le mariage dissout (divorce), la loi dit que le lien
d’alliance subsiste en ligne directe et collatérale sauf si la loi en
dispose autrement par exemple le fait de divorce ne veut pas dire
qu’on ne peut épouser un ou une autre personne qui est son ex
beau-frère ou son ex belle-sœur.
Les institutions dépendent directement de la parenté et de
l’alliance et de la parenté ainsi que de l’alliance dépendent de
deux institutions juridique à savoir :
a) L’obligation alimentaire
Elle est définie comme étant le rapport d’obligation que la loi
attache de plein droit d’autorité à certains rapports de famille et
d’où résulte pour une personne qui a des ressources à
l’obligation d’assurer la subsistance d’une autre personne qui est
dans le besoin. En cas de refus d’obligation alimentaire, la
justification de cette obligation est la solidarité familiale (en cas
refus d’obligation alimentaire, il sera obligé de verser une pension
alimentaire).
 Les caractères de l’obligation alimentaire
Elle a un caractère d’ordre publique (non négociable) ;
Elle a un caractère personnel (c’est un droit attaché à la personne
par exemple si A jouit de l’obligation alimentaire et s’il meurt, ses
enfant ne pourront pas jouir de cette obligation de même pour
celui qui a cette obligation) ;
L’obligation alimentaire est intuite personnae : c’est lorsqu’un
contrat n’est pas induite à une personne, son consentement ne
dépend pas de la personne par exemple si une personne décide
d’acheter un stylo, il s’en fiche du vendeur, la décision de
l’acheter ou pas ne dépend pas du vendeur mais plutôt d’un
contrat intuitu personnae c’est lorsqu’on tient compte de la personne
également par exemple avant de se marier, on tient compte de la
personne.
 Elle est intransmissible (ne peut être céder) ;
 Elle est insaisissable (ne peut être saisir) ;
 Elle est incompensable (ne peut être donné en
compensation) ;

Elle a un caractère de réciprocité ; de nos jours, on peut avoir des


moyens et avoir une obligation alimentaire sur une personne et si
un jour, une personne à des difficultés et que il y a une personne
ayant la possibilité ou des moyens d’aider alors il aidera ;
Elle a le caractère légal mais parfois elle peut avoir le caractère
conventionnel ;
L’objet de l’obligation alimentaire est la fourniture alimentaire.
En Droit par l’aliment on entend, insinue ou on faire référence à
la nourriture, à l’habillement, au logement, aux soins médicaux,
etc. en bref ce tout ce qui est nécessaire pour la vie ou pour la
subsistance, tout ce qui est nécessaire au besoin essentiel de la
vie car par exemple aller dans un concert n’est pas un besoin de
soin vital donc elle ne pas inclus dans l’obligation alimentaire
d’où les besoins de luxe ne sont donc pas compris dans
l’obligation alimentaire.
L’obligation alimentaire existe entre les parents, entre les alliées
mais en cas de succession par exemple lorsqu’un conjoint décède,
les frères et sœurs du conjoint décèdent également alors
l’obligation alimentaire sera à la veuve d’où elle sera tutelle de ces
enfants.
 Les conditions de l’obligation alimentaire
L’existence d’un rapport de famille parenté ou par alliance ;
Le besoin de créancier (elle attribue à celui qui n’a pas de
moyen) ;
Le débiteur doit avoir des moyens suffisants.
 Comment peut-on exécute l’obligation alimentaire ?
Elle peut être exécuté de nature (elle se fait généralement lorsque
le débiteur accueil le créancier chez lui. De nature, c’est le fait de
donner des biens ;
Elle peut être également être exécuté en versant une somme
d’argent au créancier.
En cas d’exception, si le débiter est en position de refus de
l’obligation alimentaire c-à-d que le débiteur ne veut exécuter
l’obligation alimentaire alors que toute les conditions lui sont
relimiez.
Le créancier peut saisir le tribunal puis obtenir du tribunal pour
qu’il obtient une prérogative qui sera donné par le jugement de
retire directement dans la source de provenance qui est le salaire
du débiteur mais cependant lorsque si le créancier en son temps
avait négligé d’exécuter l’obligation alimentaire avec son débiteur
lorsqu’il était en manquer de moyen alors le débiteur en position
d’avoir des moyens ne pourra donne au créancier.
b) L’autorité domestique
Lorsqu’on fait référence à l’autorité domestique on insinue ou
entend les prérogatives confères par la loi à la personne qui au
faite joue le rôle de dirigeant d’un groupe familial à l’égard de tous
les membres du dit groupe qui en dépendent par exemple la
personne qui n’a plus de moyen dans le bon fonctionnement de la
maison, on lui confère le pouvoir sur les autres d’imposer des
règles par exemple d’exiger l’heure de la fermeture du portail
d’une maison.
L’autorité parentale peut se compare à l’autorité domestique,
l’autorité parentale exerce uniquement son autorité que sur le
mineur par contre l’autorité domestique exerce également son
autorité que sur les adultes et si ceux-ci vivent chez soi, l’autorité
parentale sera donc exercé par le père ou par la mère, pour
l’autorité domestique sera exercé par celui qui est héberge chez
l’autre ou chez les autres. L’exercice de l’autorité parentale prend
fin à la majorité par contre l’autorité domestique prend fin
lorsqu’il quitte le domicile auquel il exerçait son autorité. Le
titulaire de l’autorité parentale administre les biens, il possède le
droit de correction ou de discipline par contre le titulaire de
l’autorité domestique, il possède un droit restreinte.
L’autorité doit présenter deux traits essentiels à savoir :
 Il doit avoir l’appartenance à une même maison (si on ne vit
pas dans une même maison, elle ne conçoit pas) ;
 La dépendance à un même parent, il faut qu’il y ait relation
de parenté et que qu’il dépende de lui.

 Conséquence juridique de l’autorité


L’obligation alimentaire ;
S’il est mineur incapable se trouvant sous l’autorité domestique
causant des dommages et ces dommages seront répares que par
celui qui exercera sur lui l’autorité domestiques.
4. Le mariage
Elle est la plus vielle des institutions dans la société, la plupart
d’individu de la société en principe aspire au mariage, raison
pour laquelle c’est une institution importante.
Notre société apporte une grande importance au mariage parce
qu’une personne marié est traité avec respect par exemple
lorsqu’on est marié dans la famille de la mariée on vous traitera
avec respect et de beau-frère sur le plan familiale ; sur le plan
professionnel, il y a certains fonctions qui nécessite de recruter
les hommes mariés.
Le mariage est un cadre normale de procréation car notre société
à une mauvaise image ou perception des naissances hors
mariage.
 GENERALITE SUR LE MARIAGE
Par définition le mariage est un acte civil public et solennel par
lequel un homme et une femme se sont engagés ni l’un, ni l’autre
dans lien d’un précèdent mariage enregistré établissant entre eux
une union légale et durable dans les conditions de formation.
Les effets et la dissolution sont déterminés par la loi.
C’est la loi qui détermine comment le mariage peut intervenir.
Pour que le mariage intervienne ou puisse être célèbre, il faut l’un
ou l’autre n’ait aucune liaison avec son précédent mariage. Le
mariage doit être durable parce qu’il a ceux qui se marie dans
d’autre pays pour le sexe mais en RDC, c’est une institution
durable c’est de là qu’intervient le principe » jusqu’à ce que la
mort nous séparer ».
Le mariage est une union de deux personnes de sexe opposé dont
cette union est contractée publiquement et avec la solarité
requise.
a) Le but du mariage
Le but du mariage est de s’engage à vivre ensemble dans un
même toit pour partager une commune destiné ainsi de perpétuer
leurs espèces c-à-d pour le bon et pour le mauvais circonstance
d’où la question qu’on doit examiner est qu’on se marie pas avec
n’importe qui mais malheureusement plusieurs oublier qu’on se
marie pour le meilleur et pour le pire. Le fait de perpétuer l’espèce
veut dire que qu’il faut mettre au monde des enfants et on
perpétuer son espèce en consommant son mariage. C’est ainsi
qu’en RDC, le mariage des homosexuels ne sont permis pour la
simple qu’ils ne sont pas de sexes opposés. Le mariage ne sera
pas atteint si on perpétue son espèce.
b) La nature juridique du mariage
Le mariage peut être décrit comme étant :
Un contrat ou accord : c’est un accord de volonté se mettant d’accord
entre deux personnes pour s’engager au mariage ; lorsqu’il y a
mariage on fait allusion au consentement libre sans contrainte.
Une institution familial : tout simplement parce qu’il modifie l’état
civil d’une personne et lorsqu’on se marie un lien de ménage
s’établit.
c) Les caractères du mariage
Le caractère civile : le mariage à comme caractère civile parce qu’il
établit un rapport de Droit civil entre les maries c-à-d un rapport
entre particuliers. La loi dit que la célébration du mariage
religieux n’aucun effet sur le plan de droit parce que la loi la
reconnait comme étant un acte civil et non religieux ;
Le caractère public : le mariage à comme caractère public parce qu’il
est célèbre au vu et su de tout le monde et non dans le cache ou
dans secret, de ce fait avant la célébration du mariage le monde
doit être au courant en d’autre terme la connaitre par des moyens
publicitaires par exemple des affiches, par la RTNC et autres. Le
mariage est célébré avec tout la publicité ;
Le caractère solennel : le mariage à comme caractère solennel parce
qu’il est célébré selon les rituels prévu par la loi. Le
consentement doit être donné selon la forme de rituel que prévoit
la loi. Lorsqu’il y a le consentement des 2 parties alors le mariage
est célébré. Le consentement est exprimé par écrit, par la parole
« oui », par le geste ou par contrat solennel dont la loi prévoit que
le consentement doit être exprimé selon les conditions prévues
par la loi.
Le caractère opposable : le mariage à comme caractère opposable
parce que c’est un acte dont l’on peut se prévaloir à l’écart d’un
titre c-à-d même si l’on voyage où que ce soit, on se doit de
reconnaitre à la personne étant marié par tout le monde que l’on
est marié en RDC. Lorsque le mariage est célébré devant l’autorité
de l’Etat civil, ce mariage est opposable à l’égard de tous. Le
principe « ergo omnes » c-à-d que le mariage est opposable à l’égard
de tous et on peut s’en prévaloir à l’égard de tous ; c’est lorsqu’un
mariage est célébré en famille (le mariage coutumier), il est
valable mais tant qu’il n’est pas enregistré par l’Officier civil, ce
mariage n’est opposable que sur les personnes qui ont été à la
cérémonie c-à-d cette opposabilité est situé sur certaines
personnes ; pour qu’il soit opposable « ergo omnes » il doit être
enregistre à l’Etat civil.
Le caractère libéral : dans ce caractère on distingue quelques
caractères qui constituent le caractère libéral à savoir :
 Le mariage n’a pas un caractère obligatoire c-à-d on n’est
pas obliger de nous marie ;
 Si on décide de se marie, nous tous le choix de choisir de la
personne auquel nous envisageons de nous marie.
Ainsi la loi interdit tout mariage forcé et la loi prévoit de sanction
pénale pour toute personne contraint de se marier ou de se
marier avec une personne autre que celle de son choix. La loi
interdit aussi tout acte d’empêchement téméraire c-à-d sans
raison valable ;
Le caractère d’ordre public : le mariage à comme caractère d’ordre
public parce que ce sont des règles relatives au mariage qui ont
un caractère impérative c-à-d on ne pas modifier les règles du
mariage donc si la loi de l’homme et le chef du ménage vous ne
pouvez pas le charger donc les règles ne peut pas être modifie être
car elles s’imposent.
NB : le silence de mort en matière de mariage détermine l’abstient
de l’opposabilité au mariage d’où l’on ne peut pas exprime son
consentement par le silence. Le mariage est un acte important, de
ce fait il nécessité aux personnes une préparation qu’on appelle
fiançailles. Les étapes pour atteindre les fiançailles : petit-ami ;
prétendent ; proposé ; fiancé. Les fiançailles n’est pas définit par
la loi mais et la loi parle de définition laconique (peut éros). Les
fiançailles selon la loi c’est une promesse du mariage.
NB : cette définition n’est pas complète. Les fiançailles peut être
définit : une promesse de mariage faite comportement à la
coutume de fiancé entre un homme et une femme remplissant les
conditions du font du mariage ou résultant du contrat par
laquelle il est convenu entre les membres de deux familles qu’on
mariage interviendra le mariage de deux personnes entre celui-ci
est celui-là.
Le champ d’application des fiançailles
Le mariage intervient dans le trois ci-après :
 La promesse de mariage conformément à la coutume de 2
familles ;
 Lorsqu’il a contrat conclus entre deux familles réunissant
les contre du mariage ;
 Au cours de diverse étape du mariage célèbre en famille tant
qu’il n’y a pas parachèvement un mariage.
Le caractère des fiançailles
Le caractère non indispensable c-à-d les fiançailles peut-être conclu
sans la célébration des fiançailles c-à-d vous pouvez vous marier
sans pourtant avoir été fiancé.
Le caractère non contraignant c-à-d les fiançailles n’oblige pas au
mariage en d’autre terme les fiançailles peut être rompu à tout
moment parce qu’avec les fiançailles, fiancé et fiancée ne sont
liée.
d) Forme de fiançailles
La loi renvoi la forme de fiançailles à la coutume de famille des
intéressés, lorsque les fiancés sont luba alors les fiançailles
seront conclues comme l’exige la coutume luba. En cas de
désaccord lorsque le fiancé est luba par exemple et que la fiancée
est swahili c’est la coutume de la fiancée qui primera.
e) La preuve de fiançailles
Les fiançailles n’est constitu pas un Etat civil de ce fait l’Etat civil
des fiançailles sont des célibataires. Il n’y aucun acte qui montre
ou qui reconnait à une personne d’être fiancé (e) de ce fait le
fiançailles peut être prouvé par tout acte de Droit. La preuve du
mariage est l’acte de mariage.
f) Les effets juridiques de fiançailles
NB : les fiancés n’ont l’obligation d’être fidèle l’un de l’autre car
sur le plan de Droit le fiancé ou la fiancée n’est pas obligé de
soutenir l’autre en cas de deuil.
Les fiançailles ne produisent pas les effets comme celle du
mariage de ce fait les fiancés ont certes des obligations mais des
obligations d’origine coutumière et de nature (non légale) de ce
fait l’exécution des obligations née des fiançailles ne peut être
demandé en justice.
g) Les effets de la rupture de fiançailles
La répétion de prestation de valeur donnée ou étrangers. La
répétion c’est lorsqu’on remet des cadeaux à l’autre. De ce fait
tout cadeaux remisent à l’autre doit être rembourse au fiancé. On
distingue 3 cas de non répétion de cadeaux à savoir :
1er cas : si le Tribunal estime qu’il serait inéquitable de restituer
tout ou en partie les biens (cadeaux) et serait injuste à la
personne qui est à la base de la rupture de fiançailles qu’on
puisse les lui resituer.
2ème cas : si la coutume applicable ne prévoit pas la restitution de
cadeaux ou des certains cadeaux
3ème cas : s’il apparait que les cadeaux ont été offertes sous la
condition que le mariage ait lieu en d’autre terme forcé le
mariage.
h) La responsabilité civile de fiançailles
La personne qui n’est pas à la base de fiançailles est dans le droit
de demander la réparation mais si est si seulement s’il prouve
qu’on lui a réellement causé dommage dans ou le fiancé a donné
3 enfants ; 3 avortements à la fiancée de ce fait la fiancée ne
pourrez plus avoir d’enfant.
NB : il n’appartient pas uniquement à celui qui est l’auteur de la
rupture de fiançailles de réparer parce que la nôtre peut être
causée par l’autre.
En principe les fiançailles abouties au mariage si bien qu’il n’est
pas obligatoire.
i) Les conditions du mariage
Pour que le mariage intervienne il se doit de passé par des
conditions qu’il doit être respecté à savoir :
 La condition d’ordre biologique
La différence de sexe
Pour que le mariage intervienne les deux intéressés doivent avoir
deux sexes opposés (en RDC, le mariage de deux personnes de
même personne ne sont admis). La loi exige qu’ils aient de sexe
opposé pour la perpétuation de l’espèce.
L’aptitude physiologique au mariage
Ici il tient à noter il faut avoir l’âge requis pour que le mariage
intervienne. Avant 2016, la modification du code de la famille avait
prévu que l’âge requis pour le mariage pour les hommes est de 15
ans et pour les femmes est de 16 ans. Après 2016, le législateur
reconnait à celui ou celle d’avoir la capacité est celui qui l’âge de
18 ans. De ce fait la loi prévoit une sanction a ceux qui se marier
à l’âge moins de 18 ans.

 La condition d’ordre psychologique


Le consentement de concernés (futurs époux)
Chacun de futur époux doit donner librement leur consentement.
NB : sous l’ancienne loi, les parents devaient donner leur
consentement pour qu’il ait mariage mais actuellement le
consentement de parents n’est pas une condition pour contracter
un mariage.
L’intégrité mentale ou de faculté mentale
Ici on insiste sur le fait que l’on doit avoir toutes les facultés
mentaux parce qu’il est interdit de contracter un mariage à celui
ou ceux qui ont des déficits mentaux.
 La condition d’ordre sociologique
Ici les conditions s’imposent sur le fait de mode de vie social à
savoir :
La condition de fond positive
C’est le versement de la dot. La loi dit que le mariage ne peut être
célébré sans le versement de la dot.
NB : à celui qui verse la dot, quel est la contenu de la dot. Seule
la coutume de partie qui peut résoudre à ces questions selon la
loi. La loi oblige la dot même partie et d’une manière symbolique.
La loi dit que la dot doit être versé même en partie et de manière
symbolique.
La condition de fond négative
Ici ce sont des situations qui constituent les obstacles au
mariage. Les conditions sont nombreuses de deux obstacles
négatifs. On distingue deux obstacles dans fond négative à
savoir :
a) L’existence d’un lien de parenté
En effet la loi interdit le mariage dans le cas ci-après :
La parenté en ligne direct c-à-d les ascendants et les descendants.
La parenté en ligne verticale c-à-d ce mariage est interdit entre le père
et sa fille ; la mère et son fils ; etc.
La parenté en ligne collatérale c-à-d ce mariage est interdit entre oncle
et sa nièce ; tante et son neveu.
La parenté en ligne horizontale c-à-d ce mariage est interdit entre frère
et sœur.
La parenté entre adoptant et l’adopté c-à-d ce mariage est interdit.
L’existence d’un mariage intérieur non-dissous en d’autre terme
la loi interdit la polygamie.
b) Le délai de viduité
C’est le délai que doit observer une femme dont le mariage
précèdent est dissous. De ce fait, le délai viduité est de 300 jours
avant la contraction d’un nouveau mariage. Ce délai est
autrement appelé par délai d’attente ; ce délai de viduité ou délai
d’attente permet d’éviter le conflit de paternité. Le délai de viduité
peut-être abréger ou carrément interrompu pour certaines causes
à savoir :
a) Si la femme qui vient de dissoudre son mariage ne veut pas
observer les 300 jours, elle se doit d’établir un test médical
prouvant qu’elle n’est pas enceinte de son ex-mari pour que
le délai de viduité tombe ;
b) Le délai de viduité tombe lorsque la femme accouche d’un
enfant si seulement elle était enceinte de son ex-mari.

j) Les conditions de forme du mariage


Du point de vue de la forme de la loi, on distingue deux sortes de
mariage à savoir :
 Le mariage célèbre devant toute la famille
La loi renvoi la forme de ce mariage à la coutume des concernés
mais en cas de contradictions ou conflits de coutume, c’est la
coutume de la femme qui primera dont elle va s’appliqué. Toutes
les cérémonies de célébration de ce mariage, la loi renvoi à la
coutume. Pour les effets de ce mariage soit opposables à tous, elle
doit être enregistre à l’Etat civil, c’est après que ce mariage est
valable (le principe ergo omnes)

 Le mariage célèbre devant l’Officier de l’Etat civil (mariage civil)


La loi prévoit différente étape pour la célébration du mariage :
La publication de ban c-à-d on doit afficher dont elle a pour but de
permettre aux personnes qui ont une objection de pouvoir le
dénonce à l’Officier de l’Etat civil avant la célébration du mariage,
si l’objection est fondé après avoir fait des enquêtes, ce mariage
ne pourra pas être célébré. Sauf en cas d’urgence, il peut se faire
que le mariage soit célébré sans publication de ban tel dans le cas
où le conjoint est en état grave de santé.
k) Les effets du mariage
Les effets produites du mariage sont d’une part patrimoniaux et de
l’autre part extrapatrimoniaux. Quand le mariage intervient, il y a
création du ménage. Le ménage : c’est la communauté familiale
constitue des époux, des enfants non maries qui sont pris en
charge ainsi que tous ceux sur qu’ils ont l’obligation alimentaire
ou créanciers d’aliments vivant sur le toit conjugal. La loi dit que
le mari est le chef du ménage dont les deux époux concourent à
la direction morale et matérielle du ménage.
a) Les effets extrapatrimoniaux
Le mariage produit quatre effets extrapatrimoniaux à savoir :
 La communauté de vie
Par le fait du mariage, les deux époux ont l’obligation de vivre
ensemble dont la communauté de vie. Cette communauté de vie
signifie trois choses à savoir :
1. La communauté de lit
Etant donné qu’ils sont maries, ils sont dans l’obligation de
partager une même chambre et avoir de rapport intime pour
perpétuer l’espèce.
2. La communauté de table
Etant donné qu’ils sont maries, ils sont dans l’obligation de
partager une table à manger ensemble.
3. La communauté de toit
Etant donné qu’ils sont maries, ils sont dans l’obligation de
partager et de vivre ensemble sous un même toit. L’obligation de
cohabitation peut être momentanément être suspendu, pour que
cette suspension intervienne il faut que ça soit conventionnel
c-à-d les époux doivent être d’accord sur ce point. Les époux
peuvent convenir à cause d’une mésentente par exemple lors de
la présence d’un membre de la famille dans le toit conjugal.
 L’obligation d’assistance
Les deux époux ont obligation d’assistance mutuelle, réciproque ;
chaque époux doit assister l’autre surtout dans le moment
difficile, cette assistance est multiforme dont sur le plan
physique, sur le plan morale, sur le plan spirituel, sur le plan
matériel, etc.
 L’obligation de fidélité
Les deux époux doivent d’être fidèle l’un à l’autre c-à-d
l’exclusivité du rapport sexuel.
 L’obligation du respect et l’affection
Les deux époux doivent se respect mutuel l’un à l’autre.
l) Les sanctions de l’irrespect de ces devoirs
Les sanctions sont régies ou prévus par la coutume ou par une
amende de nature coutumière. Il existe non seulement des
sanctions civiles de nature coutumière mais aussi des sanctions
pénales par exemple lorsqu’une personne commet l’adultère.
L’adultère : c’est une infraction intentionnelle et elle ne peut se
commettre à deux ainsi les deux personnes doivent être
sanctionné même si l’un ne pas marié. En général les actions
pénales peuvent être poursuit que si une plainte est dépose par
l’époux trompe. La dévalorise : c’est le fait de se servir de quelque
chose sachant qu’on n’a pas d’argent pour payer la facture. Une
infraction n’existe que si la loi la prévu et on ne peut que applique
une peine que si la loi prouve que la personne qui est incité à
l’adultère est également sanctionné pénalement.

b) Les effets patrimoniaux


Les époux ont l’obligation de contribuer à la charge pécuniaire du
ménage selon leur capacité financière. Si l’un des époux ne
contribue pas à la charge du ménage en ayant pourtant la
capacité financière l’autre disposera une plainte au juge, et le
juge peut obliger une portion ou rétine directement à la source.
 Le régime matrimonial
La communauté des biens, la communauté est réduite aux
acquêts.
m) La mort ou la dissolution du mariage
La dissolution du mariage c’est une rupture du lien conjugal, le
mariage est appelé à disparaitre.
a) Les causes de la dissolution
On distingue 3 causes de la dissolution du mariage à savoir :
 La mort de l’un des époux
C’est lorsque l’un des époux meurt, le mariage est
automatiquement rompu sans la moindre formalité. C’est le mode
la plus normal de dissolution du mariage.
Conséquence de la mort de l’un des époux
C’est lorsque l’un des conjoints meurt, le mariage est bel et bien
rompu et il n’y a pas lieu de remboursement à la dot. Si l’épouse
meurt est que la dot n’a pas été totalement versé alors le solde de
la dot n’aura pas lieu ou réclamé. En rapport avec la mort de l’un
des époux, la loi interdit toute pratique de humiliante et de
rétrogradation envers le défunt. Le mariage crée une alliance et
après la mort de l’un des époux, cette alliance subsiste tout de
même après la dissolution du mariage.
 Le nouveau mariage du conjoint de l’absent
Si l’absent (l’époux ou épouse présume mort) revenait après le
jugement déclaratif de son décès, le mariage est déjà dissous.

 Le divorce
C’est la dissolution d’un mariage valablement célébré alors que
les deux époux sont vivants. C’est un incident malheureux du
parcourt de la vie car lorsque l’on se marie c’est jusqu’à la mort
puisse leur séparé. Le divorce se caractérise par l’aspect judiciaire
c-à-d tant le Tribunal n’a pas prononcé le divorce, ce mariage ne
sera pas rompu ou dissous.
a) Les causes du divorce
A propos des causes du divorce notre Droit a connu une
évolution. Dans le code ancien prévoyait des causes du divorce à
savoir :
1er cause : l’adultère : la femme n’avait pas son mot à dire face à
l’homme ; la femme était condamné peut importer le caractère de
son adultère alors que pour l’homme l’adultère n’était condamné
que s’il avait un caractère humiliante.
2ème cause : les excès, les sévices et le manque de respect (des injures gravés
envers l’autres)
La condition d’un époux pour un effet en tachant également à
l’honneur de l’autre. Le code civil ainsi que le code de la famille
n’ont pas la même considération du divorce.
Le code civil conçoit que le divorce est une sanction du
comportement indigne de l’un des époux. Le code ne retient que
la cause du divorce c’est la destruction irrémédiable de l’union
conjugale c-à-d la vie d’ensemble des deux époux ne sera plus
possible et c’est la seule cause du divorce que prévoit la loi.
Le code de la famille conçoit que le divorce est un remède lorsque les
deux époux ne peuvent plus vivre ensemble. Cette conception du
divorce s’appelle « remède ».
b) La présomption du divorce
 La séparation unilatérale qui s’en prolongé pendant au
moins 3 ans ;
 L’absence qui s’est prolonge pendant deux ans.

c) La procédure du divorce
La requête : il s’agit de faire la demande du divorce que l’on adresse
au Tribunal de paix, le président du Tribunal de paix invitera
l’époux ou l’épouse (l’intéressé) qui venait de faire la demande du
divorce pour lui faire attendre raison ou lui convaincre
d’abandonné l’idée du divorce et si cette personne persiste dans
sa requête ou demande du divorce alors le président du Tribunal
de paix invitera les deux époux pour tenter de leur dissuader de
ne pas divorce. Si celui-ci persiste le juge peut faire appel à une
personne par exemple son pasteur (personne ayant une certaine
ascendance). Le juge à la mission de convaincre les époux à
l’abandon de la demande du divorce, c’est alors qu’après avoir
tout tenter pour leur faire changer d’avis et qu’ils ne sont pas
convaincu que le mariage sera dissous.
Les conséquences du mariage
La conséquence du mariage c’est lorsque le mariage est dissous et
que le lien conjugal n’existe plus chacun de conjoint est libre.
En cas de divorce, si l’un de conjoint n’a pas de toit pour vivre, la
loi prévoit qu’il peut continuer à vivre sous le toit de l’autre
pendant 6 mois et la loi prévoit pour certain cas d’une indemnité
qui garde l’autre.
En cas de divorce, si les époux ont des enfants mineurs, le juge
confirait la garde soit au père, soit à la mère ou soit à une tierce
personne tout en visant l’intérêt supérieur des enfants.

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