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: Droit Civil
Professeur : Amisi Herady
Introduction
Objet
Concept
Nous distinguons trois concepts dans le Droit Civil :
Droit
Droit Civil
Personnes
DROIT
C’est un terme polysémique.
L’ensemble des règles établit par l’Autorité Public assorti des
sanctions par la force pour faire régner la discipline dans la
société.
Une règle de Droit à caractère impersonnelle c-à-d général et
impersonnelle.
Ex : N’est pas tuer.
La filiation
La parente et l’alliance
Le mariage
IER PARTIE : LA PERSONNE ENVISAGE DANS SON INDIVIDUALITE
Il y a deux catégories
Composants de la personne
Le corps humain
La vie
C’est qui fait l’homme puisse être une personne physique.
Les corps humains : c’est substendum ou le fondement de la
personne physique, elle exprime la personnalité
Ce corps humain est protégé par les lois parce qu’à travers le
corps humain on y trouve l’être humain. Les principes de
l’inviolabilité du corps humain : c’est inviolable, car nul ne peut porter
atteint à votre corps et les principes d’indisponibilité : le corps non
seulement inviolable mais indisponible c-à-d que l’on ne peut pas
marchande une partie du corps humain.
La Vie : La vie humain cette tranche de temps entre la naissance
et la mort.
Le principe marque le début de la personnalité (naissance) et c’est
à la naissance que l’homme devient personnalité juridique.
Il existe deux tempéraments de la vie
1er tempérament : La naissance ne pas toujours la condition
suffisante de la personne juridique : en quoi faut-il naitre vivant
ou bien mais mort
Il n’est suffi de naitre vivant aussi naitre viable c-à-d pourvu des
organes nécessaires qui vous permettant de survivre.
Le début de la personnalité juridique, et sujet de Droit.
2ème tempérament : la naissance n’est pas toujours la condition
nécessaire. Dans certaine situation la personne juridique peut
être reconnu même que la personne ne soit pas nait par exemple :
dans le cas ou dans le couple l’un de conjoint meurt de l’homme
et laisse des enfants mais que l’un est encore dans le ventre, lors
du partage de l’héritage.
Celui-là aussi bénéficiaire aussi de l’héritage considère comme
était une personne juridique infas conceptus pro nato habetur
quoties d’ejus commodis agitur.
L’enfant simplement conçue est considère comme étant né toutes
les fois que ses intérêt sont en jeux.
La personnalité juridique prend fin à la mort.
3éme tempérament est important de la vie humaine
La naissance
Le mariage
La mort
La personne physique
La personnalité juridique : signifier qu’on reconnait … et que
vous avez de droit et reconnue par tous l’être humain. Ce qui fait
de nous une personne physique.
Le corps humain : c’est le fondamentale de la personne physique,
l’expression de la personnalité humaine.
Le droit protégé le corps humain parce que du fait que quand on
voit le corps humain ou voit la personne physique. Dans le
principe de l’inviolabilité et de l’indisponibilité
Le Droit protégé le corps humain
Les deux principes
Le principe de l’inviolabilité : on ne peut pas y porter atteinte
chacun a droit au respect de son corps.
Le principe de l’indisponibilité : pour permettre de vendre tous le
corps humain, ni en totalité, ni en partie.
Le Droit l’interdit.
La vie : c’est tranche du temps de la naissance et de la mort. La
mort n’est plus un sujet de droit ; le principe est que la vie
commence. La naissance marque. L’incertitude sur l’existence
d’une personne physique.
L’absence : c’est la situation d’une personne qui n’est pas
présente à un milieu donné et à l’heure donnée. C’est pris au sein
(courant) et il a un sein juridique ou technique d’où dit que :
C’est quand une personne disparait dans les conditions tel qu’il
est impossible de savoir si elle est vivante ou décédée.
Absent : c’est l’indication dont ou ne soit pas si est vivant à mort
(sens juridique) quitte sa résidence pendant un certain temps
Il existe 3 phases de l’absence :
La phase de présomption d’absence
La déclaration d’absence
La déclaration du décès
1er phase de présomption d’absence : une personne disparue de
son domicile sans nouvelle et sans avoir constitué un mandataire
générale.
Cette personne est réécouté vivante pendant 1 an à partir de ses
dernières nouvelles positives.
Si elle a constitué un mandataire général elle recruté vivante
pendant 3ans. Un mandataire général (une charge ou une
déclaration de ses biens)
Pas de MG : la loi dit d’attendre 1an la présomption d’absence de
caractère par le fait que le présume absent est malgré doutes
qu’on peut avoir sur son existence il est présumé (encore vivant
et dans le 6 mois les personnes intéressée parent proche et le
ministère publique peuvent demander au tribunal de la paix de
derrière homicide tribunal de nommé un administrateur de ses
biens, et généralement choisi parmi les héritiers. Prend fin dès
qu’on a les nouvelles de la personne et dès qu’il y a les nouvelles
positives ; il n’y plus d’absence ou lorsqu’il est rapporté que la
personne est décédée.
2e phase : la déclaration d’absence : quand ou a toujours pas des
nouvelles, les personnes intéressé vont demander au tribunal de
paix pour qu’on déclare la personne absente. Phase se caractérisé
par le fait que les héritiers peuvent obtenir provisionnement leurs
biens en cas de testament on procède à l’ouverture de ce
document.
3e phase de la déclaration de décès : depuis le moment ou la
présomption de vie a cessé quand s’écrase 1 an, 3ans sans après
s’il y a un mandataire on tasse à la déclaration de décès ou 5ans
sous pas mandataire. Caractérise par le fait que le tribunal de
paix va prendre un jugement qui la personne est bel est bien
décédée.
Partir de ce moment sa succession s’ouvre et si le terrain était
mariée, il est autorisé c’est contacter un nouveau mariage.
La disparition
C’est l’état de la personne dont on a la quasi-certitude qu’elle est
morte sans que son cadavre puisse être retrouve. L’absence se
caractérise par la préjonction de vie (lorsqu’on retrouve son
cadavre alors l’incertitude n’a plus de sens, elle sera caractérise
de la préjonction de vie) tandis qu’en cas disparition, elle se
caractérise par la préjonction de mort.
Les effets juridiques
D’après la loi toute personne intéresse (famille ou ministère
publique), ils vont demander au tribunal sans délai pour rendre
jugement pour déclare la personne décède. Et les effets du
jugement sont les mêmes « mutatis mutandis » c-à-d il faut
change ce qu’i faut changer.
Nom
C’est la reine de l’identification c-à-d l’élément principale parce
que lorsqu’on identifie une personne on fait appeler en premier
lieu du nom. Par définition le nom, c’est l’appellation qui sert à
désigner une personne physique dans sa vie sociale juridique et
dans l’exercice de ses droits.
Le nom consiste à l’usage de suite des mots pour désigner une
personne dans la vie sociale, dans sa vie juridique.
Les éléments qui constituent le nom d’une personne dans le droit
congolais c’est : le prénom ; le nom et le post-nom
Le principe est que tout congolais est désigner par un nom qui est
compose d’un ou plusieurs éléments le désignant tout comme la
nature et le caractère du nom.
1er caractère : le nom est un droit
2ème caractère : le nom est un droit extrapatrimonial c-à-d c’est un
droit non pécuniaire qu’on ne peut pas évaluer par l’argent par
exemple le droit de vivre.
Le Droit patrimonial : c’est un droit qui peut être évalué par l’argent
donc elle est pécuniaire par exemple le droit d’auteur.
3ème caractère: le nom est un droit à la personnalité
4ème caractère : le nom est obligatoire
5ème caractère : le nom est imprescriptible
La prescription : c’est le fait de l’écoulement dans le temps, elle peut
avoir comme de pouvoir acquérir un droit (la prescription
acquisitif) ou la perdre (la prescription extinctive).
Le nom a comme caractère l’imprescriptibilité c-à-d même si vous
avait pas fait usage de cela, elle reste comme telle.
6ème caractère : le nom est culturel c-à-d le nom doit être puisse
dans le patrimoine congolais ou culturelle congolais.
7ème caractère : le nom est une institution de police et donc elle
contribue à la sécurité de la société.
8ème caractère : le nom est immuable c-à-d elle immuable lorsqu’il ne
pas permit de changer ou de modifier l’ordre et l’orthographie.
Le principe du nom connait quelques exceptions à citer :
On peut donc avoir la modification du nom.
De manière exceptionnelle le nom d’une personne peut être
modifie sur l’autorisation du tribunal de paix pour un motif
sérieux, le motif sérieux peut être :
Votre nom ne pas puisse dans le patrimoine culturelle congolais
Lorsque votre nom à un caractère provocateur, humiliant et
immoral par exemple : Kuluna, aboma atala te (humiliant)
Keba, moto okozika (provocateur)
2ème exception en matière du mariage
En cas de mariage, La femme a le droit d’user du nom de son
mari en l’en joignant au sien.
3ème exception en cas d’adoption
L’adoptant peut changer ou modifier le nom de l’adopte.
LA RESIDENCE
Par définition la résidence est le lieu où une personne demeure
effectivement de manière habituelle. La résidence peut coïncider
avec le domicile.
Q/ Quelle est la différence entre domicile et résidence ?
R/ Le domicile c’est l’endroit où me droit vous repérer ou localise
géographiquement une personne tandis que la résidence c’est là
où vit ou demeure actuellement une personne par exemple
lorsque la personne, l’Etat sait qu’elle reste à Bandal mais lui il
vit à Kintambo donc son domicile c’est à Bandal et la résidence à
Kintambo.
Les caractères d’une résidence
La résidence à des caractères subdivisionnaire à défaut du
domicile commune d’une personne on se rabat à la résidence,
c’est là que la résidence fait office de domicile.
La possibilité de multiplicité d’une résidence c-à-d le domicile est
unique pour une personne mais peut avoir plusieurs résidences.
Le sexe
Le sexe c’est l’élément le plus facilement identifiable, elle apparait
par le fait extérieur c-à-d l’aspect extérieur trahit le sexe ; le Droit
prend la considération du sexe comment comme élément ?
Tout d’abord le sexe nous permet de classer les 2 catégories de
sexe et il participe à l’identification civile d’une personne. Le sexe
de tous les éléments ne concerne que la personne physique.
Les caractères juridiques
L’immuabilité du sexe c-à-d elle ne change pas il est
immuable ;
Le sexe d’une personne tel qu’il a été conçu reste intacte ;
Dans le Droit congolais le transsexuel n’a aucun effet
juridique et garde votre ancien état ;
L’égalité de sexe : sur le plan de Droit tout le sexe sont
égaux ;
Le sexe conditionne la validité du sexe du mariage soit
valable, le Droit tient compte du sexe pour qu’elle soit
valable.
L’état civil et les actes de l’état civil
L’état civil est l’ensemble des caractéristiques d’une personne qui
détermine selon la loi et qui définissent la situation d’une
personne en droit prive c-à-d la situation d’une personne en
société ou en famille.
La composition de l’état civil
Tout d’abord on tient compte à :
L’état individuel de la personne c-à-d la vie, l’âge, l’état
mental ;
On se réfère à la situation par rapport à la filiation, enfant
né du mariage ou adopte ;
L’état dans la famille c-à-d la veuve, divorce, célibataire
Ces éléments de la vie d’une personne doivent être constatés par
les actes dressés par l’autorité de l’état.
L’acte de l’Etat civil
Ces sont des actes écrites dans lesquels l’autorité publique
constate d’une manière authentique les principaux évènements
de la vie qui sont au nombre de 3 à citer :
La naissance : c’est une nouvelle personnalité juridique, c’est
l’autorité de l’Etat qui constate un acte officiel écrit, un document
appelé acte de naissance.
Le mariage : l’autorité de l’Etat constate un acte de l’Etat civil qui
est l’acte de mariage.
La mort : c’est la disparition de la personnalité juridique. La preuve
de l’état civil se fait par des actes de l’Etat civil.
Les caractères de l’Etat civil
La personnalité : l’Etat civil d’une personne relevé de la
personnalité c-à-d par du fait qu’on une personne juridique
automatiquement on a la personnalité ;
Indisponibilité : on ne peut pas vendre son état civil car elle
extrapatrimoniale ;
Imperceptible : ce qui ne peut pas s’éteindre par l’écoulement du
temps.
Invisible : on ne peut pas voir deux états civils en même temps c-
à-d on ne peut pas être marie et être célibataire en même temps.
Insaisissable : on ne peut pas saisir l’état juridique d’une
personne. La loi prévoit 3 sortes de bureaux à savoir :
Le bureau central
Le bureau principal on trouve un chef-lieu de chaque commune
ou secteur ;
Le bureau secondaire : elle signifie que lorsque la nécessité exige
l’autorité publique, elle peut créer d’autres bureaux et
chaque bureaux est géré par l’officie de l’Etat civil à savoir :
la maire de la ville, le bourgmestre, le chef de secteur, le chef
des portes diplomatiques ; on tient des registre à chaque
bureau à savoir le registre de l’Etat civil qui sont :
Le registre de naissance : Enregistre toute naissance intervenue dans
le ressort ;
Le registre du mariage : enregistre tout le mariage qui intervienne
dans le ressort ;
Le registre de de décès : enregistre tout le décès qui intervienne dans
le ressort ;
Le registre supplétoire : destine à recevoir toutes les déclarations qui
concerne les autres choses tels que la naissance, le mariage t le
décès.
Les règles qui concernent les actes juridiques
La publicité : c’est lorsque les registres sont ouverts aux publiques
conformément aux règles établit par l’autorité public.
La réaction : c’est une acte de l’Etat civil est rédigé en français : il
énonce l’heure, la date, le lieu et la qualité de l’autorité public qui
l’a rédigé. L’office ne peut pas mentionner autre chose que ce qui
a été dit établit.
Le délai : c’est la rédaction des actes de l’Etat civil c’est dans le
délai rédige dans le mois de la naissance de 90 jours après décès.
Le jugement supplétif c’est lorsque l’acte n’a pas été établit dans le
délai et le tribunal fera un jugement après l’autorité publique
livrera un acte.
L’acte de notoriété : c’est un acte ou document dans lesquels
plusieurs témoins victimes viennent attestés un fait que l’autorité
civile n’avait pas/pas recueilli ou acte destiné à servir de preuve
de l’état civil afin de supplier au défaut des actes de l’Etat civil.
Les actes de l’Etat civil sont authentiques.
Les compétences territoriales de l’officier de l’Etat civil
La déclaration de naissance sont reçues et les actes qui
constatent dressés par l’officier de l’Etat civile du lieu de la
résidence du père ou de la mère.
Les délais des réactions des actes de l’Etat civil
Ils doivent être rédige dans un délai de 30 jours.
La délivrance de l’Etat civil
La surveillance des actes de l’Etat civil
La personne morale
La personne morale peut-être définit comme étant un groupement
doté de la personnalité juridique distingue, différente de la
personnalité juridique de membre qui compose ce groupe.
La personne morale n’a rien de commun avec la personne
physique en comparant le deux ;
Sur plan matériel ou biologie, elles sont incompatibles ; la
personne morale n’a pas de corps, n’a pas de réalité biologique ou
juridique. En Droit, la personne morale est une fiction juridique ;
c’est une personne artificielle.
Classification des personnes morales
La classification suprême, c’est fait par la summa divisio à
savoir :
Les personnes morales de Droit public : elle a pour but public de
satisfaire l’intérêt ou le besoin général.
L’Etat et ses différentes subdivisions territoriales et administratives
L’entreprise publique et établissement publique (SNCC et BCDC)
Les ordres professionnels (Avocats ; Docteur ; infirmière)
Une personne morale peut payer les amendes sur le plan civil des
intérêts et il y a des sanctions spécifiques pour une personne
morale.
Les personnes morales de Droit privé : elle a pour but privé de satisfaire
l’intérêt particulier, l’intérêt égoïste des membres ces sont des
personnes qui composent cette personne morale.
Les sociétés commerciales
Les associations
Les fondations
Comment le traitement juridique est-elle créer ?
L’existence d’une personne morale : s’agissant d’une personne
publique, c’est la constitution qui organise l’Etat et ses différentes
subdivisions ; les entreprises publiques et établissement publique
sont créer par un acte règlementaire qui est un acte, cet acte est
décret du premier ministre.
A droit à la vie
A droit à l’intégrité physique
A droit au respect de la vie privée
A droit d’avoir et de connaitre ses parents et de vivre avec
eux
A droit à l’opinion
A droit à l’identité
A droit à l’enregistre à l’Etat civil
A droit à la sécurité sociale
A droit à la liberté d’expression
Comme devoir :
Obéir aux parents
Respect les ainés
Aller à l’école
Respect les droits des autres
Respect l’environnement
L’œuvrer par la cohésion de la famille
Un tribunal spécial pour enfant crée dans le but de protection de
l’enfant.
Une décision qui viser l’intérêt sur l’enfant du mineur et la loi dit
en matière pénal le mineur est spécialement protège ou attenue le
langage pour un mineur (conflit avec la loi)
Les mineurs sont émancipés et d’autres sont non-émancipés : véritablement
le mineur est incapable c-à-d qu’il n’a pas atteint l’âge 18 ans et
qui est frappé par la loi d’une incapacité d’exercice quasis
générale. Les 7 caractères essentiels de l’autorité parentale à
savoir :
Elle est reconnue aux parents et s’exerçaient
conjointement ;
Elle porte sur les enfants mineurs ;
Elle est temporaire c-à-d elle exerce pour un temps ;
Elle ne doit pas être exercée que pour l’intérêt du mineur ;
Elle est à la fois une fonction, un droit et un devoir ;
Elle est hors commerce c-à-d elle ne peut pas être vendu ;
Elle est de l’ordre public.
Il y a 2 sortes de tutelle :
Ordinaire ou familial : les membres de la famille vont choisir les
tutelles.
L’Etat : ici l’Etat qui assume la tutelle.
Les pupilles de l’Etat : les enfants mineures dont l’Etat assure la
tutelle.
Les tuteures de déléguer c’est une personne à qui l’Etat confie la
tutelle du mineur.
L’émancipation des mineures
L’acte par lequel en mineur est affranchie prématurément avant
l’âge de l’autorité parental ou tutélaire pour poser certain actes
juridiques valable.
Les effets juridiques de l’émancipation
A pour effet d’autoriser les mineurs a posé valable juridiquement
certains actes juridiques pour lequel l’émancipation est accordé.
2. Les majeures incapables
L’incapacité des majeurs est une exception en d’autres termes
tout majeurs est capable.
L’incapacité des majeurs s’explique par l’examen d’être incapable.
Les ailières mentaux ou trouble mental, psychique ou nerveux
ayant abolis le discernement ou centrale des actes qu’il pose.
Elle se manifeste par un comportement socialement bizarre. Ce
n’est pas toutefois qui est déclaré incapable.
Pour qu’un majeur soit déclaré incapable, il doit faire objet d’une
interdiction judiciaire.
Cependant la loi décide que lorsque l’aliénation est tellement
notaire.
Les faibles d’esprits sont des personnes sans être atteint des
troubles mentaux et n’ont pas assez d’intelligente.
Les prodigues : les personnes qui se caractérisent par une
tendance à dépenser exagérémentµ sans utilité, sans raison de
leur argent.
Les infirmes : elles sont frappées par une altération durable.
L’interdiction : c’est régime des protections sous lequel par une
décision de justice ou une personne …
La curatelle : c’est le régime d’assistance sous lequel sont placés
les faibles d’esprit, les prodigues, les ailières mentaux, les affaiblit
par l’âge et les infirmes.
IIème partie : la personne envisage dans son environnement familial
Il y a deux conceptions de la famille à savoir :
La conception étroite : c’est la conception occidentale c-à-d le
père, la mère et les enfants on voit la restreinte.
La conception Africaine c-à-d le père, la mère, les enfants et les
autres collatéraux (cousin, cousine, …)
Les règles de droit qui s’appliquent à la personne
La filiation
Le rapport de parenté et d’alliance
Le mariage
1. La filiation
La filiation : le terme filiation dérive du terme latin « filius » qui
signifie fils et « filia » qui signifie fille ainsi la filiation c’est le lien
des droits qui unies le père ou la mère et son fils ou sa fille. C’est
un rapport de Droit puisse qu’il y a des conséquences juridiques
selon qu’il s’agit du père ou de la mère, la filiation peut être
paternel ou maternel.
Paternel : c’est le rapport de droit entre le père et le fils ou la fille
Maternel : c’est le rapport de droit entre la mère et le fils ou la fille
Nous retenons que lorsque nous parlons de la filiation on voit le
sang alors on appellera filiation biologique.
Mais le droit a créé une autre filiation artificielle qui est la filiation
adoptive ou d’adoption mais elle ne découle pas du sang.
En matière de filiation, elle a évoluée dans notre Droit dans le
code civil ou code famille avant 1987 ; il y existe 3 sortes de
filiation :
La filiation légitime : c’est la filiation qui découle entre le rapport
sexuel ou intime entre les deux personnes mariés.
La filiation naturelle : c’est une filiation qui a trois variantes à
savoir :
La filiation naturelle simple : c’est celle qui résulte le rapport
intime ou sexuel entre deux personnes qui ne sont pas
mariés alors qu’ils n’ont aucun obstacle de se marier.
La filiation naturelle incestueuse : c’est celle qui résulté le rapport
sexuel entre deux personnes qui ne sont pas mariés alors
que la loi les interdit qu’ils se marient parce qu’ils ont un
lien de parenté. L’enfant qui découlera de cette relation on
appellera enfant naturelle incestueuse.
La filiation naturelle adultérine : c’est celle qui résulté le rapport
sexuel entre deux personnes qui ne sont pas mariés alors
que l’un est déjà marié. L’enfant qui découlera de cette
relation on appellera enfant naturelle adultérine.
Dans ces 3 variantes de filiation, la seule différence jouer sur les
droits selon chaque filiation.
Désormais on ne catégorisera plus la question d’enfant naturel
parce que cette catégorisation on dira enfant né dans le mariage
et l’enfant né hors mariage.
La filiation biologique : c’est la filiation qui découle du sang soit par
le père ou par la mère.
Les règles générales qui s’appliquent à la filiation biologique
Elles s’appliquent aux caractères d’ordre public des règles de
relation ou rapport par la filiation c-à-d il ne pas permis de dérogé
les règles établis par la loi.
Le droit dit que tous enfants doit avoir un père (et une mère) d’où
découle le principe mater carta est pater incertus qui signifie que la
mère de l’enfant est généralement connue mais le père non. La loi
dit quel que soit les circonstances de l’enfant, il doit connaitre
son père.
La prééminence de l’intérêt supérieure de l’enfant en matière de
filiation. Pour traiter toutes questions de filiation, l’intérêt de
l’enfant qui doit être supérieure.
L’interdiction discriminatoire ou de discrimination des enfants en
fonction de leurs circonstances de naissance. Tous enfants
devant la loi ont les mêmes droits à par égales.
La préjonction de la conception de l’enfant a pour objet précis de
résoudre la difficulté question du moment exact de la conception
de l’enfant, ici on voit la période de la conception.
La préjonction légale de conception résulter de l’enfant présume
conçu dans le trois centième jour aux cent quatre-vingtième jours
inclusivement avant la date de naissance.
Les caractères des règles relatives en matière de filiation
La surséance statué par voie incidente : toute juridiction saisie par voie
incidente d’une contestation relative à la filiation d’une personne
devra sur statuer jusqu’à ce que la juridiction civile compétente
dit tranche la question de la filiation par une décision passe en
force de chose jugée.
L’imprescriptibilité des actions relative à la filiation : sauf si la loi en
dispose autrement les actions relatives à la filiation sont
imprescriptibles. Ce principe ne peut souffrir d’exception que si la
loi elle-même en dispose ainsi c’est le cas de l’article 611 du code
de la famille sauf pour l’enfant le délai pour intenter l’action en
contestation de paternité est d’un an.
L’indisponibilité des actions relations à la filiation : les actions relatives à
la filiation relèvent de la catégorie des actions concernant l’état de
la personne appelé action d’état plus précisément le rapport de
filiation est hors commerce, il ne peut faire l’objet d’une
convention privées ou la transaction entre les parties.
L’interdiction de renonciation des actions : les actions relatives à la
filiation ne peuvent faire l’objet de renonciation, les parties ne
peuvent pas un contrat par exemple renoncer par avance à toute
contestation ou mettre fin à une constitution déjà née.
La transmissibilité de l’action aux héritiers : l’action qui appartenait à
une personne quant à la filiation peut être exercée par ses
héritiers. Ceux-ci peuvent eux-mêmes introduire l’action quand
l’enfant est décédé mineur ou dans les cinq ans qui ont suivi sa
majorité sans l’avoir exercé. Ils peuvent poursuivre l’action que
l’enfant avait engagée à moins qu’il ne s’en fût désisté.
L’opposabilité des jugements en matière de filiation : les jugements rendus
en matière de filiation sont opposables même aux personnes qui
n’y ont point été parties.
c) La contestation de l’affiliation
L’affiliation peut être contesté par toute personne intéresse ou
par même le ministère public. Il doit y avoir des preuves
démontrant la paternité qu’a été attribuée à celui qui n’est pas le
géniteur de l’enfant en d’autre terme il peut y avoir l’action de
recherche de paternité mais son action doit être dirigé par la
personne qu’il estime être père mais qu’il doit joindre à cela des
preuves.
Vis-à-vis de l’enfant né hors mariage, il n’y a pas de présomption
légale de paternité.
d) L’effet juridique de l’affiliation biologique
C’est la situation par lequel un enfant dont aucune filiation
paternelle n’est établit à l’égard de quelqu’un, dans ce cas la loi
prévoit la paternité juridique. Il va être désigne au sein de la
famille maternelle une personne qui sera d’office père de l’enfant.
L’égalité de tous les enfants : tous les enfants doivent être considère
de la même manière.
L’obligation d’entretenir l’enfant : le père et la mère ont pour obligation
d’entretenir l’enfant c-à-d le nourrir, le vêtir et de bien prendre
soin de lui.
L’entrée de l’enfant dans l’enfant dans la maison conjugale : l’enfant né en
dehors du mariage, à partir du moment où son père reconnait
l’affiliation de ce fait, cet enfant aura le droit de demeure sous le
toit conjugal mais la loi dit que cet enfant peut vivre sous le toit
conjugal si la femme de son père donne son consentement.
3. La filiation adoptive
C’est la filiation qui résulte de l’adoption. Il faudra donc faire
l’étude de l’adoption à travers la notion, les conditions ainsi les
effets juridiques. La loi organise l’adoption mais qui ne pas
définir ; c’est une filiation purement juridique reposant sur la
présomption d’une personne, la loi établit artificiellement un
rapport du père et de la mère à ‘enfant.
Il s’agit d’une action juridique qui crée entre 2 personnes un lien
juridique de la filiation qui n’est pas fondé sur le sang mais sur
les sentiments.
La raison d’être de l’adoption : sans la loi ancienne, l’adoption
était une institution de remède pour les couples qui ne pouvaient
pas avoir d’enfant. Avec la présente loi, l’adoption a été
actuellement conçue pour l’intérêt supérieur de l’enfant.
a) Les conditions de l’adoption
Pour que l’adoption soit observée, il faut deux conditions à
savoir :
Les conditions de fond et les conditions de forme
Les conditions de fond : elle doit examiner par l’adoptant et par
l’adopté en d’autre terme la manière d’adoption, il y a deux
relatives de conditions à savoir :
4. Les conditions de l’adoptant
5. Les conditions de l’adopté
Les conditions de l’adoptant
1er condition : pour adopter, il faut être majeur et être capable c-à-d
l’adoptant doit être majeur et être capable.
2ème condition : avoir la moralité sexuelle, l’adoptant doit avoir une
bonne moralité sexuelle.
3ème condition : l’expérience minimum de 5 ans de mariage pour la
personne mariée sauf lorsque l’enfant adopté est l’enfant de
l’autre conjoint.
4ème condition : le consentement du conjoint de l’adoptant
5ème condition : le seuil maximum d’enfant ; pour pouvoir adopter la
loi dit que l’adoption est permis à celui qui a moins de 3 enfants
en vie et non 3 enfants c-à-d avoir que deux enfants cependant
cette condition tombe lorsqu’il s’agit d’adopter l’enfant du
conjoint.
6ème condition : la différence d’âge avec l’adopte, pour pouvoir la loi
dit qu’il doit y avoir une différence d’au moins de 15 ans
cependant cette différence d’âge est réduite à 10 ans lorsqu’il
s’agit d’adopter l’enfant de son conjoint.
7ème condition : la différence de sexe avec l’adopte, pour pouvoir
adopter la loi dit que lorsqu’il s’agit d’un célibataire, si l’adoptant
pour qu’il adopte à condition qu’il ait le même sexe et non le sexe
oppose.
8ème condition : l’absence de corruption c-à-d lorsqu’il s’agit de la
procédure d’adoption l’adoptant ne doit pas corrompre pour
l’adoption de l’enfant.
9ème condition : l’engagement de pouvoir prendre en charge l’enfant
adopté.
Les conditions relatives à l’adopte
1er condition : La loi pose le principe de l’adoptabilité selon l’âge
« toute personne peut être adopté quelqu’un en soit l’âge »
2ème condition : Le consentement de l’adopté âge de plus de 15 ans,
la loi dit pour qu’il soit adopté il faut son consentement.
3ème condition : Le consentement du père et de la mère de l’adopté
mineur ou à défaut les personnes qui exerce sur lui l’autorité
parentale.
4ème condition : Le consentement du conjoint de l’adopté lorsque
l’adopté et marié, l’adoption n’est peut intervenir si seulement il a
le consentement de sa conjointe.
5ème condition : L’exclusivité de l’adoption en d’autre terme
Lorsqu’une personne a déjà fait l’objet d’une adoption il ne peut
plus être adopte sauf s’il s’agit d’un couple.
Les conditions de l’adoption particulière ou internationale
C’est l’adoption d’un enfant congolais par un étranger, la loi dit
lorsqu’il s’agit d’être adopte par un étranger il faut tout d’abord
s’assuré que cette adoption est dans l’intérêt supérieur de l’enfant
pour éviter que l’enfant d’avoir un trafic d’enfant pour être esclave
sexuel à l’étranger.
Les conditions de forme ou procédure d’adoption
La requête ou la demande
L’adoptant doit adresser une demande au tribunal pour enfant
s’il veut adopter un enfant mineur et à cela y joindre toute les
pièces.
L’instruction de la demande c-à-d le tribunal doit vérifier si toute
les conditions sont remplis et si cela est remplit, le tribunal va
rendre le jugement de l’adoption.
Le divorce
C’est la dissolution d’un mariage valablement célébré alors que
les deux époux sont vivants. C’est un incident malheureux du
parcourt de la vie car lorsque l’on se marie c’est jusqu’à la mort
puisse leur séparé. Le divorce se caractérise par l’aspect judiciaire
c-à-d tant le Tribunal n’a pas prononcé le divorce, ce mariage ne
sera pas rompu ou dissous.
a) Les causes du divorce
A propos des causes du divorce notre Droit a connu une
évolution. Dans le code ancien prévoyait des causes du divorce à
savoir :
1er cause : l’adultère : la femme n’avait pas son mot à dire face à
l’homme ; la femme était condamné peut importer le caractère de
son adultère alors que pour l’homme l’adultère n’était condamné
que s’il avait un caractère humiliante.
2ème cause : les excès, les sévices et le manque de respect (des injures gravés
envers l’autres)
La condition d’un époux pour un effet en tachant également à
l’honneur de l’autre. Le code civil ainsi que le code de la famille
n’ont pas la même considération du divorce.
Le code civil conçoit que le divorce est une sanction du
comportement indigne de l’un des époux. Le code ne retient que
la cause du divorce c’est la destruction irrémédiable de l’union
conjugale c-à-d la vie d’ensemble des deux époux ne sera plus
possible et c’est la seule cause du divorce que prévoit la loi.
Le code de la famille conçoit que le divorce est un remède lorsque les
deux époux ne peuvent plus vivre ensemble. Cette conception du
divorce s’appelle « remède ».
b) La présomption du divorce
La séparation unilatérale qui s’en prolongé pendant au
moins 3 ans ;
L’absence qui s’est prolonge pendant deux ans.
c) La procédure du divorce
La requête : il s’agit de faire la demande du divorce que l’on adresse
au Tribunal de paix, le président du Tribunal de paix invitera
l’époux ou l’épouse (l’intéressé) qui venait de faire la demande du
divorce pour lui faire attendre raison ou lui convaincre
d’abandonné l’idée du divorce et si cette personne persiste dans
sa requête ou demande du divorce alors le président du Tribunal
de paix invitera les deux époux pour tenter de leur dissuader de
ne pas divorce. Si celui-ci persiste le juge peut faire appel à une
personne par exemple son pasteur (personne ayant une certaine
ascendance). Le juge à la mission de convaincre les époux à
l’abandon de la demande du divorce, c’est alors qu’après avoir
tout tenter pour leur faire changer d’avis et qu’ils ne sont pas
convaincu que le mariage sera dissous.
Les conséquences du mariage
La conséquence du mariage c’est lorsque le mariage est dissous et
que le lien conjugal n’existe plus chacun de conjoint est libre.
En cas de divorce, si l’un de conjoint n’a pas de toit pour vivre, la
loi prévoit qu’il peut continuer à vivre sous le toit de l’autre
pendant 6 mois et la loi prévoit pour certain cas d’une indemnité
qui garde l’autre.
En cas de divorce, si les époux ont des enfants mineurs, le juge
confirait la garde soit au père, soit à la mère ou soit à une tierce
personne tout en visant l’intérêt supérieur des enfants.