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Chapitre 1

I- GENERALITES SUR L’ENERGIE


................................................................ 01
1. DEFINITION ............................................................................................... 01
2. LES SOURCES D’ENERGIE .......................................................................... 01
3. CHAINE ENERGETIQUE .............................................................................. 01
4. LES FORMES D’ENERGIE ............................................................................ 01
4.1 ENERGIES LIBRES .................................................................................. 01
4.2 ENERGIES STOCKEES ............................................................................. 02
5. TRANSFORMATIONS DE L’ENERGIE ........................................................... 03
5.1. TRANSFORMATIONS DES FORMES D’ENERGIE LIBRE ............................... 03
5.2. LIBERATION DE L’ENERGIE STOCKEE ....................................................... 05
5.3. STOCKAGE DE L’ENERGIE ....................................................................... 05

II- PRODUCTION DE L’ÉNERGIE ÉLECTRIQUE


........................................... 06
1. DEFINITIONS .......................................................................................... 06
2. APPEL DE PUISSANCE D'UN RESEAU ......................................................... 07
3. MODES DE PRODUCTION DE L’ENERGIE ELECTRIQUE ............................. 08

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Chapitre 1

I- GENERALITES SUR L’ENERGIE

1. DEFINITION
L'énergie est définie en physique comme la capacité d'un système à produire
un travail, entraînant un mouvement ou produisant par exemple de la lumière, de
la chaleur ou de l’électricité. L’énergie ne disparaît jamais ; elle se transforme d’une
forme en une ou plusieurs autres. Elle s’exprime en joules ou en kilowattheure
(kWh).
2. LES SOURCES D’ENERGIE
On désigne par énergies primaires les formes d’énergie telles quelles sont
captées dans la nature.

Les principales ressources énergétiques sont résumées dans le tableau


suivant :

Sources d’énergie Avantages Inconvénients


Fossiles : − Production de CO 2 R R

− Faciles à exploiter − Epuisable


- Pétrole
- Gaz
- charbon
− Moins cher aujourd’hui. − Epuisable
Nucléaire − Déchet radioactifs
− Moins de CO 2 R R
− Risque d’accident
nucléaire.
Renouvelables: − Ne peuvent être
− Inépuisables à notre implantée de partout.
- Eau échelle. − Coût plus élevé.
-Soleil (thermique et − Faible puissance.
photovoltaïque) − Peu ou non polluantes − Fabrication recyclage
- Vent des cellules photovoltaïque
- biomasse (bois, plantes...)
- Géothermie
3. CHAINE ENERGETIQUE
Une quantité d’énergie qui passe du stade d’énergie primaire à celui d’énergie
utile suit une série de processus de transformations bien définies et de transports.
Cette série de processus constitue une chaîne énergétique.

4. LES FORMES D’ENERGIE


On peut distinguer diverses formes d’énergie qui, peuvent se transformer
l’une en l’autre; « formes d’énergie libre (manifeste)» et « formes d’énergie stockée
(potentielle) ».
4.1 ENERGIES LIBRES

Sont celles sous lesquelles apparaît l’énergie lorsqu’elle est utilisée. Si nous
nous référons à notre expérience quotidienne, nous pouvons distinguer quatre
formes d’énergie libre (directement perceptible).

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 Le rayonnement, visible (lumière) ou invisible (ondes de radio, rayons X, etc.). Il


s’agit, fondamentalement du déplacement dans l’espace de particules, le plus
souvent des photons se propageant à la vitesse de la lumière (environ 300 000
km/s)
 La chaleur: un apport de chaleur conduit à une augmentation de température
(par exemple, un radiateur) et inversement (réfrigérateur).
 L’énergie cinétique, associée au mouvement.
 L’électricité. Pour des raisons pratiques, cette forme a vu un développement
industriel considérable. Ce n’est pas, à proprement parler, une énergie « visible »
mais comme on sait qu’il s’agit du déplacement d’un « courant électrique » (en
fait des électrons) dans des conducteurs, on peut qualifier de « libre » cette forme
d’énergie.
Il existe des appareillages plus ou moins courants permettant de transformer
l’une en l’autre ces quatre formes d’énergie libre.
4.2 ENERGIES STOCKEES

S’il paraît difficile de stocker l’énergie sous forme de rayonnement ou de


courant électrique (sauf peut-être dans un circuit supraconducteur), il est
envisageable, en revanche, de stocker l’énergie sous forme de :
 chaleur : l’énergie géothermique, constituée de la chaleur emmagasinée au sein
de la Terre dégagée par la radioactivité naturelle.
 Cinétique : le vent, dont l’éolienne capte l’énergie cinétique
Par exemple, pour réduire votre facture d’électricité, vous pouvez utiliser de
l’électricité pendant la nuit, lorsque les kilowattheures sont moins chers, pour
chauffer des briques et accumuler ainsi de la chaleur, puis récupérer cette chaleur
pendant la journée pour votre chauffage domestique.
En ce qui concerne l’énergie cinétique, le volant d’inertie d’un moteur
représente un exemple de stockage d’énergie sous cette forme (en fournissant de
l’énergie pendant les temps morts de la combustion, ce volant permet de pallier les
à-coups).
C’est cependant sous forme d’énergie potentielle qu’il est, en général, plus
intéressant de stocker l’énergie. Le principe général est semblable à celui de
l’exemple pris ci-dessus, celui de l’élastique de la fronde : on accumule de l’énergie
potentielle en faisant travailler une force « à l’envers » c’est-à-dire dans le sens
inverse de celui dans lequel elle s’exerce ; en laissant, ensuite, travailler cette force
dans son sens, l’énergie potentielle emmagasinée sera libérée.
 L’énergie gravitationnelle (la force de la pesanteur) peut trouver davantage
d’applications industrielles. Limitons-nous à deux exemples :
− L’horloge à poids, à qui l’on fournit de l’énergie en remontant le poids et qui
l’utilise ensuite au fil des jours pour vaincre les frottements des mécanismes;
− Le barrage hydroélectrique, dont le lac constitue une réserve disponible pour
compléter, si nécessaire, d’autres sources de production d’électricité.

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 L’énergie chimique utilise les forces, de nature électromagnétique, reliant les


atomes au sein des molécules : en réarrangeant les atomes pour former de
nouvelles molécules à partir des molécules initiales, on fait travailler, dans un
sens ou dans l’autre, les forces de liaison entre les atomes, et on libère ou on
stocke de l’énergie. Exples: les stocks naturels que sont les réserves de charbon,
pétrole et gaz qui se sont constitués à partir du rayonnement solaire; et, parmi
les applications industrielles: l’essence utilisée par une voiture, la pile électrique
ou la batterie, etc.
 L’énergie nucléaire utilise les forces agissant entre les nucléons (protons et
neutrons) des noyaux atomiques. Là aussi, en réarrangeant différemment ces
nucléons, on peut espérer faire travailler ces forces, changer ainsi l’énergie
interne et stocker ou libérer de l’énergie. En pratique, seule une libération
d’énergie nucléaire est réalisable industriellement, soit en cassant de gros
noyaux (fission), soit en assemblant de petits noyaux (fusion). Dans les deux
cas, l’énergie libérée est obtenue sous forme de chaleur. Seule l’énergie de
fission a aujourd’hui une application industrielle; la matière à la base de cette
source d’énergie est l’uranium (le thorium pourrait aussi être utilisé). L’énergie
de fusion pourrait s’avérer prometteuse à long terme si les difficultés techniques
de sa mise en œuvre sont surmontées; les matières à la base de cette source
sont le deutérium (l’isotope rare de l’hydrogène) et le lithium.
5. TRANSFORMATIONS DE L’ENERGIE
5.1. TRANSFORMATIONS DES FORMES D’ENERGIE LIBRE

Comme nous l’avons vu, les quatre formes d’énergie libre sont l’énergie
rayonnante, l’énergie thermique (ou chaleur), l’énergie mécanique (ou
cinétique) et l’énergie électrique. Cela fait douze transformations susceptibles
d’être réalisées : toutes sauf deux ont des applications dans la vie courante ou
dans l’industrie.

Figure 1: Les principales transformations des formes d’énergie libre

 Transformation de l’énergie rayonnante en énergie thermique : elle est réalisée,


par exemple, par les capteurs de rayonnement solaire fournissant l’eau
sanitaire pour une habitation ou pour échauffer un fluide en vue d’une
production d’électricité.
 Transformation de l’énergie rayonnante en énergie mécanique: cette
transformation est à l’origine de la poussée de radiation qui fait que la queue des
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comètes est toujours à l’opposé du Soleil. La force de cette poussée est faible et
elle n’a pas trouvé d’application industrielle (peut-être sera-t-elle un jour
utilisée en astronautique).
 Transformation de l’énergie rayonnante en énergie électrique: cela est réalisé
dans les convertisseurs photovoltaïques, par exemple les panneaux solaires
d’un satellite artificiel ou à usage domestique.
 Transformation de l’énergie thermique en énergie rayonnante: c’est
l’incandescence, c’est-à-dire l’émission spontanée de rayonnement par les corps
à une température non nulle et cela d’autant plus que la température est élevée
; exemple: le rayonnement du Soleil, dont la surface est à environ 6 000 ºC.
 Transformation de l’énergie thermique en énergie mécanique: c’est que ce
réalisent la machine à vapeur et, plus généralement, les turbines et moteurs
thermiques, tels ceux des voitures automobiles.
 Transformation de l’énergie thermique en énergie électrique: cette conversion
directe est réalisée dans les convertisseurs thermoélectriques (par exemple, les
thermocouples utilisés pour des mesures de température) et thermoïoniques.
(Industriellement, on passe plus souvent par l’intermédiaire de l’énergie
mécanique, par exemple dans les centrales électriques classiques ou
nucléaires).
 Transformation de l’énergie mécanique en énergie rayonnante : elle est
observée dans le bremsstrahlung (rayonnement de freinage ou rayonnement
synchrotron) utilisé dans des accélérateurs de particules pour créer un
rayonnement intense de photons, tel Soleil à Saint-Aubin (Essonne) ; mais cette
transformation n’a pas d’autre application industrielle.
 Transformation de l’énergie mécanique en énergie thermique: cette
transformation est inévitable dans des frottements et des chocs ; elle est, par
exemple, observée dans les freins qui chauffent.
 Transformation de l’énergie mécanique en énergie électrique : ce sont les
générateurs électriques (dynamos, alternateurs) qui réalisent cette
transformation.
 Transformation de l’énergie électrique en énergie rayonnante : cela se produit
dans les décharges (étincelles, éclairs) et l’électroluminescence (par exemple, les
tubes à néon) ; on remarquera que dans les lampes les plus usuelles (à
incandescence), il y a un passage intermédiaire par la chaleur.
 Transformation de l’énergie électrique en énergie thermique : c’est «l’effet Joule
», c’est-à-dire le dégagement de chaleur dans tout conducteur parcouru par un
courant électrique; cet effet correspond souvent à une perte, mais il peut aussi
être recherché (radiateur électrique).
 Transformation de l’énergie électrique en énergie mécanique : c’est ce que
réalisent les moteurs électriques ; citons aussi la piézo-électricité qui est
l’apparition de charges électriques à la surface de certains cristaux mis sous
contrainte et, inversement, leur déformation sous l’action d’un champ
électrique: ce dernier effet est utilisé dans les montres à quartz.

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On remarquera que les transformations de l’électricité en d’autres formes


d’énergie libre sont aisées : c’est, avec la facilité du transport par câbles, la raison
de l’utilisation intensive de cette forme d’énergie dans les sociétés industrielles.
5.2. LIBERATION DE L’ENERGIE STOCKEE
 L’énergie gravitationnelle est celle emmagasinée par une masse placée à une
certaine hauteur dans un champ de pesanteur (gravitation); le plus souvent, il
s’agit d’eau, soit retenue par un barrage en altitude, soit prélevée sur le courant
d’une rivière: c’est l’énergie hydraulique. Cette énergie se transforme
spontanément en énergie mécanique dès qu’on laisse descendre cette masse;
avec une turbine hydraulique, on récupère cette énergie mécanique pour la
convertir en électricité.
 L’énergie chimique (celle qui est emmagasinée au sein des molécules de la
matière sous forme de liaisons chimiques) peut être libérée sous toutes les
formes d’énergie libre :
− Transformation en rayonnement: c’est la chimiluminescence, c’est-à-dire
une émission de lumière;
− Transformation en chaleur : c’est la combustion et la fermentation
(combustion lente par les organismes vivants);
− Transformation en énergie mécanique : l’explosion ;
− Transformation en électricité: piles et accumulateurs électriques (ces
derniers pouvant être rechargés, ce qui est la transformation inverse
d’énergie électrique en énergie chimique) ; piles à combustible.
 L’énergie nucléaire (celle qui est emmagasinée au sein des noyaux des atomes
sous forme de liaisons nucléaires entres les nucléons) ne peut être libérée, en
l’état actuel des techniques, que sous forme de chaleur.
5.3. STOCKAGE DE L’ENERGIE

Il n’est pas possible de transformer directement une forme d’énergie stockée


en une autre: il faut forcément passer par une forme d’énergie libre intermédiaire.
Les passages d’une forme d’énergie stockée vers une forme d’énergie libre ont été
décrits au paragraphe précédent ; nous considérons ici les transformations
inverses d’une forme d’énergie libre vers une forme d’énergie stockée.
 Une pompe permet de hisser une certaine masse de fluide à une hauteur
supérieure: elle transforme de l’énergie mécanique en énergie
gravitationnelle.
 Il est possible de stocker trois des quatre formes d’énergie libre en énergie
chimique:
− Le rayonnement grâce à la photochimie, notamment la photosynthèse dans
laquelle la chlorophylle des plantes capte l’énergie du rayonnement solaire ;
− La chaleur grâce à la thermolyse (synthèse chimique prélevant de la chaleur
dans les réactifs) ;
− L’électricité grâce à l’électrolyse, par exemple lors de la recharge d’une
batterie d’accumulateurs.
 En revanche, nous ne savons pas, aujourd’hui, stocker de l’énergie sous forme
d’énergie nucléaire.
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II- PRODUCTION DE L’ÉNERGIE ÉLECTRIQUE

1. INTRODUCTION
L’énergie électrique est un facteur essentiel de développement économique,
dans tous les pays du monde. Son importance relative s’accroit avec les progrès
techniques, l’industrialisation et le besoin de confort moderne. L’augmentation de
sa production est synonyme d’amélioration de la qualité de vie et de création de
richesse. La production d’électricité, ramenée au nombre d’habitants, est donc un
bon indicateur permettant de mesurer les écarts de développement entre les
différentes régions de monde.
2. DEFINITIONS
 La production de l’énergie électrique consiste en la transformation de
l’ensemble des énergies primaires en énergie électrique.
 Une centrale électrique est un site industriel destiné à la production
d'électricité. Elle transforme diverses sources d'énergie primaire en énergie
électrique en établissant des chaînes énergétiques.
 Tranche de production Elle correspond à l’unité de production standard d’une
centrale électrique. On parle généralement de tranche pour qualifier les unités
de production des centrales nucléaires ou des centrales thermiques, qui
peuvent contenir plusieurs tranches sur un même site.
 Moyen de production « dispatchable » Ce terme désigne un moyen de
production d’énergie considéré comme flexible vis-à-vis du gestionnaire de
réseau. Les moyens de production « dispatchables » peuvent notamment réagir
de manière commandée à une sollicitation du gestionnaire de réseau en
injectant à la hausse ou à la baisse, ceci dans un temps imparti.
 Moyens de production centralisé et décentralisé Les termes centralisé et
décentralisé rendent compte du niveau de dissémination d’un parc de
production d’énergie. Sans qu’il y ait de distinction univoque entre les deux
catégories, on parlera de moyens centralisés lorsque la production énergétique
est concentrée en quelques points du réseau (centrales nucléaires, centrale
thermique à flamme, etc.) et de moyens décentralisés lorsqu’il existe une
multitude de points d’injection avec des systèmes de tailles unitaires réduites
(éolienne, panneau solaire, etc.).
 Pointe électrique Elle correspond à un maximum de puissance électrique sur
le réseau, et donc à un pic de consommation d’électricité. Les profils de
consommation d’électricité suivent une trame globalement périodique avec un
pas journalier, hebdomadaire ou saisonnier. Ainsi, on parlera de pointe
journalière pour désigner le maximum de puissance appelée sur une journée. Le
niveau de la pointe saisonnière, désignant le maximum de puissance appelée
sur une année, permet quant à lui de dimensionner en puissance le parc de
production d’électricité.
 Réactivité La réactivité d’un moyen de production d’énergie qualifie sa
capacité à répondre plus ou moins vite à une consigne de fonctionnement. La
définition précise d’un indicateur de réactivité dépend du type de consigne
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considéré (réactivité au démarrage ou en fonctionnement, temps de montée en


charge partielle ou totale, vitesse de montée en charge, etc.).
3. APPEL DE PUISSANCE D'UN RESEAU
La puissance demandée par l'ensemble des clients d'un réseau subit de
grandes fluctuations selon l'heure de la journée et selon les saisons.
Ces fluctuations de l'appel de puissance obligent les compagnies d'électricité
à prévoir trois classes de centrales de génération :
 Les centrales de base de grande puissance qui débitent leur pleine capacité en
tout temps. Les centrales nucléaires et les centrales thermiques sont
particulièrement aptes à remplir ce rôle.
 Les centrales intermédiaires de puissance moyenne qui peuvent réagir
rapidement aux fluctuations de la demande. C'est le cas des centrales
hydrauliques dont le débit est facilement contrôlable.
 Les centrales de pointe de puissance moyenne qui ne débitent leur pleine
capacité que pendant de courtes périodes. C’est pourquoi les compagnies
d'électricité encouragent les usagers à limiter leur charge de pointe.
4. MODES DE PRODUCTION DE L’ENERGIE ELECTRIQUE
Une des souplesses signalées du système électrique est de pouvoir disposer
de moyens de production alimentes par les sources d’énergie les plus diverses,
dont les caractéristiques techniques et économiques sont suffisamment variées
pour satisfaire à tous les aspects de la demande, et dont les localisations
géographiques peuvent être très différentes, imposées soit par la source d’énergie,
soit pour le bon équilibre dynamique du réseau.
Un groupe de production se caractérise par de nombreux paramètres
techniques dont on ne cite ici que les principaux :
 sa puissance unitaire nominale ;
 son domaine de fonctionnement en tension et en fréquence ;
 son minimum technique (sa puissance minimale en fonctionnement continu) ;
 son temps de démarrage, son aptitude à participer au réglage de la fréquence ;
 sa capacité de suivi de charge.
Les modes de production se classent en grandes catégories selon le principe
de la transformation en électricité de l’énergie primaire utilisée. Les plus courantes
sont brièvement décrites dans le schéma ci-dessous.

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Figure 1: Voies de production de l’énergie électrique

Le choix d'un système de production d'électricité dépend principalement de la


disponibilité des ressources énergétiques. Par exemple, la majorité des centrales de
production d’énergie électrique en Algérie utilise le gaz naturel comme énergie
primaire. Le choix du système peut aussi dépendre de l'impact environnemental
des différentes ressources énergétiques.

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