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La stigmatisation et les discriminations


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MISE À JOUR : 04/03/2024

Comprendre

La santé mentale

Le rétablissement

Les droits

La stigmatisation et les
discriminations

A télécharger

Affiche Iceberg des


discriminations

Affiche Cycle de la
discrimination

Aller plus loin

Les personnes vivant avec un trouble psychique sont parfois moins bien Agir contre la stigmatisation
considérées. Elles peuvent aussi être défavorisées, comparé à d'autres, au cours Les Formations Psycom
de leur vie. Des moyens existent pour l'éviter.
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SOMMAIRE
Mots-clés
La stigmatisation, qu’est ce que c’est ?
stigmatisation
Les discriminations, ce que dit la Loi

Quand la société produit des discriminations

La santé mentale, source de stigmatisation


Vis-à-vis des personnes suivies en psychiatrie
Vis-à-vis des personnes qui pourraient consulter un psy
Vis-à-vis de nous-mêmes

Comment la stigmatisation s’enclenche dans notre tête


Tout commence avec le « stigmate »
Pourquoi nous stigmatisons sans le vouloir

Que faire pour éviter de stigmatiser

La stigmatisation, qu’est ce que c’est ?


Les personnes vivant avec un trouble psychique peuvent être mal vues par les autres.
En effet, le fait d’avoir un trouble psychique peut être considéré par certains comme
très négatif, dégradant, et entraîner la mise à l’écart de la personne. Ce phénomène
s’appelle la stigmatisation.

La stigmatisation fait souffrir la personne qui la subit. Peut-être même plus que le
trouble en lui-même, comme souligné dans une étude britannique : « Les personnes
vivant avec des troubles disent souffrir davantage de cette stigmatisation que des
symptômes mêmes de la maladie » (Qualitative analysis of mental health service
users’ reported experiences of discrimination, 2016).

Par ailleurs, la personne mal considérée est souvent moins bien traitée que d’autres
lorsqu’il s’agit d’accéder à un emploi, à des soins, à un logement ou à des services
comme les loisirs. Ce traitement moins favorable est qualifié de discrimination.

Stigmatisation, discrimination, quelle différence ?


La stigmatisation relève d’une dévalorisation de la personne, tandis que la discrimination implique
une action pour lui nuire ou la mettre à l’écart.

Faire l’expérience de la stigmatisation ou connaître des discriminations rend la vie


plus difficile et ajoute de la souffrance psychique. C’est pourquoi il est important de
prendre conscience de ces mécanismes. On peut les subir aussi bien parce qu’on a un
trouble psychique, qu’en lien avec sa couleur de peau, son genre, son handicap ou
son âge.

Toute personne vivant avec un trouble psychique gagne à comprendre ce qu’est la


stigmatisation pour savoir sur quoi agir et de quelle façon, dans le but de moins la
subir. De même, tout individu, s’il est averti, peut voir la stigmatisation s’enclencher
chez lui ou chez les autres et intervenir pour éviter qu’elle se produise.

Les discriminations, ce que dit la Loi


En France, comme dans d’autres pays, les discriminations sont punies par la loi.
Depuis 2001, une situation est reconnue comme une discrimination si elle remplit
certains critères. Il peut être difficile de savoir si une situation que vous rencontrez –
ou dont vous avez connaissance – constitue une discrimination au sens de la loi. Voici
la définition qu’en donne le Défenseur des droits, autorité administrative
indépendante :

“ En droit, une discrimination est un traitement défavorable


qui doit généralement remplir deux conditions cumulatives
: être fondé sur un critère défini par la loi (sexe, âge,
handicap…) ET relever d’une situation visée par la loi
(accès à un emploi, un service, un logement…). À ce jour, la
loi reconnait plus de 25 critères de discrimination. Ainsi,
défavoriser une personne en raison de ses origines, son
sexe, son âge, son état de santé, son handicap, ses
opinions… est interdit par la loi et les conventions
internationales auxquelles adhère la France.

La discrimination est également constituée lorsqu’elle prend la forme d’un


harcèlement. Il s’agit de comportements ou de remarques répétés liés à un des
critères fixés par la loi et qui portent atteinte à l’intégrité d’une personne.

Quand la société produit des discriminations


Parfois, c’est le comportement d’un individu vis-à-vis d’un autre qui entraîne une
discrimination. Par exemple, une personne se présente aux urgences d’un hôpital
pour de fortes douleurs au ventre. A l’accueil, l’infirmier reconnaît, au tremblement de
ses bras et à la raideur de sa démarche, certains effets secondaires des médicaments
neuroleptiques. Il lui demande si elle est suivie pour un trouble psychique. A la suite
de sa réponse affirmative, il refuse de la prendre en charge pour ses douleurs,
pourtant physiques, et l’oriente vers les urgences psychiatriques.

D’autres fois, ce n’est pas la relation entre deux individus qui est en cause mais la
manière dont la société est organisée. En effet, la société est régie par des
institutions comme l’école, les hôpitaux, la justice ou la police. Ces structures
génèrent parfois une inégalité de traitement entre les personnes. Les chercheurs
parlent de discrimination « institutionnelle » faisant référence au fonctionnement des
institutions et des organisations. Par exemple, un enfant avec des troubles du
comportement se retrouve scolarisé à la maison, faute d’un accompagnement adapté
à ses besoins dans le système scolaire ordinaire.

A l’échelle de la société toute entière, on retrouve une discrimination dite


« structurelle ». Celle-ci est ancrée dans la culture qui s’est construite à travers
l’Histoire de notre pays et qui se transmet, entre autres, par les médias. Par exemple,
les personnes dépressives sont souvent confrontées au préjugé selon lequel elles
manquent de volonté et qu’il leur suffirait de se secouer un peu pour aller mieux.

On parle aujourd’hui d’une discrimination « systémique », à l’échelle d’un pays ou


d’une organisation. La notion de système permet d’englober à la fois les actions des
individus et le fonctionnement des structures.

Les formes de discrimination liées aux institutions ou à la culture sont beaucoup


moins visibles que les autres. Pourtant, à la manière d’un iceberg dont on ne voit que
la partie émergée, elles forment la base qui permet aux discriminations les plus
flagrantes de se produire.

 TÉLÉCHARGER L'ICEBERG DES


DISCRIMINATIONS

Le colloque virtuel organisé en 2020 par le Centre hospitalier de Rouffach (Haut-


Rhin) sur le thème Santé mentale et discriminations permet de comprendre comment
les discriminations génèrent et majorent les problèmes de santé mentale. “Toute
discrimination est une violence“, explique Aude Caria, directrice de Psycom, dans la
vidéo de l’événement, programmé durant les Semaines d’information sur la santé
mentale.

Discriminations, en comprendre les mécanismes - Semaines …


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Regarder sur

La santé mentale, source de stigmatisation

Vis-à-vis des personnes suivies en


psychiatrie
Les personnes qui rencontrent un problème de santé mentale ou qui sont suivies en
psychiatrie sont généralement moins bien considérées. Leur image sociale est
dévalorisée. Les études sur la stigmatisation dressent à ce sujet un constat accablant.
Ces recherches montrent aussi que les préjugés vis-à-vis des troubles psychiques et
de la psychiatrie ont un impact majeur sur la vie des personnes concernées.

Cette stigmatisation peut se matérialiser par un acte discriminatoire comme le refus


d’accès à un service (par exemple, l’inscription à un club de sport), un droit (par
exemple, exercer son droit de vote en période d’hospitalisation) ou un bien (par
exemple, l’achat d’une maison). Rappelons que ces actes sont punis au pénal (la
branche du droit traitant des conduites que la société réprime) dans le cadre de la
lutte contre les discriminations. Les peines encourues incluent des amendes et des
années d’emprisonnement.

La stigmatisation peut aussi se manifester sous des formes qui échappent à la loi
définissant les discriminations. Nous pouvons ainsi être confrontés au rejet, à la mise
à l’écart, nous retrouver isolés. Nous pouvons subir des micro-agressions, c’est à dire
une répétition de propos, commentaires ou remarques qui se voudraient insignifiants
et nous rappellent pourtant sans cesse que ce que nous sommes ne correspond pas à
la norme. Cela peut toucher aussi bien les relations intimes que les relations amicales
ou professionnelles.

Même si la justice ne prend pas en compte de telles situations, cette stigmatisation


est également lourde de conséquences. Elle amène bien souvent les personnes
concernées par un trouble psychique à cacher leur situation, comme le montre
l’étude réalisée en France chez des personnes ayant reçu le diagnostic de
schizophrénie (La discrimination vécue par les personnes ayant reçu un diagnostic de
troubles schizophréniques, 2010).

Au-delà des personnes vivant avec des troubles psychiques, la stigmatisation s’étend
à leurs proches et au monde de la psychiatrie dans son ensemble. Les établissements
tels que les hôpitaux psychiatriques, ainsi que les individus qui y travaillent, sont mal
considérés par une grande partie de la société. Il en résulte une méfiance vis-à-vis
de ces lieux, dommageable car elle entraîne un retard d’accès aux soins pour les
personnes qui en auraient besoin.

Vis-à-vis des personnes qui pourraient


consulter un psy
On parle de plus en plus de santé mentale dans les médias, les livres, le cinéma, les
séries et sur les réseaux sociaux. Les conseils abondent, les témoignages se
multiplient. Le tabou se lèverait-il ? A y regarder de plus près, ce n’est pas tout à fait
le cas. Quand il s’agit de notre propre santé mentale, surtout quand elle n’est pas à
son meilleur, on garde le plus souvent le silence.

Il reste plus facile d’encourager les autres à consulter un psy, que de faire la
démarche soi-même. Selon plusieurs enquêtes, un grand nombre de personnes
conseillerait à un proche de consulter, alors que les trois quart des Français ne
consultent pas eux-mêmes (Enquête Santé mentale en population générale, CCOMS
2005, sondage TNS Sofres pour Psychologies magazine 2013, sondage Médiaprism
2014).

Si nous ne sommes pas prêts à prendre soin de notre santé mentale, c’est sans doute
parce que la société porte un jugement sévère sur celles et ceux qui le font
ouvertement. Demander de l’aide reste synonyme de faiblesse, aller voir un psy est
encore tabou. La peur d’être étiqueté « malade psy » et les problèmes qui peuvent en
découler – par exemple pour garder son travail ou en trouver un – sont généralement
plus forts que le désir de partager ses difficultés.

Ce phénomène a pour effet de renforcer la distance sociale entre les personnes qui
disent connaître des problèmes de santé mentale et celles qui le taisent. En évitant
d’en parler, nous entrons sans nous en rendre compte dans un mode de pensée qui
consiste à distinguer le « eux » (ceux qui subissent le jugement de la société) du «
nous » (qui restons à l’abri). L’idée que nous pourrions changer de catégorie rend
plus difficile encore la démarche consistant à dévoiler nos problèmes. Dans tous les
cas, en parler ou ne pas en parler reste un choix personnel et respectable.

Vis-à-vis de nous-mêmes
Tous ces phénomènes de stigmatisation à l’échelle de la société entraînent une forme
beaucoup moins consciente de stigmatisation, qu’on appelle l’auto-stigmatisation.
Celle-ci trouve son origine dans des croyances négatives sur soi-même, suscitant une
faible estime de soi. Ce processus mental est particulièrement actif chez les
personnes qui souffrent psychiquement.

Or l’auto-stigmatisation amène la personne à se limiter dans des activités


importantes pour elle. Par exemple, elle va renoncer à postuler à un emploi bien
qu’elle possède les qualifications requises, estimant que d’autres seront bien plus
compétents pour le poste. La chercheuse Stéphanie Park a identifié de nombreuses
conséquences à ce phénomène : l’isolement social, les attitudes de retrait et
l’inhibition (c’est à dire une grande timidité), la tendance à se dénigrer, le sentiment
de honte, de culpabilité, l’attente permanente d’être mis à l’écart et rejeté, la perte de
l’espoir d’une guérison (Internalized stigma in schizophrenia: relations with
dysfunctional attitudes, symptoms, and quality of life, 2013).

Comment la stigmatisation s’enclenche dans


notre tête
Il nous arrive, à toutes et tous, de stigmatiser une personne ou un groupe de
personnes. Nous ne nous en rendons pas forcément compte. Nous n’avons d’ailleurs
pas conscience des étapes par lesquelles nous passons au cours de ce processus
mental. Il est utile de les connaître car alors, nous pouvons trouver des moyens d’agir
pour éviter que cela se reproduise trop souvent.

Tout commence avec le « stigmate »


Le point de départ du processus est l’identification, chez la personne ou le groupe,
d’un « stigmate », comme l’expliquent les scientifiques (notamment Lionel Lacaze
dans son article Le stigmate, « une seconde maladie » ? 2012). Il s’agit d’un signe
visible qui peut être un marqueur, c’est-à-dire une caractéristique que l’on remarque,
par exemple un bégaiement, ou un comportement, comme le fait de parler tout seul.

 TÉLÉCHARGER LE CYCLE DE
LA DISCRIMINATION

L’étape suivante est celle du « stéréotypage ». Cela consiste à attribuer à ce stigmate


des qualificatifs réducteurs, le plus souvent infondés. Par exemple, nous allons
associer la personne qui parle toute seule à quelqu’un de dangereux. Ou bien, nous
allons associer la personne qui répète une série de gestes à quelqu’un d’idiot. Ces
associations, nous les avons fabriquées au contact des groupes sociaux auxquels
nous appartenons ou avons appartenu, comme notre famille, nos amis, notre corps de
métier. Les médias et la culture dans laquelle nous évoluons jouent aussi un rôle. Les
qualificatifs ainsi appliqués représentent ce que l’on appelle des stéréotypes.

La troisième et dernière étape de la stigmatisation est celle de la « séparation ». Elle


est l’aboutissement du processus de catégorisation qui distingue cet autre, porteur
d’un stigmate auquel j’applique un stéréotype, de moi-même. Je vais penser, par
exemple : « d’un côté il y a les fous, de l’autre les sains d’esprit comme moi ».

Ces 3 étapes s’enchainent très rapidement dans notre tête. Le cycle complet favorise
des actes tels que le rejet, les agressions, les discriminations.

Pourquoi nous stigmatisons sans le vouloir


La stigmatisation découle, surtout, de nos représentations sociales. Il s’agit de la
manière dont nous rassemblons, autour d’un groupe de personnes (les femmes, les
homosexuels, les jeunes d’origine maghrébine, les dépressifs…), un ensemble de
stéréotypes. Nous estimerons par exemple que les femmes sont douces et émotives,
ou que les personnes dépressives sont fragiles et dénuées d’humour.

Nous construisons nos représentations sociales à travers notre éducation, notre


environnement social et culturel, nos expériences. Elles intègrent, aussi, nos valeurs
personnelles. Elles sont nécessaires pour chacun et chacune d’entre nous car elles
assurent plusieurs fonctions essentielles.

1. Une fonction cognitive : ces représentations nous permettent de réfléchir vite.


En effet, il serait trop long et trop coûteux, pour notre cerveau, de décoder tous
les événements nouveaux qui surviennent autour de nous en détail et dans leur
complexité. A la place, nous allons piocher dans une sorte de « bibliothèque de
pensées », construite par nos soins, la pensée qui colle le mieux avec
l’événement auquel nous assistons. Ce procédé permet de nous sentir moins
déstabilisés face à l’inconnu.
2. Une fonction sociale : ces représentations nous lient aux autres.
Elles me permettent de me reconnaître comme appartenant à un groupe avec
lequel je partage ces représentations. Si je les remets en question, je me mets
en danger dans ma relation aux autres. Le groupe peut considérer que je
m’oppose et m’exclure.
3. Une fonction identitaire : ces représentations fondent notre identité.
Elles permettent à l’individu qui les exprime d’indiquer qui il est. Elles
englobent ses croyances, ses convictions, ses valeurs. L’expression latine le dit
bien : « Cogito ergo sum », je pense donc je suis. Si je les remets en question, je
prends le risque d’ébranler toute ma personne.

Aussi, nous ne sommes pas prêts à remettre en question du jour au lendemain nos
représentations sociales, même si elles nous amènent à stigmatiser sans le vouloir.

Que faire pour éviter de stigmatiser


Une fois que nous avons pris conscience de ce qui se passe dans notre tête, nous
pouvons décider d’agir pour éviter de stigmatiser des personnes que nous
rencontrons. Ce n’est pas simple, car cela implique de changer le regard que nous
portons sur ces personnes et donc, certaines de nos représentations sociales. Or
celles-ci sont robustes, par nature. De plus, devoir y renoncer peut nous secouer et
provoquer chez nous des réactions de colère (« Où est la vérité ?! ») ou de peur (« Le
monde n’est pas tel que je l’avais imaginé… »).

Bien souvent, la simple volonté ne suffit pas à surmonter les résistances décrites plus
haut. Il nous faut trouver, en plus, des bénéfices à faire cet effort important,
autrement dit une motivation. Elle sera différente pour chacune et chacun d’entre
nous. Pour les citoyennes et les citoyens, cela pourrait être l’envie de vivre dans une
société où il est possible de dévoiler nos vulnérabilités sans risquer la réprobation.
Pour une psychiatre ou un infirmier, ce sera peut-être d’améliorer la relation avec ses
patients.

Une fois que nous en voyons les bénéfices, nous devons être guidés si nous voulons
aboutir à un résultat. En effet, la « bibliothèque de pensées » toutes prêtes qui nous
permet de réfléchir vite se construit très tôt dans la vie, dès la petite enfance. Nous
grandissons avec ces repères. Par la suite, si nous voulons nuancer ou modifier ces
croyances simplifiées, nous devons nous informer, apprendre et nous confronter à
d’autres points de vue.

Pour nous y aider, nous pouvons regarder des vidéos, écouter des podcasts ou lire
des articles qui traitent de la stigmatisation. Nous pouvons aussi nous former.
Surtout, nous apprendrons beaucoup au contact de personnes ayant cheminé sur
cette question, notamment parce qu’elles sont touchées personnellement par le
racisme, le sexisme, ou encore la stigmatisation du handicap. Nous pouvons trouver
ces personnes dans notre entourage, ou encore nous rendre à des conférences où
elles prennent la parole.

DÉCOUVRIR LES TÉMOIGNAGES 

Nous pouvons choisir, ensuite, de rejoindre des actions collectives menées pour
lutter contre la stigmatisation des personnes vivant avec un trouble psychique, ou
encore les organiser, par exemple pendant les Semaines d’information sur la santé
mentale. Celles-ci peuvent prendre la forme d’une exposition photo, de rencontres
avec des personnes concernées, ou encore la réalisation de vidéos.

Afin de rendre ces actions efficaces, nous pouvons jouer sur plusieurs leviers qui ont
été identifiés grâce aux recherches en sciences sociales. Ces leviers sont décrits en
détail dans l’outil développé par Psycom, le GPS Anti-Stigma.

 D'AUTRES RESSOURCES SUR LA STIGMATISATION ET LES


DISCRIMINATIONS

Cet article a été écrit par Sophie Arfeuillère et Estelle Saget (Psycom).

© Psycom – Tous droits réservés

 DÉCLARATIONS DE LIENS D'INTÉRÊTS

 NOS SOURCES

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