Devoir maison de français

1) Hessel a mentionné plusieurs exemples de solutions collectives mises en place depuis la

Seconde Guerre mondiale pour promouvoir ces valeurs. Voici trois exemples concrets :

- La Déclaration universelle des droits de l'homme (1948) : ( page 10 ) : « Je ne résiste pas à

l’envie de citer l’article 15 de la Déclaration universelle des Droits de l’homme : « Tout individu a
droit à une nationalité » »

- La FIDH : ( page 11 ) : « La FIDH ( Fédération internationale des Droits de l’homme ), Amnesty…

qui sont agissants et performants. »

- Les conférences des Nations unies : ( page 17 ) : « Les 191 pays membres ont adopté la
déclaration sur (…) ils s’engagent notamment à réduire de moitié la pauvreté dans le monde d’ici
2015. »

2)

L'auteur prône la non-violence comme un pilier central de la résistance aux injustices. Il

encourage les lecteurs à adopter des méthodes de protestation pacifiques pour défendre leurs
convictions et promouvoir les valeurs de justice sociale, de paix et de droits de l'homme. Hessel
insiste sur le fait que la non-violence est le moyen le plus puissant de mobiliser un large soutien
populaire et d'attirer l'attention sur les problèmes sociaux et politiques. Il cite des exemples
historiques tels que les luttes pour les droits civiques aux États-Unis et la résistance non violente
de Gandhi en Inde comme des preuves de l'efficacité de cette approche.

3)

"Créer, c'est résister. Résister, c'est créer." ( page 18 ) Cette citation m’a particulièrement
marquée pour plusieurs raisons, les voici ; tout d’abord car c’est un appel à l'action, elle
encourage les lecteurs à passer à l'action, à s'engager activement dans la création de
changements positifs en résistant aux injustices. De la même manière, elle inspire à la fois la
créativité et la détermination, incitant les individus à trouver des moyens novateurs de lutter
contre l'oppression. Enfin, c’est un message d’espoir, elle en insuffle en montrant que même
dans les situations les plus difficiles, la créativité et la résistance peuvent conduire à des
changements significatifs.

4)

Les deux défis prioritaires selon Hessel sont, tout d’abord, la précarité économique et sociale, il
souligne l'importance de lutter contre la précarité qui touche de nombreuses populations à
travers le monde. Il s'indigne de l'écart grandissant entre les riches et les pauvres, ainsi que de
l'insuffisance des mesures pour garantir un niveau de vie décent à tous. Ainsi que le mépris des
droits de l'homme il appelle à s'indigner contre les violations des droits de l'homme, dans les
conflits, la répression politique et l'injustice. Il encourage les lecteurs à défendre les droits
fondamentaux et à ne pas tolérer l'indifférence face aux souffrances humaines. Ces deux défis
prioritaires sont au cœur de l'appel de Stéphane Hessel à l'action et à l'indignation, incitant les
individus à s'engager pour la justice sociale et les droits de l'homme.
Ecrit d’invention :

Aujourd'hui, je tiens à partager avec vous une source d'indignation qui me touche profondément, et
qui devrait nous tous interpeller. Il s'agit de l'inégalité croissante dans l'accès à l'éducation. Dans un
monde où le savoir est de plus en plus crucial pour façonner notre avenir, il est tout simplement
inacceptable que des individus soient privés de cette opportunité fondamentale. L'éducation devrait
être un droit universel, accessible à tous, quel que soit leur origine, leur statut social, ou leur lieu de
naissance. Pourtant, aujourd'hui, des millions d'enfants à travers le monde n'ont pas accès à une
éducation de qualité. Ils sont condamnés à un cycle de pauvreté et d'oppression simplement parce
qu'ils n'ont pas la chance d'apprendre et de se développer. Cette inégalité choquante dans l'accès à
l'éducation est un affront à nos valeurs fondamentales de justice, d'égalité des chances et de dignité
humaine. Elle alimente les divisions et perpétue les inégalités économiques et sociales. Elle prive
notre société de talents et de potentiels qui pourraient contribuer à un avenir meilleur pour tous. Il
est temps de nous indigner face à cette injustice et de nous engager pour un changement radical.
L'accès à une éducation de qualité ne devrait pas être un privilège, mais un droit inaliénable pour
chaque être humain. Nous devons exiger des gouvernements et des institutions qu'ils investissent
massivement dans l'éducation, qu'ils éliminent les barrières économiques et sociales qui empêchent
tant d'individus de réaliser leur potentiel. En nous unissant, en faisant entendre notre voix et en
agissant concrètement, nous pouvons contribuer à mettre fin à cette inégalité intolérable. Chacun de
nous a un rôle à jouer pour que l'éducation devienne enfin une réalité accessible à tous, car c'est
dans l'éducation que réside l'espoir d'un monde plus juste et équitable pour les générations futures.
Engageons-nous dès maintenant pour un avenir où chaque enfant, où que ce soit, puisse accéder à la
lumière de la connaissance et réaliser ses rêves. Merci.