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Ferraillage d’un mur de soutènement

1. Ferraillage de la semelle
Le ferraillage de la semelle se fait par la méthode de console. On divise notre semelle
en deux sous-semelles de longueurs successives b2 et b3=b1+e0

𝑉𝑑 6𝑒 𝑉𝑑 6𝑒
𝜎𝑚𝑎𝑥 = (1 + ) 𝑒𝑡 𝜎𝑚𝑖𝑛 = (1 − )
𝐵 𝐵 𝐵 𝐵
𝑒
On définit la longueur D= b2+ 0 avec b2 est la largueur du coté remblai amont.
2

(𝜎𝑚𝑎𝑥 −𝜎min )
La contrainte résultante 𝜎𝑑 = 𝜎𝑚𝑎𝑥 − 𝐷.
𝐵

(𝜎𝑚𝑎𝑥 +𝜎𝑑 )
L’effort normal résultant dans la semelle 𝑅 = 𝐵
𝐷
(𝜎𝑑 +2𝜎𝑚𝑎𝑥 )𝐷
Le bras de levier d 𝑑 = 3 (𝜎𝑑 +𝜎𝑚𝑎𝑥 )
.

Le moment est alors : M = R×d.

Dans notre cas d’=0,9*d avec d est l’épaisseur de la semelle et b=1 m (ferraillage par métre linéaire).
M
𝑀 𝜇=
𝐴𝑠 = 𝑎𝑣𝑒𝑐 { 𝑏 𝑑′2 𝜎𝑏𝑐
𝑍 𝜎𝑆
𝑍 = 0.5 𝑑′ (1 + √1 − 2𝜇)

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2. Ferraillage du mur voile
Le mur est sollicité a une flexion simple avec fissurations préjudiciables. Le diagramme des
contraintes appliquées sur le mur est triangulaire.

Figure 1 : diagramme des contraintes appliquées sur le voile d’un mur de soutènement.

L’organigramme suivant détaille le ferraillage dans le cas d’étude d’une flexion simple.

Dans notre cas d’=0,9*d avec d est l’épaisseur du mur voile et b=1 m (ferraillage par mètre linéaire).

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