Chers lecteurs de Durocher,

Permettez-moi de vous adresser cette lettre afin d'explorer ensemble un sujet d'une

importance cruciale pour l'avenir du monde du travail au Québec : l'intégration de

l'intelligence artificielle (IA) dans nos environnements professionnels. Cette avancée

technologique suscite à la fois l'enthousiasme et l'appréhension, soulignant ainsi la

nécessité d'une réflexion approfondie sur ses implications sociales et économiques.

Ainsi, la question fondamentale qui se pose est la suivante : Devrions-nous encourager

le développement de l'intelligence artificielle dans le monde du travail ? Selon moi, oui,

nous devrions encourager le progrès et ne pas nous opposer au changement.

En premier lieu, l'intelligence artificielle commence déjà à faire partie de notre

quotidien. Par exemple, ChatGPT est très facilement accessible par le public. Beaucoup

de personnes pensent que si l'IA se développe davantage, ils perdront leur emploi,

remplacés par cette intelligence, tandis que cela n’est pas tout à fait vrai. L'économiste

et essayiste Nicolas Bouzou souligne que le monde du travail est en constante mutation,

et ne subira pas de pertes, mais plutôt des transformations. De nouveaux emplois se

créeront en corrélation avec les besoins de la société du moment. Cette thèse suit celle

de Boi Faltings, professeur de laboratoire à l'École polytechnique fédérale de Lausanne.

Il affirme que l'intelligence artificielle ne pourra jamais remplacer l'humain, mais serait
un assistant qui rendrait les tâches plus simples pour notre espèce. Pour les sceptiques

qui pensent encore être en danger de se faire remplacer par monsieur IA, une petite

statistique de l'Institute for the Future and Dell : 85% des emplois à venir d’ici 2023

n’existent pas encore aujourd’hui.

Bref, n'ayez crainte de l'intelligence artificielle.

En deuxième lieu, cette nouvelle intelligence a déjà commencé à être développée dans

un métier, pas très accueillant. La profession de trieur de déchets. Dans le texte intitulé

« Waste Robotics : des robots trieurs de déchets ? », écrit par Yvan Laprado et publié

dans La Presse en avril 2021, Monsieur Laprado nous parle d'une compagnie située à

Trois-Rivières qui construit des robots trieurs de déchets, bien sûr équipés d'intelligence

artificielle. Fondée en 2016, cette entreprise s'est donné la mission de réussir à

améliorer le tri des déchets avec l'aide de robots intelligents pouvant scanner et trier

des bouteilles, des résidus de construction, du plastique, etc. Cinq ans plus tard, avec

des millions de dollars investis par Fondaction, distribués en Europe, au Québec et aux

États-Unis, cette entreprise a réussi sa mission. Ceci est une preuve que le

développement de l'intelligence artificielle est bénéfique pour nous. Cette initiative a

amélioré les conditions de travail des trieuses et des trieurs en faisant les tâches

ingrates là où les risques de blessures sont élevés. Je cite les gens de Fondaction : « Vous

allez remplacer des jobs qu'on ne veut pas pour nos travailleurs, des jobs pénibles

comportant des risques pour leur santé et leur sécurité. » Bénéfique pour

l'environnement, l'amélioration des conditions de travail et l'avancée technologique,

tout cela me semble plutôt positif pour l'humanité. Sans la recherche sur l'IA, rien de

cela ne serait arrivé.

Pour conclure, chers lecteurs, je trouve que l'intelligence artificielle et son

développement doivent continuer dans le monde du travail. Après vous avoir montré les

nombreux bénéfices et avoir démenti vos peurs au sujet de l'IA, je pense que c'est le

temps pour vous de vous faire votre propre opinion sur ce sujet. Alors, êtes-vous avec

moi ou contre moi ?

1.p.42
Je mets les deux-points devant un dilemme.
Les robots : outils ou handicaps?

2.p.32
Je mets un point d’interrogation à la fin d’une phrase interrogative direct.
Les robots : outils ou handicaps?

3.p.19
La virgule est nécessaire pour séparer l’interjection « oui » du reste de la phrase.
Selon moi, oui, nous devrions…

4.u.1
J’utilise mes outils pour m’assurer de l’orthographe juste des mots.
…nous devrions encourager le progrès et ne pas…

5.s.1
J’ajoute un mot essentiel à la phrase.
… et ne pas nous opposer au changement.

6.p.1
Je mets une virgule pour séparer des mots, des groupes de mots ou des phrases
juxtaposés
... de notre quotidien, par exemple ChatGPT, qui est…
7.s.2
J’élimine un mot de superflus
... de notre quotidien, par exemple ChatGPT, qui est…

8.u.1
J’utilise mes outils pour m’assurer de l’orthographe juste des mots.
... de notre quotidien, par exemple ChatGPT, qui est…

9.s.16
J’utilise l’homophone approprié
… développe davantage, elles perdront…

10.G.2
J’accorde en genre « Ils » avec « plusieurs personnes »
…, elles perdront leur…

11.g.1
Je mets « emploi » au singulier. Il est le donneur dans le système des accords : il donne
son genre et son nombre aux élément du GN
… perdront leur emploi, remplacé par …

12.p.41
J’efface le point-virgule entre deux parties d’une même phrase.
…leur emploi remplacé par…

13.g.6
J’accorde le verbe en personne et en nombre avec son sujet
… perdront leur emploi, remplacé par …

14.p.20
J’efface la virgule entre la phrase enchâssante et la subordonnée.
… cette intelligence tandis que cela n’est pas…

15.s.14
Je place le mot dans le bon ordre.
…, mais subira plutôt des mutations.

16.g.6
J’accorde le verbe créer en personne et en nombre avec son sujet « Des nouveaux
emplois »
…emplois se créeront en corrélation…

17.g.1
Je mets « besoins » au pluriel. Il est le donneur dans le système des accords : il donne
son genre et son nombre aux élément du GN
…les besoins de la …

18.g.10
Je mets une majuscule aux noms propre
… de Laboratoire à la …

19.g.10
Je mets une majuscule aux noms propre
… de Lausanne.

20.u.1
J’utilise mes outils pour m’assurer de l’orthographe juste des mots.
… les tâches plus simple…

21.g.2
J’accorde en nombre « simples » avec « les tâches »
… plus simples pour notre…

22.s.5
Je construis correctement la phrase de manière à éviter un problème de sens
Pour les sceptiques qui pensent encore être en danger de se faire remplacer par
monsieur IA, une petite statistique de l'Institute for the Future and Dell : 85% des
emplois à venir d’ici 2023 n’existent pas encore aujourd’hui.

23.g.2
J’accorde en genre « Madame » avec « IA »
… par madame IA.
24.s.1
J’ajoute un GV au début de la phrase puisqu’il est essentiel.
Pour les sceptiques qui pensent encore être en danger de se faire remplacer par
monsieur IA, une petite statistique de l'Institute for the Future and Dell : 85% des
emplois à venir d’ici 2023 n’existent pas encore aujourd’hui.

25.g.10
Je mets une majuscule aux noms propre
… L’Institue for the Future and Dell…

26.g.10
Je mets une majuscule aux noms propre
… L’Institue for the Future and Dell…

28.p.42
Je mets les deux-points devant une statistique.
… Pour les sceptiques qui pensent encore être en danger de se faire remplacer par
monsieur IA, une petite statistique de l'Institute for the Future and Dell : 85% des
emplois à venir d’ici 2023 n’existent pas encore aujourd’hui…

29.g.6
J’accorde le verbe « exister » en personne et en nombre avec son sujet
Pour les sceptiques qui pensent encore être en danger de se faire remplacer par
monsieur IA, une petite statistique de l'Institute for the Future and Dell : 85% des
emplois à venir d’ici 2023 n’existent pas encore aujourd’hui.

30.g.6
J’accorde le verbe « exister » en personne et en nombre avec son sujet
…n'ayez crainte de l'intelligence…

31.s.2
J’élimine un mot de superflus
Bref, n'ayez crainte de l'intelligence artificielle.

32.g.6
J’accorde le verbe « exister » en personne et en nombre avec son sujet
…déjà commencé à être…

33.s.2
J’élimine un mot de superflus
un métier, pas très accueillant.

34.v.5
J’enrichis le vocabulaire
…pas très accueillant. La profession de trieur de déchets.

35.P.6
Je mets une virgule pour séparer la citation, de la phrase incise placée en fin de phrase
graphique
…des robots trieurs de déchets ? », écrit par Yvan Laprado…